Les racines du « mal » et les multiples visages du « mal »

 

Par Benjamin LISAN, décembre 2017

(Première partie : 21 pages). Texte en cours de rédaction.

 

Bonjour,

 

La notion de bien et de mal, dans l’esprit de beaucoup, est associée à la religion.

 

Le « bien » marque un certain degré de perfection et d’utilité, voire de bien-être, de sécurité (pour sa vie). Tandis que le « mal » est associée à l’idée d’imperfection, de médiocre, de mauvais, de maladie, de douleur, de souffrance, de mal-être (source Wiktionnary), voire de terreur, de crainte pour sa vie.  L'idée de mal est associée à tous les événements accidentels ou non, aux comportements ou aux états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux, et qui sont sources de souffrances morales ou physiques (source Wikipedia). Selon le philosophe, Étienne Borne « Le propre du mal tient en ceci qu'il ne peut être nommé, pensé, vécu qu'en relation avec une certaine idée du bien ».

 

Dans ma vie, j’ai été confronté aux multiples visages du mal, mais aussi à ceux de la folie humaine.

 

J’ai été confronté au mal (voire à la monstruosité psychologique) très tôt dans ma vie.  C’est la raison pour laquelle j’ai écrit 2 textes sur les maltraitances faites aux enfants [1][2], puis 2 textes sur la psychopathie [3][4].

 

Dès tôt, peut-être dès l’âge de 11 ans, je me suis interrogé sur l’existence du mal, sur l’éthique, la morale, …

Je me suis alors demandé s’il existe un Dieu juste et bon, comment peut-il autoriser, laisser faire :

 

1)      Les grands génocides juifs (la shoah), arménien, …

2)      La maltraitance de parents contre leur enfant, jusqu’à leur torture et leur infanticide [5] (cas du calvaire de Marina [6], Enzo [7], Angèle [8], Yanis [9] [10] [11] [12] …). Dans ces cas-là, on observe souvent la passivité du voisinage. Comment se fait-il que la famille proche ne se rende compte de rien et n’intervienne pas ? Comment un enfant encore vulnérable peut-être détruit psychologiquement souvent à vie et que Dieu n’intervienne pas ?

 

Ces réflexions, que j’avais eu durant mon enfance, m’avaient conduit à devenir Agnostique [13].

 

Il y aurait des personnes qui commettent le mal, sans en avoir vraiment conscience (personnes amorales), et d’autres qui le commettent en toute conscience, souvent sciemment (personnes « immorales »).  Personne immorales : qui a conscience des notions de bien ou de mal, mais qui décident de ne pas en tenir compte, voire de les rejeter.

 

Au mot « immoralité », on peut peut-être aussi lui associer les mots suivants : corruption, cynisme, débauche, dépravation, dévergondage, dissolution, licence, lubricité, obscénité, vice, déloyauté [15].

Dans l’idée de moralité, il y a une notion sociale, plus exactement de respect de norme sociale. Il est possible que la « moralité » (la bonne) ne soit pas la même pour un musulman, un chrétien, un juif, un bouddhiste, un athée, un agnostique.

 

Voici quelques définitions sur l’immoralité et l’amoralité :

 

« L'amoralité est une absence, ou indifférence, envers la moralité.

La moralité chez les humains et les animaux non humains est un sujet de litige parmi les scientifiques et les philosophes. Si la moralité est intrinsèque à l'humain, alors les humains amoraux n'existent pas ou sont déficients dans leur humanité.  L'amoralité est un trait de la nature (la nature n'est pas morale. si un requin blanc ou une orque mange une otarie, on suppose qu'ils ne se posent aucune question morale sur le "meurtre" ou la tuerie de cette otarie). Si la moralité est extrinsèque à l'humanité [immanente ? Divine ?] alors des êtres humains amoraux peuvent exister et être pleinement humains, pouvant être amoraux par leur nature [folie, psychopathie génétique / innée ?] ou par choix [cas d'Hitler, qui aurait été influencé par la philosophie de Nietzche du surhomme et de la puissance ?].

Les animaux ont longtemps été considérés comme des entités amorales. Plusieurs animaux montrent un comportement analogue au comportement moral humain, comme se préoccuper des plus jeunes, protéger la famille, soigner un ami et partager les restes de la chasse. De manière générale, si ce comportement est une réponse volontaire à des normes éthiques [interne au groupe] alors les animaux ont une moralité; si les animaux suivent un instinct inné de manière involontaire alors ils sont amoraux » [16].

 

« Amoral : Qui est étranger à la morale. Qui est naturellement indifférent aux idées de bien et de mal. 

Exemples : a) César Borgia est amoral, c'est-à-dire anti-social; c'est [un] carnassier.

b) [cet être est] très naturellement persuadé que ce qu'il fait est bien parce que c'est lui qui le fait.

c) Un être amoral n'est pas simplement celui qui enfreint les règles morales, mais celui qui n'attache aucune importance à cette infraction, celui qui conteste ou ignore la valeur de l'impératif éthique. Leroux (Lal. 1968).

d) L'immoral va contre la morale avec une conscience plus ou moins claire de ce qu'il fait; l'amoral n'a pas conscience de l'existence des jugements moraux. Brunschwig (Lal. 1968) » [17].

 

« Qui est étranger à la morale, qui ne l’attaque ni ne la défend, qui se place en dehors d’elle.

Exemple : L’alcoolique est toujours immoral ou amoral ; mais, en dehors des alcooliques, il y a beaucoup d’amoraux, beaucoup d’êtres qui naissent amputés du sens moral. — (La Revue: Volume 69, 1907).

Qui est neutre par son refus de porter un jugement sur la nature morale ou immorale d’un fait » [18].

 

Certaines personnes ont, ce qu’on appelle, des « valeurs éthiques élevées », et un très beau « comportement moral », ce que d’autres appeleront « sainteté ». Par exemple, le Père Maximilien Kolbe n’hésita pas, à Auschwitz, à donner sa vie, pour sauver la vie d’un père de famille [19][20] (alors qu’il n’y était pas obligé et que sa vie était peut-être plus précieuse que celle de ce père de famille).

Nous connaissons le cas des « justes parmi les nations » (les « justes parmi les justes », « les Justes parmi les nations ceux qui ont mis leur vie en danger pour sauver des Juifs ».) [21], qui n’ont pas hésité à risquer leur vie, durant la seconde guerre mondiale, pour sauver la vie d’enfants juifs menacés d’extermination, comme Oskar Schindler, chef d’entreprise allemand des Sudètes, membre du parti nazi, et son épouse Émilie qui ont sauvé plus de 1 200 personnes en les faisant travailler dans sa fabrique d’émail et de munitions située en Pologne [28], Irena Sendlerowa, engagée avant la guerre dans l'Union de la jeunesse polonaise démocratique de gauche, qui sauva 2 500 enfants juifs, en les sortant clandestinement du ghetto de Varsovie [22] et qui malgré les tortures de la Gestapo qui la laissent infirme à vie (bras et jambes brisées), n’avouera rien sur son réseau Żegota. Elle dit avoir vécu selon les enseignements de son père qui affirmait que les gens devaient être divisés en deux catégories : les bons et les méchants, leur race, leur religion ou nationalité n'avaient pas d'importance d'après lui. L'antisémitisme a été pour elle extrêmement pénible à supporter et elle a donc participé naturellement à de nombreuses manifestations contre les discriminations des étudiants juifs à l'université de Varsovie [22].

Ou comme John Rabe, un homme d'affaires allemand, membre du parti nazi, qui s'efforça de protéger les habitants de Nankin lors du massacre de 1937 perpétré par les Japonais (alors qu’il n’y était pas obligé non plus) [23].

Ou comme les 7 adultes, tous déportés, qui s'étaient consacrés au sauvetage et à la protection d'enfants juifs et qui les encadraient, dans la colonie de vacances d'Izieu [24].

Ou comme Jean Moulin, qui, comme de nombreux résistants français, se batti contre la tyranie nazi, et qui mourra, sous les tortures de la Gestapo, sans livrer son réseau.

 

Je ne sais pas pourquoi l’on est souvent admiratif des gens courageux (qui arrive à surmonter leur peur souvent légitime, tout en gardant leur bon sens). Le courage n’est pas la témérité, l’aveuglement et le manque de prudence, à l’exemple de Charles le Téméraire, mort lors du siège de Nancy en 1477 [27].

En 1980 et 1982, je me suis rendu en URSS pour aider des dissidents soviétiques (les refuzniks). Je me croyais un héros. Lors du second voyage, j’ai été arrêté par le KGB. J’ai été alors pris par la peur la plus terrible et incontrôlable de ma vie, au point que j’aurais pu pisser dans mon froc. J’étais totalement dominé par cette peur toute puissante. Je n’ai réussi à m’en tirer (afin d’être libéré) uniquement parce que j’ai joué à l’homme le plus bête du monde. Cette douloureuse expérience, pour ma vanité, m’a appris que tout le monde n’est pas de la trempe de Jean Moulin. Et même si par la suite, j’ai tenté de m’entrainer pour m’endurcir et résister à la peur panique de la mort, je sais que je ne serais jamais Jean Moulin [29].

 

Quand j’étais jeune, vers 8 ou 9 ans, j’allais au catéchisme (catholique). On m’y avait appris à faire mon examen de conscience, chaque soir (en me posant la question de savoir si j’avais bien ou mal agi, au cours de ma journée). Idem avec l’Ordre Rosicrucien AMORC, dont j’ai fait partie entre 1980 et 1987, qui conseillait de consigner dans son journal personnel, mes questionnement éthiques sur son propre comportement.

 

A cause de mon éducation, j’ai très vite fait mienne la citation et philosophie « ne fait pas à autrui, ce que tu n’aimerais pas ce que l’on te fasse ».

Mais visiblement beaucoup de personne dans le monde ne font pas leur citation (et ne percute pas à sa lecture), comme les terroristes, les membres de DAECH, d’Al Qaida, pouvant torturer ou tuer, sans état d’âme, tous ceux qui ne sont pas musulmans sunnites. Pourquoi une partie de l’humanité rejette cette philosophie du respect de l’autre est une grave question éthique.

Peut-on cliver l’humanité entre ceux qui tentent à respecter les autres et ceux qui ne le font pas ?

 

Par moment, j’ai aussi tendance à diviser _ probablement d’une manière simpliste (?), je ne sais pas _, l’humanité entre :

 

a)       Personnes généreuses, solidaires, bienveillantes / bien intentionnées envers les autres, qui cherchent sincèrement le bien d’autrui (que certains appelleront les « bons »).

b)      Personnes égoïstes, égocentriques (égocentrées), malveillantes, indifférentes ou mal intentionnées envers les autres d’autrui (que certains appelleront les « méchants »).

 

Mais est-ce si simple que cela ?

 

Bien sûr la frontière entre les deux n’est pas si hermétique que cela, d’autant que les êtres humains peuvent évoluer au court du temps (suite à une conversion, une influence, un choc psychique, une maladie …).

 

La complexité de la notion de bien et de mal et ses répresentations déroutantes

 

Pour  Leibniz, Dieu a choisi le « meilleur des mondes possibles », en choisissant celui qui comporte le maximum de perfection et le minimum de défauts. Selon lui, le mal a deux aspects, il peut être actif ou passif, péché (acte volontaire, « mauvais », malsain) ou souffrance (ce que subit la victime, qui ne l’a pas recherché). L’Encyclopédie [de Diderot & al …] en expose en un long chapitre la complexité et l'ambivalence de la culpabilité, à la fois individuelle et collective, imaginaire ou réelle, normale ou pathologique, consciente ou inconsciente [1bis].

Encore faut-il supposé que Dieu (en particulier un Dieu juste et bon) existe. Pour certains, le mal est justifié, soit par ses mauvaises actions, soit, quand vous êtes, a priori, sans faute morale, par le fait, qu’il vous éprouve (« Dieu éprouve ceux d’ils aiment »). À l'inverse le philosophe Pierre Bayle ne pense pas que dans son « meilleur des mondes possibles », l'individu puisse être consolé de sa misère en apprenant qu'il y a un point de vue sous lequel tout est heureux. Pour lui rien ne permet de résoudre l'énigme absurde du mal, le mal ne saurait être expliqué, justifié [1bis].

 

L’auteur, agnostique, écrivait ce matin à un ami sur Facebook : « je ne crois ni à l'immanence divine, ni à la justice divine ou immanente (qui serait intrinsèque, consubstantiel à l'univers), à la providence divine. Ce sont pour moi des phénomènes d'illusions de la conscience, d'autosuggestion, on s'abuse soi-même. Selon mes conceptions, tous les prophètes, sans aucune exception, souffraient de troubles psychopathologiques, quand ils se croient spéciaux, "missionnés" par Dieu, dans le cadre d'une mission grandiose, quand ils sont convaincu, dans certains cas d’une façon aveuglante, de recevoir la parole surnaturelle de Dieu, en voix off, tombée du ciel. La possession ou sentiments prophétique, qui souvent inclut une dimension de toute puissance, n'est jamais vraiment éloigné de la psychose, ou de la schizophrénie, à moins que les visions divines du prophète soient liées à une épilepsie du lobe temporal (hypothèse avancée pour le cas de Mahomet). Il me semble qu’il y a une explication scientifique, nous permettant d'éviter le recours à l'irrationnel, à la croyance en toute intervention divine et surnaturelle ».

 

Toutes les religions, toutes les législations ont les mêmes interdits fondamentaux : tuervolermutiler (hormis à titre rituel) ou faire souffrirmentir, etc. Le Décalogue, avec ses « Tables de la Loi », est l'exemple type de ces interdits fondamentaux visant à réduire le mal dans l'humanité. Ces interdits, suivant les religions considérées, s'appliquent soit uniquement aux membres de la même religion (comme dans le cas de l’islam), soit universel à toute l'humanité (comme dans le cas du christianisme, du bouddhisme …) [1bis].

En pratique, certaines situations amènent pourtant à s'interroger : ne faut-il pas parfois admettre et même faire un mal, dans une conception utilitariste, pour éviter un mal plus grand ? Un meurtre pour éviter une guerre ? Une guerre pour éviter un génocide ? Une torture pour éviter un attentat (position du général Paul Aussaresses opposée à celle du lieutenant-colonel Jacques Pâris de Bollardière, durant la guerre d’Algérie) ? « Un bien présent peut être la source d'un grand mal ; un mal, la source d'un grand bien », Denis Diderot, Éloge de Richardson (1762) [1bis].

 

Hannah Arendt a montré à l'occasion du procès d'Eichmann dans son livre Eichmann à Jérusalem« comment tel système ou telle institution immunise ses membres contre la réalité de ce qui est commis et contre l'inhumanité de ses codes, et les rend complices de leur oppression mutuelle » [1bis] (un système qui induit la banalisation du mal et de la souffrance volontairement infligée à autrui).

 

Par ailleurs, le monde, qui nous entoure, peut-être aussi très trompeur, les « méchants » pouvant paraître bon, le contraire étant aussi vrai.

 

Un ami psychiatre, le Dr Henri Kerzan, me disait préférer un chef d’entreprise, sans scrupule, impitoyable, mais qui créé des milliers d’emplois et de la richesse (financière et en production de bien), à une Mère Teresa, qui ne vit que de dons, au crochet de la société et des âmes charitables. Pour lui, cet homme d’affaire ou chef d’entreprise (comme Steve Job) fait plus de bien que Mère Theresa [25] (à sa mort, avec sa congrégation des « Missionnaires de la Charité », qu’elle avait fondée, elle avait lancée 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d'accueil pour les personnes atteintes de maladies graves _ SIDA, lèpre, tuberculose).

 

Pour certains, ce qui compte est l’efficacité de l’action et son résultat, peu importe les moyens employés (même s’ils ne sont pas éthiques, selon les critères éthiques de notre société).

Pour certains « la fin justifie les moyens » (ou bien « on ne fait pas d’omelettes sans casser des œufs », selon Mao), alors que pour d’autres, de mauvais moyens corrompent le but ou la fin, aussi beaux que soient le but et la fin.

Certains déplorent que d’autres font le « bien », uniquement par vanité, par calcul (politique …), par hypocrisie (à leurs yeux la « bonne action » alors corrompu moralement, perd de sa « valeur », même si le bénéficiaire n’en a pas conscience et en est heureux).

 

Je me souviens d’une personne, haïssant l’action humanitaire, qui me crachait « l’humanitaire, bullshit ! », sous-entendu, « l’unique but de l’humanitaire est d’avoir bonne conscience » (ou pour se faire bien voir, ou parce que cela fait « mode », comme dans le cas du militantisme pro-tibétain, à cause, par exemple, de la figure sympathique ou exotique du Dalaï-lama), à l’exemple de « l’humaniste bobo, qui est celui qui sort de son immeuble, enjambant le SDF, pour aller faire de l’humanitaire sur tous les continents », ou comme « la philanthrope ou la bonne dame patronnesse, affirmant avec fierté « j’ai mes pauvres » » [26].

 

« Dans une conférence fameuse sur la politique, le sociologue allemand Max Weber écrit que «toute activité orientée selon l’éthique peut être subordonnée à deux maximes totalement différentes et irréductiblement opposées ». D’un côté, « l’éthique de conviction » repose sur le principe kantien du devoir : il faut agir en fonction de principes supérieurs auxquels on croit. De l’autre, « l’éthique de responsabilité » relève de la philosophie conséquentialiste [qui agit en fonction des risques des conséquences de ses actes] : il faut agir en fonction des effets concrets que l’on peut raisonnablement prévoir. Bien sûr, précise le sociologue, « cela ne veut pas dire que l’éthique de conviction est identique à l’absence de responsabilité et l’éthique de responsabilité à l’absence de conviction. » Néanmoins, face à une décision politique engageant des choix éthiques, l’une ou l’autre de ces positions prévaut : « Lorsque les conséquences d’un acte fait par pure conviction sont fâcheuses, le partisan de cette éthique n’attribuera pas la responsabilité à l’agent, mais au monde, à la sottise des hommes ou à la volonté de Dieu qui a créé les hommes ainsi. Au contraire, le partisan de l’éthique de responsabilité comptera justement avec les défaillances communes de l’homme et il estimera ne pas pouvoir se décharger sur les autres des conséquences de sa propre action pour autant qu’il aura pu les prévoir. » Homme de conviction, Max Weber penche cependant vers l’éthique de responsabilité. » [31].

Selon Max WEBER « Le chrétien fait son devoir et en ce qui concerne le résultat de l’action il s’en remet à Dieu » s'oppose à « Nous devons répondre des conséquences prévisibles de nos actes. ».

Selon Fichte, on n’a pas le droit de présupposer la bonté et la perfection de l’homme [30].

Donc, certains font leur, « l’éthique de responsabilité », pour justifier leur critique acerbe de l’attitude de Charlie Hebdo, quand cette revue critique Mahomet et la religion musulmane, au nom de la primauté de l’éthique des droits de l’homme (que justement les islamistes rejettent avec acharnement) [31].

 

A à cause des mesures de rétorsions effroyables des nazis, lors des attentats terroristes des partisans, des « voix de raison » (éthique de responsabilité) appelaient les résistants, à ne pas résister, afin d’éviter d’attirer les terribles foudres des nazis (les fusillades d’otages pris au hasard, en mesure de rétorsions aux attentats des résistants).

Mais cette attitude attentiste (de 90% des Français) n’est-elle pas une certaine forme de lâcheté ? Peut-on vivre éternellement dans la domination, l’arbitraire, la spoliation de ses biens, les menaces de massacres, dans le manque de dignité ? « Si le prix de la soumission est exorbitant, la valeur de la liberté est inestimable », selon Karim Akouche.

« Le monde est dangereux non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire » ou « Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, et par ceux qui les regardent sans rien faire » (Albert Einstein).

Martin Luther King disait à ce sujet de cette attitude « Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants, mais l'indifférence des bons ».

Le Pasteur Martin Niemöller, interné dans un camp de concentration pour avoir protesté contre le sort fait aux juifs, lui-même, écrivait, pour dénoncer la lâcheté de la majorité des Allemandes :

 

« Quand les nazis sont venus chercher les communistes,

je n’ai rien dit,

je n’étais pas communiste.

Quand ils ont enfermé les sociaux-démocrates,

je n’ai rien dit,

je n’étais pas social-démocrate.

Quand ils sont venus chercher les syndicalistes,

je n’ai rien dit,

je n’étais pas syndicaliste.

Quand ils sont venus me chercher,

il ne restait plus personne

pour protester. »

 

« Le silence, c’est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs. Et si tu parles, tu meurs. Alors dis et meurs ». Telle est la devise de Tahar Djaout face à l’intimidation islamiste au début des années 90. Djaout fut assassiné le 26 mai 1993 à Alger.

 

La raison d’État est le principe au nom duquel un État s'autorise à violer le droit au nom d'un critère supérieur.  doit être entendue comme une rationalisation à l'extrême de pratiques politiques et guerrières. Elle a souvent pour but d'assurer la conservation et la pérennité de l’Etat (voire de ses « serviteurs »). Elle est vue comme une justification du pouvoir despotique par certains, elle est montrée comme une transgression judiciaire nécessaire à la survie d'un gouvernement, donc d'un peuple, par d'autres.

Selon, Machiavel, Gabriel Naudé7, et autres auteurs similaires, l'action politique s'affranchit de la morale pour constituer une sphère autonome.

Selon Max Weber « Machiavel aurait inventé la raison d'État, sans la nommer, avec cette formule : « Il faut donc qu’un prince qui veut se maintenir apprenne à ne pas être toujours bon, et en user bien ou mal, selon la nécessité. » » [35] [36].

Le groupe cimentier Lafarge a financé et payé des taxes à Daesh pour pouvoir continuer à travailler et sauver sa cimenterie, en Syrie (ce cimentier semble avoir suivi le principe de pragmatisme ou de réalité à opposer à l’éthique de conviction).

Selon l'ex-directeur général adjoint opérationnel de Lafarge, Christian Herrault, "La seule gestion de Lafarge était une gestion financière en dehors de tout critère humanitaire : le groupe n'a pas hésité à mettre en danger l'intégrité physique de ses salariés et à les exposer au pire", a déploré Me Dosé, l’avocat des employés mis en danger par leur employeur [37] [38].

Hugo Boss, IG Farben, Krupp … ont collaboré avec les nazis, la CTR, la Computing-Tabulating-Recording Company, qui devient IBM en 1922, a été un fournisseur très zélé du IIIe Reich.

 

Au contraire, les lanceurs d’alerte [39] _ qui, au nom de leur éthique de conviction et ayant connaissance d'un danger, un risque ou un scandale, adresse un signal d'alarme [auprès des institutions politiques, judicaires, des médias] et, ce faisant, enclenche un processus de régulation, de controverse ou de mobilisation collective _ pensent faire le bien pour leur pays voire pour toute l’humanité.

Selon les partisans de la raison d’état, ces lanceurs sont coupables, en tant que traitre aux intérêts immédiats de l’état, de leur pays [ou bien, ils sont perçus comme des naïfs et des irresponsables].

Selon les partisans de l’éthique de conviction, ce sont des héros courageux. Pour certains, pour éviter la corruption et la décadence des mœurs d’un pays, ou/et pour gagner une guerre, sur le long terme, ce pays doit adopter l’éthique la plus élevée possible [dont le fait de respecter strictement son état de droit], afin de préserver l’image morale de son pays, et se faire respecter par ses citoyens.

Pour le lanceur d’alerte, Edgard Snowden, la NSA outrepasse ses droits en espionnant, via leur téléphone ou Internet, tous ses concitoyens, les dirigeants politiques des pays amis.

Idem pour le soldat Chelsea Manning qui estimait que l’armée américaine n’avait pas à cacher ses bavures et exactions en Irak (même si momentanément, ces révélations peuvent « salir » momentanément l’intervention des USA en Irak, et l’images des USA dans le monde).

 

Ces deux derniers lanceurs d’alerte devaient suivre une éthique d’honnêteté, contrairement à Hitler, Joseph Goebbels, de grands joueurs cyniques pour qui le mensonge, la propagande, la désinformation, la guerre totale [avec tout ce qu’elle entraine en moyens, massacres « totaux », extrêmes], le coups de bluffs, les coups de dé, sont des moyens comme d’autres, pour atteindre, le plus rapidement possible, des / leurs buts politiques (Selon une citation [apocryphe ?] de Joseph Goebbels : « Plus le mensonge est gros, plus il passe. Plus souvent il est répété, plus le peuple le croit ... ». Carl Von Clausewitz, officier général et théoricien militaire prussien, dans son ouvrage « De la guerre », soutient, sans état d’âme, que « La guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens »].

Selon la citation [apocryphe ? ] de m'anthropologue américaine, Margaret Mead : "Ne doutez jamais qu'un petit groupe de personnes peuvent changer le monde. En fait, c'est toujours ainsi que le monde a changé." [sous-entendu "même si les raisons ou intentions sont mauvaises"]. Et d’ailleurs contrairement à thèse marxiste des masses qui font l’histoire, il semble que des hommes clés, à un moment clé dans l’histoire, entouré d’hommes déterminés, portés par un message fort, une organisation, peuvent changer profondément le cours de l’histoire (tel Hitler, Lénine, Mahomet, Jésus, Napoléon, …).

 

Certains, dans le cadre de leur éthique de conviction, sont « objecteur de conscience », refusant toute guerre, tout service militaire, afin d’éviter à avoir à tuer un être humain, d’autres sont végétariens, végans, pour éviter de tuer ou de faire souffrir une vie animale, car douée de conscience et de sensibilité [32].

Selon les adeptes de la religion indienne jaïniste, tout vie doit être protégée. Ils croient en une interdépendance des êtres vivants et une obligation de s'aider mutuellement. Il leur est important d'être végétarien pour éviter d'être source de violence envers les jiva (vies, êtres vivants). la viande est considérée comme une source infinie de violence, de maltraitance (la maltraitance suprême étant le fait de tuer), et est rejetée totalement en tout premier lieu. Et de manière plus générale, le jaïnisme encourage vivement à un mode de vie végan. Les jaïns excluent également de leur alimentation toute production d'origine animale (le miel, les œufs ...), ainsi que les légumes et végétaux ayant des racines dans le sol afin d'éviter de tuer des vers de terre en les arrachant, mais aussi parce que consommer une racine induit de tuer la plante entière, la non-violence s'appliquant aussi envers les végétaux. Ils vont jusqu'à soigner les pigeons urbains, dans leurs cliniques pour animaux cabossés [34] et à porter un masque sur la bouche et le nez, pour éviter d'avaler les insectes. L'important, pour eux, pour ne pas accumuler du [mauvais] karma, est de respecter en ce monde toutes les formes de vie [33].

 

Certains font le « bien », voire sont bienveillants, par devoir éthique (intransigeant, strict, inflexible ?), sans nécessairement éprouver de la compassion pour autrui (en étant même « dur de cœur » ?). D’autres sont spontanément bienveillants, solidaire, par une profonde compassion spontanée, sans qu’aucune réflexion éthique ou philosophique conduisent leurs actes.

Certains feraient le « bien » en raison d’une éducation culpabilisante (c’est d’ailleurs le reproche que le philosophe Nietzche fait au christianisme).

 

Les racines du mal profond

 

Les génocides et tueries de masse :

 

Selon l’ouvrage « L’histoire inhumaine » de Guy Richard, les êtres humains ont commis des génocides depuis le néolithique jusqu’à maintenant [40][40bis].

 

Le plus connu est le génocide des Juifs (la shoah), plus de 6 millions de morts, un massacre planifié, perpétré d’une façon indutrielle, par les nazis, via essentiellement les chambres à gaz [50][51][52][53][54][55].

Dans la foulée de ce génocide, a été aussi commis, par les nazis, le génocide des tziganes (500.000 morts), associé à des persécutions (Porajmos) [56][57].

Ensuite, le génocide arménien, plus de 1,5 millions de morts, commis par les Turques (l’empire ottoman et le mouvement Jeunes Turcs) [58][59].

 

Le génocide des Indouhistes et les Bouddhistes :

 

Mais le plus important génocide et le plus caché, à été le génocide perpétré par les armées musulmanes, contre les Indouhistes et les Bouddhistes, en Inde et le Nord de l’Inde (plus de 80 millions de morts) [60] à [69] :

 

« Les Sultans Bahmani, qui gouvernaient en Inde centrale, s’étaient fixé de massacrer 100 000 hindous par an et semblent s’y être tenus », explique François Gautier, ancien correspondant en Inde du Figaro et de Marianne, dans « Un autre regard sur l’Inde », édition du Tricorne – Genève 2000 [60].

Le Professeur Kishori Saran Lal dans son livre « La Croissance de la Population musulmane en Inde » [61] estime qu’entre les seules années 1000 à 1525, 80 millions d’hindous furent tués, (sans parler des famines et autres calamités naturelles engendrées par la guerre), « sans doute le plus grand holocauste de l’histoire de l’humanité », affirme-t-il.

Et les propos du professeur Lal, dont la position de Directeur des recherches historiques du Conseil de l’Inde (ICHR) et membre du Comité du Conseil national de l’éducation et de la recherche de l’Inde (NCERT) attestent de sa respectabilité, sont confirmés par de nombreux historiens, tels Alain Daniélou, Will Durant, Sitaram Goel, ou Konraad Elst.

Des villes entières furent brûlées et leurs populations passées au fil de l’épée. Chaque campagne successive fit des dizaines de milliers de victimes et des millions de femmes et d’enfants furent emmenés en esclavage. Chaque nouvel envahisseur bâtissait littéralement sa montagne de crânes hindous."

La région de l'Hindou-Kouch, signifiant littéralement "tue les Hindous", était visiblement aussi le lieu de passage par lequel les musulmans faisaient transiter les esclaves hindous. Ce sont des montagnes froides et hostiles, et les esclaves survivaient rarement au voyage.

Ainsi la conquête de l’Afghanistan en l’an 1000 fut suivie par l’annihilation de l’ENTIÈRE population hindoue / bouddhiste de cette région. Le royaume bouddhiste afghan de la Bactriane fut totalement annihé.

Tamerlan (ou Timour ou Timur) fut le premier conquérant musulman et boucher massacreur de masses d'Hindous [85]. Il a eu des suiveurs, mais il y a eu aussi l'inverse, notamment l'Empereur musulman moghol Akbar, qui était ouvert et tolérant.

Ces génocide puis la guerre civile et la partition de l'Inde, avec la constitution de nations ennemies et, à l'intérieur de l'Inde, d'une communauté de personnes dont la religion estime que les Hindous  _ qui ne sont pas protégés de la pleine violence islamique car ils ne sont ni Juifs, ni Chrétiens _, doivent être annihilés s'ils ne se convertissent pas à l'Islam (raisons pour lesquelles Tamerlan (ou Timur) et d’autres empereurs Moghols ont massacré des Hindous à tour de bras), font que bien des Hindous ne portent pas dans leur coeur l'Islam et ceux qui l'incarnent (tels les convertis …), au regard de ce que l'Islam a fait à leur peuple et à leur pays... Dans l’islam, les polythéistes [associateurs] _ tels que sont considérés les Indouhistes, les Bouddhistes, par les musulmans _ ne peuvent « bénéficier » du statut de dhimmi (c'est-à-dire d’être protégé, en « échange » du paiement d’une taxe, la djizîa,impôt du dhimmi [82]. Dans l’islam, la punition de l’associateur (shirk), de l’association / du polythéisme est la mort [86], sauf si’il se converti à l’islam).

Et sans nécessairement légitimer leur sentiment, cela peut expliquer qu’il y a maintenant des mouvements bouddhistes violemement anti-musulmans, au Sri Lanka, en Birmanie [71].

 

Tous comme le Djihad, les croisades chrétiennes ont aussi causé des massacres (minimisés ou exagérés selon la propagande des adversaires en présence) :

a) massacres de Jérusalem Le bilan varie selon les sources : pour les chrétiens, 10 000 morts, pour les musulmans, 70 000 [153],

b) massacres cannibales, lors du siège d’Antioche (aucune estimation) [154].

 

Lors du massacre de Nakin (en Chine), il a été établi, par le tribunal militaire international pour l'Extrême-Orient, que l’armée japonaise commis 200 000 morts  chinois, tandis que les chiffres officiels chinois avançaient celui de 300 000 morts, et les historiens japonais entre 40 000 et 200 000 morts [77].

 

La révolution française a commis de terribles massacres en Vendée, en 1793 à 1796 [89][90][91][92].

 

Entre avril et juillet 1994, quelque 800 000 hommes, femmes et enfants, principalement Tutsis, ont été massacrés au Rwanda [99][100].

 

Les différentes colonisations (allemandes, anglaises, françaises, portugaises, belges …) ont commis aussi des massacres, lors de répressions, de « pacifications », qui se sont caractérisées par des réactions disproportionnées par rapport aux faits commis par les colonisés, ayant justifié cette répression (massacre des Héréros et des Namas, en Namibie [93], massacre de Sétif, en Algérie [94], massacre de Massacre de Thiaroye, au Sénégal [95], la répression de l’insurrection de 1947 à Madagascar [96][97]  …).

 

Certains êtres humains initient, organisent ou bien sont des exécutants zélés du génocide et même contribuent à l’agraver, comme Adolf Eichmann [83], Heinrich Himmler [84].

Certains conquérants semblent avoir aimer massacrer à grande échelle, comme Tamerlan ou Timour [86], Gengis Khan [87], le premier empereur de Chine, Qin Shi Huang [88].

 

Mahomet n’hésita pas, lui-même, à cautionner ou valider des massacres de 500 à 600 (ou 600 à 900) membres mâles pubères de la tribu Banu Qurayza par les troupes musulmanes [101][101a] à [101k].

Les Banu Qurayza furent considérés coupables d'avoir rompus le Pacte de Medine, pris le parti des assiégeants, de les avoir soutenus et aidés ; c'est ce que laisse entendre le terme zaharuhum dans le verset 26 de la sourate XXXIII [101a]. Pourtant lui-même ne respectait pas les pactes et traités. Par exemple :

 

a)       Mahomet n’hésita pas  à envoyer quelques hommes piller, pendant la trève sacrée du mois de Rajab, en mai 628 (semble-t-il), une caravane venant de Syrie en direction de la Mekke [116]. Alors que pourtant ce mois est un mois de trève sacré pour Mahomet et le Coran [119][120].

b)      Mahomet avai conclu une entente, en 628, avec la tribu de Quraysh qui contrôlaient la Mecque, sa ville natale. Appelé traité de Hudaybiya, du nom de la ville où il fut signé, il avait conclu que les deux parties : « ont convenu de supprimer la guerre pendant dix ans. Pendant ce temps, les gens sont en sécurité et nul ne peut mettre la main sur un autre. . . . Entre nous, on doit s'abstenir de se faire du mal, et il n'y aura pas de pillage ou de spoliation. ». Or en janvier 630, soit seulement deux après la signature du traité, Mahomet attaqua la Mecque. En réponse, Quraysh a envoyé une délégation à Muhammad, faisant une pétition pour maintenir le traité, et en offrant (comme c'était la mode arabe) une compensation matérielle pour la vie des hommes morts [118]. Mais Muhammad [...] a rejeté toutes les propositions de Quraysh. Les interprétations du déroulement des faits est très différentes selon qu’on est musulman ou historien occidentaux [117a] à [117h] [119].

 

Mahomet (lors de la rupture du traité de Hudaybiya), tout comme Hitler (lors de la rupture du pacte Germano-soviétique), n’ont pas hésité rompre un traité, pacte, entente …), si cela pouvait les faire gagner, le tout étant de garder les apparences sauves et de ne pas paraître déloyal (ce genre de procédé a été très fréquent dans l’histoire).

 

Mahomet [102a][102b], Staline (par exemple, lors du massacre de Katyń [103], lors des Grandes Purges [107][108] …), Hitler (par exemple, lors de la Nuit des longs couteaux [104] …), Lénine (par exemple, lorsqu’il ordonna l’assassinat de la famille impériale russe [105], par la création du goulag [106] …) n’hésitèrent pas à initier des assassinats politiques pour éliminer toute oppositions.

Hitler (sur la suggestion de Reinhard Heydrich), via une forfaiture, n’hésita pas à manipuler Staline afin de le pousser à décapiter l’état major de l’armée soviétique, en commençant par le méréchal Mikhaïl Toukhatchevski [109][110]. Staline a initié un grand nombre de procès politiques _ les procès de Moscou, les grande purges _, sur de falacieux prétextes, pour éliminer toute opposition.

 

Si Mahomet a autorisé l’assassinat de plus de 500 membres mâles et la mise en esclavage de toutes les femmes de la tribu des Banu Qurayza, s’il a commandité 42 assassinats politiques (i.e. « religieux »), il n’est pas improbable qu’il ait pu rompre des traités, au moment importun, quand il était en position de force, ) en utilisant le prétexte adéquat et crédible.

 

Les exemples de forfaitures et de traitrises, d’accusations prétextes ou de fausses accusations sont nombreux, dans l’histoire : a) la décapitation de l’ordre des templier par le roi Philippe IV Le Bel, afin de pouvoir faire main basse sur ses richesses [145][146], b)  la capture, par le conquistador Hernán Cortés, de l'empereur aztèque Moctezuma, pris comme otage pour se prémunir d'une révolte aztèque et pour obtenir le maximum d’or de sa part (Moctezuma est ensuite tué dans des conditions obscures) [141], c) en digne émule d'Hernán Cortés alors que l'entrevue aurait dû se faire sans armes, le conquistador Francisco Pizarro se saisit de l’empereur inca, Atahualpa, par surprise, au prix d'un grand massacre, puis exige de ses fidèles beaucoup d’or, pour le libérer, enfin le fait exécuter après un procès expéditif, pour éviter un soulèvement [142], d) l'évêque Pierre Cauchon, l'ordonnateur du procès de Jeanne d'Arc à Rouen, à la solde des Anglais, faisant semblant de ne pas entendre les appels répétés de Jeanne au pape, alors qu'en avait pourtant le droit, selon le droit médiéval de l'époque, permettant à ce que Jeanne soit condamné à perpétuité puis au bucher ensuite [143][144], e) la reine Dihya ou Kahina ou Kahena, reine guerrière berbère ayant combattu les Omeyyades, lors de la conquête musulmane du Maghreb au VIIe siècle, dont la défaite de ses troupes serait en partie due à la trahison de Yazid, jeune captif arabe que Kahina avait épargné à la bataille de l'Oued Nini, celui-ci aurait tenu une correspondance secrète avec Hassan pour le tenir au courant des mouvement des troupes berbères [147], f) l’assassinat du légat du pape, servant de prétexte à une croisade des Albigeois [151], particulièrement meurtrière, en particulier lors du massacre de Béziers [151] etc.

 

Mahomet a, quand même, conduits 49 expéditions, raids militaires et razzias, faisant souvent de nombreux morts [132]. Il y a 24 batailles de conquêtes et d’invasions, dont 14 sous le commandement direct de Mahomet et 10 sous le commandement de ses compagnons de batailles [140][140bis].

 

Aux génocides ont souvent été associées, diverses exactions, campagnes de tortures, et campagnes de viols de masse planifiées, les viols étant alors utilisés comme arme de guerre et instrument de torture, utilisé contre les hommes aussi bien que les femmes [111][114] : a) employée en Bosnie, b) par les armées serbes, croate etc. [113], c) aussi systématiquement par les armées de Barchar Al Assad, en Syrie [115], d) ar l’armée soviétique, contre les femmes allemandes en 1945 [112], e) durant la révolution libyenne de 2011, des viols de masse perpétrés notamment par les armées et les affidés du régime de Mouammar Kadhafi [111], f) en RDC (Nord Kivu [114])  … Le viol est une arme d’autant plus efficace dans les pays de culture musulmane, que la femme violée y est source de honte et est ensuite rejetée par sa propre famille.

 

Peut-on considérer les bombardements atomiques de Hirochima et Nagazaki comme des génocides ? Elles ont fait quand même 250.000 morts chez les Japonais [135].

Pour le président américain Trumann, c’était un moyen d’économiser entre 500.000 et 1 millions de morts parmi les soldats américains.

Ces attaques étaient-elles justifiées, sachant que la guerre USA et Japon était totale ?

 

La répression du soulèvement de Jeju, en Corée du Sud, d'avril 1948 à mai 1948, a coûté la vie à 14 000 ou 60 000 personnes sur une île qui comptait à l'époque 300 000 habitants [155].

 

Sinon, certains attaques avec des bombes incendiaires ont aussi créé des tempêtes de feux très meurtrières, causant des dizaines de milliers de morts, comme à Dresde [137] (25 000 victimes estimés), à Hambourg [138] (45.000 morts) et surtout à Tokyo [136] (plus de 100.000 victimes).

 

Le négationisme des génocides

 

Malgré des centaines de preuves de ces génocides, scientifiquement inconstestables, certains s’acharnent pourtant à les nier, n’hésitant pas, dans certains cas, à falsifier sciemment les faits (attitude que l’on appelle le négationnisme [72] ou révisionnisme [73]), comme dans le cas de :

 

a)       La Shoah [74][75].

b)      Du génocide des Hindous et Bouddhistes par les armées musulmanes [60][70].

c)       Du massacre de Nakin [77].

d)      Du génocide arménien [78][80]. L’état turc nie farouchement ce génocide, depuis plus d’un siècle, et même condamne judiciairement toute personne qui évoque ce génocide [78][79][80][81].

 

Pourquoi cet archarnment à falsifier l’histoire ?

 

Mais par contre, curieusement, les érudits musulmans ne remettent pas en cause l’authenticité du massacre des Banu Qurayza, validé par Mahomet.

 

L’esclavage

 

L'esclavage [122] a été pratiquée, quasiment partout sur terre (de maniere massive), par la plupart les grands empires de l'histoire : Romain, Perse, Greque, Byzantin,  Ottoman,  Chinois,  Inca. Maya, Aztèque,  Espagnol,  Portuguais,  Hollandais,  etc.  par de grands états comme les USA, par des pays comme la France, la Grande-Bretagne etc.

 

Il est fréquent au cours de l'Histoire que la réduction en esclavage soit le sort réservé aux prisonniers de guerre. Cette dernière est ainsi souvent un facteur de recrudescence de la pratique esclavagiste. En atteste l'afflux d'esclaves à Rome à la suite de ses différentes campagnes militaires victorieuses (guerres puniquesguerre des Cimbresguerre des Gaules8) ou le maintien de l'esclavage dans la péninsule ibérique à la suite des luttes que se livrent Arabes et chrétiens du VIIIe au XVe siècle. Dans la période contemporaine, la guerre du Darfour est un exemple des liens que peuvent entretenir esclavage et conflits guerriers. Les razzias, pratiquées par Mahomet, les musulmans, les pirates (barbaresques …) ou au nom d'une entité politique, sont un autre moyen d'approvisionnement en marchandise humaine [122].

 

Ponctuellement condamné depuis l'Antiquité (par des autorités morales et parfois politiques), et plus récemment interdit par les différentes déclarations des droits de l'homme, l'esclavage a mis longtemps avant d'être aboli. L'esclavage humain est aujourd'hui officiellement interdit (via par exemple le pacte international relatif aux droits civils et politiques) mais le travail forcé, la traite des êtres humains, la servitude pour dettes, le mariage forcé et l'exploitation sexuelle commerciale sont les formes modernes de l'esclavage [122].

 

En Afrique , il y a eu 4 types de traites, dont trois négrières [128] :

 

Les traites négrières, elles, ne concernent que les Africains noirs.

 

1 - La traite trans-saharienne, arabo-musulmane  (14 siecles - 17 millions d'esclaves déportés vers le nord et l'est, vers le monde arabo-musulman) [121] [125][126][127] [128].

 

2 - La traite atlantique ou commerce triangulaire (entre l’Europe, l’Afrique et l’Amerique).  La plus connue.  3 siècles en tout (315 années, 20.528 voyages).  11 millions d'esclaves [124][124bis]. 

 

Des rois africains n’hésitaient pas à vendre aux commerçants négriers blancs, des noirs capturés lors de razzias, en échange de vêtements, lunettes, bimbeloteries ... et surtout des armes à feu, favorisant le pouvoir militaire de leur royaume [134].

Le royaume du Dahomey (1740-1880), un État régional important, a été un lieu majeur de la traite des esclaves atlantique, fournissant peut-être jusqu'à 20 % des esclaves en Europe et en Amérique. Sa puissance était basée sur le commerce des esclaves [132].

 

Ensuite est venue le colonialisme, durant 2 sècles (causant un asservissement différent de celui de l'esclavage, mais par moment esclavagiste, au Congo belge, au Congo Français, imposant la corvée dans toutes les colonies et une inégalité de droits entre colons et « indigènes » (que certains dénommeront « apartheid »).

 

3 - La traite trans-africaine.  Les africains se sont aussi vendus entre eux [134].  Son ampleur est très difficile à évaluer [131].  

 

En Afrique occidentale, les trois plus importants empires du Moyen Âge, l'Empire du Ghana (ixe - xie siècles), l'Empire du Mali (xiiie - xve siècles) et l'empire songhai (xve - xvie siècles) ont tous pratiqué l'esclavage à des degrés divers. Elle a existé au royaume de Dahomey [130]. Il y avait de nombreux esclaves noirs, mais aussi des blancs achetés aux marchands arabes qui circulaient à travers le Sahara ou qui étaient implantés en Afrique occidentale. Au xie siècle, le géographe andalou El-Bekri évoque des esclaves blancs et des esclaves noirs dans le royaume d'Aoudaghost. Dans l'Empire de Ghana, l'or était extrait par des esclaves [131] [133] [134].

 

4 - La traite méditéranéenne. en  mer Méditerranée occidentale, où les pirates, en particulier ceux de la côte des Barbaresques, capturaient, pendant des siècles, des européens (principalement dans les îles : BaléaresCorseSardaigneSicileCrète…), qu’ils mettaient en esclavages (entre 1 et 2 millions). Les femmes blanches très appréciée étaient vendues à prix d'or.  Alger, Tunis et Tripoli, ex-colonies turques, servaient de base arrière à cette traite méditéranéenne barbaresque (maure) [131]. 

 

Tout les chiffres fournis ici ou ailleurs, par les Historiens, sont a prendre avec beaucoup de precaution.  Car Il y a des chiffres, circulant sur le net, destinés à satisfaire les convictions et intérêts politiques, des uns et des autres. Les chiffres présentés (approximatifs) ici sont ceux des historiens européens et africains. 

 

En fait, personne ne connait les chiffres réels.

 

La négation de l’esclavage en terre d’islam et justifié par l’islam :

 

Voici ce qu’écrivait un musulman « L'Islam a adopté une attitude ferme contre les esclavagistes. A ce propos, Allah le Très Haut dit dans un hadith Qodsi (Divin) : «Au jour de la Résurrection, je serai l'adversaire de trois personnes. Et quiconque est mon adversaire sera vaincu. Parmi les trois personnes, Il a cité un homme qui a vendu une personne libre et utilisé son prix.» (Rapporté par El-Boukhari) ».

 

Ce que dit le Coran sur le statut des esclaves :

. « Dieu a favorisé certains d’entre vous plus que d’autres dans la répartition de ses dons. Que ceux qui ont été favorisés ne reversent pas ce qui leur a été accordé à leurs esclaves au point que ceux-ci deviennent leurs égaux. Nieront-ils les bienfaits de Dieu ? » (Sourate 16 : 71)

. « Il vous a proposé une parabole tirée de vous-même. Avez-vous, parmi vos esclaves, des associés Qui partagent les biens que nous vous avons accordés. En sorte que vous soyez tous égaux ? Les craignez-vous, comme vous vous craignez mutuellement ? » (sourate 30 : 28)

. « Ô vous qui croyez ! La loi du Talion vous est prescrite en cas de meurtre : l’homme libre pour l’homme libre, l’esclave pour l’esclave, la femme pour la femme (…) » ( sourate 2 :178)

. « A l’exception des hommes chastes, qui n’ont de rapports qu’avec leurs épouses et avec leurs esclaves [ou captives de guerre], ils ne sont donc pas blâmables, tandis que ceux qui en convoitent d’autres sont transgresseurs. » (Sourate 70: 29-31)

. « Bienheureux sont certes les croyants, ceux qui sont humbles dans leur Ṣalāt, qui se détournent des futilités, qui s’acquittent de la Zakāt, et qui préservent leurs sexes [de tout rapport], si ce n’est qu’avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent, car là vraiment, on ne peut les blâmer » (Sourate 23 : 1 à 6)

. « 23. Vous sont interdites parmi vos femmes, mère, soeurs, tantes […] 24. Et, parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. Prescription d’Allah sur vous! A part cela, il vous est permis de les rechercher, en vous servant de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. Puis, de même que vous jouissez d’elles, donnez-leur leur mahr comme une chose due. Il n’y a aucun péché contre vous à ce que vous concluez un accord quelconque entre vous après la fixation du mahr. Car Allah est, certes, Omniscient et Sage » (Sourate 4 : 23 à 24) [148].

 

Mahomet a détenu des esclaves noirs, comme dans cet exemple : « Raconté par 'Umar: Je suis venu et voici, l'apôtre d'Allah était dans une Mashroba (chambre mansardée) et un esclave noir de l'apôtre d'Allah était au sommet de son escalier. Je lui ai dit: "(Dites au Prophète) que voici 'Umar bin Al-Khattab (demandant la permission d'entrer)." Puis il m'a admis » (Sahih al-Bukhari, Book 91, Hadith 368).

 

Ce qui est curieux est que le degré de dénonciation de ces esclavagismes n’est pas le même selon ces types d’esclavagismes. Et qu’il est souvent contesté quand on parle de l’esclavage en terre d’islam.

 

L’esclavage existe encore en 2017 :

 

Il reste encore 4 % de la population qui est esclave en Mauritanie, selon le Washington Post, pour un total mondial de 21 millions de personnes, en décembre 2017. En divisant les diverses nations du monde en plusieurs strates, voici la liste des pays esclavagistes ou non (+ ou –  indique l’amélioration ou la détérioration de la situation depuis 2013) Par exemple, les pays à plus de 0,75 % d’esclaves sont : Mauritanie (4 %), Haïti (2,1 %), Pakistan (1,2 %), Inde (1,1 %), Moldavie, Sénégal, Gambie, Sierra Leone, Côte d’Ivoire, Togo, Gabon, Népal et Laos [129].

 

Les sacrifices humains

 

Un sacrifice humain est un rite religieux qui a été pratiqué dans la plupart des civilisations1, notamment au Néolithique et durant l'Antiquité, le plus souvent pour s'attirer les faveurs des dieux, par exemple pour conjurer la sécheresse, ou pour que les personnages importants tels que les souverains soient accompagnés dans l'au-delà par les sacrifiés1.

Attesté en particulier en Mésoamérique, où le sacrifice par cardiectomie était pratiqué de manière très courante et parfois à très grande échelle (lors de certaines occasions exceptionnelles, les Aztèques ont sacrifié jusqu'à des milliers de personnes en quelques jours), ce type de pratique se retrouve dans d'autres civilisations comme celles de l'Antiquité méditerranéenne, dans la Chine archaïque jusqu'à la dynastie Shang2, chez les Dogons en Afrique3 et même à l'époque contemporaine, dans le nord-est de l'Inde et dans le royaume de Dahomey [150].

Ils sont été pratiqués partout dans l’Antiquité (Celte, Egypte, Grèce, Etrurie …), en Méso-Amérique, au moyen-âge (Vikings …) jusqu’au haut moyen-âge.

Pour Vincenzo Formicola, le sacrifice humain apparaît dès le paléolithique, à SungirDolni Vestonice (Moravie), à Romito (Italie, il y a 11.000 ans). Cependant le sacrifice humain paraît mieux établi au néolithique, par exemple au Soudan [150].

 

Le cannibalisme

 

L'expression s'applique à la fois aux animaux qui dévorent des membres de leur groupe (cannibalisme animal) et aux êtres humains qui consomment de la chair humaine (cannibalisme et/ou anthropophagie), et dont la finalité est de s'approprier les qualités de la victime (le cannibalisme comporterait plus souvent alors un aspect rituel ou religieux), ou encore quand l'objectif consiste à effrayer les ennemis, pour se venger, formes de cannibalismes, non poussés par une nécessité, à distinguer du cannibalisme de survie et du cannibalisme psychopathique de certains tueurs en série. Le cannibalisme existe dans le règle animal, soit pour des raisons de survie, soit pour des questions de dominance et de transmission de ses gènes et de sa descendance (par exemple, cannibalisme entre Pieuvres, coccinelles, araignées, mantes religieuses, crocodiles, varans, lions …).

On distingue l’« endocannibalisme », qui consiste à manger les membres de son groupe humain, et l’« exocannibalisme », qui consiste à manger des membres d'un autre groupe humain.

Chez l'homme, le site le plus ancien actuellement connu est Atapuerca, en Espagne, vieux de 800 000 ans. Les derniers peuples à avoir abandonné de ces pratiques seraient les papous et certains peuples amazoniens (Jivaro, Tupinamba  …).

La Bible considère le cannibalisme comme une malédiction (Lévitique 26 verset 29, 2 Rois 6 verset 28). Jean-Paul II a, quant à lui, « pardonné » le cannibalisme de survie [149].

Pour les ethnologues du 19° siècle, le cannibalisme était réservé aux peuples « sauvages ».

Lors du siège d’Antioche, par l’armée fatimide, eut lieu des actes de cannibalisme de survie (et de vengeance) : En 1098, l'armée des Francs qui faisait siège d'Antioche était gravement menacée par la famine. Après avoir dévoré leurs chevaux, le roi Tafur eut alors l'idée de faire cuire ou rôtir les cadavres des infidèles des lieux. Pire, ses troupes se mirent à écumer les environs, tuant et massacrant des habitants pour pouvoir les dévorer [152].

 

Les criminels psychopathes

 

Les tueurs en série (meurtriers récidivistes ayant commis au moins trois meurtres) [156] sont le sujet de prédilection de Stéphane Bourgoin, écrivain français spécialisé dans l'étude des tueurs en série et du profilage criminel. Ils inspirent souvent une fascination (souvent morbide) dans le grand public (la preuve étant le succès des films consacrés à cette thématique).

Nous avons le cas, le plus connu, de Henry Lee Lucas, tueur en série américain, condamné pour meurtres, ayant déclaré avoir tué 300 personnes, mais après vérifications ce chiffre a été ajusté à 160 (information issue du livre de Stéphane Bourgoin) [157].

 

Il y a le cas de Michel Fourniret, un violeur et tueur en série français, aux crimes principalement commis sur des jeunes filles en France et en Belgique [167].

 

Il y a le cas de Thierry Paulin, le tueur des vieilles dames, mort en prison du Sida. Chez lui, il y avait un grand désir d’être célèbre [165].

 

Il y a le cas du Canadien Luka Rocco Magnotta (né Eric Clinton Newman ), qui travaillait comme escort boy et à l'occasion comme acteur pornographique, auteur du meurtre prémédité de Lin Jun, un Chinois installé au Canada. Ayant utilisé Internet pour diffuser une vidéo dans laquelle il mutilait le cadavre de sa victime (après mis en scène des vidéos de torture de chatons). Chez lui, l’on retrouve aussi un puissant désir de célébrité [168].

 

On connait encore le cas de Pierre Bodin, dit Pierrot-le-Fou, qui n’hésita pas à jouer le fou pour se faire libérer, puis qui, après avoir été libéré, viola et tua trois jeunes filles [166].

 

Il y a le cas de Il y a le cas de Henri Désiré Landru, un célèbre tueur en série français, qui avait initié une vaste opération d'escroquerie au mariage et qui a tué 11 de ses futures fiancées, pour mettre main basse sur leurs biens [168].

 

Il y a le cas du docteur Marcel Petiot, un médecin français qui, lors de la Seconde Guerre mondiale, fut accusé de meurtres, après la découverte à son domicile parisien des restes de vingt-sept personnes, dans leur majorité, juives, qui voulait s’enfuir, des malfrats désireux de se faire oublier, ainsi que des témoins gênants. La police découvrira, dans sa maison, une cave intégralement aménagée comportant une pièce triangulaire équipée d'un judas, qui permettait à Petiot d'observer l'agonie de ses victimes après leur avoir administré une dose mortelle de gaz ou de poison, sous prétexte d'un vaccin [169].

 

Il y a le cas de Josef Mengele [ˈjoːzɛf ˈmɛŋələ] (16 mars 1911 – 7 février 1979) était un officier allemand de la Schutzstaffel (SS), qui réalisa diverses expérimentations médicales meurtrières sur de nombreux détenus.  À la différence de la plupart de ses collègues qui voyaient les sélections des déportés vers les chambres à gaz, comme une mission éprouvante et difficile, Mengele semblait les apprécier et on le voyait souvent sourire ou siffler une chanson [170].

 

Il y a le cas du chef du « gang des barbares », Youssouf Fofana, un récidiviste, qui n’hésita pas à enlever, tortuer puis brûler vif Ilan Halimi, parce que juif [160].

 

Il y a le cas d'Abdelhak Rahmani, qui n'hésita pas à torturer, jusqu'à la mort, une vieille dame de 80 ans, de 1,46 m et 38 kg, Marie-Madelein Révillon (Marinette), pour tenter de lui soutirer de l'argent pour sa consommation de drogue [161].

 

Danny Garrett, accompagnés d'un ami, James Leibrant, et Karla Tucker ont décidé de voler une moto à l'un de leurs voisins, Jerry Dean. Celui-ci reconnut Tucker, qui avait séjourné plusieurs jours chez lui, et Garrett le tua en lui assénant de nombreux coups de marteau. Tucker saisit ensuite une hache qu'elle enfonça quatre ou cinq fois dans le dos de sa victime. Ils aperçurent Deborah Thornton, cachée derrière un mur et qui avait assisté au meurtre. Tucker la tua de sa pioche en l'insultant. Durant son procès, Tucker déclara « avoir eu un orgasme chaque fois que sa hache frappait le dos de Thornton ». Elle fut déclarée coupable de deux crimes, et condamnée deux fois à la peine capitale. Garrett fut également condamné à mort mais mourut en prison d'un cancer [162].

 

En octobre 1991, Christian Van Geloven, 46 ans, cadre supérieur, criminel sexuel, torture sexuellement et tue Ingrid et Muriel, 10 ans. Christian Van Geloven est mort en prison [163].

 

Certains violeurs (en série ou non) n’hésitent pas à tuer les femmes qu’ils ont violé, à brûler ou à démembrer leur corps :

 

Daniel Rudenko, compagnon de Laëtitia Delecluse, a tué cette mère de famille, qui allait quitter le domicile familial pour vivre avec ses deux filles. Il est accusé d’avoir tué sa compagne d’un coup de couteau, de l’avoir découpée à l’aide d’une scie, puis de l’avoir enterrée dans la cave [158].

 

Il y a le cas de Tony Meilhon, criminel multirécidiviste français, reconnu coupable du meurtre commis en janvier 2011 de Lætitia Perrais, 18 ans, serveuse. Selon l'enquête, il l'a étranglé et poignardé plus de quarante fois. Puis il a démembré son corps et l'a jeté dans deux étangs distants de 50 kilomètres : le tronc dans un premier étang, la tête, les bras et les jambes sous 8 mètres d'eau dans l'autre. Dans sa cellule de garde à vue, il chantait « Oh Laetitia, qu’est-ce que t’étais bonne, je me suis pas ennuyé oh la la, ton petit corps, ça vaut trente ans de prison. […] Oh Laetitia la gendarmerie n’a rien pu faire pour toi », aveux enregistrés par un gendarme avec son smartphone. Il est fort possible qu’il ait violé sa victime, mais cela n’a pas pu être prouvé étant donné l’état du corps de celle-ci [159].

 

En 2011, dans un bois proche du Chambon-sur-Lignon, l'un des pensionnaires du Collège Cévenol, Matthieu Molinas, âgé de presque 18 ans, viole et tue une élève du même établissement âgée de 13 ans, Agnès Marin, après vingt minutes de sévices sous la menace d'un couteau, puis brûle son corps [165].

 

Il y a le cas de José Nuno Mendes Abrantes qui a tué une jeune serveuse, Jennifer charron, puis a brûlé son corps. Il est mort en prison avant son procès [173].

 

il y a le cas dee Stephane Krauth, violeur et meurtrier de Karine Schaaf, qui brûla son corps, puis fit l'amour à proximité avec sa compagne du moment, Péroline [166]

 

Il y a aussi les cas de meurtrier fous, comme dans le cas de Romain Dupuy, schizophrène, qui, armé d’un couteau de cuisine, dans la nuit du 17 au  à l'hôpital psychiatrique de Pau, poignarda l'aide-soignante Lucette Gariod40 ans et décapita l'infirmière Chantal Klimaszewski [171].

 

Il y a le cas Kim De Gelder ayant reconnu avoir commis le massacre de la crèche de Sint-Gillis à Termonde, en tuant une gardienne et deux bébés et blessant une douzaine d'autres enfants, après avoir déjà tué une septuagénaire de Vrasene, Elza Van Raemdonck (sans aucun rapport avec la crèche). Dans sa jeunesse, il avait été diagnostiqué schizophène [172]

 

Merci de patienter pour la suite de ce texte.

 

Cordialement,

 

Benjamin LISAN

 

Bibliographie :

 

[1] La maltraitance psychologique, Benjamin LISAN, le 09/06/2013, http://benjamin.lisan.free.fr/AssoLutteContreCephalee/La_maltraitance_psychologique.htm

[1bis] https://fr.wikipedia.org/wiki/Mal

[2] Les maltraitances psychologiques faites aux enfants, par Benjamin Lisan, le 30 mars 2012, http://benjamin.lisan.free.fr/AssoLutteContreCephalee/La_maltraitance_psychologique_faite_aux_enfants.htm

[3] « Sur les psychopathes », par Benjamin Lisan, 1 mai 2017, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/politiques/sur-les-psychopathes.htm

[4] Des exemples pour « comprendre » et détecter les psychopathes, par Benjamin Lisan, mars 2017, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/politiques/Des-exemples-pour-detecter-les-psychopathes.htm

[5] En France, une étude de 2015 de l'Observatoire National de la Délinquance et des Réponses Pénales basée sur l'exploitation des données du Casier Judiciaire a établi que 70 % des meurtres d'enfant sur la période de 1996-2015 ont été perpétrés par une femme, et que dans 72 % des cas l'enfant victime avait un lien familial avec son bourreau.

Les mères causent la mort de l'enfant le plus souvent par quelque forme de violence, majoritairement celles provoquant l'asphyxie, mais elles peuvent en être jugées aussi responsable par un défaut de soin, absence de ligature du cordon ombilical, exposition aux intempéries.

Outre l'asphyxie, l'enfant peut décéder par brûlure ou par des coups, le plus souvent au cou et à la tête. Les asphyxies sont elles-mêmes causées par une occlusion des cavités nasales et buccales, sous diverses formes, ou par strangulation ; par immersion ou enfouissement.

Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Infanticide 

[6] Affaire Marina Sabatier, août 2009, https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Marina_Sabatier

[7] Le calvaire d'Enzo, battu à mort à 2 ans, 26 mars 2012, http://www.liberation.fr/societe/2012/03/26/le-calvaire-d-enzo-battu-a-mort-a-2-ans_805891

[8] Vendée : le calvaire mortel d'une fillette de 4 ans (Angèle), 09/10/2017, https://www.ladepeche.fr/article/2017/10/09/2661598-vendee-le-calvaire-mortel-d-une-fillette-de-4-ans.html

[9] L’abominable calvaire du petit Yanis, 5 ans, Clémentine Rebillat, 08/02/2017, http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers/L-abominable-calvaire-du-petit-Yanis-5-ans-1183493

[10] Le calvaire du petit Adrien (Metz), Alain Lemaître, 31 janvier 2001, http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-calvaire-du-petit-adrien-metz-de-notre-envoye-special-31-01-2001-2001926517.php

[11] Un enfant de 3 ans battu à mort à Reims : son calvaire a duré un mois et demi, Sophie Constanzer, 28 novembre 2016, https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/drame-dans-le-quartier-des-chatillons-reims-un-enfant-de-3-ans-mort-sous-les-coups-1480349777

[12] Bébé de 18 mois violé et tué à Agen : le point sur l’enquête, 24/11/2017, http://www.sudouest.fr/2017/11/24/bebe-viole-et-tue-a-agen-l-enquete-se-poursuit-3976556-3603.php

[13] Généralement, l’agnosticisme, encore appelé la pensée de l’interrogation est une manière de pensée considérant la vérité de certaines propositions concernant notamment l'existence de Dieu ou des dieux comme inaccessible à l'intelligence humaine. Les agnostiques considèrent les religions comme de pures constructions sociales et culturelles qui auraient surtout pour fonction historique d'assurer la cohésion et l'ordre dans les sociétés humaines traditionnelles via par exemple la menace de l'enfer, la promesse du paradis ou encore la notion de péché. Ils n’accordent donc de ce fait aucune importance, aucune valeur sacrée ni aucune transcendance aux religions et à leurs institutions. En gros, ils trouvent tout ça trop humain pour que ce soit l’œuvre d’une intelligence supérieure, tout en n’excluant pas le fait que ce soit toutefois possible. L’agnostique s’interroge donc perpétuellement sans jamais trancher faute de preuves irréfutables. On peut, ni ne croire que Dieu existe, ni qu’il n’existe pas.

[14] une étude révèle que si vous aimez troller sur le web vous êtes sans doute psychopathe, http://www.ohmymag.com/insolite/une-etude-revele-que-si-vous-aimez-troller-sur-le-web-vous-etes-sans-doute-psychopathe_art111112.html

[15] http://www.cnrtl.fr/definition/immoralit%C3%A9

[16] https://fr.wikipedia.org/wiki/Amoralit%C3%A9

[17] http://www.cnrtl.fr/lexicographie/amoral

[18] https://fr.wiktionary.org/wiki/amoral

[19] https://fr.wikipedia.org/wiki/Maximilien_Kolbe

[20] Mais le Père Maximilien Kolbe avait la 2nd guerre mondiale, n’hésitait pas à considérer les juifs et les français maçons comme des ennemis de l’église (les Francs-maçons à cause de la révolution française). Source : Ecrits choisis de saint Maximilien-Marie Kolbe sur les francs-maçons et les juifs (Św. Maksymilian Maria Kolbe o masonerii i żydach. Pisma wybrane). Stanislaw Krajski. Krzeszowice. 1998, http://docteurangelique.forumactif.com/t18433-ecrits-de-saint-maximilien-marie-kolbe-sur-les-franc-macons-et-les-juifs  & http://www.echochrystusakrola.org/assets/files/2011-04/9_kolbe_masoneria.pdf

[21] https://fr.wikipedia.org/wiki/Juste_parmi_les_nations

[22] https://fr.wikipedia.org/wiki/Irena_Sendler

[23] https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Rabe

[24] https://fr.wikipedia.org/wiki/Enfants_d%27Izieu

[25] D'abord religieuse de l'ordre missionnaire des sœurs de Notre-Dame de Lorette, elle quitte cette communauté en 1949 pour « suivre son appel » puis fonder sa propre congrégation en 1950. Son œuvre auprès des plus démunis commence par l'éducation des enfants des rues et l'ouverture du mouroir de Kalighat (Nirmal Hriday) à Calcutta. Pendant plus de 40 ans, elle consacre sa vie aux pauvres, aux malades, aux laissés pour compte et aux mourants, d'abord en Inde puis dans d'autres pays, et elle guide le développement des Missionnaires de la Charité. Au moment de sa mort, ceux-ci s'occupent de 610 missions, dans 123 pays, incluant des soupes populaires, des centres d'aide familiale, des orphelinats, des écoles, des hospices et des maisons d'accueil pour les personnes atteintes de maladies comme la lèpre, le sida ou la tuberculose, https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A8re_Teresa

[26] "J'ai mes pauvres que j'affectionne ; cet argent qu'on m'oblige à donner leur appartient ; la dame quêteuse le leur ravit" (Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Ad. et Théod. t. III, p. 293, dans POUGENS).

[27] https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles_le_T%C3%A9m%C3%A9raire

[28] Notons qu’au départ, lorsqu’il pris la direction de son entreprise, la Deutsche Emailwarenfabrik, Schindler est surtout intéressé par le potentiel financier de l'entreprise et engage des Juifs parce qu'ils sont moins chers que les Polonais — les salaires étant fixés par le régime nazi d'occupation, en profitant de ses bonnes relations avec le chef de ce camp nazi Amon Göth, lequel lui fournit la main-d'œuvre parmi les nombreux Juifs internés.

[29] VOYAGE EN U.R.S.S- Août 82, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/CompteRendusVoyages/AutresVoyages/UrssAout82.htm

[30] Max WEBER - L'éthique de responsabilité et l'éthique de conviction, in Max WEBER, Le savant et le politique, Plon, 10/18, Paris 1995, http://www.politique-autrement.org/Max-WEBER-L-ethique-de-responsabilite-et-l-ethique-de-conviction

[31] «Charlie»: éthique de conviction contre éthique de responsabilité, 19 janv. 2015 [article payant], http://www.liberation.fr/societe/2015/01/19/charlie-ethique-de-conviction-contre-ethique-de-responsabilite_1184055

[32] En janvier 2015, le Parlement français a reconnu aux animaux la qualité symbolique d êtres vivants doués de sensibilité », dans un projet de loi de modernisation et de simplification du droit adopté définitivement mercredi 28 janvier par l'Assemblée nationale. Cet amendement satisfait une demande de la fondation 30 millions d'amis, qui avait lancé il y a deux ans une pétition pour obtenir une modification du code civil qui considérait jusqu'ici les animaux comme des « biens meubles ». Source : Les animaux sont désormais officiellement « doués de sensibilité », 28.01.2015, http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/01/28/les-animaux-sont-desormais-officiellement-doues-de-sensibilite_4565410_3244.html

[33] https://fr.wikipedia.org/wiki/Ja%C3%AFnisme

[34] En Inde, un hôpital jaïn donne un nouvel envol aux oiseaux, AFP, 02/12/2016, http://www.lepoint.fr/monde/en-inde-un-hopital-jain-donne-un-nouvel-envol-aux-oiseaux-02-12-2016-2087431_24.php

[35] https://fr.wikipedia.org/wiki/Raison_d%27%C3%89tat

[36] Le Prince, Machiavel, chap. XV.

[37] https://www.challenges.fr/industrie/le-cimentier-lafarge-versait-30-000-dollars-par-mois-a-daech-en-syrie_500951 

[38] https://tempsreel.nouvelobs.com/justice/20170921.OBS4951/lafarge-en-syrie-le-cimentier-aurait-bien-verse-plus-de-20-000-euros-par-mois-a-daech.html

[39] https://fr.wikipedia.org/wiki/Lanceur_d%27alerte

[40] L'Histoire inhumaine, Guy Richard et Jean-Jacques Cleyet-Merle, Ed. Armand Colin, avril 1997.

[40bis] https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide

[41] Tzvetan Todorov, Face à l'extrême, Ed. Le Seuil, Point Essai, 1991.

[42] Annah Arendt, Les Origines du totalitarisme (The Origins of Totalitarianism), 3 volumes (Antisemitism, Imperialism, Totalitarianism), 1951 ; nouvelles éditions en 1958, 1966, 1973. Traduction française en trois ouvrages séparés (puis réunis en un seul volume, Paris, Gallimard, 2002).

[43] Annah Arendt, La Crise de la culture, trad. P. Lévy et al. Paris, Gallimard, 1972, 1989 (Between Past and Future : Six Exercices in Political Thought, New York, 1961, augmenté de deux essais en 1968).

[44] Annah Arendt, Eichmann à Jérusalem. Rapport sur la banalité du mal, trad. A. Guérin, Paris, Gallimard, 1966 ; revue par Michelle-Irène Brudny de Launay, Paris, Gallimard, coll. « Folio Histoire », 1991 (Eichmann in Jerusalem : A Report on the Banality of Evil, New York, The Vinking Press, 1963). Compte-rendu du procès du responsable nazi à l'occasion duquel elle inventa l'expression « banalité du mal » et mit en question l'action des Conseils juifs dans la déportation.

[45] La Montée du nazisme, de la naissance d'Hitler au pacte germano-soviétique de 1939 / La chute du nazisme, des derniers jours de la paix au procès de Nuremberg, William L. Shirer, Ed. Club des amis du livre, 1963.

[46] DVD, Hitler - La naissance du Mal / Hitler: The Rise of Evil, 2004 / 2015, Distribution: Robert Carlyle.

[47] Les Démons ou Les Possédés, Fiodor Dostoïevski, 1872.

[48] Les hommes frénétiques, Ernest Pérochon, 1925.

[49] La nuit des temps, René Barjavel, Ed. Presses de la Cité, 1968.

[50] https://fr.wikipedia.org/wiki/Shoah

[51] https://fr.wikipedia.org/wiki/Chambre_%C3%A0_gaz

[52] https://fr.wikipedia.org/wiki/Zyklon_B

[53] https://fr.wikipedia.org/wiki/Camps_d%27extermination_nazis

[54] Les Chambres à gaz, secret d'Etat, Eugen Kogon, Hermann Langbein, Adalbert Rückerl, Ed. du Seuil, 2000.

[55] Les chambres à gaz ont existé, Georges Wellers, Ed. Gallimard, coll. Témoins, 1981.

[56] https://fr.wikipedia.org/wiki/Porajmos

[57] Le génocide des Tsiganes européens, 1939-1945, https://www.ushmm.org/wlc/fr/article.php?ModuleId=75

[58] https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide_arm%C3%A9nien

[59] http://www.imprescriptible.fr/genocide (la base « imprescriptible » est une base de données entièrement consacrée au génocide arménien).

[60] Un autre regard sur l’Inde, François Gautier, édition du Tricorne, Genève, 2000. Voir en particulier son Chapitre 7 "La négation des atrocités musulmanes en Inde", http://www.jaia-bharati.org/livres/autre-regard/autre-reg-chap7.htm

[61] Growth of Muslim Population in Medieval India (AD 1000-1800) [La Croissance de la Population musulmane dans l'Inde médiévale], Professeur Kishori Saran Lal, Ed. Research, Publications in Social Sciences, 1973, 272 pages.

[62] The Legacy of Muslim Rule in India, Professeur Kishori Saran Lal, Aditya Prakashan, New Delhi, 1992.

[63] Muslim Slave System in Medieval India, Professeur Kishori Saran Lal, Publisher South Asia Books, 1994, 196 pages.

[64] Theory and Practice of Muslim State in India, Professeur Kishori Saran Lal, Aditya Prakashan, 1999.

[65] https://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAtes_musulmanes_des_Indes

[66] Déclin du bouddhisme en Inde, https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9clin_du_bouddhisme_en_Inde

[67] "Il y eut naturellement des intermèdes, sous de « bons » Califes mais le fanatisme destructeur reprit toujours finalement le dessus", in L'Histoire de l'Inde, Alain Daniélou, Fayard, 1971.

[68] L’irruption de l’islam et le « Moyen Âge » indien, http://www.clio.fr/CHRONOLOGIE/chronologie_inde_l_irruption_de_l_islam_et_le__moyen_Age__indien.asp

[69] Histoire de l’Inde, Jacques Dupuis, Éditions Kailash, Civilisations et sociétés, 1996, page 202.

[70] Hindi Kouch: le génocide de 80 millions d’indiens par l’islam n’est pas un mythe, http://www.islamisme.fr/hindi-kouch-le-genocide-de-80-millions-dindiens-par-lislam-nest-pas-un-mythe/

[71] D’où vient le bouddhisme radical ?, Adrien Le GAL, 2/12/2017, http://mobile.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2017/12/02/d-ou-vient-le-bouddhisme-radical_5223606_3216.html

[72] https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9gationnisme

[73] https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9visionnisme

[74]  https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9gation_de_la_Shoah

[75] https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Faurisson

[76] Massacre de Nankin, https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Nankin 

[77] Révisionnisme au Japon, https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9visionnisme_au_Japon

[78] Négation du génocide arménien, https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9gation_du_g%C3%A9nocide_arm%C3%A9nien

[79] L'article 301 punit d'une peine d'emprisonnement tout « dénigrement public » de l'identité turque, de l'État turc, de son gouvernement ou d'autres institutions étatiques. C'est au titre de cet article que plusieurs personnalités furent traduites en justice pour avoir évoqué le génocide des Arméniens, comme l'écrivain et prix Nobel Orhan Pamuk [...] Fin 2006, Reporters sans frontières dénombre 65 personnes poursuivies en vertu de cet article [78].

[80] https://fr.wikipedia.org/wiki/Serdar_Argic

[81] Turquie - L’article 301 menace la liberté d’expression : il doit être immédiatement abrogé, 1 décembre 2005, https://www.amnesty.be/infos/actualites/article/turquie-l-article-301-menace-la

[82] https://fr.wikipedia.org/wiki/Djiz%C3%AEa

[83] Adolf Eichmann, https://fr.wikipedia.org/wiki/Adolf_Eichmann

[84] Heinrich Himmler, https://fr.wikipedia.org/wiki/Heinrich_Himmler

[85] Sourate 9, verset 5 : « Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les, assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la Zakat, alors laissez-leur la voie libre ».

[86] Tamerlan, Timur ou Timour, https://fr.wikipedia.org/wiki/Tamerlan

[87] Gengis Khan, https://fr.wikipedia.org/wiki/Gengis_Khan

[88] Qin Shi Huang, https://fr.wikipedia.org/wiki/Qin_Shi_Huang

[89] Colonnes infernales, https://fr.wikipedia.org/wiki/Colonnes_infernales

[90] Guerre de Vendée, https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_de_Vend%C3%A9e

[91] Liste de massacres de la guerre de Vendée et de la Chouannerie, https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_massacres_de_la_guerre_de_Vend%C3%A9e_et_de_la_Chouannerie

[92] Noyades de Nantes, https://fr.wikipedia.org/wiki/Noyades_de_Nantes

[93] Massacre des Héréros et des Namas, en Namibie, https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_des_H%C3%A9r%C3%A9ros_et_des_Namas

[94] Massacre de Sétif, Guelma et Kherrata, en Algérie, https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_S%C3%A9tif,_Guelma_et_Kherrata

[95] Massacre de Thiaroye, au Sénégal, https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Thiaroye

[96] L’insurrection malgache de 1947, https://fr.wikipedia.org/wiki/Insurrection_malgache_de_1947

[98] 1947, un massacre colonial français à Madagascar, Jean-Claude RABEHERIFARA, Rosa MOUSSAOUI, 29 mars 2017, https://www.humanite.fr/1947-un-massacre-colonial-francais-madagascar-634021

[99] Génocide des Tutsis au Rwanda, https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9nocide_des_Tutsis_au_Rwanda

[100] Causes du génocide au Rwanda, https://fr.wikipedia.org/wiki/Causes_du_g%C3%A9nocide_au_Rwanda

[101] Massacre des Banu Qurayza par les troupes musulmanes [dirigées par Mahomet], https://fr.wikipedia.org/wiki/Banu_Qurayza#Massacre_des_Banu_Qurayza_par_les_troupes_musulmanes

[101a] Coran à la sourate 33 aux versets 25 à 27.

[101b] Sunnan Abu Dawud, 14:2665.

[101c] Sira de référence en arabe p. 684 (texte de Ibn Ishaq, 8° sicèle, cité par Ibn Hicham), édition critique par Ferdinand Wüstenfeld, parue en 1858-1859 (tome 1 contenant le texte arabe) et 1860 (tome 2 contenant une introduction, des notes critiques et des indices).

[101d] Ibn Ishaq, Muhammad, p. 185, traduction française de la Sira de référence par Abdurrahmân Badawî, introduction et notes par Abdurrahmân Badawî, éditions Al Bouraq (28 septembre 2001) : tome 1, 654 pages, tome 2, 608 pages.

[101e] Sira édition de référence en arabe p. 689, traduction française t.2 p. 191.

[101f] Sira édition de référence en arabe p. 681-689, traduction française t.2 p. 181-192.

[101g] Sira édition de référence en arabe p. 689-690, traduction française t.2 p. 192.

[101h] Sira édition de référence en arabe p. 692-693, traduction française t.2 p. 196.

[101k] Tabarî, La Chronique t.2, traduit du persan par Hermann Zotenberg, 1260 pages, éditions Actes Sud, collection Thesaurus (24 mai 2001), p. 148.

[101l] « [Il élimina] peu à peu les tribus juives de Médine qui le gênaient. Après Badr, les Banou-Qaïnoqa`, dépouillés de leurs biens, allèrent s'établir en Syrie ; après Ohod ce fut le tour des Banou-Nadîr, qui durent se retirer à Khaybar ; enfin après la guerre du fossé, les derniers, les Banou-Qoraïza, accusés d'avoir manqué de loyalisme, subirent un châtiment exemplaire : hommes passés au fil de l'épée, femmes et enfants vendus comme esclaves ». source : Le Coran, Dominique Soudel, Ed. PUF, Coll. Que sais-je ?, 1962, pages 14 et 15.

[102a] Liste des meurtres ordonnés ou soutenus par Muhammad [Mahomet], B. LISAN, août 2016, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/Liste_des_meurtres_ordonnes_ou_soutenus_par_Muhammad.htm

[102b] List of Killings Ordered or Supported by Muhammad, https://wikiislam.net/wiki/List_of_Killings_Ordered_or_Supported_by_Muhammad

[103] Massacre de Katyń [assassinat de masse, par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD), au printemps 1940 dans la forêt de Katyń, village russe proche de Smolensk et de la frontière biélorusse, de plusieurs milliers de Polonais, essentiellement des officiers d'active et de réserve (dont des étudiants, des médecins, des ingénieurs, des enseignants etc.), et divers autres membres des élites polonaises considérées comme hostiles à l’idéologie communiste], https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_Katy%C5%84

[104] Nuit des longs couteaux, https://fr.wikipedia.org/wiki/Nuit_des_Longs_Couteaux

[105] Assassinat de la famille impériale russe, https://fr.wikipedia.org/wiki/Assassinat_de_la_famille_imp%C3%A9riale_russe

[106] Lénine. L’invention du Totalitarisme, Stéphane Courtois, Ed. Perrin, 2017.

[107] Les grandes purges ou la grande terreur, https://fr.wikipedia.org/wiki/Grandes_Purges

[108] Les génocides de Staline, Norman M. Naimark, L’Arche Éditeur, 2012, 144 pages.

[109] L'affaire Toukhatchevski, Victor Alexandrov, Ed. R. Laffont, 1962, 242 p.

[110] Mikhaïl Toukhatchevski, https://fr.wikipedia.org/wiki/Mikha%C3%AFl_Toukhatchevski

[111] Viols de guerre, https://fr.wikipedia.org/wiki/Viol_de_guerre

[112] Viols durant l'occupation de l'Allemagne, https://fr.wikipedia.org/wiki/Viols_durant_l%27occupation_de_l%27Allemagne

[113] BOSNIE-HERZÉGOVINE Viols et sévices sexuels pratiqués par les forces armées, Londres, janvier 1993,

https://www.amnesty.org/download/Documents/188000/eur630011993fr.pdf

[114] Le viol, l'autre arme de destruction massive, Daphnée Denis, 13.09.2011, http://www.slate.fr/story/42885/viol-arme-guerre

[115] Viols systématiques en Syrie : l'arme secrète de Bachar Al-Assad, Olivier Clairouin, 05.03.2014, http://www.lemonde.fr/proche-orient/video/2014/03/05/viols-systematiques-en-syrie-l-arme-secrete-de-bachar-al-assad_4377684_3218.html

[116] L’Islam, Dominique Sourdel, PUF, Collection « Que sais-je ? », 1962, page 14.

[117a] Al-Hudaybiya et les leçons de diplomatie du Prophète Mahomet, Daniel Pipes, Middle East Quarterly, septembre 1999 [Adaptation française: Anne-Marie Delcambre de Champvert], http://fr.danielpipes.org/8720/al-hudaybiya-diplomatie-prophete-mahomet

[117b] Version originale anglaise: [Al-Hudaybiya and] Lessons from the Prophet Muhammad's Diplomacy, http://www.danielpipes.org/316/al-hudaybiya-and-lessons-from-the-prophet-muhammads

[117c] Traité d'Houdaybiya, https://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_d%27Houdaybiya

[117d] Traité de Hudaybiyyah, https://en.wikipedia.org/wiki/Treaty_of_Hudaybiyyah

[117e] Hudaibiyah: A turning point in the history of Islam, Abu Tariq Hijazi, 9 November 2012, http://www.arabnews.com/hudaibiyah-turning-point-history-islam

[117f] Conquête de la Mecque [Fatah al-`Adhim (la grande victoire)], https://fr.wikipedia.org/wiki/Conqu%C3%AAte_de_la_Mecque

[117g] Conquest of Mecca, https://en.wikipedia.org/wiki/Conquest_of_Mecca

[117h] « Après l'incident, Quraysh a envoyé une délégation à Muhammad, demandant de maintenir le traité avec les musulmans et offrant une compensation matérielle. Les forces musulmanes s'étaient rassemblées en force pour régler le compte avec Quraysh et pour l'attaque finale et l'ouverture de La Mecque ». Source : Seerah ibn Hisham p. 226/2,228.

[118] On peut affirmer que la réponse e Mahomet était disproportionnée par rapport à l'infraction: un raid par une tribu alliée, même peut-être de connivence avec Quraysh [tribu contrôlant la Mecque, opposé à Mahomet] … bref la conquête ne justifiait guère [de s'en prendre à] l'ensemble du territoire ennemi. Entre 628 et 630, Mahomet a fait de nouvelles conquêtes et conclu des alliances avec des tribus puissantes, en particulier avec les Bani Khuza'a (alliée de Mahomet). Pendant ce temps, Quraysh s'alliera avec une tribu forte, les Bani Bakr. Or les Bani Khuza'a (allié) et les Bani Bakr (opposant) ont vécu l'une près de l'autre et ont une longue histoire de vendetta - et la vendetta en Arabie, comme dans les Appalaches était transmise de génération en génération. En Décembre 629, quelques-uns des Bani Bakr, éventuellement avec l'aide de Quraysh ( ?), ont pris leur revanche sur une partie des Bani Khuza'a, tuant plusieurs de ces derniers (les Bani Khuza'a (allié) n’ayant pas eux-mêmes respecté le pacte). S'il n'y avait peut-être aucune base pour accuser les musulmans de violer leur promesse, il y a lieu de se demander quelle validité le traité avait si les forces musulmanes étaient prêtes à exploiter tout incident mineur pour détruire un rival. La question ici n'est pas de caractère juridique mais d'ordre moral et politique. [117a].

[119] « Ils t'interrogent sur le fait de faire la guerre pendant les mois sacrés. Dis : "Y combattre est un péché grave, mais plus grave encore auprès d'Allah est de faire obstacle au sentier d'Allah, d'être impie envers Celui-ci et la Mosquée sacrée, et d'expulser de là ses habitants. » (Coran 2/217).

« Ô les croyants ! Ne profanez ni les rites d'Allah, ni le mois sacré, ni les animaux de sacrifice, ni les guirlandes, ni ceux qui se dirigent vers la Maison sacrée cherchant de leur Seigneur grâce et agrément. » (Coran 5/2).

« Mois sacré pour mois sacré, et toutes les choses sacrées (se compensent) par la loi du talion. Alors, quiconque vous agresse, agressez-le en lui rendant la pareille. Craignez Allah et sachez qu’Allah est avec les pieux. » (Coran 2/194).

Selon Abû Bakra, le Prophète a tenu un long sermon lors du Pèlerinage de l’Adieu dans lequel il a dit : « Le temps a fait un tour pour revenir comme le jour où Allah a créé les cieux et la terre ; une année correspond à douze mois parmi lesquels quatre sont sacrés. Trois d’entre eux se succèdent : Dhoulq’ida, Dhoul-hijja, Muharram. Le quatrième est Rajab de (la tribu) Mudhar, c’est le mois qui se trouve entre Djumâdâ et Cha’bân. »

[120] "Les Arabes de l'époque préislamique s’interdisaient la guerre pendant les mois sacrés de Dhoulq’ida, Dhoul-hijja, Muharram et Rajab [en mai]. Ils considéraient ces mois comme un temps de trêve absolument sacré et suspendaient tous les conflits, même ceux qui étaient les plus féroces. Chacun s’évertuait à ne point causer de tort à son prochain et surtout à ne point verser son sang. Le Coran et la Sunna ont donc confirmé le caractère sacré de ces quatre mois comme le démontrent les versets et le hadith susmentionnés". Source : Est-ce que le mois de Rajab a des vertus particulières ?, http://www.islamweb.net/frh/?page=articles&id=177923

[121] Le génocide voilé, enquête historique, Tidiane N'Diaye, Ed. Gallimard, 2008.

[122] Esclavage, https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage

[123] Traite négrière, https://fr.wikipedia.org/wiki/Traites_n%C3%A9gri%C3%A8res

[124] Traite atlantique ou commerce triangulaire, https://fr.wikipedia.org/wiki/Commerce_triangulaire

[124bis] La traite négrière transatlantique résumée en une infographie de deux minutes, Jamelle Bouie, traduit par Gilda Di Carli, 27.06.2015, http://www.slate.fr/story/103551/esclavage-infographie

[125] Esclavage dans le monde arabo-musulman, https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_dans_le_monde_arabo-musulman

[126] Traite arabe, https://fr.wikipedia.org/wiki/Traite_arabe

[127] Traite orientale, https://fr.wikipedia.org/wiki/Traite_orientale

[128] Afrique : le génocide oublié, Pascal Bruckner, 4 décembre 2017, http://www.lepoint.fr/editos-du-point/sebastien-le-fol/bruckner-afrique-ce-genocide-oublie-04-12-2017-2177029_1913.php

[129] Un monde d’esclavage, Hristo Xiep, 1 décembre 2017, http://www.medias-presse.info/un-monde-desclavage/84257/

[130] La participation des rois dans la traite des esclaves au Dahomey. Des causes complexes et diverses, http://goussarno.over-blog.com/page-la-participation-des-rois-dans-la-traite-des-esclaves-au-dahomey-des-causes-complexes-et-diverses-1892229.html

[131] Esclavage en Afrique, https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_en_Afrique

[132] Royaume du Danhomey, https://fr.wikipedia.org/wiki/Royaume_de_Dahomey 

[133] Afrique Noire, Géographie, Civilisation, Histoire, Jean Suret-Canale, Éditions Sociales, Paris, 1973.

[134] Essais d'histoire africaine : de la traite des Noirs au néocolonialisme, Jean Suret-Canale, Éditions sociales, Paris, 1980.

[135] Bombardements atomiques d'Hiroshima et Nagasaki, https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombardements_atomiques_d%27Hiroshima_et_Nagasaki

[136] Bombardements de Tokyo, https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombardements_de_Tokyo

[137] Bombardement de Dresde, https://fr.wikipedia.org/wiki/Bombardement_de_Dresde

[138] Opération Gomorrhe [Bombardement de Hambourg], https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Gomorrhe

[139] Liste des expéditions de Mahomet,  https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_exp%C3%A9ditions_de_Mahomet

[140] Batailles de Mahomet, https://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet

[140bis] Guerres de Mahomet, exactions de ses troupes, à rapprocher de ces versets coraniques :

4.89 : « Ils voudraient qu’à leur instar vous sombriez dans la mécréance afin que vous en soyez au même point (sawâ’) qu’eux. Ne les prenez pas pour alliés tant qu’ils n’auront pas émigré pour la cause de Dieu et s’ils se détournent, emparez-vous d’eux et tuez-les où que vous les trouviez. Et ne les prenez ni pour alliés ni pour partisans ! »

4.90 : « [tuez-les où que vous les trouviez] à l’exception de ceux qui visitent une tribu (qawn) à laquelle vous êtes liés par un traité ou de ceux qui viennent vous trouver le cœur serré à l’idée de vous combattre ou de combattre leur tribu ; si Dieu l’avait voulu, Il les aurait rendus maîtres de vous et ils vous auraient combattus. Aussi, s’ils vous évitent, ne vous combattent pas et vous offrent leur soumission, Dieu ne vous permet pas de leur témoigner de l’hostilité. ».

[141] Hernán Cortés, https://fr.wikipedia.org/wiki/Hern%C3%A1n_Cort%C3%A9s

[142] Francisco Pizarro, https://fr.wikipedia.org/wiki/Francisco_Pizarro

[143] Pierre Cauchon, https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Cauchon

[144] Le procès de Jeanne d’Arc : le rôle de Pierre Cauchon, Laurent RIDEL, 5 juin 2014, http://www.histoire-normandie.fr/le-proces-de-jeanne-darc-le-role-de-pierre-cauchon

[145] Philippe IV le Bel, https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_IV_le_Bel

[146] Ordre du Temple, https://fr.wikipedia.org/wiki/Ordre_du_Temple

[147] Dihya (reine), https://fr.wikipedia.org/wiki/Dihya_(reine)#Récits_médiévaux

[148] https://louroumegaireblog.wordpress.com/2017/12/04/lesclavage-en-terre-dislam/

[149] Cannibalisme, https://fr.wikipedia.org/wiki/Cannibalisme

[150] Sacrifice humain, https://fr.wikipedia.org/wiki/Sacrifice_humain

[151] Croisade des Albigeois, https://fr.wikipedia.org/wiki/Croisade_des_albigeois

[152] Siège de Béziers [massacre de Béziers, 22 juillet 1209 (nombre de morts estimé entre 15 000 et 22 000)], https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_B%C3%A9ziers

[153] Siège de Jérusalem (1099), https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_de_J%C3%A9rusalem_(1099)

[154] Siège d’Antioche, https://fr.wikipedia.org/wiki/Si%C3%A8ge_d%27Antioche#Cannibalisme

[155] Soulèvement de Jeju (Corée du Sud) (14 000 ou 60 000 morts), https://fr.wikipedia.org/wiki/Soul%C3%A8vement_de_Jeju

[156] Liste des tueurs en série, https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_tueurs_en_s%C3%A9rie

[157] Tueur en série, https://fr.wikipedia.org/wiki/Tueur_en_s%C3%A9rie

[158] Vosges – Criblé de dettes, Daniel Rudenko jouait encore au casino après avoir découpé son épouse !, 20 juin 2017,  http://saintdieinfo.fr/2017/06/vosges-crible-de-dettes-daniel-rudenko-jouait-casino-apres-decoupe-epouse/

[159] Tony Meilhon, https://fr.wikipedia.org/wiki/Tony_Meilhon#Meurtre_de_L.C3.A6titia_Perrais

[160] Affaire du gang des barbares, https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_du_gang_des_barbares

[161] Le meurtrier de Marinette condamné à 30 ans, Charles de SAINT SAUVEUR, 16 mai 1998, http://www.leparisien.fr/val-d-oise/le-meurtrier-de-marinette-condamne-a-30-ans-16-05-1998-2000072319.php

[162] Karla Faye Tucker, https://fr.wikipedia.org/wiki/Karla_Faye_Tucker

[163] Faites Entrer l’Accusé – Christian Van Geloven, criminel sexuel, http://wanted-pedo.com/videos/video/faites-entrer-laccuse-christian-van-geloven-criminel-sexuel-1-2/

[164] Thierry Paulin, https://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Paulin

[165] Stephane Krauth le meurtre de Karine Schaaf - Faites entrer l'accusé, https://www.youtube.com/watch?v=f2D0ssBD6RM

[166] Pierre Bodein (dit Pierrot le fou), https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Bodein

[167] Michel Fourniret, https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Fourniret

Luka Rocco Magnotta, https://fr.wikipedia.org/wiki/Luka_Rocco_Magnotta

[168] Henri Désiré Landru, https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Désiré_Landru

[169] Marcel Petiot, https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcel_Petiot 

[170] Josef Mengele, https://fr.wikipedia.org/wiki/Josef_Mengele

[171] Affaire Romain Dupuy, https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Romain_Dupuy

[172] Kim De Gelder avoue la tuerie de Termonde, 05 mars 2009, https://www.rtbf.be/info/belgique/detail_kim-de-gelder-avoue-la-tuerie-de-termonde?id=5119073

[173] Affaire Jennifer : l’un des accusés est mort, par Ronan CHÉREL, 07/12/2010,  http://www.sudouest.fr/2010/12/07/affaire-jennifer-l-un-des-accuses-est-mort-259840-1602.php