Les racines du fanatisme, en particulier du fanatisme islamique

 

Par Benjamin LISAN.

Document créé le 3 septembre 2016, mis à jour le 09/10/2017

1       Introduction

 

Le fanatisme se présente comme un discours irrationnel, qui donne toutes les apparences d’un discours rationnel. Quand la personne est fanatique, elle perd tout bon sens (le bon sens commun) et toute objectivité. Elle fonctionne avec des œillères intellectuelles, avec une grille de lecture déformée et orientée des faits et des évènements, de type dogmatique, une vision du monde incritiquable, qu’il est impossible à remettre en cause. Elle est convaincue par son interprétation « spécieuse » des faits, et veut à tout prix convaincre ses interlocuteurs (voire le monde entier) de la véracité, avec un grand V, de son point de vue (érigé en vérité absolue).  Elle est de plus dans une démarche militante.

Si elle adore ou admire quelqu’un, alors l’objet de son admiration est considéré, par elle, comme omniscient ou infaillible, au-dessus de toute critique. Elle le voit avec les yeux de Chimène, elle le pare de toutes les vertus et le cite à tout propos, sans même le connaître (cela sera, par exemple, le cas, pour Mahomet, Jésus, Fidel Castro, Che Guevara ...). Elle n’en a la connaissance que par les récits, apologique, que l’on en fait. Elle devient complètement aveugle intellectuellement sur la vraie nature de cet objet adoré, sur la structure (groupe de personne) dans laquelle elle évolue _ groupe qu’elle adore aussi _ ou sur la doctrine qui est l’objet de tout son amour.

 

2       Mes propres convictions sur l’origine et les racines du fanatisme

 

Dans ma vie, j’ai été souvent confronté à des phénomènes de radicalisation, qui sont en général, irrationnels et incompréhensibles pour la plupart des gens. Lorsqu’on discute avec une personne radicalisée, l’on a l’impression de parler à un mur. Ce dernier est enfermé dans son monde (rassurant ?), il ne vous entend pas. Son champ de vision mental semble restreint par des œillères mentales. Il est sur une voie toute tracée (qui semble le rassurer), il ne veut plus en sortir.

J’ai l’impression que les phénomènes de radicalisation (fanatisme) sont à la croisée de plusieurs psychopathologies, telle que le besoin d’appartenance et d’identité (ou bien la peur de se sentir abandonné, si l’on n’est pas inséré dans un groupe) _ que l’enfermement dans une groupe peut satisfaire ou compense _, le manque de confiance en soi, l’angoisse _ que l’enfermement dans les certitudes peut aider à refouler_, une frustration intérieur refoulée _ la violence légitimée permet alors de l’extérioriser et de la justifier _, la psychopathie (ou sociopathie), la paranoïa, les addictions _ par exemple, addictions aux représentations grandioses, aux grandes idées et idéaux valorisants, qui vous rendent importants … _, le manque de culture qui justifie les raisonnements à l’emporte-pièce ….

 

Sinon, éventuellement, quand on ne donne aucun espoir d'avenir à un enfants _ le fait qu’on les rabroue, dénigre, tout le temps _ ou à une minorité ethnique discriminée, la frustration et la colère générées peuvent pousser à la radicalisation et à certaines conséquences... Mais cela dépend, aussi du type d’idéologie ou de religion, le fond moral, auxquels cette personne ou ce groupe adhèrent et comment ces idéologies, religions … leur ont été présentées, des colères, qu’elles ont macérées en leur for intérieur, et des frustrations, qu’elles n’ont pas digérées.

 

J’ai été au premier rang, sur cette question, avec, au moins, une personne de ma familles, violente, paranoïaque, narcissique, qui n’écoute finalement que lui-même _ même s’il fait semblant de vous écouter, étant doué pour cela _, pathologiquement incapable d’aimer ou de ressentir de la compassion (psychopathe). J’appellerais cette personne « personnalité hypertrophiée ».

 

Quelle est ma définition du terme « psychopathe » ? Il est certain que le mot "psychopathe" n'est pas vraiment un terme défini avec la rigueur scientifique suffisante (bref, il n'est pas "garanti par le gouvernement"). J'emploi ce mot dans cette acceptation, en désignant comme "psychopathe" celui qui n'a aucune conscience morale, qui peut être tout le temps dans le mensonge, sans que cela le gêne, qui est incapable de ressentir la moindre empathie ou compassion pour autrui. Il peut voir mourir devant lui des personnes sans que cela le touche, même légèrement. Il est froid, indifférent à la souffrance d'autrui.

 

Il est impossible de discuter avec la « personnalité hypertrophiée », tout comme avec le « plus jeune que moi ». Ils sont persuadés de détenir la vérité_ idéologique, sur l’argent, l’idéologie capitaliste et libérale … _ qu’ils veulent toujours vous imposer. Ils ont toujours réponse à tout. J’ai connu, dans sa jeunesse, un frère qui manquait d’assurance. Mais depuis, il devenu bourré de certitudes _sur l’argent, le pouvoir …, les mêmes certitudes que la « personnalité hypertrophiée » _, ces certitudes « aveuglantes » lui donnent confiance en lui, lui donne l’impression d’être supérieur aux autres, et sont mêmes à l’origine d’une attitude arrogante ou méprisantes (pour ceux qui ne partagent pas ses certitudes).

Leur attitude est, par moment, conditionnée par leur addiction à l’argent et au pouvoir _ il y a une vraie avidité pour l’argent, surtout chez le « plus jeune que moi », qui ne fait jamais rien gratuitement. Car « La fourmi n’est pas prêteuse, c’est là son moindre défaut ».

 

La dictature des apparences (comme celle qui régnait dans ma famille, et qui dirige toujours le comportement de le « plus jeune que moi »), le fait de vivre sans cesse dans le mensonge (la dissimulation, l’hypocrisie …), rend paranoïaque.

 

Il y a un cercle vicieux du mensonge, un mensonge servant souvent à dissimuler un autre mensonge, et ainsi de suite. Cela devient une vraie maladie, surtout quand c’est dans le but d’abuser (comme chez le joueur compulsif). Il peut y avoir une certaine gratification à tromper, sans cesse, autrui, qui peut renforcer son orgueil et l’impression d’être plus intelligent que les autres (il y aurait une certaine addiction au mensonge ou au fait de tromper autrui).

 

Il m’est très difficile de coincer le « plus jeune que moi », car il s’arrange toujours pour sauver d’une façon fanatique les apparence (pour être incoinçable), avec une force et volonté incroyables. Il est dans le mensonge jusqu’au-boutiste. Ce fonctionnement mental me semblait « diabolique »[1].  

Et si j’arrive à le coincer, à le démasquer (à le mettre en défaut par rapport à ses manipulations ou mensonges), il peut devenir très méchant et dangereux.

Ce fonctionnement mental « diabolique » est, en tout cas, redoutable (pour moi, il est épouvantable. C’est comme un cauchemar).  J’en reparlerais plus loin, quand l’on abordera le fonctionnement de Mahomet.

 

 

Souvent, le fanatique est convaincu de détenir des vérités supérieures, qui lui donne l’impression d’être plus puissant, supérieure à ceux qui ne possèdent pas ces « vérités », qui n’ont pas reçus cette illumination ou révélation extraordinaires _ religieuses, idéologiques ...

 

Mais ce mécanisme intellectuel de rejets de tout ce qui est désagréable et/ou qui contredit nos croyances, nous oblige à une certaine malhonnêteté intellectuelle. David Vallat en parlait justement dans un de ces derniers posts (messages FB).

Quand le radicalisé est confronté à question difficile, qui devrait induire, dans son esprit, le doute relativement à sa propre croyance, il peut réagir d’une façon  déroutante, inattendue, devenir agressif, vous accuser de mentir, de lui vouloir du mal, ou bien il peut contrattaquer avec une nouvelle information souvent forte (choquante …), inconnue de vous, qu’elle soit fausse ou vraie, ce n’est le but principal, cette information ayant plutôt pour but de détourner votre attention envers la question de départ, de faire écran de fumée devant face à question de départ, de vous embrouiller l’esprit  …

 

Dans le cas d’un conflit, comme dans le cas du conflit israélo-palestiniens, pour le radicalisé, il ne peut y avoir de position médiane ou modérée. Pour eux, « La neutralité n'existe pas en temps de guerre ». L’extrémiste accablera, systématiquement, de tous les maux l’autre camp, responsable de tout, à ses yeux.

Le conflit semble l’exciter. Pour lui, il y a les forts et les lâches. On doit choisir son camp, la neutralité n’existe pas ou n’est pas autorisé, à ses yeux. Tu es pour ou contre son camp. Il te force à choisir son camp. A ses yeux, l’objectivité n’existe pas.

Ce genre de personne, qui accuse l’autre camp d’avoir déclenché la guerre, est justement de ceux qui déclenchent les guerres, par leurs positions extrémistes.

Certains appellent, de tous leurs vœux, la guerre, perçue par eux, comme un processus rédempteur, « catharsistique ».

 

J'ai l'impression que les extrémistes sont inguérissables, ingérables. Ils sont souvent comme un disque rayé, au discours répétitif, comme un véhicule empruntant toujours la même route. Animés par leur passion, ils n'ont plus de bon sens, alors semer la zizanie, le conflit, la polémique, dans les groupes modérés (groupes de réflexions, « think tank » etc. ...).

 

Le fanatique est le plus souvent conformiste et/ou appelant au conformisme. Il est incapable de s'éloigner de la route de la routine, y mettre du "peps" … afin de ne plus être un bison, acéphale, la tête dans le guidon, afin de prendre les voies de traverses, les itinéraires verts ou bis, les itinéraires se voulant alternatifs par rapport aux axes à très grande circulation, où tout le monde s'engouffre ... La plupart des génies et inventeurs, ayant fait grandement avancer l’humanité, étaient des non-conformistes (Einstein, Edison, De Vinci, Tesla etc.).

Le fanatique nous impose le plus souvent le poids de la religion, de la culture, de l'éducation, de la coutume, des traditions, des codes et cadres sociaux rigides ...

Notre marche de manœuvre en tant qu'être humain reste malgré tout restreinte et l'itinéraire alternatif parfois impraticable, et encore moins praticables justement à cause des fanatismes et du poids des traditions et préjugés.

 

Il y a, avec eux, un vrai combat, un vrai rapport de force. A certains moments, je passe mon temps à les contrer, à les tacler en permanence. Pour résister à leur pression idéologique et morale (passionnelle), je leur alors mets, en retour, une pression énorme antagoniste.

 

Il me semble très difficile de leur faire comprendre que leur « fanatisme » peut être un mécanisme psychologique compensatoire pour leur apporter une sécurité intérieure (souvent fallacieuse).

 

Le (mécanisme du) fanatisme permet d’acquérir de la confiance en soi, de réduire ses angoisses (i.e. de réduire les dissonances cognitives), en rejetant hors du champ de sa conscience, toutes les questions pénibles, dérangeantes voire insupportables, insoutenables, qu’on n’a pas envie d’aborder (le fanatisme rend la compréhension du monde, plus simple et rassurante).

 

Je me suis souvent demandé si le narcissisme extrême et la psychopathie ne sont pas des mécanismes compensateurs pour neutraliser un sentiment d’insécurité intérieure, causé par des épisodes d’abandons affectifs, d’humiliations, dont un parent ou une personne qui a autorité sur vous est la cause, en vous dévalorisant ou dénigrant, sans cesse.

 

Même les non-dits familiaux _ négatifs, comme le fait « d’être l’enfant que personne ne veut » (l’enfant non désiré) _ peuvent contribuer à développer votre sentiment d’insécurité intérieure et de manque de confiance en vous. Or un besoin reconnaissance immense (pathologique) est peut-être un moyen d’y échapper.

 

Il est possible que le prophétisme constitue justement le cas extrême de ce processus compensatoire, pour compenser un sentiment de dévalorisation ou d’insécurité intérieure, un manque de confiance en soi extrêmes. 

Tout dépend aussi des valeurs morales et des croyances ou superstitions qui lui ont été inculqués.

 

Je crois que l’injustice (on sait que le sentiment d’injustice est inné), la violence, la maltraitance peut conduire à l’extrémisme. Et l'extrémisme et le manque d'objectivité fanatique associée proviennent souvent des situations d'injustice extrême que l'on a subi. Sans l'exploitation terrible des travailleurs par le capitalisme, au 19° siècle, pas de communisme, appelant à la prise du pouvoir par la violence (le pouvoir est au bout du fusil) ... Sans maltraitance extrême de la part de son père violent et alcoolique, Aloïs, et sans agitation nationaliste et militariste violente, pas d'Hitler (probablement la même chose pour expliquer l'extrémisme de Mahomet qu'il a, malheureusement, aussi communiqué à ses adeptes). Sans la Shoah, et sans l'antisémitisme occidental et musulman, pas de création de l'état d'Israël. Et pas de haine inextinguible entre Israéliens et Palestiniens.

 

3       La force de la conviction irrationnelle chez les musulmans

 

Par exemple, la femme, Lucia …, auteur de la vidéo, ci-dessous, nous explique :

a) qu’elle est une universitaire ayant passé l’agrégation[2],

b) qu’elle s’est convertie à l’islam,

c) que depuis elle a « compris » que la terre était en réalité plate (conformément à l’Islam) :

 

La terre ne bouge pas !, Lucia Canovi, https://www.youtube.com/watch?v=ztDm0ydZh-E

En raison, semble-t-il de la force de sa conviction sur la véracité « universelle » de l'Islam, cette dame, ayant une culture scientifique, semble-t-il limitée (ou à "trous") essaye de faire correspondre, par tous les moyens intellectuels possibles (!), les faits scientifiques réels, aux affirmations "scientifiques" de Mahomet, datant de plus de 14 siècles.

 

Elle oppose les affirmations "scientifiques" des Hadith-s de Mahomet à toutes les découvertes scientifiques ultérieures, comme si la science n’avait pas progressé, depuis le 17° siècle, via un long processus scientifique depuis Nicolas Copernic, Galileo Galilée, Tycho Brahe, Johannes Kepler, Isaac Newton, jusqu’à Albert Einstein, (voire via Eratosthène) ayant conduit à la construction de conception cosmologique actuelle de l'univers.

 

En effet, elle passe 16 minutes à affirmer, répéter (comme dans le coran), sans une seule vraie démonstration, sans une seule vraie preuve, pour démontrer que la terre ne tourne pas. Cela malgré les milliers preuves fournies, dans le passé, du fait que la terre tourne, par exemple, grâce aux multiples expériences spatiales (lancées par la NASA, l’ESA …), aux photos de la terre prises par les astronautes, leurs témoignages, l’expérience du pendule de Foucault etc.

 

Eclipse de lune d’après les partisans de la terre plate. Si la terre a la forme d’une pizza plate, alors son ombre sur la lune sera celle-ci.

 

Par ailleurs, des imans, des groupes religieux islamiques lancent régulièrement des fatwas ou des affirmations « pseudo-scientifiques », y compris contre des faits pourtant avérés et scientifiques, comme par exemple :

 

A Bandah Aceh, sur l’île de Sumatra, lors du tsunami de 2004, les membres du Parti de la justice et de la prospérité (parti islamiste) avaient expliqué aux victimes que cette catastrophe était liée à la colère de Dieu en raison de la dégradation et de la corruption des mœurs passées des victimes, semblant faire fi des vraies causes du tsunami, en fait, liées à la tectonique des plaques et à la collision des plaques tectoniques eurasienne et indo-australienne[3].

 

Sinon, selon l'ayatollah Kazem Sedighi, imam de la prière du vendredi de Téhéran, l'augmentation des relations sexuelles illicites est la cause de l'accroissement des tremblements de terre, car explique-t-il « Beaucoup de femmes mal habillées » (ne respectant pas la tenue islamique, ndlr) « corrompent les jeunes, et l'augmentation des relations sexuelles illicites fait accroitre le nombre des tremblements de terre ».

 

Selon le cheick et prédicateur, saoudien, Bandar al-Khaibari, la Terre est "stationnaire et ne bouge pas"[4].

 

Certains prédicateurs musulmans émettent des fatwas encore plus délirantes, telles que :

 

Une fatwa pour interdire le jeu d’échec[5] : http://www.lepoint.fr/monde/une-fatwa-lancee-contre-les-echecs-en-arabie-saoudite-22-01-2016-2011948_24.php

Une fatwa affirmant que la masturbation qui va donner des mains enceintes dans l'au-delà ..., http://www.ladepeche.fr/article/2015/05/27/2112833-televangeliste-turc-masturbation-rendra-mains-enceintes-dela.html   

 

Etc.

 

Quand on enquête pour comprendre comme des gens peuvent émettre des affirmations (ou avis) aussi insensés, on se rend compte que toutes ces personnes essayent de faire correspondre les faits réels aux affirmations de Mahomet, reportés par les hadiths, prises, par ces personnes, comme « parole d’Evangile » (c'est-à-dire considérées comme des vérités incontestables).

 

Or toutes ces affirmations « scientifiques » sont, d’ailleurs, réfutées. Par exemple, par Majid Ouchaka, dans ses vidéos :

 

·         Les « mirages » scientifiques du Coran, https://m.youtube.com/watch?v=qMjjcvibOM8

·         Épisode 1 / Les erreurs scientifiques discréditant le Coran [LE CŒUR], https://www.youtube.com/watch?v=jGaFGp7HERw
Épisode 2 / Les erreurs scientifiques discréditant le Coran [LA TERRE VUE DU CIEL], 
https://www.youtube.com/watch?v=WNbK70zFPkk

 

Le problème du fanatisme est qu'il n'a pas besoin de preuve pour être convaincu d'un fait (réel ou non), il se contente de rumeur, de théories séduisantes qui vont toujours dans le sens de ses convictions. Ils ne lisent que les écrits, livres qui vont dans le sens de leurs croyances, parce que les autres écrits (c’est à dire les écrits des auteurs critiques) sont « d’un parti pris flagrant (ils ne sont pas objectifs). Un croyant ne lit que les auteurs de bonne foi et pas les auteurs qui écrivent seulement pour casser du sucre dans sur le dos de la religion (ou de la croyance) et du prophète ».

 

Les découvertes de la science[6], la démarche scientifique qui demande une grande rigueur et honnêteté intellectuelles et souvent un haut niveau de connaissance, gênent et embêtent le croyant. Elles lui sont désagréables, car opposées à ses convictions, dont il préfère les ignorer (les zapper).

 

Voici aussi une autre page web réfutant la concordance du Coran avec la science moderne _ le concordisme étant une démarche reposant sur un certain nombre d'impostures scientifiques et approximations pseudoscientifiques : http://atheisme.free.fr/Religion/Coran_science.htm

 

4       Attitudes quérulentes et victimaires

 

Les militants se posent constamment en victime[7] ...  par exemple dans l’affaire du voile en France :

 

·         The Way People Look at Us Has Changed’: Muslim Women on Life in Europe, Lillie Dremeaux, 2 septembre 2016, The New York Times, http://mobile.nytimes.com/2016/09/03/world/europe/burkini-ban-muslim-women.html

·         Why we wear the burkini: five women on dressing modestly at the beach, Carmen Fishwick, The Gardian, 31 août 2016, https://www.theguardian.com/world/2016/aug/31/why-we-wear-the-burkini-five-women-on-dressing-modestly-at-the-beach

 

Dès que l’on veut parler des aspects litigieux, génocidaires[8], injustes[9] de l’Islam ou de Mahomet (et de sa conduite), les 83 expéditions guerrières[10] et 42 meurtres d’opposants[11] commandités par Mahomet, qu’on critique l’islam et Mahomet alors les adeptes, les contempteurs, les propagandistes et prosélytes de l’islam[12] opposent immédiatement l’argument du « délit de blasphème[13] [14] [15] [16] [17] » ou du « racisme antireligieux » et menacent de mort ou de procès[18] [19] ou exécutent[20] [21] ceux qui critiquent l’islam et Mahomet.

 

La lapidation préconisée par l’Islam, contre les couples adultères.

 

Il a souvent une attitude très communautariste chez les musulmans.

Un bon nombre de ses membres ne cherche jamais à se plier aux mœurs, à s’intégrer et à respecter les mœurs des pays d’accueils.  Cette proportion non négligeable de musulmans ne recherche pas le « vivre ensemble », préférant :

1) parler l’arabe[22] (et/ou maîtrisant imparfaitement le Français),

2) porter leur propre vêture (le port du voile[23], envahissant l’espace publique, recherche de provocations intentionnelles en vue d’alimenter la polémique du burkini et de la burka[24]),

3) manger halal et le refus du porc (imposée jusque dans la moindre superette, dans la cantine des écoles _ nous devons accepter que les animaux souffrent longuement d’un égorgement, avant de mourir[25]),

4) leurs boutiques et commerces (boucherie halal, superette ne vendant ni porc ni alcool …),

5) leurs quartiers (nombreux ilots communautaires dans les villes et villages en Europe, avec parfois l’instauration, dans ces quartiers, d’une police des mœurs « halals » vérifiant mes comportements conformes au Coran des habitants[26]),

5) leurs us et coutumes (pour reproduire le mode de vie musulman oriental au sein de la république), leurs mariages (voire avec des mineurs, voire forcés ou non, voire polygames), leurs propre droits de la femme, selon la loi de la Charia qui impose un statut juridique de la femme inférieur à celui des homme (contraires aux valeurs et lois de la république), leurs écoles (madrasas où médersas religieux, où l’on y envoie des enfants dès l’âge de 5 ans et où sont utilisés les manuels scolaires de l’Arabie saoudite, où l’on enseigne l’intolérance envers les autres religions[27]  …) et même leurs autoécoles (non mixtes et réservées aux femmes « musulmanes », comme à Villefranche),

6) leurs ennemis jurés (les juifs, Israël, un état qu’il faut détruire) et leurs « mécréants » (c'est-à-dire tout non-musulman chrétiens, juifs, bouddhistes … un terme péjoratif et infamant, en Islam),

7) leur version victimaire de l’histoire (esclavagisme, colonialisme[28] [29] [30] [31], ghettoïsation, racisme, etc.),

8) les exigences communautaristes dans les hôpitaux (l’exigence que la patiente ou le patient soit sans contact avec le personnel hospitalier ou que les femmes musulmanes ne puissent pas être examinée par un personnel soignant homme),

9) leurs horaires de piscine et/ou la privatisation de lieux réservés uniquement aux femmes musulmanes portant le burkinis ou voilées, le tourisme communautaire et halal[32]

 

Au travers de l’énumération de tous ces faits, nous notons une claire volonté à ne pas s’intégrer parmi les français, de tout faire pour se distinguer d’eux. 

Sous couvert de vivre en toute liberté démocratique leur religion, les plaintes contre l’islamophobie sert depuis longtemps de prétexte pour imposer, jour après jour, des revendications islamistes, communautaires et identitaires et pour reconstruire, en France, un mode de vie de plus en plus revendiqué avec force, par l’imposition d’une pression constante sur les Français non musulmans afin de leur faire accepter toutes ces revendications communautaristes.

De plus, l’attitude des musulmans, perçue par les Français, c’est souvent : « ôte-toi de là que je m’y pousse »[33].

 

Or justement les Français n’ont jamais rencontré une telle situation de pression morale constante, pour leur faire accepter toutes leurs coutumes, avec les autres communautés, vivant en France, qu’elles soient indiennes, sikhs, asiatiques, bouddhistes, ces dernières restant, elles discrètes, n’étalant pas à longueur d’année leur problème, voire pudiques.

En moyenne, les Français n’ont jamais eu à se plaindre de ces dernières communautés malgré leur importance. 

A-t-on vu les autres communautés imposer [j’insiste sur ce terme] leurs propres interdits alimentaires à l’ensemble des français (interdiction de la viande de vache, pour les hindouistes), leur culte (salle de prière …) sur le lieu de travail ?

 

Comme l’indiquait Charles de Gaulle : « Si une communauté n'est pas acceptée, c'est parce qu'elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c'est parce qu'elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous pour imposer ses mœurs »[34].

 

Une jeune marocaine écrit "je suis pour le respect de la culture du peuple sur le territoire duquel on se trouve"[35].

C’est justement ce que les Français attendent des musulmans accueillis en France.

 

Ces femmes sourient-elles pour la photo ?

 

Sur le site du journal du Musulman, l’on lit :

Tout le monde peut être victime [de l’islamophobie], comment réagir ?

Les actes islamophobes ne sont pas seulement des agressions physiques ; Que ce soit sous forme de provocations, injures, menaces, insultes verbales ou écrites, au travail ou pendant un loisir … Nous ne devons rien laisser passer.

Ne pas minimiser les discriminations : Ceux qui cherchent à se dé-diaboliser aimerait banaliser l’islamophobie.

·         Contacter le CCIF :  par le biais de leur pole juridique, ils vous conseilleront et vous assisteront dans les démarches à effectuer  site du CCIF

·         Rassembler preuves et témoignages : témoins direct ou indirect des faits commis, vidéos, enregistrement, écrits (courrier, mail notes de service…). Ne rien négliger.

·         Porter plainte

L’auteur doit être sanctionné. Sinon il ressentira un sentiment d’impunité qui le poussera à recommencer.

 

Comme si l’Islam était une « religion de paix et tolérante » à l’exemple d’autres religions[36] [37], qui n’appelle pas au meurtre des homosexuels, des apostats et des athées.

Et qu’entend-on par provocation ? Est-ce la critique de Mahomet et de l’Islam ? Ou une critique visant une personne musulmane précise ?

 

En 1979, Kate Millett, féministe américaine, qui avait soutenu l’opposition au Shah d’Iran, est accusée d’impérialisme et de « racisme envers l’islam[38] », pour avoir encouragé les femmes iraniennes à refuser de porter le voile.

 

Al Muhajiroun, le groupe d'Omar Bakri, à la fin des années 90, éditait des tracts indiquant : « La guerre contre l'islam existe depuis le jour où l'islam a été révélé à Muhammad[39]. Après mille quatre cents ans d'histoire, la réalité demeure, même si la forme sous laquelle elle se présente à nous a changé. Sous la bannière de la globalisation, de la liberté et des droits de l'homme, de l'ONU, etc., la guerre [contre l’Islam) continue... […] Le fait que la Grande-Bretagne soit une nation de gens qui détestent l'islam, où nous souffrons de discriminations, n'est ni une surprise ni une découverte radicale. La Umma est vilipendée, désignée à la vindicte, et exterminée dans une large mesure. Le but des impérialistes est de nous démoniser, de nous assimiler ou de nous détruire […] Les musulmans modérés vendent leurs âmes et mettent au jour toute l'évidence de leur mentalité d'esclaves[40] ».

 

L'Islamic Human Rights Commission[41] _ qui a pour objectifs de 1) Soutenir les droits et les devoirs des êtres humains. 2) Favoriser un nouvel ordre social et international basé sur la vérité, la justice, la droiture et la générosité, plutôt que l'intérêt égoïste. 3) Exiger la vertu et s'opposer aux mauvaises choses dues à la dérive des puissants dans l'exercice de la puissance quelle que soit sa source — par exemple politique, juridique, médiatique, économique, militaire, personnelle, etc. 4) Recueillir les informations sur les atrocités, l'oppression, et les autres abus des droits de Dieu. 5) Faire campagne pour la réparation de tels crimes. 6) Poursuivre les criminels en justice _, sur son site, donne deux exemples illustrant qui sont les principales victimes de ce fléau (selon elle) : les talibans et les islamistes palestiniens — pas les militants palesti¬niens en général, seulement les militants palestiniens islamistes. Elle entame des poursuites pour « islamophobie », contre tous ceux qui critiquent Mahomet et l’islam.

Ces associations qui condamnent l’islamophobie, prônent souvent la haine et la violence contre les homosexuels.

 

La quérulence désigne habituellement un comportement [excessivement] revendicateur. Précisément, elle caractérise une tendance pathologique à réclamer la réparation de dommages de justice imaginaires, de procédures administratives, ou judiciaires abusives. Autrement dit, les sujets atteints de quérulence (ou sujets quérulents) affirment avoir été lésés et multiplient les procès afin de réclamer justice.

 

Ces exemples d’attitudes quérulentes ne sont pas liés au hasard, car Mahomet, par son caractère paranoïaque, querelleur, agressif, quérulent, obstiné … a lui-même donné l’exemple (et fournit des précédentes sources d’inspirations pour les adeptes). 

 

5       La contribution du fanatique aux prophéties autoréalisatrices

 

Selon Hani Ramadan « Palestiniens, lrakiens, Syriens sont tous des victimes du sionisme. Mais ceux qui en subiront les plus terribles conséquences sont les juifs » (le 8 oct. 2017, 00:20).

 

 

Cette déclaration d’Hani Ramadan sonne assez clairement comme une menace de rétorsions qui seraient justifiées contre les Juifs en raison d'un complot mondial qu'ils sont censés fomenter et que Ramadan, le frère aîné, nomme pudiquement "sionisme".

 

Ce discours me rappelle le discours d’Hitler, du 30 janvier 1939, qui déclarait dans un discours au Reichstag :

 

« Aujourd’hui, je serai encore un prophète : si la finance juive internationale en Europe et hors d’Europe devait parvenir encore une fois à précipiter les peuples dans une guerre mondiale, alors le résultat ne serait pas la Bolchevisation du monde, donc la victoire de la juiverie, au contraire, ce serait l’anéantissement de la race juive en Europe »[42].

 

Le problème de ces haines irrationnelles est qu'elles se transforment souvent en prophétie auto-réalisatrice. Car à force de vouloir la destruction d’un groupe, on fait tout ensuite, avec détermination maniaque, fanatique, pour que cette destruction se réalise. Et si cette destruction se réalise, alors l’on affirme que c’est la prophétie qui se réalise. Alors que la « prophétie surnaturelle » n’a rien à voir avec la réalisation acharnée (mais non miraculeuse) de cette destruction.

 

Un arabe m’écrit « Il n'y a pas de doutes que les Palestiniens sont victimes du sionisme, il faut être aveugle pour ne pas le voir, et c'est bien connu, nul n'est plus aveugle que celui qui ne veut voir. Et concernant l'Irak et la Syrie, c'est plus complexe que cela, il faut une analyse plus poussée en géostratégie ».

Ce à quoi je lui ai répondu ainsi : « Vaste débat. L'extrémisme (le manque d'objectivité fanatique associée) proviennent souvent des situations d'injustice extrême que l'on a subi. Sans l'exploitation terrible des travailleurs par le capitalisme, pas de communisme. ... Sinon, sans maltraitance extrême de la part de son père violent et alcoolique, Aloïs, pas d'Hitler (probablement la même chose pour expliquer l'extrémisme de Mahomet qu'il a communiqué à ses adeptes). Sans la Shoah et sans l'antisémitisme musulman, pas de création de l'état d'Israël[43].

Une haine terrible est souvent des deux côtés (sans haine, ce problème israélo-palestinien aurait été résolu depuis longtemps) ».

 

 

6       La quérulence [un comportement excessivement revendicateur] et la mégalomanie de Mahomet :

 

Quand on lit le Coran et les hadiths, l’on constate que Mahomet souvent il s’identifie à Allah (à Dieu) au point qu’on se demande s’il ne fait pas parler Allah par sa bouche. Parlant de lui-même, Mahomet indique :

 

Et tu es certes, d'une moralité éminente (Coran 68:4).

 

En effet, vous avez dans le Messager d'Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment (Coran 33:21).

 

Ceci [le Coran] est la parole d'un noble Messager, doué d'une grande force, et ayant un rang élevé auprès du Maître du Trône, obéi, là-haut, et digne de confiance (Coran 81:19-21).

 

Non ! Par ton Seigneur ! Ils ne seront pas croyants aussi longtemps qu'ils ne t'auront demandé de juger de leurs disputes et qu'ils n'auront éprouvé nulle angoisse pour ce que tu auras décidé, et qu'ils se soumettent complètement [à ta sentence] (Coran 4:65).

 

48.1. En vérité Nous t’avons accordé une victoire éclatante,

48.2. afin qu’Allah te pardonne tes péchés(2), passés et futurs, qu’Il parachève sur toi [Mahomet] Son bienfait et te guide sur une voie droite; (Coran 48 :2).[44]

 

« … ce qui est écrit dans le Coran est vraie en voici la preuve : « Ceux qui injurient (offensent) Allah et Son messager, Allah les maudit ici-bas, comme dans l’au-delà et leur prépare un châtiment avilissant[45] » (Coran 33:57)

 

Intolérance et caractère sectaire de Mahomet :

 

Mahomet ordonnait de le préférer aux propres parents du musulmans [converti à l’Islam] : « Nous avons recommandé à l’homme d’être bon envers son père et sa mère ; mais [et] ‘s’ils te contraignent [force] à M’associer, ce dont tu n’as aucune connaissance [aucun savoir], ne leur obéis pas’ … » (Sourate XXIX (29), verset 8)[46].

 

Coran 48-13. Et quiconque ne croit pas en Allah et en Son messager… alors, pour les mécréants, Nous avons préparé une fournaise ardente.

Coran 33-64 « Dieu a maudit les mécréants et leur a préparé un brasier ardent dans lequel ils demeureront éternellement ».

Coran 48-28.  C’est Lui qui a envoyé Son messager avec la guidée et la religion de vérité [l’Islam] pour la faire triompher sur toute autre religion. Allah suffit comme témoin.

 

Le Coran dit clairement que l'apostasie n'est pas acceptée. « Ce sont ceux-là qu'Allah a maudits, a rendus sourds et a rendu leurs yeux aveugles. Ne méditent-ils pas sur le Coran ? Ou y a-t-il des cadenas sur leurs cœurs ? Ceux qui sont revenus sur leurs pas après que le droit chemin leur a été clairement exposé, le Diable les a séduits et trompés. C'est parce qu'ils ont dit à ceux qui ont de la répulsion pour la révélation d'Allah : « Nous allons vous obéir dans certaines choses ». Allah cependant connaît ce qu'ils cachent. Qu'adviendra-t-il d'eux quand les Anges les achèveront, frappant leurs faces et leurs dos ? Cela parce qu'ils ont suivi ce qui courrouce Allah, et qu'ils ont de la répulsion pour [ce qui attire] Son agrément. Il a donc rendu vaines leurs œuvres » (Coran 47:23-28)[47].

 

Bukhari a rapporté : « L'Apôtre d'Allah dit : 'Le sang d'un musulman qui confesse que nul n'a le droit d'être adoré qu'Allah que je suis son Apôtre ne peut être versé qu'en trois cas : pour meurtre, une personne mariée qui a des rapports sexuels interdits, et celui qui quitte l'islam (apostat) et quitte les musulmans' » (Bukhari, 9, 83, 17.).

 

Un autre hadith dit que quelques apostats ont été amenés à Ali et qu'il les a brûlés. Quand la nouvelle de cette cruauté atteignit Ibn Abbas, il dit : « A sa place, je ne les aurais pas brûlés, parce que l'Apôtre d'Allah l'a interdit, disant : 'Ne punissez personne par le châtiment d'Allah (le feu)’. Je les aurais tués conformément à la règle donnée par l’Apôtre d’Allah : ‘Celui qui change sa religion islamique, tuez-le’ » (Bukhari, 9, 84, 57.).

 

Sr7. 72. Or, Nous l'avons sauvé, (lui) et ceux qui étaient avec lui, par miséricorde de Notre part, et Nous avons exterminé ceux qui traitaient de mensonges Nos enseignements et qui n'étaient pas croyants.

 

Sr8. 17. Ce n'est pas vous qui les avez tués : mais c'est Allah qui les a tués. […][48]

 

Sourate 8, verset 7 : (Rappelez-vous), quand Allah vous promettait qu’une des deux bandes sera à vous. « Vous désiriez vous emparer de celle qui était sans armes, alors qu’Allah voulait par Ses paroles faire triompher la vérité et anéantir les mécréants jusqu’au dernier.

 

Sourate 8, verset 12 : Et ton Seigneur révéla aux Anges : « Je suis avec vous : affermissez donc les croyants. Je vais jeter l’effroi dans les cœurs des mécréants. Frappez donc au-dessus des cous et frappez-les sur tous les bouts des doigts.

 

Sourate 8, verset 39 : Et combattez-les jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’association, et que la religion soit entièrement à Allah. Puis, s’ils cessent (ils seront pardonnés car) Allah observe bien ce qu’ils œuvrent.

 

Sourate 2, verset 191 : Tuez-les, où que vous les rencontriez ; et chassez-les d’où ils vous ont chassés : l’association est plus grave que le meurtre[49].

 

Incitations à donner sa vie pour Dieu (ou le jihad) :

 

Sr3. 157. Et si vous êtes tués dans le sentier d'Allah ou si vous mourez, un pardon de la part d'Allah et une miséricorde valent mieux que ce qu'ils amassent.

Sr3. 158. Que vous mouriez ou que vous soyez tués, c'est vers Allah que vous serez rassemblés.

Sr62.6. « Dis : ‘O vous qui pratiquez le judaïsme ! Si vous prétendez être les bien aimés d’Allah à l’exclusion des autres, souhaitez donc la mort, si vous êtes véridiques’ ».

 

Le refus de toute discussion et de toute critique de lui-même et de l’Islam :

 

« Il n’appartient pas à un croyant ou à une croyante, une fois qu’Allah et Son Messager ont décidé d’une chose, d’avoir encore le choix dans leur façon d’agir » (Coran S33:36)[50].

 

« 5.101. Ô les croyants ! Ne posez pas de questions sur des choses qui, si elles vous étaient divulguées, vous mécontenteraient. Et si vous posez des questions à leur sujet, pendant que le Coran est révélé, elles vous seront divulguées. Allah vous a pardonné cela. Et Allah est Pardonneur et Indulgent (Coran 5 :101).

5.102. Un peuple avant vous avait posé des questions (pareilles) puis, devinrent de leur fait mécréants[51] ».

 

Relaté par Al-Mughira bin Shu'ba: Le Prophète a dit : « Allah vous a interdit (1) d’être désobéissant à vos mères, (2) d’enterrer vos filles vivantes, (3) de ne pas payer les droits pour les autres (par exemple la charité, etc.) et (4) de mendier (mendicité) et Allah a haïs pour vous (1) les vains parlers inutiles, ou que vous parlez trop sur les autres, (2) de poser trop de nombreuses questions, (en matière de questions religieuses contestées) et (3) de gaspiller la richesse (par l'extravagance) », Sahih Bukhari Volume 003, Livre 041, Hadith Numéro 591.

 

Relaté par le greffier (clerc) Al-Mughira bin Shu'ba :

 « Muawiya a écrit à Al-Mughira bin Shu'ba : Écrivez-moi quelque chose que vous avez entendu parler du Prophète (p.b.u.h)." Donc, Al-Mughira a écrit : J'entendu le Prophète dire : « Allah a détesté pour vous trois choses :

1. Les vains entretiens, (les parlers inutiles) ou que vous parlez trop ou sur les autres.

2. Gaspiller la richesse (par l'extravagance)

3. Et vous poser trop de questions (en matière religieuse contestées) ou en demandant à d'autres pour quelque chose (sauf en cas de grand besoin) ».

Sahih Bukhari Volume 002, Livre 024, Hadith Numéro 555 (Voir aussi le Hadith n ° 591, Vol. III).

 

Les adeptes sectaires se posent toujours en victimes, mais ne voient jamais les souffrances qu’ils infligent aux autres et à leur propre famille (comme si une sorte d’aveuglement mental leur permet de se déresponsabiliser ou déculpabiliser par rapport aux souffrances qu’ils causent aux autres[52]). Examinons la quérulence du CCIF.

 

7       Le prêt-à-penser islamique

 

Même si ce que j’affirme n’a rien de bien scientifique, j'ai constaté que beaucoup de musulmans sont les propagandistes, font l'apologie, la prédication (dawa ou da`wa) de leur propre religion, se sentent l'obligation et le devoir de répandre leur religion,

Et cette dawa peut se faire selon plusieurs tactiques :

1) montrer que Mahomet est un exemple et beau modèle, 
2) qu'il est le dernier des prophètes (le sceau de la prophétie. Voire qu'il est le plus grand des prophètes),
3) que le Coran est incréé, la parole de Dieu, communiqué directement à Mahomet, son messager,
4) montrer que le Coran est le plus beau livre du monde (par la poésie de ses versets. ...), 
5) que l'arabe (littéraire) est la plus belle langue du monde (la plus riche, la plus poétique... ou une très belle langue), 
6) que la science islamique a permis, par la transmission de son savoir, du savoir grecque, ses découvertes scientifiques, le décollage scientifique de l'occident (sans islam, point de décollage de l'occident), 
7) que l'islam est prouvé par les "miracles scientifiques" du coran etc. 
8) que la civilisation islamique arabo-persane ... est une des plus grande civilisation du monde (ou une des plus belle).

On peut y rajouter le refus d'accepter l'existence d'un état juif souverain dans le cœur du dar el islam et la diabolisation des actes de cette entité sioniste.

Cet antisionisme fait partie du package du prêt-à-penser islamique, livré avec.

 

Eventuellement, se rajoute à cette liste :

a) l’idée que l’islam respecte l’humain, les droits de l’homme (en cachant le fait que les apostats, athées … sont condamnés à mort),

b) que l’islam est chrétien et/ou juif ou qu’il en est leur successeur naturel et légitime.

 

 

8       Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF)

 

Ce collectif a pour l’objectif officiel de lutter contre tout type de rejet, discrimination ou violence à l'encontre de personnes en raison de leur appartenance réelle ou supposée à l'Islam.

 

Selon le CCIF, ce collectif disposerait d’un budget de 600 000 euros, une dizaine de salariés à plein temps et une quinzaine d'antennes régionales.

Le CCIF s'est opposé à la loi de 2004 interdisant le foulard islamique à l'école, quelques mois avant le vote, comme il a critiqué en 2010 celle interdisant le voile intégral. Il milite pour le port du voile.

 

Le CCIF accuse systématiquement les organisations féministes d'islamophobie, quand celles-ci pointent du doigt les discriminations que subissent les femmes dans le monde musulman, à cause de l’Islam.

 

8.1        Les nombreux procès intentés par ce collectif

 

Le 8 avril 2016, le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) a annoncé vendredi 8 avril son intention de porter plainte avec plus de 400 personnes contre la ministre Laurence Rossignol pour « injure publique à caractère racial », car Laurence Rossignol avait comparé les femmes voilées aux noirs, en abordant la question du voile avec Jean-Jacques Bourdin (sur RMC) « Mais bien sûr, il y a des femmes qui choisissent (le port du voile, ndlr), il y avait des nègres africains, des nègres américains qui étaient pour l'esclavage »[53].

 

Le 4 février 2015, Ismael Boukedja, citoyen français âgé de 19 ans, résidant à Montbéliard a décidé de porter plainte pour provocation à la discrimination raciale ou à la haine raciale contre Nathalie Kosciusko-Morizet suite à ses propos tenus sur RMC, en préconisant le « placement des enfants musulmans en dehors de leur famille »[54].

 

Le 25 juin 2013, sur France Culture, la journaliste Caroline Fourest avait remis en cause les propos de Rabia Bentot, une jeune musulmane voilée qui avait été agressée par deux hommes à Argenteuil le 20 mai 2013. Caroline Fourest avait laissé entendre que Rabia Bentot était une affabulatrice et que toute cette affaire n’avait sans doute rien d’une agression islamophobe. La victime avait alors porté plainte contre la journaliste qui avait été condamnée en octobre dernier à verser 3000 euros de dommages et intérêts et 3000 euros de frais de justice, en première instance[55].

Finalement, Caroline Fourest a gagné en appel et Madame Rabia Bentot, elle-même, condamnée à verser à Mme Fourest 4000 euros pour frais de procédure[56] [57].

 

Deux femmes portant un foulard qui ont été prises à partie dans un restaurant de Tremblay, le Cénacle. Après les avoir menacées de les empoisonner (selon elles), le propriétaire a cherché à les renvoyer. Les victimes, accompagnées du CCIF, ont déposé plainte, le 29 août 2016, bien que le restaurateur se soit excusé ensuite sur les réseaux sociaux. Le CCIF se portera partie civile aux côtés des victimes et demandera des sanctions exemplaires « afin de rompre avec l’impunité des violences et discriminations islamophobes »[58].

 

Marc-olivier Fogiel et Ivan Rioufol avaient fustigé une affiche du CCIF « Nous sommes la nation » en invoquant des « femmes toutes voilées » et « des hommes barbus » [et le fait que le CCIF « refait le monde »] _ voir cette affiche du CCIF ci-dessous. Le CCIF avait décidé de porter plainte en 2012 pour propos islamophobes et injures. La XVIIe chambre du Tribunal correctionnel de Paris a rendu sa décision de relaxer les prévenus et de débouter la plainte du CCIF, le jeudi 29 octobre [59] [60] [61] [62].  Dans cet exemple, l’on voit que le CCIF est hyper chatouilleux, voire susceptible, dès qu’on critique ses initiatives.

 

La parution d'une planche dans le numéro d'avril 2013 de "Sciences et Vie Junior" a déclenché un tollé au Collectif contre l'islamophobie en France, qui a demandé des excuses au titre. La planche qui fait hurler le CCIF, et qui a en premier courroucé le site Al Kanz, qui milite également ardemment contre la loi de 2004 qui interdit les signes ostentatoires à l'école publique et laïque, évoque la nostalgie d'un orient marqué par le raffinement de sa gastronomie et de sa culture (on le voit c'est très islamophobe...) qui s'est progressivement effacé au profit de loi liberticides. On y voit la fermeture d'un barbier, un mollah qui interdit de fumer, de boire etc., ou encore un criminel puni avec un phylactère exprimant : "un vol : une patte en moins", des femmes en burqa, qualifiée de "sac" pour l'occasion... Le sens de la caricature ne fait aucun doute : c'est l'islamisme et la radicalisation d'une région qui est ici pointée, comme le confirme d'ailleurs l'expression à l'épithète inversée, servie en guise de titre : "Orient extrême".

Le CCIF y dénonce : « La volonté de dénigrer l’Islam et les musulmans auprès du jeune public […] ce qui s’apparente, aujourd’hui, à la formation d’une culture islamophobe en France »[63] [64] [65].

En novembre 2012, Yves Delahaie relève, dans LePlus / L'Obs[66], qu'en ce qui concerne le droit des femmes, « le rapport [CCIF 2010] conteste[67] une vision de l'analyse de l'Arabie Saoudite[68], proposée par les Éditions Nathan dans l'ouvrage « Comprendre le Monde » »[69].

 

Sur saisine du CCIF, allié dans cette bataille à la Ligue des droits de l'Homme (LDH), un premier arrêté anti-burkini, celui de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes), a été suspendu le 26 août par le Conseil d'Etat. "Victoire de la liberté", a tweeté le directeur du CCIF, Marwan Muhammad, jeune statisticien et ancien diplomate de 38 ans[70].

 

Selon le CCIF "L'état français et ses institutions sont responsables de 70% des actes homophobes recensés" (source le CCIF)[71].

 

8.2        Proximité avec l'islamisme

 

C’est ce même Marwan Muhammad, porte-parole du CCIF, qui déclarait, en août 2011, à la mosquée d’Orly :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française »[72] [73].

 

Note : Sur l'antenne de RMC, devant ses dénégations, le journaliste demande une confirmation à celles-ci et Marwan Muhammad reprend : « […] le CCIF n’a absolument jamais donné de conférence à la mosquée d’Orly, et encore moins moi en août 2011[74] ». Pour l'essayiste Yves Delahaie, il s'agit là d'une « anecdote [qui] suffit à montrer le double discours de Marwan Muhammad[75] ».

 

Suite aux propos racistes envers des femmes voilées dans le restaurant Le Cénacle, Marwan Muhammad du CCIF a lancé une campagne de cyber-harcèlement et organisé un meeting à la Mosquée de Tremblay, le 30 août 2016. Son intervention dans la mosquée, retransmise en direct, était un appel à se mobiliser politiquement[76]. Or son intervention clairement politique tombe sous le coup de la loi de 1905. En effet, l'article 26 de loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Eglises et de l'Etat indique : "Il est interdit de tenir des réunions politiques dans les locaux servant habituellement à l'exercice d'un culte".

 

Le Canard enchaîné affirme, dans un article publié le 17 août 2016, que « le CCIF a défendu des imams expulsés pour radicalisme[77] » et que son président Marwan Muhammad se produit régulièrement en présence d'imams radicaux[78]. Pour Eugénie Bastié, le CCIF est proche des frères musulmans[79]. Lors de cérémonie de levée de fond, le CCIF a, entre autres, invité les imams salafistes Rachid Abou Houdeyfa[80] et Abou Anas[81]. « Aujourd’hui, le CCIF resserre ses liens avec la mouvance néosalafiste française, incarnée par l’ONG islamique Baraka City ou l’activiste numérique Al Kanz[82] ».

Jean-Christophe Moreau précise, dans Le Huffington Post, que le collectif « entretient d'excellentes relations avec l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) », organisation proche des frères musulmans[83].

Dans son article La montée en puissance du controversé Collectif contre l'islamophobie, Eugénie Bastié dénonce les « accointances communautaristes » du CCIF, « notamment auprès du controversé Parti des Indigènes de la République[84] ».

 

Depuis début septembre 2016, le CCIF pour fait une campagne pour un prédicateur salafiste, sexiste, homophobe, Abdelfattah Rahhaoui, à cause de la fermeture de son école l'école confessionnelle musulmane toulousaine hors-contrat, l'école Al-Badr, par l’éducation nationale.  En effet, pour ce prédicateur, « Allah a détruit [les homosexuels] ». Il compare homosexualité et zoophilie. Dans un sermon à la mosquée de Meaux en mai 2015, il affirme que les femmes sont obligées de se voiler : « la femme [selon les autorités françaises] doit être épanouie, à l’école, mais puisque à l’école, on ne peut pas effectivement amener la femme avec son hijab, elle a le droit d’enlever son hijab. Quel droit puisque Allah lui avait donné cette [obligation] ? Et je le dis à tous ceux qui écoutent, à tous ceux qui regardent : le hijab est une obligation qui ne changera jamais ». Il explique aussi que la seule religion qui n'a pas été inventée est l'Islam : « Tout ce qui est christianisme ou judaïsme, comme beaucoup le disent, ce sont des religions qui sont descendues du haut des cieux, c’est faux, c’est faux. Ce sont des religions qui ont été inventées, qui n’ont pas été révélées. La seule religion qui a été, ou qui est, agréée par Allah c’est l’islam. ». Abdelfattah Rahhaoui a été mis en garde à vue du 30 au 31 mars 15 à la SRPJ de Toulouse pour « travail dissimulé dans son établissement » et « outrages aux inspecteurs du travail »[85].

 

Selon Gilbert Collard — député et secrétaire général du Rassemblement bleu Marine — ; « Cette organisation, dont le financement reste opaque, est très proche des imams radicaux et de certaines mosquées salafistes ; dont elle a déjà assuré la défense en justice[86] ».

 

8.3        En conclusion

 

Régulièrement, le CCIF tente de donner des coups de canifs à la liberté d’expression et de parole, quand par exemple l’on doute d’un témoignage relatant un acte d’agression antimusulman, comme l’a fait Caroline Fourest, ou quand on critique une affiche. Le CCIF a souvent une attitude excessivement revendicatrice, quérulente.

Il ne cherche jamais à faire une analyse critique et objective des causes de l’islamophobie dans le monde, en particulier si une partie de ces causes ne serait pas liée à au caractère excessivement revendicateur, chicaneur (quérulent) et le refus d’intégration (de soumission aux lois du pays) d’une partie de la population musulmane dans les pays qui l’a accueillie.

 

En 2013, Abdallah Zekri — qui dirige l'observatoire de l'islamophobie du CFCM (Conseil français du culte musulman) — lui reproche : « Leur objectif est de faire peur à la communauté musulmane. Ils allument le feu en permanence… »[87][88].

Dans L'Obs, Yves Delahaie estime que : « le collectif est loin d’être motivé par le combat du racisme envers les musulmans mais est bel est bien porteur d’un combat idéologique visant à défier la République dans ses principes laïcs[89] »

Bernard Godard identifie le CCIF à un « islam identitaire […] musulmans attachés à la progression du commerce halal, au développement de la finance islamique, à la défense du voile (non intégral), à la solidarité avec des causes musulmanes (palestiniennes notamment), à la promotion dans l'espace médiatique du concept d'islamophobie[90] ».

 

Le CCIF cherche constamment à détruire l’image de la France à l’étranger, en la faisant passer pour un pays islamophobe, ce qui est très dommageable pour la France.  C’est ainsi, par exemple, à l’occasion d’une visite officielle, le 8 juillet, la ministre des Familles, Laurence Rossignol, a été sommée de répondre devant les instances de l’ONU à Genève, aux accusations développées tout au long des 44 pages du rapport relatif du CCIF à la période 2014-2015 « Etre musulmane aujourd’hui en France : les femmes, premières victimes de l’islamophobie », déclarant que « En France, l’islamophobie, une forme de racisme et de sexisme, est largement institutionnelle. En effet, l’Etat français et ses institutions sont responsables de 70 % des actes islamophobes recensés[91] ». Finalement, par convictions excessives, le CCIF finit par croire à ses propres mensonges.

 

Voilà ce que le journaliste Mohamed Sifaoui écrivait en juillet 2015 dans le Huffington Post sur ce même CCIF :

« ... Certaines chapelles, comme l'obscur Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF), profitent du climat ambiant, de la naïveté ou de la lâcheté des responsables politiques et de la crédulité de quelques musulmans, pour entretenir un malaise dès qu'un débat légitime doit s'installer sur des thématiques liées à l'islam. Les membres du CCIF ont trouvé un créneau pour anesthésier le débat public et empêcher toute critique des différents courants prônant un islam politique. Ils avancent leurs pions d'une année à l'autre espérant s'imposer comme un acteur important et crédible.

« Mensonges, diffamations, exagérations, approximations, disait encore Monsieur Mohamed Sifaoui, sont le propre d'un collectif qui veut en vérité disposer d'un outil pour faire taire les détracteurs de l'islam politique et des groupes extrémistes. Ce collectif qui refuse de condamner le terrorisme islamiste cherche aussi à dénier ce droit aux différents acteurs de la société civile. Une prétendue association antiraciste qui, cela dit, a aussi beaucoup de mal à condamner l'antisémitisme, surtout lorsque celui-ci s'exprime à travers les actes ou les paroles de groupes islamistes ou d'individus fanatisés »[92].

Bref, une organisation qui a fait de la défense des droits de l'homme son cheval de Troie pour pénétrer dans la citadelle démocratique et l'anéantir.

 

Les musulmans comme le CCIF font souvent appel à l'argumentum ad misericordiam[93] [94], également appelé appel à la pitié, un sophisme consistant à obtenir l'appui de son argument en exploitant un sentiment de pitié ou de culpabilité chez son adversaire. L'appel à la pitié est une forme d'appel à l'émotion. C’est une des stratégies de manipulations employée par les secte (voir le chapitre « la victimisation : la posture de victime » plus loin dans ce document).

 

Forum international contre l’ISLAMOPHOBIE, le dimanche 11 décembre 2016, à Saint-Gilles, Belgique.

Les islamistes, prônant une vision paranoïaque de leur condition, se posent en victime des « persécutions » des musulmans en Europe, comme si leur situation était identique à celle des juifs sous le nazisme. Source de l’image : https://m.evensi.ca/forum-international-contre-lislamophobie-2016-pianofabriek/194151458

 

C’est cette stratégie (permettant de masquer l’intolérance des prosélytes et), désarmant les adversaires de l’islam, qui est particulièrement dangereux pour les démocraties laïques, pluralistes[95].

Dès ses début, l’islam a fait appel à cet argument : « Abou Bakr [… pleurait et montrait [Mahomet] comme victime [alors que Mahomet était [pourtant] violent [envers les Mecquois][96] ».

Pourtant, souvent les musulmans sont souvent à l’origine des conflits entre eux et des non-musulmans, en utilisant souvent la violence, l’intolérance et les provocations[97] contre les non musulmans[98].

 

Mais il est certain que les membres du CCIF eux-mêmes ne se considèrent pas comme fanatiques ou partisans, même s’ils détestent la démocratie pluraliste et la laïcité à la française[99]. On est toujours le fanatique de quelqu’un d’autre.

 

Au regard des approximations, du comportement partisan, du manque d’objectivité (cachée sous une apparence d’objectivité), que vous avons relevé dans les cas précédents, nous allons essayez de comprendre les mécanismes de ce « comportement partisan ».

 

9       Les chiens de garde de la doctrine, de la religion (ici de l’islam)

 

Dès qu’une religion se transforme en (ou est une) religion fanatique et intolérante, ses membres se constitue en une avant-garde zélote, quérulente, revendiquant sans cesse de nouveaux droits pour leur religion et ses membres, critiquant, dénigrant et déniant tout droit aux autres religions, idéologies ou philosophies, qui, selon leur conception, leur font concurrence ou de l’ombre.

Ils sont les gardiens féroces de l’orthodoxie, n’hésitant pas à supprimer ou à dénigrer tout témoin, tout témoignage, qui iraient à l’encontre de la « bonne réputation », de l’image « positive » de leur religion, de leur prophète, de leurs membres, que les adeptes entretiennent auprès du public, des proches, dans leur tête.

Pour cela, ces zélotes n’hésiteront pas à menacer, à tuer, à détruire … et, dans les démocraties, à utiliser le respect des minorités, la liberté d’expression, pour tuer cette liberté d’expression, pour empêcher la majorité à s’exprimer sur leur attitude (son refus d’intégration, son arrogance etc. …), sur leur minorité violente, fanatique, déterminée, extrémiste, intolérante … en la menaçant de procès à répétitions.

 

Par exemple, dès que les chrétiens, qui refusaient fanatiquement la coexistence tolérante avec la religion et les Dieux romains, ont été reconnus comme des citoyens à part entière dans l’empire romain, et avait acquis un nouveau pouvoir, ces derniers n’ont pas hésité à :

 

a)       Faire interdire et détruire les livres qui critiquaient le christianisme, dont le traité que le philosophe grec néoplatonicien Porphyre de Tyr[100] a écrit contre les Chrétiens[101] etc.

b)      Détruire les évangiles, non orthodoxes [non politiquement corrects], dénommés apocryphes (cachés), comme l’évangile selon Thomas[102], de Judas[103], l’évangile de la femme de jésus[104] etc.

 

A cause des divergences apparaissant à propos du texte du Coran, après la conversion à l'islam des personnes d'ethnie non arabe et après la mort de nombreux compagnons de Mahomet (Hafiz) _ des personnes qui connaissaient le Coran par cœur_, Othman, le troisième calife, avait nommé un comité pour officialiser un unique exemplaire du texte coranique. Et il fit détruire toutes les versions du coran, que ce comité et Othman ne considéraient pas comme orthodoxe. Cette version du Coran est appelée la version othmanienne[105] [106].

 

 

Jusqu’en 1989, les instances communistes font tout pour empêcher la diffusion des informations sur le goulag et la répression en URSS :

 

Le procès Kravtchenko :

« En 1947, la publication de son livre en France sous le titre J'ai choisi la liberté : La vie publique et privée d'un haut fonctionnaire soviétique donne lieu à une polémique retentissante et à de nombreuses attaques des milieux communistes contre Kravtchenko, Le 13 novembre 1947, dans un article signé Sim Thomas, rédigé par le journaliste André Ullmann4,5, l'hebdomadaire Les Lettres françaises, journal proche du Parti communiste français, l'accuse d'être un désinformateur et un agent des États-Unis. Kravtchenko porte plainte contre Les Lettres françaises pour diffamation, et nommément contre Claude Morgan, directeur et André Wurmser, rédacteur.

Ce procès, débute le 24 janvier 1949 devant le tribunal correctionnel de la Seine et dure deux mois. Une centaine de témoins y participent. L'Union soviétique envoie, afin qu'ils le désavouent, d'anciens collègues de Kravtchenko et son ex-épouse. Ils sont soumis aux questions embarrassantes de Georges Izard8. Les avocats de Kravtchenko font venir à la barre des survivants de camps de concentration soviétiques. Parmi eux, Margarete Buber-Neumann, la veuve du leader communiste allemand Heinz Neumann — victime de la Grande terreur et fusillé en 1937 —, elle-même déportée dans un camp du Goulag. Après la signature du Pacte germano-soviétique, elle est livrée par Staline à l'Allemagne nazie et envoyée dans le camp de concentration de Ravensbrück.

Le 4 avril 1949, le procès est remporté par Kravtchenko. Le tribunal lui accorde un dédommagement de 150 000 francs, somme symbolique en comparaison des 11 millions demandés en réparation de la diffamation, et condamne Claude Morgan et André Wurmser à 5 000 francs d'amende chacun.

En appel (novembre-décembre 1949), bien que la condamnation soit maintenue, les avocats de Wurmser et Morgan réussiront à réduire les dédommagements à 1 franc symbolique par procédure, soit 3 francs.

Les intellectuels de la gauche non communiste brillent par leur absence durant le procès9 »[107].

 

Le procès George Bensoussan :

Dans le procès de Georges Bensoussan[108] [109], historien et responsable éditorial du Mémorial de la Shoah, il était accusé d'avoir proféré en public un discours de nature à provoquer la haine, la violence à l'égard d'un groupe de personnes en fonction de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée (article R625-7 du code pénal). Les propos incriminés ont été prononcés le 10 octobre 2015 au cours de l'émission Répliques produite par Alain Finkielkraut consacrée au « sens de la République ». Lors de cette émission radiophonique, Georges Bensoussan citait de mémoire les propos de Smaïn cher prononcés dans un film de Georges Benayoun _ Profs en territoires perdus de la Républiques _, film reprenant le titre d'un livre dirigé par Georges Bensoussan[110] qui allait être diffusé sur France 3 la semaine suivante.

 

Cette citation non verbatim devait mettre Smaïn Laacher, professeur de sociologie à l'Université de Strasbourg en porte-à-faux par rapport à la profession. [Probablement pour se protéger (?),] ce professeur dénonça alors les propos de Georges Bensoussan sur son blog du site Médiapart le 16 octobre 2015 dans un court billet intitulé « Une mise au point de Smaïn Laacher »[111]. Il y cite les propos que lui prête Georges Bensoussan lors de l'émission mais se garde bien de citer les siens.

Voici les propos que tenait Smaïn Laacher dans le film de Georges Benayoun, auquel participait aussi d'ailleurs Georges Bensoussan : « Cet antisémitisme, il est déjà déposé dans l'espace domestique. Il est dans l'espace domestique et il est quasi naturellement déposé sur la langue, déposé dans la langue. Il est dans l'air qu'on respire. Des parents à leurs enfants... quand ils veulent les réprimander, il suffit de les traiter de Juif. Bon. Mais ça, toutes les familles arabes le savent. C'est une hypocrisie monumentale que de ne pas voir que cet antisémitisme, il est d'abord domestique. »

 

Sinon, Smaïn Laacher, dans son article « L’antisémitisme, une histoire de famille ? », Le Monde21 janvier 2016, a écrit notamment :

« L’antisémitisme de ces jeunes issus de l’immigration maghrébine pour qui le juif incarne négativement le complot permanent et le “deux poids, deux mesures” va bien plus loin que le préjugé judéophobe de leurs parents. On ne peut pas faire semblant de penser que la structure familiale est d’un effet nul sur la construction des représentations subjectives. Ce serait absurde. Aussi, ce n’est pas à l’école qu’il faut débusquer l’antisémitisme. Les modes de socialisation sont déterminants. C’est précocement que la langue de la maison, de l’entre-soi, s’apprend sur le mode du “cela va de soi”. Elle est enracinée bien avant toute scolarisation. Elle est déjà là. Et sur cette langue de l’intérieur et donc de l’intériorité sont déposés les mots qui désignent les gens haïssables et les gens “bien” que l’on donne en exemple, ceux que l’on doit fréquenter et ceux que l’on doit impérativement éloigner de soi et des siens[112] ».

 

Or voici ce qu’a dit George Bensoussan[113] :

À la 26e minute de l'émission, Georges Bensoussan déclare : « Aujourd'hui effectivement nous sommes en présence d'un autre peuple qui se constitue au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés. »

Puis à la 28e minute il tient les propos suivants qui provoquent un débat :

 « Il n'y aura pas d'intégration tant qu'on ne se sera pas débarrassé de cet antisémitisme atavique qui est tu, comme un secret. Il se trouve qu’un sociologue algérien, Smaïn Laacher, d’un très grand courage, vient de dire dans le film qui passera sur France 3 : “C’est une honte que de maintenir ce tabou, à savoir que dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère”. »[114].

 

« Le débat a duré cinquante minutes. J'en ai un souvenir très net pour l'avoir écouté. Je me souviens de l'intensité de l'échange, l'âpreté de la controverse. Je me souviens du ton agressif et provocateur de Monsieur Patrick Weil qui par moments ne paraissait pas là pour converser mais pour combattre. Deux visions de la société française s'opposaient : l'une inquiète, de Georges Bensoussan ; l'autre béate, de Patrick Weil ; l'une toute entière centrée sur les faits: l'autre toute entière teintée d'idéologie. D'un côté, Cassandre : de l'autre, Panglos.

C'est dans ce contexte, dans ces circonstances, dans ce cadre, que Georges Bensoussan a tenu les propos qui sont à l'origine des poursuites [...]

La discussion porte rapidement sur la question de l'intégration des immigrés et plus particulièrement sur les difficultés d'identification à la nation française d'une part importante de la jeunesse issue de l'immigration maghrébine et africaine, son rejet de la France au profit d'une identité politico-religieuse dans le contexte du développement de l'islam radical. Les deux débatteurs s'opposent, le ton monte à plusieurs reprises, chacun argumente et contre argumente. À plusieurs reprises, Patrick Weil reproche à Georges Bensoussan de généraliser lorsqu'il évoque le refus d'intégration d'une partie des musulmans de France, ce dont l'historien se défend plusieurs fois : « Je n'ai pas dit l'ensemble, j'ai dit une partie » ou encore « Il faut intégrer ces enfants, il n'y a aucune essentialisation, il n'y a aucune fatalité ». Mais Patrick Weil reste sourd à ces nuances.

Au cours de ces échanges d'une grande densité, Georges Bensoussan est amené à décrire ce qu'il considère être la fracture française : « L'intégration est en panne aujourd'hui. Effectivement, nous sommes en présence d'un autre peuple qui se constitue au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés »[115].

C’est concernant cette phrase, ainsi que celle-ci « dans les familles arabes, en France, et tout le monde le sait mais personne ne veut le dire, l’antisémitisme, on le tète avec le lait de la mère », sortie dans le feu de l’action, de la discussion, du débat (à chaud), que porte l’action en justice, lancée par le CCIF, contre Georges Bensoussan[116].

 

Pour Michel Sibony, témoin de la partie civile, si George Bensoussan avait dit « il y a des gens qui, ce serait acceptable, mais là il essentialise quand il parle de tous ».

 

Selon Bernard Schalscha[117] : « Encore que… Dire « les » familles arabes au lieu de « la plupart » ou même « une majorité de familles arabes » pose problème, un gros problème. Mais ce qui m’a en fait profondément et douloureusement choqué, c’est ce terrible passage : « Aujourd’hui, nous sommes en présence d’un autre peuple au sein de la nation française, qui fait régresser un certain nombre de valeurs démocratiques qui nous ont portés. [...]

Oh certes, il n’a pas dit que cet « autre peuple » c’est les Arabes, mais il a utilisé là cette bonne vieille combine rhétorique chère à l’extrême droite lorsqu’elle veut s’épargner un procès, à savoir ce vieux truc du « suivez mon regard » devant un public qui comprend parfaitement qu’on parle des Juifs. Ici c’étaient donc les Arabes. » »[118].

En tout cas, Bernard Schalscha fait le procès d’intention que Georges Bensoussan a fait preuve de racisme anti-arabe.

Une amie, reprenant les propos de Bernard Schalscha, m'explique que Bensoussan a été attaqué parce qu'il a dit "LES arabes de France" [donc, selon elle, il a généralisé, essentialisé].

 

En réaction à ces prises de position contre Georges Bensoussan, une tribune de soutien paraît le 4 décembre 2016, dans Le Figaro signée par des universitaires, historiens et sociologues stipulant :

 

« Georges Bensoussan n'est pas le premier à évoquer cet antisémitisme culturel. Des intellectuels, notamment maghrébins ou d'origine maghrébine, l'avaient souligné avant lui. Boualem SansalKamel DaoudFethi Benslama et Riad Sattouf pour ne citer que des auteurs reconnus en France, avaient déjà décrit cette situation. Évoquer un “glissement assuré d'un racisme culturel à un racisme biologique”, comme le font les accusateurs de Georges Bensoussan, relève de la bêtise autant que de la mauvaise foi. Le travail mené depuis plus de vingt ans par cet historien, tant dans ses livres qu'à la tête de la Revue d'histoire de la Shoah, montre l'inanité et la perversité de ces accusations ».

« Dire que l'antisémitisme fait partie de la culture islamique, c'est simplement répéter ce qui est dit dans le Coran, enseigné à la mosquée (qui est avant tout une école) et sans doute dans beaucoup de familles traditionnalistes. L'antisémitisme est un réflexe acquis très tôt. Après la vie fera qu'on pratiquera ou qu'on rejettera ce qu'on a appris.

Le conflit israélo-palestinien évoqué quasi quotidiennement dans les médias publics et plus que souvent à la grande prière du vendredi, vient évidemment y ajouter la haine d'Israël, celle des israéliens et celle de ceux qui les soutiennent. Généralement la haine du juif s'exprime en termes canoniques, comme elle est exprimée dans le Coran et les hadiths. L'exécration du juif et du chrétien a son langage et ses formules, qu'il faut respecter à la lettre. »[119].

 

D’autres encore ont dénoncé cet antisémitisme : Malek Boutih, ancien président de SOS racisme et parlementaire, Addelmalek Sayag, sociologue et directeur de recherche au CNRS, aujourd’hui décédé, Saïd Ghallab, journaliste marocain, dans son article « Les Juifs vont en enfer », datant de 1965, dans lequel il écrit à propos de l’antisémitisme domestique « C’est avec ce lait haineux que nous avons grandi »[120].

 

Sinon, selon l’écrivain algérien, Boualem Sansal : « J’ai moi-même en maintes occasions dénoncé cette culture de la haine que les familles arabes inculquent, sciemment et par simple automatisme, à leur enfants, dirigée contre le juif, le chrétien, le mauvais musulman, la femme libre, l’homosexuel etc. »[121].

 

Le 7 mars 2017, George Bensoussan est relaxé par la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, qui, dans ses attendus, précise : « Enfin et surtout, l'infraction de provocation à la haine, la violence ou la discrimination suppose, pour être constituée, un élément intentionnel », et la caractérisation de celui-ci « se heurte au fait que Georges Bensoussan […] n'a eu de cesse de déplorer cette constitution de deux peuples séparés […] et d'appeler non pas à une séparation de la fraction supposée avoir fait sécession, à son rejet, son bannissement ou son éradication, mais au contraire à sa réintégration dans la nation française» Le tribunal a aussi déclaré irrecevable la constitution de partie civile du CCIF72. Le CCIF annonce son intention de faire appel de ce jugement[122].

 

Voici la conclusion qu’en tire Michèle Tribalat[123], dans son texte « La liberté d’expression en danger » :

 

« On ne peut manquer ici de s'interroger sur l'impunité d'associations qui perdent assez souvent leurs procès sans jamais encourir de sanction et sont en grande partie financées par subventions publiques, c'est-à-dire par nos impôts. Ne devraient-elles pas être pénalisées pour avoir sali quelqu'un en portant des accusations dont il reste toujours quelque chose, la presse donnant beaucoup d'échos aux poursuites et moins aux relaxes ? Par ailleurs, la capacité financière à perdre un procès est sans commune mesure entre le prévenu et la partie civile. Les facilités financières et l'absence de sanction rendent, pour les associations, le résultat d'un procès moins important que le fait de l'avoir engagé. Or, on sait que toute poursuite a un pouvoir intimidant, pas seulement pour ceux qui sont poursuivis. Ça coûte financièrement, en réputation, en énergie. C'est épuisant. Même lorsqu'on a gagné, on n'a guère envie de remettre ça. C'est tout le contraire pour les associations des parties civiles qui, même lorsqu'elles perdent, n'ont qu'une envie, c'est recommencer.

Le déroulement du procès, sous la présidence de Fabienne Siredey-Garnier, en dit long sur ce qui reste de la liberté d'expression en France. Il faut veiller attentivement employer les bons articles, à éviter tout ce qui pourrait ressembler à une généralisation, une essentialisation _ c'est le mot qui tue _, oublier les métaphores de la langue française et se méfier du sens figuré des mots. Les avocats doivent venir désormais dans le prétoire avec leurs dictionnaires et encyclopédies sous le bras. L'incertitude sur le langage a même gagné la présidente qui a dit sa gêne sur la manière de qualifier « une population (je ne sais comment la qualifier) » dont il est question dans les propos de Georges Bensoussan »[124].

 

« […] Il se trouve aujourd'hui des ONG, des associations qui prennent les devants et poursuivent en justice les audacieux qui n'ont pas intégré suffisamment la censure. Cette flopée de censeurs est l'équivalent, dans le domaine de l'esprit, des brigades pour la propagation de la vertu et la répression du vice qui sillonnent les rues de certains pays musulmans afin de vérifier la tenue des femmes. Ces censeurs se sont faits les développeurs et les bénéficiaires d'un arsenal juridique visant, en principe, à réprimer le racisme, les appels à la haine et à la discrimination, arsenal dévoyé qui s'est retourné contre ceux qui ont encore la curiosité de regarder le réel en face et d'en rendre compte. S'est développée une idéologie rationnalisant la peur bien compréhensible mais aussi la lâcheté agressive et il s'est trouvé, comme toujours dans ces cas-là, des opportunistes ayant un agenda pour s'en emparer et la répandre. Cette idéologie mêle multiculturalisme, islam politique, reconversion d'un progressisme détourné de la question sociale pour s'investir dans le domaine des mœurs et de la culture. Cette idéologie imprègne, à des degrés divers, rios institutions, y compris l'institution judiciaire.

Si le langage est mis sous surveillance, celle-ci ne frappe pas avec équité. Elle est borgne. Les nouveaux « opprimés » ont droit à tous les écarts de langage : ils souffrent par définition et leur révolte à l'oppression est légitime. Les autochtones, ceux qui sont d'ici (on ne sait plus comment les appeler), vivent sous une surveillance justifiée par une sociologie privée de toute curiosité et qui n'a d'yeux que pour leurs mauvaises pensées et leurs mauvaises actions »[125].

 

Exemples de menaces et pressions (par exemple, sur les dessinateurs du journal satirique Charlie Hebo etc.) :

 

Suite à la une de Charlie Herbdo, sur Tariq Ramadan, menaces de mort contre l’équipe de Charlie :

 

Ham Ag Challah bientôt les cousins à Kouachi vont passer vous voir, ça vous fera du bien.

Hocine Hamiche Des menaces contre qui, contre nous, nous ont emmerdé. Tous les journalistes de Charlie, le bâtard, et ils méritent d’être pendus comme de vulgaires islamophobes.

Abderrahmane Layachi On a baisé Charlie Hebdo chez lui et il y aura une deuxième [fois], ne t’en faites pas.

 

Diffamation des journalistes qui critiquent Tariq Ramadan ou dénigrements des nouvelles donnant une mauvaise image de l’islam et des musulmans :

 

Ramadan Fourest Comment Israël via ses réseaux en France créé de fausses agressions antisémites dans le but …

 


 

Menaces contre des ex-musulmans :

 

Tawka Arwa Allah est unique, c’est le créateur de l’univers, tout est écrit, tout est entendu. Tu parles de notre seigneur comme si tu le connaiçs, une honte, un blasphèèèèèèème !!!

ZIKOTER : Tu as quitté l’islam = L’enfer, et tu seras pus puni qu’une personne qui n’a jamais été dans l’islam

Frenchy Muslim : Et la mort conduit au feu de l’enfer pour les spécimens dansc ton genre.

 

Sur Facebook, il y a un aéropage de militants qui, unanimement, comme un seul homme, font tout pour faire supprimer tout ce qui leur semble antimusulman, anti-islam, auprès des modérateurs de Facebook :

 

 

Nous avons supprimé une de vos publications

Il semblerait que du contenu que vous avez publié ne respecte pas nos standards de la communauté. Nous supprimons les publications qui ciblent des personnes à cause de leur groupe ethnique, origine nationale, affiliation religieuse, orientation sexuelle, sexe ou infirmité.

Nous remarquons que cette une de Charlie critiquait la religion islam et non la communauté des musulmans.

 

Ahmed Meguini est avec Lionel Verdier.

27 novembre, 18:40

Facebook censure une couv de Charlie Hebdo au nom de la protection du droit d'auteur. C'est trop mignon.

 

Facebook O Bonjour Lionel. Il pourrait s'agir d'un problème de droits d'auteur. Consultez nos Pages d'Aide pour en savoir plus : http://billyaAhratZ

Les menaces peuvent être signalées ainsi : http://biLly/2BhfRRVV -Marie

En quoi consistent les droits d'auteur et que protègent-ils ?

 

Ahmed Meguini venait de poster cette une de Charlie :

C’est dur d'être aimé par des cons

 

 

 


 

Certaines personnes n’hésitent pas à véhiculer, consciemment ou inconsciemment, de la désinformation (souvent diffusée par le CCIF) :

 

1'm traveling to France tomorrow, where hate crimes against Muslims are at an all time high #truth

Traduction : « Je vais me rendre en France demain, où les crimes de haine contre les musulmans sont à un niveau élevé #vrai ».

 

Ces mêmes convaincus essayent par tous les moyens de dédouaner l’islam de toute faute morale :

 

Blazy @Blazy_Croco

Les noirs acceptent la traite négrière par les arabes contrairement à celles des colons parce qu’ils avaient plus de respect pour l’esclave.

______________________________________________

 

FATY Doudou jacques

 

Un musulman ne peut être terroriste. Un terroriste ne peut être musulman #Barcelona.

 

L’esclavage permis par Allah n’est pas un esclavagisme rabaissant. Il a + aidé qu’autre chose. En Islam, l’esclave a des droits et accepte d’être esclave. Cela leur a permis a une époque d’extrême pauvreté de pouvoir nourrir leur famille.

 

On peut se demander comment ces sectateurs peuvent être aussi aveugle. Par exemple, l’esclave eunuque avait-il le choix de refuser son émasculation, dans la traite arabo-musulmane ?

 


 

Il y a aussi l’éternel dénigrement des juifs et d’Israël, en faisant appel à la théorie du complot sioniste ou juif, comme y fait souvent appel Hani Ramadan :

 

Hamda Ouakel -INTERROGATION-

Pourquoi les juifs se créent un univers propre À eux et d'où ils excluent le reste de l'humanité, et après, de nous accusent de les mettre en ghetto ? Le peuple élu, l'exode, la Shoah, l'antisémitisme...

 

Hani Ramadan.@ HaniRamad.

Egypte : au moins 305 morts. Les militaires de Sissi et le Mossad sont les principaux suspects. Le plan : rendre le Sinaï aux sionistes.

22:40 - 26 nov. 2017

Hani Ramadan @ HaniRamadan

Après chaque attentat,je recommande à chacun de ne pas croire aveuglément à la version officielle que nous livrent les médias Depuis le 9/11

15:14 • 20 août 17

Hani Ramadan : « Les sionistes tiennent la presse et les média, en effet. Ils visent, comme les frontistes, à diaboliser l’Islam ». 20 août 2017

Palestiniens, Irakiens, Syriens sont tous des victimes du sionisme. Mais qui en subiront les plus terribles conséquences sont les juifs.

 

10    Des exemples de comportements fanatiques ou zélotes

 

« L'Apôtre dit : « Tuez tous les juifs qui tombent en votre pouvoir ». Alors Muhayysa Ben Massoud se jeta sur Ibn Sunaya, un marchand juif avec qui il avait des relations sociales et d'affaires, et le tua. Huwayyisa n'était pas musulman à ce moment, bien qu'il fût l'ainé. Quand Muhayyisa tua [le juif], Huwayyisa (frère de Muhayyisa) commença à le frapper, disant : « Ennemi de Dieu, tu l'as tué alors que beaucoup du gras de ton ventre vient de sa fortune ! ». Muhayyisa répondit : « Si celui qui m'a ordonné de le tuer m'ordonne de te tuer, je te couperais la tête ». Il dit que ce fut le début de la conversion d'Huwayyisa à l'Islam. Il répondit : « Par Dieu, si Mahomet t'avait ordonné de me tuer, m'aurais-tu tué ? — Oui, par Dieu, s'il m'avait ordonné de te couper la tête, je l'aurais fait ». Huwayyisa s'exclama : « Par Dieu, une religion qui peut t'amener à cela est merveilleuse ! ». Et il se fit musulman » [126].

 

Abou Hudhaifa, un jeune croyant mecquois, participait à la bataille de Badr alors que son père était dans le camp ennemi, dans les rangs des Koraïchites. On rapporte que quand Mahomet demanda à ses fidèles d'épargner Abbas, son propre oncle, qui était son espion parmi les Koraïchites, Hudhaifa éleva la voix : « Quoi ? Devons-nous tuer nos pères, frères, oncles, etc., et épargner Abbas ? Non, en vérité, mais je vais le tuer si je le trouve ». En entendant cette remarque impertinente, Mahomet devint rouge de colère. Il se tourna vers Omar et dit : « O Omar, le visage de l'oncle de l'Apôtre devrait-il être marqué pour l'épée ? » Omar, dans son habituelle attitude de sycophante[127], dégaina son épée et répondit : « Laisse-moi lui couper la tête. Par Dieu, cet homme est un faux musulman ». Cette menace eut un effet immédiat. Hudhaifa changea totalement et devint docile[128].

 

Mahomet à construit un tel culte de la personnalité autour de sa personne qu’Ibn Ishaq raconte une histoire sur l’observation faite par Orwa, un négociateur Mecquois qui visitait Mahomet, à son campement à Hudaibyah, au sujet des égards que les fidèles de Mahomet lui prodiguaient. […] jamais il n’avait vu autant d’attention et d’hommages que ce que Mahomet recevait de ses adeptes. « Ils courraient pour récupérer l’eau avec laquelle il avait accompli l’ablution, pour récupérer sa salive, ou saisir un de ses cheveux s’il tombait »[129].

 

Source image : Campagne d’affichage du CCIF en 2012. Sur cette image, toutes les femmes présentes sont voilées, sauf une, http://www.islamophobie.net/articles/2012/10/31/ccif-nsln-campagne-communication-islamophobie-nous-sommes-la-nation

 

« L’apôtre d’Allah vint à nous dans la nuit et on lui apporta de l’eau pour ablution. Après son ablution, l’eau restante fut prise par les gens et ils se mirent à en mouiller leur corps (comme une chose bénie) » (Bukhari, 1, 4, 187).

 

En juin 2009, Abdul Hakim Mohamed, un américain converti à l’islam, tua Andrew Young, un jeune soldat de 19 ans. Il dit « je ne pense pas que c’était un meurtre. Un meurtre, c’est quand une personne en tue une autre sans raison. Ce que j’ai fait est justifié par l’islam. Et c’était justifié par le bon sens »[130].

 

11    La dépression qui suit immanquablement la perte de foi dans sa croyance

 

Ayant perdu leurs croyances et l’espérance « dans les lendemains qui chantent », les anciens croyants peuvent passer souvent ensuite par une phase de dépression plus ou moins grave, peut-être à cause d’une relation de dépendance rassurante et forte (telle une addiction) avec l’objet adoré (qu’il soit le chef adulé, l’idéologie, la cause …).

Certains conservent leur loyauté, d’autres, au contraire, se mettent à haïr le chef ou l’idéologie qu’ils ont trop adulés.

 


 

Le cas d’Hassan :

 

« Je connais d'anciens musulmans qui, bien qu'ayant rejeté l'islam, éprouvent toujours un sentiment de loyauté envers Mahomet.  Hassan était quelqu'un que j'ai rencontré en ligne en 1999. C'était un homme éduqué qui prit l'habitude de débattre avec moi pour défendre l'Islam. A de nombreuses reprises il me conseilla d'adoucir ma rhétorique contre Mahomet. […] Des années plus tard il quitta l'Islam et devint amical. […] Quand je lui envoyai un article où je parlais de l'enfance maltraitée de Mahomet, il éprouva de la sympathie pour ce massacreur.

[... Plus tard] il écrivit « Quiconque comprend le pouvoir que la religion peut avoir sur les gens nés dans une foi saura que depuis un très jeune âge elle forme totalement leur identité, leur place dans le monde, la compréhension de leur vie et leur zone de confort. La rejeter n'est pas simplement un processus intellectuel, mais quelque chose qui déchire toute votre existence. Cela signifie perdre votre identité et votre sens de la vie, cela signifie perdre votre famille et vos amis, et cela signifie dépression et traumatisme émotionnel _ pour ne pas mentionner l'intimidation et même des menaces de mort dans certains cas ».

En 2012 [~ 10 ans après] il m'envoya un email où il écrivait : « Je veux juste vous dire que je dois vous remercier du coup à la figure, il y a beaucoup d'années, j'en avais besoin pour échapper aux illusions religieuses où j'étais comme musulman. Bien que cela m'ait pris de nombreuses années pour finalement quitter l'Islam, c'est mon échange avec vous, des années après, qui a semé la graine. A l'époque, bien sûr, c'était très douloureux et très choquant — mais j'avais besoin de ce coup à la figure et donc je suis heureux de vous remercier maintenant — une chose que je ne pouvais faire à l'époque » ».

 

« Cette inexplicable loyauté est connue comme le syndrome de Stockholm. Les adeptes de cultes sectaires développent un sens mal placé de la loyauté envers leur leader. Vous n'êtes pas libre tant que vous n'aurez pas pris conscience que la personne à laquelle vous consacrez votre loyauté a été votre ravisseur, une âme perverse [ou tyrannique] qui mérite non votre sympathie mais votre mépris »[131].

 

Le cas d’Ahmid :

 

En 1980, Ahmid, un étudiant iranien inscrit dans une université en France, était devenu un soutien enthousiaste et inconditionnel de la révolution islamique qui se déroulait en Iran. J’étais l’occupant de la chambre universitaire voisine de celle d’Ahmid et je constatais, avec effarement, sa passion « dévorante » pour cette révolution. De ce fait, je l’avais incité à ne pas perdre son esprit critique face à celle-ci et à Khomeyni, en lui montrant le parallèle entre son propre enthousiasme et celui d’un étudiant africain marxiste et admirateur de Mao, qui, étant allé faire ses études en Chine en 1960, était revenu déçu _ étudiant dont justement Ahmid avait lu le livre-témoignage[132]

Or l’été suivant, Ahmid s’était rendu à Téhéran pour soutenir la révolution islamiste. A son retour en France, je le découvre très déprimé et accablé. En effet, il avait finalement découvert qu’en Iran, tous les religieux, mollah et autres, ayant pris les commandes du pays et devenus dirigeants des grosses sociétés nationales iraniennes, étaient tous corrompus, qu’une chape de plomb et de répression s’était abattue sur le pays, et enfin que le peuple n’était pas aussi heureux qu’il le croyait.

 

Ici, la lecture d’un petit livre critique avait pu avoir une influence sur le raisonnement (critique) d’Ahmid, grâce à la mise en perspective de sa situation avec celle décrite dans le livre. Ahmid s’était alors posé quelques bonnes questions sur le régime des mollahs, avant son retour en Iran. Puis arrivé sur place, il avait pu y répondre.

 

Le fait que, pour quitter sa croyance (abandonner sa foi), il faut passer par un processus très douloureux et par une dépression (comme dans le cas du sevrage d’une drogue) prouve le caractère psychopathologique du fanatisme[133].

Bizarrement, quand l’adepte quitte l’islam, tout son rejet (voire sa haine) pour les juifs disparait.

 

 


 

12    Questionnement

 

Pourquoi des adeptes sont excessivement enthousiastes et amoureux, avec les yeux de Chimène, pour une idéologie (l’islam …), amours et enthousiasmes que des observateurs extérieurs à cette idéologie ne partagent pas.

Comment cet amour (ce romantisme) ou cet enthousiasme peuvent pousser l’adepte à adopter un « comportement partisan », à limite de la malhonnêteté et le pousser à perdre toute objectivité, tout recul, tout bon sens, tout esprit critique, par rapport à sa propre idéologie (l’islam, le nazisme, le communisme …) ?

 

Selon Guy Millière, « ce sont les échecs scolaires, puis le passage par la case délinquance et le glissement vers une haine croissante de la France et de l'Occident, qui expliquerait le retour de nombreux jeunes Musulmans français vers l'Islam et l'islam radical (fanatique, extrémiste). Selon lui, le système d'éducation français n'apprend pas aux jeunes gens à aimer la France et l'Occident. Il leur apprend au contraire que le colonialisme a pillé nombre de pays pauvres, que les peuples colonisés ont dû se battre pour se libérer, et que le combat n'est pas achevé. Il leur apprend à haïr la France »[134].

 

Pourquoi l’admiration, sans borne, pour un chef, pour ses discours et pour son idéologie, peut conduire un adepte fanatisé à rompre tous les liens affectifs avec sa famille, voire à tuer, avec enthousiasme, ses vrais amis, les membres de sa famille, son frère, si son chef et si l’idéologie ou la religion, à auxquelles il croit, l’ordonnent ?

 

J’avance deux séries de facteurs psychologiques, les uns internes et les autres externes, à l’adepte.

 

13    Le fonctionnement sectaire de l’Islam (i.e. ses mécanismes sectaires)

 

Ce que j’appelle les facteurs psychologiques extérieurs à l’adepte, contribuant à l’influencer.

 

Les gens sont souvent influencés favorablement dans leur jugement sur un système de croyance qui a autant de fidèles. Ils pensent que la taille même de l'Islam le qualifie comme religion. C'est le sophisme connu comme argumentum ad numerum[135]. Un milliard et demi de gens peuvent-ils se tromper ? Oui, ils peuvent. L'histoire montre que souvent c'est toute l'humanité qui s'est trompée. D'après Bertrand Russell : « Le fait qu'une opinion soit largement acceptée ne prouve en aucune manière qu'elle n'est pas totalement absurde ; en fait, au vu de la niaiserie de la majorité de l'humanité, une croyance largement répandue a plus de chances d'être folle que sensée ».

Par exemple, entre le 2° siècle AP-JC et le 17° siècle, l’ensemble des penseurs du monde occidental ont cru à la théorie de Claude Ptolémée, du géocentrisme, jusqu’à ce que les penseurs préscientifiques ou scientifiques (Nicolas Copernic, Tycho Brahe, Johannes Kepler, Galileo Galilée, Isaac Newton) prouvent qu’elle était fausse et que la bonne théorie était celle de l’héliocentrisme.

Donc, l’argument que plus de personnes croient à une croyance (comme les musulmans en l’islam), plus ils possèdent la vérité, n’est pas un bon argument. La vérité d'une proposition n'est pas déterminée par le nombre de ceux qui y adhèrent mais par la valeur de ses arguments.

 

Certains disent que toutes les religions ont commencé par être des sectes jusqu'à ce que, avec le temps, elles acquièrent la reconnaissance et le statut d'une religion. Néanmoins, il y certaines différences entre une secte et une religion.

 

Les sectes utilisent un certain nombre de méthodes ou techniques de mise sous influence, décrites dans plusieurs grilles de lectures des comportements sectaires, qu’on trouve sur Internet. Examinons deux de ces grilles (voir ci-dessous).

 

  

Le coût de l’ignorance et du manque d’instruction, est très élevée.

 

14    La grille de lecture de l’UNADFI

 

Ce texte, ci-après, est inspiré d'un document édité par l'UNADFI (Union Nationale des Associations de défense des familles et de l'individu) sur la définition d’une secte[136] et sur certaines méthodes utilisées par les sectes :

 

·         L'approche intrigante, sympathique et séductrice : a) un porte-à-porte amical, b) la distribution d'un tract intriguant ou une affiche sur un sujet intéressant (conférence, réunion, séance sur des sujets aussi divers que le yoga, le gymnastique orientale, l’histoire, la philosophie, l’amour, la méditation …), c) un test psychologique, d) une pétition humanitaire …un petit geste qui semble n'engager à rien mais qui est, malgré tout, un acte porteur de sens, un positionnement, et qui fait récolter noms et adresses. Le groupe peut aussi entourer la future réunion d'un certain mystère ou secret.

·         La détection du caractère fragile du futur adepte : repérage du caractère fragile, dépressif du futur adepte (par un test, une consultation, une discussion) et exploitation méthodique de l'échec scolaire professionnel ou sentimental, du chômage, du deuil de la personne fragile. On lui fait miroiter un espoir de s’en sortir. On lui proposera, ensuite, une formation voire un emploi fictif qui lui apportera de l’espoir.

·         Le « bombardement » d'amour : donnant l’impression au futur adepte qu’il a enfin trouvé la "vraie" famille et qu’il sera plus seul, qu’il sera entouré. C’est souvent le premier message séducteur qu’il rencontrera, du moins au début.

·         La flatterie : la secte indique au futur adepte que ses potentialités sont immenses... mais dans et par le groupe (la secte) exclusivement.

·         Le sentiment de puissance, de faire partie de l’élite : au sein du groupe, l’adepte a accès à des connaissances secrètes, extraordinaires, supérieures, dont n’a pas accès le commun des mortels (et dont ces derniers n’ont souvent même pas conscience). Connaissances réservées aux initiés, aux élus, à l’élite, dont on fait bien sûr parti. Par le fait de faire partis du groupe, d’avoir reçu le message de celui-ci, l’adepte aura toutes les chances alors d’être « sauvé » ou d’être du bon côté.

·         Le fait d'agir pour la « bonne cause » : il est difficile de dire non à ce qui semble apparaître comme une bonne cause. La « bonne cause » peut être, par exemple, la lutte pour les opprimés, les prolétaires, pour un peuple _ arabe, juif, allemand … _, une religion quelconque _ l’Islam, le Christianisme … _, la justice, la recherche scientifique, la Vie … Et progressivement, pour « la bonne cause », tous les « moyens » sont bons, y compris les moyens peu recommandables ou illégaux (mensonges, manipulations, truquages, désinformations, vols, détournements de fond, abus de bien social, espionnage, infiltrations en particulier des grandes institutions …), voire les pires exactions (intimidations, menaces, chantages, voire meurtres, attentats, suicides collectifs …). C’est ainsi qu’on peut lever ou affaiblir les barrières morales de l’adepte et l’impliquer. Agir pour la bonne cause, comme celle de la Science, était justement un des ressorts de l’expérience de Milgram.

·         Utilisation de « vérités » simples, simplificatrices et réductrices : Malgré l’immense complexité de la vie et du monde extérieur, le message du groupe et du gourou est qu’il existe des vérités simples, extraordinaires, pouvant tout expliquer, expliquer le monde, la vie, l’histoire (par la lutte des classes, la loi du plus fort, les extraterrestres, les « titans », les surhommes, les mondes disparus et magiques (Mu, Atlantide, …) certaines légendes dorées, des interventions miraculeuses, l’Au-delà, Dieu, la création …). Le bénéficiaire de cette « vérité » est censé, grâce à cette dernière, devenir plus « lucide », avoir un esprit plus « clair » ou clairvoyant ou posséder un « état de conscience supérieur ».  La « vérité » sera présentée comme scientifiques, incontestable, grâce, par exemple, à l’utilisation d’un raisonnement bien construit, éventuellement à l’aide d’impostures, de fausses preuves, de trucages, de tours d’illusionnisme, des mises en scènes, de faux témoignages. La vérité sera éventuellement secrète, ce qui lui permet alors d’échapper à toute confrontation aux critiques extérieures et à la réalité.

·         Vocabulaire secret, codé, mystérieux utilisant des mots déviés de leur sens réel : Ce vocabulaire, souvent facile à se rappeler, sert de signes de reconnaissance, de moyens mnémotechniques pour se rappeler plus facilement de la doctrine de la secte. Ce langage permet aussi une coupure avec le reste du monde et avec la réalité. On les retrouve dans les invocations, dans les matraquages intellectuels (écoute du discours visuel ou de cassettes du gourou, dans les séances d’autocritiques …). Cela donne aussi l'impression à l'adepte de faire partie de l'élite.

·         Conditionnement de l’adepte à être de plus en plus disponible pour la secte : tout son temps disponible sera consacré à la secte. Il doit lui donner son temps, 24h/24, 7J/7, y compris les week-ends, la nuit et dans l'urgence. Durant ce processus, il y a exploitation d'un effet d'entraînement mutuel résultant de la soumission à l'autorité, de l'ambiance, du semi-enfermement, du temps bourré de lassants exposés et entrecoupés d'exercices fatigants, d'une nourriture pauvre et carencée, inhabituelle et décalée, de la privation de sommeil, de la perte du sens du temps, de la disparition des montres, de la présence de fenêtres obturées (Jour ? Nuit ?), de chants lancinants, rythmés, tambourinés, voire de chants incompréhensibles, psalmodiés en langues étrangères.

·         L’empêchement du questionnement personnel : On pousse l’adepte à abandonner tout son esprit critique. On lui déclare que penser par lui-même, sans un éclairage et un guide, est vain. La secte lui conseille de se laisser guider (par celui qui a reçu « l’illumination », la « révélation », c’est à dire par le gourou), et ainsi il va mieux comprendre. Il lui dit qu’il n’a aucune crainte à avoir, puisque ce qu’affirme la secte est prouvé et est scientifique. La connaissance que distille le groupe est très ancienne, antique, traditionnelle, donc elle est « authentique » et incontestable. On fera éventuellement tout ce qu’il faut pour que l’adepte soit constamment occupé, afin qu’il ne puisse réfléchir ou prendre du recul.

·         Le registre de la peur : sans la protection de la secte, l’adepte risque la catastrophe personnelle ou il risque d’être confronté à la future catastrophe générale (à l’apocalypse) dont est menacé la société extérieure toute entière. S’il quitte la secte, il lui arrivera malheur (la menace peut être voilée).

·         Invention ou amplification d’ennemis, de complots ou de menaces extérieures réelles ou imaginaires : l’existence des « ennemis » ou ce complot permet de resserrer les liens du groupe, pousse au secret, au repliement sur soi. L’ennemi pourra être un peuple ennemi _ arabes, juifs, américains …_, des organisations plus ou moins secrètes _ CIA, Franc-Maçons, juifs … _, les extraterrestres, des esprits ou « entités spirituelles » … Cela permet au groupe d’éviter toute confrontation face aux critiques extérieures ou à la réalité.

·         La victimisation : se faire passer pour des victimes tout en provoquant les opposants à la secte à vous discriminer.

·         La confession publique des pensées les plus intimes, l'instillation de scrupules et de phobies dans le sens des « valeurs » de la secte, conduisant à une distorsion de la conscience morale de l’adepte, l'enregistrement éventuel audio ou vidéo d'auto-accusations : autant de futurs moyens de chantage sur d'éventuels récalcitrants.

·         Destruction de l'inhibition : après la confession publique, on peut demander à l’adepte d'abandonner sa pudeur sur certains sujets. On peut ainsi le conduire à inverser ses valeurs morales et ses inhibitions, un moyen de l’impliquer encore plus, par rapport à la secte et ses actes, et le faire rentrer encore plus dans les thèses délirantes ou répréhensibles du gourou.

·         Règles intransigeantes imposées par une stricte hiérarchie : l’adepte doit demander la permission pour les actes les plus élémentaires, sous le prétexte de la recherche de l’humilité du disciple. Ce qui réduit progressivement son libre-arbitre et augmente sa dépendance. La secte peut lui demander de prendre un soi-disant médicament (psychotrope …) pour " purifier ", ouvrir la voie du " salut ", échapper au " karma ".

·         L’endettement : l’endettement de l’adepte, préconisée par la secte, le rend dépendant pécuniairement envers elle. C’est encore un autre mécanisme d’implication de l’adepte dans la secte. Plus l’implication financière est importante, plus le retour en arrière est difficile.

·         Le régentement de la vie sexuelle : dans certaines sectes, il peut y avoir alternances de restrictions ou de permissions de l’acte sexuel (rigidité et permissivité), allant jusqu'au mariages imposés, par la secte, voire des incitations, par celle-ci, à la pédophilie ou même à l'inceste.

·         L'émissions de signaux contradictoires : à certains moment la hiérarchie de la secte tantôt encourage, tantôt décourage voire réprimande telle ou telle action, selon un système explicatif toujours crédible, d'où confusion dans l’esprit de l’adepte, entre ce qui est permis ou non, par rapport aux valeurs de la secte, ce qui aggrave alors son sentiment de culpabilité ou son indécision et donc sa soumission. Ces signaux et messages contradictoires, à double-sens, permettent aussi à la secte et au gourou de constituer un système de défense, face à toute accusation.

·         Coupure avec le milieu d'origine : au stade initial, il n’y a plus pour l’adepte, ni visites, ni lettres, ni téléphone, sous prétexte des exigences de la " renaissance personnelle ", et pour éviter les influences « corruptrices » et « l’ignorance » (crasse), du monde extérieur.

·         Le déracinement : par la déracinement géographique, culturel, linguistique, par la privation des papiers d'identité, par l’adoption d’un nouveau nom (au nom, par exemple, d’une « renaissance » spirituelle …), la secte contribue à ce que l’adepte se coupe de plus en plus de ses anciennes racines, de ses anciennes relations, de ses proches et de ceux qui pourraient l’aider ou qui pourrait l’aider à briser (et se sortir) de l’embrigadement sectaire. Qu’il soit totalement isolé, par rapport à toute possible aide extérieure.

 

15    L'approche séductrice et sympathique

 

Par exemple, on présente l’islam comme la religion prônant les valeurs morales les plus élevées, recherche l’honnêteté, la générosité, la paix, l’amour.

 

Par exemple, on citera certains versets idéaux :

 

Ainsi l’on apprend la détestation de Mahomet pour le mensonge :

 

Aïcha, la mère des croyants que Dieu l'agrée rapporte ceci : « Il n'y avait rien de plus détestable à l'envoyé de Dieu (Salla Allah ‘alayhi wa Salam), que la manie de mentir. Chaque fois qu'il apprenait qu'un homme avait menti, il le délogeait de son cœur jusqu'à ce qu'il se repentit ». (Rapporté par Ahmad)

 

Le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) s'exprima ainsi : « La nature du fidèle croyant peut s'accoutumer de tous les défauts sauf de la trahison et du mensonge ». (Rapporté par Ahmad)

 

Le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) a dit : « « de la religion un comportement ». Par comportement on entend une bonne conduite, une bonne morale de vie, tout ce qui fait d'un individu quelqu'un de vertueux et qui permet la vie en société. Le Prophète (Salla Allah ‘alayhi wa Salam) a dit : « Rien ne pèsera dans la balance du croyant au jour de la résurrection comme le bon caractère. Car Dieu déteste l'homme obscène et grossier. Et l'homme doté d'un bon caractère atteindra par cette qualité le degré de celui qui jeûne et prie » (Rapporté par Ahmad).

 

Mais si vous cherchez approfondir l’islam, vous trouverez par exemple, un hadith comme celui-ci :

 

Rapporté par 'Abdur-Rahman bin Samura :

L'apôtre d'Allah a dit : « O 'Abdur-Rahman bin Samura! Ne cherchez pas à être un dirigeant, car si vous recevez l'autorité sur votre demande, vous serez tenu pour responsable, mais si vous la recevez sans la demander, alors vous serez assisté (par Allah). Si jamais vous prêtez le serment de faire quelque chose et que plus tard vous trouvez que quelque chose d'autre est mieux, faites ce qui est mieux et dénoncez votre serment[137] ».

 

Voir aussi le contenu du paragraphe, sur le mensonge, « 7 Le leader n'est justiciable d'aucune autorité ».

 

On parlera aussi de la miséricorde d’Allah :

 

Le Prophète a dit : "Allah possède cent miséricordes ; il a descendu une parmi elles sur terre avec laquelle les créatures se témoignent réciproquement de la compassion, ainsi le cheval et la chamelle lèvent leurs sabots pour ne pas blesser leurs petits ; et Allah a gardé quatre-vingt-dix-neuf miséricordes pour le jour du jugement", [rapporté par Al-Boukhari]

 

"Nous ne t’avons envoyé que comme miséricorde aux habitants de ce monde", [Sourate 21 - verset 107].

 

Selon Abdoullah ibn Amr le messager d'Allah a dit : "Ceux qui sont miséricordieux, Allah sera miséricordieux envers eux. Soyez miséricordieux envers les habitants de la terre, Celui qui est dans le ciel sera miséricordieux envers vous", [Rapporté par Abou Daawoud et Tirmidhi].

 

Selon Jarir ibn Abdillah, le Messager d’Allah a dit : "Celui qui n’est pas miséricordieux envers les gens, Allah ne sera pas miséricordieux envers lui", [Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim].

 

Selon Ibn Abass, le Prophète a dit : "Ne fais pas partie de nous [les musulmans], celui qui ne respecte pas la personne âgée, n'est pas miséricordieux envers le petit, et ne prescrit pas le bien et n'interdit pas le mal", [Rapporté par Ahmed et Tirmidhi].

 

Aïcha a dit :  " Un bédouin est vint voir le messager d'Allah et dit : "Vous embrassez les enfants et nous ne les embrassons pas". Le messager d'Allah dit alors : "Que puis-je faire pour toi si Allah a enlevé la miséricorde de ton coeur" " [Rapporté par Al-Boukhari et Mouslim].

 

Abou Houreyra a dit qu'il a entendu le messager d'Allah dire : "La miséricorde n'est enlevée que d'une personne vouée au malheur (un malheureux)", [Rapporté par Abou Daawoud et Tirmidhi][138].

 

On présente aussi ce verset : « C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre », (Coran, sourate 5 verset 32).

Mais si l’on lit d’une façon approfondie le Coran, l’on trouve ce verset :

 

"33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils soient expulsés du pays. Ce sera pour eux l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment", (Coran, sourate 5 verset 33).

 

De plus, l’on relève plus de 1000 versets violents ou intolérants dans le Coran[139] :

 

 

Source : Les verset violents et intolérants du Coran, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/VersetsViolentsDuCoran.htm

 

On peut se demander comment Mahomet peut faire un si grand écart entre le fait de parler de miséricorde dans quelques versets et en même menacer des pires châtiments les plus effrayants de l’enfer et, de plus, passer à l’acte (commandites d’assassinats d’opposants etc.), dans des milliers d’autres versets.

 

16    La victimisation : se faire passer pour des victimes

 

Les musulmans se plaignent de discriminations dont ils font l’objet.

 

Nous vivons dans un climat malsain qui nourrit une stigmatisation croissante des musulmans en France”, où il est de plus en plus difficile de s’afficher comme tel _ avec le voile _, a déploré Latifa Aït Taleb, directrice de la rencontre culturelle, cultuelle et commerciale du Bourget, en 2010, organisée par l’Union des organisations islamiques de France (UOIF).

"le débat sur l’identité nationale et le projet d’interdiction du voile intégral [risquent d'accentuer le rejet des musulmans], des questions qui “mettent à l’index” les quelque six millions de musulmans de France et permettent à “certains islamophobes de vomir leurs idées”, selon le secrétaire général de l’UOIF, Makhlouf Mamèche. “On vit dans une ère hostile à la pratique de la religion, notamment musulmane”, déplore-t-il.

Une lycéenne de 19 ans, voilée témoigne : “J’aime mon voile, il représente ma religion et me représente”. Elle ajoute « [mais ton voile nous offense, il crache sur toute nos valeurs. Il dit que tu appartiens à “une race pure” contrairement à nous, les “bouffeurs de porc”. Ton voile nous insulte. Ton voile nous dit que tu soutiens Mohamed, un violeur de petite fille, et que ça ne te dérange pas. Ca nous dérange… parce qu’on a aussi une culture, avec ses principes, et on ne va pas les renier sur la terre qui les a fait naître] ».

Le débat sur l’identité nationale est une bêtise. La France est faite de différentes cultures, de différentes origines”, note Sofiane, 36 ans, venu avec son bébé et sa femme.

C’est une façon de stigmatiser l’islam, c’est choquant”, s’insurge Farid, un fonctionnaire de 36 ans. Les musulmans ne forment pas un seul bloc uniforme, souligne-t-il : “on trouve ici des femmes voilées ou des jeunes filles avec un brushing, des hommes en vêtements traditionnels ou habillés en rappeurs”.

Selon Latifa Aït Taleb, “en voulant gommer les spécificités des identités multiples qui font la richesse de la France et en visant toujours les musulmans, on oublie que ces derniers sont des citoyens comme les autres, avec des droits et des devoirs”.

« L’enrichissement de l’identité de notre société ne passe pas par l’effacement de la visibilité des citoyens musulmans », affirme l’UOIF, organisateur de la 27e Rencontre annuelle des musulmans de France[140].

 

Mais d’un autre côté, il y a une nette volonté d’une frange importante de Musulmans, à s’imposer, dans leurs pays d’accueil aux non-musulmans, à être aussi visibles possible, même s’il faut provoquer les habitants du pays d’accueil en :

 

·         Construisant des mosquées et minaret, pas toujours d’une façon légale,

·         Lançant les appels de muezzines à la prière dans des quartiers déjà « communautarisés ».

·         Organisant des prières au milieu de rues, qui interrompent le trafic.

·         S’habillant d’une façon très visible et voyante : a) voile, hejab, abaya, niqab pour les femmes, b) djellaba, longue barbe, calotte blanche sur la tête, pour les hommes.

·         « Réservant » des quartiers aux musulmans, où il ne fait pas bon d’être chrétien [de le dire][141],

·         Protestant peu face aux violences dans ces quartiers (peu de protestation de la communauté musulmane[142]).

 

Certains groupes fondamentalistes, poussent le bouchon de plus en plus loin, pour voir jusqu’où ils peuvent aller.

 

Dans beaucoup d’endroits dans le monde, des groupes de musulmans radicaux sont venu réciter des versets du Coran dans les églises et temples, durant les cérémonies religieuses, en les interrompant[143] [144] [145] [146].

 

Le problème des provocations et des manipulations est qu’elles s’arrangent pour ne pas en donner l’apparence, et qu’elles donnent toujours l’apparence de la bonne foi. Et qu’il peut y avoir un jeu de faux-semblant, si en plus les militants d’extrême-droite font de la surenchère au niveau des provocations.

Si un tel fait survient, alors les prosélytes islamistes alors mentiront et rejetteront la faute sur les opposants à l’islam.

Si les représentant du pays impie, ennemi, a mal agi et menti (comme lors de la guerre en Irak en 2003), alors il sera facile de faire retomber la faute des attentats du 11 septembre sur la CIA, le MOSSAD, Israël, voir les juifs[147].

Or les militants des sectes ont tendance à mentir régulièrement.

 

17    Le fait d'agir pour la « bonne cause » 

 

On agit pour les frères musulmans persécutés dans le monde :

 

·         Pour les syriens martyrisés par le régime de Bachar Al Hassad,

·         Pour les Palestiniens, occupés et persécutés pour les Israéliens,

·         Les frères (musulmans) attaqués par la coalition occidentale (« judéo-croisée »), en Irak, Syrie, Maghreb, Sahel …

 

18    Les mystères et les connaissances secrètes

 

Les leaders sectaires tentent d'impressionner leurs adeptes en accomplissant des miracles et en prétendant connaître l'inconnaissable. Jim Jones fit de nombreux miracles. Parmi eux, sa capacité à révéler quelque chose sur les nouvelles recrues ou les invités que personne ne pouvait savoir sauf eux. Pour réaliser ce « miracle », il envoyait un de ses fidèles fouiller ce qui concernait l'invité, y compris leurs lettres privées, ou espionner leurs conversations, et l'informer de ses découvertes. Alors il pouvait les surprendre avec sa « connaissance secrète ».

 

Mahomet fit de même. Il avait des espions partout[148] et le moment venu il prétendait : « Gabriel m'a appris... ».

 

Mahomet avait eu une relation sexuelle avec Mariyah, une esclave, ce qui a provoqué la réaction d'Hafsa, son épouse, et le serment de Mahomet de s'interdire désormais l'esclave, serment qu'il annula ensuite grâce à l'intervention d'Allah. Le verset qui suit cet incident illustre le présent sujet. Il parle de l'interdiction signifiée à Hafsa de révéler cet incident à quiconque. Incapable de se taire, Hafsa le révéla à Aïcha. Mahomet en fut furieux. Il ne fallait pas beaucoup d'intelligence pour comprendre que si le secret était éventé, Hafsa devait avoir parlé. Néanmoins, Mahomet prétendit que c'était Allah qui l'avait informé qu'elle lui avait désobéi : « Lorsque le Prophète confia un secret à l'une de ses épouses et qu'elle l'eut divulgué et qu'Allah l'en eut informé, celui-ci en fit connaître une partie et passa sur une partie. Puis, quand il l'en eut informée elle dit : 'Qui t'en a donné nouvelle ?' Il dit : 'C'est l'Omniscient, le Parfaitement Connaisseur qui m'en a avisé' » (Coran 66:3).

 

19    Faire des « miracles »

 

« Certains adeptes deviennent collaborateurs et complices des arnaques et tours de passe-passe des gourous.

Des miracles ont été attribués à Mahomet. Dans un hadith, un musulman affirme avoir assisté au miracle suivant. « Je vis l'Apôtre d'Allah à l'heure du `Asr (prière du soir), alors que les gens cherchaient de l'eau pour l'ablution et ne pouvaient en trouver. Alors, un récipient plein d'eau fut apporté à l'Apôtre d'Allah. Il y trempa ses mains et ordonna à l'assistance d'accomplir l'ablution avec. J'ai vu l'eau jaillir de ses doigts jusqu'à ce que tous aient pu finir l'ablution (c'est un des miracles du Prophète) »[149].

Dans un autre hadith on nous dit que Mahomet multiplia le pain[150].

Ailleurs, nous lisons qu'il frappa un énorme et solide rocher avec son épée et que le rocher devint comme du sable[151].

Ou qu'il bénit un repas qui aurait à peine suffi à quatre ou cinq personnes et en nourrit toute son armée[152].

Des douzaines de miracles sont attribués à Mahomet. Beaucoup d'entre eux ont été affirmés par lui-même. Ce sont des miracles que lui seul a vu. Un tel miracle est sa prétention d'avoir passé une nuit dans la cité des djinns. A un autre endroit il dit qu'un groupe de djinns avait embrassé l'Islam à Médine[153]. Dans une histoire fabuleuse, il lutta contre Satan et eut le dessus. Son histoire du Mi'raj (voyage, en volant, de Mahomet, de la Mecque à Jérusalem) est signalée même dans le Coran.

Ces histoires étaient soit des hallucinations, soit des inventions pour impressionner les crédules.

Ibn Sa'd reprend une histoire racontée par Abou Rafi, un des croyants, qui dit qu'un jour il reçut la visite de Mahomet et tua un agneau pour le repas. Mahomet aimait l'épaule, donc il s'en servit une. Alors il demanda l'autre et, quand il eut fini, encore une autre (quel appétit !). Abou Rafi dit : « Je t'ai donné les deux ; combien d'épaules a un agneau ? » à quoi Mahomet répondit : « Si tu n'avais pas dit cela, tu pouvais me donner autant d'épaule que j'en demandais »[154].

 

En dépit de telles bizarres prétentions, quand il était invité par des sceptiques à montrer un miracle, le prophète autoproclamé répétait qu'il n'avait pas le pouvoir d'en faire. Il reconnaissait que même si d'autres prophètes avaient eu le pouvoir de faire des miracles, son seul miracle à lui était le Coran. « Le Prophète dit : 'Il n'y a pas eu de prophète qui n'ait reçu le don des miracles parce que les gens avaient confiance ou avaient la foi, mais ce qui m'a été donné est la Divine Inspiration qu'Allah m'a révélée »[155].

 

Des gens avec une foi forte mentent délibérément, participent à des tricheries, trompent les autres et même tuent si nécessaire, pour soutenir leur croyance. La « cause » est pour eux si importante qu'elle l'emporte sur toute autre considération. Quand des gens deviennent tellement convaincus de leur foi en une cause qu'ils mentent consciemment pour elle, alors mentir et tuer deviennent équivalents. La fin justifie les moyens. Blaise Pascal, le philosophe et scientifique français, écrivit : « L'Homme n'est ni ange ni bête et le malheur veut que qui veut faire l'ange fait la bête ». L'histoire confirme la justesse de ce mot. Beaucoup de crimes ont été commis au nom de la religion. La foi aveugle et la foi absolue aveugle absolument.

 

L'influence de l'Imam Ghazali dans l'Islam est indiscutable. Il dit : « Quand il est possible d'atteindre un tel but en mentant mais pas en disant la vérité, il est permis de mentir si le but est valable »[156].

 

Kasindorf écrivit : « Jim Jones manipulait adroitement l'impression que son Eglise ferait aux nouveaux-venus. Il entretenait soigneusement son image publique. Il utilisait la correspondance et le poids politique de centaines de membres pour flatter et impressionner les politiciens et la presse qui soutenaient le Temple du Peuple, et aussi bien que critiquer et intimider ses opposants » »[157] [158].

 

20    L’escalade de l’engagement et la dissonance cognitive

 

« Quand Mahomet raconta son histoire d'ascension dans le ciel, Abou Bakr fut d'abord surpris. Cela semblait fou. Il avait deux possibilités : soit admettre que l'homme qu'il avait accepté comme prophète et révérait, et pour qui il avait sacrifié ses biens et enduré le ridicule, était vraiment fou, soit croire à cette histoire fantastique et à tout ce qu'il dirait ensuite. Il n'y avait pas de solution intermédiaire.

Ibn Ishaq dit que quand Mahomet annonça cette vision « beaucoup de musulmans abandonnèrent leur foi. Des gens allèrent trouver Abou Bakr et lui dirent : 'Que penses-tu de ton ami ? Il prétend qu'il est allé à Jérusalem la nuit dernière et y a prié, et qu'il est revenu à La Mecque !'. Il répondit qu'ils mentaient sur l'apôtre, mais ils dirent qu'il était dans la mosquée au même moment, racontant l'histoire aux gens.

Abou Bakr dit :  S’il l'a dit, c'est vrai. Et qu'y a-t-il de surprenant à cela ? Il m'a dit que cette communication d'Allah, depuis le ciel jusqu'à la terre, est venue à une d'un jour ou d'une nuit, et je le crois. C'est plus extraordinaire que ce que vous rejetez' »[159].

 

Ce qu'Abou Bakr dit est qu'une fois que vous avez renoncé à votre raison et croyez une absurdité, vous êtes prêt à croire n'importe quoi. Une fois que vous avez accepté d'être abusé, alors vous vous préparez à l'être ad infinitum parce qu'il n'y a pas de limite. Combien de gens auraient laissé un homme de 54 ans violer leur fille de 9 ans ? Abou Bakr l'a fait.

 

Abou Bakr, à présent, avait consacré la plus grande partie de ses biens à Mahomet et sa cause. Cet homme s'était énormément investi. A ce stade, il n'avait pas d'autre choix que de continuer à approuver tout ce que Mahomet pouvait lui dire. Admettre qu'il avait été abusé était trop douloureux pour lui. Comment pouvait-il l'expliquer à son épouse ? Que pouvait-il dire aux hommes avisés de La Mecque qui se moquaient de lui et le traitaient de fou ? Le retour lui était interdit. Il ne pouvait que protéger sa fierté et pour cela rejeter le moindre doute. Il ne pouvait que creuser encore plus profond et suivre aveuglément Mahomet où qu'il le conduirait – de faire taire sa conscience et croire en tout ce que son maître dirait. Quand vous mettez toute votre foi en quelqu'un, et sacrifiez tout pour lui, vous renoncez à votre individualité et devenez une pâte molle dans ses mains. C'est ce que les leaders sectaires attendent de leurs fidèles. Seul ce genre de dévotion satisfait leur besoin narcissique et c'est pourquoi ils rendent leur culte difficile et exigeant. Plus vous sacrifierez, plus vous serez accroché. Quand il ne vous reste plus rien, vous ne pouvez aller nulle part »[160].

 

C’est ce qu’on appelle l’escalade d’engagement.

Voici la définition qu’en donnent les auteurs de cette notion[161] : il s’agit « d’un processus relativement spécifique qui consiste à s’engager plus avant dans un cours d’action qui s’est révélé jusqu’alors infructueux. » Il s’agit de « l’escalade d’engagement », « cette tendance que manifestent les gens à “s’accrocher” à une décision initiale même lorsqu’elle est clairement remise en question par les faits. ». Plus on a dépensé en temps, en énergie, en argent (surtout si l’on a investi de très grosses sommes), pour une cause, à laquelle l’on croit, plus l’on détruit ou remise sa vie pour cette cause, plus il est douloureux et difficile de venir en arrière[162] [163]. C’est un engrenage infernal dans lequel s’enferment les adeptes.

 

Les musulmans sont victimes du processus de résolution de la « dissonance cognitive », et d’une tendance naturelle à tout être humaine, celle de la « rationalisation » des informations qui ne vont pas dans le sens de vos convictions, pour les rendre conforme à leurs convictions et à leur grille de lecture.

Tous les musulmans vous diront que Mahomet était bon, généreux, vertueux, honnête, droit[164]. Les musulmans vont citerons tous les hadiths et versets montrant la haute moralité de Mahomet :

 

"En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment." Sourate Al-Ahzab, 21)

"Et tu es certes, d’une moralité imminente."(Sourate al-Qalam, 4).

D’après un hadith Al-Sharif, Mahomet a dit : "J’ai été envoyé uniquement pour parfaire les vertus morales." [Al-Bayhaqi].

"Les plus chers d’entre vous à mes yeux, et les plus rapprochés de moi au Jour de la Résurrection sont ceux qui ont les plus belles manières. » (At-Tirmidhi).

Celui qui possède les bonnes moralités et un bon caractère possède déjà le meilleur en ce monde et dans l’au-delà." (At-Tabarani)

"Un croyant qui possède les bonnes manières et les bonnes dispositions morales obtiendra la même récompense que celui qui a passé ses nuits en prière, et observé ses jours en jeûnant." (Abu Dawud)

"Au jour de la Résurrection, l’action qui sera la plus lourde dans la balance sera les bonnes manières." (Abu Dawud et At-Tirmidhi).

Notre Prophète [pbsl] a fait l’invocation suivante avant de dire sa prière : “O Mon Seigneur ! Fais que j’aie les meilleurs comportements. Nul autre que Toi ne peut guider vers l’excellence morale. Et enlève de moi tout mauvais comportement. Certes, nul autre que Toi ne peut l’enlever." (Sahih Muslim)[165].

 

Difficile ensuite de leur faire comprendre ensuite que Mahomet était violent, génocidaire, meurtrier, misogyne, esclavagiste, un pillard et un gourou paranoïaque, mégalomane, psychopathe, qu’il a lancé plus de 84 expéditions guerrières[166], malgré les nombreuses preuves contenues dans le Coran et les hadiths Cf :

 

·         https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_exp%C3%A9ditions_de_Mahomet 

·         https://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet  [167]

·         http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/Liste_des_meurtres_ordonnes_ou_soutenus_par_Muhammad.htm

 

Que l’islam est une religion guerrière et militaire. Que le vrai islam c’est DAESH, c’est BOKO HARAM, c’est AL QAIDA, AQMI, le salafisme, le wahhabisme … Que dans le cadre de l’islam, tous ces attentats sont justifiés (par le Coran et les hadith) :

 

·         https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d'attaques_terroristes_islamistes

·         17497 attentats mortels commis par des terroristes musulmans depuis le 11 septembre 2011, http://ripostelaique.com/17497-attentats-mortels-commis-par-des-terroristes-musulmans-depuis-le-11-septembre-2001.html 

 

Que l’islam et le jihad (la guerre sainte), telle une nuée de sauterelle s’abattant sur le monde, a détruit énormément de civilisation : Byzance, l’empire sassanide perse, l’Arménie, la Bactriane, … et qu’ils ont causé plus de 270 millions en 14 siècles :

·         http://www.vlamarlere.com/pages/Islam_270_millions_de_victimes_en_1400_ans-7418751.html

·         https://vrais66.com/2015/01/10/islam-combattons-le-jihad-270-millions-de-morts/

·         http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/12/11/en-novembre-le-djihad-a-cause-plus-de-5-000-morts-dans-le-monde_4539067_4355770.html

 

Quand on parle des pillages de Mahomet, en général, l’adepte répond par la critique de la colonisation et de la néo-colonisation occidentale et par les guerres lancées par les USA, la coalition occidentale contre les musulmans :

 

« Les massacres qu'ont connu ce monde ont tous été l'œuvre de votre civilisation, les 2 guerres mondiales, les bombes atomiques sur les populations civiles, le massacre des juifs, l'expulsion des maures, les croisades, la traite des noirs ... toutes les choses abominables qu'ont connus cette planète viennent de vous les occidentaux !

Les ressources que vous convoitez tant c'est nous qui les avons et vous en avez besoin, tellement besoin que vous redevenez les barbares que vous avez toujours été, des barbares civilisés aujourd'hui car vos habitudes, vos habits et vos armes sont modernes aujourd'hui. Il faut massacrer, tuer, bombarder au nom de je ne sais pas trop quoi, à chaque fois vous changez de disque (mais vous avez toujours une bonne raison), et puis une fois le pays ravagé, vous envoyez la facture, qui est bien sur payable en ressources naturelles du pays. Excellent comme stratagème. Bon je ne suis pas partisan de la violence mais il faut bien se défendre ! ».

« Le prophète Mohamed était un homme parfait, pas nous. Mais je pense quand même que nos valeurs sont plus humaines que les vôtres, j'en suis même sûr. D'ailleurs, il suffit de vous voir, vos églises sont vides, votre religion n'est plus, complétement falsifiée. L'Islam ne s'est jamais aussi bien porté qu'aujourd'hui ».

 

Ce à quoi un ami a répondu :

 

« Les musulmans sont les plus grands colonisateurs de la terre, par la conquête guerrière et par la conversion par la force, par le fil de l'épée (tu te convertis, tu acceptes le statut d'humilié, de dhimmi[168] [169], ou tu meurs !), conquérant des plus grands territoires de l'humanité qu'aucun peuple conquérant n'a jamais réussi à obtenu dans toute l’histoire. Les immenses empires que se sont taillés les peuples arabes puis turcs, allaient de l'occident jusqu'à l'inde jusqu'à l'Afrique du nord. Ce sont les arabes musulmans qui ont lancé la traite négrière (l'esclavage des noirs)[170] [171] [172] [173]. Je crois qu'en matière de conquérants colonisateurs, pilleurs et esclavagistes, les musulmans arabes ou turc ont dépassés tous les autres peuples colonisateurs en ampleur, dans leur entreprise (et cette obsession djihadiste de conquérir l'occident et le monde entier continue encore à l'heure actuelle). Donc n'accusez pas l'occidents de méfaits et d'exactions sans mentionner alors ceux ayant été commis durant 14 siècles par les musulmans. Je crois que les arabes musulmans sont un peuple dominateur, orgueilleux, qui se croient dans la bonne voie religieuse, qui n'a jamais accepté l'humiliation d'avoir été colonisés, et donc ils oublient toutes les victimes de l'islam (chrétiennes, juives, bouddhistes, hindouistes, zoroastriennes ...), s'imposant une tâche aveugle sur les aspects sombres de l'islam, tout en se posant en victime de l'occident, oubliant que s'il avait été en position de force ils auraient fait la même chose [que les colonisateurs occidentaux]. Les musulmans sont dans la haine et le ressentiment, et au lieu d’avoir le courage de se remettre en cause [car l'islam a produit le gel de la réflexion, de l'esprit critique], ils préfèrent trouver des boucs émissaires tels l'occident, les juifs, Israël … pour expliquer leurs malheurs ou misères actuels.

[Vous dites que nos églises sont vides, mais c’est] parce qu’entre-temps la pensée scientifique est arrivée et elle remet en cause beaucoup de "vérités religieuses", sur la terre "immobile" et centre du monde, sur le créationnisme, sur le fait les prophètes reçoivent des communications avec Dieu alors que la science diagnostique justement chez les prophètes, des troubles comme des psychoses ou des épilepsies temporales [et souvent aussi de troubles de la personnalité narcissique]. ».

 

21    L’importance du mensonge

 

« Les grands mensonges sont tellement exorbitants que souvent ils éblouissent l'auditeur. Beaucoup de gens ne sont pas préparés à les traiter adéquatement. Quand le mensonge est colossal, la personne ordinaire se demande comment quelqu'un pourrait avoir l'audace, l'impudence, de dire une telle chose. Il nous reste la difficile alternative entre deux extrêmes : la personne qui l'a dit doit être malade, un charlatan, ou alors elle dit la vérité. Maintenant, que se passe-t-il si pour quelque raison, comme votre respect pour cette personne, son charisme, ou vos relations avec elle, vous ne pouvez supporter la pensée de la rejeter, d'accepter qu'elle puisse être dérangée, menteuse ? Alors il ne vous reste plus que le choix de croire absolument tout ce qu'elle dira, si démentiel que cela paraisse.

Le grand mensonge est hors de proportion avec notre bon sens. C'est comme utiliser une balance adaptée à des objets de quelques kilos pour quelque chose qui pèse des tonnes. Elle cesse d'indiquer le poids. Le cadran peut se briser et rester à zéro. Le grand mensonge est souvent cru plus facilement qu'un petit mensonge » [174].

 

Le problème des gourous est qu’ils sont souvent très intelligents, et qu’ils mentent souvent avec un aplomb incroyable, sans que jamais cela ne leur pose le moindre problème moral. Ils ont une capacité à rebondir extraordinaire, et s’ils sont démasqués sur un de ses mensonges, ils rebondiront alors sur un mensonge encore plus énorme[175].

 

Les adaptes sous l’emprise psychologique du gourou, qui lui-même les incitent à mentir, seront obligés de mentir de plus en plus, au prétexte que c’est nécessaire pour la « grande cause » (dans le cadre de la Taqiya, le mensonge autorisé[176]).

 

22    Le pouvoir de la persuasion

 

« Osherow attribue la personnalité charismatique de Jones [un gourou] à son talent oratoire, aidé par son génie à  manipuler les plus vulnérables. Avec des promesses et en adaptant soigneusement son discours pour plaire à chaque auditoire spécifique il pouvait aisément gagner leurs cœurs et leurs imaginations. Selon les mots de Cicéron, « rien n'est assez incroyable pour qu'on ne puisse le rendre acceptable par l'éloquence ».

Mahomet était pleinement conscient du pouvoir de l'éloquence. Il croyait que « dans l'éloquence il y a de la magie »[177] et avait coutume de dire : « Un discours éloquent à l'influence de la magie (des gens refusent de faire quelque chose et un bon orateur les convainc de le faire avec un discours) »[178].

 

Ailleurs il se vante : « J'ai reçu les clés du discours éloquent et de la victoire par la terreur »[179]. Il recourait à l'éloquence pour convaincre, et à la terreur pour intimider.

Osherow écrit : « Le gros des membres du Temple du Peuple était constitué de nécessiteux négligés par la société, de citadins pauvres, de Noirs, de personnes âgées, et quelques toxicomanes et anciens détenus »[180].

 

Comparons avec les premiers fidèles de Mahomet à La Mecque. C'étaient principalement des pauvres, des esclaves affranchis, des jeunes en rébellion, et quelques femmes seules. Il disait aux esclaves de se rebeller contre leurs maîtres. Aux jeunes il disait de désobéir à leurs parents et de le suivre. Il parlait d'égalité sociale et de fraternité de tous les croyants, et de l'exclusion des incroyants. Il promettait de grandes récompenses dans l'au-delà pour ceux qui se montraient durs envers ses détracteurs. Il apportait la sédition et le désordre.

Les trois historiens, Tabari, Ibn Sa'd et Ibn Ishaq conviennent que seulement quelques convertis à l'Islam le firent par foi. La majorité se convertit par cupidité, pour une part du butin. Néanmoins, indépendamment de leurs intentions, ils le firent triompher. Les compagnons de Mahomet, les salafs, n'étaient pas des saints. C'était une bande de voyous, pillards, bandits de grand chemin et tueurs. Aujourd'hui, les dévots de Mahomet ne sont pas différents. Les plus dévots sont les plus dangereux »[181].

 

23    Menaces et harcèlements contre les opposants, ceux qui ne veulent pas rejoindre ou ceux veulent quitter la secte

 

Si un journal quelconque écrit quelque chose que les musulmans jugent contestable, des milliers d'entre eux inondent la rédaction de leurs plaintes. Ils continueront leur harcèlement jusqu'à ce que des excuses soient publiquement exprimées et l'édition retirée. Ou bien, la pression monte jusqu’à des émeutes et meurtres de personnes innocentes, par exemple quand le journal danois Jyllands-Posten publia quelques dessins de Mahomet, ou quand le Pape Benoît XVI cita un empereur byzantin disant : « Montrez-moi seulement ce que Mahomet a apporté de nouveau »[182] [183].

Les ex-musulmans, qui publient, témoignent qu’ils reçoivent souvent des menaces par mail, au téléphone …

 

23.1    Pression sur les musulmans (sur les adeptes)

 

Sur le port du voile, en France : « Il nous obligeait à cause des voisins ». "Tu vois la famille Unetelle, leurs filles ont le voile.", « c'est les maris qui les obligent ». « Ils se mêlent de ma vie ». « Dans son nouveau quartier de Lille, elle est « cataloguée », parce que : « Je vis avec un Français, je bois du vin, je mange du fromage » ». A cause de son pantalon moulant et du fait qu’elle a épousé un Français « pour ceux de la cité, j'irai direct en enfer à cause de ça ». « "Ma fille, elle est mieux que ta nièce, nous, on a une sainte dans la famille." » [parce qu’elle porte le voile].

« Dans le quartier, des familles turques ont interdit à leurs filles, voilées, de fréquenter leurs amies non voilées. ».

« La vérité, c'est que la famille attend ça de toi. Ça passe par la gentillesse ou par les menaces. Quand t'es petite, les parents t'emmènent d'abord à l'école coranique, et après avec des paroles en arabe, des mots très poignants, très intenses, il est impossible de résister. Ensuite, ils ont voulu que je le garde au collège, ça a créé des problèmes, mes parents voulaient être plus forts que la France. J'ai refusé pour le collège, et après je l'ai complètement retiré. Je les ai déçus. Je file droit, dix fois plus que celles qui le mettent et qui ont le droit de sortir librement ».

« Les filles là-bas [en algérie] ne comprennent pas les Françaises. "Nous, on pleure pour l'enlever, on est obligée et vous qui n'êtes pas forcées vous le portez." ». Depuis trois mois une pluie de cassettes, le Coran en français, arrose son quartier, les Sources. « Je suis une pute pour eux parce que je mets des jeans taille basse. Ils me mettent la cassette dans mon sac. Je la jette. Eux les passent à fond dans les voitures, fenêtres ouvertes, pour que tout le monde entende ».

[le voile]  « Ce n'était pas une protection mais une plus grande vulnérabilité. Les hommes se permettaient de me parler comme à une inférieure ».

 

Source : http://www.liberation.fr/france/2003/12/10/leur-voile-j-ai-envie-de-l-arracher_454783

 

La pression constante de la secte sur l’adepte (suite) :

 

23.2    Autojustification

 

Osherow explique que dans de telles conditions, les gens [les adeptes] sont prêts à justifier leurs actes en vue d'accomplir ce que leur chef leur demande. « Un exemple dramatique de l'impact de l'autojustification », écrit-il, « concerne les punitions corporelles infligées dans le Temple du Peuple[184]. Comme expliqué ci-dessus, la menace d'être frappé ou humilié oblige la personne à se conformer aux ordres de Jones. Elle obéira tant qu'elle sera menacée et surveillée. Pour infléchir les comportements d'une personne, néanmoins, une menace modérée se révèle plus efficace qu'une menace sévère[185], et on a constaté que son influence est bien plus durables[186]. Soumise à une menace modérée, la personne a plus de mal à attribuer son comportement à une contrainte extérieure aussi faible, l'obligeant à changer son attitude pour justifier l'action. Des menaces dures obtiennent la soumission, mais, imposées clairement de l'extérieur, elles échouent habituellement à faire intérioriser la position. La dynamique qui en découle est bien différente quand il n'est pas évident que l'action a été imposée à la personne. Quand une personne sent qu'elle joue un rôle actif dans une action qui blesse quelqu'un, alors vient une motivation pour justifier sa part dans la cruauté, en la rationalisant autant qu'il le faut, ou en s'en prenant à la victime, en pensant que la punition était méritée[187] ».

 

23.3    L’unanimisme et l’absence de dissidents dans la secte

 

23.3.1    Elimination de la dissidence

 

D'après Neal Osherow[188], cette obéissance absolue sera notablement réduite s'il y a une petite minorité de dissidents [dans la secte]. « La recherche montre », écrit-il, « que la présence d'un partenaire 'indocile', réduit fortement la proportion de sujets testés par Milgram obéissant aux injonctions d'infliger des chocs électriques à 1"apprenant'. Similairement, en ajoutant (dans une autre expérience) un seul partenaire qui exprime une opinion différente de la majorité, Asch[189] a montré que le sujet [le seul vraiment testé, les autres étant complices de l'expérimentateur — NdT] est aussi porté à refuser, même quand le jugement des 'autres dissidents' était aussi manifestement incorrect et différent selon les personnes ».

Ni Mahomet ni Jim Jones ne toléraient la dissidence. Ils voulaient une allégeance exclusive et totale et les critiquer ou les mettre en question était une option impensable. Mahomet pardonnait à ceux qui l'avaient combattu par les armes, s'ils acceptaient l'Islam et son hégémonie, comme il le fit pour son cousin, Abou Sofyan, qu'il reconduisit même comme gouverneur de La Mecque après l'avoir conquise. Beaucoup de gens furent tués sur son ordre, pour la seule raison qu'ils l'avaient désapprouvé ou s'étaient moqués de lui.

 

23.3.2    Grilles de lecture de Carole Wade, dans Psychology 101 says

 

Carole Wade, dans Psychology 101 says[190], étude de sectes religieuse politiques ou autre, a identifié un certain nombre de critères essentiels pour qualifier cette forme de persuasion coercitive :

 

1.         Les gens sont placés dans des situations physiquement ou émotionnellement stressantes ;

2.         Leurs problèmes sont réduits à une seule explication, sar cesse répétée ;

3.         Ils reçoivent un amour, une acceptation, une attention inconditionnelles d'un leader charismatique ;

4.         Ils reçoivent une nouvelle identité basée sur le groupe ;

5.         Ils sont exposés à un « piégeage » (ils peuvent être coupés de leur parents et amis, et de la culture dominante) et leur accès l'information est sévèrement contrôlé.

 

Tous ces traits se retrouvent dans l'Islam du début. Le Dr Janja Lalich et le Dr Michael D Langone ont dressé une liste de telles caractéristiques, publiée par la suite dans un livre dont Lalich[191] était co-auteur, qui décrit fort bien les sectes[192]. Plus un groupe ou une doctrine présente de ces critères, plus il est susceptible d'être considéré comme secte. Je vais citer ces critères de sectarisme et voir dans quelle mesure ils s'appliquent à l'Islam.

 

1 Le groupe se montre excessivement zélé et aveuglément dévoués à son leader (qu'il soit mort ou vivant) et considère son système de croyance, son idéologie et ses pratiques comme la Vérité, la Loi.

 

Les musulmans sont extrêmement zélés pour leur foi et se montrent aveuglément soumis à leur prophète dont le livre, le Coran, est la Vérité et la Loi. Vous pouvez trouver cela aussi dans d'autres cultes. Néanmoins, c'est en général l'exception et non la règle. En Islam, la mentalité sectaire est la règle.

 

2 Le questionnement, le doute, la contestation, sont découragées voire punies.

 

Les musulmans n'ont pas le droit de mettre en question les fondements de leur foi, et la contestation est passible de mort. Le Coran (5:101-102) dit : « 0 les croyants ! Ne posez pas de questions sur des choses qui, si elles vous étaient divulguées, vous mécontenteraient. Et si vous posez des questions à leur sujet, pendant que le Coran est révélé, elles vous seront divulguées. Allah vous a pardonné cela. Et Allah est Pardonneur et Indulgent. Un peuple avant vous avait posé des questions (pareilles) puis, devinrent de leur fait mécréants ».  

Voir aussi le paragraphe « Le refus de toute discussion et de toute critique de lui-même [Mahomet] et de l’Islam », page 9, ci-avant dans ce document.

Les sectes sont basées sur des croyances irrationnelles et « merveilleuses »[193], telles que :

 

a)       Le voyage nocturne, de Mahomet, de la Mecque à Jérusalem, l'isrâ'[194], sur un cheval ailé, Bouraq. Voyage décrit dans le Coran : « Gloire à Celui qui, de nuit, fit voyager Son serviteur du Lieu Sacré d’adoration au Lieu d’adoration le plus lointain dont Nous avons béni les abords, afin de lui montrer certains de Nos signes.  Certes, c’est Lui qui entend et qui voit clairement. » (Coran 17:1) et « Allez-vous lui contester ce qu’il [Mahomet] a vu (de ses propres yeux)?  Il l’avait (déjà) vu, une autre fois, près du lotus au-delà duquel nul n’a accès, près du Jardin du Séjour, au moment où le lotus était enveloppé par ce qui l’enveloppait.  Son regard ne dévia pas, sans non plus dépasser les limites.  Il a bel et bien vu les plus grands signes de son Seigneur. » (Coran 53:12-18)

b)      A la demande des Mecquois, Mahomet divisa la lune en deux, puis rejoignit les deux moitiés ensembles. Fait relaté par le Coran : « L’Heure approche et la lune s’est fendue en deux.  S’ils voient un prodige, ils s’en détournent et disent : « Ce n’est qu’une illusion passagère. »  Ils rejettent (la vérité) et ne suivent que leurs propres passions. »  (Coran 54:1-3) et par le hadith moutawatir ‘Nadhm al-Moutanathira min al-Hadith al-Moutawatir,’ par al-Kattani p. 215[195].

 

Le chef de la secte décourage tout questionnement qui pourrait mettre à jour ses mensonges. A cause du découragement du questionnement, conduit par soi-même, à chaque fois que des musulmans trouvent quelque chose d'absurde et critiquable dans l'Islam, au lieu de réfléchir par eux-mêmes, ils le chassent de leur esprit et disent : « Allah sait mieux ».

 

3 Des pratiques altérant l'esprit (méditation, chant, parler en langues, sessions d'accusation, travaux routiniers débilitants) sont utilisés abusivement pour supprimer le doute sur le groupe et son ou ses chefs.

 

Cinq fois par jour, les musulmans arrêtent quoi qu'ils soient en train de faire et se livrent à une prière répétitive et ritualiste, avec psalmodie du Coran en arabe que la plupart ne comprennent pas. En outre, pendant un mois entier dans l'année ils jeûnent et s'abstiennent de manger et de boire, de l'aube au crépuscule, une pratique _ le Ramadan _ qui peut être particulièrement dure en été […]. Le ramadan peut aussi entrainer une baisse de la productivité en raison de congés maladie, absentéisme, etc[196]. Si ce recul est complexe à identifier pour des questions de report de projet, le manque à gagner pour les pays à forte pratique serait de 20 %[197].

La motivation pour accomplir ces rituels et la peur de les manquer ou de douter de leur importance est intense. Quiconque est pris à manger ou boire en public sera puni ou battu[198] [199] [200].

 

4 La direction dicte, quelquefois très en détails, comment les membres doivent penser, agir, et ressentir. Par exemple, les membres doivent avoir une permission à jour pour changer d'emploi, se marier — ou les leaders prescrivent quel type de vêtements on doit porter, où on doit habiter, si on peut ou non avoir des enfants, comment élever les enfants, et ainsi de suite.

 

Chaque détail de la vie d'un musulman ou d'une musulmane est prescrit. Ce qui est haram (interdit, péché) et halal (permis), quelle nourriture manger, avec quelle main manger et quel doigt lécher, comment s'habiller, quelle chaussure mettre en premier et laquelle retirer en premier, comment se raser, comment se brosser les dents, quels rituels accomplir en priant, comment répondre à l'appel de la nature et qui épouser et qui ne pas épouser (une femme musulmane ne peut épouser un non-musulman). Un musulman ne doit pas flirter. Les mariages sont arrangés. Les châtiments corporels, jusqu'à des tortures comme la flagellation, sont prescrits pour violation des règles ci-dessus, pour les enfants comme pour les adultes.

 

5 Le groupe est élitiste, revendiquant un statut spécial, exalté, pour lui-même, son ou ses leaders et membres. Par exemple, le leader est considéré comme le Messie, un être spécial, un avatar — ou le groupe et/ou le leader est en mission spéciale pour sauver l'humanité.

 

Les musulmans revendiquent un statut spécial pour leur prophète, alors qu'ils dénigrent toutes les autres religions, y compris le Christianisme et le Judaïsme qu'ils prétendent respecter. Le Issa et le Moussa du Coran ne sont pas les mêmes que le Jésus et le Moïse de la Bible. Mahomet est considéré comme le dernier prophète. Ils peuvent devenir extrêmement violents s'il est insulté. Ils se considèrent eux-mêmes comme supérieurs à quiconque en vertu de leur « foi supérieure ». Dans des pays non-musulmans, ils exercent de constantes pressions pour des concessions et un traitement de faveur et en obtiennent couramment qui seraient inaccessibles aux membres des autres religions. Par exemple, en obtenant la mise à disposition d'un local spécial dans des écoles publiques ou les entreprises, pour que les étudiants ou les employés musulmans puissent prier. Dans l'Ontario, des musulmans ont fait pression pour rendre la loi islamique (Charia) officielle et contraignante, jusqu'à l'emporter sur la loi canadienne[201]. Leur tentative a été, repoussée en grande partie grâce à l'opposition infatigable des ex-musulmans. En Grande-Bretagne, de nombreux tribunaux fondés sur la Charia sont en action, et leurs lois draconiennes sont acceptées par le gouvernement britannique[202].

 

6 Le groupe à une mentalité polarisée nous-contre-eux, qui peut causer des conflits avec le reste de la société.

 

Les musulmans ont une très forte mentalité nous-contre-eux[203]. Ils appellent les non-musulmans, quelle que soit leur foi ou philosophie, kafir (ou mécréant), un terme péjoratif, qui signifie quelqu'un qui refuse la vérité. Pour eux, le monde est divisé en Dar al Islam (Maison de l'Islam) et Dar al Harb (Maison de la Guerre). Les pays non musulmans sont la Maison de la Guerre. C'est le devoir de tout musulman de prendre part au djihad dans la Maison de la Guerre, de combattre, tuer, et subjuguer les non-musulmans. Le but n'est pas de les convertir, mais de les contraindre à la soumission. La paix, selon l'Islam, doit seulement être accordée quand les non-musulmans se soumettent aux musulmans et acceptent leur suprématie. Les non-musulmans peuvent pratiquer leur religion, mais seulement comme dhimmis (personnes liées[204]). Cette disposition est donnée aux gens du Livre. Les chrétiens et les juifs seront protégés, pourvu qu'ils paient la taxe de protection, jizyah (amende ou taxe de protection), et se sentent eux-mêmes humiliés et subjugués, comme il est prescrit dans le Coran[205]. S'ils manquent à payer la jizyah, ils peuvent être exilés ou mis à mort. Si vous voulez vivre, en tant que chrétien ou juif, et qu'on vous laisse tranquille, vous devez payer une taxe de protection. Quant aux autres non-croyants (païens, polythéistes, athées, animistes, etc.), ils doivent se convertir ou être tués.

 

7 Le leader n'est justiciable d'aucune autorité.

 

Pour les musulmans, toutes les actions de Mahomet constituent des lois. Il ne peut être justiciable. Il était autorisé à se marier ou à avoir du sexe en dehors du mariage avec autant de femmes qu'il voulait. Il pouvait lancer des raids sur des civils, tuer des gens désarmés[206], piller leurs biens, et prendre leurs femmes[207] [208] et leurs enfants comme esclaves et même les violer[209] [210]. Il pouvait assassiner et torturer ses détracteurs[211] [212]. Il pouvait avoir du sexe avec des enfants[213]. Il pouvait mentir et tromper. Il pouvait massacrer ses prisonniers de guerre de sang-froid[214]. Rien de tout cela ne choque ses fidèles. D'abord ils nient véhémentement. Ils s'offensent et vous accusent de sectarisme et de diffamation. Puis, quand des preuves irréfutables sont présentées, ils changent soudain de tactique et le défendent, rationalisent et justifient la même chose qu'ils niaient avec indignation auparavant, dans un virage à 180°.

Pour les musulmans, les actes de Mahomet ne peuvent être jugés d'après ce que nous, humains, connaissons comme bien et mal. La raison des êtres humains simples mortels est trop faible. Les raisons d’Allah sont trop élevées et dépassent notre raison. Les voies d’Allah sont impénétrables Plutôt, Mahomet est le standard, la mesure du bien et du mal. En conséquence, s'il a commis un crime, ce crime devient une action sainte. La foi et la raison ne peuvent coexister. Les musulmans commettront les mêmes horreurs avec une conscience pure, tant que c'est Sunna. Si Mahomet l'a fait, ce doit être juste. L'Homme ne doit pas contester la sagesse d'Allah. Allah sait mieux [par la voix de son prophète, Mahomet, que quiconque].

 

8 Le groupe enseigne ou considère que ses buts supposés supérieurs justifient n'importe quels moyens en cas de besoin. Cela peut entraîner la participation des membres à des comportements ou activités qu'ils auraient jugés répréhensibles ou immoraux avant de joindre le groupe (par exemple, mentir à leurs familles et amis, ou collecter de l'argent pour des œuvres fallacieuses).

 

Pour les musulmans, la fin justifie toujours les moyens. Toutes les lois, y compris les lois islamiques, peuvent être violées si l'intention le justifie. Un musulman a le droit de renier Mahomet et Allah si c'est nécessaire pour tromper les non-musulmans.

Alors que le Coran interdit à un croyant de tromper d'autres croyants - puisque « certainement Allah ne guide pas celui qui est outrancier et imposteur » (Coran 40:28) - la tromperie à l'égard des non-musulmans, ce qu'on appelle généralement en arabe la taqiyya[215], est elle aussi préconisée par le Coran et relève de la catégorie juridique des choses permises aux musulmans.

 

Selon Ibn Ishaq[216] : « un poète juif, K’ab ibn Al-Ashraf « composait des vers galants de nature à offenser les femmes musulmanes » [ou un poème érotique ayant pour sujet des femmes du parti musulman][217]. Mahomet demande à ses partisans : « Qui est prêt à tuer K’ab ibn Al-Ashraf, qui a insulté Allah et son apôtre ? ». Il trouva un volontaire, un jeune Musulman nommé Muhammad bin Maslama : « Ô apôtre d’Allah, veux-tu que je le tue ? ». Après que le prophète lui eut répondit « oui », Muhammad bin Maslama lui demanda la permission de mentir afin de pouvoir tromper K’ab bin Al-Ahraf et l’attirer dans une embuscade. Le prophète lui accorda cette permission. Avec quatre complices, dont un frère adoptif d’Ibn al-Ashraf, Muhammad ibn Maslama a attiré Ka'ib ibn al-Ashraf hors de ses murs une nuit de pleine lune sous prétexte d’une négociation et le tuèrent atrocement. Cela arriva la troisième année de l'hégire[218] [219] ».

 

« Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux » (Coran Sourate 3,28).

 « L'apôtre d'Allah a dit : « O 'Abdur-Rahman bin Samura ! Ne cherchez pas à être un dirigeant, car si vous recevez l'autorité sur votre demande, vous serez tenu pour responsable, mais si vous la recevez sans la demander, alors vous serez assisté (par Allah). Si jamais, vous prêtez le serment de faire quelque chose et que plus tard vous trouvez que quelque chose d'autre est mieux, faites ce qui est mieux et dénoncez votre serment » ». (Sahid de Bukhari, volume 9, livre 89, numéro 261)

 « Le Prophète a dit « Par Allah et s’il plaît à Allah ! Quand je fais un serment et plus tard trouve quelque chose de mieux, je fais ce qui est mieux et expie mon serment » (Sahih Al-Bukhari Vol 7 Book 67, Hadith 427).

« Si Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est Omnipotent ? » (Coran sourate 2,106). Par ce verset, Mahomet pouvait régulièrement changer ses lois ou ses versets, puisque lui seul détient la Vérité et le pouvoir de changer ses propres Lois.

 

Dès qu’un hadith raconte une histoire gênante (pour les musulmans) sur Mahomet, des juristes, des docteurs en islam prétendent que l’histoire est inauthentique, le hadith est faible. Sinon, ils recherchent un autre hadith qui pourrait le contredire (ou un verset abrogeant).

 

Le massacre des Banu Qurayza. Détail d'une miniature du xixe siècle représentant Mahomet et `Ali pendant l'exécution des prisonniers de la tribu juive de Beni Qurayzah, illustration d'un texte du 19ème siècle par Muhammad Rafi Bazil. Manuscrit (17 folio 108b) maintenant abrité à la British Library. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Banu_Qurayza

 

 

En Islam, tuer est interdit, mais c'est demandé et devient le plus noble but avec la plus haute récompense quand c'est fait pour promouvoir l'Islam. Le suicide est interdit. Mais l'attentat-suicide pour tuer de non-musulmans est ghazwa, une sainte attaque. Voler d'autre musulmans est interdit. Vous pouvez vous faire couper la main si vous dérobez une tranche de pain. Mais lancer des raids pour piller les non croyants est prescrit par le Coran et a été mis en pratique par Mahomet. Les rapports sexuels hors-mariage sont un grave péché, passible de la lapidation. Néanmoins, le viol de femmes incroyantes, même mariées est permis par le Coran. Mentir est interdit en Islam, sauf si le but est de tromper des non-musulmans, ce qui est glorifié comme taqiyah, une des deux ailes du djihad. Le but de faire avancer l'Islam est considéré comme si élevé qu'il n'est rien qu'un musulman refuse pour l'accomplir. Dans l'histoire de l'Islam, nous lisons que des gens ont tué leurs propres pères ou leur ont fait la guerre. Ces crimes sont salués comme des preuves de foi et de dévotion du croyant. Des milliers de jeunes femmes et filles sont tuées par leurs propres parents et frères chaque année, au nom de l'« honneur ». Il n'est pas de crime qu'un musulman ne commette si la fin justifie les moyens.

 

9 Le leadership (la direction) induit des sentiments de honte et/ou culpabilité en vue d'influencer et/ou de contrôler les membres. Souvent, cela passe par la pression des pairs et de subtiles formes de persuasion.

 

Les esprits des musulmans tendent à être écrasés par la culpabilité, s’ils ne respectent pas la loi islamique (jusqu’à la moindre prescription halal). Ce n'est pas au sens où on peut être coupable de mal traiter les autres. Cette culpabilité est liée à l'observation de la Loi. Si un(e) musulman(e) fait quelque chose de prohibé, les autres musulmans doivent lui rappeler la Loi, lui faire honte, et demander son retour à la conformité. Dans les pays plus islamiques, particulièrement l'Iran et l'Arabie Saoudite, c'est l'État qui s'assure que les individus respectent les lois religieuses. En mars 2002, la police religieuse d'Arabie Saoudite repoussa dans un bâtiment en feu des écolières parce que leurs cheveux n'étaient pas couverts. Résultat, quinze filles brûlèrent vives. Le respect du code vestimentaire était plus important que leurs vies.

 

10 L'allégeance au leader du groupe exige des membres qu'ils coupent les liens avec leur famille et leurs amis, et changent radicalement les buts personnels et activités qu'ils avaient avant leur adhésion au groupe.

 

Les musulmans convertis sont encouragés à couper les liens avec leurs familles et amis non-musulmans. Il existe d'innombrables histoires déchirantes de parents non-musulmans dont les enfants s'étaient convertis à l'Islam, avec pour conséquence une perte totale de contact. Ils peuvent recevoir à l'occasion un appel ou une courte visite ; mais la visite doit être limitée, tellement dénuée d'affection que le résultat attriste encore plus des parents déjà accablés. Le but de ces visites est habituellement de demander aux parents ou relations non-musulmans de se convertir. Dès qu'un refus est rencontré, les enfants s'en vont.

 

« Ibn Sa'd raconte l'histoire de Mus'ab ibn Umair, un jeune Mecquois. Ses parents l'aimaient tendrement. Sa mère était Khunaas, une dame aisée et influente. Elle lui procurait les meilleurs vêtements, les parfums les plus chers, les chaussures les plus élégantes et à la mode. Mus'ab fut un des premiers convertis de La Mecque. Il garda sa foi secrète. Quand sa mère l'apprit elle fut affolée. Elle l'empêchait de sortir. Quand Mahomet ordonna à ses fidèles de se rendre en Abyssinie Mus'ab fut parmi eux. A son retour, Khunaas tenta encore de le persuader d'abandonner Mahomet. Ses pleurs tombèrent dans t ne oreille sourde. Elle cessa de lui verser de l'argent. Il se retrouva sans ressource. Il porta des vêtements en loques et s'accrocha à sa foi. Mahomet l'envoya prêcher à Médine. Il réussit à convertir soixante-dix personnes, les mêmes qui allaient visiter Mahomet à Aqaba et jurer de le soutenir.

Quand Mus'ab retourna à La Mecque il ne rendit pas visite à sa mère. Quand elle apprit que son fils était en ville, elle se sentit rejetée. Elle lui envoya un message disant « Comment peux-tu être aussi ingrat envers ta mère ? Tu es venu dans la ville où j 'habite et tu ne viens même f as me voir ». Il répondit : « Je ne voulais visiter personne avant le Prophète ». Quand il alla chez elle, elle le supplia de rester. Il répondit : « N'insiste pas, mère, car si tu essaies de me retenir je n'aurai d'autre choix que de te tuer ». Sa pauvre mère lui dit qu'il pouvait aller et pleura amèrement. Mus'ab dit : « Je veux ton bien, mère. Atteste qu'il n'y a de dieu qu'Allah et que Mahomet est son messager ». Elle répondit : « Par l'éclat des étoiles je n'abandonnerai pas ma foi, mais tu es libre de faire comme tu l'entends ». Mus'ab la laissa et peu après il émigra à Médine. Il prit part aux raids et pillages de Mahomet, et fut tué à la bataille d'Uhud[220]. Khunaas assistait à cette bataille et vit son fils mort.

Les musulmans racontent cette histoire et louent la dévotion aveugle de Mus'ab. Ils pensent que « cette histoire fait la fierté de toute l'humanité ». Pourtant, ce n'est qu'une triste affaire de lavage de cerveau et de zélotisme, et de la souffrance, de l'angoisse et de l'amertume d'une mère au cœur brisé. Les adeptes sectaires ne voient pas la peine qu'ils causent à leurs familles. Les convertis à l'Islam coupent les liens avec leurs familles. Certains vont jusqu'à leur dire qu'ils n'hésiteraient pas à les tuer pour prouver leur attachement à Allah.

Mahomet ne cachait pas ses désirs d'être aimé plus que quiconque que toute chose. Un hadith lui fait dire : « Aucun de vous n'aura la foi tant qu'il ne m'aimera pas plus que son père, ses enfants, et toute l'humanité »[221]. C'est cet amour qui pousse des musulmans à tuer quiconque critique Mahomet et l'Islam »[222].

 

11 Le groupe se préoccupe, d'attirer de nouveaux membres

 

Le principal but des musulmans est de promouvoir l'Islam. Cette pratique est appelée da 'wa. C'est le devoir de tous les musulmans de faire de nouveaux convertis, en commençant par leurs familles et amis. Répandre l'Islam est l'obsession de tout musulman, particulièrement les nouveaux-venus. Par la da 'wa, leur propre foi est aussi fortifiée. Cela implique qu'ils apprennent à mentir pour valoriser leur foi. Ils révéleront seulement les aspects de l'Islam les moins critiquables et éluderont les points les plus ennuyeux. Les gens, qui n'imaginent pas qu'ils peuvent mentir, s'exposent à la tromperie la plus grossière et la plus éhontée, en vue de montrer aux autres, y compris leurs proches, à quel point l'Islam est merveilleux.

 

12 Le groupe se préoccupe de gagner de l'argent

 

Rassembler des fonds pour le djihad est un des principaux objectifs des musulmans. Aujourd'hui cela se fait par ce qui est connu comme des « charités » islamiques. Néanmoins, au temps de Mahomet et au cours de l'histoire, collecter de l'argent pour le djihad a été fait par le pillage. Les prises de guerres alimentent les guerres suivantes. Le but principal de l'Islam est d'établir un pouvoir prééminent sur la terre entière. Mahomet exhortait ses fidèles à donner de l'argent et à soutenir son effort de guerre. « Prélève de leurs biens une Sadaqa par laquelle tu le purifies et les bénis, et prie pour eux. Ta prière est une quiétude pour eux. Et Allah est Audient et Omniscient » (Coran 9:103).

 

13 On attend des membres qu'ils consacrent une part exorbitante de leur temps au groupe et à ses activités.

 

La principale préoccupation des musulmans est l'Islam. On leur demande d'aller régulièrement à la mosquée, de prier obligatoirement cinq fois par jour, et d'écouter les sermons. Ainsi absorbés, ils doivent commencer à se poser la question de comment accomplir leurs devoirs religieux, comment s'habiller, que manger, etc., au point de n'avoir plus beaucoup de temps pour penser à autre chose. On leur dit même ce qu'ils doivent penser. L'Islam est un mode de vie. Il imprègne tous les aspects de la vie des croyants. Ainsi impliqués, ils en viennent à penser que la vie sans l'Islam est inconcevable pour eux.

 

14 Les membres sont encouragés voire contraints à vivre et/ou avoir des relations seulement avec d'autres membres du groupe.

 

Les musulmans apprennent à éviter les kafirs et à n'avoir de relations qu'avec des musulmans. Le Coran prohibe l'amitié avec des incroyants (3:28). Il les appelle najis (sales, impurs) (9:28), et commande de les traiter durement (9:123). Selon Mahomet, les incroyants sont « les pires bêtes » du point de vue de Dieu (8:55). Un site islamique écrit : « Un des aspects de l'Iman (foi) est al wala wal baya, aimer et détester dans le souci d'Allah seul. C'est un des plus importants commandements de l'Islam après Tawheed (unicité de Dieu). Allah dit dans Son Livre : « Que les croyants ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d'Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d'eux. Allah vous met en garde à l'égard de Lui-même. Et c'est à Allah le retour » (Coran 3 :28)[223].

La doctrine de al wala wal bara est un résumé de l'Islam. Elle incarne le message essentiel de cette foi. C'est une haine sans fard et sans nuance. Les musulmans doivent haïr tous les non musulmans et être durs avec eux, « à moins que vous cherchiez à vous protéger d'eux », en d'autres termes, à moins que vous cherchiez à les tromper.

 

15 Les membres les plus loyaux du groupe (« les vrais croyants ») sentent qu'il ne peut y avoir de vie en dehors du contexte du groupe. Ils croient qu'il n'y a pas d'autre manière d'être, et souvent craignent des représailles, pour eux-mêmes ou d'autres, s'ils quittent (ou même envisagent de quitter) le groupe.

 

La pensée de quitter l'Islam est tellement insupportable aux vrais musulmans qu'ils ne peuvent y songer. Bien que des millions d'entre eux aient abandonné leur foi dans les dernières années, les musulmans durs restent accrochés à leur conviction que personne ne quitte vraiment l'Islam, et que de telles prétentions sont une partie de la conspiration pour ébranler la foi des croyants.

Les emails que reçoivent les ex-musulmans, qui combattent l’islam, les avertissent tous du feu de l'enfer dans l'autre vie. Entre le feu de l'enfer et la peur des représailles, les musulmans sont piégés dans un réseau de terreur monté par eux-mêmes.

 

Les sectes mélangent souvent amour, séduction et peur, envoyant des signaux contradictoires (sur la vraie nature de la secte) déstabilisant les adeptes ou croyants. La peur induite par les multiples menaces voilées (la peur de l’enfer, la pression de la communauté) et l’appel constant à la soumission et à l’obéissance permet d’obtenir des croyants disciplinés, ne se rebellant pas, obéissant, soumis, le doigt sur la couture. Tout le monde hurlant avec les loups. Ce sont des dispositions idéales pour obtenir des militants ou des soldats [de l’islam] parfaitement fanatisés, actifs, zélés et prosélytes.

 

L'Islam n'est pas un enseignement de spiritualité, ni une illumination. Le message spirituel est secondaire ou virtuellement inexistant en Islam. La piété islamique signifie imiter Mahomet, un homme qui, lui-même, était loin d'être pieux[224]. Les rituels comme prière et jeûne sont là pour troubler l'esprit des croyants (et les empêcher de douter sur la vraie nature de Mahomet[225]).

 

Toutes ces caractéristiques sectaires, décrites ci-avant, sont présentes dans l'Islam.

 

24    Le profil psychologique particulier de l’adepte

 

Nous mettons en avant plusieurs facteurs psychologiques principaux, internes à l’adepte :

 

1)      La paranoïa, des adeptes et de la secte (du groupe) et du chef de la secte (par exemple la paranoïa de Mahomet),

2)      La fragilité psychologique, le manque de confiance de certains adeptes.

3)      L’escalade d’engagement qui empêche de retourner en arrière par rapport à son engagement,

4)      Le manque de courage, la peur, la paresse intellectuelle.

5)      L’ignorance, l’inculture.

6)      Le conformisme,

7)      La pression constante de la secte sur l’adepte.

8)      L’unanimisme et l’absence de dissidents dans la secte

9)      Les blessures narcissiques, mal soignées.

 

 

Ce que j’appelle les facteurs psychologiques internes à l’adepte.

 

24.1    Le manque de confiance de soi et fragilité psychologique

 

Les convertis ont souvent une faible estime de soi (ou peu d’estime de soi) ou sont trompés. Ils sont impressionnables et aisément déroutés.

Comme un drogué qui cherche refuge dans sa drogue (ses illusions) pour échapper à la misère, à sa condition, à son impasse, plus les musulmans sont pitoyables, plus fortement ils s’accrochent à l’islam, comme si vivre dans un délire pouvait lui apporter le salut.

Cela fait 1400 ans que les mêmes causes (les mêmes décisions absurdes) produisent les mêmes effets, et empêchent de sortir de l’impasse et du mythe de Sisyphe permanent.

 

24.2    La paranoïa

 

L’islam apprend à ses membres à ne craindre rien, ni personne en dehors de leur foi et à considérer les incroyants comme « l’ennemi ». L’islam est pour eux la seule voie juste et tout autre doit disparaître.

Actuellement, les musulmans se méfient de plus en plus des non-musulmans (et de la civilisation occidentale) et adhèrent ardemment aux théories du complot (issus de l’occident, telle que le complot mondial juif …).

Dès qu’il y a une polémique sur le voile, le burkini, ils sont persuadés d’être l’objet d’un complot contre l’islam.

Dans l’islam, l’unité de la communauté (l’Ummah) est obtenue en instillant dans la communauté un sentiment de victime et une haine de l’autre.

 

24.3    L’ignorance, le manque d’instruction

 

La population arabe de Médine était ignorante, appauvrie, et très superstitieuse[226] [227].

Les convertis ont souvent une culture générale faible à très faible, voire un QI faible, ou une culture générale à trous.

 

« Mahomet ignorait tout de la démarche scientifique, qui procède par hypothèses et expérimentations, en vue d'améliorer les conjectures de départ. Il pensait que « la plupart des incrédules se contentent d'une supposition. La supposition ne prévaut pas contre la Vérité ». Les scientifiques se doivent encore de confronter leurs conclusions, afin de les soumettre à la critique, tandis que Mahomet partait du principe qu'il détenait la vérité certaine, les autres demeurant « [...] sans aucune science, ni direction, ni Livre lumineux ». Il croyait que tout était contenu dans son livre  et que l'ancienneté d'un ouvrage constitue un gage de sa valeur, ce qui met à mal l'idée de progrès attaché aux sciences. Enfin, la rationalité moderne s'assortit de règles de logique, qui ne semblaient guère gêner Mahomet. Outre une extraordinaire accumulation de contradictions[228], il s'adonnait à ses heures perdues au raisonnement circulaire, qui s'appuie sur ce qu'il doit démontrer : « Dieu [a créé et formé harmonieusement l'homme], puis, de celui-ci, il a fait naître un couple : le mâle et la femelle.  Celui qui a fait cela n'aurait-il pas le pouvoir de rendre la vie aux morts ? »[229].

 

Les convertis à l’Islam ont souvent un niveau d’éducation scientifique très faible, et qu’ils sont totalement ignorant des découvertes et connaissances scientifiques actuelles.

Or depuis l’Hégire _ c’est à dire depuis 14 siècles _, la connaissance scientifique a beaucoup évolué, la méthode scientifique est arrivée vers le 17° siècle. Méthode qui a remise en cause beaucoup d’affirmations religieuses, y compris dans l’Islam.

Les vérités scientifiques sont celles les plus rigoureuses et les moins contestables (et elles, elles sont prouvables, contrairement aux affirmations religieuses).

 

Il faut essayer de faire comprendre que des personnes qui se disent missionnés de Dieu et qui ont des visions de l’au-delà ne sont pas nécessairement des prophètes, mais plutôt des personnes souffrant de maladies psychiques comme les psychoses, les épilepsies temporales. On trouve beaucoup de prophètes, vivant de belles visions, dans les hôpitaux psychiatriques. L’étude de ces cas et des gourous et prophètes contemporains le prouve[230] [231].

Par la stimulation magnétique trans-crânien (TMS) _ par exemple lors d’expériences du Pr Olaf Blanké, Laboratoire des Neurosciences Cognitives à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, par l'emploi de drogues (LSD ...) on peut provoquer des sorties du corps (NBE et OBE)[232] et des hallucinations visuelles et auditives.

Par des exercices de prières et de respirations poussées (avec blocage de ma respiration longtemps ou avec des inspirations longues) _ comme dans certains exercices rosicrucies et de yoga _, on peut arriver à avoir des sortes d’illuminations mystiques, et même faire apparaître dans une sorte d’ovale le visage de Jésus, de Marie, de Saint ou de n’importe qu’elle objet de visualisation ou de focalisation.

Ces visions sont liées à ces techniques de respirations, pouvant provoquer une hypoxie du cerveau (un défaut d’oxygénation) et donc éventuellement des hallucinations liées à cette hypoxie (comme les hallucinations pouvant survenir avec le Mal aigüe des Montagne). Il est possible que ce qui est arrivé à Mahomet, dans sa grotte du mont Hira.

 

Se croire prophète de Dieu, c’est la pire chose qui peut vous arriver, cela ne peut qu’induire en vous de la mégalomanie (comme cela a été le cas de Mahomet).

 

24.4    Le désir de conformité

 

Si les enseignements de Mahomet et du Coran sont confirmés par les musulmans, et si l’on veut être de la communauté, on doit s’y conformer. Les membres de la secte renieront leur propre jugement pour être conformes (souvent par peur d’être rejeté par leur propre communauté).

 

24.5    Les blessures narcissiques mal soignées

 

Souvent le converti a subi des maltraitances, des rejets durant son enfance (de la part de ses parents, camarades ...). Si son visage est typé « maghrébin », il peut avoir subi des préjugés, présupposant qu’il est étranger, musulman ou des insultes à caractère raciste, du genre : « sale arabe ! sale musulman ! retourne dans ton pays ! ». On peut lui avoir fait sentir qu’il n’est pas français. Il peut avoir été contrôlé plus que de raison, par des policiers, dans son quartier, à cause de son faciès « arabe ». Il peut avoir été blessé par toutes ces manifestations hostiles et s’il n’a pas pu en guérir, par exemple, par une psychothérapie adaptée, une vraie écoute compassionnelle, tous ces facteurs d’hostilité à son égard et sa blessure peuvent l’inciter à rechercher une identité (de rejeté ?) qu’il trouvera par exemple dans un retour à l’Islam (et par une conversion). Beaucoup de djihadistes ont eu à subir des rejets et des incompréhensions, comme Khaled Kelkal etc. Des échecs scolaires à répétitions, suivi d’un décrochage scolaire peuvent augmenter le sentiment d’humiliation ressenti par le « blessé » (l’écorché vif).

Les « blessés narcissiques » sont souvent les plus fanatiques [,les plus souvent dans la haine [de l’Occident, d’Israël …]] et les plus imperméables aux arguments rationnels [contre l’islam et Mahomet, contre les « théories scientifiques » basées sur les versets du Coran ou les hadiths …].

Certaines personnes, ayant subi de graves blessures morales (narcissiques), cherchent aussi alors un bouc émissaire, servant d'exutoire, pour y déverser toute leur frustration, violence et haine. Leurs blessures, quand elles sont « infectées », sont souvent difficiles à guérir, parce que ces personnes y pensent obsessionnellement.

 

25    Quel futur ?

 

Les premières victimes de l’islam sont ses croyants. Leurs esprits sont remplis de superstitions, leurs cœurs sont confits de haine, leur vie sont tourmentées par la souffrance, et leur cerveau paralysé par la peur de l’enfer et la condamnation du reste de la communauté. Et pourtant, ils se figurent que les autres les envient.

Les sociétés islamiques sont dysfonctionnelles, leurs pays sont dictatoriaux et leurs vies dévastées. C’est à eux de cesser d’être dans le déni et de faire face à cette douloureuse vérité, que l’islam est la première cause de leurs misères.

L’islam a provoqué le gel de l’esprit. En 14 siècles, le bilan de l’islam est globalement négatif. Il a créé des sociétés arriérées, figées, qui n’évoluent plus, que à la traine de l’évolution de tout le reste de l’humanité (tous les 57 pays musulmans étant des dictatures, sauf un).

 

Le salut passe par la connaissance (en particulier la connaissance scientifique), l’éducation, l’esprit critique apportée par l’éducation, et non pas par l’ignorance (ou par la foi aveugle).

 

Il faut inciter les musulmans à abandonner le jihad (qui est destructeur et meurtrier), à être inventif, pour le bien d’autrui, à créer des inventions, à faire des études poussées, à faire des découvertes scientifiques (actuellement toutes ou presque viennent du monde occidental ou de l’Asie, et pas du monde arabo-musulman), à créer des entreprises, à lancer des projets agronomiques ou agricoles, dans les pays pauvres, pour lutter contre la pauvreté et assurer la sécurité alimentaire là-bas[233]. Ce sont des causes meilleures et plus constructives que la guerre pour la « bonne cause ».

Plus il y aura des musulmans cultivés et éduqués, en particulier ayant des connaissances scientifiques et/ou formés à la démarche scientifique), en particulier dans les pays musulmans, plus ils s’éloigneront de l’islam (de ses aspects les plus contestables, les plus contradictoires sur le plan de logique rationnelle (aspects irrationnels)). Et cela passe par la lecture, l’apprentissage de l’anglais (ou du Français …) ou l’augmentation du nombre de traduction d’ouvrages scientifiques et critique diffusés sur Internet (pour contourner la censure).

Plus nous aurons des penseurs critiques et cultivés _ comme Majid Oukacha, Waleed Al Husseini … _, plus nous pourrons augmenter la masse critique des personnes cultivées et critiques, qui ne goberont plus les légendes dorées de l’Islam. Et plus l’on pourra faire évoluer en interne la mentalité des musulmans, surtout dans les pays musulmans.

A un moment donné, la masse critique des personnes cultivées et critiques sera suffisante pour soulever et renverser la chape de plomb de la pensée et de la censure islamistes. C’est cela alors qu’on pourra empêcher l’islam de s’occuper de politique, de promouvoir une société totalitaire, liberticide, oppressive, arriérée, rétrograde, irrationnelle, opposées aux découvertes scientifiques actuelles (évolutionnisme …) et au bonheur des hommes (en s’opposant aux droits de l’homme). Il est important que l’islam reste cantonnée à une religion personnelle, au niveau des cœurs.

Mais pour cela, il faut multiplier les sites et ouvrages critiques (au niveau scientifique) sur l’islam, en particulier vers les pays musulmans.

 

26    Bibliographie

 

Une grande partie de informations utilisées pour ce document sont tirées de ces livres, en particulier du premier :

 

[1] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Tatamis Editions, 2015 (487 pages).

[2] Mahomet était-il fou ?, Frédéric Joi, Ed. Max Milo, 2012.
[3] Il était une fois l’Islam, Majid Oukacha, Tatamis Editions, 2015.
[4] Comment contredire un musulman, Herve Jaubert, CreateSpace Independent Publishing Platform, 2015.

 

« Liberté, tolérance, démocratie, émancipation. Evidemment, aucun de ces mots n’est dans le dictionnaire (Coran) ! »

Commentaire illustrant cette image : « La curiosité mène à la connaissance. La croyance mène à l'ignorance ».

 « Un scientifique lira des centaines de livres au cours de sa vie, mais sera toujours persuadé qu'il lui reste beaucoup à apprendre. Un fanatique religieux n'en lira qu'un et sera persuadé d’avoir tout compris ».

« Je ne me sens pas obligé de croire que le même Dieu qui nous a doté de sens, de raison et d’intellect, ait l’intention que nous renoncions à leur usage », Galileo Galilée[234].

 

La liberté va en enfer

Soyez préparé à l’holocauste réel.

Pour la paix mondiale, Israël doit être détruit.

11 septembre, le début de la fin de la démocratie. Charia est le futur.

Europe est le cancer, Islam est la réponse.

Exterminons ceux calomnient l’islam

Sur toutes ces affichettes, est indiqué « Jihad pour le Mali » (suite à l’intervention de la France au Mali).

Sur cette photo d’une manifestation salafiste, l’on voit le drapeau de DAESH en arrière-plan

A Tarbes, un mur tagué à la gloire du tueur Mohamed Merah : « Tu as été un preux chevalier de l'Islam. Tu as combattu la merde sioniste et les faux musulmans. Tu es mort les armes à la main. Je te salue Mohamed, mon frère, mon ami... Repose en paix ! ».

Source : http://www.ladepeche.fr/article/2012/03/29/1318366-tarbes-une-inscription-a-la-gloire-de-merah-sur-le-mur-d-une-maison.html

 

Images de provocations salafistes, djihadistes ou islamistes en Europe, destinées à faire peur ou non.


 

27    Sommaire

 

Table des matières

1       Introduction. 1

2       Mes propres convictions sur l’origine et les racines du fanatisme. 1

3       La force de la conviction irrationnelle chez les musulmans. 4

4       Attitudes quérulentes et victimaires. 6

5       La contribution du fanatique aux prophéties autoréalisatrices. 10

6       La quérulence [un comportement excessivement revendicateur] et la mégalomanie de Mahomet : 12

7       Le prêt-à-penser islamique. 14

8       Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF). 15

8.1         Les nombreux procès intentés par ce collectif. 15

8.2         Proximité avec l'islamisme. 17

8.3         En conclusion. 18

9       Les chiens de garde de la doctrine, de la religion (ici de l’islam). 21

10          Des exemples de comportements fanatiques ou zélotes. 31

11          La dépression qui suit immanquablement la perte de foi dans sa croyance. 33

12          Questionnement. 35

13          Le fonctionnement sectaire de l’Islam (i.e. ses mécanismes sectaires). 35

14          La grille de lecture de l’UNADFI 36

15          L'approche séductrice et sympathique. 38

16          La victimisation : se faire passer pour des victimes. 40

17          Le fait d'agir pour la « bonne cause ». 41

18          Les mystères et les connaissances secrètes. 41

19          Faire des « miracles ». 42

20          L’escalade de l’engagement et la dissonance cognitive. 43

21          L’importance du mensonge. 46

22          Le pouvoir de la persuasion. 46

23          Menaces et harcèlements contre les opposants, ceux qui ne veulent pas rejoindre ou ceux veulent quitter la secte   47

23.1      Pression sur les musulmans (sur les adeptes). 47

23.2      Autojustification. 48

23.3      L’unanimisme et l’absence de dissidents dans la secte. 48

23.3.1        Elimination de la dissidence. 48

23.3.2        Grilles de lecture de Carole Wade, dans Psychology 101 says. 48

24          Le profil psychologique particulier de l’adepte. 56

24.1      Le manque de confiance de soi et fragilité psychologique. 57

24.2      La paranoïa. 57

24.3      L’ignorance, le manque d’instruction. 57

24.4      Le désir de conformité. 58

24.5      Les blessures narcissiques mal soignées. 58

25          Quel futur ?. 59

26          Bibliographie. 59

27          Sommaire. 63

 



[1] Je soupçonne, d’ailleurs, que l’imposteur Jean-Claude Romand, qui a tué sa femme, ses deux enfants et ses parents, au moment où il était sur le point d’être démasqué, avait le même mode de fonctionnement. Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_Romand

[2] Je doute d’ailleurs que cette femme ait pu avoir l’agrégation, sa diction et sa pensée étant trop laborieuses.

[3] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9isme_et_tsunami_de_2004_dans_l%27oc%C3%A9an_Indien

[4] « la terre ne tourne pas autour du soleil », selon l’Islam et un cheikh saoudien, http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/non-la-terre-ne-tourne-pas-autour-du-soleil-explique-un-cheikh-saoudien_1652951.html

[5] Cette interdiction est liée à celle des jeux de hasard, le jeu d’échec, étant considéré, par certains avis musulmans, comme un jeu de hasard, selon a) le verset du Coran : « Les croyants ! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, œuvre du Diable. Ecartez- vous en, afin que vous réussissiez. Le Diable ne veut que jeter parmi vous, à travers le vin et le jeu de hasard, l'inimitié et la haine, et vous détourner d'invoquer Allah et de la Salâ. Allez- vous donc y mettre fin ? » (Coran, 5 : 90-91), b) les hadiths suivants : 1) « Buraida a rapporté, sous l'autorité de son père, que l'apôtre d'Allah (que la paix soit sur ​​lui) a dit : - Celui qui joue aux échecs ou de dés [dice/chess en Anglais, selon les versions] est comme celui qui teint sa main avec de la viande et du sang de porc » (récit de Buraida, Muslim XXVIII 5612). Sources : http://hadithcollection.com/sahihmuslim/156-Sahih%20Muslim%20Book%2028.%20Poetry/13943-sahih-muslim-book-028-hadith-number-5612.html & http://muflihun.com/muslim/28/5612, 2) Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Celui qui joue au jacquet est comme celui qui plonge sa main dans la chair et le sang du porc » (Mouslim, Sahih, 2260). 3) Interrogé à propos du jeu d’échecs, Abd Allah ibn Omar, un compagnon de Mahomet, a dit : « Il est pire que le jacquet ».

[6] La pensée scientifique remet en cause plein de "vérités religieuses", par exemple, la théorie de la terre "immobile" et centre du monde, sur le créationnisme, maintenant les psychiatres diagnostiquent souvent une psychose ou de graves problèmes psychopathologiques chez les « prophètes ». Cf. a) Jésus, Abraham et Moïse étaient-ils psychotiques ?, Clément Guillet, http://m.slate.fr/story/115853/jesus-abraham-moise-psychotiques, b) The Role of Psychotic Disorders in Religious History Considered [Le rôle des troubles psychotiques dans l'histoire religieuse considérée], Evan D. Murray ,MARYLAND, Miles G. Cunningham ,MD, Ph.D.Et Bruce H. Price ,MARYLAND,

http://neuro.psychiatryonline.org/doi/full/10.1176/appi.neuropsych.11090214

[7] Surtout devant les journalistes ... au point qu’on peut se demander si leur supposée « victimisation » ne sert pas volontairement leur propagande (en se faisant passer pour martyr), utilisant tout ce qui leur « arrive » comme caisse de résonance. Ces militants utilisent souvent Les journalistes étrangers, pour stigmatiser la France. Car ces derniers veulent souvent donner une mauvaise image de la France. Peu connaissent notre pays. Les Américains voient toujours les Français comme des arriérés.

[8] Le massacre des Banu Qurayza, https://fr.wikipedia.org/wiki/Banu_Qurayza

[9] Envers les femmes, les juifs, les chrétiens, les athées, apostats …

[10] Entre 83 et 100 expéditions. Cf. a) https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_exp%C3%A9ditions_de_Mahomet

b) Batailles de Mahomet, https://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet

[11] Cf. http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/Liste_des_meurtres_ordonnes_ou_soutenus_par_Muhammad.htm

[12] Ou « chiens de garde » de l’Islam.

[13] Parole qui outrage la divinité, la religion.

[14] L’islam interdit formellement les représentations de Dieu, du Prophète et de ses descendants.

[15] Le Dr Yunis Shaikh, un professeur pakistanais, remarqua que les parents de Mahomet n'étaient pas musulmans. Cela semble évident puisqu'ils moururent quand Mahomet était encore un enfant. Pourtant cela irrita ses étudiants qui se plaignirent aux religieux, qui traînèrent le Dr Shaikh devant un tribunal, l'accusèrent de blasphème, et la cour le condamna à mort. Il fut libéré après quelques années quand beaucoup de gens protestèrent dans le monde. Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Younus_Shaikh

[16] Pour avoir rédigé un article, repris d'Internet qui s'interrogeait, sur la parenté de Mahomet, En septembre 2006, Mohammed Taha Mohammed Ahmed, le rédacteur-en-chef du quotidien soudanais indépendant Al Wifaq, a été accusé de blasphème et été égorgé par un groupe de musulmans à Khartoum. Source : https://en.wikipedia.org/wiki/Mohammed_Taha_Mohammed_Ahmed

[17] Salman Taseer, un politicien éminent qui militait pour les droits de l’homme et contre la loi sur le blasphème, au Pakistan, a été abattu par son propre garde du corps. Son meurtrier dit qu’il voulait donner une leçon à un apostat. La section 295-C du Code Pénal pakistanais stipule : « Quiconque par des mots, qu’ils soient oraux ou écrits, ou par une représentation visible, ou par une quelconque imputation ou insinuation, directement ou indirectement, offense le nom sacré du Saint Prophète Mahomet sera puni de mort et sera aussi passible d’une amende ».

[18] Fatwas de condamnation à mort lancés contre les écrivains Salman Rushdie, les écrivaines Nawal el-Saadawi, Taslima Nasreen … Sources : 1) Gilles Kepel, A l’ouest d’Allah, Point Seuil, Paris, 1994. B) Akhtar Shabbir, Be careful with Muhammad ! The Salman Rushdie Affaire, Belew Publishing, Londres, 1989.

[19] Les campagnes comme Salman Rushdie ont fait 6 morts à Islamabad au Pakistan, 5 morts et 100 blessés Srinagar au Cachemire (source : Tirs croisés, la laïcité à l’épreuve des intégrismes juifs, chrétiens et musulmans, Caroline Fourest et Fiammetta Venner, Livre de Poche, 2003, page 217.

[20] Le réalisateur Theo Van Gogh a été poignardé à mort, en Hollande, par un musulman pour avoir aidé la dissidente Ayaan Hirsi Ali à réaliser un film sur les femmes en Islam.

[21] En juillet 1991 Ettore Caprioli, le traducteur italien des Versets sataniques de Rushdie, fut gravement blessé, et Hitoshi Igarishi ¬professeur de littérature et admirateur de la civilisation islamique, qui avait traduit le livre en japonais — fut assassiné à Tokyo. William Nygaard, le traducteur norvégien, fut plus tard blessé.

[22] Parce que dans le Coran il est dit : « Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l’arabe, ils auraient dit : Pourquoi ses versets n’ont-ils pas été exposés clairement ? Un (Coran) non-arabe et (un Messager) arabe ! » (Sourate 41, verset 44).

[23] Selon les versets : sourate 33, verset 59 et sourate 24, verset 31.

[24] Il a souvent par le regroupement de musulmans portant la barbe, la djellaba, des femmes portant le voile ou la burqa …

[25] Au lieu d’être assommés.

[26] Elle peut faire la chasse aux homosexuels. Cf. Homophobic 'vigilante' video appears online, BBC, 22 January 2013, London, http://www.bbc.com/news/uk-england-london-21142148

[27] Cf. Rapport de “Freedom of House” sur les programmes scolaires saoudiens, https://freedomhouse.org/sites/default/files/CurriculumOfIntolerance.pdf, la traduction de ce rapport se trouve sur : https://www.les-crises.fr/programmes-scolaires-d-intolerance-en-arabie-saoudite/

[28]Le site halalbook propage le discours victimaire. Voir par exemple, cet article : Quand la France plongeait les Algériens dans des fosses d'acide, http://www.halalbook.fr/actufiche-17-7101.html?0%5BGuerre-d%E2%80%99Alg%C3%A9rie%5D

[29] En général, concernant la guerre d’Algérie, les musulmans se focalisent sur les massacres et exactions des Français, mais jamais sur les exactions des algériens musulmans contre les Européens et leurs propres compatriotes (massacres d'Européens à Orléansville [El-Asnam], à Oued Zem, à Oran [massacre du 5 juillet 1962] etc. en fait partout, les massacres du FLN contre les militants du MNA (Mouvement national algérien), Massacre de Melouza contre les militants du MNA, le massacre des harkis ...).  Voir : a) https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_d%27Alg%C3%A9rie,  b) https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacres_de_harkis 

[30] Il est dommage que dans la communauté musulmane et, en particulier, algérienne, il n’y ait le même degré d’objectivité et d’honnêteté que chez Benjamin Stora et Abdelwahab Meddeb sur la guerre d’Algérie. Voir leur ouvrage commun : Benjamin Stora et Abdelwahab Meddeb, Histoire des relations entre juifs et musulmans des origines à nos jours, Albin Michel, 2013

[31] « L'insurrection algérienne se durcit. Alger est désormais la cible privilégiée de ceux qu'on appelle les « fellaghas », dans la communauté française. Les événements sèment la terreur et visent à tordre le cou aux idées d'union de Camus, que les militants du FLN ont perçues comme des naïvetés. Pour que leur cause triomphe, ils doivent en passer par le terrorisme. Les assassinats dans le camp algérien se multiplient, car il s'agit d'abord de faire plier ceux qui hésitent, pour éradiquer toute idée de réconciliation. Le FLN s'emploie à mener une guerre psychologique destinée à creuser de profondes tranchées ente deux communautés. Le mythe des frères ennemis est ressuscité, le conflit biblique d'Abel et Caïn rejoué. Pour cela, on commande des massacres d'Arabes, on ordonne la destruction de mechtas et des villages, on fait égorger des familles à titre d'exemple. Les actes de terrorisme dans la ville française se multiplient et trouvent leur apogée le 30 septembre 1956, lors d'attentats à la bombe extrêmement meurtriers .. ». in Albert Camus, fils d'Alger, Alain Vircondelet, Librairie Arthème Fayard, 2010.

[32] http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/envoye-special/video-envoye-special-le-tourisme-halal_1800377.html

[33] C’est souvent la crainte de la grande invasion prédite, par le président Boumediene, dans une déclaration devant l’assemblée de l’ONU, en 1974 : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour faire irruption dans l’hémisphère nord. Et certainement pas en amis. Car ils y feront irruption pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant de leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous offrira la victoire ». Source : http://www.prechi-precha.fr/citation-du-jour-houari-boumediene-envisage-lavenir-de-leurope-1974/ 

[34] In De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd. Plon.

[35] Source : http://mondafrique.com/filles-jean-quon-regarde-de-travers/

[36] Cf. L’islam, une idéologie arabe impérialiste, colonialiste et totalitaire, Hossain Salahuddin, 24 ans, poète, essayiste et ex-musulman, http://pointdebasculecanada.ca/lislam-une-ideologie-arabe-imperialiste-colonialiste-et-totalitaire/

[37] Blasphémateur ! Dans les prisons d’Allah, Waleed al Husseini, Grasset.

[38] Kate Milletr, Going to Iran, Coward, McCann & Geoghegan, New York, 1982.

[39] Vision paranoïaque d’un complot permanent du monde entier contre l’islam.

[40] Source : Tirs croisés, ibid, pages 238-239.

[41] Association islamique radicale.

[42] Eberhard Jäckel, Hitlers Weltanschauung, Deutsches Verlag-Anstalt, 1991, p. 72 : «Ich will heute wieder ein Prophet sein : Wenn es dem internationalen Finanzjudentum inner- und außerhalb Europas gelingen sollte, die Völker noch einmal in einen Weltkrieg zu stürzen, dann wird das Ergebnis nicht die Bolschewisierung der Erde und damit der Sieg des Judentums sein, sondern die Vernichtung der jüdischen Rasse in Europa». Le compte rendu de la séance fait alors état d’applaudissements prolongés. On peut les entendre sur un enregistrement. Nous choisissons de traduire «Judentum» par «juiverie» et non par «judaïsme». En effet, dans les discours d’Hitler, les expressions «Judentum» (la juiverie, les Juifs), «die Juden» (les Juifs), «der Jude» (le Juif), et «die jüdische Rasse» (la race juive) sont interchangeables et signifient toujours pour Hitler l’ensemble des Juifs. Traduire «Judentum» par «judaïsme» ignore complètement le caractère concret et collectif de l’emploi hitlérien du mot. Il ne s’agit pas de la religion juive, mais bien pour Hitler de désigner la collectivité des Juifs. La distinction est de nature similaire à celle qui existe entre «Chrétienté», au sens de l’ensemble des Chrétiens, et «Christianisme». Traduire par «les Juifs» ou par «la juiverie» ne constitue d’ailleurs pas une sur-traduction dans la mesure où le Grand dictionnaire Langenscheidt propose lui-même la traduction de «Judentum» par le collectif «les Juifs». Le Harraps Universal Dictionnaire Allemand/Français - Français/Allemand donne pour premier sens de Judentum : «Gesamheit der Juden» (ensemble des Juifs) et traduit par «les Juifs». Les traductions en anglais utilisent généralement «Jewry» pour rendre «Judentum». On peut remarquer que de nombreuses traductions en français font l’impasse sur ce caractère collectif et concret, ne tiennent pas compte du contexte et de l’emploi hitlérien du mot, et rendent bien souvent «Judentum» dans les discours d’Hitler par un «judaïsme» à la limite du contre-sens. Ainsi, la traduction française de l’ouvrage de Eberhard Jäckel, rend-elle «Judentum» systématiquement par «judaïsme», notamment pour le discours cité (Hitler Idéologue, Gallimard, Tel, 1995, p. 83).

Source : L’antisémitisme mortifère d’Hitler. Paroles et documents, http://www.phdn.org/histgen/hitler/declarations.html

[43] voir mon document "l'antisémitisme musulman", http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/antisemitisme-musulman.htm

[44] Deux versets contradictoires avec le verset 46.9 du Coran « Dis : Je ne suis pas une innovation parmi les messagers ; et je ne sais pas ce que l’on fera de moi, ni de vous. Je ne fais que suivre ce qui m’est révélé ; et je ne suis qu’un avertisseur clair » et avec le hadith « Par Allah, alors que je suis l’Apôtre d’Allah, je ne sais pas ce qu’Allah fera de moi » (Bukhari, 5, 58, 266).

[45] Le Dieu « Allah », décrit dans le Coran et les hadiths, est prétentieux, vindicatif, menaçant, cruel. Il est en fait très (trop) humain. Il est à l’image des comportements humains. On constate, par ce verset que, Mahomet s’identifie vraiment à Dieu.

[46] Ce commandement de Mahomet conduit à détruire les liens familiaux, si la propre famille de l’adepte ne veut pas se convertir à l’islam.

[47] Ici Mahomet promet un châtiment divin pour les apostats, et une punition dans ce monde.

[48] On dédouane ainsi, par ce verset, le combattant de l’Islam de ses crimes.

[49] Le meurtre signifie tuer un musulman. Tuer un infidèle n’est pas un meurtre, bien au contraire c’est une obligation religieuse. Le Coran appelle souvent à la haine et à la violence contre les non-musulmans.

[50] C’est un verset vraiment totalitaire, prouvant que les musulmans ne sont pas du tout libres.

[51] Il est interdit se douter ou de se poser de questions sur la légitimité de Mahomet et de ses actions, en Islam.

[52] Ils sont imperméables à l’esprit de la phrase « Ne fais pas à autrui, ce que tu n’aimerais pas que l’on te fasse ».

[53] Cf. https://www.zamanfrance.fr/article/laurence-rossignol-ccif-porte-plainte-injure-publique-a-caractere-racial-20942.html

[54] Il faudrait voir si cette phrase n’a pas été sortie de son contexte. Cf. http://oumma.com/219744/un-musulman-de-19-ans-porte-plainte-contre-nkm-suite-

·         [55] Cf. Caroline Fourest : le mensonge de trop, 1 mai 2015, par LES INVITÉS DE MEDIAPART (ce blog de Médiapart permet à des personnes anonymes d’exprimer leurs opinions), https://blogs.mediapart.fr/edition/les-invites-de-mediapart/article/010515/caroline-fourest-le-mensonge-de-trop

[56] . Selon Caroline Fourest « La Cour d’appel de Paris vient de confirmer ce que je disais sur le plateau d’On n’est pas couché en mai 2015. Elle a constaté que depuis janvier 2015, soit plusieurs mois avant l’enregistrement de cette émission, la plainte que me reprochait Aymeric Caron était bien prescrite. J’ai donc bien gagné le procès intenté par Madame Rabia Bentot, condamnée à me verser 4000 euros pour frais de procédure ». « Cette plainte visait l’une de mes chroniques de France culture de 2013, où je dénonçais les agressions survenues contre des femmes voilées comme « odieuses et clairement racistes ». Elle invitait toutefois à ne pas s’emballer dans deux affaires, où tout incitait à la prudence. A commencer par les déclarations flottantes et contradictoires des plaignantes. L’une d’elle disait avoir été attaquée par deux hommes rasés puis un « skin à crête », ce qui est rare. La presse notait qu’aucune trace de coups n’avait été constatée, ni aucune image de l’agression retrouvée sur les caméras de surveillance. Trois de mes sources, sur le terrain et proches de l’enquête, ont émis des doutes… L’avocat de ces deux femmes voilées, Maître Hosni Maati, lui-même, a expliqué à la presse qu’il n’avait pas pu parler à l’une de ses clientes, seulement à son mari. C’est sur la base de ces incohérences que j’ai invité à la prudence, comme d’autres confrères. Bizarrement, j’ai été la seule à être poursuivie par maître Hosni Maati… [...] l’avocat du CCIF ».

Sources : a) http://www.lexpress.fr/actualite/societe/prudence-apres-l-agression-d-une-femme-voilee-enceinte-a-argenteuil_1257578.html, b) https://carolinefourest.wordpress.com/

[57] Or cette 1ère condamnation, claironnée haut et fort par le CCIF sur de nombreux médias, a fait passer durablement la journaliste Caroline Fourest pour une menteuse, d’autant que Mme Fourest a toujours été la bête noire du CCIF justement parce qu’elle critique régulièrement le CCIF, concernant son esprit partisan.

[58] Source : http://www.islamophobie.net/articles/2016/08/29/affaire-lecenacle-plainte-deposee-et-procedures-engagees

[59] Cf. http://contre-attaques.org/l-oeil-de/article/relaxe-pour

[60] Cf. http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2013/06/tandis-que-la-gauche-alerte.html

[61]  Offensive du CCIF contre la liberté d'expression, http://blog.lefigaro.fr/rioufol/2015/11/le-collectif-contre-lislamopho.html

[62] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Collectif_contre_l%27islamophobie_en_France

[63] Note : Cette BD qui ouvre traditionnellement le magazine, et qui, souvent avec humour, tente de mettre en lumière quelques faits d'actualité. Titrée "Cucaracha, la blatte savante", cette série signée Marino Degano et Laurent Salles a même son propre site. Le principe est toujours le même avec la personnification d'une blatte, qui devient une allégorie de l'homme afin de pointer des singularités de notre monde.

[64] Cf. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/870959-islamophobie-chez-science-vie-junior-quand-le-ccif-amalgame-islam-et-islamisme.html

[65] En fait, cette planche dénonce l’islamisme. Mais comme le CCIF est proche des thèses islamistes, il se sent visé.

[66] « Lutte contre l'islamophobie : ce que le CCIF ne dit pas sur lui-même », surleplus/nouvelobs.com,‎ 8 novembre 2012, http://leplus.nouvelobs.com/contribution/684181-lutte-contre-l-islamophobie-ce-que-le-ccif-ne-dit-pas-sur-lui-meme.html

[67] CCIF, Rapport 2010, p.26 : « Les éditions Nathan ont sorti un nouveau manuel pour les enfants dans lequel ils indiquent que les femmes musulmanes n'ont pas la moindre liberté et qu'elles peuvent être condamnées à mort en cas de désobéissance », http://www.islamophobie.net/rapports/rapport-CCIF-2010.pdf

[68] Nathan, Comprendre le monde. Religion et laïcité, p. 60 : « Arabie saoudite. Dans ce royaume islamique, la charia règle le moindre détail de la vie familiale et sociale. Les femmes vivent séparées des hommes à la maison, à l’école et au travail. Voilées de la tête aux pieds, elles n’ont pas la moindre liberté et peuvent être condamnées à mort en cas de désobéissance », http://www.nathan.fr/_communiques/Religion-et-laicite-dokeo.pdf

[69] « Interdiction du passage du permis de conduire pour les femmes, ségrégation scolaire, interdiction de présence d’une femme non voilée à la télévision, obligation d’obtenir l’autorisation de son tuteur (mari, père ou proche parent) pour accéder à un grand nombre d’emplois, fermeture de certaines sections des universités saoudiennes aux femmes, impossibilité pour elles de pratiquer la plupart des sports dans les frontières du royaume ». Cf. Où en est la condition des femmes en Arabie saoudite ?, 03/02/2015, Nicolas Hautemanière, http://www.lesclesdumoyenorient.com/Ou-en-est-la-condition-des-femmes.html

[70] Cf. http://www.midilibre.fr/2016/09/02/le-collectif-contre-l-islamophobie-star-clivante-du-feuilleton-sur-le-burkini,1387594.php

[71] Rapport relatif à la période 2014-2015 du CCIF « Etre musulmane aujourd’hui en France : les femmes, premières victimes de l’islamophobie ». Article du Canard enchaîné du 17 août 2016 sur Le CCIF, a) http://tbinternet.ohchr.org/Treaties/CEDAW/Shared%20Documents/FRA/INT_CEDAW_NGO_FRA_22323_F.pdf, b) https://www.prechi-precha.fr/ccif-des-islamistes-qui-avancent-mosquee-le-canard-enchaine-17-aout-2016/

[72] L'Islam, épreuve française, Élisabeth Schemla

[73] Ce porte-parole du CCIF ne se pose même pas la question de savoir si la majorité des Français ont envie d’être musulman, ont envie d’admirer le beau modèle de Mahomet, de subir les lois de l’islam (la charia, la lapidation des couples infidèles, le tranchage des mains des voleurs, …), ont envie d’accepter la discrimination des juifs, chrétiens, des « mécréants », des athées et apostats (voire leur condamnation à mort).

[74] « Le CCIF aux Grandes Gueules sur RMC », sur soundcloud.com, 24 juillet 2013, audio, https://soundcloud.com/ccif/debat-rmc-gg-trappes-islamophobie

[75] « Le CCIF accuse Valls de favoriser l'islamophobie : une attaque digne de Tartuffe », sur Le Plus, nouvelobs.com,‎ 15 août 2013, http://leplus.nouvelobs.com/contribution/921009-le-ccif-accuse-valls-de-favoriser-l-islamophobie-une-attaque-digne-de-tartuffe.html

[76] Discours de Marwan Muhammad dans la Mosquée de Tremblay, fin août 2016 : « Personne n’a le droit de nous dire comment on doit s’habiller, comment on doit financer les mosquées (…). Et pour ça, il faut se mobiliser politiquement. (…) Etre capable de se mobilier en envoyant 1000 courriers, 2000 courriers, 5000 coups de fil à tel élu dont on considère que le comportement est problématique, c’est une action politique. Une action politique dans le sens noble du terme. (…) Et dans l’ensemble de la palette des actions politiques qui sont possible, que ce soit le vote ou l’adhésion à des associations ou le fait de se mobiliser et se rassembler à endroit, je vais choisir celle avec laquelle je suis en accord et en adéquation, conforme et cohérente avec ma vision de la société, avec mes valeurs, avec mon éthique. (…) Plus on sera efficace et on pèsera politiquement, plus ce sera compliqué pour des élus de nous maltraiter et de nous mettre à l’index. ». Source : http://www.ikhwan.whoswho/blog/archives/10351

[77] « Des islamistes qui avancent mosquée », Le Canard enchaîné, 17 août 2016, https://www.prechi-precha.fr/ccif-des-islamistes-qui-avancent-mosquee-le-canard-enchaine-17-aout-2016/

[78] « Des islamistes qui avancent mosquée », ibid.

[79] Eugénie Bastié, Adieu mademoiselle : la défaite des femmes, Éditions du Cerf, 2016, chapitre : « Les damnés de la terre ».

[80] « Qui est Rachid Abou Houdeyfa, l'imam salafiste de Brest ? », le 31 août 2016, http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-divers/qui-est-rachid-abou-houdeyfa-l-imam-salafiste-de-brest-7780582677

[81] Au Collectif contre l’islamophobie, de la suite dans les données, le31 août 2016, http://www.liberation.fr/france/2016/04/03/au-collectif-contre-l-islamophobie-de-la-suite-dans-les-donnees_1443712

[82] Au Collectif contre l’islamophobie, de la suite dans les données, ibid.

[83] Jean-Christophe Moreau, « Le Collectif contre l'islamophobie en France: un islamisme à visage humain? »,  sur Le Huffington Post (consulté le 29 août 2016), http://www.huffingtonpost.fr/jeanchristophe-moreau/analyse-collectif-contre-lislamophobie_b_6376342.html

[84] Eugénie Bastié, « La montée en puissance du controversé Collectif contre l'islamophobie (CCIF) », Le Figaro,‎ 23 août 2016, http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/08/23/01016-20160823ARTFIG00137-la-montee-en-puissance-du-controverse-collectif-contre-l-islamophobie-ccif.php

[85] Qui Est Abdelfattah Rahhaoui, Que Défend Tant Le CCIF ?, 07.09.2016, http://www.ikhwan.whoswho/blog/archives/10391

[86] « La montée en puissance du controversé Collectif contre l'islamophobie (CCIF) », ibid.

[87] Jérôme Sage, « Trappes : un collectif contre l'islamophobie aux méthodes contestées », Le Figaro,‎ 23 juillet 2013, http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/07/23/01016-20130723ARTFIG00542-trappes-un-collectifaux-contre-l-islamophobie-aux-methodes-contestees.php

[88] En gonflant les statistiques des actes islamophobes. Car il existe des écarts, entre les chiffres officiels du Gouvernement et ceux, trois fois plus élevés, fournis par le CCIF — le ministère comptabilise uniquement les plaintes reçues. Isabelle Kersimon — qui étudie les statistiques entre fin 2003 et 2012 — considère que « les chiffres du CCIF ne sont absolument pas fiables » et sont instrumentalisés à la hausse afin, entre autres raisons, d'alimenter le sentiment de persécution des musulmans par les non-musulmans. « Il faut savoir que le CCIF comptabilisait à l'époque des faits aussi divers qu'une question posée à une jeune femme voilée lors d'un entretien à l'ANPE, des règlements de compte crapuleux, […] des propos jugés insultants et, beaucoup plus graves, des expulsions de prédicateurs violemment antisémites et appelant au djihad […] ». Sources : a) «Islamophobie» : les chiffres du CCIF ne sont pas fiables, lefigaro.fr, 20/01/2016, http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2016/01/20/31003-20160120ARTFIG00339-islamophobie-les-chiffres-du-ccif-ne-sont-pas-fiables.php, b) Le Collectif contre l'islamophobie en France: un islamisme à visage humain?, huffingtonpost.fr, 27/12/2014, http://www.huffingtonpost.fr/jeanchristophe-moreau/analyse-collectif-contre-lislamophobie_b_6376342.html

[89] Cf. http://leplus.nouvelobs.com/contribution/870959-islamophobie-chez-science-vie-junior-quand-le-ccif-amalgame-islam-et-islamisme.html

[90] « France : l'islam en question », lepoint.fr,‎ 21 février 2015, http://www.lepoint.fr/societe/france-l-islam-en-question-21-02-2015-1906865_23.php

[91] Cf. https://www.prechi-precha.fr/ccif-des-islamistes-qui-avancent-mosquee-le-canard-enchaine-17-aout-2016/

[92] Source : Ne pas céder au chantage à "l'islamophobie" !, Mohamed Sifaoui Journaliste, président de l’association "Onze janvier",  06/07/2015, http://www.huffingtonpost.fr/mohamed-sifaoui/ne-pas-ceder-au-chantage-a-lislamophobie-_b_7733524.html

[93] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_misericordiam

[94] Normand Baillargeon, Petit cours d'auto-défense intellectuelle, Québec, Canada, Lux éditeur.

[95] C’est par le martyr, les provocations [dont le refus de suivre les rituels de Rome], la volonté de la communauté chrétienne à se faire persécuter par les autorités romaines, que les prosélytes et fanatisme chrétiens ont réussi à déstabiliser l’empire romain.

[96] Sira, 1, 289-291, page 95 (et dans Psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed. Tatamis, 2014, page 45).

[97] Dans l’affaire des propos islamophobes tenus par un restaurateur de Tremblay-en-France, à l’encontre de deux femmes musulmanes dans son restaurant, selon le journal Le Parisien, les enquêteurs songeraient à l’hypothèse d’un coup monté, d’un « testing » de la part des deux musulmanes voilées. Source : http://www.leparisien.fr/tremblay-en-france-93290/tremblay-l-enquete-s-interesse-aux-victimes-du-chef-islamophobe-30-08-2016-6081043.php

[98] « Dans une recherche poussée sur les causes et effets des violences urbaines depuis le dix-huitième siècle (c'était le sujet de sa thèse de PhD) Zenab Babu, du Gujarat, a analysé et documenté les émeutes entre hindous et musulmans sur 250 ans. Elle conclut que 95% de ces émeutes, conduisant souvent à des effusions de sang, ont été à l'initiative de musulmans. Sa thèse a été publiée dans un livre intitulé « Politics of Communalism » (1978). Les musulmans constituent 9% de la population de l'état. Le pourcentage est sensiblement le même ailleurs. Cela signifie que les musulmans, globalement, sont 192 fois plus enclins à la violence que les autres ». Source : La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed. Tatamis, 2014, page 35.

[99] Pourtant garante du non conflit (de la paix civile) entre les religions, sur le sol de la république.

[100] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Porphyre_de_Tyr

[101] Source :  Le traité de Porphyre contre les Chrétiens, https://kernos.revues.org/pdf/295

[102] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vangile_selon_Thomas

[103] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vangile_de_Judas

[104] Source :https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89vangile_de_la_femme_de_J%C3%A9sus

[105] Source : La rédaction du Coran, B. LISAN, 2006, mis à jour en 2017, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/la-redaction-du-coran.htm

[106] Source :

a) http://saintcoran.free.fr/Coran/hist/1recension.html

b) https://ifpo.hypotheses.org/files/2011/02/Histoire-du-Coran-Diapo.pdf

c) Histoire de la formation du Coran, Ralph Stehly, Professeur d’histoire des religions, Université Marc Bloch, Strasbourg, http://stehly.chez-alice.fr/histoire1.htm

d) Les origines du Coran, par Ibn Warraq, Prometheus Books, 1998, 411 pages, http://wikiislam.net/wiki/The_Origins_of_the_Quran

e)  http://wikiislam.net/wiki/Uthman_and_the_Recension_of_the_Quran

[107] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Viktor_Kravtchenko_(transfuge)#Le_proc.C3.A8s_Kravtchenko

[108] Le Collectif contre l'islamophobie en France (CCIF) porta l'affaire devant le procureur de la République. Il fut rejoint par SOS Racisme, le MRAP, la LICRA, la LDH et, en dernière minute, par une association moins connue, SOS Soutien Ô sans papiers.

[109] Auteur de l'ouvrage : Juifs en pays arabes. Le grand déracinement 1850-1975, Georges Bensoussan, Ed. Tallandier, 2013. Il connait bien cet antisémitisme en terre d’islam, grâce à cette étude.

[110] Les territoires perdus de la République, publié sous pseudonyme (Emmanuel Brenner) en 2002 chez. Fayard, réédité en poche chez le même éditeur en 2004, puis en 2015, toujours chez Fayard, mais complété, cette fois par une postface signée Georges Bensoussan.

[111] Blog dans lequel à la date du 31 janvier 2017, on ne trouve que deux contributions. La première date du 16 août 2015 et fait une recension élogieuse du livre de Patrick Weil qui venait de paraitre chez Grasset : Le sens de la République. Il termine son billet par les propos suivants: « Ce avec quoi rompt Patrick Weil, et c'est un apport réflexif très important pour le thème qui nous intéresse ici, c'est avec l'"académisme radical" qui se croit sans cesse dans l'obligation de défendre les "exclus", les "pauvres" et les "immigrés" (assemblés bien souvent dans une même catégorie floue et qui peuvent être substituables au gré des circonstances et de la position sociale des uns et des autres), le seul "vrai" "peuple" qui compte pour un grand nombre de militants et de sociologues. ». https://blogs.mediapart.fr/laacher/blog/l6O815/comprendre-ce-que-nous-sommes, relevé le 31/1/17.

[112] Smaïn Laacher, « L’antisémitisme, une histoire de famille ? », Le Monde21 janvier 2016, http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/01/21/l-antisemitisme-une-histoire-de-famille_4851498_3232.html

[113] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Georges_Bensoussan_(historien)#Controverse_et_proc.C3.A8s_.C3.A0_la_suite_de_l.27.C3.A9mission_R.C3.A9pliques_.282015.29

[114]  Répliques, émission du 10 octobre 2015, « Le sens de la République » [archive], 28e minute.

[115] Plaidoirie de Me Michel Laval, in « Autopsie d’un déni de justice », ibid, pages 10, 20 et 21.

[116] Le CCIF a lancé des actions en justice contre les journalistes de Charlie Hebdo, la journaliste Caroline Fourest, l’éditorialiste Yvan Rioufol, Marc-Olivier Fogiel, l’essayiste Pascal Bruckner. Ces derniers ont tous gagné leur procès en justice contre le CCIF. Le CCIF lance des procès comme s’il bénéficiait d’une source intarissable d’argent pour mener ses actions en justice. L’écrivain Michel Houellebecq pour avoir déclaré que « L’islam est la religion la plus bête du monde » a été trainé en justice par quatre associations musulmanes ('association rituelle de la grande mosquée de Lyon, la Fédération nationale des musulmans de France, la société des Habous et lieux saints de l'islam, la Ligue islamique mondiale et la Ligue française de défense des Droits de l'Homme et du Citoyen). Il a été lui aussi relaxé. Source : https://tempsreel.nouvelobs.com/culture/20021022.OBS1729/islam-houellebecq-relaxe.html

Le Canard enchaîné, dans un article publié le 17 août 2016, affirme que « le CCIF s'est spécialisé dans la rédaction de “rapports” instruisant le procès de la laïcité ». Cf. « Des islamistes qui avancent mosquée », Le Canard enchaîné, 17 août 2016, https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Canard_encha%C3%AEn%C3%A9

[117] Secrétaire général de l'association France Syrie Démocratie, il est membre du comité de rédaction de La Règle du jeu.

[118] Georges Bensoussan a tenu des propos à caractère raciste, Bernard Schalscha, 1 février 2017, http://laregledujeu.org/2017/02/01/30770/georges-bensoussan-a-tenu-des-propos-a-caractere-raciste/

[119] « Soutien à l'historien Georges Bensoussan », http://www.pressreader.com/france/le-figaro/20151204/282866549779562  Le Figaro, vendredi 4 décembre 2015, p. 18. Cette tribune a donné lieu à une lettre ouverte plus longue, en reprenant les termes, signée par une centaine d'intellectuels. Au 13 janvier 2016, une seule copie en ligne de cette lettre subsiste : « Face aux poursuites du MRAP : pétition de soutien à Georges Bensoussan »Europe-Israël, 26 octobre 2015.

[120] Les Juifs vont en enfer, Saïd Ghallab, in Revue Les Temps Modernes (n° 229), Gallimard, juin 1965.

[121] Témoignage de Boualem Sansal, in Autopsie d’un déni d’antisémitisme, pages 38 et 40.

[122] Source : Provocation à la haine : l’historien Georges Bensoussan relaxé, Le Monde.fr avec AFP, 07.03.2017, http://www.lemonde.fr/societe/article/2017/03/07/provocation-a-la-haine-l-historien-georges-bensoussan-relaxe_5090621_3224.html

[123] Démographe française, chercheuse à l'Institut national d'études démographiques (INED).

[124] Source : Autopsie d'un déni d'antisémitisme : Autour du procès fait à Georges Bensoussan, de Barbara Lefebvre, Martine Gozlan, Michel Laval et Olivier Geay, Ed. Artilleur, 2017, pages 49 à 50.

[125] Ibid, Michèle Tribalat, pages 44 à 45.

[126] Cette histoire est rapportée par Ibn Ishaq dans sa Sirat Rasul Allah (d'après la traduction anglaise par A Guillaume, The Life of Muhammad, p369) et se trouve aussi dans le Sunnan Abu Dawud 19:2996.

[127] Sycophante : Fourbe, menteur, délateur (Péjoratif).

[128] Muir, The Life of Mohammet, vol III, ch 12, p109 (Sirat Ibn Ishaq p301).

[129] Sirat Ibn Ishaq, p 823.

[130] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed.Tatamis, 2014, page 403.

[131] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed.Tatamis, 2014, pages 409 et 411.

[132] Un étudiant africain en chine, John Hevi Emmanuel, Table Ronde, 1965. Ce livre raconte la déception d’un étudiant africain, parti enthousiaste pour découvrir la révolution communiste chinoise, et revenu déçu lorsqu’il découvre l’envers du décor du système oppressif communiste chinois et le fort racisme des chinois envers les africains.

[133] C’est une vraie maladie mentale.

[134] Cf. France : « D'abord les gens du samedi, puis les gens du dimanche », par Guy Millière, 4 septembre 2016, https://fr.gatestoneinstitute.org/8818/france-islam-radicalisation

[135] Ou biais de raisonnement ad populum ou argumentum ad populum (ou « raison de la majorité »). Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Argumentum_ad_populum

[136] Cf. http://www.prevensectes.com/adfi.htm

[137] Source : http://www.dialogueislam-chretien.com/t3504-le-mensonge

[138] Cf. http://www.sajidine.com/rappels/sermons/misericorde.htm

[139] Sources sur ces chiffres : a) La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed. Tamaris, 2014, page 318.

b) http://www.blog.sami-aldeeb.com/2014/01/17/fatrasies-coraniques/ (1ère image).

c) http://www.blog.sami-aldeeb.com/2015/08/05/liste-des-versets-coraniques-contre-lhumanite/

d) par exemple, dans la traduction française du Coran, sur le site de l'Association des Musulmans de l'Université de Sherbrooke (Canada) : http://callisto.si.usherb.ca/~amus/

[140] Source : https://francaisdefrance.wordpress.com/2010/04/04/provocation-pour-paques-27e-rencontre-annuelle-des-musulmans-de-france/ 

[141] Reconnaissons aussi que ces quartiers, ces zones de non-droit, ont été abandonnés par la République Durant des dizaines d’années (depuis les années 70).

[142] Reconnaissons quand même que le mouvement “ni pute, ni soumise” est parti de ces quartier. Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ni_putes_ni_soumises

[143] Source : http://www.christianophobie.fr/breves/indonesie-interruption-sacrilege-dune-messe-java-central

[144] Cf. http://www.danilette.com/article-les-cris-de-allah-akbar-interrompent-la-messe-du-pape-a-bethleem-123726918.html

[145] Après il est important d’être prudent et savoir discerner quand l’on a affaire à des provocations dans le sens inverse (de militants d’extrême-droite …), comme par exemple, dans ce cas : http://oumma.com/223487/australie-militants-d-extreme-deguises-musulmans-enva

[146] Par exemple, ils réciteront l'« al-fatiha » ou l’ouverture, première sourate du Coran, suppliant supplie son dieu Allah, qualifié de clément, de miséricordieux : « Guide-nous dans la voie droite, celle de ceux que tu as comblés de bienfaits, non celle de ceux qui ont encouru ta colère ni celle de ceux qui se sont égarés. ». Or la périphrase « ceux qui ont encouru ta colère » est tirée de la sourate 2, verset 61, qui dit : « Ils (les Juifs) furent frappés d’humiliation et d’indigence. Ils ont encouru la colère d’Allah pour n’avoir pas voulu croire à ses signes et pour avoir tué injustement ses prophètes. Telles furent les suites de leur transgression et de leur désobéissance. » et la deuxième périphrase, « Ceux qui se sont égarés », est tirée de la sourate 4, verset 44, qui dit : « Ne vois-tu pas comment ceux (les chrétiens) qui ont reçu une partie des Écritures, se sont égarés et souhaitent que vous vous égariez à votre tour de la bonne voie. ». Source : http://jforum.fr/racisme-et-antisemitisme-dans-la-priere-musulmane.html

[147] Cf. http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsScientifiques/pseudo-sciences/ImposturePentagoneMeyssan.htm

[148] De nombreux hadiths révèlent que Mahomet avait des espions partout, dans son camp, comme dans les camps ennemis.

[149] Sahih Bukhari, 1, 4, 170.

[150] Sahih Bukhari, 5, 59, 428.

[151] Sahih Bukhari, 5, 59, 427.

[152] Sahih Bukhari, 7, 65, 293.

[153] Sahih Muslim, 26, 5559.

[154] Tabaqat, 1 p375.

[155] Sàhih Bukhari, 9, 92, 379.

[156] Abou Hamid Muhammad al-Ghazali (1058-1111) est un des plus célèbres érudits de l'histoire de la pensée islamique. Né en Iran, c'était un théologien, philosophe et mystique. Il contribua significativement à la systématisation du Soufisme et à son intégration et son acceptation dans le courant dominant de l'Islam.

[157] I Kasindorf, Jim Jones : The Seduction of San Francisco, New West, 18 décembre 1978.

[158] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, ibid, page 340 et 341.

[159] Ibn Ishaq p 183.

[160] Cf. Psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed. Tatamis, 2014, pages 302 et 303.

[161] La notion d'engagement est notamment associée aux travaux de Kiesler dans les années 1960, et ceux de Joule et Beauvois dans les années 2000. L'engagement peut être considéré comme une forme radicale de dissonance cognitive.

[162] Cf. http://bernardsady.over-blog.com/article-la-manipulation-2-l-escalade-d-engagement-50726754.html

[163] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Engagement_(psychologie_sociale)

[164] L'adorateur dira par exemple que Mahomet a été une personne si bonne, fait confirmé par ce qu'en dit le peuple Français : https://www.youtube.com/watch?v=KURXyjpdZDM

[165] Source : http://www.harunyahya.fr/fr/Articles/47018/lexcellent-modele-de-la-vie

[166] Cf. http://www.coranix.free.fr/200rem/islam_paix_tolerance_max.htm

[167] Mais si vous citez Wikipedia, le croyant zélé, ayant toujours réponse à tout, trouvera alors un autre argument pour discréditer les sources citées, ici Wikipedia : "Wikipedia, non mais, regardez vos sources, elles sont d'un niveau pathétique, élevez le niveau de la discussion, on n’utilise pas Wikipedia pour appuyer ses arguments. Wikipedia est modifiable par tout le monde".

[168] Le statut de dhimmi - Akademn, http://www.akadem.org/medias/documents/6_dhimmi.pdf

[169] Les Dhimmis, juifs et chrétiens sous l’islam face au défi intégriste, Bat Ye’or, Berg International, 1994.

[170] 622 au XXe siècle. L'esclavage en terre d'islam, Malek Chebel, https://www.herodote.net/622_au_XXe_siecle-synthese-12.php

[171] Les négriers en terres d'islam, Jacques HEERS, 2016.

[172] Esclaves chrétiens en terre d'Islam, François Rebière, 2012.

[173] Mais si vous citez des livres parlant de l'esclavage islamique, le croyant zélé, ayant toujours réponse à tout, trouvera alors un nouvel argument, de mauvaise foi, pour faire croire que Mahomet n’était pas un esclavagiste ou qu’il était « bon » avec ses esclaves  : "Au cas où vous ne le saviez pas un des compagnons du prophète qu'il appréciait le plus était un esclave noir du nom de Bilal, là où l'esclavagisme était monnaie courante, il en a fait un allié et un compagnon, pour montrer aux gens qu'il n'y aucune différence entre un musulman esclave, riche, pauvre, libre, noir, blanc, c'est la même chose". Or quoiqu’il en dise, un esclave reste un esclave, il n’est pas libre. Ce qui est terrible avec les fanatiques est l’extraordinaire mauvaise foi, qu’ils peuvent déployer, pour avoir toujours raison.

[174] Cf. Psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed. Tatamis, 2014, pages 302 et 303.

[175] Cf. http://benjamin.lisan.free.fr/EcritsScientifiques/pseudo-sciences/psychologieDesGourous.htm

[176] La Taqiyya et les règles de la guerre islamique, Raymond Ibrahim, Middle East Quarterly, Hiver 2010, http://www.meforum.org/2577/taqiyya-regles-guerre-islamique

[177] Sunnan Abou Daoud, 41, 4994.

[178] Sahih Bukhari, 7, 62, 76.

[179] Sahih Bukhari, 9, 87, 127.

[180] C Winfrey, Why 900 died in Guyana. New York Times Magazine, 25 février 1979.

[181] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, ibid, pages 332, 333,

[182] Discours du Pape Benoît XVI dans : München, Altötting und Regensburg (9-14 septembre 2006).

[183] Dans un septième entretien, en 1391, l'empereur byzantin Manuel II Paléologue s'entretint avec un Persan cultivé sur le christianisme et l’islam : « l’empereur, avec une rudesse assez surprenante qui nous étonne, s’adresse à son interlocuteur simplement avec la question centrale sur la relation entre religion et violence en général, en disant : « Montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme son mandat de diffuser par l’épée la foi qu’il prêchait ». L’empereur, après s’être prononcé de manière si peu amène, explique ensuite minutieusement les raisons pour lesquelles la diffusion de la foi à travers la violence est une chose déraisonnable. La violence est en opposition avec la nature de Dieu et la nature de l’âme. « Dieu n’apprécie pas le sang — dit-il —, ne pas agir selon la raison, sun logô, est contraire à la nature de Dieu » ». Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Discours_de_Ratisbonne

[184] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_du_Peuple

[185] E Aronson, J M Carlsmisth, Effect of the severity of threat on the devaluation of forbidden behavior, Journal of Abnormal and Social Psychology, 1963, 66, 584-588. 405

[186] J Freedman, Long-term behavioural effects of cognitive dissonance. Journal of Experimental Social Psychology, 1965, 1, 145-155.

[187] K Davos, E Jones, Changes in interpersonal perception as a means of reducing cognitive dissonance, Journal of abnormal and Social Psychology, 1960, 61, 402-410.

[188] Osherow, Neal (2004). Making sense of the nonsensical: An analysis of Jonestown. In Elliot Aronson (Ed.), Readings about the social animal, 9th ed (pp. 80-97). New York (W H Freeman): Worth. Consultable en ligne :

http://www.guyana.org/features/jonestown.html

Toutes les remarques d'Osherow dans ce paragraphe viennent de cette source.

[189] Salomon Asch, Opinions and social pressure. Scientific American, 1955, 193.

[190] Carole Wade & Carol Tavris, Psychology 101 says, Publisher Pearson, 2005 (2010).

[191] Janja Lalich et Madeleine Tobias, Take Back Your Life : Recovering from Cults and Abusive Relationship, Bay Tree Publishing (2006).

[192] Publié par ICSA (International Cultic Studies Association) website, Janja Lalich PhI et Michael D Langone, PhD, http://csj.org/infoserv_cultIOlchecklis.htm accès 21 jun 2007.

[193] De l’ordre de la légende dorée.

[194] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Isra_et_Miraj

[195] Cf. http://www.islamreligion.com/fr/articles/151/les-miracles-de-mohammed-partie-2-de-3/#_ftn11798

[196] « Le ramadan entraîne-t-il une baisse de la productivité ? », sur Courrier international,‎ 4 septembre 2009.

[197] « Le ramadan a-t-il un impact économique? », sur 20 minutes,‎ 6 août 2013.

[198] Dans al-Kabaïr, adh Dhahabi dit (p. 64) : « Il est admis pour tous les croyants que celui qui abandonne le jeûne du Ramadan sans maladie ni autre objectif (sans une excuse acceptable) est pire que celui qui commet l’adultère ou persiste dans la consommation du vin. Bien plus, ils remettent en cause son appartenance à l’Islam et le soupçonnent d’être hérétique, voire athée ».

Des menaces ont été rapportées par des voies authentiques à propos de l’abandon du jeûne. Citons-en celle rapportée par Ibn Khouzayma (1986) et Ibn Hibban (7491) d’après Abou Umama al-Bahili qui dit : « J’ai entendu le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) dire : « J’étais endormis quand deux hommes virent me saisir par l’épaule et m’emmènent auprès d’une montagne raboteuse [...] puis on m’emmena et me fit découvrir brusquement des gens suspendus par leurs chevilles les coins de la bouche fendus de sorte à libérer du sang à flot. - qui sont ces gens-là ? - ce sont ceux qui rompent leur jeûne avant l’heure » (déclaré authentique par al-Albani dans Sahihi Mawarid adh-Dham’an, n° 1509.

[199] L’article 222 du code pénal marocain stipule que « tout individu connu pour son appartenance à l’islam qui rompt ostensiblement le jeûne dans un lieu public pendant le ramadan est passible de un à six mois d’emprisonnement et d’une amende ». Source : http://rue89.nouvelobs.com/2009/09/19/ramadan-au-maroc-punis-pour-un-repas-en-public-en-plein-jeune-118485

[200]« [Arrestations de ceux qui ne jeûnent pas en public][...] A Hurghada (une destination touristique), le gouverneur de la Mer Rouge a publié un décret rendant obligatoire la  fermeture de tous les restaurants et café-restaurants le matin au cours du  Ramadan. Plusieurs Égyptiens ont aussi été mis en garde à vue. A Dakahlia, sept jeunes hommes ont été arrêtés pour avoir fumé en public.  Ils ont été libérés après versement d'une caution de 500 Livres égyptiennes ». Cf. https://fr.globalvoices.org/2009/09/09/18962/

[201] Nous ne connaissons aucun pays où les bouddhistes, hindouistes, chrétiens sont minoritaires aient cherché à imposer leurs propres lois, avant les lois du pays d’accueil.

[202] Le plus haut juge anglais accepte la loi islamique, Cyrille Vanlerberghe, Londres, 04/07/2008, http://www.lefigaro.fr/international/2008/07/05/01003-20080705ARTFIG00042-le-plus-haut-juge-anglais-accepte-la-loi-islamique-.php

[203] Ou mentalité de forteresse assiégée.

[204] Personnes soumises (aux musulmans) ou humiliées.

[205] "Combattez ceux qui ne croient ni en Allah ni au Jour dernier, qui n'interdisent pas ce qu'Allah et Son messager ont interdit et qui ne professent pas la religion de la vérité, parmi ceux qui ont reçu le Livre, jusqu'à ce qu'ils versent la capitation par leurs propres mains, après s'être humiliés" (Sourate 9, 29).

[206] Coran 33:26 , [47] Coran 33:09 & 33:10 [59] [60], Abu Dawud 38: 4390, Sahih Bukhari 4:52:68 ,Sahih Bukhari 4:57:66 et plus, Tabari, Volume 8, Victoire de l'Islam [61].

[207] Coran (33:50) : « Ô Prophète ! Nous t’avons rendu licites tes épouses à qui tu as donné leur dot, ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées, les filles de tes oncles et de tes tantes, ainsi que toute femme croyante si elle te fait don de sa personne, pourvu que tu consentes à te marier avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. Nous savons ce que nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’y eût point de blâme contre toi ».

Coran (23:1-6) : « Sont bienheureux les croyants qui se gardent de tout rapport charnel, sauf avec leurs épouses ou les esclaves sexuelles qu’ils possèdent, car en cela, personne ne peut les blâmer. »

Coran (4:23-24) : « Vous sont interdites vos mères, filles, sœurs…et parmi les femmes, celles qui ont un mari, sauf si elles sont vos captives de guerre ».

[208] Parmi les premiers historiens musulmans qui rapportent cet épisode de la vie de Mahomet, on citera AbuDawud : « Mahomet lança une expédition à Awtas, lors de la bataille de Hunayne. Ses soldats tuèrent les mécréants et prirent les survivants comme prisonniers. Les soldats hésitaient à violer les femmes capturées en présence de leurs maris mécréants. Alors Allah autorisa aux musulmans ces viols, en révélant à Mahomet ce verset du Coran : « Vous sont interdites les femmes mariées, sauf si elles sont vos captives de guerre » » (Sunan AbuDawud, livre du mariage, Hadith 2155).

[209] Mahomet aurait lancé au minimum 83 expéditions guerrières. Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_exp%C3%A9ditions_de_Mahomet

[210] Cf. https://fr.wikipedia.org/wiki/Batailles_de_Mahomet

[211] Cf. http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/Liste_des_meurtres_ordonnes_ou_soutenus_par_Muhammad.htm

[212]« Vers le cinquième jour du mois de ramadan, il y eut l’assassinat de Asma bint Marwan, une femme... Elle offensait et provoquait le parti musulman. A cause de cela, Umayr annonça qu’il allait la tuer, dès que le prophète rentrait de Badr.  Ainsi, la nuit, il se faufila chez elle pendant que ses enfants dormaient autour d’elle. Le plus jeune était encore accroché à son sein. Avec le sabre, il la transperça. […] Le matin, il revint voir l’Apôtre et lui dit ce qu’il avait fait. « Tu as aidé Allah et son Apôtre, ô Umayr ! ». Quand il demanda s’il alla porter sur lui des conséquences de cet acte, l’Apôtre déclara : « Deux chèvres ne se taperont pas la tête pour elle ». Et Umayr rentra chez lui. ». Sources : a) al-Wâqidî (129/130 - 206/207/209 H.), "Kitâb al-Maghâzî" (Le livre des expéditions), tome 1, p.172-174, b) Ibn Ishâq (m. 151 H.) / Ibn Hishâm (m. 213 H.) "As-Sîra" (La biographie du Prophète).

[213] Mahomet, qui avait plus de 50 ans, a eu sa première relation sexuelle avec Aïcha, alors qu’elle avait 9 ans. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/A%C3%AFcha

[214] Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Khaybar

[215] Cf. http://www.postedeveille.ca/2010/01/raymond-ibrahim-comment-la-taqiyya-modifie-pour-lislam-les-r%C3%A8gles-de-la-guerre.html

[216] le premier biographe de Mahomet.

[217] Les actions du poête juif, K’ab ibn Al-Ashraf, contre le Prophète (sws) et les musulmans peuvent être résumées en trois points :

- Il composa des poèmes contre le Prophète (sws) et ses Compagnons (raa)

- Il composa des poèmes pour dénigrer les femmes musulmanes par des textes vicieux.

- Il incita les polythéistes à lever une armée pour détruire le Prophète (sws) et les musulmans.

Source : http://blog.decouvrirlislam.net/Home/islam/Le-prophte-Muhammad/desinformations-sur-le-prophete-saws/le-meurtre-de-kaab-ibn-al-achraf

[218] Le récit de la mise à mort de Ka'b ibn al-Ashraf est rapporté dans les traditions suivantes :

[1] At-Tabarî, Histoire des Prophètes et des Rois III 181
[2] Ibn Hishâm, Conduite de l'Envoyé d'Allah 548-553
[3] Ibn Sa'd, Tabaqat II 37, 39
[4] al-Bukhâri, Sahih, 64/15
[5] Muslim, Sahih, 32-3359
[6] Muslim, Sahih, 19/4436

[219] Uri Rubin, The Assassination of Kaʿb b. al-Ashraf Oriens, Vol. 32. (1990), pp. 65-71.

[220] Ibn Sa'd, Tabaqat, vol 3 pl 00-102.

[221] Bukhari, 1, 14.

[222] Cf. La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, ibid, pages 328-329.

[223] http://quranicverse99.tripod.com/islamicways/idl5.html Cet article peut être trouvé sur bien d'autres sites.

[224] Aisha raconte : « J’avais l'habitude de regarder, vers le bas, ces dames [femmes] qui se sont donnés à l'apôtre d'Allah et j’avais l'habitude de dire, « Est-ce qu’une princesse peut se donner elle-même (à un homme) ? ». Mais quand Allah a révélé : « Vous (tu) (O Muhammad) peut retarder [fait attendre] (le tour de) qui tu veux d’elles Et vous (tu) pouvez recevoir [héberger] l'une de celle que tu veux. Et (puis) il n'y a pas de blâme (aucun grief sur vous) si vous (tu) invitez une dont le tour vous avez mis de côté (temporairement) [l’une de cette que tu avais écartée]. Voilà ce que qui est le plus propre à les réjouir, à leur éviter tout chagrin et à leur faire accepter de bon cœur ce que tu leur as donné à toute ». (33.51). Alors j’ai dit (au Prophète): « Je sens que votre Seigneur accourt dans l'accomplissement [est bien prompt à satisfaire] de vos souhaits et désirs ». Sahih Bukhari 6, 60, 311, http://i-cias.com/textarchive/bukhari/060.htm & http://muflihun.com/bukhari/60/311

[225] Narcissique, manipulatrice, de gourou …

[226] La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ibid, p 348.

[227] Cf. http://www.liberation.fr/debats/2016/05/06/jacqueline-chabbi-le-coran-reflete-une-societe-traditionnelle-tribale-qui-etait-extremement-pragmati_1451004

[228] Entre les versets du Coran et entre ces versets et hadiths et entre les hadiths (hors déjà du problème des versets abrogés et abrogeants).

[229] Chapitre "Les connaissances problématiques de Mahomet", in "Mahomet était-il fou ?",Frédéric Joi, Max Milo Ed., 2012, pages 129 et 130.

[230] The Role of Psychotic Disorders in Religious History Considered [Le rôle des troubles psychotiques dans l'histoire religieuse considérée], Evan D. Murray ,MARYLAND, Miles G. Cunningham ,MD, Ph.D. & Bruce H. Price, MARYLAND, http://neuro.psychiatryonline.org/doi/full/10.1176/appi.neuropsych.11090214  

[231] Jésus, Abraham et Moïse étaient-ils psychotiques ?, Clément Guillet, http://m.slate.fr/story/115853/jesus-abraham-moise-psychotiques

[232] Cf. http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsScientifiques/pseudo-sciences/NDE_OBE.htm

[233] Voir un exemple avec ce site Web : http://www.doc-developpement-durable.org/

[234] Citation à rapprocher de celle-ci : « Il est apparu de tout cela que l'étude des écrits des Anciens est obligatoire de par la Loi, puisque l'intention, le dessein [qu'ils poursuivent] dans leurs écrits est ce dessein même que la Révélation appelle [à se fixer]. Dès lors, quiconque interdit cette étude à quelqu'un qui y est apte - c'est-à-dire quelqu'un qui réunit deux qualités : intelligence innée [d'une part] ; honorabilité légale et vertu morale [d'autre part] - barre aux hommes l’accès à la porte à partir de laquelle la Révélation adresse aux hommes son appel à connaître Dieu, celle de l'examen rationnel qui conduit à connaître vraiment Dieu. C'est là le comble de l'ignorance et de l'éloignement de Dieu - exalté soit-Il », in Le Livre du discours décisif, Averroès, Ed. Flammarion, page 115.