Les arbres de Madagascar pour le reboisement (à Madagascar)
Liste d’arbres fournie par Madame Lucile Allorge, botaniste du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris.
Document élaboré par
Benjamin LISAN (inachevé, en cours de construction).
Notes : 1) Ce document, ci-avant, est un
document de compilation d'autres documents (pas toujours vérifiés). Utiliser et
télécharger, si possible et de préférence, les fiches techniques de description
d'arbres, présentes sur ce site Internet _ www.projetsreforestation.co.nr
_ fiches dont les informations sont, elles, vérifiées ou le document
« Pour promouvoir les plantations des arbres », Fiches techniques,
Blaise Cook, Christian Burren, Michel J. Rakotoniaina, USAID, Madagascar, 2007,
disponibles en fichiers PDF, en téléchargement libre sur le site : www.projetsreforestation.co.nr
(ou http://benjamin.lisan.free.fr/projetsreforestation/menuReforestation.htm).
2) Les arbres signalés par un rond vert · sont
ceux recommandés par Mme Lucile Allorge.
Les autres arbres sont recommandés par d’autres personnes
(sources non vérifiées).
Les arbres signalés par un rond rouge · sont susceptibles
de devenir des plantes envahissantes (= pestes
végétales = plantes invasives).
Plusieurs sources d’informations ont contribué à l’élaboration de ce document dont :
1) Plantes de Madagascar (Atlas), Lucile Allorge, ULMER, 2008.
2) Pour promouvoir la plantation des arbres, Fiches techniques, Blaise Cook, Christian Burren, Michel J. Rakotoniaina, USAID, Madagascar, 2007.
1) Tapia : Uapaca bojerei (Euphorbiaceae) ·
- Arbre à feuillage dense, aspect de boule; de 10 à
- Tronc : rapidement divisé en rameaux courts et nombreux, écorce ligneuse
crevassée.
Utilisation :
- Sert à l'élevage de la chenille de landibe (Borocera
madagascariensis).
- Fruits comestibles et destinés à la fabrication de boisson alcoolisée
- Ecorce utilisée dans le cas de dysentérie
- Tronc utilisé dans la construction et les branches comme bois de chauffe
- Joue un rôle important dans la stabilisation du sol.
Sources :
1. http://www.pnae.mg/ie/kit_region/vakina/flore/uapaca_bojeri.html
2. Groupements végétaux de Madagascar et des Mascareignes. Tome I., Cabannis, Y., Chabouis, L., Chabouis, F.
3. Plantes de Madagascar (Atlas), ibid, page 108.
2) Hintsy : Intsia bijuga (vesi) - cohu, faux teck – Fabaceae (Caesalpiniaceae) ·
Arbre trapu avec une frondaison parfois importante; tronc souvent tordu et creux sur les individus âgés; écorce blanchâtre se détachant en plaques.
C'est
un arbre tropical de taille moyenne qui se trouve dans toute la zone pacifique
tropicale et équatoriale, du sud-est asiatique aux côtes africaines. Il est
appelé, de même que l'espèce Intsia
palembanica, arbre de fer.
Le
bois de Kohu (commercialisé en Europe sous le nom de merbau,
appellation qui est utilisée aussi pour le bois de l'espèce Intsia
palembanica) est de grande qualité, rouge veiné de brun, lourd
et très dur (avec une bonne résistance, en particulier aux termites). Le grain
est fin et à maillure fine. Il est d'une grande stabilité et ne souffre que de
faibles retraits. Il est largement utilisé dans la construction et
l'ameublement, en menuiserie et ébénisterie en Nouvelle-Calédonie
et en Asie alors qu'en Europe son usage reste cantonné principalement aux
parquets flottants.
Sources :
1.
http://wapedia.mobi/fr/Kohu
2.
www.agroforestry.net/tti/Intsia-vesi.pdf
3) Nato : Fauchera (Fauchera hexandra natohetiki) (Lecomte) (Sapotaceae) ·
Ou Fauchera hexandra (Lecomte) Lecomte (Sapotaceae)
A renseigner.
Espèce propre à Madagascar ( ?).
Introuvable dans la base de la liste rouge de l’IUCN (www.iucnredlist.org) ou sous Google.
Sauf dans deux références payantes dans :
www.springerlink.com/index/QM17XA7MLE36ND06.pdf
www.springerlink.com/index/R72HX80664340718.pdf
4) Kijy : Symphonia louvelii (Clusiaceae (Guttiferae ou Guttiferaceae)) (Jum. & H.Perrier) ·
(image de droite : G.E. Schatz 2366, 1998).
www.mobot.org/MOBOT/Madagasc/clusia.html
Le bois de cœur des espèces malgaches de Symphonia (appelé “kijy”) est brun chamois avec des nuances de jaune ou orange, et se distingue nettement de l’aubier.
Construction navale, huile.
Usages
L’huile des graines, le fruit, le bois et l’exsudat de Symphonia louvelii,
localement appelé “kizavahy”, et de plusieurs autres espèces de Symphonia
sont utilisés à Madagascar. Les graines sont récoltées pour leur huile, qui
n’est pas comestible, mais qu’on utilise pour les cheveux et le corps et dans
les produits pharmaceutiques. La pulpe du fruit est comestible et on la fait
souvent fermenter pour la transformer en boisson distillée. Le bois est
apprécié pour les meubles, l’ébénisterie, la menuiserie et la construction de
bateaux, mais il convient aussi aux constructions intérieures, à la
parqueterie, aux cageots, aux caisses et aux ustensiles, ainsi que comme bois
de feu. L’exsudat obtenu par incision de l’écorce est utilisé pour calfater les
bateaux et réparer les manches d’outils. En médecine traditionnelle, on s’en sert
en fumigation pour prévenir toutes sortes de maladies, notamment la variole, et
en usage externe, il s’applique sur les tumeurs, les écorchures et
Production et commerce international
Les fruits sont parfois proposés à la vente sur les marchés de villages.
Propriétés
Les graines de Symphonia louvelii produisent environ 40% d’huile. Le
point de fusion de l’huile est de 15–16°C. Elle contient environ 65% d’acides
gras insaturés, principalement de l’acide oléique. Elle convient à la
fabrication de savon et de bougies. L’exsudat jaune d’or de l’écorce vire
rapidement au brun à l’exposition. Il contient des xanthones et aurait dit-on
des effets anticancéreux.
Le bois de cœur des espèces malgaches de Symphonia (appelé “kijy”) est
brun chamois avec des nuances de jaune ou orange, et se distingue nettement de
l’aubier. Le fil est généralement droit, le grain moyennement grossier à
grossier. Le bois a des reflets moyens et une apparence farineuse, avec des
plis et des arcs visibles sur la surface radiale, et des marbrures sur la
surface tangentielle. Il est moyennement lourd et dur. Le retrait au séchage
est considérable. Le séchage à l’air de planches de
Botanique
Arbre sempervirent atteignant
Ecologie
Les espèces malgaches de Symphonia sont des arbres forestiers sciaphiles
qui poussent en dessous de l’étage supérieur de
Ressources génétiques et sélection
Le centre de diversité de Symphonia est à Madagascar, où il se limite à
la forêt sempervirente.
Symphonia louvelii est l’une des espèces les plus répandues, dans ces forêts.
Sources :
1. Oléagineux,
Herbert
Andries Marie van der Vossen, Geoffrey
Suleiman Mkamilo, AGROOH.,
Hélène Corbière, Ed. PROTA
(Fondation), 2007,
2. Boiteau, P., Boiteau, M. & Allorge-Boiteau, L., 1999. Dictionnaire des noms malgaches de végétaux. 4 Volumes + Index des noms scientifiques avec leurs équivalents malgaches. Editions Alzieu, Grenoble, France.
3. http://www.pnae.mg/ie/tbe/analanjirofo/biodiv/donnees/val_biodiv.htm
Autres espèces de symphonias :
Symphonia clusioides (Baker)
Symphonia globatifera
Symphonia globatifera
Etc.
Sources :
1. http://database.prota.org/PROTAhtml/Symphonia%20louvelii_Fr.htm
2. Bois d’oeuvre de l’Afrique tropicale. Conclusions et
recommandations basées sur PROTA 7(1) : “Bois d’oeuvre 1”. R.H.M.J. Lemmens,
E.A. Omino & C.H. Bosch (Editeurs), 2010.
[Traduction de : Timbers of Tropical Africa. Conclusions and
recommendations based on PROTA 7(1): ‘Timbers 1’. 2009]. Fondation PROTA,
Nairobi, Kenya, 92 pp., page :
3.
www.prota.co.ke/en/publications-a-resources/publications/doc_download/43-bois-doeuvre-1
/PROTA_French221010B.pdf
5) Ramy : Canarium
madagascariensis (Burséracées) (Arbres de myrrhe de Madagascar) ·
Un arbre à résine aromatique de 40 à
La résine de son écorce a une odeur particulière, bois utilisé pour la construction de pirogue, graines comestibles.
Utilisation :
Pour gomme, construction des pirogues (graines comestibles).
Localisation :
Littoral d’Ampasindava et d’Antsaravy etc. Andasibe-Mantadia National Park, Madagascar
etc.
Sources :
1. AKON'NY ALA. Comportement sylvicole de quelques essences d'intérêt économique dans la forêt dense humide de montagne d'Ambohitantely (Rampoketsa d'Ankazobe). / RAJOELISON (G.).
2. http://generation-masoala.com/canarium.aspx
3. http://tanisiaina.com/NM_BURSERACEAE.htm
6) Vintanina
: Calophyllum parviflorum Bojer ex
Baker, 1877 (Famille :Clusiaceae ou Guttiferae ?) ·
(à gauche, photo de la base JSTOR Plant
Science, à droite, photo de la base www.plantgenera.org
).
Calophyllum («belle feuille », en grec kalos, "beau" et phullon, «feuille») est un genre d' arbres de plus de 200 espèces d' tropicales à feuillage persistant de la famille Clusiaceae , communément appelé Palo Maria. Espèces autochtones ( ?) de Madagascar, l'Afrique de l’est et du sud et sud-est de l'Asie (Est du Pakistan, Vietnam, Indonésie), des îles du Pacifique, des Antilles, d'Amérique du Sud. Les noms communs et des échanges pour ces arbres sont les suivants:
Pour la résine, parfois utilisé en médecine, voir Tacamahaca. En Europe centrale et en Amérique du Sud, pousse Calophyllum brasiliensis: guanandi, Jacareúba, Arbre et Feuille de Santa Maria Bonita brésilien.
Ils vivent dans un large éventail de milieux, de falaises marécages côtiers, les forêts de plaine. Ils atteignent 30 m de hauteur et de 8 dm de diamètre. Les feuilles sont brillantes et coriaces. L'écorce est gris ou blanc et zestes dans de grandes lanières. Le bois est léger, le bois de coeur rose-rouge, ou parfois brun, tandis que l'aubier varie spp., parfois jaune, brun (avec le rose intérieur) à l'orange.
Beaucoup contiennent de la Calanolide [1] en quantités variables.
Les sangles de bois sont utilisées dans les mâts et les rames.
(Produit l’huile de Tamanu).
Sources :
http://es.wikipedia.org/wiki/Calophyllum
(tiré
de http://mashpedia.es/Calophyllum
).
http://tropix.cirad.fr/asi/BINTANGOR.pdf
Alfred Grandidier, Histoire physique, naturelle et
politique de Madagascar, Atlas, vol. 3, t. 357 (1890).
Sur son
bois, http://www.fratelliparisi.it/qualita/enciclopediadellegno/bintangor.htm
The Old World species of Calophyllum
(Guttiferae), 1. The Mascarene species, P F Stevens, Journal of the Arnold Arboretum
57:167-184 (1976) http://biostor.org/reference/62022
Note : Le Calophyllum
parviflorum est originaire de l’Asie du sud-est. Source : https://www.konsum.admin.ch/holzdeklaration/suche/index.html?lang=fr&page=15&stichwort=&id=146
Calophyllum inophyllum (wikipedia) |
fruits de Calophyllum inophyllum (source: http://mashpedia.es/Calophyllum) |
Calophyllum inophyllum (source: http://mashpedia.es/Calophyllum) |
|
Calophyllum inophyllum http://www.911balsam.com/wp-content/gallery/rasteniya/tamanu.jpg |
Bois de Calophyllum
parviflorum. Source : Falegnameria
Fratelli Parisi, Enciclopedia del legno, Bintangor www.fratelliparisi.it/qualita/enciclopediadellegno/bintangor.htm |
7) Langotra
: Cryptocarya (famille Lauraceae) ·
Cryptocarya litoralis van der Werff Specimen voucher: Schatz et al. 3591 |
Cryptocarya retusa (Willd. ex
Nees) van der Werff Specimen voucher: Schatz et al. 1957 |
Source de
ces 2 images : http://www.mobot.org/MOBOT/Madagasc/laurac.html
Cryptocarya est un genre de feuilles persistantes d’arbres appartenant à la famille des lauracées, Lauraceae. Le genre comprend plus de 350 espèces, réparties à travers les écozones Neotropic, Afrotropic, Indomalais et écozones Australasie.
Le Chilien Cryptocarya alba et l'Australien Cryptocarya Erythroxylon et le Cryptocarya foveolata des montagnes de Nouvelle-Galles du Sud sont remarquables pour leur tolérance au gel, dans ce genre ayant la majorité de ses espèces vivant dans le climat tropical.
C. alba, le Peumo , est l'arbre le plus commun Evergreen dans le Matorral chilien écorégion du centre du Chili et produit des fruits comestibles rougeâtre et est l'espèce la plus connue dans le hémisphère Nord . Cryptocarya massoia est utilisée commercialement pour produire des huiles essentielles .
C. alba produit un bois très dur qui est très estimé.
Source : Cryptocarya, http://en.wikipedia.org/wiki/Cryptocarya
Arbustes ou arbres, parfois de grande taille. Feuilles pétiolées, à phyllotaxie spiralée, les jeunes non développées courbées comme des griffes d'oiseau, les adultes alternes avec une nervation pennées ou triplinerves. Fleurs hermaphrodites, sessiles avec 6 tépales sur 2 rangs; étamines 9 sur 3 rangs, avec des anthères surmontées d'une pointe (connectif), avec des staminodes sur un 4ème rang externe; fleurs sur des panicules axillaires. Fruits en drupes complètement inclus dans un tube accrescent de forme variable.
Source : www.endemia.nc/flore/fiche920.html
Cryptocarya velutina, Kosterm., in Humbert, Not. Syst.
viii. 114 (1939) (Endémique - Madagascar).
Arbre
persistant, aux rameaux naissant tomenteux. Feuilles alternes, lancéolées (long
: 5-9 cm, large : 1-3 cm), coriaces, à la base aigue, à l'apex aigu, aux marges
legerement récurvées, au pétiole pubescent (long : 10 mm). Fleurs sessiles
(diam : 2-3 mm), avec des tépales ovales (long : 1-2 mm), aux étamines
incluses, à l'ovaire ellipsoidal et glabre, groupées en panicules pauciflores
axillaires (long : 2 cm), aux axes pubescents, et aux bractées minuscules (long
: 1 mm).
Source : http://www.plantes-botanique.org/espece_Cryptocarya_velutina
>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>
Cryptocarya R. Br. Prodr. 402: (1810).
· Ravensara Sonn. , Voy. Ind. Orient. 2: 226; 3:248: (1782).
· Kostermans, A. J. G. H. (1950)
· Kostermans, A. J. G. H. (1957)
Status: this genus has not yet been assessed for
species diversity and endemism
-
Species in Fl. Madag: 8 endemic
·
Ravensara acuminata (Willd. ex Meisn.)
Baill. = Cryptocarya litoralis van der Werff
·
Ravensara aromatica Sonn. = Cryptocarya agathophylla van der Werff
·
Ravensara bullata Kosterm. = Cryptocarya revoluta van der Werff
· Ravensara gracilis Kosterm. = Cryptocarya septentrionalis van der Werff
·
Ravensara lucida Kosterm. = Cryptocarya krameri van der Werff
·
Ravensara ovalifolia Danguy = Cryptocarya ovalifolia (Danguy) van der
Werff
· Ravensara retusa (Willd. ex Nees) Baill. = Cryptocarya retusa (Willd. ex Nees) van der Werff
·
Ravensara subtriplinervia Kosterm. = Cryptocarya subtriplinervia (Kosterm.)
van der Werff
· Ravensara thouvenotii Danguy = Cryptocarya thouvenotii (Danguy) Kosterm.
http://www.efloras.org/florataxon.aspx?flora_id=12&taxon_id=108511
Ravensara aromatica (http://lejournaldemagel.canalblog.com ) |
Ravensara aromatica |
Ravensara aromatica (Havozo ?)
Autres appellations : Agathophyllum aromatica, Ravensara camphora, Cinnamomum camphora ·
Note : attention ! Ravensara aromatica est parfois confondu avec une autre lauracée, le camphrier de Chine acclimaté à Madagascar, en raison de la proximité de leurs noms malgaches[1]. Le Camphrier ou Arbre à camphre (Cinnamomum camphora), lui, se comporte parfois comme une espèce envahissante.
Origine : Madagascar
Description botanique : - Arbre de 15 m - Feuille ovale, alterne, coriace, large, persistante, brillante à la face supérieure - Floraison de novembre à janvier - Fruit : baie très caractéristique divisée en 6 quartiers contenant chacun une graine.
Parties utilisées : Huile essentielle de feuille
Constituants : Huile essentielle : - Oxydes : 1,8 cinéole - Alcools : alpha terpinéol, terpinène 1 ol 4
Propriétés : Huile essentielle : - Antivirale exceptionnelle - Immunostimulante - Anticatarrhale, expectorante - Neurotonique, énergétisante puissante - Antibactérienne
Applications : Huile essentielle : - Grippe, bronchites, rhinopharyngites, refroidissements - Mononucléose, zona, herpès labial et génital - Hépatites et entérites virales - Déficience immunitaire grave - Insomnie, dépression, angoisse - Asthénie profonde, nerveuse et physique - Drainage lymphatique
Risques : Huile essentielle : Déconseillé dans les trois premiers mois de la grossesse
Source :
http://www.hippocratus.com/modules/mdc_Fiches_Plantes/detail_plante.php?ID_Plante=rav001
Plantes de Madagascar (Atlas), ibid, page ?
8) Ambora
: Tambourissa ·
Tambourissa est un genre de plantes de la famille Monimiaceae .
Très
peu d’informations trouvées sur la série des Tambourissas à Madagascar (à
compléter).
Tambourissa madagascariensis
Tambourissa masoalensis
Tambourissa alaticarpa Lorence Specimen voucher: Schatz et al. 3843 |
Tambourissa masoalensis Lorence & Jérémie Specimen voucher: Schatz 2934 |
Tambourissa masoalensis Lorence & Jérémie Specimen voucher: Schatz et al. 2786 |
Tambourissa nicolliae Jérémie & Lorence Specimen voucher: Lowry 4184 |
Specimen voucher: Schatz 2922 |
Fruit du tambourissa (Parc de Ranomafana). |
Source : http://www.mobot.org/MOBOT/Madagasc/monimi.html
Fruit du
tambourissa |
Sources : Plantes de Madagascar (Atlas), ibid, page 160.
9) Rotra
: Syzygium cuminii · ·
Syzygium est un genre de plantes angiospermes appartenant à la famille des Myrtaceae. Le genre comprend environ 500 espèces que l'on trouve dans les régions tropicales et sub-tropicales de l'ancien monde.
La plupart de ces espèces sont des arbres à feuillage
persistant. Plusieurs espèces sont cultivées comme plantes d'ornement à cause
de la beauté de leur feuillage. Certaines espèces produisent des fruits
comestibles consommés frais ou en confiture. La plus connue de ces espèces est
le giroflier
(Syzygium aromaticum) dont les bourgeons floraux sont utilisés comme épice (clou
de girofle).
syzygium
aromaticum (Giroflier)
syzygium
cumini (L.) Skeels
- Jamelonier
syzygium
jambos
syzygium
malaccense
Source :
Plantes de Madagascar (Atlas), ibid, page 166.
Syzygium cuminii (L.) Skeels - Jamelonier :
Le jamblon ou jamelonier est un arbre tropical à feuilles persistantes de la famille des Myrtacées.
C'est un arbre de taille moyenne originaire du Bangladesh, Inde, Népal, Pakistan et Indonésie. Il est connu localement sous des noms comme Jaam/Kalojaam, Jamun, Nerale Hannu, Njaval, Neredupandu, Jamblang, Jambolan, Black Plum, Damson Plum, Duhat Plum, Jambolan Plum, Java Plum ou Portuguese Plum. "Malabar Plum" peut également se référer à d'autres espèces de Syzygium.
Il est également cultivé dans d'autres régions du sud et du sud-est de l'Asie dont les Philippines, la Birmanie et l'Afghanistan. L'arbre a aussi été introduit en Floride, aux États-Unis en 1911 par l'USDA et est également aujourd'hui communément plantés au Surinam. Il a été introduit au Brésil à partir de l'Inde pendant la colonisation portugaise. Il s'est dispersé spontanément dans la nature dans certains lieux et ses fruits sont très recherchés par divers oiseaux indigènes, comme les grives, les thraupidés et le Tyran quiquivi.
Il a une croissance rapide, peut atteindre des hauteurs jusqu'à 30 m et peut vivre plus de 100 ans. Son feuillage dense donne de l'ombre et est cultivé seulement pour sa valeur ornementale. Son bois solide est imputrescible. C'est pourquoi il est utilisé dans les traverses de chemin de fer et install dans les puits. Il est parfois utilisé pour fabriquer des meubles bon marché et des habitations du village mais il est relativement difficile à travailler.
Les arbres commencent à fleurir de mars à avril. Les fleurs de Jamun sont parfumées et petites, d'environ 5 mm de diamètre. Les fruits se développer en mai ou juin et ressemblent à de grandes baies. Le fruit est oblong, ovoïde, vert au départ, il vire au rose, et enfin au noiret au pourpre brillant lors de sa maturation. Une variante de l'arbre produit des fruits de couleur blanche. Le fruit, parfois appelé prune de Java, a une combinaison de goûts : sucré, légèrement acide et astringent. Il a tendance à noircir la langue. La graine est aussi utilisée dans diverses médecines alternatives comme les médecines ayurvédique (pour contrôler le diabète, par exemple), unani et chinoise pour les affections digestives. Les feuilles et l'écorce sont utilisées pour contrôler la tension artérielle et traiter les gingivites. On fait du vin et du vinaigre avec les fruits. Il est riche en vitamine A et vitamine C.
Synonymes : Syzygium cumini, Syzygium jambolanum, Eugenia jambolana, Eugenia cumini
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syzygium_cumini
Référence Madagascar Catalogue : Syzygium cumini (en)
Référence Tela
Botanica (La Réunion):
Syzygium
cumini (L.) Skeels (fr)
Syzygium cumini (Wikipedia) |
Fleurs |
Fruit |
Syzygium malaccense ou jambosier rouge, pommier de Malaisie ou de Malacca.
Le jambosier rouge, ou Syzygium malaccense, est un arbre fruitier originaire du Sud-Est asiatique (Indonésie, Malaisie), appartenant à la famille des Myrtacées.
Il est aussi appelé Pommier d'amour en Guyane, Pôm Tahiti en créole antillais, Pomme canaque en Nouvelle-Calédonie, Jamalac, Jambose rouge, Pomme d’eau, Pomme malacca.
C'est un arbre, mesurant de 4 à 10 m de haut, au port vaguement conique et au feuillage persistant.
Les feuilles sont ovales, oblongs-lancéolées, un peu pendantes et de grande taille, 15-35 x 8-18 cm, coriaces, vernissées.
Les inflorescences sont des racèmes axillaires, à axe court de 10-15 mm, portant de 4 à 10 fleurs. Les pétales sont roses à rouges, de 10-15 mm. La fleur comporte un très grand nombre d'étamines rouges (environ 500).
Ses fruits sont de grosses drupes comestibles et parfumées, en forme de petite poire. La peau est luisante, mais légèrement irrégulière, de couleur rosâtre à rouge vif. La chair est très croquante et juteuse. Son goût est très doux bien qu'à peine sucré et donc rafraîchissant. Le fruit contient quelques gros pépins bruns et granuleux.
L'arbre est cultivé pour son fruit dans beaucoup de pays tropicaux humides (rusticité USAD zone 11) où il s'est parfois naturalisé.
Synonymes scientifiques : Eugenia malaccensis L., Jambosa malaccensis (L.) DC.
Sources :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Jambosier_rouge
, http://en.wikipedia.org/wiki/Syzygium_malaccense
Fleurs |
Pommes d'amour |
Pommes d'amour |
|
Syzygium
malaccense, aussi appelé pomme d'eau, jambose rouge ou pomme rosée, est un
arbre tropical d'origine Malaisienne pouvant atteindre une vingtaine de mètres
de hauteur. Il possède une floraison rouge attrayante ainsi que des fruits comestibles.
La pomme
d'eau est un arbre purement tropical, qui ne supporte pas le gel, et qui pourra
donc être cultivé en zones USDA 10b et plus chaudes.
Le
feuillage de la pomme d'eau est persistant. Les feuilles sont opposées et de
couleur vert-foncée.
Cet arbre a
une floraison rouge très attractive ; les fleurs ont de grandes étamines rouges
qui rappellent leur appartenance à la famille des Myrtacées. Les fleurs se
développent sur les rameaux, mais également directement sur le tronc.
La pomme
d'eau, pomme rosée ou encore jambose rouge, est un fruit tropical à la peau
rouge sombre et à la chair blanche et fine. Ce fruit, d'aspect oblong à
piriforme, est généralement consommé frais.
Syzygium
malaccense requiert les expositions suivantes : lumière,soleil.
Dimensions
Hauteur
10.00 m
Etalement
5.00 m
Températures
minimales
La plante
meurt à partir de 0.0 °C
Les parties
aériennes sont atteintes à partir de 2.0 °C
Exposition
- lumière,soleil
Feuillage -
persistant
Floraison -
Couleur(s)
: rouge
Fruit -
Comestible
Méthodes de
multiplication - bouture,greffe,marcotte,semis
Cet arbre
peut être semé, mais les variétés et sélections sont greffées, marcottées ou
bouturées.
Toxicité
Pas de
toxicité à signaler, ou toxicité indéterminée.
Source: http://gardenbreizh.org/modules/gbdb/plante-338-syzygium-malaccense.html#
10) Merana
: Brachylaena merana ·
Pas
de données.
A
compléter.
10bis) Brachylaena ramiflora ·
Brachylaena ramiflora (DC.) Humbert
Protologue
Editeurs associés
Editeurs traduction française
|
1, partie de rameau avec capitules floraux mâles ; 2, capitule
floral mâle ; 3, branche avec capitules floraux femelles ; 4, capitule floral
femelle ; 5, fruit sans pappus.
Redessiné et adapté par Achmad Satiri Nurhaman
11) Soveka
: Dalbergia ·
Quelle
espèce de dalbergia ? dalbergia greveana ? dalbergia monticola ?
A
compléter.
12) Copalier
: Hymanaea verrucosa ·
LEGUMINOSAE
CAESALPINIOIDEAE Hymenaea verrucosa (MSANDARUSI) |
Specimen:
Uw
15656 - LEGUMINOSAE CAESALPINIOIDEAE Hymenaea verrucosa |
|||||||||||||||
|
|||||||||||||||
Features: |
|||||||||||||||
1v |
Growth ring boundaries distinct |
2v |
Growth ring boundaries indistinct
or absent |
5 |
Wood diffuse-porous |
13 |
Simple perforation plates |
22 |
Intervessel pits alternate |
23 |
Shape of alternate pits polygonal |
26 |
Medium - 7 - 10 µm |
27v |
Large - >= 10 µm |
29 |
Vestured pits |
30 |
Vessel-ray pits with distinct
borders; similar to intervessel pits in size and shape throughout the ray
cell |
42 |
100 - 200 µm |
43 |
>= 200 µm |
46 |
<= 5 vessels per square millimetre |
47v |
5 - 20 vessels per square millimetre |
52? |
<= 350 µm |
53? |
350 - 800 µm |
58 |
Gums and other deposits in
heartwood vessels |
61 |
Fibres with simple to minutely
bordered pits |
66 |
Non-septate fibres present |
69 |
Fibres thin- to thick-walled |
71? |
<= 900 µm |
72? |
900-1600 µm |
73? |
>= 1600 µm |
80 |
Axial parenchyma aliform |
81 |
Axial parenchyma lozenge-aliform |
82 |
Axial parenchyma winged-aliform |
83 |
Axial parenchyma confluent |
89 |
Axial parenchyma in marginal or in
seemingly marginal bands |
92 |
Four (3-4) cells per parenchyma
strand |
93 |
Eight (5-8) cells per parenchyma
strand |
98 |
Larger rays commonly 4 - to 10
seriate |
104 |
All ray cells procumbent |
106 |
Body ray cells procumbent with one
row of upright and / or square marginal cells |
115 |
4-12 / mm |
136 |
Prismatic crystals present |
142 |
Prismatic crystals in chambered
axial parenchyma cells |
178 |
Tropical mainland Africa and
adjacent islands (Brazier and Franklin region 78) |
179 |
Tropical Africa |
180 |
Madagascar & Mauritius, Réunion & Comores |
189 |
Tree |
192 |
Wood of commercial importance |
194? |
Basic specific gravity medium, 0.40-0.75 |
195? |
Basic specific gravity high, >= 0.75 |
196? |
Heartwood colour darker than
sapwood colour |
197 |
Heartwood basically brown or
shades of brown |
Anatomical Note: PROTA description by D. Louppe, P. Détienne, E.A. Wheeler |
Habitat: Zanzibar-Inhambane regional transition zone forest; Transition woodland (ILDIS) |
Region: Native to East Africa,
Madagascar and Seychelles | ILDIS |
Reference: PROTA, 2002-- . Protabase. Plant Resources of Tropical Africa / Ressources végétales de l'Afrique tropicale, Wageningen, Netherland |
Source : http://insidewood.lib.ncsu.edu/description?descid=1442
13) Hasy
: Faguetia falcata ·
Pas
de données précises sur sa description morphologique, à part des photos sur
Internet.
A
compléter.
www.eol.org/search?q=Faguetia+falcata - Traduire cette page
Faguetia
falcata () in Encyclopedia of Life. ... "Faguetia falcata". Encyclopedia of Life,
available from "http://www.eol.org/pages/5614502". ...
plantgenera.org/species.php?id_species=430422&language...0
no thumbnail available 12 53430 Faguetia falcata Marchand
Flore de Madagascar et des Comores, Anacardiacées, vol. 114: p. 27 (1946) [M.J.
Vesque] ...
www.ncbi.nlm.nih.gov/.../entrez?...Faguetia+falca... - Traduire cette page
Faguetia falcata isolate
244 rps16 gene, intron; chloroplast 881 bp linear DNA AY594598.1 GI:60116141 2. Faguetia falcata isolate
270 external transcribed ...
data.gbif.org/species/14991813 - Traduire cette page
Observational and
specimen data for Faguetia falcata.
respiratory.publishingtechnology.com/.../289707;... - Traduire cette page
Faguetia
falcata. Some information for
this species has been obtained from Bio2RDF and DBPedia. Graphical View. Rank : Species NCBI Taxonomy ID : 289707 ...
www.uniprot.org/taxonomy/289707 - Traduire cette page
Scientific name, Faguetia falcata. Common name, -. Synonym, -. Rank, SPECIES. Lineage, › cellular organisms ›
Eukaryota › Viridiplantae › Streptophyta ...
www.plantillustrations.org/taxa.php?id_taxon=782&lay_out...
Faguetia falcata Marchand
[782-430422-53430] Flore de Madagascar et des Comores, Anacardiacées, vol. 114:
p. 27 (1946) [M.J. Vesque] ...
www.theplantlist.org/tpl/record/kew-2807563 - Traduire cette page
Faguetia
falcata Marchand is an accepted name. This name is the
accepted name of a species in the genus Faguetia (family Anacardiaceae). ...
www.mobot.org/MOBOT/research/littoral/site3.shtml
Anacardiaceae, Faguetia falcata,
Marchand, G.E. Schatz, W.D. Stevens ...Anacardiaceae, Faguetia falcata,
Marchand, Perrier de la Ba|5thie, H. 14079, /conf. ...
tropicos.org/Name/1300025?projectid=17 - Traduire cette page
10 Jun 2009 – Faguetia falcata Marchand Search in The Plant List ·
Search in IPNI · Search in Australian Plant Name Index · Search in NYBG Virtual ...
14) Voamboana : Dalbergia baronii ·
Espèce
vulnérable (en danger) (status IUCN / CITES).
Citation: |
IUCN
2011. IUCN Red List of Threatened Species. Version 2011.1. <www.iucnredlist.org>. Downloaded on 21 October 2011. |
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Source : http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/search
Scientific Name |
|
Common
Names : Madagascar rosewood, Palissandre
voamboana
Source : http://www.thewoodexplorer.com/maindata/we372.html
15) Varongy : Ocotea ·
Est
l’espèce Ocotea cymosa ?
A
vérifier et compléter.
Ocotea cymosa (Nees)
Palacký (varongy, antafononana, tefomoka)
Protologue
Cat. pl. madagasc. 2: 9 (1907).
Famille
Lauraceae
Synonymes
Ravensara tapak Baill.
(1885).
Origine et répartition géographique
Ocotea cymosa se trouve
dans tout l’est de Madagascar.
Usages
Le bois d’Ocotea cymosa ainsi
que celui de plusieurs autres Ocotea spp., connu sous le nom de “varongy”,
est non seulement particulièrement demandé pour la confection de meubles,
l’ébénisterie, la construction d’embarcations et les mortiers, mais il est
aussi très apprécié pour la construction, la menuiserie, la charronnerie, les
boiseries intérieures et le modelage. Il convient pour les étais de mine, la
construction navale, les jouets, les articles de fantaisie, la caisserie, la
sculpture, le tournage, les placages et le contreplaqué. En revanche, il se
prête moins à la parqueterie car il est trop tendre.
Tant les feuilles que l’écorce et les fruits sont parfumés ; on emploie
les feuilles et les fruits comme condiments ; quant à l’écorce, on
l’ajoute aux boissons alcoolisées locales.
Propriétés
Le bois de cœur, brun pâle, ne se distingue généralement pas de l’aubier. Il
présente normalement un contrefil, le grain est moyen. Les surfaces radiales
ont souvent un aspect nettement rayé ou rubané. Lorsqu’il est fraîchement scié,
le bois dégage une odeur désagréable.
C’est un bois moyennement léger dont la densité avoisine les 560 kg/m³ à 12%
d’humidité. Il sèche bien à l’air moyennant peu d’altérations, mais c’est avec
les grumes sciées sur quartier que l’on obtient les meilleurs résultats. Les
taux de retrait sont moyennement élevés : de l’état vert à anhydre, ils
sont d’environ 4,2% dans le sens radial et de 8,0% dans le sens tangentiel. Des
planches de 2,5 cm d’épaisseur mettent près d’un mois pour sécher jusqu’à 30%
d’humidité. Le bois est moyennement stable en service. A 12% d’humidité, le
module de rupture est de 119 N/mm², la compression axiale de 43 N/mm², le
fendage de 16 N/mm et la dureté de flanc Chalais-Meudon de 2,7.
Le bois est facile à scier et à travailler tant à la main qu’à la machine.
Quelquefois, le ponçage peut s’avérer nécessaire si l’on veut obtenir de bons
résultats au rabotage. C’est un bois qui se colle, se peint et se vernit assez
facilement. Il se cloue bien, avec une bonne tenue des clous. Les
caractéristiques de déroulage et de tranchage sont bonnes. Les caractéristiques
de moulurage sont satisfaisantes, et le bois se prête à la sculpture. Il est
souvent attaqué par les scolytes, mais il est moyennement résistant aux
champignons, aux térébrants du bois sec, aux termites et térébrants marins. Il
est rebelle à l’imprégnation avec des produits de conservation.
Botanique
Arbre de taille moyenne atteignant 25 m de haut ; fût dépourvu de branches
jusqu’à une hauteur de 16 m, mais souvent tordu, jusqu’à 80 cm de diamètre,
parfois à contreforts atteignant 1,5 m de haut ; écorce à nombreuses
lenticelles, parfumée lorsqu’on la coupe ; rameaux légèrement anguleux, à
pilosité dense et poudreuse. Feuilles alternes, simples et entières ;
stipules absentes ; pétiole de 1–2 cm de long, cannelé au-dessus ;
limbe elliptique, de 6–17 cm × 2–8 cm, base cunéiforme, apex acuminé, papyracé,
d’un vert lustré, glabre, pennatinervé à 5–8 paires de nervures latérales,
parfumé. Inflorescence : cyme ou panicule axillaire ou terminale
atteignant 6 cm de long, à pubescence courte et dense mais glabrescente,
composée de 3–20 fleurs ; pédoncule de 1–3 cm de long. Fleurs bisexuées,
régulières, odorantes ; pédicelle de 1–3 mm de long ; lobes du
périanthe 6, elliptiques, d’environ 3 mm de long ; étamines 9 en 3
verticilles, anthères 4-loculaires, étamines du verticille interne pourvues de
2 glandes à la base, staminodes 1–2, minuscules ; ovaire supère, ovoïde à
ellipsoïde, de 1–1,5 mm de long, glabre, 1-loculaire, style d’environ 1 mm de
long, stigmate discoïde. Fruit : baie drupacée ovoïde, atteignant 2 cm de
long, enfermée à la base dans le réceptacle dilaté, en coupe, de 1–1,5 cm de
long, contenant 1 seule graine.
Les arbres d’Ocotea cymosa ont
une croissance lente.
On estime le nombre d’espèces d’Ocotea à
200 à 350, la plupart se trouvant en Amérique tropicale. Le continent africain
en compte près de 7, Madagascar environ 35.
A Madagascar, plusieurs autres Ocotea spp. sont appréciées pour leur bois,
qui est très semblable à celui d’Ocotea cymosa, est également connu sous
le nom de “varongy” et employé pour les mêmes usages. Les plus importants sont Ocotea faucherei (Danguy) Kosterm., Ocotea laevis Kosterm., Ocotea macrocarpaKosterm., Ocotea platydisca Kosterm., Ocotea racemosa (Danguy) Kosterm., Ocotea thouvenotii (Danguy) Kosterm. et Ocotea trichophlebia Baker. On les trouve tous dans l’est
de Madagascar, à ceci près que leur aire de répartition est plus réduite que
celle d’Ocotea cymosa, excepté Ocotea
laevis et Ocotea racemosa, présents dans
tout l’est de Madagascar comme Ocotea
cymosa.
Ocotea comoriensis Kosterm.
est endémique des Comores. Son bois ressemble aussi à celui d’Ocotea cymosa et est utilisé aux mêmes fins. La
décoction d’écorce sert à traiter les maux de tête, les affections urinaires et
les maux d’estomac. Ocotea
comoriensis a démontré in
vitro une activité antipaludéenne.
Ocotea obtusata (Nees)
Kosterm., arbuste ou petit arbre atteignant 15 m de haut, est endémique de la
Réunion et de Maurice ; souvent présent à la Réunion, il est cependant
rare à Maurice. Le bois, connu sous le nom de “bois de cannelle”, est employé
pour la fabrication de meubles. L’huile que l’on extrait des fruits est
utilisée pour l’éclairage.
Ecologie
Ocotea cymosa se rencontre
en forêt et sur les dunes côtières, du niveau de la mer jusqu’à 1250(–1900) m
d’altitude. Il est localement commun. Il a été classé comme semi-héliophyte,
mais des essais ont prouvé qu’il tolère très bien l’ombre.
(forêt dense sclérophylle).
Gestion
Le cubage sur pied d’Ocotea cymosa a
été estimé à 42 millions de m³ en 1990 et à 40 millions de m³ en 2000. Même si
le bois convient au déroulage, il est souvent difficile d’obtenir des grumes de
belle taille ; en outre, il arrive souvent que les grumes de gros diamètre
soient creuses.
Ressources génétiques et sélection
Ocotea cymosa, répandu dans l’est de Madagascar, est localement commun.
Rien n’indique qu’il soit menacé d’érosion génétique dans l’immédiat, cependant
la faveur dont jouit son bois et la fragmentation que subit actuellement la
forêt sont autant de sujets d’inquiétude.
Perspectives
Bien qu’Ocotea cymosa compte
parmi les essences à bois d’œuvre les plus prestigieuses de Madagascar, la
recherche ne s’y est que très peu intéressée.
Références principales
• Boiteau, P., Boiteau, M. & Allorge-Boiteau, L., 1999. Dictionnaire des
noms malgaches de végétaux. 4 Volumes + Index des noms scientifiques avec leurs
équivalents malgaches. Editions Alzieu, Grenoble, France.
• Bolza, E. & Keating,
W.G., 1972. African timbers: the properties, uses and characteristics of 700
species. Division of Building Research, CSIRO, Melbourne, Australia. 710 pp.
• Guéneau, P., Bedel, J. & Thiel, J., 1970–1975. Bois et essences
malgaches. Centre Technique Forestier Tropical, Nogent-sur-Marne, France. 150
pp.
• Kostermans, A.J.G.H., 1950. Lauracées (Lauraceae). Flore de Madagascar et des
Comores (plantes vasculaires), famille 81. Firmin-Didot et cie., Paris, France.
90 pp.
• Sallenave, P., 1955. Propriétés physiques et mécaniques des bois tropicaux de
l’Union française. Centre Technique Forestier Tropical, Nogent sur Marne,
France. 129 pp.
Autres références
• Decary, R., 1946. Plantes et animaux utiles de Madagascar. Annales du Musée
Colonial de Marseille, 54e année, 6e série, 4e volume, 1er et dernier
fascicule. 234 pp.
• de Gouvenain, R.C., 2001. Regeneration dynamics of a Madagascar rainforest
and their relationship to human disturbances. Dissertation, University of
Connecticut, United States.
• FAO, 2008. FAO Forestry country profiles: Madagascar. FAO, Rome, Italy. [Internet] http://www.fao.org/forestry/32183/en/mdg . Accessed August 2008.
• Gurib-Fakim, A. & Brendler, T., 2004. Medicinal and aromatic plants of
Indian Ocean Islands: Madagascar, Comoros, Seychelles and Mascarenes. Medpharm,
Stuttgart, Germany. 568 pp.
• Kostermans, A.J.G.H., 1982. Lauracées. In: Bosser, J., Cadet, T.,
Guého, J. & Marais, W. (Editors). Flore des Mascareignes. Familles 153–160.
The Sugar Industry Research Institute, Mauritius, l’Office de la Recherche
Scientifique Outre-Mer, Paris, France & Royal Botanic Gardens, Kew,
Richmond, United Kingdom. 16 pp.
• Parant, B., Chichignoud, M. & Rakotovao, G., 1985. Présentation graphique
des caractères des principaux bois tropicaux. Tome 5. Bois de Madagascar.
CIRAD, Montpellier, France. 161 pp.
• Sarrailh, J.-M., Baret, S., Rivière, E. & le Bourgeois, T., 2007. Arbres
et arbustes indigènes de la Réunion. (CD-ROM). CIRAD, Saint-Denis, Réunion.
• Schatz, G.E., 2001. Generic
tree flora of Madagascar. Royal Botanic Gardens, Kew, Richmond, United Kingdom.
477 pp.
• Takahashi, A., 1978. Compilation of data on the mechanical properties of
foreign woods (part 3) Africa. Shimane University, Matsue, Japan, 248 pp.
Auteur(s)
•
R.H.M.J.
Lemmens
PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH
Wageningen, Netherlands
Editeurs
•
D. Louppe
CIRAD, Département Environnements et Sociétés, Cirad es-dir, Campus
international de Baillarguet, TA C 105 / D (Bât. C, Bur. 113), 34398 Montpellier Cédex 5, France
•
A.A.
Oteng-Amoako
Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), University P.O. Box 63, KNUST,
Kumasi, Ghana
•
M. Brink
PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH
Wageningen, Netherlands
Editeurs
généraux
•
R.H.M.J.
Lemmens
PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH
Wageningen, Netherlands
•
L.P.A. Oyen
PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH
Wageningen, Netherlands
•
J.R.
Cobbinah
Forestry Research Institute of Ghana (FORIG), University P.O. Box 63, KNUST,
Kumasi, Ghana
Editeurs traduction française
•
M. Chauvet
Bureau national de PROTA pour la France, Agropolis International, Avenue
Agropolis, F-34394 Montpellier, Cédex 5, France
•
J.S.
Siemonsma
PROTA Network Office Europe, Wageningen University, P.O. Box 341, 6700 AH
Wageningen, Netherlands
Citation correcte de cet article:
Lemmens, R.H.M.J., 2008. Ocotea
cymosa (Nees) Palacký.
[Internet] Fiche de Protabase. Louppe, D., Oteng-Amoako, A.A. & Brink, M.
(Editeurs). PROTA (Plant Resources of Tropical Africa / Ressources végétales de
l’Afrique tropicale), Wageningen, Pays Bas. < http://database.prota.org/recherche.htm>.
Visité le 24 octobre 2011.
16) Tavolo :
Ravensara ·
Parle-t-on
ici du “Ravensara aromatica”, encore
appelé Havozo à Madagascar ?
Si oui,
voir alors la fiche n° 7 : Langotra : Cryptocarya (puis => Ravensara
aromatica)>.
Sinon,
à vérifier et compléter.
Si oui beaucoup
de documentation sur cette espèce produisant une huile essentielle convoitée.
17) Molompangady
: Nauclea cuspidata ·
Pas de
documentation descriptive précise trouvée sur Internet, à par des photos
trouvées à ces adresses :
http://www.efloras.org/florataxon.aspx?flora_id=12&taxon_id=250074635
http://www.efloras.org/object_page.aspx?object_id=82199&flora_id=12
A
compléter.
www.efloras.org/florataxon.aspx?flora_id... - Traduire cette page
Nauclea
cuspidata Baker. J. Linn. Soc., Bot. 25: 319-320 (1890). =
Breonia cuspidata ·Nauclea cuspidata isotype at P: Baron 5563. Credit:
MNHN, France ...
www.efloras.org/florataxon.aspx?flora_id... - Traduire cette page
27 Nov 2007 – Breonia chinensis (Lam.) Capuron · Nauclea cuspidata Baker ...
Plus de résultats de efloras.org
www.tropicos.org/name/27905540 - Traduire cette page
Nauclea
cuspidata Baker Search in The Plant List · Search in IPNI ·
Search in Australian Plant Name Index · Search in NYBG Virtual Herbarium ·
Search in ...
www.tropicos.org/Name/27905540?projectid=17 - Traduire cette page
10 Jun 2009 – Nauclea cuspidata Baker Search in The Plant List ·
Search in ...
Plus de résultats de tropicos.org
coldb.mnhn.fr/ScientificName/Breonia/cuspidata
Breonia cuspidata
(Baker) Havil. Voir ce nom dans Tropicos : Autre det.: RUBIACEAE :Nauclea cuspidata Baker ISOTYPE. MADAGASCAR (Code ISO :
MG) ...
www.theplantlist.org/tpl/record/kew-133155 - Traduire cette page
Nauclea
cuspidata Baker is a synonym of Breonia cuspidata (Baker) Havil.
This name is a synonym of Breonia cuspidata (Baker) Havil. ...
culturesheet.org/rubiaceae:nauclea:cuspidata - Traduire cette page
Nauclea
cuspidata Baker. Family Rubiaceae, Genus Nauclea. Taxonomic data
provided by Species 2000 & ITIS Catalogue of Life: 2008 Annual Checklist, ...
apps.kew.org/wcsp/namedetail.do?name_id... - Traduire cette page
Nauclea
cuspidata Baker, J. Linn. Soc., Bot. 25: 319 (1890). ... Homotypic Synonyms: Breonia cuspidata
(Baker) Havil., J. Linn. Soc., Bot. 33: 37 (1898). ...
arctos.database.museum/.../Nauclea%20cuspidata - Traduire cette page
About Arctos. Login or
Create Account. Nauclea cuspidata Baker ... Breonia cuspidata is synonym of
(Authority: CoL 2011 checklist). Arctos
Links: ...
18) Faralotra
: Grewia ·
Parle-t-on
ici du “Colubrina faralotra” ou du “grevillea robusta” ?
Si
“Colubrina faralotra” => pas de documentation sur Internet.
A
vérifier et compléter.
Si “grevillea
robusta” => nombreuses documentations sur Internet.
Grevillea robusta
Grevillea robusta, communément appelé le chêne
soyeux d'Australie, est la plus grande espèce du genre Grevillea.
Il est originaire des zones côtières de l'est de
l'Australie, poussant au bord des cours d'eau, dans les forêts subtropicales et
tropicales sèches recevant en moyenne plus de 1000 mm d'eau par an. C'est un
arbre à feuillage persistant, à croissance rapide, atteignant entre 18-35 m de
hauteur avec des feuilles vert foncé bipennées délicatement dentelées rappelant
la fronde des fougères. Il s'agit de la plus grande espèce du genre Grevillea.
Ses feuilles font généralement 15 à 30 cm de long, blanches ou gris rouillé
dessous. Ses fleurs qui apparaissent au printemps, sont jaune-orangé en forme
d'écouvillon, portées par une tige de 2 à 3 cm de long et sont utilisées pour
la production du miel. Les graines arrivent à maturité en fin d'hiver et au
début de printemps. Les fruits sont des gousses déhiscentes couleur cuir brun
foncé, d'environ 2 cm de long, avec une ou deux graines ailées plates.
|
Cliquez sur une vignette pour l’agrandir |
§ Grevillea robusta fact
sheet on Forest, Farm, and
Community Tree Network (FACT Net)
§ Germplasm Resources
Information Network: Grevillea robusta
§ Plants of Hawaii
(images): Grevillea robusta
Grevillea robusta |
|
Retrouvez ce taxon sur Wikispecies |
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grevillea_robusta
19) Hetaira :
Podocarpus madagascariensis ·
From Wikipedia, the free encyclopedia
Podocarpus madagascariensis |
|
Kingdom: |
|
Division: |
|
Class: |
|
Order: |
|
Family: |
|
Genus: |
|
Species: |
P. madagascariensis |
Podocarpus
madagascariensis |
Podocarpus madagascariensis is a species of conifer in
the Podocarpaceae family. It is found only in Madagascar.
§
Conifer
Specialist Group 1998. Podocarpus madagascariensis. 2006 IUCN Red List of Threatened Species. Downloaded on 10 July 2007.
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Podocarpus_madagascariensis
Kingdom |
Phylum |
Class |
Order |
Family |
PLANTAE |
TRACHEOPHYTA |
CONIFEROPSIDA |
CONIFERALES |
PODOCARPACEAE |
Scientific
Name: |
Podocarpus madagascariensis |
Species
Authority: |
Baker |
Infra-specific
Taxa Assessed: |
Red List
Category & Criteria: |
Lower Risk/least concern ver 2.3 |
|||
Year
Assessed: |
1998 |
|||
Annotations: |
Needs updating |
|||
Assessor/s: |
Conifer Specialist Group |
|||
Justification: |
||||
History: |
|
Countries: |
Native: Madagascar |
Systems: |
Terrestrial |
|
|
Citation: |
Conifer Specialist Group
1998. Podocarpus
madagascariensis. In: IUCN 2011. IUCN Red List of Threatened Species. Version 2011.1. <www.iucnredlist.org>.
Downloaded on27 October 2011. |
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20) Vivaona :
Dilobeia thouarsii ·
Code |
PRO1 |
Classe |
DICOTYLEDONES |
Ordre |
PROTEALES |
Famille |
Proteaceae |
Nom scientifique |
Dilobeia thouarsii |
Nom commun |
-
Malagasy : Tavolohazo, tavolopika, riona, hazovao, hivao |
Description |
-
Arbre de 8-15m et même jusqu'à 30 m de hauteur, 0,5-0,8 m de diamètre; à
rameaux robustes |
Habitat |
- Forêt dense humide sempervirente; 500-1800 m d'altitude. |
Période de floraison |
- Octobre-mars. |
Période de fructification |
- Mars-octobre. |
Répartition géographique |
-
Centre et Est de Madagascar |
Utilisation |
-
Bois très dur résistant aux champignons et insectes : construction de maison,
menuiserie, traverses de chemins de fer; mauvais bois de chauffe (fumée noire
et âcre) |
Statut et mesure de conservation |
-
Espèce endémique |
Menaces |
Principales
menaces : dégradation ou perte de l'habitat par déforestation ou feux de
végétation; surexploitation à des fins commerciales. |
Source |
-
Bosser, J., Rabevohitra, R. 1991. Flore de Madagascar et des Comores. 57ème
famille, Protéacées : 50-55. |
Source : http://www.pnae.mg/ie/kit_region/alaotra_mangoro/flore/dilobeia_thouarsii.html
21) Vandrika : Craspidospermum verticillatum
·
Craspidospermum verticillatum Bojer ex
A.DC.
Protologue
Associate editors
General editors
|
Source : http://database.prota.org/PROTAhtml/Craspidospermum%20verticillatum_En.htm
Voir aussi
“Précis de matière médicale malgache”, par Pierre Boiteau :
http://www.madadoc.mg/9907_F62%20BOI.pdf
22) Hazotokana
: Brachylaena ramiflora ·
Brachylaena ramiflora (DC.) Humbert
Protologue
Editeurs associés
Editeurs traduction française
|
1, partie de rameau avec capitules floraux mâles ; 2, capitule
floral mâle ; 3, branche avec capitules floraux femelles ; 4, capitule floral
femelle ; 5, fruit sans pappus.
Redessiné et adapté par Achmad Satiri Nurhaman
23) Herehitsika
: Weinmannia rutenbergiana ·
Plusieurs
références sur Internet.
Mais
peu ou pas de documentation précise => à compléter.
1.
[PDF] 9934_K 50 MAD 850.pdf - madadoc
www.madadoc.mg/9934_K%2050%20MAD%20850.pdf
Format de fichier: PDF/Adobe Acrobat - Version HTML
Lalona Weinmannia minutiflora, W. rutenbergiana, W.
sp. Lampivahatra voix;. Lendemï Anthocleista madagascariensis. Lintanina voir.
Longotra Cryptocarya sp. ...
www.efloras.org/browse.aspx?flora_id... - Traduire cette page
16064 records – 250086661, Wahlenbergia rutenbergiana = Gunillaea emirnensis ...250085034, Weinmannia hildebrandtii ... 250074043, Weinmannia integrifolia ...
www.discoverlife.org/mp/20q?...Weinmannia... - Traduire cette page
Search results for "Weinmannia rutenbergii" ... non
Nees 1845;Lejeunea grata;Lejeunea kindbergii;Lejeunea rutenbergiana;Lejeunea
rutenbergii;Lejeunea ...
24) Lalona :
autre Weinmannia ·
Oui,
mais lesquels ? Weinmannia hildebrandtii, Weinmannia minutiflora, Weinmannia
Bojeriana ?
A
vérifier et compléter.
25) Voandrozana
: Sarcolaena ·
Est-ce le Sarcolaena eriophora
(SARCOLAENACEAE) ?
A
vérifier et compléter.
Si, oui:
Sarcolaena
eriophora
From Wikipedia, the free encyclopedia
Sarcolaena eriophora |
|
Kingdom: |
|
(unranked): |
|
(unranked): |
|
(unranked): |
|
Order: |
|
Family: |
|
Genus: |
|
Species: |
S. eriophora |
Sarcolaena
eriophora |
|
Sarcolaena eriophpra Thouars |
Sarcolaena eriophora is a species of plant in the Sarcolaenaceae family. It is endemic to Madagascar. Its natural habitats are
subtropical or tropical moist lowland forests and
sandy shores. It is threatened by habitat loss.
§
Ludovic,
R. 2004. Sarcolaena eriophora. 2006 IUCN Red List of Threatened Species. Downloaded on 23 August 2007.
Souce : http://en.wikipedia.org/wiki/Sarcolaena_eriophora
Kingdom |
Phylum |
Class |
Order |
Family |
PLANTAE |
TRACHEOPHYTA |
MAGNOLIOPSIDA |
MALVALES |
SARCOLAENACEAE |
Scientific
Name: |
Sarcolaena eriophora |
Species
Authority: |
Thouars |
Synonym/s: |
Sarcolaena eriophpra Thouars |
Red List
Category & Criteria: |
Least Concern ver 3.1 |
Year
Assessed: |
2004 |
Assessor/s: |
Ludovic, R. |
Reviewer/s: |
Birkinshaw, C., Lowry, P.P., Rajeriarison, C. & Randrianasolo, A.
(Madagascar Plants RLA) |
Justification: |
Range
Description: |
Toliary: Mandena; Antananarivo: Ambohitantely; Toamasina:
Analamazaotra, Zahamena. Extent of occurrence: 80,177 km², area of occupancy:
6,585 km². |
Countries: |
Native: Madagascar |
Population
Trend: |
Decreasing |
Habitat and
Ecology: |
Littoral and mid- elevation evergreen humid forest. |
Systems: |
Terrestrial |
Major
Threat(s): |
Habitat loss of shifting agriculture and uncontrolled annual fires. Utilized as fuelwood. |
Conservation
Actions: |
Included in protected areas: Ambohitantely Special Reserve,
Analamazaotra Special Reserve, Zahamena Special Reserve. |
|
|
Citation: |
Ludovic, R. 2004. Sarcolaena eriophora. In:
IUCN 2011. IUCN Red List of Threatened Species. Version 2011.1. <www.iucnredlist.org>.
Downloaded on 27 October 2011. |
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Source : http://www.iucnredlist.org/apps/redlist/details/46501/0
Arbres et arbustes plantés sur les Hauts Plateaux
26) Populus deltoides Marshall, peuplier
A
compléter.
27) Fraximus chinensis Roxb., frène
A
compléter.
28) Ligustrum lucidum Ait., troëne / troène · ( ?)
Ou troène du Japon ou troène à feuilles brillantes.
Petit arbre buissonnant à feuilles luisantes vertes produisant des panicules de petites fleurs blanches, suivies de fruits bleu-noir.
Il peut atteindre 10 mètres. Ses feuilles persistantes, vert brillant aux nervures saillantes, mesurent une dizaine de cm en moyenne.
A ne pas confondre avec le petit
troène de Ceylan (Ligustum robustrum),
une peste végétale à Madagascar.
Cette espèce présente des feuilles allongées et pointues de couleur vert foncé. L'avantage de cet arbuste persisistant est qu'il peut être utilisé en haie taillé ou en haie libre.
Arbuste de taille moyenne, aux rameaux souples, cultivé pour sa floraison très parfumée, et son intérêt
en tant que plante de haie.
http://www.jardiland.com/vente-en-ligne/pepiniere/856-ligustrum-lucidum.html
Exposition
au soleil ou à mi-ombre. Sol ordinaire, pauvre,
pas trop sec à frais. Rustique, au moins jusqu'à -20°C.
Feuillage persistant. Port Buissonnant. Intérêt estival, automnal. Toxique.
Ligustrum lucidum |
||
Ligustrum lucidum |
||
A
compléter.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Ligustrum_lucidum
29) Jatropha curcas
Jatropha curcas (ou Curcas curcas) est une espèce d'arbuste de la famille des Euphorbiaceae originaire du Brésil.
Sa graine, parfois appelée noix des Barbades (Barbados nut en anglais), contient 27 à 40 % d’une huile appelée huile de jatropha. Cette graine toxique est utilisée dans la médecine traditionnelle, en Afrique, dans l'alimentation du bétail et dans la fabrication du savon de Marseille.
Plus récemment, son usage pour produire des agrocarburants s'est développé, notamment en Inde, ce qui lui vaut le surnom de "or vert du désert".
Le Jatropha pousse en climat tropical à sub-tropical. Par ses racines fortes et profondes, ainsi que par son tronc à caudex qui constitue un réservoir d’eau, Jatropha est capable de résister à des périodes de sécheresse prolongée. Il ne nécessite aucun entretien particulier mais, pour bien fructifier, a besoin d'au moins 400 à 600 mm de précipitations annuelles. La plante supporte mal une précipitation supérieure à 2000 mm. Elle peut commencer à produire au bout d’un an.
Il faut 12 mois pour obtenir une plante adulte à partir de graines ou 9 mois à partir d'une bouture mais le pourghère atteint sa pleine productivité en 3 ou 4 ans selon la nature du sol et le climat. La plante vit plus de 50 ans2.
La culture du Jatropha requiert une préparation du sol lorsque l'horizon superficiel est induré (trou ou saillie de sous-solage d'au moins 30cm de profondeur), ni pesticides et autres produits polluants (grâce à ses qualités insecticides et fongicides). Son énorme avantage est de ne pas rentrer en compétition avec les cultures vivrières car son huile n'est pas alimentaire et il s'adapte aux sols arides ou semi-arides impropres à la plupart des cultures vivrières.
Un hectare peut permettre la culture de 1.500 à 2.500 pieds de jatropha et chaque arbre adulte donne entre 2 et 6 kg de graines par an généralement en deux fructifications selon le cultivar utilisé et la richesse du sol. 5 kilos de fruits donnent 1 litre de bio-carburant. On peut donc espérer entre 600 et 1800 litres d'huile à l'hectare.
La coque séchée des graines est combustible et peut remplacer le bois de feu, ce qui constituerait une solution à la déforestation en milieu rural.
En monoculture, la pression des ravageurs augmente. Il existe un risque élevé de pertes, allant jusqu’à la perte totale, par exemple par les criquets. L'espèce peut être attaquée par Lagocheirus undatus, Panthomorus femorauts, Leptoglossus zonatus, Pachycoris torridus et Nezara viridula.
La multiplication du Jatropha se fait par semis ou par bouture qui donne de bons résultats. Ce dernier mode de multiplication a aussi l’avantage que la plante grandit plus rapidement et donne des fruits plus tôt. Le semis produit une racine pivotante plus adaptée aux besoins de la protection anti-érosive.
Les premières expériences tendent à démontrer que, sur les sols pauvres de savane, la plante démarre bien après un brulis et plus difficilement après une culture vivrière.
La multiplication par semis donne des résultats très variables en termes de productivité. C'est pourquoi on constate beaucoup d'échecs liés à une faible productivité sur des plantations issues d'un semis. Pour créer une plantation de Jatropha, il est conseillé de passer par une étape intermédiaire de sélection et de multiplication végétative des plants sélectionnés
Cette plante ne produisant que quelques fruits par branches (entre 10 et 20), il convient de la conduire en multicaulie pour augmenter la production. A cette fin il est conseillé de procéder à un étêtage à la fin de la première saison sèche afin de stimuler la ramification précoce.
En dehors de cette production d’huile végétale, le jatropha produit également, en situation de stress (notamment hydrique, mais aussi en cas de blessure ou de taille trop sévère de la plante), la curcine (ou curcasine), une toxalbumine très active, substance très toxique proche de la ricine, bloquant l’activité de synthèse ribonucléique (destruction partielle des codons messagers de l’ARN, ce qui conduit au blocage complet de l’activité cellulaire puis à sa mort rapide) ; cette propriété est utilisée en médecine comme agent antitumoral.
On retrouve des traces de cette puissante toxine dans l’huile végétale (extraite de ses graines), qui est donc impropre à la consommation normale humaine ou animale. La préparation de l’huile ou du diester expose aussi le préparateur à ce produit toxique. Traditionnellement, les graines étaient concassées et broyées, avant d'être brassées en pâte épaisse dans l’eau, pour être ensuite fortement pressées pour extraire cette toxine (qui était parfois utilisée pour confectionner des poisons utilisés sur des armes de guerre, pour la chasse, ou encore dispersée dans les lacs ou les rivières pour la pêche). L'huile était séparée après filtration pour la préparation d'onguents médicinaux antiseptiques pour soigner les blessures infectées, mais la farine résiduelle reste trop toxique pour l'alimentation humaine.
L’arbre |
Ses fruits |
|
Ses graines |
Machine à extraire de l'huile. |
|
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Jatropha_curcas
30) Jatropha gossypifolia
A
compléter.
31) Erythrina abyssinica DC.
Erythrina abyssinica Lam. ex DC.
(ou Arbre de corail d'Abyssinie)
Protologue
General editors
Photo editor
|
wild |
Source : http://database.prota.org/PROTAhtml/Erythrina%20abyssinica_En.htm
Taxonomy Taxonomie
Current name: Erythrina abyssinica Nom actuel: Erythrina abyssinica
Authority: Lam. Autorité: Lam. ex DC. ex DC.
Family: Fabaceae -
Papilionoideae Famille: Fabaceae - Papilionoideae
Synonym(s) Synonyme (s)
Erythrina tomentosa R. Br.
Erythrina tomentosa R. Br.. ex A. Rich. ex
A. Rich.
Common names Les noms
communs
(Amharic) : korch, korra, kuara
(Amharique): Korch, korra, kuara
(Arabic) : dus (Arabe): DUS
(Bemba) : mulunguti (Jean-Pierre Bemba):
mulunguti
(English) : erythrina, flame tree, kaffir boom,
lucky bean tree, red-hot-poker tree, Uganda coral (En anglais):
erythrina, flamboyant, le boom kaffir, arbre de haricot de la chance,
rouge-poker arbre, l'Ouganda corail
(Luganda) : jirikiti, kiyirikiti, muirikiti,
muyirikiti (Luganda): jirikiti, kiyirikiti, muirikiti, muyirikiti
(Lunda) : chisunga (Lunda): chisunga
(Nyanja) : mulunguti, mwale (Nyanja):
mulunguti, Mwale
(Shona) : mutiti (Shona): Mutiti
(Swahili) : mbamba ngoma, mjafari, muhuti, mwamba
ngoma (Swahili): Mbamba ngoma, mjafari, muhuti, Mwamba ngoma
(Tigrigna) : soaueh, zuwawue (Tigrigna):
soaueh, zuwawue
(Tongan) : mulunguti (Tonga): mulunguti
Botanic description Description
botanique
Erythrina abyssinica is medium-sized tree, usually
5-15 m in height, deciduous, thickset, with a well-branched, rounded, spreading
crown; trunk short; bark yellow-buff when fresh, otherwise grey-brown to creamy
brown, deeply grooved, thickly corky and often spiny; when damaged the tree
exudes a brown, gummy sap. Erythrina abyssinica est arbre de taille
moyenne, généralement 5-15 m de hauteur, à feuilles caduques, trapu, avec un
bien ramifié, arrondi, cime étalée; tronc court; écorce jaune-chamois à l'état
frais, sinon gris-brun à brun crème, profondément rainuré, épais et souvent
liégeuses épineux; lorsqu'il a été endommagé l'arbre exsude un brun, la sève
gommeuse. Leaves compound, trifoliolate,
alternate; leaflets almost as broad as long, 5.5-15 x 6-14 cm, with the
terminal leaflet the largest; lateral leaflets rather smaller than this, if 3
lobed then obscurely so, densely woolly when young, losing most of these hairs
by maturity; midrib and main veins on the undersurface often bear scattered
prickles. Feuilles composées, trifoliolées, alternes; folioles presque
aussi larges que longs, 5.5-15 x 6-14 cm, avec la foliole terminale les plus
grands; folioles latérales plutôt plus petites que cela, si 3 lobes, puis
obscurément sorte, densément laineux quand il est jeune, perdant la plupart de
ces poils par échéance; veines nervure centrale et principale sur la face inférieure
portent souvent piquants dispersés. Flowers
spectacular, in strong, sturdy racemes on the ends of branchlets, orange-red,
up to 5 cm long; calyx joined to form a tube, split along the under surface
almost to the base and separating away into long, slender, distinctive lobes at
the apex; calyx and standard petal striking scarlet to brick red. Fleurs
spectaculaires, en forts, robustes grappes sur les extrémités des rameaux,
rouge-orange, jusqu'à 5 cm de long; calice réunis pour former un tube, fendu le
long de la surface sous presque jusqu'à la base et la séparation de l'écart en
long, mince, lobes distincts à l'apex; calice et pétales écarlates norme
frappant de briques rouges. Fruit a cylindrical,
woody pod, 4-16 cm long, deeply constricted between the seeds, densely furry,
light brown in colour, opening to set free 1-10 shiny, red seeds with a
grey-black patch. Fruit cylindrique, ligneuse pod, 4-16 cm de long,
profondément rétrécie entre les graines, densément poilu, de couleur brun
clair, l'ouverture pour mettre en liberté 1-10 des graines brillantes rouges
avec un patch gris-noir. This species closely
resembles E. latissima. Cette espèce ressemble beaucoup à E. latissima. Erythrina comes from the Greek word 'erythros'-red,
alluding to the showy red flowers of the Erythrina species. Erythrina
vient du mot grec «erythros'-rouge, faisant allusion aux fleurs voyantes rouges
des espèces Erythrina. The specific name means
'from Ethiopia'. Le nom spécifique signifie «de l'Ethiopie».
History
of cultivation Histoire de la culture
The species was introduced into India from Uganda.
L'espèce a été introduite en Inde à partir de l'Ouganda.
Natural Habitat Habitat
naturel
E. abyssinica is the most widespread species in
Africa, found in savannahs throughout eastern and southern Africa. E.
abyssinica sont les espèces les plus répandues en Afrique, qui se trouvent dans
les savanes à travers Afrique orientale et australe. As with many trees in areas with frequent fires, the
young trees establish a deep root system before stem growth. Comme avec
beaucoup d'arbres dans les zones avec de fréquents incendies, les jeunes arbres
en place un système racinaire profond avant que la croissance de la tige. E. abyssinica grows well in most climates but not in dry
or high areas. E. abyssinica pousse bien dans la plupart des climats,
mais pas dans les zones sèches ou élevé. It does
not grow in forests. Il ne pousse pas dans les forêts.
Geographic distribution Répartition
géographique
Native : Botswana, Burundi, Central African
Republic, Congo, Democratic Republic of Congo, Eritrea, Ethiopia, Gabon, Kenya,
Lesotho, Mozambique, Namibia, Rwanda, South Africa, Sudan, Swaziland, Tanzania,
Uganda, Zambia, Zimbabwe Natif: Botswana, Burundi, République
centrafricaine, Congo, République démocratique du Congo, Érythrée, Éthiopie,
Gabon, Kenya, Lesotho, Mozambique, Namibie, Rwanda, Afrique du Sud, Soudan,
Swaziland, Tanzanie, Ouganda, Zambie, Zimbabwe
Exotic : Afghanistan, Bangladesh, Bhutan, India,
Nepal, Pakistan, Sri Lanka Exotique: Afghanistan, Bangladesh, Bhoutan,
Inde, Népal, Pakistan, Sri Lanka
Biophysical limits Limites
biophysiques
Altitude: 1 250-2 400 m, Mean annual temperature:
10-26 deg. Altitude: 1 250 à 2 400 m, température moyenne annuelle:
10-26 deg. C, Mean annual rainfall: 800-2 000 mm
Soil type: Grows best in well-drained soils of pH 3.5-5.4. C,
précipitations annuelles moyennes: 800-2 000 mm du sol de type: Pousse mieux
dans les sols bien drainés de pH 3.5 à 5.4.
Reproductive Biology Biologie
de la reproduction
In southern Africa, flowering occurs from July to
November, and fruiting from November to March. En Afrique australe, la
floraison se produit de Juillet à Novembre, et la fructification de Novembre à
Mars. In Zambia, flowering occurs before the new
leaves appear from July to October, and pods appear between December and March.
En Zambie, la floraison se produit avant que les nouvelles feuilles
apparaissent de Juillet à Octobre, et les gousses apparaissent entre Décembre
et Mars. Flowers often appear on a bare tree.
Fleurs apparaissent souvent sur un arbre nu. Pollination
is by nectar-feeding birds. Pollinisation est assurée par de nectar
oiseaux. Seeds mature within 60 days of
pollination, and they are dispersed by fruit-eating birds that mistake them for
ripe berries. Les graines mûrissent dans les 60 jours de la
pollinisation, et ils sont dispersés par les oiseaux frugivores qui les
prennent pour des baies mûres.
Propagation
methods Des méthodes de multiplication
E. abyssinica grows easily from a truncheon
planted at the onset of the rainy season and in 3-4 years will have reached a
fair size. E. abyssinica pousse facilement à partir d'une matraque
planté au début de la saison des pluies et dans les 3-4 ans auront atteint une
taille juste. Propagation may also be carried out
using seeds, seedlings, cuttings or direct sowing. La multiplication
peut également être effectuée en utilisant des semences, plants, boutures ou
semis direct. The most common method is by large
cuttings stripped of leaves, planted at the beginning of the rains directly in
the location desired. La méthode la plus commune est par boutures de
grandes dépouillés de feuilles, plantés au début de la saison des pluies
directement dans l'emplacement désiré. E.
abyssinica seeds have a hard coat and should be scarified to allow moisture to
penetrate the seed, enhancing germination and making it more uniform. E.
abyssinica graines ont un revêtement dur et doit être scarifiée permettre à
l'humidité de pénétrer dans la graine, la germination améliorer et le rendre
plus uniforme. Seeds are easily scarified by
rubbing with sandpaper or nicking with a knife. Les graines sont
scarifiées facilement en frottant avec du papier de verre ou d'entailler avec
un couteau. They should be immersed in water for
several hours after scarification until they begin to swell. Ils doivent
être immergés dans l'eau pendant plusieurs heures après la scarification
jusqu'à ce qu'ils commencent à gonfler. An
alternative pretreatment method is to soak the seed in warm water (40 deg. C)
for 12 hours. Un procédé de prétraitement de remplacement consiste à
tremper les graines dans l'eau chaude (40 degrés. C) pendant 12 heures. Seeds should be inoculated with Rhizobium bacteria after
pretreatment and immediately before planting. Les graines doivent être
inoculés avec Rhizobium après prétraitement et immédiatement avant la
plantation. This ensures nodulation and increases
nitrogen fixation. Cela garantit la nodulation et la fixation de l'azote
augmente. Seeds germinate best in sterile sand;
the soil can be sterilized by washing it in a solution of 5% formalin in water.
Graines germent mieux dans le sable stérile, le sol peut être stérilisé en le
lavant dans une solution de formol à 5% dans de l'eau. The seeds should be well separated from one another in
the germination box. Les graines doivent être bien séparés les uns des
autres dans la boîte de la germination. Alternatively
they may be sown directly into black polythene bags, using a mixture of soil,
sand and compost in the proportion of 2:1:1. Alternativement, ils
peuvent être semées directement dans des sacs en polyéthylène noir, en
utilisant un mélange de terre, du sable et du compost dans la proportion de
2:1:1. They should be sown just below the soil
surface, with the hilum facing downwards. Ils doivent être semées juste
en dessous de la surface du sol, avec le hile vers le bas. Nursery-grown plants are ready for transplanting when
20-30 cm tall. Plantes de pépinière sont prêts pour le repiquage lorsque
20-30 cm de haut. They can be established either
by planting directly from plastic bags or by removing from the nursery beds and
planting as bare-root stock. Elles peuvent être établies soit par la
plantation directement à partir de sacs en plastique ou en supprimant des lits
de la crèche et la plantation comme à racines nues. In the latter case, all leaves should be removed before
planting. Dans ce dernier cas, toutes les feuilles doivent être enlevés
avant la plantation.
Tree Management Gestion
des arbres
Young trees should be protected from heavy frosts
until they are well established. Les jeunes arbres doivent être protégés
contre fortes gelées jusqu'à ce qu'ils soient bien établis. Growth is slow. La croissance est lente. Pollarding and coppicing are suitable for E. abyssinica.
L'étêtage et le recépage sont adaptés à E. abyssinica. Trees should not be pruned until they are 1 year old.
Les arbres ne doivent pas être taillés jusqu'à ce qu'ils soient de 1 an. Frequent pruning will reduce the competitive effects of
hedgerows and increase the ratio of leaves to stems but will also increase
labour costs and reduce total tree biomass production. Taille fréquente
permettra de réduire les effets concurrentiels de haies et d'augmenter le ratio
de feuilles aux tiges, mais permettra également d'augmenter les coûts de
main-d'œuvre et de réduire la production totale de la biomasse des arbres. With its soft wood, E. abyssinica is somewhat easier to
prune than other species used in alley farming. Avec son bois tendre, E.
abyssinica est un peu plus facile à tailler que les autres espèces utilisées
dans l'agriculture en couloirs. It may be
advisable to grow the trees with shade-tolerant crops, rather than imposing a
severe pruning regime to favour shade-intolerant crops. Il peut être
conseillé de cultiver les arbres à l'ombre des cultures tolérantes, plutôt que
d'imposer un régime taille sévère pour favoriser intolérantes à l'ombre des
cultures. As a shade tree, it can be established
rapidly by planting large stakes, 2.5 m long and 8-10 cm in diameter.
Comme un arbre d'ombrage, il peut être établi rapidement en plantant des
piquets de grandes, de 2,5 m de long et 8-10 cm de diamètre. Stakes this size can produce a canopy of 3-4 m diameter
in 6 months. Enjeux de cette taille peut produire un dais de diamètre
3-4 m en 6 mois.
Germplasm Management Matériel
génétique de gestion
The seeds may be stored for long periods without
losing viability if kept cool, dry and insect free. Les graines peuvent
être stockées pendant de longues périodes sans perdre leur viabilité si
conservés au frais, sec et sans insectes. Seeds
that have been damaged by insects should be discarded. Les graines qui
ont été endommagés par des insectes doivent être jetés. Before storage, remnants of the pod should be removed
and the seeds sun dried for 1 day. Avant le stockage, les restes de la
nacelle doit être retiré et le soleil graines séchées pour 1 jour. Storage should be in a cool, dry place. De
stockage doit être dans un endroit frais et sec. For
long-term storage, seeds are kept in a low-temperature seed-storage facility
(approximately 5 deg. C and 30-40 rh). Pour stockage à long terme, les
graines sont conservées dans un faible température des graines installation
d'entreposage (environ 5 degrés. C et 30-40 hr). On
average, there are about 6800 seeds/kg. En moyenne, il ya environ 6800
graines par kg.
Products
Produits
Fodder: The foliage is considered a good protein
supplement for ruminants (cattle, sheep and goats) and has been used as a
fodder source for rabbits and pigs. Fourrage: Le feuillage est considéré
comme un supplément de protéines bon pour les ruminants (bovins, ovins et
caprins) et a été utilisé comme une source de fourrage pour les lapins et les
cochons. Apiculture: The tree provides bees with
forage. Apiculture: L'arbre fournit les abeilles avec du fourrage. Fuel: E. abyssinica trees may be cut for firewood.
Carburant: E. arbres abyssinica peut être coupé pour le bois de chauffage. Timber: The termite-resistant wood E. abyssinica is
soft, greyish-white, non-durable, susceptible to fungal attack, and with a
shot-silk effect. Bois: Le bois résistant aux termites E. abyssinica est
doux, blanc grisâtre, non-durables, sensibles à une attaque fongique, et avec
un effet coup de la soie. Although it is somewhat
woolly to work, it does not split when nailed but has poor nail-holding
ability. Bien qu'il soit peu laineux à travailler, il ne se fend pas au
clouage, mais a une mauvaise tenue des ongles capacité. It has been used to make stools, toys, drums, utensils,
mortars, beehives, pestles, boxes, picture frames, floors, shoes and for
construction. Il a été utilisé pour faire des tabourets, des jouets, des
tambours, des ustensiles, des mortiers, des pilons, des ruches, boîtes, cadres,
planchers, des chaussures et pour la construction. Tannin or dyestuff: The bark and roots yield useful
dyes. Tanin ou colorant: L'écorce et les racines donnent des colorants
utiles. Poison: Seeds of E. abyssinica contain a
curare-like poison that, if injected into the bloodstream, acts as an
anaesthetic that may cause paralysis and even death by respiratory failure.
Poison: Graines de E. abyssinica contiennent un poison curare comme ça, si elle
est injectée dans la circulation sanguine, agit comme un anesthésique qui peut
causer la paralysie et même la mort par insuffisance respiratoire. Medicine: Pounded parts are used in a steam form in
Kenya to treat diseases such as anthrax, and the bark is boiled with goat meat
for treating gonorrhoea. Médecine: des parties pilées sont utilisées
sous une forme de vapeur au Kenya pour traiter des maladies telles que
l'anthrax, et l'écorce est bouillie avec de la viande de chèvre pour le
traitement de la gonorrhée. The bark of the green
stem may also be pounded and then tied into a fine piece of cloth and the
liquid from it squeezed into the eyes to cure inflammation of the lids.
L'écorce de la tige verte peut aussi être pilonné et puis attaché en un beau
morceau de tissu et le liquide de la serra dans les yeux pour guérir
l'inflammation des paupières. The bark may be
roasted until black, powdered, and applied to burns and general body swellings.
L'écorce peut être rôti jusqu'à ce noir, en poudre, et appliqué à des brûlures
et des gonflements du corps en général. A
decoction is taken orally as an anthelmintic and to relive abdominal pains.
Une décoction est pris par voie orale comme vermifuge et pour revivre les
douleurs abdominales. The roots are used to treat
syphilis, and the leaves to cure skin diseases in cattle. Les racines
sont utilisées pour traiter la syphilis, et les feuilles pour guérir les
maladies de la peau chez les bovins. Other
products: The seeds are used to decorate trinkets, bracelets and necklaces.
Autres produits: Les graines sont utilisées pour décorer des bijoux, des
bracelets et des colliers.
Services Services
Erosion control: The species is used on stream
banks and for soil conservation terraces. Lutte contre l'érosion: Cette
espèce est utilisée sur les berges et pour les terrasses de conservation des
sols. Shade or shelter: E. abyssinica is grown as
a shade plant in coffee plantations and grazing fields. Abat-jour ou
d'un abri: E. abyssinica est cultivé comme une plante d'ombre dans les
plantations de café et les champs de pâturage. Nitrogen
fixing: The roots of trees are infected by Rhizobia nodulate and fix
atmospheric nitrogen. Fixation de l'azote: Les racines des arbres sont
infectés par des rhizobiums noduler et fixer l'azote atmosphérique. Soil improver: Leaf fall in the dry season is a source
of mulch. Améliorant du sol: La chute des feuilles pendant la saison
sèche est une source de paillis. Ornamental: The
tree is a popular ornamental in the tropics and subtropics. Ornement:
L'arbre est une plante ornementale populaire dans les régions tropicales et
subtropicales. Boundary or barrier or support: E.
abyssinica has the useful characteristic of sprouting from truncheons if cut
just before flowering, and so can be used to make a live fence. Boundary
ou de la barrière ou de soutien: E. abyssinica a la caractéristique utile de la
germination de matraques s'ils sont coupés juste avant la floraison, et peut
donc être utilisé pour faire une haie vive. Intercropping:
E. abyssinica is usually combined with annual crops, especially when it is
grown in rotation with coffee or cocoa. Les cultures intercalaires: E.
abyssinica est généralement combiné avec des cultures annuelles, surtout quand
il est cultivé en rotation avec du café ou de cacao.
Pests and diseases
Ravageurs et maladies
Defoliating insects are a major problem for E.
abyssinica. Les insectes défoliants sont un problème majeur pour E.
abyssinica. The tree is also attacked by a stem
borer, and the wood is susceptible to fungal attack. L'arbre est aussi
attaqué par un foreur de tige, et le bois est sensible aux attaques fongiques. Other insect pests include bruchid seed weevil and
chrysomelid leaf beetle. D'autres insectes nuisibles comprennent les
semences bruche charançon et chrysomèle chrysomèles. Leaf galls have been observed on the tree. Galles
foliaires ont été observés sur l'arbre.
Anderson GD. 1966. 1966. Rendement
de noix de coco augmentation et le revenu sur les sols sableux de la côte du
Tanganyika. Increasing coconut yield and income on the sandy soils of
the Tanganyika coast. Afrique de l'Est Agriculture
et des Forêts Journal. East African Agriculture and Forestry Journal. 32 (3) :310-314. 32(3):310-314.
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Source : www.worldagroforestry.org/sea/Products/AFDbases/af/asp/SpeciesInfo.asp?SpID=738
32) Pinus kesiya ·
Khasi
pine
From Wikipedia, the free encyclopedia
Khasi Pine |
|
Kingdom: |
|
Division: |
|
Class: |
|
Order: |
|
Family: |
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Genus: |
|
Subgenus: |
|
Species: |
P. kesiya |
The Khasi
Pine, Pinus kesiya,
is one of the most distributed pines in Asia. Its range extends south and
east from the Khasi hills in the northeast Indian state of Meghalaya from
where it got its name to northern Thailand, Burma, Laos,
southernmost China, Vietnam and
thePhilippines. The Khasi Pine population are
especially dense in India and Burma and quite sparse elsewhere in its natural
range. It is an important plantation species elsewhere in the world, including
in southern Africa and South America.[1]
In English it
is commonly known as either:
§
the Khasi Pine (from the Khasi hills in India)
§
the Benguet Pine (from the landlocked province of Benguet in Luzon,
the Philippines, where it is the dominant species of the Luzon tropical
pine forests)
§
the Three-needled Pine.
The Philippine population
(Benguet Pine) is sometimes known as Pinus
insularis; however, the current opinion is to treat these as conspecific
with P. kesiya. The city
of Baguio is
nicknamed "The City of Pines", as it is noted for large stands of
this tree.
Contents
[hide] |
Pinus
kesiya is a tree reaching up to 30–35 m tall with
straight, cylindrical trunk. The bark is thick, dark brown, with deep
longitudinal fissures. The branches are robust, red brown from the second year,
the branchlets horizontal to drooping. The leaves are needle-like, dark green, usually 3
per fascicle, 15–20 cm long, the fascicle
sheath 1–2 cm long and persistent. The cones are
ovoid, 5–9 cm long, often curved downwards, sometimes slightly distorted;
the scales of second-year cones are dense, the umbo a little convex, sometimes acutely
spinous. The scales have transverse and longitudinal ridges across the middle
of the scale surface. The seeds are winged, 6–7 mm long with a
1.5-2.5 cm wing. Pollination is in mid spring, with the cones maturing
18–20 months after.
Khasi Pine usually grows in
pure stands or mixed with broad-leaved trees, but does not form open pine
forests.
The soft and light timber of Pinus kesiya can be used for a wide range of
applications, including boxes, paper pulp, and temporary electric poles. It is
intensely used for timber, both sourced in natural forests and plantations.[2]
The good-quality resin is not abundant and has not been much
used except during the Spanish colonial period in the Philippines for the
production of turpentine.
Locally, the khasi pine is
called:
§
Ilokano: sáleng
§
Vietnamese:
thông ba lá
§
Conifer
Specialist Group (1998). Pinus
kesiya. 2006. IUCN
Red List of Threatened Species. IUCN 2006. www.iucnredlist.org. Retrieved on 05 May 2006.
1. ^ http://www.ceh.ac.uk/sections/documents/ENPinaceaeCM_000.pdf "Conifers of Vietnam - An
illustrated field guide for the most important forest trees", Pinaceae
section (published by the Centre for Ecology and Hydrology of the Natural
Environment Research Council, UK.
2. ^ Also in "Conifers of Vietnam - An illustrated
field guide for the most important forest trees", Pinaceae section,
pgs.42-43.
§
Gymnosperm
Database: Pinus kesiya
§
Suitability
of Pinus kesiya for tree-ring analyses
§
[1]
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Khasi_Pine
33) Pinus patula ·
Pinus patula à Maui |
|
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Pinus_patula
Patula
Pine, Pinus patula (Mexican weeping pine, pino llorón in
Spanish)(patula Latin = spreading) is a tree native to Mexico. It grows from 24° to 18° North
latitude and 1800 to 2700 m above sea level. 30 m tall. It does not stand long
periods of temperatures as low as –10°C, but resists occasional brief below
zero dips. It is moderately drought-tolerant, in this scope is superior than Pinus taeda. Rainfall range is from 750 to
2000 mm annual average, it happens mostly in summer but in a little area
of the State of Veracruz on
the Sierra Madre Oriental its
habitat is rainy year round.
Planted
at high altitudes in Ecuador (3500
m), Bolivia, Colombia (3300m), Kenya, Tanzania, Angola, Zimbabwe, Papua New Guinea, Hawaii(3000 m), in Hawaii it
is replacing the native alpine grassland. It is cultivated in at lower
altitudes than its origin country: Southern Brazil, South Africa, India, and in the Argentine provinces of Córdoba and San Luis[1] it
is planted for forestation purposes for creating forest in lands originally
covered by bushland. It has been introduced near sea level : New South Wales, Australia, where it spreads
naturally by wind and is very favored because rainfalls are more abundant in
summer. It was also introduced in New Zealand with commercial purposes is fully
naturalized. It is cultivated in United Kingdom as ornamental where it grows well.
Timber
is pale-pink to salmon, moderately soft, brittle and smelling strongly of aniseed when
freshly cut.
Pinus patula
Schiede ex Schlectendahl et Chamisso 1831
Common
names Mexican weeping pine, spreading-leaved pine, patula pine, pino patula,
pino chino (Wormald 1975).
Taxonomic
notes Two varieties:
1.
P. patula Schiede ex Schlechtendal et Chamisso var. patula. Type Mexico,
Veracruz: Cruz Blanca, "Inter Cruz blanca & Jalacingo," 1828.11,
Schiede and Deppe 1108 (lectotype, HAL). Syn.: Pinus
patula Schiede ex Schlechtendal et Chamisso var. macrocarpa M.T. Masters, Gard.
Chron., ser. 3, 9: 438,
fig. 92. 1891. Type. Gard. Chron., ser. 3, 9: 435, fig. 92. 189 1. (lectotype)
(Farjon and Styles 1997).
2. P. patula Schiede ex Schlechtendal et Chamisso
var. longipedunculata Loock ex Martínez, Pinos Mexicanos, ed. 2, 333, figs.
276-280, 1948. Type
Mexico, Oaxaca: Rancho Benito Juárez (Rancho Tablas), 1947.07, Loock 113a
(holotype, PRF-n.v.; isotype, MEXU) (Farjon and Styles 1997).
Farjon
and Styles (1997) provide the following notes on the history of the species and
its varieties: "Schlechtendal and Chamisso (1831) gave under C.J.W.
Schiede & F. Deppe 1108 a concise description of a 3-leaved pine, of which
they had seen no cones ('strobilo . . . nobis deficiente') in the material
presented to them. ... Gordon (1875) described Pinus patula (var.) macrocarpa
based on collections by C.J.W. Schiede with a cone size 'from 6-7 inches long
and 2 inches broad', which, if correct, would be quite outside the range of this
species as here defined. Masters (1891) formally published this combination and
provided an illustration of the cone. No specimen has been traced in the
herbaria to match the descriptions and/or the illustration. The illustration in
Masters (1891) is therefore designated as the lectotype. ... Martínez (1948)
ascribed his new variety P. patula var. longipedunculata to Loock, who coined
the name on the label of the type specimen. He described it as different from
'typical’ P. patula in having 2 resin ducts in the leaves instead of 3 and in
having pedunculate (5–15 mm) cones versus sessile cones. Perry (1991)
allows it occasionally 3 resin ducts."
Farjon
and Styles (1997) also report that "Styles (1976) concluded that 'it
agrees phenotypically in all botanical characters' with those mentioned by
Martinez (1940) under P. oocarpa var. ochoterenae and synonymized both under P.
patula. He later expressed a different view (Styles, 1984) but stopped short of
formally synonymizing these two taxa under his newly created combination P.
patula subsp. tecunumanii. From his determinations of specimens it appears that
P. oocarpa var. ochoterenae Martínez was treated as a synonym of P. patula
subsp. tecunumanii (see under P. tecunumanii), but that at least more-recently
collected material (Higman, Padilla & Styles 40) was again accepted as P.
patula (subsp.) longipedunculata. Observation in the field and study of type
material by A. Farjon confirm recognition of this taxon as a variety if
peduncle length is coupled with persistence and serotiny, which may point to
different adaptive traits between the two taxa." Note that Furman et al.
(1997) have used RAPD markers to show clear and substantial genetic differences
between P. patula and P. tecunumanii, establishing the latter as a good
species.
Closely
related species include P. greggii, P. jaliscana, P. oocarpa, P. praetermissa,
P. pringlei, and P. tecunumanii, all of which also are native to Mexico.
Description
Trees to 40 m tall and 100 cm dbh, usually with a single, straight,
slender trunk; in closed canopy stands, depth of the conical or domed crown
depth ca. 33%. Bark on young trees thin, scaly, red-brown, with age becoming
thick, dark grey-brown, rough and scaly with large elongated plates and deep
longitudinal fissures. First-order branches long, slender, spreading or
slightly ascending; higher order branches slender, drooping, the ultimate
branches pendent. Shoots rough and scaly when the leaf fascicles have fallen,
yellow- to red-brown, foliage shoots with prominent, decurrent pulvini.
Cataphylls subulate, recurved at apex, scarious, with erose-ciliate margins,
brown, early deciduous. Vegetative buds oblong to cylindrical, the terminal bud
15–20 mm long, the laterals shorter, brown, not resinous; the scales
spreading, subulate, ciliate at margins. Fascicle sheaths initially
20–30 mm long with 6-8 imbricate, chartaceous, white-yellow to
orange-brown scales, persistent but shortening to 12–15 mm in mature
fascicles, slowly weathering to grey-brown. Leaves in fascicles of 3-4(-5), in
drooping tufts, typically in two rows on either side of the upturned shoot,
persisting 2–3 years, thin, lax, drooping to pendent, (11-)15-25(-30) cm ×
0.7-0.9(-1) mm, serrulate at the margins, acute, pale green to dark green.
Stomata on all faces of the leaves, in 4-6(-7) lines on the convex abaxial face
and 2-3(4) lines on each adaxial face. The leaves are triangular in cross
section, the hypodermis usually with a double layer of cells; resin ducts
(1-)2-3(4), medial, occasionally 1 internal, stele oval in cross section; outer
walls of endodermal cells not thickened; vascular bundles 2, distinct, the
xylem strands often connate. Pollen cones crowded near the proximal end of new
shoots, spreading, subtended by scarious bracts, ovoid-oblong to cylindrical,
15-20 × 5–6 mm, pink-yellow, turning yellow-brown. Seed cones subterminal
or lateral, in whorls of 2 to many, rarely solitary, persistent or deciduous,
on short or moderately long (to 20 mm) peduncles. Immature cones ovoid, on
short or long recurved peduncles with persistent cataphylls, purple turning
light brown, maturing in two seasons. Mature cones narrowly ovoid when closed,
usually slightly curved, more or less asymmetrical at base, 5-10(-12) ×
(3-)4-6.5 cm when open. Seed scales 100-150, serotinous or parting some
time after maturing, tenacious or deciduous with the peduncle, (thin) woody,
oblong, usually curved when spreading, the proximal scales connate,
purple-brown to dark brown, with adaxial light brown marks left by seed wings.
Apophysis nearly flat to slightly raised, transversely keeled, more or less
gibbous on the proximal scales, more so on one side of the cone, rhombic, upper
margin acute or obtuse-rounded, abaxial surface striate or smooth, (lustrous)
ochraceous or yellow-brown. Umbo dorsal, flat or raised, often sunken into the
apophysis, 3–7 mm wide, grey, with a minute, deciduous prickle. Seeds
obliquely ovoid, flattened, 4-6 × 2–4 mm, dark gray. Seed wings
articulate, held to the seed by two oblique claws which partly cover the seed
on one side, obliquely ovate-oblong, 12-18 × 5–8 mm, light brown with dark
stripes (Farjon and Styles 1997).
1. ^ "Mexican conifers
in San Luis Province, Argentina".
§
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§
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§
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in South Africa. Proc. Aust. Paper Indus. Tech. Ass.
§
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Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Pinus_patula
34) Eucalyptus
robusta
From Wikipedia, the free encyclopedia
Swamp Mahogany |
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E. robusta by James Sowerby, from James Edward Smith's 1793 A Specimen of the Botany of New
Holland |
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Kingdom: |
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(unranked): |
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Order: |
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Species: |
E. robusta |
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Eucalyptus
robusta |
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Eucalyptus
robusta, commonly known as Swamp Mahogany, Swamp Messmate or Swamp
Stringybark,[1] is
a tree native to easternAustralia.
Contents
[hide] ·
5 Uses |
It grows as a tree to around
20–30 metres tall, with a straight trunk up to 1 metre in diameter. It has
long, spreading, irregular branches, and a dense canopy. It has stringy red-brown bark, 10–17
centimetre long green leaves, and white or cream flowers clustered in
inflorescences of from seven to 13 flowers.[2]
Specimens of E. robusta were first collected by First Fleet surgeon
and naturalist John White,
and published by James Edward Smith in his 1793 collaboration with George Shaw, Zoology and Botany of New Holland. Shortly
afterwards, the description was reprinted verbatim in Smith'sA
Specimen of the Botany of New Holland, and it is this
publication that is usually credited. Smith gave it the specific epithet robusta ("robust") in reference to
the size and strength of the full-grown tree.[3]
Synonyms include:[4]
§
Eucalyptus robusta var. bivalva Blakely
§
Eucalyptus robusta var. bivalvis (Blakely) Blakely
§
Eucalyptus robusta Sm. var. robusta
§
Eucalyptus multiflora Poir.
§
Eucalyptus multiflora Poir. var. multiflora
§
Eucalyptus multiflora var. bivalva Blakely
§
Eucalyptus multiflora var. bivalvis Blakely
A number of hybrids have
been reported.[4]
This species occurs in
swamps and alongside estuaries in a narrow coastal strip, usually within a few
kilometres of the ocean, fromRockhampton, Queensland south
to Jervis Bay, New South Wales.[2] It
is widely planted as a timber tree, and is considered to be invasive inHawaiʻi and Réunion.[5]
Eucalyptus
robusta appears to be one of several key species of eucalypt for the koala in Noosa
Shire in Queensland.[6]
Its heartwood is extremely
durable, and highly resistant to marine borers. It is used as a round timber
for construction of wharves and fencing.[2].Light reddish brown caller &
coarse textured wood.Weight is 48 lbs per cubic foot.
|
Wikisource has original text related to
this article: |
1.
^ "Australian
Plant Common Name Database". Australian
National Botanic Gardens. Retrieved 2007-07-15.
2.
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3.
^ Smith, James Edward (1793). A
Specimen of the Botany of New Holland. London: James Sowerby.
4.
^ a b "Eucalyptus
robusta Sm.". Australian
Plant Name Index (APNI), IBIS database. Centre for Plant Biodiversity
Research, Australian Government.
5.
^ Pacific Island Ecosystems at Risk (PIER) Species info: Eucalyptus
robusta. Retrieved 2009-11-02.
6.
^ Callaghan, J.; McAlpine, C.;
Mitchell, D.; Thompson, J.; Bowen, M.; Rhodes, J.; De Jong, C.; Domalewski, R.
et al. (2011). "Ranking and mapping koala habitat quality for conservation
planning on the basis of indirect evidence of tree-species use: A case study of
Noosa Shire, south-eastern Queensland". Wildlife Research 38 (2): 89-102. doi:10.1071/WR07177. edit
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Eucalyptus_robusta
35) Eucalyptus grandis
Eucalyptus grandis dit gommier rose est un arbre de taille moyenne à
grande, à l'écorce lisse, rugueuse, fibreuse ou floconneuse à la base, de
couleur gris à gris-brun.
Les feuilles sont pétiolées, lancéolées,
discolores, de 15 cm de
long sur 3 cm de large, d'un vert foncé brillant.
Les fleurs blanches apparaissent du milieu de l'automne à la fin de l'hiver.
E. grandis pousse dans les zones côtières et
sous-côtière s'étendant de Newcastle en Nouvelle-Galles du
Sud vers le nord
jusqu'à l'ouest de Daintree dans le Queensland, essentiellement sur terrain plat
et à faibles pentes.
C'est un arbre attrayant, simple à cultiver et
très demandé en dehors de l'Australie pour son bois et ses fibres.
Sa croissance rapide et la qualité de son bois
fait qu'il est cultivé dans de nombreux pays au monde (Amérique du Sud,
Afrique) pour la fabrication de meubles, y compris de jardin, de plancher ou de
palettes.
§
Référence Flora of China : Eucalyptus grandis (en)
§
Référence Catalogue of Life : Eucalyptus grandis W. Hill ex
Maiden (en)
§
Référence Tela Botanica (La Réunion): Eucalyptus grandis W. Hill ex
Maiden (fr)
§
Référence NCBI : Eucalyptus grandis (en)
§
Référence GRIN : espèce Eucalyptus
grandis W. Hill ex Maiden (en)
Eucalyptus grandis |
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Répartition géographique |
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|
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Eucalyptus_grandis
36) Eucalyptus citriodora
Corymbia citriodora, l'eucalyptus citronné, est une espèce du genre Corymbia.
C'est un grand arbre de 50 mètres de haut dont
son feuillage dégage une odeur citronnée. Son écorce est fibreuse, grise ou
gris brun se détachant en longs rubans. Les petites branches sont de couleur
verte. Les feuilles sont vertes, concolores, étroites, lancéolées, terminées en
pointe et mesurent 7 à 15 centimètres de long sur 0,7 à 1,5 de large. Elles
dégagent une odeur de menthe poivrée lorsqu'elles sont malaxées. Les fleurs
sont regroupées par 11 à 20. Elles apparaissent en été (octobre à janvier) et
sont de couleur jaune crème.
Il doit son nom à la forte odeur de citron que
dégage son feuillage.
Il était précédemment classé parmi les Eucalyptus d'où son nom vernaculaire.
Origine/Habitat : Amérique du Sud, Chine,
régions tropicales et tempérées de l'est de l'Australie] (voir carte).
On extrait l'huile essentielle des feuilles et
des rameaux qui a des vertus médicinales
Principes actifs connus de l'huile essentielle de
feuilles et de rameaux: Aldéhydes (citronnellal), eucalyptol(3%),
Alcools : citronnellal, géraniol
Principales propriétés de l'huile essentielle de
feuilles et de rameaux (usages externes): Anti-inflammatoire et
antirhumatismal puissant - Antalgique – Antispasmodique Antivirale - Apaisante
cutanée - Calmante – Fongicide - Hypotensive – Sédative
§
Eucalyptus citriodora Hook.
§
Référence Catalogue of Life : Corymbia citriodora (Hook.)
K.D. Hill & L.A.S. Johnson (en)
§
Référence NCBI : Corymbia citriodora (en)
§
Référence GRIN : espèce Corymbia
citriodora (Hook.) K. D. Hill & L. A. S. Johnson (en)
§
Référence Flora of China : Eucalyptus citriodora (en)
§
Référence Tela Botanica (Antilles) : Eucalyptus citriodora Hook. (fr)
§
Référence ITIS : Eucalyptus citriodora Hook. (fr) ( (en))
Corymbia citriodora |
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Corymbia citriodora |
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Répartition géographique |
|||
|
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Corymbia_citriodora
37) Eucalyptus camaldulensis
Le Gommier
de Camaldoli ou Gommier des rivières (Eucalyptus camaldulensis)
est une espèce d'arbre du genre Eucalyptus que l'on trouve dans de nombreuses
parties du monde mais qui est originaire d'Australie où
il est largement répandu au bord des rivières de l'intérieur du pays.
Curieusement, il tire son nom latin du monastère de Camaldoli près de Naples,
lieu où il a été décrit pour la première fois.
C'est un arbre familier du bord de nombreuses
rivières australiennes. L'arbre fournit une ombre bienvenue lors des fortes
chaleurs rencontrées dans le centre de l'Australie et joue un rôle important
dans la stabilisation des rives en fixant le sol et limitant l'érosion.
Sommaire
[masquer] |
Il a une hauteur d'une vingtaine de mètres mais
il peut aller jusqu'à 45 m. Son écorce, épaisse (3 cm), légère, est tachetée de
rouge, de gris, de vert et de blanc.
Il a un surnom lugubre; le « faiseur de
veuves » car comme l'orme il a la mauvaise habitude de perdre
sans prévenir d'énormes branches. Moyen d'économiser l'eau ou fragilité du
bois?
Une variéte bizarre: le "Greenough" a
une croissance inhabituelle, en poussant à l'horizontale dès qu'il a atteint
une hauteur d'environ 2 m.
Greenough
Les troncs de Gommiers rouges tombés dans les
rivières comme la Murray jouent
un rôle important dans l'équilibre écologique en servant d'abri et de
nourriture aux poissons comme la morue de Murray(Maccullochella peelii
peelii). Malheureusement, la plupart des troncs sont retirés de la rivière
ce qui ne permet pas le développement des poissons.
Les graines fraîches ou conservées au froid et au
sec de "E. camaldulensis" germent facilement. La jeune plante devient
très rapidement résistante à la sècheresse même dans les tubes de culture. Elle
peut faire un excellent bonsaï et
pourra repartir facilement aussi bien du pied que par ses bourgeons dormants si
les conditions changent.
C'est un des eucalyptus les plus cultivés au
monde (5000 km² de plantation en 1980). On le trouve en Argentine, Brésil, Burkina Faso,Égypte, Espagne, Kenya, Maroc, Nigeria, Pakistan, Sénégal, Sierra Leone, Sri Lanka, Soudan, Tanzanie, Uruguay, États-Unis (Arizona etCalifornie) et Zimbabwe.
Un gommier des rivières vieux de 700 ans, en Nouvelle-Galles-du-Sud
Bois de gommier rouge
Le gommier rouge doit son nom à son bois d'un
rouge brillant, qui peut aller d'un rose pâle à un rouge très foncé, presque
noir, selon l'âge du bois et les conditions climatiques. Il est assez cassant
et noueux ce qui le rend difficile à travailler. Il est utilisé
traditionnellement pour faire des piquets, des clôtures ou des traverses. Il
commence à être utilisé en ébénisterie d'art pour sa couleur et ses nervures
contournées. Il faut faire très attention à la sélection des bois car il est
très sensible aux variations d'humidité de l'air. Dense (environ 900 kg/m³), il
est assez dur, il se taille et se polit bien. C'est un bois apprécié des
ébénistes lorsqu'il est vieux et bien sec.
C'est aussi un bois de chauffage très apprécié.
Il est utilisé pour faire du charbon de bois que l'on emploie dans les aciéries
brésiliennes. Il est aussi utilisé au Brésil dans la fabrication des ruches.
§
Référence Flora of China : Eucalyptus camaldulensis (en)
§
Référence Florabase (Australie Ouest) : classification Eucalyptus
camaldulensis (+description) (en)
§
Référence Catalogue of Life : Eucalyptus camaldulensis Dehnh. (en)
§
Référence Tela Botanica (France métro) : Eucalyptus camaldulensis Dehnh.,
1832 (fr)
§
Référence Tela Botanica (La Réunion): Eucalyptus camaldulensis Dehnh. (fr)
§
Référence ITIS : Eucalyptus camaldulensis Dehnhardt (fr) ( (en))
§
Référence NCBI : Eucalyptus camaldulensis (en)
§
Référence GRIN : espèce Eucalyptus
camaldulensis Dehnh. (en)
·
Arbre
·
Arbre
de climat méditerranéen
·
Arbre
de climat tempéré océanique
| [+]
Eucalyptus camaldulensis |
|||
Retrouvez ce
taxon sur Wikispecies |
|||
|
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Eucalyptus_camaldulensis
38) Acacia mangium
·
•
Il pousse très vite et peut atteindre
• Il peut être invasif!
• Il a la particularité de fixer l'azote atmosphérique => destinés aux sols pauvres en azote.
• Son bois permet de fabriquer du mobilier, des placages, du contreplaqué et des panneaux de particules. Il est aussi utilisé comme bois de construction léger, pour les encadrements l’huisserie, le renforcement de fenêtres, pour une utilisation extérieure, pour les poteaux (s’il est traité). Il peut servir de matière première pour la pâte à papier.
• Il peut servir à fournir du fourrage.
• Il
peut servir pour la fabrication de linoléum, d’un succédané du
caoutchouc, l'impression et l'encre d'estampage.
• Pour climats tropicaux (plutôt humides).
• peu attaqué par des maladies, sauf par endroits, par la pourriture du cœur (pourridié). Peut casser par vent fort.
Source : http://hal.archives-ouvertes.fr/docs/00/42/92/82/PDF/Acacia-mangium.pdf
39) Acacia
crassicarpa
Acacia crassicarpa (Northern Wattle, Thick-podded Salwood, Brown Salwood, Papua New Guinea Red Wattle, Red Wattle; syn.Racosperma crassicarpum (A.Cunn.
ex Benth.) Pedley.) is a tree native to Australia (Queensland), West Papua (Indonesia) and Papua New Guinea.
§ Australian Government
Department of the Environment and Water Resources: Acacia crassicarpa
§ 2006 IUCN Red List of
Threatened Species: Acacia crassicarpa
|
Wikispecies has information related to: Acacia crassicarpa |
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Acacia crassicarpa |
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Kingdom: |
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Order: |
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Family: |
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Genus: |
|
Species: |
A. crassicarpa |
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Acacia_crassicarpa
1.
↑ Zipcodezoo (em inglês). Acacia crassicarpa. Página visitada
em 12 de novembro de 2010.
§ Anthony E. Orchard & Annette J.
G. Wilson: Flora of Australia: Mimosaceae Acacia, Band 11, Teil 1: Mimosaceae,
Acacia, Csiro Publishing, 2001, 673 Seiten ISBN 9780643057029
§
Clement, B.A., Goff, C.M., Forbes, T.D.A. Toxic Amines and Alkaloids
from Acacia rigidula, Phytochem. 1998, 49(5),
1377.
§
Shulgin, Alexander and Ann, TiHKAL the Continuation. Transform Press, 1997. ISBN 0-9630096-9-9
§ Stephen Midgley, Peter Stevens, Ben
Richardson, Paul Gioia & Nicholas Lander: WorldWideWattle - Webseite über
die Akazien, mit einem Schwerpunkt auf die australischen Arten.
§ Wayne's Word on
"The Unforgettable Acacias"
§ Flora identification
tools from the State Herbarium of South Australia
§ FAO Timber Properties
of Various Acacia Species
Source : http://pt.wikipedia.org/wiki/Acacia_crassicarpa
40) Acacia
auriculiformis
From Wikipedia, the free encyclopedia
Earleaf acacia |
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Kingdom: |
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Order: |
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Family: |
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Genus: |
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Species: |
A. auriculiformis |
Acacia auriculiformis, commonly known as Auri, Earleaf acacia, Earpod wattle, Northern black wattle, Papuan wattle, Tan wattle, is a fast-growing,
crooked, gnarly and thorny tree in the family Fabaceae. It is native to Australia, Indonesia, and Papua New Guinea. It grows up to 30m tall.[1] Acacia
auriculiformis has about 47
000 seeds/kg.[2]
Flowers & leaves in Kolkata, West Bengal, India.
This plant is raised as an ornamental plant, as a shade tree and it is also
raised on plantations for
fuelwood throughout southeast Asia Oceana and in Sudan.
Its wood is good for making paper,furniture and tools.
It contains tannin usesful
in animal hide tanning. In India,
its wood and charcoal are widely used for fuel. Gum from the tree is sold
commercially, but it is said not to be as useful asgum arabic.[1] The
tree is used to make an analgesic by
indigenous Australians.[3] Extracts
ofAcacia auriculiformis heartwood inhibit
fungi that attack wood.[4]
1. ^ a b Purdue University
2. ^ "Growing Process of Tropical Trees-(Compiled
Version)". ftbc.job.affrc.go.jp.
Retrieved 2008-04-26.
3. ^ Analgesic Plants Australian New Crops Newsletter
4. ^ Active antifungal substances from natural sources
§
Pacific Island Ecosystems at Risk (PIER): Acacia
auriculiformis
§
Purdue University: Acacia
auriculiformis
|
Wikimedia Commons has media related to: Acacia
auriculiformis |
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Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Acacia_auriculiformis
41) Terminalia mantaly
Nom
vernaculaire : Terminalia Mantaly
Famille :
Combretaceae
Genre :
Terminalia
Espèce :
mantaly
Description
de l’espèce :
Le
Terminalia Mantaly est un arbre qui peut atteindre 10 à 15 mètres de hauteur.
Ses branches
sont
étagées. Elles ont la forme d’un parasol. A la base, les branches sont longues
et au
sommet
elles sont courtes. Son tronc est ramifié.
Les
feuilles :
Les
feuilles sont simples. Elles sont en bouquet. Les nervures sont pennées. Le
pétiole est
court. Sa
marge est crénelée. Il y a des domaties sur une face.
Les bourgeons avec les
feuilles naissantes et les fleurs. |
Voici des
feuilles et un fruit du Terminalia Mantaly. |
Feuille du Mantaly avec des
domaties. |
|
Source : http://sciencesecole.ac-reunion.fr/dossiersherbier/2004_2005/Notre-arboretum-lucas.pdf
42) Anacardier (noix de
cajou)
L'anacardier (Anacardium occidentale) est un petit arbre de la famille des Anacardiaceae.
Originaire d'Amérique du Sud, c'est un arbre à la cime
évasée ne dépassant pas 12 m de haut. Les feuilles simples sont persistantes,
alternes, ovales et coriaces. Les fleurs blanches teintées de rose, parfumées,
sont réunies en inflorescences terminales.
Les fruits ont
une coque âcre et toxique qui abrite une amande blanche,
comestible, la noix de cajou. Ils se forment sous un
pédoncule gonflé, charnu et juteux nommé « pomme de cajou ».
Il est aujourd'hui largement cultivé en Afrique, aux Antilles, dans le Nordeste brésilien, en Asie du Sud Est et en Inde.
La noix de cajou est la principale exportation de la Guinée-Bissau.
Anacardiers au Brésil
Détail d'un tronc d'anacardier
Anacardium occidentale
Détail de fleurs d'anacardier
§
Pomme de cajou : le faux-fruit ;
§
Noix de cajou : le fruit.
§
(en) Organiccashewnuts.com :
Entreprise de commerce équitable ayant développé la culture de cajou biologique au Sénégal ;
§
Anacardium.info : Le portail de la
production du cajou au Bénin.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Anacardier
43) Katrafay
- Cedrelopsis Grevei
Code |
SAP1 |
Classe |
DICOTYLEDONES |
Ordre |
SAPINDALES |
Famille |
Pteroxylaceae / Rutaceae |
Nom scientifique |
Cedrelopsis grevei (syn. Katafa crassisepalum) |
Nom commun |
-
Malagasy : Katrafay, Katafa, Mantaora, Katrafay dobo, Katrafay filo |
Description |
-
Arbre ou arbuste à port élancé, 2-15 m de hauteur, 10-20 cm de diamètre |
Habitat |
- forêts à didiéracées, bush à euphorbes et didiera; forêts tropophiles, xérophiles et même ombrophiles; 0-900 m d'altitude. |
Période de floraison |
- Septembre - décembre. |
Période de fructification |
-Août - décembre. |
Répartition géographique |
-
Ouest et Sud de Madagascar |
Utilisation |
-
Bois imputrescible : bois de tranchage, ébénisterie, menuiserie fine, parquet
de luxe, tournerie, poteaux support de lignes électriques; contre maux de
tête |
Statut et mesure de conservation |
-
Espèce endémique menacée (Association Nationale pour la Gestion des Aires
Protégées) |
Menaces |
- Principales menaces pour la
survie de l'espèce : dégradation ou perte de l'habitat par déforestation et
feux de végétation; surexploitation. |
Source |
- Blaser, J. et al. 1993.
Akon'ny ala. Numéros 12 et 13. Département des Eaux et Forêts de l'Ecole
supérieure des sciences agronomiques. Antananarivo. Madagascar. |
Cedrelopsis
grevei
Source : http://www.pnae.mg/ie/kit_region/melaky/flore/cedrelopsis_grevei.html
Le Katrafay de
Madagascar appartient à la famille des Lauracées, famille spécifique à
l'Afrique australe et à Madagascar. Cette plante se trouve
surtout dans le Sud et le Sud-Ouest de l'île, dans les
régions sèches. Elle peut faire jusqu'à 15m de haut et se distingue par ses fleurs jaunes.
Très connu par les
habitants de l'île comme plante médicinale, elle est un remède
efficace contre les maux de tête et les maux de gorge.
Une huile aux
vertus tonifiante et anti-inflammatoire est aussi extraite du Katrafay, Elle
est particulièrement préconisée dans les cas de fatigue ou d'arthrite.
Source : http://www.deyrollepourlavenir.com/component/content/article/297/1593-le-katafray-de-madagascar
44) Sarongoza
(Colvillea
racemosa)
Colvillea racemosa est une espèce de légumineuses
dans la Fabaceae
famille. It is found only in Madagascar
. Il se trouve que dans Madagascar.
Its genus is named for Sir Charles
Colville , an ex Governor of Mauritius
. [ 1 ] Son
genre est le nom de Sir Charles
Colville , un ancien gouverneur de l'île Maurice
. [1]
1.
^
Dictionary - Backyard gardener ^
Dictionnaire - jardinier Backyard
Sources : 1) http://en.wikipedia.org/wiki/Colvillea_racemosa
3) « Pour promouvoir les plantatation d’arbres », Blaise Cook, Christian Burren, Michel J. Rakotoniaina, édité par USAID, à Antananarivo, Madagascar. Pages 40 et 41 => Ce document est disponible (et la fiche associée sur le Sarongoza), en téléchargement libre, sur le site Internet : www.projetsreforestation.co.nr
A
compléter.
45) Ebènes
·
Choisir
les ébènes malgaches (de préférence).
A
compléter.
Aller à :Navigation,rechercher
Nom vernaculaire ou Le terme « Ébène »
s'applique, en français, |
Ébène |
Une forêt d'Ebènes |
Taxons concernés |
Parmi la famille des Ebenaceae : §
Espèces : |
L'ébène (nom
féminin) est le nom donné au bois de cœur ou duramen produit
par plusieurs espèces d'arbres de la famille des Ebenaceaeappartenant au genre Diospyros, appelés ébéniers, ainsi que certains
arbres du genre Dalbergia. Ils se rencontrent dans les
régionstropicales de
l'Ancien Monde et
sont connues depuis la plus haute Antiquité pour
la couleur noire de leur bois.
Les caractéristiques principales de l'ébène sont
sa couleur noire et sa densité élevée. Aussi trouve-t-on des échantillons
d'ébène plus ou moins foncés et durs.
Seuls les Diospyros à bois noir ou approchant le noir
peuvent prendre l'appellation d'ébénier. Les plaqueminiers (Diospyros kaki), par exemple,
bien que très proches dans la classification botanique, n'en sont pas.
Le mot ébène (du genre féminin) est dérivé du
latin ebenus, lui-même du
grec ebenos (mot d'origine égyptienne hbnj) qui désignait déjà ce
bois1 à l'époque de l'Égypte pharaonique,
où il entrait dans la composition de petits objets précieux de toutes sortes.
Sommaire
[masquer] ·
2 Bois |
Habitat
montagne chaudes et
caillouteuses.
Haut de 25 à 30 m (dimensions d'un chêne) pour un fût de 7 à 10 m et un diamètre de moins
d'un mètre.
Seuls les pieds femelles seraient réputés pour
avoir une bonne ébène de couleur noire assez stable avec très peu (ou pas) de
veines blanchâtres.
§ Bois précieux très noir ou veiné. Grain très fin, bois très
lourd. Fil droit, coupe nette, très sec sous l'outil et fendage franc. Finement
pailleté d'incrustation de cristaux d'acide oxaliquequi lui donnent son aspect
scintillant si particulier à la lumière. Poli parfait, luisant, très lisse, mat
ou brillant, très lourd (densité de 1,00 à 1,10) débardé en bûches purgée d'aubier de
taille suffisante pour être portées par un homme (30-70 kg) puis lié à d'autres
espèces moins denses pour assurer sa flottabilité.
§ Botanique, espèces :
§ Ébène des Indes, Diospyros
ebenum (Inde, Ceylan). Exportation quasi-impossible (espèce protégée) et
seules de petites pièces de lutherie finies peuvent être exportées.
§ Ébène de Madagascar Diospyros
perrieri (Madagascar, Maurice). C'est la variété qui fut la plus
utilisée pour les meubles français des XVII° et XVIII° siècles.
§ Ébène du Gabon Diospyros
crassiflora (Gabon, Cameroun). C'est la variété la moins
noire ; elle est même parfois veinée de blanc.
Bien que son nom commercial reste parfois ébène du Mozambique2, la grenadille
d'Afrique n'est plus considérée comme une ébène, appellation désormais réservée
à un nombre limité de bois produits par le genre Diospyros, plus fragiles et d'apparence
plus mate.
Sculpture en ébène (art africain)
§ Travaillée en ébénisterie, sculpture, lutherie, marqueterie, coutellerie, et dans des jeux (échecs,
dames...) sous forme de bois massif, en feuillets ou en placage scié. Elle est
également utilisée pour la conception d'instruments de musique tels la flûte à bec, la clarinette, lehautbois, la touche des instruments à cordes
et certaines baguettes de tambour.
Dès le xiie siècle,
l'ébène était considérée en Europe comme un bois des plus précieux. Elle était
employée à la fabrication de petits objets (coffrets, manches de couteaux, jeux
d'échecs, etc.)
Au xviie siècle,
on réussit à la débiter en plaques très minces que des spécialistes collaient
sur des meubles richement décorés.
En France, les ouvriers qui travaillaient le bois
étaient groupés, depuis le xie siècle, en deux corporations :
celle des charpentiers, pour le gros œuvre et
celle des menuisiers, pour les objets plus petits (meubles, huisserie, parquet, etc).
Mais là, c'était un travail de haute précision,
qu'aucune de ces deux corporations ne savait pratiquer. Les premiers ébénistes
vinrent des Pays-Bas. Dans la hâte, il fallut donc créer,
à Paris, en 1743 la corporation des ébénistes. En 1789, lors des États Généraux,
cette corporation parisienne comptait déjà officiellement 1 142 membres.
Ils s'étaient regroupés naturellement dans le faubourg
Saint-Antoine à deux
pas de laBastille.
1.
Définitions lexicographiques [archive] et étymologiques [archive] de
« ébène » du CNRTL.
2.
Bois pour la fabrication des instruments à vent sur le
site prosono.co.za [archive]
Sur les autres projets Wikimedia :
·
« Ébène », sur le Wiktionnaire(dictionnaire universel)
§ Bois d'ébène, euphémisme qui
était utilisé par les négriers pour désigner les esclaves noirs déportés aux
Amériques.
| [+]
Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89b%C3%A8ne
Diospyros perrieri Jumelle
Ann. Inst. Bot.-Geol. Colon. Marseille 16: (1907).
A
compléter.
Source :
http://www.efloras.org/florataxon.aspx?flora_id=12&taxon_id=250074216
46)
Palissandre ·
Plusieurs
variétés (choisir les espèces malgaches).
A
compléter.
L'appellation de palissandre regroupe différentes essences de bois du genre Dalbergia poussant sous les tropiques, notamment au Brésil, enInde,
en Amérique ou
à Madagascar parmi
lesquelles l'espèce la plus recherchée est Dalbergia
negra appelée en
France « palissandre de Rio » et au Brésil Jacaranda da Bahia.
Le palissandre est un bois très dense et très dur, pouvant avoir
différentes couleurs. Ses grandes qualités tant mécaniques que visuelles en ont
fait un bois très recherché dès le xviiie siècle pour
réaliser notamment des meubles de grand standing et des instruments de musique
(le bassonfrançais est en palissandre de Rio, certaines
clarinettes, les chevilles et le bouton du violon, alto, violoncelle, contrebasse, les lames dexylophone et
de marimba également).
C'est aussi un bois souvent utilisé pour faire des sculptures puisque,
malgré sa solidité, il est assez facile à sculpter. Les pièces
« noires » des jeux d'échecs haut de gamme sont ainsi souvent
réalisées en palissandre.
Victime de la surexploitation, le commerce du
palissandre de Rio est désormais totalement interdit pour tous les spécimens
coupés après 1992.
Cette interdiction du palissandre de Rio, la
rareté des stocks et le prix astronomique des rares planches apparaissant sur
le marché ont conduit les luthiers à se tourner vers le palissandre indien et
beaucoup de guitares classiques possèdent des éclisses et
un fond en palissandre indien.
La touche des manches de guitares électriques est
souvent de palissandre, alors que beaucoup d'autres instruments à cordes, tel
le violon, utilisent plutôt l'ébène pour
la touche, plus lourd mais plus dur encore que le palissandre.
Dans la liste des anniversaires de
mariage, les noces
de palissandre sont célébrées
après 65 ans de mariage.
Articles
connexes[modifier]
§
Liste
des essences forestières tropicales
§
CITES
Source :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Palissandre
Annexe : autres arbres à étudier :
Gluta turtur (Tontôrogno ou Toro-toro) :
Bois d’œuvre utilisé pour les sculptures. Il appartient à la même famille que le manguier. Le Tontôrogno pousse généralement à Antsaravy.
A
compléter.
Source : http://www.woodworkerssource.com/show_properties.php?wood=Gluta%20turtur
Chlorophora graceana - vory ·
Pratiquement
aucune donnée sur Internet (une information dans livre Fiches techniques pour promouvoir les plantations des arbres,
Blaise Cooke, Christian Burren et Michel Rakotoniaina).
A
compléter.
Melia azedarach (lilas de Perse ou lilas des Indes ou arbre à chapelets) ·
(voandelaka à Madagascar).
Le Mélia azedarach appelé aussi lilas de Perse, est une espèce d'arbres à feuillage caduc de la famille des Meliaceae (même famille que l'acajou et le cedrela). Originaire d'Inde, du sud de la Chine et d'Australie, elle est parfois confondue avec le margousier (Azadirachta indica). Elle peut l'être aussi avec un hybride de lilas, Syringa ×persica, également appelé « lilas de Perse ».
Le nom spécifique, « azedarach », provient de la contraction du nom persan de cette espèce, « azad-dhirakt » signifiant « arbre noble ».
Cet arbre, à la couronne arrondie, mesure de 7 à 12 mètres de hauteur.
Son écorce marron, crevassée verticalement, laisse apparaître l'aubier jaune clair.
Les feuilles alternes à long pétiole mesurent jusqu'à 50 cm de long. Elles sont doublement composées. Les foliolules sont de couleur vertefoncé dessus et vert plus clair dessous, avec des marges serrulées. Elles sont supérieures à 1 cm. Elles ressemblent aux feuilles du savonnier.
Les fleurs poussant en grappes sont petites et parfumées. Elles ont cinq pétales rose ou violet qui fait ressembler l'arbre à un lilas d'où son surnom de "Lilas de Perse".
Le fruit est une drupe jaune suspendu sur l'arbre tout l'hiver en devenant de plus en plus ridée et presque blanche. Le noyau de la drupe est blanc et strié dans le sens de la longueur, il contient quatre petites graines ressemblant à des grains de riz noir.
Ce sont des arbres à croissance rapide poussant de préférence en région chaude (Zone USDA 10) mais qui préfèrent les sols humides. Ils peuvent toutefois supporter brièvement des températures allant jusqu'à -10°C.
Les feuilles sont utilisés comme un insecticide naturel souvent associé au stockage d'aliments mais ces feuilles ne doivent pas être consommées car elles sont très toxiques. La simple présence d'un tapis de branches feuillues de Melia dans une serre constitue un excellent répulsif à insectes. De la même façon, la présence d'un melia dans une zone permet de réguler naturellement la quantité d'insectes en cas de pullulation. On peut également réaliser un purin de feuilles (ou mieux de graines moulues) qui après avoir mariné 24 heures dans l'eau et auquel on aura ajouté un « mouillant » (type savon noir) constitue un excellent insecticide (contre pucerons, chenilles, mouches mineuses, aleurodes, araignées rouges) et antifongique (contre l'oïdium, fusariose, rouille). La rémanence est de 4 à 7 jours.
L'espèce est principalement utilisée pour son bois de moyenne densité dont la couleur varie du brun au rouge foncé. En apparence, il est facilement confondu avec le teck (Tectona grandis). Melia azedarach comme les autres membres de la famille des Meliaceae a un bois de haute qualité (résistant aux insectes xylophages est employée en ébénisterie et pour la confection d'instruments de musique), mais contrairement à de nombreux autres espèces quasi-éteintes d'acajou elle est sous-utilisée.
Le lilas de Perse, largement planté en Asie comme arbre de temple, est actuellement utilisé en tant qu’arbre de reboisement en Chine, en Inde, en Amérique du Sud et Centrale. Il a été naturalisé à Madagascar où il est très présent à Antananarivo, il s'y appelle « voandelaka ».
Aussi connu sous le nom de « Ghoda neem » (Neem des chevaux) en bengali ou « Vilayati neem » (Neem étranger) dans la région du Bundelkhand (centre de l'Inde), on la confond souvent avec le neem (Azaderachta indica) ou margousier mais ses feuilles ne sont pas aussi amères que le neem.
Les graines à 5 côtés ont la particularité de présenter un trou en leur centre. Ce qui fait qu'elles étaient utilisées pour en faire des chapelets et d'autres produits nécessitant des perles. C'est d'ailleurs pourquoi cet arbre est parfois appelé « arbre à chapelets ».
Les fleurs sont peu attractives pour les abeilles et les papillons mais intéressent parfois certaines espèces de colibri.
Toutes les parties de l'arbre sont toxiques en raison de leur teneur en azadirachtine. Un insecticide est fait avec fruits et écorce.
Les fruits sont toxiques pour les humains s'ils sont consommés en quantité. Les premiers symptômes d'intoxication (perte d'appétit, vomissements, constipation ou diarrhée, selles sanglantes, douleurs à l'estomac, congestion pulmonaire, arrêt cardiaque) apparaissent quelques heures après l'ingestion. Le décès survient après environ 24 heures.
L'espèce a été introduite vers 1830 comme plante ornementale aux États-Unis (Caroline du Sud et Géorgie) et largement plantés dans le sud du pays. Aujourd'hui, elle est considérée comme une espèce invasive dans le nord, jusqu'à la Virginie et l'Oklahoma. Mais les pépinières continuent à vendre les arbres, et les graines sont également largement disponibles.
Outre le problème de toxicité, son utilité comme arbre d'ombrage dans les zones urbaines est diminuée par sa tendance à rejeter de souche et à rendre les trottoirs glissants lors de la chute des fruits.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Melia_azedarach
Source : http://tice2.univ-reunion.fr/florecampus/utilisation62.html
Référence Flora of China : Melia azedarach (en)
Bibliographie:
A) Livres à consulter sur les arbres malgaches ou candidats à la reforestation à Madagascar :
1. Plantes de Madagascar, Atlas, Lucile Allorge, ULMER, 2008.
2. Pour promouvoir la plantation des arbres, Fiches techniques, Blaise Cook, Christian Burren, Michel J. Rakotoniaina, USAID, Madagascar, 2007.
3. Choix des essences pour la sylviculture à Madagascar, Blaser, Jürgen; Rajoelison, Gabrielle; Tsiza, Germaine; Rajemison, Manitra, 1993, revue Akon'ny Ala, n° 12-13, 993/12. - 166 P., Bulletin du département des eaux et forêts de l'E.S.S.A., http://cersae.mg/v01435_BLA.pdf (disponible à l'ONE (Office National pour l'Environnement) - Antaninarenina, Antananarivo - Madagascar).
4. Bois d’oeuvre de l’Afrique tropicale, Conclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1): “Bois d’oeuvre 1”, R.H.M.J. Lemmens, E.A. Omino & C.H. Bosch (Editeurs), 2010. Bois d’oeuvre de l’Afrique tropicale. Conclusions et recommandations basées sur PROTA 7(1) : “Bois d’oeuvre 1”. [Traduction de : Timbers of Tropical Africa. Conclusions and recommendations based on PROTA 7(1): ‘Timbers 1’. 2009]. Fondation PROTA, Nairobi, Kenya, 92 pp., www.prota.co.ke/en/publications-a-resources/publications/doc_download/43-bois-doeuvre-1/PROTA_French221010B.pdf
B) Cours de sylvicultures données à Madagascar :
1. Cours de sylviculture 1 et II de l'ESSA-forêt (BLASER, 1990), Madagascar, Antananarivo.
2. Cours de techniques sylvicoles de l'I.D.R. première année, GIRARD-DON Philippe, 1993-1994.
C) Site Internet donnant des informations sur les plantes et arbres de Madagascar :
1. TROPIX, Caractéristiques technologiques de 245 essences tropicales : http://tropix.cirad.fr
2. Xycol, 6923 taxons de ligneux avec 110807 appellations : www.xycol.net
3. Madagascar Catalog : www.efloras.org
4. Missouri Botanical Garden : www.mobot.org
D) Revues ou rapports sur l’afforestation en Afrique :
1. N°d’Unasylva disponibles en ligne à titre gratuit à l’adresse suivante: www.fao.org/forestry/unasylva
2. Technical reports de l'ITTO, International Tropical Timber Organization, www.itto.int/technical_report
3. Restauration des paysages forestiers, SÉRIE TECHNIQUE OIBT N° 23 2005, Organisation internationale des bois tropicaux, www.itto.int/direct/topics/topics_pdf_download/topics_id=10640000&no=2&_lang=ja
Fiches techniques pour promouvoir les
plantations des arbres, Blaise Cooke, Christian Burren et Michel
Rakotoniaina, ISBN 978-2-9530572-2-5
RESOLVE CONSEIL; MADAGASCAR. MINISTERE DE
L'ENVIRONNEMENT;USAID;PHYTO-LOGIC : ANTANANARIVO
Notes au sujet de cet ouvrage : Il
incluse des photos et dessins expliquant bien les différentes techniques de
plantation et élagages, les principales essences de reboisement, cartes de
répartition et zones possibles de culture.... Parmi ces fiches, il faut surtout
privilégier les espèces malgaches, Terminalia mantaly, Ramy, Katrafay,
Sarongoza etc... qui ont été paradoxalement choisies pour reboiser
l'Australie...et sont de plus recherchés dans le monde entier pour leurs huiles
essentielles pour certains ou leurs propriétés médicinales. Ebènes et
palissandres à croissance lente doivent aussi être plantés pour l'avenir.
www.cite.mg/basdoc/recherche.php?page=1433
www.cite.mg/basdoc/resultat.php?id=28647
Tableau
B3.7.3a : Liste des espèces utiles inventoriées dans
la station forestière de Tampolo
N° |
FAMILLE |
Nom
scientifique |
Nom
vernaculaire |
BC |
BO |
PM |
Autres |
Détails |
1 |
Anacardiaceae |
Campnosperma micrantheia |
Tarantana |
x |
|
|
x |
Trano, lakana |
2 |
Anacardiaceae |
Faguetia falcata |
Velonavohotra |
x |
|
|
x |
Pillier, planche, fefy |
3 |
Annonaceae |
Ambavia geraldii |
Hazoambomaitso |
x |
|
|
|
Pillier |
4 |
Annonaceae |
Polyalthia ghesquieriana |
Ombavy |
x |
|
|
|
Pillier |
5 |
Annonaceae |
Xylopia buxifolia |
Hazoambo madinindraviana |
x |
|
x |
|
Pillier, ody arerahana (*s) |
6 |
Annonaceae |
Xylopia humblotiana |
Hazoambo beravina |
x |
|
|
|
Pillier |
7 |
Annonaceae |
Xylopia sp |
Hazoambo |
x |
|
|
|
Pillier |
8 |
Aphloiaceae |
Aphloia theaformis |
Fandramanana |
x |
|
|
x |
Pillier, thé (+) |
9 |
Apocynaceae |
Cerbera venenifera |
Tangena, tangendambo |
|
|
x |
|
Mt(1) boka (*, dinty) |
10 |
Apocynaceae |
Mascarenhasia arborescens |
Barabanja |
x |
|
|
|
Lahatra |
11 |
Apocynaceae |
Stephanostegia capuronii |
Hazondronono |
x |
|
|
|
Teza |
12 |
Apocynaceae |
Tabernaemontana rotusa |
Livory |
|
|
x |
x |
Bois de chauffe, ody
nify (*) |
13 |
Araliaceae |
Cuphocarpus aculeatus |
Voantsilana, fangalatsiny |
x |
|
|
|
Planche |
14 |
Araliaceae |
Schefflera longipedicelata |
Voantsilandahy |
x |
|
|
|
Planche |
15 |
Araliaceae |
Schefflera vantsilana |
Voantsilana |
x |
|
|
|
Planche |
16 |
Arecaceae |
Dypsis arenarum |
Amboza, hirihiry |
|
|
|
x |
Lattes, fefy |
17 |
Arecaceae |
Dypsis lastelliana |
Menavozona |
x |
|
|
|
Rapaka |
18 |
Arecaceae |
Dypsis lutea |
Ambozarano |
|
|
|
x |
Lattes, faly (sarbacanes) |
19 |
Arecaceae |
Dypsis lutescens |
Lafaza |
|
|
|
x |
Ornementation |
20 |
Arecaceae |
Ravenea sambiranensis |
Anivona |
|
|
|
x |
Planche |
21 |
Asteraceae |
Brachylaena ramiflora |
Merana, kisaka |
|
|
|
x |
Poison |
22 |
Asteropeiaceae |
Asteropeia amblyocarpa |
Matrambody |
x |
|
|
|
Pillier, planche |
23 |
Asteropeiaceae |
Asteropeia micraster |
Tambonana |
x |
|
|
|
Trano, cadre pour rucher |
24 |
Asteropeiaceae |
Asteropeia multiflora |
Tambonana |
x |
|
|
|
Trano, cadre pour rucher |
25 |
Bignoniaceae |
Phyllarthron madagascariense |
Antohiravina |
x |
|
x |
|
Pillier, ody tension |
26 |
Bignoniaceae |
Rhodocolea racemosa |
Tsifontsoho madinindravina |
|
|
|
x |
Bois de chauffe, manche
d'outils |
27 |
Buddlejaceae |
Nuxia capitata |
Valanirana |
x |
|
|
|
Pillier |
28 |
Burseraceae |
Aucoumea klaineana |
Okoumé |
x |
|
|
x |
Trano, planche, lakana |
29 |
Burseraceae |
Canarium boivini |
Ramy |
x |
|
|
x |
Pillier, lakana |
30 |
Burseraceae |
Protium madagascariense |
Tsiramiramy |
x |
x |
|
|
Pillier, planche |
31 |
Canellaceae |
Cinnamosma fragrans |
Mandravasarotra
madinindravina |
x |
|
x |
|
Pillier, ody manala zaza |
32 |
Canellaceae |
Cinnamosma madagascariensis |
Mandravasarotra, sakaiala beravina |
x |
|
x |
|
Pillier, ody manala zaza |
33 |
Celastraceae |
Brexiella cauliflora |
Maimboholatra |
x |
|
|
x |
Pillier, mt(1) (*, ***) |
34 |
Celastraceae |
Elaeodendron pauciflorum |
Menavahatra |
x |
|
|
|
Pillier, planche |
35 |
Chrysobalanaceae |
Hirtella tamenaka |
Tamenaka |
x |
|
|
|
Trano |
36 |
Clusiaceae |
Calophyllum chapelieri |
Vintanona |
x |
|
|
x |
Pillier, lakana, manche
d'outils |
37 |
Clusiaceae |
Calophyllum inophyllum |
Vintanona |
x |
|
|
x |
Pillier, lakana, manche
d'outils |
38 |
Clusiaceae |
Symphonia fasciculata |
Hazinina beravina |
x |
|
|
|
Planche |
39 |
Clusiaceae |
Symphonia louvelii |
Hazinina madinindravina |
x |
|
|
|
Planche |
40 |
Cunoniaceae |
Weinmannia rutenbergii |
Lalona |
x |
|
|
|
Trano |
41 |
Dilleniaceae |
Dillenia triquetra |
Tsipalombarika |
x |
|
|
|
Lahatra |
42 |
Ebenaceae |
Diospyros haplostylis |
Hazomafàna |
x |
x |
|
|
Pillier, teza, planche, … |
43 |
Ebenaceae |
Diospyros mapingo |
Hazomainty madinindravina |
x |
x |
|
|
Pillier, teza, planche,
… |
44 |
Ebenaceae |
Diospyros sphaerosepala |
Hazomainty beravina |
x |
x |
|
|
Pillier, teza, planche,
… |
45 |
Ebenaceae |
Diospyros squamosa |
Hazomaintina |
x |
x |
|
|
Pillier, teza, planche,
… |
46 |
Elaeocarpaceae |
Elaeocarpus alnifolius |
Aferonakavy, |
x |
|
|
|
Planche, lahatra trano |
47 |
Ericaceae |
Agauria salicifolia |
Ambora, angavodiana |
x |
|
x |
|
Pillier trano, ody
reraka (**) |
48 |
Ericaceae |
Erica sp1 |
Anjavidilahy madinindravina |
|
|
x |
x |
Balai, ody havizanana / kibo (*) |
49 |
Ericaceae |
Erica sp2 |
Anjavidilahy beravina |
|
|
x |
x |
Balai, ody havizanana / kibo (*) |
50 |
Ericaceae |
Erica sp3 |
Anjavidy vavy |
|
|
x |
x |
Balai, ody havizanana / kibo (*) |
51 |
Ericaceae |
Vaccinium madagascariensis |
Voatsiritra, voaramontsina |
|
|
|
x |
+,
bois de chauffe |
52 |
Erythroxylaceae |
Erythroxylum buxifolium |
Menahihy madinindravina |
x |
|
|
|
Trano |
53 |
Erythroxylaceae |
Erythroxylum corymbosum |
Menahihy beravina, beando |
x |
|
|
|
Trano |
54 |
Euphorbiaceae |
Anthostema madagascariensis |
Andravokona |
x |
|
|
x |
Lahatra, fandrika vorona (dinty) |
55 |
Euphorbiaceae |
Blotia mimusoides |
Sisipihana |
|
|
|
x |
Balai, bois de chauffe |
56 |
Euphorbiaceae |
Cleistanthus capuronii |
Lohindry |
x |
|
|
|
Trano |
57 |
Euphorbiaceae |
Drypetes
madagascariensis |
Maimbovoahangy beravina,
|
x |
|
|
|
Pillier |
58 |
Euphorbiaceae |
Drypetes
madagascariensis |
Tsibabena |
|
|
x |
|
Ody tromba (*) |
59 |
Euphorbiaceae |
Drypetes thouarsii |
Maimbovoahangy madinindravina |
x |
|
|
|
Pillier |
60 |
Euphorbiaceae |
Euphorbia tetraptera |
Zemby |
|
|
|
x |
Fandrika trondro (dinty) |
61 |
Euphorbiaceae |
Macaranga acuminata |
Mankaranana |
|
|
|
x |
Bois de chauffe |
62 |
Euphorbiaceae |
Macaranga alnifolia |
Makaranandahy |
x |
|
|
|
Pillier |
63 |
Euphorbiaceae |
Uapaca ferruginia |
Voapaka mena |
x |
|
|
x |
Lahatra, lakana |
64 |
Euphorbiaceae |
Uapaca littoralis |
Voapaka madinindravina, voapaka fotsy |
x |
|
|
x |
Lahatra, lakana |
65 |
Euphorbiaceae |
Uapaca louvelii |
Voapaka beravina |
x |
|
|
x |
Lahatra, lakana |
66 |
Fabaceae |
Cynometra commersonii |
Mampay madinindravina |
x |
|
|
|
Planche, pillier |
67 |
Fabaceae |
Cynometra madagascariensis |
Mampay beravina |
x |
|
|
|
Planche, pillier |
68 |
Fabaceae |
Dalbergia baronii |
Hazovola |
x |
x |
|
|
Teza, meuble |
69 |
Fabaceae |
Dalbergia maritima |
Hazovola |
x |
x |
|
|
Teza, meuble |
70 |
Fabaceae |
Dialium unifoliatum |
Zahamalotra, zahapotsy |
x |
|
|
|
Planche |
71 |
Fabaceae |
Dichrostachys sp |
Fanepoka |
x |
|
|
|
Pillier |
72 |
Fabaceae |
Intsia bijuga |
Hintsina |
x |
x |
|
|
Trano, fandriana,
latabatra, … |
73 |
Gentianaceae |
Anthocleista madagascariensis 1 |
Dendemo |
x |
|
x |
|
Planche, lahatra, ody fivalanana (***) |
74 |
Hamamelidaceae |
Dicoryphe stipulacea |
Longotra |
x |
|
|
x |
Trano, manche d'outils |
75 |
Hamamelidaceae |
Dicoryphe stipulacea |
Tsilongodongotra |
x |
|
|
|
Pillier |
76 |
Icacinaceae |
Grisollea myrianthea |
Beminofo |
x |
|
|
|
Pillier |
77 |
Lamiaceae |
Vitex coursii |
Ombalahiala |
x |
|
|
|
Trano |
78 |
Lamiaceae |
Vitex pachyclada |
Tsiboraty |
x |
|
|
|
Trano |
79 |
Lauraceae |
Cryptocarya acuminata |
Tavolobelelo,
tavolomalama |
x |
|
|
|
Planche, pillier |
80 |
Lauraceae |
Cryptocarya elliptica |
Tavolopika |
x |
|
|
|
Planche, pillier |
81 |
Lauraceae |
Cryptocarya scintillana |
Tampika, tapiky |
x |
|
|
|
Trano |
82 |
Lauraceae |
Ocotea cymosa |
Tafononana madinindravina |
x |
|
|
|
Rapaka |
83 |
Lauraceae |
Ocotea cymosa |
Varongy |
x |
x |
|
|
Trano, meuble |
84 |
Lauraceae |
Ocotea laevis |
Tafononana beravina |
x |
|
|
|
Rapaka |
85 |
Lauraceae |
Ocotea laevis |
Varongy fotsy |
x |
x |
|
|
Trano, meuble |
86 |
Lauraceae |
Potameia obovata |
Antevaratra |
x |
|
|
|
Pillier, planche,
lahatra |
87 |
Lecythidaceae |
Foetidia obliqua |
Voantsanàka |
x |
|
|
x |
Pillier, ody gasy |
88 |
Malvaceae |
Dombeya laurifolia |
Hafotra, hafotramena |
|
|
|
x |
Ecorce : artisanat,
cordes |
89 |
Malvaceae |
Grewia apetala |
Hafopotsy |
|
|
|
x |
Ecorce : artisanat,
cordes |
90 |
Melastomataceae |
Clidemia hirta |
Mazambody |
|
|
x |
|
Ody fivalanana (*) |
91 |
Melastomataceae |
Memecylon clavistaminum |
Tsimahamasatsokona
madinindravina |
x |
|
|
|
Pillier |
92 |
Melastomataceae |
Memecylon longipetalum |
Tsimahamasatsokona beravina |
x |
|
|
|
Pillier |
93 |
Meliaceae |
Astrotrichilia sp |
Voamatata |
x |
|
|
|
Trano |
94 |
Menispermaceae |
Burasaia madagascariensis |
Hazondahy |
|
|
x |
|
Ody tazo (**) |
95 |
Menispermaceae |
Spirospermum
penduliflorum |
Telotriatramaintso |
|
|
x |
|
Ody tromba (*) |
96 |
Monimiaceae |
Tambourissa religiosa |
Ambora |
x |
|
x |
|
Pillier trano, ody reraka (**) |
97 |
Moraceae |
Bosqueia obovata |
Fotsidinty |
x |
|
|
|
Planche |
98 |
Moraceae |
Ficus sp |
Amontana |
|
|
x |
|
Ody fery (dinty) |
99 |
Moraceae |
Pachytrophe dimepate |
Maherihely, tsipatika |
x |
|
|
x |
Trano, artisanat (***) |
100 |
Myricaceae |
Myrica spatulata |
Laka |
|
|
x |
x |
Bois
de chauffe, ody MST (***) |
101 |
Myristicaceae |
Brochoneura acuminata |
Rarà |
x |
|
x |
|
Trano, planche, ody nify |
102 |
Myristicaceae |
Brochoneura madagascariensis |
Rarà madinindraviana |
x |
|
x |
|
Trano, planche, ody nify |
103 |
Myrsinaceae |
Monoporus floribondus |
Hasintoho |
x |
|
|
|
Pillier |
104 |
Myrsinaceae |
Oncostemum elephantipes |
Hasintoho |
x |
|
|
|
Pillier |
105 |
Myrtaceae |
Melaleuca viridiflora |
Kininindrano |
x |
|
|
x |
Essence (*), trano |
106 |
Myrtaceae |
Psidium cattleyanum |
Gavo |
|
|
x |
x |
Ody kibo (*), +, bois de
chauffe |
107 |
Myrtaceae |
Syzygium bernieri |
Rotra beravina |
x |
|
x |
|
Pillier, planche, ody fivalanana (***) |
108 |
Myrtaceae |
Syzygium cloiselii |
Hompa madinindravina, hompa mena |
x |
|
|
x |
Trano, ody mosavy |
109 |
Myrtaceae |
Syzygium emirnense |
Rotra madinindravina |
x |
|
x |
|
Pillier, planche, ody fivalanana (***) |
110 |
Myrtaceae |
Syzygium pluricymosa |
Hompa |
x |
|
|
x |
Trano, ody mosavy |
111 |
Olacaceae |
Olax emirnensis |
Maitsoririnina beravina |
x |
|
|
|
Pillier |
112 |
Olacaceae |
Olax glabriflora |
Maitsoririnina
madinindravina, manarimbintana |
x |
|
|
|
Pillier |
113 |
Oleaceae |
Noronhia grandifolia |
Tsiletry beravina |
x |
|
x |
|
Pillier, ody mosavy (*) |
114 |
Oleaceae |
Noronhia linocerioides |
Tsiletry (moyenne *) |
x |
|
|
|
Pillier |
115 |
Oleaceae |
Noronhia sambiranensis |
Tsiletry (* ondulée) |
x |
|
|
|
Pillier |
116 |
Oleaceae |
Noronhia seyrigii |
Tsiletry madinindravina |
x |
|
|
|
Pillier |
117 |
Pandanaceae |
Pandanus pulcher |
Fandrana |
|
|
|
x |
Rapaka (gorodona) |
118 |
Pandanaceae |
Pandanus sp |
Vakona |
|
|
|
x |
Artisanat |
119 |
Physenaceae |
Physena madagascariensis |
Fanavimangoko |
|
|
|
x |
Ody mosavy |
120 |
Pittosporaceae |
Pittosporum ochrosiaefolium |
Maimbovitsika beravina |
x |
|
x |
x |
Trano,
bois de chauffe, ody maso (*) |
121 |
Pittosporaceae |
Pittosporum
verticillatum |
Maimbovitsika
madinindravina |
x |
|
x |
x |
Trano, bois de chauffe,
ody maso |
122 |
Proteaceae |
Dilobeia thouarsii |
Hasimbe |
|
|
|
x |
Fefy |
123 |
Rhizophoraceae |
Macarisia pyramidata |
Hazomalany |
x |
|
|
|
Planche, cerceuil |
124 |
Rhopalocarpaceae |
Rhopalocarpus thouarsianus |
Hafotrakora
madinindravina |
x |
|
|
|
Planche |
125 |
Rhopalocarpaceae |
Rhopalocarpus thouarsianus |
Hafotrakora beravina |
x |
|
|
|
Planche |
126 |
Rubiaceae |
Antirhea borbonica |
Valavelona |
x |
|
|
|
Pillier |
127 |
Rubiaceae |
Breonia chinensis |
Molopangady |
x |
|
x |
|
Trano, odin-jaza (***) |
128 |
Rubiaceae |
Canthium medium |
Tsifo beravina |
x |
|
|
|
Trano |
129 |
Rubiaceae |
Canthium tampolensis |
Tsifobe |
x |
|
|
|
Trano |
130 |
Rubiaceae |
Canthium vandrika |
Tsifo madinindravina |
|
|
|
x |
Fefy |
131 |
Rubiaceae |
Coffea coursiana |
Malemisisika |
x |
|
|
|
Pillier |
132 |
Rubiaceae |
Coffea racemosa |
Kafea madinindravina |
x |
|
|
|
Pillier |
133 |
Rubiaceae |
Coffea richardii |
Kafea beravina |
x |
|
|
|
Pillier |
134 |
Rubiaceae |
Enterospermum
pachyphyllum |
Molotrangaka |
x |
|
|
|
Pillier |
135 |
Rubiaceae |
Rothmannia sp2 |
Voantalanina |
x |
|
|
|
Pillier, planche |
136 |
Rutaceae |
Vepris decaryana |
Mampody |
x |
|
|
x |
Pillier, ody gasy (raviny) |
137 |
Salicaceae |
Casearia nigrescens |
Hazomalany beravina, kafemboeza |
x |
|
|
|
Planche |
138 |
Salicaceae |
Homalium involucratum |
Tsitakotrala |
x |
|
|
|
Pillier |
139 |
Salicaceae |
Scolopia erythrocarpa |
Fantsinakoholahy, menahely |
|
|
x |
x |
Balai, ody kibo |
140 |
Salicaceae |
Scolopia
madagascariensis |
Tontokitsina |
|
|
|
x |
Emboka tromba (dinty) |
141 |
Sapindaceae |
Filicium thouarsianum |
Elatrangidina |
x |
|
|
|
Pillier |
142 |
Sapindaceae |
Macphersonia sp |
Somotrorana |
x |
|
|
|
Pillier, … |
143 |
Sapindaceae |
Neotina sp |
Somotrorana |
x |
|
|
|
Pillier, … |
144 |
Sapindaceae |
Tina sp |
Somotrorana |
x |
|
|
|
Pillier, … |
145 |
Sapindaceae |
Tinopsis sp |
Somotrorana |
x |
|
|
|
Pillier, … |
146 |
Sapotaceae |
Chrysophyllum boiviniana |
Famelona |
|
|
|
x |
Ody gasy |
147 |
Sapotaceae |
Donella fenerivensis |
Famelondriaka |
x |
|
|
|
Planche, lahatra,
pillier, |
148 |
Sapotaceae |
Faucherea glutinosa |
Nantomena |
x |
x |
|
|
Pillier, planche,
rapaka, meuble, loana |
149 |
Sapotaceae |
Faucherea
manongarivensis |
Nantobaritra |
x |
x |
|
|
Pillier, planche, rapaka,
meuble, loana |
150 |
Sapotaceae |
Labourdonnaisia lecomtei |
Nantovoraka |
x |
x |
|
|
Pillier, planche,
rapaka, meuble, loana |
151 |
Sapotaceae |
Labramia bojeri |
Nantofotsy, nantovasihy |
x |
x |
|
|
Pillier, planche,
rapaka, meuble, loana |
152 |
Sapotaceae |
Mimusops capuronii |
Voarantoala |
x |
|
|
x |
Trano, lakana |
153 |
Sapotaceae |
Sideroxylon
betsimisarakum |
Nanto
madinindravina, nantoravinengitra |
x |
x |
|
|
Pillier, planche,
rapaka, meuble, loana |
154 |
Sapotaceae |
Sideroxylon gerraldianum |
Malambovony, nantovoraka |
x |
|
|
|
Planche |
155 |
Sarcolaenaceae |
Eremolaena rotundifolia |
Amaninombilahifotsy |
x |
|
|
|
Pillier trano |
156 |
Sarcolaenaceae |
Leptolaena multiflora |
Amaninombilahy,
amaninombilahimena |
x |
|
|
|
Pillier |
157 |
Sarcolaenaceae |
Pentachlaena orientalis |
Taindambo |
x |
|
|
|
Pillier, ody vavony (***) |
158 |
Sarcolaenaceae |
Sarcolaena multiflora |
Helana |
x |
|
|
|
Teza |
159 |
Sarcolaenaceae |
Schizolaena rosea |
Tsiarinarina beravina |
x |
|
|
|
Trano |
160 |
Sarcolaenaceae |
Schizolaena sp |
Tsiarinarina madinindravina |
x |
|
|
|
Trano |
161 |
Simaroubaceae |
Samadera indica |
Bifaitra |
|
|
|
x |
Poizim-boalavo (*) |
BO : Bois d’œuvre – BC : Bois de construction
Source : ESSA – Forêt Tampolo,
http://www.pnae.mg/ie/tbe/analanjirofo/biodiv/donnees/val_biodiv.htm
Liste
des espèces végétales « phares » inventoriées dans la Région de Atsinanana
N° |
Familles |
Noms
scientifiques |
Noms
vernaculaires |
1 |
Anacardiaceae |
Protorhus
sp |
Hazombarorana |
2 |
Burseraceae |
Canarium
madagascariensis |
Ramy |
3 |
Canellaceae |
Cinnamosma
madagascariensis |
Hazomanitra |
4 |
Clusiaceae |
Symphonia
louvelii |
Kijy |
5 |
Euphorbiaceae |
Uapaca
littoralis |
Voapaka |
6 |
Euphorbiaceae |
Uapaca
louvelii |
Voapaka |
7 |
Euphorbiaceae |
Uapaca
thouarsi |
??? |
8 |
Fabaceae |
Hymenea
verruca |
Tandroho |
9 |
Fabaceae |
Intsia
bijuga |
Hintsina |
10 |
Monimiaceae |
Tambourissa
sp |
Amborasaha |
11 |
Myristicaceae |
Bronchoneura
acuminata |
Rara madinidravina |
12 |
Myristicaceae |
Bronchoneura
dardaineri |
Rara |
13 |
Myristicaceae |
Bronchoneura
voury |
Rara beravina |
14 |
Pandanaceae |
Pandanus
dauphinensis |
Fandrana |
Source : DBEV – DBA – CNRE (ONE) –
2005
www.pnae.mg/ie/tbe/atsinanana/biodiv/donnees/B14_esp_phare.pdf
[1] Calanolide A : est un nouvel et expérimental inhibiteur non
nucléosidique de la transcriptase inverse (INNTI) d'abord tiré de l’arbre Calophyllum lanigerum en Malaisie. Il lui a été trouvé une activité anti- VIH puissante.
Source : http://en.wikipedia.org/wiki/Calanolide_A