|
Projet « Maisons pour tous » « Evolutive-houses ® » « Maisons évolutives ® » |
|
Concept de maisons évolutives livrées en pièces
détachées (et en kits modulaires).
Par Benjamin Lisan, ingénieur INSA. Version du dimanche
24 septembre 2006.
"Sois le
changement que tu veux voir dans le monde" Gandhi.
Résumé : projet de maisons en pièces détachées, à monter soi-même, comme
un jeu de construction, avec quelques outils simples (clés, grue & treuil
manuels …).
Les maisons, du concept « Maisons
évolutives », sont constituées pour l’essentiel, de plaques _ plaques
murales, de toit, de plafond, de plancher, toutes pré-percées _, fixées par des
éléments de fixation, sur une ossature en poutres acier en IPN et en U, elles
même pré-percées. Tous les éléments sont standardisés (taille, matériaux..).
Abstract :
Project of houses in spare parts, to rise itself, as a construction set, with
some simple tools (keys, manual crane
and winch …).The houses, of the “Evolutive houses” concept, are constituted,
for the main thing, of plates / flagstones _ wall plates, with roof, with
ceiling, with floor, quite meadow breakthroughs _, fixed with elements of
fixation, to a skeleton in beams steel in H and in U profile, them the same
meadow breakthroughs. All the elements being standardized at the level of their
size, and employed materials ...
Dans le document,
sont notés (B) : les idées brevetables ou modèles déposables, (pB) celles
/ ceux potentiellement brevetables ou déposables.
On constate que beaucoup de
personnes dans le monde n’ont pas encore de toit ou de maison, du fait soit
d’une catastrophe _ du fait de tsunamis (sud-est), tremblement de terre,
guerres (Liban …) et des délais de reconstruction … _, soit du fait du manque d’argent et de la pauvreté de
la région ou du pays concerné.
Les idées directrices de ce
projet sont :
Ø
Fournir des maisons à
bas coût _ a) de ~ 15.000 Euros, pour une maison en kit, de 40 à 60 m2, dans
les pays du tiers-monde [1]
et de 100 000 Euros pour une maison « Borloo » de 80 m2 livrées clé
en main (voir plus loin dans le document).
Ø
Fournir des maisons,
faciles à construire, sous la formes d’un mécano, d’un kit modulaire, facile à monter par une
groupe de personnes en 1 ou 2 jours [2].
Ø
Faciles à transporter sur
un petit camion de 10 à 20 tonnes ou un fourgon de 24 m2, un conteneur de 40
pieds (transport si possible en 1 ou 2 voyages),.
Ø
Montées, elles doivent
être monoblocs et solides _ elles doivent tenir sur 3 ou 4 points
d’appuis, sans se déformer, résister à la force d’une vague d’eau de 10 mètres
de haut, aux tremblement de terre force 8 et aux cyclones force 5.
Voici quelques conditions à
respecter pour la réussite du projet :
1) Les modèles doivent
intéresser et plaire aux « clients »
2) elles doivent être
esthétiques (ressemblant à une maison d’architecte),
3) elles doivent être
fonctionnelles (ayant l’équipement et le confort de base),
4) Son prix de revient doit
être moins élevé que le prix de vente,
5) Il faut trouver un groupe
de personnes dynamiques, battantes, passionnées par le projet, qui ont envie de
le réaliser,
6) Ces maisons doivent être
fiables et testés dans divers environnements (climatiques, culturels …).
7) Elles doivent respecter
des normes de construction (solidité, étanchéité, durabilité) et être agrées au
niveau mondial … …
Ces maisons seraient :
1)
Montables et démontables
« facilement », sans casse ou dégâts (pas d’utilisation de scies,
tronçonneuse sur place …). La maison peut s’agrandir (en cas de modification
familiale). On peut accoler et relier plusieurs blocs de maisons entre elles.
Rien n’est inamovible après le montage.
2)
Construites peut-être
dans pays à bas de coût de main d’œuvre pour réduire son coût,
3)
les matériaux _ acier,
béton, bois pourraient être importés,
4)
seraient vendues par des
sociétés privées ?, concessionnaires, franchisés ? … et soumises aux
règles de la concurrence [3]
_, dans le monde entier.
5)
Elles pourraient
comporter jusqu’à 3 étages.
6)
Le toit serait composé
de plaques, comme les murs, les planchers, les plafonds.
7)
Dans les pays du
tiers-monde, elles pourraient être acquises avec un prêt micro-crédit.
Ces maisons modulaires sont
constituées de plusieurs types d’éléments pré-fabriqués (voir dans la
suite du document ci-après) :
1)
Des plaques isolantes en
bois, métal ou béton, voire couvertes de bois, céramiques ou autres matériaux,
carrées ou rectangulaires, de 1 m x 1 m, de 2 m x 1 m, 0,5 m x 1 m et 0,5 m x
0,5 m (entourée sur leur pourtour par un joint d’étanchéité), pré-percées tous
les 20 cm.
2)
A) Des poutrelles
(IPN ?, métal ?) verticales & horizontales supportant les murs,
plafonds, étages et planchers, toutes de 2,5m et 3m de long, pré-percés tous
les 20 cm,
3)
B) des poutres en U,
coulissant dans le creux des poutres IPN, pré-percés tous les 20 cm.
4)
Des éléments de liaisons
(vis et boulons, clips ?, entretoises, ….) pour relier les plaques et
poutres entre elles (pour relier les éléments 1, 2, 3 ci-avant).
5)
Des joints d’étanchéité
(entre les plaques, les poutres, les entretoises, en longues bandes de
polyéthylène, caoutchouc ou en Rubson ou silicone ?).
6)
Un bloc
(sanitaire) constitué d’un 1 ou plusieurs blocs douche, lavabo, WC,
chauffe-eau (voire citerne), cheminée, conduit de cheminée, pour créer salle de
bain, cuisine & cheminée salon (en béton, en bois, PVC … etc …).
7)
Une citerne (liée au
bloc sanitaire ou placé sous le toit dans la maison).
8)
Des panneaux solaires
(par ex., de marque Tata - Inde).
9)
Des éléments de gaines
techniques pré-câblées à agrafer, visser sur les murs.
10)
Des éléments tuyaux
souples étanches, cliquables entre eux, comme les tuyaux de jardin, recouvert
d’une gaine à section carrée.
11)
Des éléments fenêtres (1
m x 1 m ou 1 m x 2 m), portes ou porte-fenêtres (1 m x 2m ou 2 m x 2 m), volets
ou/ et moustiquaires (même tailles que les fenêtres), cloisons, escalier (même
tailles que les éléments plaques).
12)
Blocs supportant la
maison sur le sol (au minimum 4 pour soutenir la maison).
13)
Divers éléments
secondaires pièces détachées (gouttière, cheminées, ….)
14)
Eventuellement, une couverture
du toit étanche pour recueillir l’eau de pluie destinée à la citerne (en Rubson
…).
15)
Eventuellement, des
câbles acier ou nylon, pour renforcer la solidité de l’ensemble (cas des zones
sismiques ou à risque de tsunami).
La majorité de ces éléments
sont pré-percés (par exemple tous les 20 cm).
Les trous, vis et boulons
sont tous du même diamètre.
Ces maisons se montent par
plusieurs personnes comme les pièces d’un mécano, en plusieurs jours.
On pourrait fournir les
éléments plaques et poutres, en différentes couleurs.
Pour les pays du tiers monde, nous imaginons la maison comme
un jeu de construction simple, utilisant si possible des matériaux locaux ou
faciles à trouver sur place [4].
Tout le concept de cette
maison étant basée sur l'idée
d'un jeu de construction, ne se montant qu'avec a) des vis et des boulots, b)
une ou plusieurs clé(s), c) un échafaudage, d) une échelle, e) un treuil
manuel, aussi faciles à monter qu’une cabane de trappeur ou une maison de
jardin.
Tous les éléments sont
pré-percés de nombreux trous et traités contre la corrosion, l’humidité, les
intempéries, les nuisibles et le feu.
Il faut éviter tout de qui serait ajustement, adaptation,
« retouche » du kit sur place _ c’est à dire, sciage, ponçage,
perçage, soudure, sur place qui pourraient provoquer des rayures, griffures,
piquage, accidents, sur les parties métalliques initiateur de la corrosion.
Tous les éléments doivent trouvés dans le commerce et adaptés
au concept « maisons évolutives » ® « Evolutive-houses » ®
(en tout cas dans les pays développés).
Toutes
les maisons, proposées en kit complet, comporteraient toutes :
1) des fenêtres, simples, simple battant ou doubles
battants, munies des volets métalliques, solides, galvanisés et peints, ou en
bois massif, comportant une plaque métallique anti-effraction _ idem pour les
portes (pouvant résister aux cyclones et tsunamis et aux effractions et vols,
suffisamment jointives quand fermées, pour que les ouvertures soient totalement
closes _ pas d’insertion d’un pied de biche possible entre le montant de la
fenêtre et le volet),
2) une porte d’entrée, voire une porte à l’arrière
(Une bouche d’aération ou de ventilation) serait au-dessus des portes),
3) plusieurs pièces, équipées d’une ou plusieurs
fenêtres.
4) une cuisine, avec évier, un coin réchaud à gaz (ou
à bois) (voire une pompe à main ou solaire, dans les pays du tiers-monde),
5) une salle de bain, avec un lavabo et une douche
(voire la même pompe à main),
6) un WC ou (WC rudimentaire, à sec, , voire au
charbon actif, pour les pays du tiers-monde),
7) une fosse sceptique (ou une connexion à un égout
(solution insatisfaisante)).
8) un grand réservoir ou citerne d'eau sous le
toit (avec un filtre au charbon actif) avec une collecteur des eaux de pluie,
vers la citerne du toit. La citerne alimentant ensuite la douche et le robinet
de la cuisine. S’il n’y a pas un collecteur d’eau sur le toit, une petite pompe
à main ou solaire serait connectée à un puit, s'il y a une nappe phréatique potable,
pour alimenter la citerne.
9) Eventuellement, un panneau solaire avec régulateur
et batterie.
1à) Eventuellement, un puisard.
Dans les
pays du tiers monde, il y aurait, au minimum, une ampoule électrique par pièce,
une ampoule, au dessus de chaque porte, à l’extérieur de la maison, chaque
ampoule, à l’extérieur, étant protégée par un globe en plastique.
Au centre de cette
maison, il y a un bloc sanitaire et cuisine en béton préfabriqué (pour
minimiser l'utilisation du béton dans la maison).
Modules plancher, toits, murs, cloisons en bois ou béton ou
métal, de 1 m x 1 m ou de 2 m x 1 m.
a) Présentations : Ils peuvent être colorées,
voire recouvert de décorations. Tous ces panneaux sont pré-percés (tous les 20
cm). Ils pourront être couvert de bardages en bois ou autre (pour
l’esthétique).
Panneau des murs en bois lasuré |
Panneau marron |
Panneau lasuré |
Panneau gris |
Plaque à bardage obliquie |
Plaque style colombage |
Profil d’une Plaque, un sandwich bois – laine de verre – bois. |
Plaque ©H2OBois |
Fig1. Emplacement des trous dans la plaque
(exemple) (B) |
|
Plaque de bois de 1 m x 1 m x 10 cm, se glissant verticalement entre les poutres verticales métalliques (leur taille est normalisée). |
Plaque triangulaire style nordique « sous-toit » (leur taille est normalisée). Plaque triangulaire style colombage |
Façade style céramique portugaise |
Façade brique |
Façade brique |
Etc … |
b) Exemple de montages et agencement de ces panneaux :
|
|
c) Exemples de ces panneaux montés (voir suite du
document) :
Panneaux avec dessin d'artiste (style Dubuffet …) |
panneaux de façade style Keith Haring (panneau décoratif pré-peint) |
panneaux de façade style N'débélés
d’Afrique du Sud (panneau pré-peint) |
panneaux de façade, style des Gourounsi du
Burkina Fasso (panneau pré-peint) |
Frises et gravures sur bois. |
Frises et gravures sur bois. (panneau pré-gravé par emboutissage du bois). |
Frises et gravures sur bois. (panneaux pré-gravés par emboutissage du
bois (pB ?)). |
Frises et gravures sur bois (emboutissage). |
bardage réalisée par robotique. |
marqueterie par robotique. |
(obtenus par emboutissage) |
panneaux maquettés réalisés par robotique. |
Diverses teintes de bois |
Céramiques (panneau pour murs de la salle de bain) |
Céramique avec zelliges (type mauresque), en mur de façade ou au
plafond. Fig2. Emboîtement plaques a et
b ©Benjamin Lisan (B) |
Fig3. Montage de la plaque isolante (a) avec la plaque décorative
(b) (voir aussi dessin à gauche) ©Benjamin Lisan (B). |
Céramiques
modernes en façade |
Céramiques modernes (à gauche et au-dessus, obtenue par
robotique). |
Mosaïque type romaine (obtenue par robotique). |
Choix de céramique tunisienne |
Mosaïque romaine,
s. de bain |
Caillebotis/ panneau de façade. |
Caillebotis |
Caillebotis |
Panneau de bambou |
|
Panneau de bambou (maisons asiatiques, par ex.) |
Fenêtre intérieure (à voir ( ?)). |
d) Décorations :
On pourrait imaginer des panneaux de bois composites ou stratifiés couverts de
céramiques décorées (colorées, art moderne ou style céramiques
portugaises, islamiques etc …), de pierre calcaire, granite.
e) Certaines dalles pourraient être en caillebotis, pour la
salle de bain (piscine, sauna …) ( ?).
f) On pourrait voir auprès de constructeurs, s’ils sont
capable de faire des carreaux céramiques pré-décorées de grandes dimensions (20
cm de côté). g) Idem pour réaliser des mosaïques d’une seul tenant (avec une
seule plaque en pâte de verre d’une grande taille (20 cm de côté, imitant des
centaines de morceaux de pâte de verre (pB).
Voir avec le groupe « Arc international »).
h) « lavabilité » : Dans certains
pays, on aime laver l'intérieur et l'extérieur de la maison. On pourrait alors
imaginer des plaques de plancher de mur couverts d'un fine couche de Formica©
(solution moins chère que des carreaux de céramique ou de faïence), voire
recouvert d'un produit anti graffiti. Ce type de matériaux permettrait de se
débarrasser facilement des couches noires de moisissures dans les pays chauds
et humide (le Formica© serait utilisé dans les pays en voie de développement).
i) Pose d’un enduit de façade : Pour les
façades des maisons, on pourrait imaginer la projection d’un enduit liquide,
sous pression, par un ouvrier qualifié, par un système de projection semblable
à celui des pistolets de peinture (pB ?).
j) On pourrait imaginer dans certains enduits, pour la
décoration, d’y ajouter un granula de granite ou de sable (pB) (mais attention à l’usure du dispositif sous
l’effet abrasif du sable ou des grains du granula. Pour prévenir leur usure, il
faudrait prévoir des buses interchangeables (pB).
Ce dispositif serait constitué 1) d’un compresseur, 2) d’un gros bidon
contenant le liquide à projet, 2) d’un siphon en acier, pénétrant dans le bidon
[5].
k) Pour éviter que l’enduit projeté et en tombant, souille
le sol, on poserait avant des bâches sur le sol.
l) Création de
panneaux gravés et de frises en bois : On pourrait imaginer la création de « gravures » ou frises sur
bois par estampillage et impression des panneaux / plaques de bois (pB ?).
m) Sur le même
principe, on peut créer à la chaîne de jolies clôtures ouvragées (style russes)
en bois.
m) Solutions techniques :
Les dalles murales pourraient dépasser et recouvrir les poteaux / poutres
métalliques verticales pour des questions d’esthétique et de pont thermique
(voir paragraphe « plaques murales / panneaux muraux ») (B)..
n) solution de
continuité : A cause du
caractère éventuel, de la solution de continuité entre plaques ou entre
plaques & poutres (verticales, voire horizontales), on pourrait imaginer
l’utilisation de baguette de bois de plusieurs mètres de long, qu’on fixerait
sur la fente entre 2 plaques … pour la dissimuler.
o) Sinon, plus les plaques seront jointives et ayant des
côtes exactes, plus la solution de continuité sera parfaite. Sinon, aller aux
paragraphes « joints, bouchons … » et « caches », pour les
solutions de jointoiement.
p) une attention toute particulière doit être
apportée à la solution de continuité, pour que la maison n’apparaisse pas comme
une maison préfabriquée (par exemple, par la pose d’un enduit, d’un plâtre
coloré, de purée de poudre calcaire, etc … sur la jointure entre plaques
(pB ?)).
q) Autre solution : système de double plaque murales
(B) : système se "clipsant" de
chaque côté des poutres métalliques (ce qui renforcerait l'épaisseur des murs
et l'isolation de la maison). En renforcerait leur fixation sur les poutres (en
plus des "clips") par plusieurs vis longues serrant les 2 plaques
ensembles (et ces derniers serrant les 2 poutres métalliques sur lesquelles
elles sont posées verticalement). Pour poser ces plaques, un homme (même seul),
a) soulèverait la plaque verticalement sur les poutres verticales, b)
clipserait et poserait une première vis longue pour faire tenir la plaque. c)
puis les autres vis, d) puis poser la seconde plaque de l'autre côté sur les
vis qui dépassent de l'autres côté et la clipserait, e) puis visserait le tout
avec des écrous (f) puis poserait les capuchons esthétiques sur les têtes de
vis et écrous pour les dissimuler).
r) La solution double-plaque (enserrant de chaque côté les
poutres-piliers verticales) permettrait de dissimuler au regard, les poutres
métalliques de l'ossature (B).
s) Solution demi-plaque isolante + plaque décorative (B) :
Pour des raisons esthétiques, la demi-plaque serait
composée : a) d’une partie isolante ignifuge plus épaisse (5 à 1à cm
d’épaisseur par ex. ?), b) d’une partie plaque décorative (une plaque plus
fine de 2 cm d’épaisseur, qui se fixerait sur la partie isolante par des clips,
vis, boutons pression, scratches ( ?) ou embouts/bouchons à ailettes (voir
ci-dessous) … On pourrait alors changer de décors au dernier moment ou encore
changer de décor et d’apparence extérieure, après la construction de la maison.
t) Ces 2 types de panneaux/plaques sont étanches. La plaque
isolante suffit pour l’étanchéité du tout.
t2) par ex., on peut avoir une plaque isolante en composite
bois-laine roche (1 m x 1 m x 10 ou 15 cm) & une décorative en béton de
résine (1 m x 1 m x 2 cm, très résistante par sa résine et ignifuge. Son béton
de résine pourrait en surface être enduit, coloré, d’un aspect donné en
surface).
u) L’idéal est que les plaques de type « plaques
isolantes » (de protection et de renfort) soient les même pour les
murs, planchers, ce qui économise en coût de production, sauf peut-être pour
les toits.
v) Les « plaques décoratives », des murs et du
toit (voir chapitre « dalles de toit ») dépasseraient à droite et en
bas, et seraient en retrait en haut et à gauche, par rapport à la « plaque
isolante », afin de réaliser la protection du toit et du mur, à la pluie
(permet le ruissellement de l’eau sur les plaques) (B).
Fig4. Système de
fixation des plaques décoratives (une solution parmi tant d’autres) dépliée
(B) (a) plaque isolante, b) plaque décorative). Ici l’embout/bouchon cannelé
est long (entre 10 et 15 cm de long). |
Fig4b. Système
repliée pour son transport (suite) (B). Fig5. Solution
avec a) plaque isolante, b) plaque déco, c) bouchon, d) rondelle cache,
décorative & facultative (B). |
Fig6. Système de
fixation des plaques décoratives, modèle plus raccourci a) plaque isolante,
b) plaque déco (suite) (pb ?). |
Fixation de la
plaque décorative sur la plaque isolante, par des embouts à ailettes plastem©
(pour solution Fig.6b) (+) solution
d’embout/bouchon cannelé vissé sur la plaque décorative. |
Embouts rond à
ailettes Plastem© (autre modèle pour solution Fig.6b). |
Embouts rond à
ailettes Plastem©. (pour solution Fig.6 ou voire fig4. et fig
4b). D’autres
solutions sont encore à l’étude Etc … |
Fig.4. à 6. Systèmes de fixation des plaques
décoratives sur les plaques d’isolation et de protection.
w) Plus tard, on
pourrait imaginer que la décoration des panneaux soit faites à façon et
imprimée ou « sérigraphiée » sur certains panneaux muraux, à partir
d’une œuvre, photos, fournie par l’acheteur.
Composition /
Structure d’un panneau (de façade murale, de plancher, de plafond, de toit …) :
x) Les plaques doivent être composées d’un sandwich de
différents matériaux, garantissant une résistance au feu, et l’isolation au
chaud et froid.
y) Certaines plaques de bétons pourraient être gaufrées ou
en nid d’abeille (pB ?), pour diminuer le
poids de la maison, mais aussi pour maintenir sa résistance aux
forces des cyclones et à l'énergie d'un tsunami (types sandwichs
composites ou bétons enduits de très bonne qualité), sans que la résistance des
mur en souffre, normalement).
Fig. 7 :
Système de montage des plaques isolantes avec les poutrelles (en grisé noir,
les poutres, en gris clair les plaques), avec une lame d’air centrale (ou
vide) prise en sandwich par les plaques isolantes (B). ©B. Lisan. |
Fig.8 Montage pour l’angle (pB). ©Benjamin Lisan. |
Fig9. double
dents constituant une barrière de protection étanche à l’humidité ou au froid
/ chaleur (pB). ©B. Lisan. |
Fig.10. Autre
type de montage d’angle (pB). ©Benjamin Lisan. |
Fig.11. Autre
système (système B1) de montage avec zones jointives entre plaques isolantes,
en oblique (B). ©B. Lisan. |
Fig.12. Détail du
système B1 (B). ©B. Lisan. |
/ |
|
Fig. 7 à
12, différentes solution de montages des poutrelles et plaques isolantes pour
éviter les ponts thermiques (B) .
z) On pourrait utiliser pour les plaques en béton, y compris
pour les « plaques décoratives », du « béton de résine »
très résistant et solide, ce qui permettrait d’alléger le volume et le poids de
ces plaques (leur épaisseurs seraient plus fines).
aa) On peut encore imaginer encore les plaques en béton armé,
classique, en raison de leur faible coût dans certains pays (mais ce qui
augmente le poids total de la maisons, et les contraintes techniques décrites
dans la chapitre « étude des problèmes, des contraintes et leurs
solutions »).
ab) Exemple de la
composition d’un panneau Terrabois® :
Coupe d’un
mur ®Terrabois
ac) Solution
« écologique » pour les pays du tiers monde : la partie
intérieure du sandwich (l’âme) de la plaque pourrait être rempli, par un
sac plastique étanche, rempli avec de l’argile ou de la boue séchée mélangée
avec de la paille (pB ?). Dans ce cas,
l’ensemble devrait être résistante à l’humidité, en particulier la partie
centrale, après avoir été rempli par ce produit isolant et ignifuge.
L’étanchéité de l’ensemble doit être soignée. Tout doit être testé .
ad) matériau « écologique » : dans la
partie isolante de la plaque, on pourrait utiliser un mélange de paille (en
bottes) avec du plâtre ou de la « béton de résine » (voir en annexe).
Piste à étudier (pB ?).
Isolation thermique (résoudre le problème des ponts
thermiques) (suite) :
ae) Pour éviter les ponts thermique, entre les 2 plaques du
système double-plaque, il y aurait un couche ou lame d’air. Les plaques
(panneaux) sont multicouches (dont une avec une couche isolante) (pB ?).
af) Entre les plaques, située côte à côte, on ne doit pas
pouvoir glisser une lame de couteau, ce qui implique une qualité d’usinage et
de fabrication des plaques parfaites. Les plaques doivent s’ajuster entre elle,
par un systèmes de dents en avancée et en retrait (type poinçon-matrice) (B)
_ voir dessins
ci-avant (voir aussi paragraphe « protection contre le froid et la
chaleur » plus loin dans ce document).
ag) Les emboîtements entre plaques doivent être aussi
jointifs que possibles (elles coulisserait entre elles, comme les joints de
dilatations des ponts métalliques) (B). Sinon on pourrait mettre au bout
des « dents » en avancée ou en creux des micro-joints de caoutchouc
ou d’un autre isolant souple (B) (pour renforcer l’étanchéité thermique et humidité).
ah) sur les panneaux, on doit pouvoir prévoir la fixation
d’antennes satellites rondes ou rectangulaires, de panneaux solaires, de
drapeaux, de gouttières, d’antenne de télé, de luminaire extérieur … On bien on
peut facilement les percer pour placer les chevilles de montages de ces
éléments.
Il y aurait des dalles de faux-plafonds. Elles se fixent
comme les plaques / dalles murales (B).
On peut imaginer des plafonds comprenant les luminaires
intégrés déjà intégrés.
plafond avec luminaires |
faux-plafond avecaération |
plafond coloré. |
Plafond avec dalles plexiglass |
On
peut imaginer des faux-plafonds sur lesquels se vissent ou se
« clipsent » des fausses poutres en chêne (pB). Ces fausses poutres pourraient être aussi utilisées
verticalement pour imiter des piliers en bois (voir paragraphe « structure
touristique » dans chapitre « toiture »).
Dalles de plancher 1 x 1 m et 1 m x 0,5 m. Alvéolées ou non,
se fixant comme les plaques murales.
Montage des modules plancher (un peu comme les faux-planchers des salles
informatiques) |
Modules plancher couverts de moquette (ou feutre) |
plancher imitation bardeau (sur ce modèle, on peut avoir des plaques de toiture imitation bardeau) |
plancher en bois (pré-collé sur une plaque décorative) |
Montage des modules plancher |
Exemple profil
style ©Syflex dont on pourrait s’inspirer pour la construction de cloison. |
Plancher ( www.dekkor.ca ) |
Plancher bois ( www.dekkor.ca ) |
Plancher / sol
céramique ( www.dekkor.ca ) |
La taille des modules cloisons seraient de 1 m de large x 2,5
m (ou 3 m) de haut.
cloisonnent en stratifié |
coupe cloison type Placostil® |
cloison (voir
exemple page précédente) |
Voir chapitre « Modules dalles de toit ». Elles se
fixent sur les poutres faîtières (du toit), comme les plaques murales, sur les
poutres murales.
Ces modules en verre pourraient aussi être utilisés pour
réaliser une serre attenante à la maison.
On pourrait aussi imaginer des modules fenêtres rondes
(hublots).
Les
volets en bois, s’ils existent devraient être épais pour protéger la maison des
feux de forêt.
Bloc fenêtre ou vasistas. |
Bloc fenêtre hublot. |
Bloc fenêtre ronde avec croisillon |
Fig.13.Différents modèles de fenêtres |
|
|
|
verres dépolis |
Douple fenêtre |
Volet en bois
épais |
Fig.14.
Charnière triple fenêtre © Benjamin LISAN |
Fig.15.
Articulation tripe fenêtre A gauche fenêtre
grillagée, pour éviter les insectes, A droite fenêtre
vitrée. © Benjamin LISAN (pB ?) |
|
|
Carreau de verre
biseauté … (+) |
Etc … |
Les portes et fenêtres seront livrées préfabriquées, et déjà
montés dans leurs montants (ayant les mesures standards locales, par exemple,
taille porte : 2 m x 1 m, taille fenêtre : 2 m x 1 m … à voir et
étudier).
(+) on pourrait imaginer la fabrication de verre biseauté par
fabrication de verre moulé et trempé (voir avec Arc international) (pB ?) .
Triple fenêtre, incluant des
fenêtres secondaires :
Triple-fenêtre (pB ?), intégrant des
fenêtres secondaires en poupées gigognes dans la fenêtre.
Elle serait
sur le modèle de certaines double-fenêtres monobloc). La fenêtre
principales étant fermée, par une crémone. Et les fenêtres secondaires (en
poupée gigogne / incluses dans la fenêtre principales) fermées par
des targuettes ou des loqueteaux. Pour les loquets, targuettes ou loqueteaux, voir par exemple sur le
site http://www.quincaillerie-ancienne.fr/forge_main.htm
(La
fenêtre principale bien entendue posée sur des gonds à sceller _ ces
derniers eux-même fichés/scellés dans le mur). Voir dessin ci-joint.
Inconvénient
: fenêtre complexe à réaliser (donc coût plus élevé).
NB. Une solution de fenêtre dans le tiers-monde :
La fenêtre est composée
d’un châssis unique qui porte la grille antivol, la moustiquaire et la vitre.
Cette « composition » diminue fortement
le prix total. En effet, lors de la construction de maisons modernes,
les ouvertures comportent normalement trois châssis : un pour l’antivol, un
pour la moustiquaire et un dernier pour la vitre. En outre la moustiquaire est
en général fixe et ne peut pas être ouverte comme une fenêtre. Dans le modèle
proposé, seule la partie antivol est fixe, la partie moustiquaire et la partie
vitrée pouvant être ouvertes. Cela facilite les opérations de nettoyage et
permet, quand cela est nécessaire, une réelle aération du local.
Source : http://www.niger-ue.net/proformar/fenetre/fenetre.htm
Ces poutres supportent les plafonds, les étages et le
plancher. Elles sont pré-percées. La
longueur des poutres verticales seraient de 2,5 m et 3 m de long.
Par exemple, poutre monobloc (long. 2.50 m, 200 kN).
Les poutres en métal pourraient être ajourées.
Toutes les poutrelles métalliques verticales sont porteuses.
Exemple de profils de poutres envisagés :
Profil composé |
Tube à section carré |
Poutre à section / profil en U (UNP / UAP) |
Poutre à section / profil IPN |
Poutres ajourées |
Poutre aluminium |
Fig16. Système de
liaison entre poutres métalliques horizontales, par platine fixée sur la
poutre horizontale © Benjamin LISAN
(B) |
NB. On pourrait aussi envisager, suivant les disponibilités locales, la solution alternative de poteaux porteurs en béton, « cannelurés », percées de trous (2,5 m x 30 cm x 30 cm) et des poutres faîtières porteuses, percées de trous, aussi en béton (2,5 m x 30 cm x 30 cm) (B). Solution plus lourde.
Normalement, la solution la plus simple qui serait retenue
pour les poutres verticales, seraient des poutres IPN pré-trouées (tous les 20
cm), tout le long, de 2,5 m ou 3 m de haut (B) _
voir solution pour poutres horizontales sur le dessin ci-après.
Les cloisons sont parallèles aux poutres de la charpente.
Poutre en bois stratifié |
Poutre en bois pour plancher. |
Fig.17. Système
de liaison entre poutres métalliques horizontales, avec une poutre métallique
en U s’enfichant de chaque côté d’une poutre IPN, l’ensemble étant solidarisé
avec 6 à 8 vis © Benjamin LISAN (B) |
Normalement, la solution la plus simple qui serait retenue
pour les poutres horizontales, seraient des poutres IPN spéciales de 2,5 m et 3
m de long (voir solution pour poutres horizontales sur le dessin ci-avant et à
droite) et pré-trouées tous les 20 cm (B).
Pour solidariser les poutres horizontales entre elles, une
poutre en U (de 2,5 m et 3 m de long ( ?), de plus petites
dimension, serait glissée, dans la rainure de la poutre IPN horizontale (B).
Avec ce système, on peut avoir des longueurs de poutres
variées (B).
NB. Il faudra étudier la charge maximale en flexion avec ce
système.
Fixation des poutres verticales et horizontales
Des platine-équerre double (voir chapitre « éléments de
fixation ») seraient fixées sur la partie plate de la poutre IPN
horizontale (B).
Les poutres IPN verticales, seraient fixées verticalement
entre le deux pattes de la platine-équerre double (comme sur le dessin
ci-après) (B).
Elles sont destinées à
relier les plaques et poutres, entre elles.
Exemples de différents
éléments de liaisons entre les poutres :
|
|
|
|
Fig.18. Système de fixation IKEA © |
Fig.19. ©Benjamin Lisan |
Fig.20. ©
Benjamin LISAN |
Fig.21. © Benjamin LISAN |
Fig.22. Equerres © dessin Benjamin LISAN |
Fig.23. © Benjamin LISAN |
Fig.25. © Benjamin LISAN (pB ?) |
Fig.26. © Benjamin LISAN (pB ?) |
Fig.27. ©
Benjamin LISAN (pB ?) |
Platine-équerre double. |
|
|
Tous ces éléments étant de grande dimension et sur
dimensionnés pour accepter des facteurs de charge élevés.
Il faudrait que le nombre de types d’éléments soit limité (ce
qui réduirait les coûts de la maison).
Solution fixation poutres - plaques murales : On
pourrait encore utiliser les fixations IKEA, assez ingénieuses, mise en
œuvre au niveau de bibliothèque IKEA ou des mezzanines IKEA, entre panneaux et
entre panneaux et montants verticaux. Ce système est composé d’un écrou
glissant dans le colimaçon d’un cylindre métallique et d’une vis/tige filetée.
La partie cylindrique en colimaçon serait intégrées dans les plaques en bois et
la vis solidariserait la poutre métallique verticale à la plaque murale en
bois. Ce système pourrait être réutilisé pour la fixation solidaire (ensemble)
des « panneaux ou plaques décoratifs » (b) sur les « plaques
isolantes » (a) (pB ?). Ce système où avec un tournevis, on tourne une vis
qui fait tourner une spirale qui se ressert, permet d’avoir une force de
serrage énorme et les plaques décoratives ne risqueraient pas de s’arracher
sous l’effet des vibrations dues à un vent de plus de 200 km/h (cyclone etc. …) (voir avec IKEA ou
voir si brevet ou si domaine public).
Fig.28. Fixation
des plaques décoratives (b) sur les plaques isolantes (a) (pB ?). |
Des « rotules à 4 pattes », dont l’angle est
bloqué/fixé par une vis et un écrou, servent à fixer et solidariser les poutres
des charpentes du toit entre elles et avec les poutres verticales des murs
porteurs (voir aussi voir « rotules à 6 pattes » dans chapitre
« toiture complète et montée ») (B).
Les éléments de « solidarisation » seront soit en (pB ?) :
a) plastique très solide (mais attention au feu),
b) en aluminium traité, anodisés (un peu moins cher, mais
cher pour ces pays),
c) en aciers, couverts de protection anti-rouilles (type
minium ou mieux _ galvanisation, recouvert
d’une couche plastique « apprêtée », d'un film plastique
isolant indéchirable, d’une couche béton de résine, (bitume ?), …).
Tâche : imaginer l'agencement, la forme des
panneaux/éléments/modules, et des éléments de
« solidarisation » des panneaux entre eux (tubes en acier, poutres en
bois etc. ...).
Les éléments de liaison peuvent être recouverts de plâtre, de
béton (y compris de béton de résine), de peinture, de bitume, d’une couche
plastique … (pB ?).
a) Ces blocs sont des blocs en béton.
b) Ils peuvent éventuellement surmontés par un « silent
bloc », pour amortir les vibrations en cas de tremblement de terre. La
maison est juste posée sur ces blocs (et non fixée dessus). Dans les pays du
tiers-monde, on pourrait envisager qu’elle soit montée sur des pneus de la même
taille.
c) Ils seraient soit livrés avec le kit, soit moulés sur
place (dans un coffrage cubique, voir coffrage syflex).
d) Les blocs posséderaient plusieurs trous (filetés) sur
lesquels seraient fixés les poutres métalliques horizontales, par des vis. (En
cas de moulage, des tubes avec l’intérieur fileté seraient noyés dans le béton,
et une extrémité ouverte dépasserait de la surface du béton, afin d’avoir un minimum
de 4 trous filetés apparaissait sur le dessus du plot).
e) Il doit être possible de soulever et déplacer les blocs ou
plots de bétons par 2 hommes ( ?).
f) Eventuellement, pour prévoir le cas de tremblement de
terre et de tsunami, raz-de-marée, inondations, les poutres métalliques du
plancher serait pas vissés sur les plots, mais a) soit vissés avec des vis en
plastiques (faciles à couper, à cisailler), b) soit posés, c) soit collés sur
les blocs/plots.
Pare-peint (solution tiers-monde). |
Plot en béton
avec vissage montant sur platine bi-pattes. |
support à placer entre les plots et les poutres horizontales du tour et plancher de la maison |
support dalles
de plancher léger (solution peut-être fragile). |
|
Plot ©Rempel Bross |
Plot ©Rempel Bross |
bloc béton ©Delta Bloc |
Plot moulé à la
main dans coffrage. |
Silent-bloc
amortisseur (exemple). |
Fig.29. Plot
conique à trou central carré © Benjamin Lisan (voir armature sur le dessin de droite) (B) |
Fig.30. Armature métal, en forme d’étoile de neiges, du plot © Benjamin Lisan (B) |
Fig.31. Patin
métallique, support d’un pilotis © Benjamin Lisan. Note : ce patin pourrait être créé par emboutissage (et pourrait être en Inconel ( ?)). (+) (B). |
Plaques de
bétons du chemin d’accès à la maison, imitant les pavés en grès. |
|
Gros patin en
plastique solide de support de pilotis ©Plastem (pB) |
palan à utiliser
avec dispositif de la photo de droite. |
Chariot
démontable à palan utilisé normalement pour le déssouchage, qu’on pourrait,
munis de grosses roues pleines, utiliser pour déplacer les blocs / plots
en béton. |
Fig.32. Engin de
levage, composé d’un chariot à roues solides tricycle, repliable (+). (+) repliable
comme le chariot de l’ULM pendulaire KLIPO (ici une roue d’ULM). (pB ?). |
|
Fig.33b. Tubes
pilotis à section carré (b), (d), (e), de différentes tailles, s’insérant
entre la platine (a) et le patin support (c). |
Fig.33. Montage
Patin support, platine et poutrelle horizontale exté. du plancher (B). |
|||
g) On peut imaginer des plots coniques (en béton), à trou
central carré, permettant d’y enficher des pilotis.
h) Et des plots (en béton) de plusieurs hauteurs et diamètres
des plots, selon le poids et le modèle de la maison et la résistance du sol.
i) On pourrait imaginer à la place des blocs, une plaque
ronde métallique, en forme de gros patin rond (aux bords recourbés vers le
haut), pour y poser un pilotis (B). Plaque protégée par un traitement (couche de béton
d’apprêt) contre la corrosion (B).
j) Les lourds blocs de bétons pourraient être déplacés 1)
soit sur des sortes de luges elles-même avançant sur des rondins en bois
(technique égyptienne), 2) soit par palan monté un portique qui lui même
possède 3 ou 4 pneus pleins, avec frein à tambour (voir figure ci-dessous),
portique auquel est suspendu un palan ou treuil manuel (dans et sur le dessus
du bloc de trouve un anneau en métal _ acier _ pour soulever le bloc) (pB ?).
Note : Lors de leur transport (en camion etc. …), ces
blocs doivent être bien arrimés (voir chapitre « transports, livraisons
… »).
k) Solution avec patins support ronds en acier :
en métal ou plastiques très solides, sous lesquels on peut mettre des ronds
plastiques très solides.
l) On pourrait imaginer des platines avec 2 pattes
horizontales se fixant par des vis sur la partie plane de dessous des poutres
métalliques du plancher et terminées sur leur côté bas, par un
« poinçon » à section carré, qui s’emboîte exactement dans la matrice
carrée du « patin support » ou dans un tube pilotis à section carré
(+) (B). Ainsi, on
pourrait construire les maisons sur pilotis et sur les des pentes. Ces pilotis
pourraient permettent de rendre la maison inaccessibles aux nuisibles
(rongeurs, mulots …). (voir aussi chapitre « planchers » ou
« dalles de planchers »).
l) Pour cacher le vide sous le bas de la maison (en-dessous
de celle-ci), on placerait une série de jupes ou bien des « plaques
décoratives » plus longues et descendant vers le bas jusqu’au sol (pB).
l) Chemin d’accès à la maison : on pourrait
imaginer la pose des plaques en béton imitant les pavés en grès (reliés entre
elles par des agrafes en acier traité anti-corrosion) (pB ?).
On les placera entre les plaques, les poutres, les
entretoises, en longues bandes de polyéthylène, de caoutchouc ou en Rubson
(voire en silicone).
|
Joints pour fenêtres ou plaques d’isolations |
|
|
Embout à ailette
(pour plaques décoratives) (en plastique ou
caoutchouc très durable) |
Embout à ailette
(idem) (en plastique) |
|
Bouchon pour boucher les trous non utilisés des plaques (d’étanchéité ou décoratives). |
Différentes solutions envisagées :
1) Entre plaques : a) Les
interstices seront jointoyés par des joints d’étanchéité ou de la pâte
« étanchéifiante », pour fermer/colmater les interstices entre les
poutrelles métallique portant / supportant les panneaux de bois, et ces
derniers panneaux de bois. Cette pâte « étanchéifiante », étant soit
en tube, comme pour le mastic silicone, ou présentée sous la forme de bandes
Rubson. Elle pourrait être du mastic silicone coloré, un bitume coloré, une
colle coloré, à la couleur de la maison.
Eventuellement, le joint liquide
coulerait, par gravité, du haut vers le bas, dans l’interstice entre la poutre
verticale et les panneaux.
b) Pour les pays du tiers monde, la pâte d’étanchéité
pourrait être de l’argile ou de la boue séchée mélangée avec de la paille.
c) Pour bien caler les plaques avec les poutres verticales,
on glisserait entre les deux des cales ajourés, disposées verticalement (par
exemple tube plastique en PVC) (pB ?).
d) une solution plus moderne serait que les plaques soient
déjà entourés, sur tout leur pourtour, d’un joints de caoutchouc (noirs, gris,
blancs), à l’image des joints de caoutchouc pré-posés sur le pourtour des
fenêtres modernes ou des portes des frigos. L’idéal serait que les dimensions
des plaques soient très précises afin qu’elle se joignent sans laisser aucun
espace entre les plaques (et tenant compte des effets de la dilatation et des
vibrations dues aux forts vents) (pB ?).
e) On pourrait imaginer des joints caoutchouc au bords
strictement carrés (quadrangulaires, afin d’éviter les fuites et déperditions
thermiques) entourant tout le pourtour de la plaque et fabriqués par un
fabricants de joints automobiles et de joints de par-brises. Le joint se fixant
très simplement, comme un joint élastique autour d’une porte de voiture (pB ?).
f) On pourrait imaginer qu’un injecte, avec un pince tuyau
long (ou longue canule), de la mousse polyuréthane, dans les orifices et les
interstices (le défaut de cette dernière solution est qu’après la maison est
moins facilement démontable, si on doit la démonter).
2) Au niveau des orifices : Des bouchons en
plastique colorés servent à boucher les trous pré-percés dans les plaques en
bois (ou poutres) ou pour couvrir les boulons et tête de vis.
Ces joints doivent résister aux chaleurs et froids extrêmes,
au soleil (pas de fissuration ou de fonte).
Pour les parties inesthétiques (creux, rigoles apparente des
poutres), on pourrait prévoir des panneaux caches à poser sur ces parties (mais
il faudrait arriver à en réduire leur nombre).
Voir aussi le chapitre « joints, bouchons … » et
« plaques murales » (paragraphe « solutions de
continuité »).
Ces boulons et vis, pour métal, sont destinés à relier et
fixer tous les éléments 1, 2, 3 entre eux. Les vis pourraient être Allen, ou à
têtes carrées ou hexagonales. Ils seront sur-dimensionnés, pour facteur de
charge élevés _ Par exemple, vis & boulons Allen inox M10 x 8 cm, à
tête carrée, 200 kN.
Certains boulons pourraient être munis de goupilles de
sécurité.
(Pour certains endroits, vis enPVC ?).
On pourrait utiliser des Clips, en acier inox, semblables aux
chevilles de vis (ou chevilles spéciales en acier souple élastique)_ voir
photos de ces chevilles ci-après (pB).
Vis acier très longues & très solides. |
|
Vis très longues (15 à 20 cm de long sur 1 cm de Ø). |
Chevilles en acier souple et élastique. |
Ce « bloc sanitaire » est en béton (ou en bois),
comprenant douche, lavabo et WC, cheminée, conduit de cheminée, pour la salle
de bain, la cuisine et le salon, en plusieurs modules assemblés ensembles.
La cabine de douche et la salle d'eau sont conçues par éléments
monobloc complètement étanches à l'eau. Il faudra prévoir une colonne centrale
unique dans la maison ou passent les tuyaux d'eau venant de la citerne,
des eaux usées vers le puisard, le tuyau PVC, vers la fosse sceptique et les
câbles électriques. Il
faudrait dans la maison (dans la cuisine et salle de bain) des compartiments de
rangement en béton ou en bois éventuellement étanches (aux inondations).
Sol.1 : Bloc
salle d'eau repliable |
Sol2. : Bloc
sanitaire économique (pays du tiers-monde, par exemple) |
Coin lavabo |
Etc. .. |
Voir
aussi, dans le document, la partie annexe « WC écologiques » et la
partie « puit sanitaire ».
Bloc kitchenette |
Bloc kitchenette (suite) |
Bloc cuisine avec cuisson 3 feux |
Foyer indien (tandoors) Pays du tiers-monde |
Note : Les blocs
placards kitchenette ou lavabo pour les petites unités (petites maisons) seront
des sous ensembles du « bloc sanitaire » global.
S’inspirer de l’agencement
intérieur des camping-cars ou des chalets Bénéteau.
Cas des pays du tiers-monde :
Prévoir dans la cuisine, un garde-manger grillagé ou, si le propriétaire est
plus riche, un emplacement pour un réfrigérateur 12 V (si présence de panneaux
solaires sur le toit) ou un réfrigérateur à gaz (avec une bombonne de gaz).
La citerne alimenterait les éviers de la cuisine, la douche
de la salle de bain et les WC.
|
|
|
|
|
© ERCON (Inde) |
|
|
Une citerne de
récupération des eaux de pluie, servira pour alimenter les besoins pour le
jardin ou le potager (s'il y en a un plus tard) et un réseau secondaire
alimenté par l'eau de pluie (filtrée) pour tout ce qui ne nécessite pas d'eau
potable dans la maison : WC, douches, laver le linge, vaisselle ...
Citerne de 12 à 14 m3 de volume utile (3mx2mx2m),
préfabriquée en béton, divisée en 2 compartiments, le plus petit (10 à 20% du
volume total) servant de décanteur avant déversement dans le grand
compartiment, à l’intérieur de la maison pour protéger et rafraîchir l’eau.
Eventuellement, dans les pays du tiers-monde, une pompe à
main (Tyga corp, LiftRite Ergolift/Ergonomic3000 …) puisera l'eau dans le fond
du grand compartiment.
La citerne devra être munie d'une ouverture suffisamment
grande pour permettre d'y pénétrer (trou d'homme/chambre de visite). Un trop
plein doit permettre d'évacuer l'eau excédentaire. Il faudrait prévoir une
aération de l'eau. La pompe est munie d'un réservoir tampon (20 à 300 litres).
Les filtres sont intégrés à la pompe qui injecte l'eau de la citerne. Un filtre
« dit primaire » avant l'entrée de l'eau dans la citerne afin d'éviter que des
feuilles ou de petits animaux tels que rats, souris, grenouilles, ne tombent
dans la citerne. A la sortie de la pompe, un filtre d'au moins 20 micromètres
pour retenir les particules fines. Attention, de nettoyer régulièrement les
filtres.
-
La citerne en béton risque se fissurer si la préparation du sol est mal faite.
Il faut insister là-dessus. Avec une variation de poids de 12 à 13 tonnes, le
sol peut s’enfoncer à des endroits préférentiels, sous cette surcharge. De plus
le béton n'est pas souple .
On peut aussi imaginer une citerne en plastique, plus légère
(voir chapitre des fabricants de citernes plastiques en Inde dans le document
[1]).
La trappe d’accès (cadenassée) à la citerne (en béton) se
situera peut-être sur le toit.
Il
faudra étudier l’opportunité d’une jauge pour mesurer la quantité d’eau
restante dans la citerne ( ?).
En Inde, la
plupart des maisons sont équipés de citerne en PVC assez inesthétiques, sur
leur(s) toit(s), mais peu coûteuses. On pourrait alors prévoir ces citernes en
couleur claire ou blanche (il en existe en blanc en Inde).
Bassin de rétention d’eau (facultatif) :
1ère solution : une grande bâche plastique créant un point
d'eau. A étudier.
Le bassin de rétention sera alviné avec un poisson, le
gambusi, qui servira à manger les larves de moustique, les carpes les feuilles
et plantes, pouvant se développer ce point d’eau.
|
|
Suggestions : Chauffe-Eau Solaire Monobloc (Ballon et
capteur situés en toiture (voir § « toiture »).
Modèle
VAJRA (Tata) de Systèmes de chauffage
Solaire Domestique (contenance 100, 200, 300 et 500 LPD). Réservoir Isolé en
acier Inoxydable. Travaille efficacement même dans conditions extrêmes
Note : On pourrait aussi concevoir
des chauffe-eaux solaires, avec un bidons de pétrole neuf, peint en noir mat,
relié à des tuyaux PVC noirs (mais attention, au risque de prolifération
bactéries. L’eau chaude risque d’être non potable).
|
|
|
|
|
Cette solution, ce plus, ne peut être envisagé, que si on en
a les moyens (car augmente considérable le budget de la maison). Nous suggérons
ceux de la marque Tata (TATA
BP Solar Limited India ), fabriqués en Inde : http://www.tatabpsolar.com/
Un kit
Solaire Tata, avec panneau solaire à fixer sur le toit, batteries, et
régulateur électronique (pour alimenter 1 à 3 ampoules 12 V, la nuit dans la maison)
est vendu en Inde, pour moins de 150 €.
Modules Solaires jusqu'à 170 watts. Maintenance Minima
Résistant à eau, abrasion et impact.
Poids-léger anodisé, encadrement d'aluminium avec bordure en
mastic autour du cadre alu.
Verre Durci (trempé). La boîte de jonction à l’épreuve de la
météorologie, avec le couvercle à charnières et des vis captives, 3 point câble
l'entrée avec des « glands de câble », appropriées, et pour série et
la connectivité parallèle.
Approprié pour l'Éclairage Domestique, l'Éclairage de Rue,
le Réseau de puissance Domestique, la Réfrigération Médicale, les Lanternes
Solaires, le pompage solaire. …
Modèle JUGNU (Tata)
de Kits d'Éclairage Solaire Domestique :12 V .
Kit de Utilisation prêt avec Module Solaire, Batterie(pile),
Régulateur, Électronique et Luminaires
Disponible dans un grand choix de modèles. Plusieurs
milliers d'installé dans le Sous-continent indien.
Note : il existe maintenant des panneaux solaires
couplés avec une pompe à chaleur fournissant de la chaleur l’hiver et du froid
l’été [6].
Ce genre de solutions récentes ; complexes et coûteuses sont réservés aux
clients riches [7].
© Tata BP Solar |
© Tata BP Solar |
Les canalisations sont souples et ont des liaisons
mécaniques.
Tuyau flexible
flottant. |
|
Liaison
mécanique. |
Tous les tuyaux de taille importante (évacuation eaux usés,
WC) seraient en PCV.
Les liaisons électriques sont pré-câblées, dans leur gaine,
pour l'éclairage, le son, la téléphonie voire l'informatique. Tous les câbles
et tuyaux passeront sous le plancher ou dans le plafond ou double plafond,
faits de panneaux démontables.
|
|
Il sera composé de dizaines de plaques « niches de
bibliothèque » de 1 m x 1 m (et d’éventuelles sous-niches) :
Mur bibliothèque. |
Mur de rangement pour les vins (à la cave). |
support escalier ©François Gérard |
escalier modulaire proxima |
escalier modulaire S2. |
Exemples
de pompes manuelles, pour pays du tiers-monde (voir page suivante) :
|
|
Pompe © Approtec |
Pompe Approtec en action. |
Placer avec un filtre bactérien (par exemple un flitre
Waterloo Biofilter™).
Une pompe solaire est plus coûteuse.
Facultatif
(dépend s’il y a une possibilité de se relier eau de ville ou non).
Le puit pourrait
être un puit de 4 mètres de profondeur, constitué de 120 blocs de bétons
semi-circulaires (arrondis), non bétonnés ( ?) (source PNUD).
En raison
du coût du puit, 4 maisons + 1 pompe pourraient s’y raccorder (Buse, tuyau en
béton .. techniques connues là-bas).
Note : il se peut que
la nappe phréatique ne soit pas potable (car saumâtre ou contaminée _ arsenic …
). L’eau de la nappe servirait alors à la lessive, vaisselle ( ?),
toilette.
Voir si
l’eau pluviale récoltée sera suffisante (hors période de mousson) _ pour cela,
il faudrait connaître les statistiques locales _, avec la surface de toit
prévue (toit avec ses avancées en béton, type véranda). L’idéal serait d’avoir
les 2 : a) puit, b) récolte d’eau de pluie par la toiture.
Ce puit
d’eau douce devrait être éloigné des éventuels puisards et puits sanitaires.
Technique
de creusement et construction de puit, en pays du tiers monde :
Elle
serait la suivante :
a) On creuse le trou
(pioche, pelle, seau tiré par une corde),
b) on
solidifie provisoirement la paroi par un coffrage circulaire type Syflex
(constituées de bandes ou viroles circulaires)
(pB ?),
c) on
recreuse ensuite sous ce coffrage puis on pose un nouvel anneau ou virole, sous
l’anneau précédent situé juste aussi,
d) on
refait cela, en descendant, ainsi de suite, jusqu’au fond du puit.
e) on
pose et on monte les blocs de parpaings du puits, chaque blocs ayant la
forme d’une pièce de Lego s’emboîtant avec les autres blocs comme des Lego (pB ?) _ voir images de ces blocs ci-après,
f) puis on
retire la virole du dessus et on repose une nouvelle rangée circulaire de blocs
(cela pour éviter que les parois provisoires du puit s’éboulent sur les
travailleurs).
A la fin
ou durant le chantier, les éléments de coffrage de type Syflex, seront démontés
(on les récupère). Puis à la fin, ils sont rangés sur un camion, pour une autre
utilisation ultérieure.
On doit
calculer jusqu’à quelle pression le coffrage pourrait résister aux parois
provisoire du puits, parce qu’il faut à tout prix que le coffrage se brise et
que ces parois s’effondrent sur les ouvriers.
(voir
aussi chapitre « Annexe : Puit sanitaire (pays du tiers monde) »).
Ces
parpaings, dans leur modèle droit, peut servir à la construction de caves
enterrées, et dans leur version courbe, à la construction de puits _ voir
dessins de ces blocs de parpaings
ci-après :
Fig.34. Parpains en béton emboîtables @Benjamin LISAN
(pB ?) |
Fig.35. Parpaings courbés pour la pose du mur du puit et
pour l’étançonnement du puit @Benjamin LISAN (pB ?). |
Fig. 36. Creusement du puit avec technique de pose de
viroles de type Syflex @Benjamin LISAN. |
Figures ci-avant : Idées de parpaings,
permettant leur emboîtement, légèrement courbés, utilisés pour étançonner les
parois de puits et droits pour la construction de caves enterrées.
Note : les parpaings pour le caves enterrées
seraient pré-troués sur une de leur face, afin de pouvoir y ranger des
bouteilles (trous dans lesquels on glisse les bouteilles). On peut aussi
imaginer l’utilisation de parpaings courbés pour la conception de caves
enterrées hélicoïdales rondes (voir annexe : cave).
En pays industrialisé, on
utiliserait un mini-tunnelier automatique, posant lui-même les blocs de bétons
des parois du puit (idée à développer, plus performante que le derrick tracté
avec une foreuse à vis).
Facultatif.
Puisard désodorisé par un filtre à charbon actif (« charcoal »
ou « active carbon »), composé de deux
systèmes combinés de filtration lente sur sable et d’adsorption sur charbon
actif.
Sous
la forme d’un trou circulaire, composé d’une succession de couches de sable et
de charbon actif, filtrant les eaux usés de la lessive … (voir documentation
sur les puisards en fin de ce texte).
Le
débouché du puisard doit être loin du puit d’eau potable, pour des questions
d’hygiènes.
Ces dalles se recouvrent légèrement, sur deux côtés
contiguës :
plaque Sopraplac© Guttanit. |
Plaque de toiture imitation bardeau (bois traité dans la masse anti-intempérie par vernis marin ou résine) |
Panneau / plaque fausse lauze |
Panneau / plaque fausse ardoise |
|
|
|
|
Fig.37. « Rotule 4 à pattes », élément de solidarisation entre poutres métalliques, au niveau du fait du toit ou entre poutres du toit et poutres verticales porteuses © Benjamin LISAN (B) |
Fig.38. Rotule à 6
pattes (B). |
Solution attaches / fixations tuiles vibrées lourdes (pays tiers-monde) |
Structure de la plaque de toiture style
Renosteel© |
Plaque de toit (dalle isolante) 1 m x 1 m Coupe de la dalle (composé d’un sandwich d’OSB et de Styrofoam Lb ©) |
Toit en chaume (plaque sur laquelle est posée et collée, la chaume, une chaume traitée à cœur, antiparasitée, ignifugée). |
Toit en chaume. |
Plaque de toit avec coffrage (percé de trous d’évacuation d’eau sur les côté) remplis de bottes de paille, enduites de plâtre d’un côté et d’un produit retardant écolo ( ? non toxique pour plantes) _ pouvant servir pour les toitures végétalisées si l’on rajoute dessus une sur-couche de terreau. |
Bottes de paille plâtrées d’un côté, enduites d’un produit retardant écolo ( ?) |
plaque fausse tuiles canal tuiles vibrées très lourdes pays
tiers-monde (fabriquées manuellement, voir plus loin dans le document). |
Garde-neige (pare-neige) |
Plaque
Dentineige® plaque décoration
paille (pB). |
Teintes des tuiles. |
Voir
aussi paragraphe « toiture montée », ci-dessous.
a)
Les plaques de toit seraient plus légères que les plaques murales (par exemple
en composite bois). Elles seraient juste fixées par des vis et boulons (et écrous)
sur les poutres métalliques du toit.
b)
Un système de « rotules à 6 pattes »
(B), permettra de monter des toits à plusieurs pentes (à cassure de
pente) _ 2 pattes fixées sur une poutre porteuse, 2 autres pattes fixées sur
une poutres d’un des 2 toits, et encore 2 dernières pattes fixées sur la
poutres de l’autre toit (et étant dans le prolongement de la poutre précédente)
(voir la Fig. 7 de « cette rotule
de toiture à 6 pattes » plus haut dans ce document, au paragraphe
« plaques isolantes »). Avec ce type de rotules, on pourrait imaginer la
construction de toit de carbets amérindiens, de case créoles, de toit en coque
de bateau renversé, pour la construction d’église, de granges, de salle
communales, voire même de petits bâtiments industriels etc. …
c)
Les « rotules à 4 pattes » (B),
serviraient à relier les poutrelles des murs, avec les poutrelles du toit, ou à
relier les poutrelles de chaque côté du toit, au niveau du sommet (du faît) du
toit.
d)
Les « plaques décoratives » du toit, dépasseraient à droite et en bas
(et seraient en retrait en haut et à gauche), par rapport aux « plaques
isolantes » afin de permettre l’isolation face à la pluie ou le
ruissellement (B).
e)
Au niveau du faît (du sommet) du toit (pour protéger), il y aurait un
« tuile » ou une plaque angulaire faîtière, clipsable ou vissable sur
la « rotule à 4 ou 6 pattes » (B).
f)
Toit en chaume (en joncs ou de paille) : On peut imaginer des
modules isolants épais recouverts d’une couche de chaume de seulement 10 à 20
cm d’épaisseur, et de modules de haut et de bas de toit (ou pour ce qui est des
modules du bas de toit, la paille sort d’un côté du module comme une brosse et
de la partie isolante sur laquelle elle est fixée par de la résine époxy (pB ?)). Les joncs seront liés entre eux par de
la colle résine (pB ?). Un ouvrier qualifié
posera des joncs à la main, pour dissimuler ensuite les solutions de
discontinuité entre modules / plaques de toit recouverts de chaumes.
g)
on pourrait imaginer des structures touristiques, en forme de grandes huttes,
de carbets, avec des toits à cassure de pentes, des plaques décoratives couvertes de pailles, et des piliers
faux-bois.
h)
Toiture végétalisée : on imagine soit des
« plaques-coffrage » _ percés de trous sur les côtés pour
l’évacuation d’eau et dont le fond est étanche (fond de la plaque bitumé ?
ou utilisation de feutres bitumés, de bandes d'étanchéité en haut-polymères …)
_ dans lesquelles on dépose le terreau et le gazon en rouleau (qu’on découpe
sur place), soit des plaques étanches possédant des barres horizontales
anti-chutes de neiges (pour éviter que le terreau glisse et s’en va avec la
pluie) (pB ?).
i)
Note : une vieille solution écologique scandinave pour étanchéifier
une toiture végétalisée était de déposer, sur le toit, de longue bandes
verticales d’écorce de bouleau, avant de poser le terreau et le gazon (voir
photos de ces solutions plus loin au chapitre « Toiture montée »).
j) Arrosage : Le propriétaire arrosera son toit végétalisé, soit avec
son simple tuyau d’arrosage, soit avec des canalisations goutte-à-goutte posées
sous le gazon (mais alors, il faut bien gérer le volume d’eau dans ce dernier
cas, pour ne pas inonder le toit).
k)
Les tronçons de gouttières seraient d’un mètre, en PCV, en acier galvanisé, en
bois, en bambou …
Notes :
Pour le calcul du toit et de sa charge, on doit tenir compte en plus a) du
poids éventuel de la couverture végétalisée & de l’eau maximum contenu dans
la terre, b) du poids de la neige (tenant compte du maximum climatologique du
lieu) [8].
Toutes ces solutions doivent être rigoureusement testées, en particulier
pour l’étanchéité du toit. Elle doit respecter des normes [9].
Les
parties (c’est à dire ce paragraphe « module dalles de toit » ainsi
que le paragraphe suivant « toiture montée ») concernant la conception
et le montage de la toiture sont les parties réellement innovante
(novatrice (B)) de ce projet.
La
maisons en kit, est livré avec une livre de montage, un jeux de plans A4, A3 et
A2 et tous les outils servant à son montage _ échafaudage, échelle, treuils
manuels, clés, clé-anglaise …
On peut monter la maison a) par un entrepreneur indépendant
(agréé par le revendeur), b) par les ouvriers de la société qui la vend
(EVOLUTIVE-HOUSES®, IKEA, LaPeyre … ), c) par soi-même.
Exemples de montage poutres et éléments de liaisons (page
suivante) :
© Profils du futur |
poutre de charpente ou du plancher. © Profils du
futur |
Débord fixe avec
lambrequin © Profils du futur |
© Profils du futur |
Tirants
ajustables © Profils du futur |
|
Montage poutres acier |
Montage poutres acier (2). |
|
Montage poutres aluminium ©Aluvan |
montage © Profils du futur |
montage © Profils du futur |
Eclaté-poutre-connecteur-CU
©SODEM system |
Soutènement de
plancher en alu. |
Portique métallique J. Prouvé (autre solution, pour mention). |
Cette maison aurait un
système très simple d'attaches ou de fixations des panneaux sur les poutrelles
(une solution étant de percer les poutrelles de trous, pour faire passer les
vis).
Les poutrelles
pourraient être métalliques, en métal galvanisées (cad trempées d’abord dans un
bain de zinc fondu, après avoir été brossées, après la sortie du laminoir, pour
éviter tout point de rouille, puis après avoir été refroidie passée dans un
bain de colle plastique à chaud _ colle pouvant être colorée en une couleur
esthétique _, afin de résister aux agressions du sel marin) en bois très solide
(par exemple en bois stratifié).
Par ce système, on
pourrait construire toute forme possible de maisons y compris sur pilotis
(des pêcheurs du Sri Lanka ont besoin de maisons sur pilotis, car l’espace sous
la maison leur sert de remise à leurs instruments de pêche, leurs filets etc.
…).
Si
les éléments de solidarisation sont des tubes en aciers _ à section carré ou
éventuellement à section en U, leur section étant égale à l’épaisseur des
panneaux en bois, de 1à ou 15 cm de côté, tubes de 5 à 10 m de long, galvanisés
et recouverts d’une protection plastique
_, il faudra étudier comment on les agencera et solidarisera entre eux,
pour constituer l’ossature de ces maisons, par exemple :
Les tubes ne seraient pas soudés entre eux comme sur ces photos, mais
vissés ensembles avec des écrous et des boulons. Sur ces tubes seraient
pratiqués trous _ trous utilisés faire passer les vis de liaisons avec les
panneaux en bois de 1 m x 1 m (voir dessins, deux pages plus loin).
Un tube court (20 cm) à section carrée, un peu plus large, pourraient
être emmanchés dans 2 tubes longs, afin de les prolonger. Cela afin de
constituer des poutrelles de plus longue portée encore.
Certains tubes se termineraient par des bouts cylindriques,
pour s’enficher dans des trous circulaires pratiqués dans l’extrémité d’autres
tubes. Les gros poutres à section carrée, formerait l’ossature de la maison,
tandis que des croisillons de poutres plus fines s’enfichant dans les premières
servirait à construire l’armature du plancher et du toit. Armatures sur
lesquels reposeraient des planches Multiplat étanches et résistantes aux
éléments, servant de toit ou de plancher.
Technique de construction
combinant poutrelles acier et plaques de bois ou composites _ on fait glisser
entre les poutrelles verticales murales, « les panneaux isolants » (B) © Benjamin
LISAN
Les éléments de « solidarisation » en acier, sont
reliés par des boulons et des écrous de fixations galvanisés très solides
(d’une taille d’au moins la taille d’un tire-fond de traverse de chemin de
fer).
Les joints entre les panneaux (contre l’humidité) pourraient
être assurés par de l’argile ( ?).
Pour l’instant, nous n’avons pas encore étudier les
éléments porteurs. Peut-être une structure métallique légère comme celles des
maisons Domobile de l’architecte suisse François Iselin (des structures
porteuses en poutrelles d’acier ou alu). Voir ses maisons ci-avant dans le
document [1].
Voici aussi le concept
d’une solution bois et métal ci-avant (sur le dessin ci-avant).
=> une maison
constitué d'un treillage (réseau/maillage) de fines poutrelles en T (pour le
plancher, le plafond, les mur, avec quelques poutrelles porteuses en H _ IPN_
ou T).
Ce "treillage"
de poutrelles métallique étant ensuite comblé par des panneaux d'aggloméré
(ou/et de panneaux de particules) _ chaque panneau de bois (ou d'aggloméré)
étant recouvert ensuite de contreplaqué (ou de la laminé), puis de petite latte
de bois ou de bardeau de bois, juste pour l'esthétique (entre certaines
couches, il y a des couches multicouches isolantes ignifuges et thermiques).
Pour monter la maison,
il y aurait des poutrelles métalliques type IPN, U (UAP) …, plantées
verticalement dans du béton coulé dans des pneus (servant de cylindre-blocs
contre le séisme), tout autour du rectangle de la base de la maison. Les
plaques de bois carrées seront glissées dans les rainures des poutrelles
verticales IPN (et s’adaptant rigoureusement aux dimensions de la rainure).
Pour l’angle (le coin) de la maison, 2 poutrelles IPN, au lieu d’une, seront
plantées verticalement à angle droit.
Les poutrelles verticales seront solidarisées entre elle par
une poutre verticale en bas, en T (limite base de la maison), et une poutrelle
horizontale en haut, en T (limite haut de la maison), toutes les deux, tournées
vers l’intérieur, vissées entre elles (chaque poutrelles comportant des trous
et orifices pour faire passer les vis permettant de relier et solidariser les
poutres verticales et horizontales entre elles).
Pour vérifier la verticalité ou l’horizontalité des poutres,
on aura des fils à plombs, des niveaux à bulles et de grandes équerres
métalliques. On fera en sorte que les poutrelles ne soient pas
« griffées », rayées, pendant la construction, afin d’éviter toute
corrosion future de celles-ci.
Contrainte de temps et d’outils
Après
qu'une fosse sceptique, voire un puisard, un puits d’eau potable,
que les fondations aient été construites (grâce à une bordure en
pare-peint à la taille de la maison pour les fondation ou la pose de blocs ou
plots en bétons), une tranchée technique avec raccordements aux conduits de la
ville, une maison doit / devrait être construite en moins de 7 jours, par
l’entrepreneur ou, dans le tiers monde, par tous les villageois, sous la
supervision, d'un technicien local qui sait comment construire la maison.
Pour la
partie, fondation et soubassement, il faudrait maximum 1 semaine pour construire
cette partie.
Tout ce qui
a besoin sur place pour monter la maison, de la main d’œuvre locale, des clés
anglaises pour visser les clavettes entre les plaques de bétons (comme les
clavettes existants sur certains meubles Ikéa), 1 ou 2 sac de ciments et/ou
du bitume pour former des joints d'étanchéités pour les raccords des
plaques de bétons. Voire une grue ou des échafaudages spéciaux (en bois ou
métal) et un treuil à main, pour monter les murs et le toit.
Les
échafaudages et matériels spéciaux (treuil a main, tire-câbles ...) seraient
apportés sur le chantier puis démontées et transportés vers le chantier
suivant (matériels surveillés pour éviter les vols).
Cas des reconstructions dans les pays du tiers-monde :
Un plan de montage, sur feuillets
A4, version complète est fournie au chef du village, et un version
« light » (allégée) fournie à chaque propriétaire (ou habitant, chef
de famille).
Tous les gens du village
participent à la construction de chaque maison.
Suivant la région, on fera
éventuellement bénir le terrain et la maison, avant et/ou après la
construction, par une autorité religieuse locale (imâms, prêtres, moines …).
Une grande fête, précédée ou
suivie d’un grand pique-nique, est organisée dans le village dès que toutes les
maisons de celui-ci sont reconstruite.
Puis organiser une grande fête villageoise, régionale ou
nationale, quand tout l’ensemble du projet est achevé, avec feux d’artifice,
commémoration télévision, radio (durant laquelle, l’on n’oubliera pas les
disparus). Un façon de faire la publicité pour les maisons EVOLUTIVE-HOUSES®.
Voire organiser une grande marche pour la réussite de la
reconstruction, dans le pays, peut-être sur le modèle (en plus grand), de la
marche Transhimalayenne, organisée en Inde, en 2002 (voir dossier de cette
marche et de son organisation sur le site : http://transhimalayenne.free.fr ).
Tout cela pour motiver les gens et les motiver pour
EVOLUTIVE-HOUSES®.
Pour augmenter l’efficacité et le
raccourcissement des délais de réalisation de chaque maison, des systèmes
d’incitation des villageois, participants aux reconstruction, seraient mis en
place : repas gratuits (apporté par le gouvernement, les ONG ou la région)
offerts aux travailleurs pendant les travaux, fêtes (style
« barbecue » ( ?)) à chaque échéance tenue, cérémonie de la
levée du drapeau (de l’ONG, du pays),
des couleurs etc. …
Un système « Cours des
comptes » avec experts comptable, doit être mis en place, pour vérifier
les comptes. Des inspecteurs des travaux parcouront le pays, pour vérifier
l’argent investi.
Les
fermes de la charpente du toit seraient fixées entre elles, au niveau du fait
(du sommet) du toit, par une « rotule à pattes », rotule
« autobloquante » par une vis et un écrou.
Les
fermes de la charpente du toit seraient fixées aux poutres verticales des murs
porteurs, par les mêmes « rotules à pattes » (rotules à pattes voir
chapitre « éléments de fixation »).
La toiture pourrait être monobloc (avec une surface imitant
un toit en ardoise, cèdre …) ou bien composés de modules dalles posées sur une
structure charpente métallique.
Elles peuvent supporter des panneaux solaires ou une
couverture végétalisées.
Elles disposent de crochets pour soutenir les panneaux
solaires.
On pourrait imaginer des modules lucarnes encastrables sur
le toit.
La toiture pourrait être éventuellement végétalisée,
par :
Ø pose d’un
feutre anti-racinaire sur une toiture étanchéifiée (par résine
d'étanchéité : Alsan 410, par exemple).
Ø pose d’une
géogrille textile tridimensionnelle.
On
pourrait, clipser un morceau de goutière, en bout de plaque de toit.
Pour débuter, on ne prévoir que 4 inclinaisons standards
pour les toits proposés : 1) plat (terrasse), 2) toit méditerranéen (faible
inclinaison), 3) toit île de France ou Val de Loire (inclinaison moyenne) et 4)
toit Normand ou Alsacien (forte inclinaison).
Pour le sommet du toit et les angles latéraux du toit (les
coins), on prévoir des plaques de toit triangulaires (gauche ou droite). Avec
ces inclinaisons standards, les plaques triangulaires auront des dimensions
standards. Il n’y aura pas lieu des les ajuster ou découper sur place, juste de
les fixer.
Les fixations entre les poutres métalliques verticales des
murs, et les fermes métalliques de la charpente, se feraient par des fixations
à rotule. Idem, pour la liaison entre fermes, au sommet du toit.
Avec
les rotules à 4 pattes, on peut concevoir des toits à plusieurs pentes (à
pentes cassées …).
Toiture en fausse ardoise ou red cedar |
Toiture étanchéifiée |
Toiture végétalisé avec substrat. |
Géogrille. |
Module Lucarne |
Exemple d’un autre système de montage de plaque de toit |
Décorations : On pourrait prévoir des
motifs et dessins moulés ou imprimés dans les panneaux (pour imiter les tuiles,
l’ardoise, éventuellement avec une solution Formica©), voire des frises
entourant le pourtour du toit etc …
Toiture prévue pour la récolte d’eau pluviale (cas d’une
terrasse) :
Un toit de 100m2 permet de récolter annuellement de 80 à
120m3 d'eau, en France (et bien plus en Thaïlande, Sri Lanka, Indonésie).
Cette terrasse sera étanchéifié par une couverture plastique un une couche
bituminée (Rubson …).
On pourrait imaginer une trappe d’évacuation, sur le toit
(fermée par une plaque de tôle fermée à clé), accessible par un escabeau placé
dans la pièce principale.
Toiture prévue
pour la collecte d’eau pluviale © Benjamin LISAN
Voir
si les avancées du toit, sont utiles (pour la pluviométrie, le soleil, à la
demande des habitants) et techniquement faciles à réaliser (sans risque de
chute de panneau). S’il ne faut pas une avancée, juste au dessus des portes
contre la pluie (sinon « why not », une marquise en plastique Plexiglas,
amovible en cas de cyclone).
Solution pays du tiers-monde :
Sinon, au lieu d’un toit plat, on pourrait imaginer un toit, en tuiles vibrées
(réalisées à base de sable fin, de gros sable et de ciment) _ ou par ex. en forme
de tuile canal. Pour faire ces tuiles vibrées, il faut un moules en forme de
ces tuiles, un film plastique solide et fin (Kevlar, Tedlar ( ?)) et un
vibreur. La feuille de plastique est posée sur la surface lisse du moule puis
le béton sur la surface lisse et en
contact avec la feuille de plastique.
Pour que ces tuiles soient
colorées en rouge, on met dans l’eau pour le béton, avec un colorant rouge.
Puis les tuiles sont immergées dans un bassin, rempli de la/des couleur(s).
Puis on les protège et les fait sécher durant une semaine.
Si on ne peut pas créer d’usine de béton et de
préfabriqués, dans chaque pays (par manque de moyens), on pourrait alors faire
réaliser chaque élément préfabriqué par les villageois locaux. On peut alors
imaginer leurs apporter des moules en acier (sorte de gabarits), de plus ou
moins grande taille, munis de poignées, « adapté » (correspondant) à
la forme de chaque élément de construction : briques, plaques de bétons à
fabriquer, poutres de bétons, briques de bétons semi-circulaires, linteaux de
porte … (voir schéma de ce moule, page suivante).
Avant de couler le béton dans le
moule, avec son ferraillage, on huile le fond du moule, avec de l’huile de
vidange, afin que le béton ne colle pas [10].
On utiliserait un très gros pinceau, pour étaler l’huile au fond du monde
(autre but : économiser l’huile. Note : huile protection contre
moisissure ?).
Une
autre bâche ou film plastique de serre permet aux éléments préfabriqués de
ciments moulés de continuer de sécher en cas de pluie.
Si le toit est en tuile, pour des
spécificités régionales, on pourrait imaginer des fermes métalliques, portant
des tuiles grandes et lourdes (10 kg) collées entre elles par du ciment, pour
résister aux cyclones (comme dans les constructions modernes thaïs).
Un salon, avec escalier |
Un modèle de maison terminée |
Façade avec bardage et panneau fenêtre |
|
style Chalet
Terrabois © |
Maison style Jean Prouvé |
style Maison Jean Prouvé (Nancy 1954) |
|
|
Style maison de
Jean Prouvé |
Style maison de
Jean Prouvé |
|
|
|
|
|
Toutes ces maisons seront de type « maisons d’architecte »,
belles Etc. etc. …
Se faire aider éventuellement, aider, pour la faisabilité,
et pour obtenir un design plaisant :
1)
par Michel Rossell, architecte.
2)
par Philippe Starck Network, pour leur design _
adr. : 18/20, rue du Faubourg du
Temple 75011 Paris France, Phone: 33 (0) 1 48 07 54 54 , fax: 33 (0) 1 48 07 54
64 , e-mail : info@starcknetwork.com ,
site : http://www.philippe-starck.com/
3)
Les architectes d’ASF (Architectes sans frontière).
4)
Des élèves d’une école d’architecture.
Etapes envisagées :
1) Achat d’une boîte de jeu de construction (par ex., avec
la boîte du Meccano du centenaire …).
1bis) créer un modèle de maison (au 1/20 °) à base de
plaques en bois, de 5 cms x 5 cms, et d'une armature en fil de fer (l'ossature
de la maison) _ une sorte de maison de poupée et quelques plaques représente
des fenêtres et portes. Afin de présenter visuellement, l'idée, à des entreprises
et à des organisations non gouvernementales (ONG).
2) test avec ce jeu et cette maquette, de toutes les
solutions et idées, faire un brainstorming entre tous les acteurs du projets,
et tester toutes les idées envisagées dans ce document et autres idées, cela
lors d'une réunion réunissant :
- des personnes d'Architectes sans Frontières,
- des personnes passionnées et motivées par le projets.
- des architectes, élèves d’une école d’architecture
etc ...
2bis) contacter des experts, avec ce dossier, pour avoir
leur conseils :
(°) pour les calculs de résistance des matériaux (RDM), des
poutres, dilatation, vibrations.
Eventuellement faire que cela soit un projet de stage ou
de fin d’étude d’élèves de ces écoles.
3) plus tard construction des pièces de construction en
balsa puis en bois.
4) construction d’une maquette prototype en modèle réduit
(type maisons de poupées, qui pourrait réalisée par un fabriquant de jouets en
bois, du Juras ( ?) ou un maquettiste-volumiste, par exemple).
5) réaliser les pré-plans et plans d’architectes
côtés, de la maison prototype et de ses différents éléments (sur table à
dessin ou CAO. Travail long à prévoir).
6) contacter et visiter tous les fabricants et fournisseurs
éventuels des éléments futurs constituant de la maison prototype.
7) réaliser un plan de la maison prototype (tenant compte
des informations recueillies à l’étape 6).
8)
constitution d’un dossier, crédible et agréable, pour les sponsors (avec photo
de la maquette et plan du prototype).
9) obtenir le financement (si possible maître d’ouvrage,
grande société du BTP).
10) trouver et acheter le terrain constructible [11].
Etapes et actions envisagées (voir au niveau de la suite du
texte) :
11) obtenir le permis de construire.
12) acheter les matériaux et les faire livrer sur le
terrain.
13) a) demander à un entrepreneur agréé, de réaliser la
maison prototype, test ou témoin,
pour
valider les solutions (et obtenir les agréments).
b) ou faire
réaliser le prototype, par le maître d’ouvrage.
1) On teste chaque élément à la pluie, au vent violent +
pluie (à 200 km), au feu, au froid, au sec, à l’humidité, aux charges …
2) Idem pour un ensemble d’éléments montés.
3) Puis pour toute la maison entière (sauf tests
destructifs).
4) Rester la résistance de la maison à la pluie, intempérie
… en taille et conditions réelles.
5) On soumettra la maison, placée dans le lit d’une rivière,
au lâcher d’une vague d’eau, due à un lâché d’un barrage (voir si elle flotte,
se retourne, l’influence des patins et pilotis …).
6) Puis à une avalanche ou/et un glissement de
terrain, pour voir les déformations éventuelles de la maison, si les
panneaux ne risquent pas d’éclater sous la pression.
7) Son concepteur (c’est à dire Benjamin LISAN) vivra
pendant un an dans cette maison prototype.
(Durée des tests : 6 mois ?).
Toute l’étude et les dossiers d’agrément doivent passer par
des cabinets d'architecte pour déposer
le projet afin d'avoir une homologation
auprès des services adéquates
Ces
démarches peuvent demander 5 à 6 ans ou plus. (On souhaitent qu’elles durent 6
mois … possible ?).
On
le pourra diffuser le dossier du projet, afin de rechercher des soutiens auprès
de grandes entreprises (Bouygues , Berlusconi, Lapeyre, (Ikea …) …), que quand
un prototype fiable, convainquant, sera réalisé.
Etape
ultérieure. Il est encore prématuré d’aborder cette étape.
Une
idée est la diffusion mondiale du concept, a) soir par Franchising, b) soit par
implantation d’agence locale 1) d’import export, 2) de concessionnaire, 3) de
bureau d’études techniques et commerciales.
Faire
qu’il y ait une stratégie industrielle :
a)
en faisant appel à des sous-traitant locaux ou étranger, pour réaliser toutes
les pièces du kit (en faisant jouer la concurrence, sur le modèle de la
stratégie industrielle d’IKEA …).
S’il y a plusieurs constructeurs
de maisons ou sous-traitants, retenus dans le pays, les mettre en concurrence
(primes si objectifs & délais tenus, ou si avance sur délais).
Il faudrait que le prix négocié de
chaque maison avec le constructeur, soit fixe (si c’est 15 000 €, alors c’est
15 000 €, et pas un Euro de plus), idem pour chaque pièce avec les
fournisseurs.
b)
soit la construction locale d’usines
utilisant le concept EVOLUTIVE-HOUSES® adapté en locale _ matériaux
locaux, techniques locales,
sous-traitants locaux _ et produisant les éléments du kit à la chaîne … (construction
des usines plutôt dans le tiers-monde).
Fabrication des éléments à la chaîne dans des usines
(photo indicative. Sur la photo, on voit, en fait,
des pré-dalles en béton).
b2) Par exemple, pour
la fabrication des poutrelles (pB) : 1)
sortie du profilé du haut fourneau, 2) laminage et découpe du profilé, 3)
perçage des trous (à moins qu’on puisse les créer par un laminoir spécial) (B), 4) refroidissement par air (ou par eau contenant
un agent anti-corrosif et anti-oxydation), 5) chaîne de trempage vertical dans
un bain de zinc fondu (galvanisation), 6) refroidissement, 7) chaîne de
trempage vertical dans un bain de plastique liquide mouillant _ colle à chaud
colorée, par exemple _ des poutrelles suspendues par un trou et un crochet à
une chaîne convoyeuse, 8) séchage, 9) retournement de la poutre et de nouveau
trempage le bain de plastique liquide (servant à protéger de la corrosion la
poutre), 10) refroidissement, 11) pose enduit sorte de chaux ou de béton sur
les poutres, pour les rendre plus résistante au feux [12]
[13]
(sorte d’ignifugation), 12) découpage automatique des gouttes suspendues.
b3) un processus
semblable, à la chaîne, pourrait être imaginé pour la construction des
panneaux/plaques, avec une utilisation (pB ?)
de piscines de traînement à cœur du bois (ignifugation …). Dans les piscines,
les bains à base de solutions aqueuses (remplies soit de sels d’alun, soit de
carbone de calcium de chaud éteinte, soit de sulfate de cuivre selon les cas (pB ?)) pour imprégner le bois sont chauffées,
bouillants, brassés (avec des agitateurs à hélices), contrôlés en température,
en concentration, au niveau de leur propreté (les rejets sont traités).
On utilisera le transport
de masse par les navires porte-conteneurs, pour aller d’un continent à l’autre.
c) Type de maisons et
de constructions :
Maisons de plein-pied
(avec éventuellement garage-atelier et petite cave), bâtiments collectifs, de
plein-pied (pas de cave-garages, mais on peut y ajouter une petite cave
enterrée préfabriquée (voir l’annexe « caves enterrées »). Avec le
concept « Evolutive houses », on peut aussi construire des églises / temples, des
granges, des salle communales, des petits bâtiments industriels.
Par
contre, on ne peut pas encore construire de maisons hexagonale ou octogonales.
d) L'idée de la
réalisation de certains éléments de construction par le secteur automobile
pourrait être une idée (encore faut-il convaincre ces constructeurs). Cela se
pourrait se concevoir que dans une stratégie de diversification de ces sociétés
(idée de Gérard François, architecte).
e) Lieu d’implantation
des sites de production :
Pour la réduction des
coûts, certains éléments seraient construits dans un pays à bas coût de main
d’œuvre (par exemple, à 20 ou 30 km de la zone portuaire de Bombay _
« Mumbay », Inde _ et à peu de km des côtes, la zone portuaire étant
elle-même déjà très chère).
f) pour réduire les
coûts des matériaux, essayer de trouver les matériaux dans le monde entier
et faire jouer la concurrence (pour exemple, sapin en Sibérie, béton en Turquie
ou dans un pays producteur de pétrole …).
g) Organisation
:
Toute une organisation
nationale _ structure à mettre en place : niveau mondial, national,
régional (concessionnaires, revendeurs ?) …, serait mise en place, pour
permettre l’optimisation de chaque étape du projet: mis en place d’un
recrutement, recrutement personnel motivé, acquisition locaux et matériel _
matériels de chantier, matériel informatique et logiciels, bureau d’étude et de
test ( ?), prévention des accidents de chantier et de transport
( ???) …
Il serait important que tous soit prévu dans le moindre détail. Par exemple, que les éléments de construction puissent être transportés dans des conteneurs ou palettes, eux être pouvant être convoyés par des petits cargos, caboteurs, pour joindre les petites îles dévastées (Andaman, Nicobar …). Tout est prévu dans le moindre détail, jusqu’à au bois des palettes etc …
h) Esprit :
Il est aussi important d’impulser, si possible,
l’esprit de rigueur, au personnel. Respect
des délais, qualité et excellence en
tout conduisent à des récompenses et gratification. Il faut essayer de
fonctionner au maximum par des gratifications, à cas de réussites, de gains de
temps, d’argent, de qualité, d’excellence. Les employés sont toujours
responsabilisés (maître de leur projet, mais ayant des compte à rendre, coûts,
dates, délais).
Le « client est roi ». En tout cas, on doit le satisfaire (on
peut lui fournir des services supplémentaires gratuits si cela ne coûte rien à
la société. On ne peut pas le traiter par dessus la jambe, sans respect ou pour
un « C. »).
On ne doit pas ménager sa peine pour satisfaire le client. On sera les
héros d’une bataille (d’un défit hors norme) pour la (re)construction à faible
coût (ou populaire) des « maisons pour tous ».
Tout doit respecter les normes NF, CEISO 9000 (au niveau règles de
construction et fabrication), les agréments Socotec (bureau de contrôle du
bâtiment), le label Promotelec (organisme de certification indépendant de
promotion de la sécurité et la qualité des installations électriques dans le
bâtiment) …
Si un employé, un commercial rencontre un problème, il peut compter sur
toute l’équipe pour l’aider.
Il ne doit pas y avoir de séparation entre « cols bleus » et
« cols blancs ».
Les employés se forment mutuellement, suivent une formation continue
régulière, s’auto-forment …
On pourrait organiser des sorties ensembles (pique-niques …) de tous les
membres de l’équipe (pour renforcer la cohésion du groupe sans que cela
ressemble à une forme de paternalisme. On n’est pas obligé de venir aux
sorties).
La société fournit des solutions globales, complètes, voire clé en main
(but : satisfaction au maximum du client). On pourrait même imaginer qu’on
fournisse aussi des prestations d’ architectes d’intérieur.
Après l’étude de qualité, de fiabilité et de durabilité (pour la
garantie décennale), on se préoccupera du coût énergétique de telle ou telle
fabrication (en équivalent pétrole, TEP), du coût écologique (toxicité
matériaux, risque/impact écologique des déchets _ chantier produisant le moins
de déchets possibles _, recyclage des matériaux et éléments de la maisons,
réduction gaz à effet de serre …).
La société se doit d’avoir et doit un code éthique sincère et sérieux (qui sera distribué au client et sera un argument de
vente). Sinon, si l’on fait travailler des pays du tiers monde, respect d’un
code éthique (respect code du travail, respect culturel …), y compris celui de
ne pas faire travailler d’enfants.
Il n’y aura jamais aucune escroquerie intellectuelle dans nos démarches
(honnêteté, responsabilité).
i) plus tard, un pôle technologique :
dans ce pôle centralisé à accès sécurisé par badge, permettant l’invention et
la création, on trouvera :
1.
des bureaux (paysager ?) réunissant les ingénieurs, techniciens,
inventeurs, brainstorming,
2.
un lieu de détente central, de repos et de brainstorming, autour de la
quelle s’ouvre les autres pièces _ équipé de plantes, tables et chaises pour
réfléchir et discuter, fauteuils, machine à café à faible coût, 2 ou 3 tapis
d’entraînement sportif _,
3.
une cantine self-service et cafétéria (attenante au lieu de détente),
4.
une bibliothèque libre-service réunissant toute la connaissance du monde
entier dans le domaine _ BTP, matériaux, annuaire, données climatiques/climatologiques
_ y compris sur les brevets, une salle des plans _ avec tables à plans _ et des
PC reliés à Internet et des bases de données,
5.
2 ou 3 salles de formations, équipées de PC CAO et barco /
vidéo-projecteurs, tableau Veleda, tableau papier, écran de projection, caméras
pour vidéo-conférence (attenantes à la bibliothèque),
6.
atelier pour fabriquer prototypes, avec tout l’équipement
tours/fraiseuses/etc… à bois et métal (avec une partie libre service),
7.
un magasin et comptoir à matériaux clos (attenant à l’atelier, gérés par
les techniciens),
8.
grands hangars pour monter et tester les nouveaux modèles de maisons,
9.
terrain pour monter et tester à l’air libre, des maisons, en conditions
climatiques réelles,
10.
salles de bans de test (efforts, contraintes, feux, froid, chaleur,
humidité …),
11.
2 ou 3 chambres, où les collaborateurs travaillant la nuit ou venant de
province ou de l’étranger, peuvent se reposer (équipées d’un lit 2 m x 90 cm,
table + chaise, coin cuisine _ plaques, micro-onde, frigo _, lavabo + douche
tube + armoire de toilette, armoire, table et lampe de chevet, plafonnier,
cousin, une ou 2 couettes).
j) boîte à idées : accessible en Intranet
ou en Extranet/Internet, et aussi par la voie postale / papier, que chaque
employé (voire chaque client) peut renseigner (on y dépose son idée / sa
suggestion, de façon confidentielle). On a analyse ces idées une fois par
semaine en réunion (sauf urgence) Si l’idée fait gagner de l’argent ou de la
qualité de production => alors gratification de l’inventeur / du découvreur.
Les cibles
1)
Personnes ayant de très petits budgets (smicards, revenus
familiaux de moins 2000 €/mois).
2)
Bricoleur voulant construire leurs maisons eux-même
(auto-construction) ( ?).
3)
Bâtiments techniques ou démontables (pour un site de loisir,
un camping, un événement, une administration (ONF ..), un péage …).
4)
Chalets de WE, Chalet ou annexe de jardin ….
5)
Décors de films à monter et démonter très vite.
6)
Associations (Club alpin, Amis de la nature,
associations municipales, sportives, ONG …).
Note : Ce genre de structure démontable en
pièces détachées pouvant aussi servir à construire des refuges en haute
montagne ou en tout lieu éloigné et hostile (bases arctiques …).
Le cas de l’auto-construction (maisons à monter soi-même par
bricoleur expérimenté ?)
Les français sont très bricoleurs, certains construisent
même leurs maisons eux-même.
Peut-on alors envisager le concept d’un maison en kit à
monter soi-même ?
1) Cela serait possible, mais il faudrait prendre pas mal de
précautions juridique (a) en cas d’erreur de montage par le client, b) s’il se
fait tomber une poutre métallique sur le pieds, s’il a un accident sur son
chantier etc…).
2) Il faudrait par exemple, que le client soit formé, chez
le fournisseur de la maison, à construire la maison (stage de formation
théorique et pratique, formation obligatoire ( ?), montrant comment
construire la maison, éviter les dangers _ chutes, vols sur le chantier, les
crédits, les aides …). Formation théorique et pratique (avec un montage réel,
par le candidat, de certaines parties de maisons).
3) On lui fournirait a) un livre, b) un DVD ou/et c) un
CD-ROM avec un didacticiel, de formation (e) CD pouvant contenir aussi un
logiciel de CAO _ un logiciel d’architecture grand public _ adapté au concept
« Evolutive Houses », pour qu’il puisse envisager et simuler ensuite
les futures évolutions de sa maison).
4) Il peut s’il le veut avoir la visite, en plusieurs fois,
d’un conseiller du fournisseur de la maison, qui vérifiera si la maison est
bien montée (conformité au règles de la construction de ces maisons).
Sociétés / revendeur agréées pour la vente de la maison
a) La maison serait vendue, en kit, par un réseau de
concessionnaires de la société mère EVOLUTIVE-HOUSES®.
b) La maison serait commercialisée en kit chez un grand
constructeur de maisons : Lapeyre, Phénix, Algeco …
c) idem dans le BTP : Bouygues, Spi Batignole, Eiffage,
Vinci, Berlusconi (Italie), Saint-Gobain, Hariri (Liban) … (ou construire sous
licence, franchising …).
d) idem IKEA (constructeur de meuble), Point P, Castorama,
Bricorama …
e) idem vendue par correspondance par La Redoute, 3
Suisses, Lapeyre [14],
Quelle (Allemagne) …
NB.
Etudier la faisabilité de la vente par correspondance ou par des
concessionnaires locaux.
Ces magasins, agences, concessionnaires, sociétés
proposeraient plusieurs modèles de maisons complètes.
Autres solutions : Ou bien juste des plans
(mais à éviter). Et/ou l’acheteur pourrait acheter chaque élément séparé chez
IKEA, Lapeyre … (mais pour raison de sécurité, à éviter) …
Démarches commerciales et techniques (étapes de la vente) :
0) on présente, aux clients / aux personnes (curieux …), les
différentes solutions a) sur catalogue (comme les catalogues Phénix), b) sur
ordinateur (en modifiant la maison sur l’ordinateur selon les désirs du
client), c) avec des maisons témoins.
1) l’acheteur devrait déjà avoir acheté le terrain
constructible (préférable).
2) ou bien un expert technico-commercial de la société de
vente de la maison viendrait reconnaître les terrains possibles, voire
proposerait une liste de terrains, sur place, en fonction des désirs de
l’acheteur (prestation payante).
3) Le terrain choisi serait réservé (ou bien l’acheteur
ferait une promesse d’achat au vendeur du terrain),
4) L’acheteur ayant choisi son modèle de maison et le
terrain, un expert technique et/ou juridique de la société de vente irait
accomplir les démarches auprès des autorités, pour obtenir le permis de
construire (prestation payante).
5) Le permis de construire obtenu, l’acheteur achèterait
définitivement la maison en kit complet (kit correspondant à un plan précis
parmi plusieurs modèles de maisons). Il achèterait optionnellement la
prestation de montage complet de la maison (livrée alors clé en main), fournie
a) soit par les ouvriers de la société de vente de la maison, b) soit par un
entrepreneur indépendant agréé par la société de vente (ou par la maison maire
EVOLUTIVE HOUSES®).
6) le terrain sera aplani et préparé (dépôt d’une couche
calcaire concassé …) par l’entrepreneur.
7) a) le kit complet de la maison serait livrée, par la
société de vente, en une seule fois, sur le terrain du chantier et de la future
maison, par camion(s) etc (prestation payante) … b) ou bien, l’acheteur
viendrait, dans les entrepôts de la société de vente, ôter le kit complet de la
maison (mais couverture de garantie faible). (NB. Seulement, si le terrain a
été aplani et vérifié par l’expert ou l’entrepreneur).
8) La maison sera montée, a) soit par les ouvriers de la
société de vente de la maison, b) soit par un entrepreneur indépendant agréé,
c) par l’acheteur de la maison (mais couverture de garantie faible).
9) la maison sera vérifié (par l’expert ou l’entrepreneur).
10) Une garantie commencerait à s’appliqué dès que la maison
est achevée en totalité et vérifiée.
On propose (et on informe) le client que 6 % du prix de
vente sera reversé à la reconstruction de maisons des victimes de grandes
catastrophes (tsunamis, tremblement de terre, cyclone, guerre ...).
Limites de prestations : On est maître
d’œuvre et d’ouvrage et les prestations, dans le but de satisfaire le client,
peuvent aller assez loin (jusqu’à fournir, clé en main, un garage-atelier
pré-équipé, un pont léger ou un escalier de 200 marche, pour accéder à la
maison ou au refuge …).
Stratégie publicitaire (idées) :
1) Faire une annonce devant journalistes, invités à un pot,
durant lequel, on leur montre l’esthétique (monter une maison ressemblant à une
maison d’architecte), le caractère évolutif de la maison et la rapidité du
montage de la maison (réalisé par une équipe professionnelles aguerrie,
entraînée à ce montage). Leur offrir un dossier de presse (plaquette, DVD …).
Faire un communiqué de presse. Faire une pub à la télé, montrant les même
caractéristiques. Info des professionnels du BTP.
2) On pourrait imaginer des publicités ayant des images et
démonstrations convaincantes :
Par exemple, a) pour convaincre de la solidité des maisons
et de leur durabilité, montrer un film, avec présence d'un vrai huissier dans
le film, où l'on a placé une maison dans le lit d'une rivière, elle-même
attachée et solidement arrimée à la rive, par des grands câbles d'acier, puis
faire un lâcher d'eau d'un barrage situé en amont et montrer que la maison,
munis de ses joints d'étanchéité partout (y compris au niveau des ses
ouvertures _ portes, fenêtres _ quand elles sont fermées [15]),
est parfaitement étanche et peut flotter, b) monter un film où l'on
soulève toute la maison avec une grue géante sans qu'elle se
déforme, c) pour convaincre qu'on peut construire des maisons
esthétiques, avec ce concept, monter un film présentant un manoir anglais
tudorien, réalisé avec ce concept (en fait un décor de cinéma), d) montrer un
film montrant la rapidité de construction et de démontage, sous constat
d'huissier etc. etc.
Ce concept pourrait s'appliquer à bien d'autres
domaines : la construction de a) refuges de montagne ..., b) des petits
chalets ("datchas"), petits RdV de chasse, pour le WE, c) des
décors de cinémas que l'on pourrait ainsi rapidement monter ...
3) Filmer en accéléré des scouts de 14 à 18 ans, d’un camp
de jamboree scout, montant, tous ensemble, très rapidement la maison (pour
montrer la facilité de construction de la maison).
4) au sein d'un club de vacances (type Club Méditerranée ?),
organiser un jeux durant lequel les GM et GO construiraient, tous ensemble,
très rapidement une maison, accompagné d’un grand pique-nique. Montrer qu'il
peut être ludique de construire une maison et d'apprendre à comment la
construire. Une façon indirecte de faire de la pub au concept « Evolutive
House », par contre-coup, en montrant sa facilité de construction (mais
attention, avant il faut convaincre les autorités du Club Méditerranée, les GO
et les GM.) (suggestion de Gérard François, architecte).
6) publicité montrant Alexandre le Bienheureux profitant
pleinement de sa nouvelle maison (à voir).
7) ou montrant un couple heureux avec sa maison (avec l’idée
« place au Bonheur »).
8) sinon, la meilleure publicité est la satisfaction
du client (obtenu par la qualité, l’excellence). Les commerciaux et
techniciens se donnent à fond.
(9) présentation sur Internet du concept : http://benjamin.lisan.free.fr/Inventions/ProjetUnToitPourTous/MenuProjetUnToitPourTous.htm
).
Création d’une Fondation humanitaire (ayant 2 cibles, l’une
utilitaire/humanitaire, l’autre publicitaire)
Après la vente de la 1000 ° maisons et surtout après
rentabilisation du concept et des investissement, 5 à 6 % des bénéfices nets
seraient consacrés :
a) à la reconstruction des maisons de victimes de
catastrophes (à partir de maisons « Evolutive homes »).
b) puis création d’écoles d’ingénieurs ou technique _ créée
par la fondation (à base de modules « Evolutive homes ») en
partenariat avec des écoles le CNAM, écoles d’ingénieurs, IUT _, dans les pays
du tiers monde (avec bourse d’études pour les élèves les plus pauvres), où l’on
prodiguerait un enseignement d’ingénieur de qualité et pratique (avec filières
de spécialisations, énergétique, BTP/GCU, mécanique, informatique ..). Mais une
formation pas uniquement technique, mais aussi à des valeurs morales,
excellence, travail (toujours faire plus et mieux), démocratie, solidarité,
respect de l’autres. Elle peut prodiguer aussi des cours du soir type CNAM. Les
projets de fin d’étude seraient toujours en relation avec « comment aider
son propre pays à se développer et un projet utile sur place ».
c) la Fondation aurait un pôle spécial, mise en relation
entre richesses et idées dans le tiers monde, et sociétés privées
(capitalistes) qui pourraient être intéressées par ces idées (un vrai travail
de détective et d’enquête sur le terrain, de veille technologique, qui pourrait
être effectué, par les technico-commerciaux de la société « Evolutive
homes », faisant remonter les informations trouvées sur le terrain, à la
Fondation). Les sociétés bénéficiaires et intéressées payeraient un dédommagement
pour leur travail à la Fondation (à étudier).
Choix du nom de la société, du concept et/ou de la marque :
a) Trouver un nom « sympathique » de
« société » [16],
du concept [17] et/ou d’une
marque, qui accroche et qui n’ait pas été déjà enregistré, légalement, au
niveau de nom de marque déposée.
Les idées ne manque pas. La liste des idées est immense et
non exhaustive.
On avait pensé à « Maisons vivantes » mais sa
traduction « Living homes » est déjà enregistré aux USA,
« Domotiv » ou « Domotive » est déjà utilisé en Espagne,
idem pour « Domolife » en Italie. Ou encore « Maisons pour
tous », mais déjà très utilisé dans la littérature (ce qui pourrait être
un peu abusif). Il resterait « Domo-Leave »
« Leave-Concept », « Live-houses » et « Evolutive
Houses », eux non réservés etc … On avait encore pensé « Maisons
à vivre ». Après vérification à l’INPI, les noms « Maisons
Evolutives » et « Evolutive Houses », que nous avons
retenues ne sont pas réservés.
b) Déposer internationalement ce nom selon toutes les classe
de dépôt de la marque (voir annexe « classes de dépôt de la marque
« Evolutive Houses » »).
Choix du logo de la société ou du concept :
On pourrait imaginer un logo protégé a) soit pour le
concept, b) soit pour une « société » qui serait créée au sein d’un
groupe BTP existant [18],
c) soit pour une société indépendante, qui serait créée autour du concept. On
pourrait imaginer un logo (avec l’idée de « gens heureux, vivant un
vrai bonheur … ») montrant :
a)
une maison volante comme les hommes volants des dessins de Folon.
b) un géant couché style le bon géant de certains contes,
Gulliver ou Alexandre le Bienheureux, avec une fleur dans la bouche, se
reposant sur l’herbe, et prenant comme repose-tête, le toit de la maison « Evolutive
Houses » (dépend du pays, logo moins sérieux).
c) un couple heureux avec sa maison (sous éventuellement un
toit stylisé, et avec ses enfants).
d) si ce projet est développé dans le cadre de la société
des Maisons Phénix (groupe GEOXIA), le logo des maisons phénix est pas mal
(impression de renaître de ses cendres après une catastrophe).
@ plaquette
dispositif Borloo |
Jean-Michel Folon
peintre |
@Benjamin Lisan
(dessin de gauche) |
Par comparaison
le logo des Maisons Phénix® |
e) Déposer internationalement ce dessin et logo, qui devrait
être connu dans le monde entier, auquel il faut bien y réfléchir et projetant l’idée du sérieux a) soit du
concept, b) soit de la « marque » déposée (sous-marque ou société
d’un groupe existant), c) soit d’une société indépendante. Il sera présent /
affichée en gros sur toutes les maisons « Evolutive Houses » livrées
dans un cadre humanitaire.
Protection légale du concept :
Ce document, déposé sous enveloppe Soleau, a été enregistré
par l'INPI (Institut National de la Propriété industrielle) le 8/9/06, sous les
n° 268808 & 268809 (et 3 nouveaux n° ont encore été créés).
Nous avons pu vérifier à l’INPI, que la plupart des idées de
ce document ne correspondent pas aux idées d’autres brevets (dont les 8 brevets
Maisons Phénix déposés depuis 1948/1952 à l’INPI [19]).
Les cibles
1)
Personnes ayant de très petits budgets.
2)
Classes moyennes des pays émergents (Inde, Chine … qui
vivent comme les occidentaux et qui désirent aussi des maisons individuelles
comme en Occident)
3)
Cas des reconstructions d’urgence après des catastrophes,
financées par l’ONU, les ONG ….
4)
Les gouvernements (Sri Lanka _ tsunami _, Afrique du Sud _
Townships _ …, en Afrique …).
Stratégie pour convaincre et/ou commerciale
a) Auprès des ONG et des grandes institutions (ONU, PNUD
…) :
- Convaincre les grandes
institutions et grandes ONG, que la solution « evolutive homes » est
1) la solution la plus performante, 2) une solution parfaitement adaptable
quelques soit les conditions locales (culturelles etc. ...), et même malgré les
lourdeurs locales, la corruption (il est sûr que les potentats locaux voudront
prélever leur "taxe" sur ces reconstructions et ces maisons).
- Parler du fait que des
traditions et des habitudes culturelles des ONG pourraient revues.
- Stratégie de lobbying, auprès des grandes institutions
(ONU …), avec un commercial ou technico-commercial, détaché auprès d’eux,
à plein temps (à voir, à réfléchir, car solution coûteuse). Car dans ce genre
de grande organisme, les délais de décision sont toujours longs. L’ONU qui a
reçu plus de 10 milliards de $ de don après le tsunami du 26/12/2004, et la
redistribution est toujours en cours et longue … (plus de 2,5 ans après).
Lors de cette stratégie de lobbying, il faut démontrer aux
acheteurs des institutions, aux responsables de ministères du logement, qu’on
respecte toutes les normes, les agréments, y compris du pays cible, les clauses
contractuels des marchés publics, montrer nos références, notre
professionnalisme etc…
b) stratégie auprès des futurs clients :
0) Faire une enquête de terrain sur ce que que les éventuels
clients désirent (les clients pouvant être les victimes du tsunami, du
tremblement de terre au Pakistan, etc …).
1) présenter à ces personnes, aux clients / aux personnes,
les différentes solutions a) sur catalogue (comme les catalogues Phénix), b)
sur ordinateur (en modifiant la maison sur l’ordinateur selon les désirs du
client), c) avec des maisons témoins. Voir si cela percute, cadre avec leur
culture.
2) Pour convaincre les habitants (et dans le cadre d'une
stratégie commerciale intelligente), on pourra présenter des catalogues, comme
les catalogues Phénix, adaptés à la culture locales. En pays musulmans, on
propose des maisons orientées vers la Mecque, facilement lavables (avec
murs, planchers couverts de faïences, par ex.). En Extrême-Orient, des maisons
respectant les règles Fen shui. En régions désertiques, des maisons
climatiques. Si les habitants désirent des maisons sur pilotis, on leur
propose un catalogue de maisons sur pilotis. En Russie, des
maisons style "datchas" en bois. etc... Plus
tard, le propriétaire d'une maison "Evolutive house" désire
ajouter un aile à sa maison, pas de problème, on lui présente un catalogue de
solutions.
3) Le commercial de la société pourra d'ailleurs
très bien présenter ce/ces catalogue(s) sur DVD sur un ordinateur portable
faible consommation alimenté par panneau solaire (Mille et une Piles, au 34 rue
Delambre 75014, vend des panneaux solaires souples pour ce type d’utilisation,
dont le rechargement de batteries). Et disposer d'un programme de conception
architecturale de maisons, où le commercial peut modifier le dessin / design de
le maison en fonction des desiderata du futur client.
La construction
Un plan de montage, sur feuillets
A4, A3 ou A2, version complète est fournie au chef du village, et un version
« light » (allégée) fournie à chaque propriétaire, en cadeau (ou à
l’habitant, chef de famille).
Une grande fête est organisée dans
le village dès que toutes les maisons de celui-ci sont reconstruite.
Puis organiser une grande fête régionale ou nationale, quand
tout l’ensemble du projet est achevé, avec feux d’artifice, commémoration
télévision, radio (durant laquelle, l’on n’oubliera pas les disparus). Un façon
de faire la publicité pour les maisons EVOLUTIVE-HOUSES®.
On forme sur place, une personne
intelligente et travailleuse, pour devenir elle-même technicien, expert dans le
montage de la maison. Personne qui pourra exporter ses compétences pour
d’autres villages à reconstruire.
Voire, ensuite, on organiserait une grande marche pour la
réussite des reconstructions, pour contacter les autres villages non
reconstruit pour leur proposer l’aide, en hommes et en compétences des villages
déjà reconstruit, dans tout le pays, peut-être sur le modèle (en plus grand),
de la marche Transhimalayenne, organisée en Inde, en 2002 (voir dossier de
cette marche et de son organisation sur le site : http://transhimalayenne.free.fr ).
Tout cela pour motiver les gens et les motiver à choisir la
stratégie et la solution EVOLUTIVE-HOUSES®.
Pour augmenter l’efficacité et le
raccourcissement des délais de réalisation de chaque maison, des systèmes
d’incitation des villageois, participants aux reconstruction, seraient mis en
place : repas gratuits (apporté par le gouvernement, les ONG ou la région)
offerts aux travailleurs pendant les travaux, fêtes (style
« barbecue » ( ?)) à chaque échéance tenue, cérémonie de la
levée du drapeau (de l’ONG, du pays),
des couleurs etc. …
Un système « Cours des
comptes » avec experts comptable, doit être mis en place, pour vérifier
les comptes. Des inspecteurs des travaux parcouront le pays, pour vérifier
l’argent investi (à cause de la corruption endémique dans les pays du
tiers-monde).
Note dans le cas des victimes
d’une catastrophe : en général, cela fait longtemps qu’il attende
qu’on les aide. De ce fait la situation peut être tendue comme à Banda Ache
(Indonésie). Si certaines personnes ont leur maisons reconstruites et pas
d’autres, dans un 1er temps, il peut y avoir des jalousies et des
vols sur les chantiers qui ont débuté. Il peut y avoir rivalités entre ONG,
religions.
Il faut prévenir toutes ces
situations par un long dialogue, entre toutes les parties bien avant la
reconstruction (il faut tout prévoir [20]).
Il serait possible que le concept
puisse être développé par le grande constructeur Maison Phénix du groupe
GEOXIA, dont les principes sont ceux se rapprochant le plus des concept
« Evolutive houses » et dont la qualité et le respect des normes de
fabrication sont remarquables.
C’est en tout cas le but de ce
document et des démarches actuelles de l’auteur.
Dans le cadre de cette collaboration à encore définir,
les urgences seraient d’aller très vite pour valider pratiquement le concept,
par des développement tests chez GEOXIA, sans transiger sur la qualité, afin
d’être prêt pour répondre à certains nombre de défis, dans le cadre de la
construction de logements sociaux ou populaires (à prix abordables) :
1)
Les maisons BORLOO [21]
[22].
2)
La reconstruction des maisons des victimes du tsunami dans
le Sud Est du 26/12/20004 [23].
3)
Des maisons des victimes du Pakistan, du Liban ….
Le défit à relever par rapport au
projet des maisons Borloo à 100 000 € est d’arriver :
a)
en 6 mois à faire un 1er prototype d’un modèle
classique, séduisant, fiable … qu’on peut présenter à la liste des communes
ci-dessous (voir note de base de page),
b)
à obtenir en 6 mois, toutes les homologations françaises
pour ce modèle, afin d’être prêt dans 1 ans à commercialiser la maison (de ce
modèle), de 100 m2, de plein-pieds, avec garage-atelier, à 100 000 €, tout
compris de base, clé en main.
a)
La maison sera garantie 50 ans ( ?) (si elle est montée par les experts /
professionnels de la société). Dans tous les cas, la durée de garantie, sera
la durée minimum garantie de tous les éléments de la maison, face à la
corrosion et aux autres problèmes décrits dans le chapitre « Etudes des
problèmes, contraintes et de leurs solutions » ci-après (si les facteurs
de charges sont respectés).
b)
on pourrait imaginer une garantie à couverture réduite plus faible, en cas 1)
d’enlèvement du kit dans les entrepôts de la société de vente, 2) de montage,
par l’acheteur (par lui-même), de la maison.
Les
clauses de garanties devront être élaborés et rédigés, par des juristes expert
dans la construction.
Tout
ce qui fragiliserait la maison _ facteurs de charges excessifs, ce qui pourrait
entraîner la corrosion _ par rayure, piqûre,, griffure, accident, soudure,
perçage, ponçage, sciage … des parties métalliques (acier, alu …), laissant la
partie métallique à nue sans sa couverture de protection (galvanisation,
anodisation, plastification, peinture …) _ pourrait faire sauter la garantie.
Pour éviter les accidents, mieux vaut que la maison soit livrée et
montée par des professionnels ou montée sous le contrôle d’un professionnel /
expert.
En particulier, il faut que tous les boulons et vis soient vissés à
bonne pression (vissés fortement, mais pas trop, à une pression connue en
N/m2). C’est la solidité de l’ensemble qui en dépend.
On décline toute responsabilité, en cas d’accident, en cas
d’auto-construction individuelle (sauf si défaut de fabrication, au départ,
d’un élément livré).
Etape ultérieure. Il est encore prématuré d’aborder cette étape.
Toutes les pièces détachées seraient livrées par
camion, directement sur le lieu de construction (en fait, de montage) de
la maison (ou par conteneur si livraison dans un pays étranger).
Une
idée est l’utilisation pour la métropole, d’utiliser des camions 40 tonnes ou
20 tonnes, ou 28 M2, et pour l’étranger, des conteneurs 20 ou 40 pieds _ le
prix d’un conteneur 40 pieds pour le Sri Lanka, environ 1400 Euros.
On souhaiterait, par
exemple, mettre une 1/2 maisons (de 100 M2), en kit, dans un camion indien
20 tonnes (type TATA Novus truk (à vérifier)).
Il faut que tout le
kit intégral de la maison soit livré, en un seul jour, en un ou plusieurs
camions partant en même temps, sur le site de la maison et du chantier de sa
construction.
Les
contraintes exposées dans le chapitre « Etudes des problèmes, des
contraintes et leurs solutions », conduisent à envisager à ce qu’une maison
en kit complète, avec tous ses éléments, ne devrait pas dépasser 40 tonnes
au total ( ? possible ?). Peut-être faudrait prévoir des murs creux
ou introduire d’autres matériaux plus légers (bois …) ? Mais d’un autre
côté, il ne faut pas nom plus fragiliser la maison, diminuer sa durabilité.
Bref cet objectif n’est peut-être peu évident à atteindre, spécialement dans
les pays du tiers-monde ([24]).
Voir dans le cas où la maisons
serait livrées achevées, sur roue, au départ usine et de petites dimensions, voir
si les dimensions de la maison permettraient son passage dans les rues étroites
dans les grandes villes du pays (voir chapitre sur les bungalows).
Si la maison était en bois, elle
serait normalement plus « écologique », plus légères à transporter.
S’inspirer alors de l’expérience
de la construction bungalows préfabriqués sur roues, dont son expérience en
menuiserie, comme celle de son constructeur naval Bénéteau et sa filiale
O’Hara.
Beaucoup plus tard,
acquisition d’un logiciel d’optimisation du trajet des camions [25]
…, pour économiser l’essence des camions de livraison.
Il faut que l’emballage
du kit, pour sa livraison par conteneur ou dans un camion soit pensé et étudié
comme les emballages des meubles IKEA.
Lors de leur transport, ces éléments et leurs caisses doivent
être bien arrimés (rien ne doit risquer de se casser) [26].
Les ouvriers monteurs, de
la société qui monte la maison, doivent être entraînés à monter rapidement la
maison (pas de temps mort, pas d’erreur). Par exemple, ils sont formés et
entraîné dans un centre d’essai. On chronomètre leur temps de montage. S’ils
passent sous ce temps de montage, pris comme temps de référence, pour chaque
modèle de maison (en tout cas pour le gros œuvre), il touche une prime. Délais et excellence conduisent à des
récompenses.
Il ne doit pas avoir de
déchet sur le chantier. La propreté du chantier doit être
« nordique ». Tout déchet doit être jeté dans une sorte de grande
boîte réalisée par exemple à partir des éléments de coffrages Syflex (ou
simplement dans une benne à gravat). Normalement le concept « evolutive
house » devrait éviter la production de déchets sur le chantier.
Pour l’instant, ce ne sont
que des idées en vrac, avec la faiblesse de ne pas disposer de prototype pour
vérifier ces idées. C’est pour l’instant, un avant-projet, pas encore dégrossi.
Et donc il faudrait :
1) Acheter le jeu de construction, puis réaliser
différents essais, jusqu’à la solution la plus facile à réaliser, la plus
solide, au niveau de la maquette démontrant la solution la plus faisable, la
plus facile.
2) Ensuite, réaliser les pièces et un jeux de
construction en balsa puis en bois dur.
3) Enfin, rédiger un document simple, présentant les
idées, en maximum 10 pages, « sexy », destiné à intéresser les
sponsors et présenter ce prototype en bois à échelle réduite.
4) Puis obtenir la réalisation en grandeur réelle d’un
ou plusieurs prototypes.
Il est certain que les
études coûteront très chers, et leurs coûts ne peuvent être envisagées que par
un grand groupe (Bouygues, Saint-Gobain (Lapeyre), Berlusconi …).
Et donc, il faut rester
modeste, réaliste et ne pas s’enthousiasmer trop vite pour ce projet, le voir
pour l’instant comme un jeu (sa complexité et ses difficultés ne devant pas
être à l’avance sous-estimés) [27].
Pour que ce concept EVOLUTIVE-HOUSES® soit agréé partout
dans le monde, il doit tenir compte d’un grand nombre de contraintes et de
problèmes que nous allons étudier et tenter de résoudre (en théorie) ici.
Il faudrait que ces maisons s’adaptent à toutes les
contraintes existantes dans le monde (contraintes existantes dans les pays
d’Asie du Sud, victime du tsunami, au Liban, victimes de bombardement,
en Iran ou Pakistan, victimes de tremblement de terre etc…). Qu’elles respectent les normes, règles de
construction des maisons en bois en béton, métal dans ces pays.
b) Solutions :
Il faut que ces maisons
résistent aux climats humides (chauds ou froids).
Ses matériaux ne doivent
pas se gondoler, pourrir, se salir sous l’effet de l’humidité.
Tout élément en bois doit
être traité dans la masse (lasure …), afin d’éviter tout gondolement, tâches et
auréole de moisissures inesthétiques, toute pourriture, risque de champignons _
mérules …
On utilisera, par exemple, des vernis étanches, hydrofuges, anti-salissures (vernis marins … ).
Note : Ce genres de produits
existent dans tous les pays.
Influence sur le degré d’ouverture des maisons : en
région tropicale chaude et humide : bâtiments aérés, détachés du sol
(pour éviter les remontées d’humidité), profitant du moindre mouvement d’air
pour rafraîchir l’habitation (séchage facile de la maison).
Avec la chaleur et de fortes sècheresses, certaines colles
et panneaux collés peuvent de décoller.
Protéger l’habitant contre a) la pluie, b) les effets
néfastes de la pluie : eaux de ruissellements, infiltrations (étanchéité
du toit, des murs, des ouvertures, maisons détachées du sol pour se protéger du
ruissellement …), etc.
Il
faut que les joints d’étanchéité résistent à des pluies très fortes obliques.
Cas d’orages, de cyclones.
La protection contre le froid :
=> conséquences sur l’architecture et le mode de vie : isolation ou
épaisseur des murs, diminutions des ouvertures, cloisonnement des activités à
l’intérieur des constructions, => aménagement des espaces intérieures avant
les espaces extérieurs, etc.
La protection contre la chaleur :
une certaine isolation, protection, par l’architecture contre le rayonnement
direct du soleil : véranda pouvant protéger les ouvertures, des rayons
solaires, avancées du toit devant les ouvertures (fenêtre …), isolation du toit
(couleurs claires) …
Attention, par grands froids, par – 40 °C, en Sibérie, en
régions arctiques, l’acier peut se fragiliser (et ne pas supporter de fortes
charge), les plastiques peuvent casser sous un effort ou une tension (raisons
pour lesquelles on utilise le bois, un matériau fibreux résistant bien aux
froids).
Solutions :
Dans les pays
chauds, les volets pourraient se transformer en un store en bois. Ou bien il
faudrait que le toit s'avance suffisamment pour former une véranda
rafraîchissante.
Pour les zones
arctiques, boréales, on pourrait utiliser le « béton de résine »
(voir documentation sur celui-ci en annexe) qui présente une plus grande
stabilité aux cycles gel-dégel.
Pour la
reconstruction d’urgence (pays en développement), les vitres pourraient être en
verre ou en film plastique entièrement transparent en Mylar / Tedlar / Kevlar
transparent (pB) (pour des question de poids ou
de coût et de résistance au vent et de durabilité, de transport … à voir aussi
pour les pays froids, durabilité au-delà de 10 ans) [28].
Il est
important de calculer les effets de la dilatation et de la rétractation des
poutres métalliques en fonction de la température ou du froid. Et faire que les
plaques tiennent compte des dilatations et rétractations.
Il faut éviter les ponts thermiques apparaissant sur les
points suivants :
> aux angles des murs de la maison, phénomène est
accentué par la présence d'un poteau en béton armé, en acier.
> pour des raisons analogues aux angles entre les murs de
refends et des murs extérieurs
> aux liaisons entre les dalles de planchers et les murs
extérieurs, si une isolation périphérique n'a pas été prévue (cas d'une
isolation intérieure) ou si l'isolation extérieure n'a pas été réalisée
jusqu'aux fondations.
> dans le cas des isolations par l'intérieur : les vides
d'air (généralement d'un centimètre), les trous pratiqués pour les prises de
courant, les mauvaises jointures entre panneaux isolants.
=> la solution dans ce dernier cas, serait a) la
solution des dalles doubles-plaques situées et enserrant de part et d’autres
les piliers (poteaux) en acier, et dépassant suffisamment (et étant
suffisamment épais) de part et d’autre des piliers, b) des dalles multicouches
isolantes, c) l’utilisation de joints isolants très jointifs (très serrés /
compressés ( ?)) voire de produits injectés additionnels.
Reste à résoudre encore le problème de la construction et
l’isolation des angles de la maison.
(voir
partie « protection thermique » du paragraphe « plaques
isolantes »).
Le vent a) sert à améliorer le confort (aération par piège à
vent, rafraîchissement intérieur, séchage …),
Ou b) est un élément contre lequel il faut se prémunir
(comme le passage fréquent d’ouragans). Dans ce cas l’habitation est souple,
autorisant un mouvement dans sa structure (flexibilité,
« élasticité »), ou/et elle tente d’offrir une résistance moindre aux
éléments extérieurs (aérodynamisme) ou encore ne s’oppose pas directement à la
force des vents (faible hauteur).
Rôle du vent : a) dans l’orientation de la maison, b)
dans l’organisation des espaces extérieurs.
b) Solutions :
Cas Vents violents : Il faut tenir compte de la force du vent (y compris
celles des cyclones et tornades dans certaines régions). Il faudrait
éventuellement, rester la résistance à la force du vent de la maison dans un
tunnel climatique.
Faire que
les volets, portes, et fenêtres closes, puissent résister à la sur-pression des
vents violents des cyclones dans les régions cycloniques.
Ici encore, la qualité des joints assurant l’étanchéité et
celle du jointoiement sont primordiaux.
Et
le fait que tous les orifices soient bien bouchés (par mastics, bouchons
étanches …).
Il est
important de calculer aussi les effets de la possible vibration des plaques (et
les effets de résonances et des harmoniques), sous l’effet de forts vents.
Toutes
les forces (forces de cisaillements, compressions, de flexion, d’étirement …)
doivent être étudiée en théorie, par des ingénieurs. Le plan doit être
rigoureux, ne laissant pas place au hasard et aux changements. Pour, chaque
plan, chaque maison, construite sur ce plan, doit être testé en réel.
a) Problèmes :
Un problème esthétique, à
résoudre, dans les pays tropicaux chauds et humides, les traces sales (ou
auréoles) noirâtres laissées sur les murs, par les moisissures. Pour éviter
cela, il faudrait au départ, chauler les murs (ou mélanger dans le béton frais
un produit anti moisissures ( ?)). Mais souvent les gens sont tellement
pauvres, qu’ils ne chaulent leurs maisons, qu’une fois dans leur vie, à la
construction, puis ils laissent se dégrader l’apparence extérieure des murs
& maison. Donc réfléchir à ce problème … Les rongeurs (souris, mulots, rats
…) peuvent ronger les bois, faire des nids dans la laine de verre. Les cafards
peuvent ronger le plastique de câbles électriques, informatiques.
b) Solutions :
Les bois seront traités antiparasites (avec lasure(s), fongicides ...).
Note: un des fongicides les moins chers
est « la bouillie bordelaise », une solution de sulfate de cuivre additionné
de chaux, que l'on dose généralement de 10g/l et 20 g/l.
Les panneaux trempés et traités ainsi prendront alors une couleur bleu-vert
(ce quin'est pas
inesthétique). La solution reste à tester.
Note 2 : On pourrais imaginer que les panneaux trempent
plusieurs semaines dans une solutions de bouillie bordelaise, d’alun et
d’autres sels ignifuges (++) (PB ?).
On pourrait aussi les tremper dans des bains de colorants
pour rendre les panneaux colorés.
Afin de réaliser des maisons des différentes couleurs.
Solutions
concernant les problèmes de résistance aux parasites, au feu,
d’imputrescibilité des panneaux/plaques de bois :
=> Les
panneaux de bois (ou en bio-matériaux, voir plus loin) seraient trempées
pendant une semaine dans des bacs remplis une solution saturée de calcaire
broyée et de chaux grise. Puis les panneaux seraient séchés au soleil. Et il
faudrait aussi éventuellement, que quand ces derniers soient secs, qu’ils
soient recouvert d’une lasure ou vernis ignifuge (par ex. « silicifiante » (pB ?)) et anti-parasitaire.
Des
fenêtres, sans vitre, mais avec grillages métalliques, jouant le rôle
de moustiquaires, dans les régions très chaudes ou règne le paludisme
(Inde, Sri Lanka, Indonésie …) (voir chapitre fenêtre).
a) Problèmes :
C’est à dire des attaques salines, en bord de mer :
Il faut les
résistante pour au
moins 50 ans aux attaques salines, les éléments de solidarisation (plaques de métal etc …) entre
les panneaux (en bois ...).
NB. même l'aluminium peut se piquer et être attaqué par l'air salin. Il faut donc que ces éléments soient traités anti-corrosion, anti-condensation ...
b) Solutions :
2
solutions proposées concernant les problèmes de salinité pour les poutres /
poutrelles en acier :
1) l'inox (mais solution chère).
2) l’acier
galvanisé (par une trempe dans un bain de zinc en fusion) puis laqué
de polyester ou polyéthylène anti-UV (par un bain dans du polyéthylène ou de
colle à chaud en fusion) ...
NB. ce type
d’acier existe. Il est encore appelé "acier zingué anti-corrosion
revêtement polyester". Par exemple pour les mâts de tentes ...
(Voir aussi : http://www.atoca.com/indexAtoca/Acier_galvanise.html
et voir certaines chaises de jardin traitées de CASTORAMA traité
ainsi www.castorama.fr/
).
Pour éviter la corrosion des boulons et écrous vissés sur
les éléments / panneaux en bois, ceux-ci seraient peut-être : noyés ou badigeonnés
de bitumes (puis éventuellement recouvert d’un capuchon plastique).
Si
utilisation de béton, il faudrait que le béton soit de très bonne qualité
(qu’il ne se fissure pas). En effet, l’auteur a pu observer que la rouille de
parties en acier, laissées à l’air libre (à cause d’une fissure), de maisons
situées en bord de mer, ayant plus d’un siècle, à Grand Lahou en côte d’Ivoire
avait foisonné. Et s’il y a une fissure, qu’on la rebouche alors avec par
exemple du bitume (à étudier).
L’utilisation
de « béton de résine » pourrait être la solution.
b) Solutions :
Résistance aux feux de forêts (selon les normes AFNOR et européennes,
locales ...) par solutions à base de :
=>
lamellés multi-couches, intercalant des couches isolantes anti-feux à base
de :
a) couche en laine de verre,
b) couche en satin de verre enduit double face de polyuréthane ,
c) solution ancienne de couche d'argile (? ... à tester ).
etc ...
=>
mortier coupe-feu...
=> flocage et traitement anti-feu ... Il existe des produits absorbeur d’oxygène quand ils sont chauffés, quand le bois en est imprégné, qui retardent l’avancé du feu (d’un incendie).
=> imprégnation d'un produit retardant le feux _ solutions d'alun, ... Voir toute la liste de ces produits listés par BATIWEB en bas de ce mail et encore (*) etc ... (solution de silice pour créer du bois silicifié résistant aux feux ? Faire tremper, des jours et des jours, le bois, dans cette solution ? Coût ?).
On
pourrait encore badigeonner les poutres métalliques d’un mélange constitué
d’une chaux ou béton ou d’un autre produit réfractaire et retardant
(silice ?).
(+) NB. L'ignifugation consiste à protéger, diminuer, contrôler ou retarder la combustion des matériaux inflammables.
La plupart des traitements ignifuges du bois, se font en autoclave (c'est donc un traitement cher !).
Il
faut aussi que les portes voire les fenêtres et volets soient coupe-feu
(en tout cas retarde le feu. le plus tard possible). Les gaines électriques doivent être
remplis de produits intumescents.
Il faut que
les endroits, il y a du feu : la cuisine, la cheminée, le four traditionnel
indien (le "tandoor") soient isolés par des matériaux isolants _
béton, briques, ciments, mortiers, terre cuite ... _ de la partie bois de la
maison [1].
Il est important de prévoir le coin du feu / du foyer (quel type de foyer ? quelle type de
cheminée _ en acier, en brique type tuiles, en céramique ... ? la place pour stocker le combustible _ crottin, bouses de vache, bois coupé, ramassé ... _ (Voir, à ce sujet, le document [1] en fin de ce mail).
On pourrait imaginer isoler les plaques / modules en bois du préfabriqués, par des plaques de tôles, placées en sandwich entre les panneaux de bois du module. Mais alors il faut protéger ces plaques de tôles contre la corrosion (pour au moins 50 ans) (à étudier, mais « bof »).
Il a bien sûr, la protection par le paratonnerre et
l’ossature métallique (poutres en métal, fermes métalliques …). Mais on peut
ajouter, un fin grillage, au sein du sandwich de matériaux constituant les
panneaux de bois.
a) Problèmes :
Les plastiques (par exemples de la
protection des poutres, des joins d’étanchéité) peuvent être abîmés par une
longue exposition aux UV. Il faut donc les tester à long terme.
b) Solutions :
Utilisation de matériaux résistant au soleil (???).
a) Problèmes :
Les éléments du relief sont généralement intégrés à la
conception de la construction : les axes principaux de la construction
chercheront le plus souvent à s'aligner sur les courbes de niveau et la ligne
de plus grande pente. Le dénivelé permettra également de créer des différences
de hauteurs et des décalages dans l'organisation des pièces, ou encore imposera
à toutes les constructions une même orientation.
b) Solutions :
Les éléments poutres verticales permettront de monter la maison sur pilotis,
pour tout problème de pente, comme les maisons Domobile (voir la documentation
référencé en fin de ce texte).
Voir notre solution, à
base de platine-pilotis et de patin support, au niveau de notre chapitre
« pose de la maison, blocs de bétons » (B).
Qu'elle soit naturelle ou artificielle, elle participe
entièrement à la vie d'une habitation. Sous certains climats, la végétation a
une utilité directe : elle protège du soleil et humidifie l'air en été, elle
laisse passer la lumière en hiver.
Les préoccupations écologiques des habitants vont influencer
leur mode de penser la construction : réductions de l'utilisation des énergies
fossiles, utilisation de l'énergie solaire sous forme active ou passive
: ces principes orientent ainsi la conception même de la construction.
Dans certains cas, on éviter les déperditions d’énergie
(chaleur, fraîcheur …), par l’isolation ...
Conception de maisons climatiques, ouvertes
aux vents, dans les pays chauds (Sahara …).
On doit adapter
la maison au terrain et pas le contraire (voilà pourquoi le plan de la maison
tout en bois « Stark house », de Philippe Stark, disponible, un temps
en 1994, dans le catalogue des Trois Suisses, ne s'est pas vendu).
La maison
doit être le projet commun de la famille.
Elle doit satisfaire aux besoins actuels et futurs de tous les membres de la
famille.
Selon
la nature du sol et les ressources disponibles, les habitations vont se
concentrer dans les endroits où l’on ne peut pas cultiver, dégageant au maximum
les zones dont on pourra tirer profit. La disponibilité de la nappe aquifère
influencera également le positionnement des habitations.
La nature des matériaux va influencer l'utilisation que l'on
va pouvoir en faire : les contraintes technologiques sont en effet inhérentes à
la nature des matériaux et elles orienteront la conception du bâtiment : la
longueur des troncs d'arbre disponibles, par exemple, limitera les portées
franchissables sans appuis, de même que la nature même du bois utilisé, certains
étant plus résistants que d'autres.
(on ne peut faire des voûtes, que si le matériau résiste à
la construction …).
Les disponibilités des ressources vont influencer
l'utilisation que l'on peut en faire : si on dispose de bois à volonté, on
pourra construire des maisons entièrement réalisées dans ce matériau. Si le
bois vient à manquer (ou son lieu de production est très éloigné), on le
réservera au domaine d'application où il excelle. Le visage de la construction
en sera ainsi modifié.
Les matériaux ne sont rien si on ne dispose pas de
techniques adaptées pour les rendre utilisables dans la construction. De même,
à partir d'un même matériau de base, il est possible d'obtenir de nombreux
matériaux dérivés qui sont tous différents quant à leur qualité et aux moyens à
mettre en œuvre pour les transformer.
Le développement économique implique l'état de développement
des techniques, des réseaux de communications et de transports, qui sont un
ensemble de facteurs qui va avoir une influence directe sur les échanges
d'idées et de matériaux, se répercutant eux-mêmes sur les modes de
construction.
Si on n’a pas de moyens de transports, si l’état des routes
sont mauvaises pour des distances conséquentes, il sera plus difficile alors de
faire venir les sacs de ciments, les éléments préfabriqués …
La connaissance des techniques n'implique pas nécessairement
de pouvoir les mettre en œuvre. Le coût associé aux transformations et mise à
forme en limite souvent l'application dans des pays ne disposant pas des
ressources financières suffisantes. Si la région ne dispose pas de
haut-fourneaux ou d’autres types de fours pour la transformation du fer en
acier, on ne disposera pas de poutrelles en acier ...
Pour protéger de la pluie et pouvoir disposer facilement de
ses équipements de pêche (filets …), certains villages sri lankais ont mis
leurs maisons sur pilotis afin que ces objets soient stockés sous celles-ci.
La composition de la famille et la hiérarchisation qui peut
exister dans celle-ci va influencer l'organisation de la maison, sa forme ainsi
que la répartition des pièces.
Une maison devant recevoir le mari, ses trois femmes et ses
quinze enfants aura une toute autre physionomie qu'un appartement pour un
couple sans enfant.
De même, lorsqu'il y a une descendance nombreuse, on
privilégie, selon les régions, l'aîné, les garçons ou les filles, leur
attribuant une pièce individuelle ou une position particulière par rapport au
chef de famille.
Selon que l'on se trouve dans une société patriarcale ou
matriarcale, la pièce respective du chef de famille peut acquérir une
importance particulière.*
Lors du mariage, plusieurs situations peuvent se présenter :
les mariés deviennent indépendants et s'installent ensemble dans un endroit
sans lien avec leur famille respective… mais la femme peut venir vivre dans la
famille de son mari, l'habitation étant parfois une pièce de la maison du
père, celui-ci faisant même construire, à ses frais, une nouvelle
construction pour le jeune couple.
Le régime marital va aussi avoir de l'influence sur
l'habitat : monogamie ou polygamie : comment sont installées les épouses
(époux), vivent-elles seules, existe-t-il une hiérarchie entre elles, se
traduit-elle physiquement, etc. Le mari vit-il dans la même maison que ses
femmes, vivent-elles séparées, va-t-il chez l'une puis chez l'autre.
Comment se transmet la propriété ? Revient-elle à la
communauté à la mort de l'utilisateur ? La maison familiale a-t-elle une valeur
affective particulière ? À qui revient la maison dans la descendance ?
Préserve-t-on son habitat afin de le transmettre ? La succession des
propriétaires a-t-elle une traduction formelle ?
Qui est propriétaire de la terre ? La notion de propriété
privée va influencer l'usage que l'on va avoir du sol et l'investissement dans
l'habitat. Qui est responsable de l'attribution des terrains ? À qui reviennent
les constructions bâties sur les terrains communs ?
Ces paramètres influencent à leur tour la manière d'aborder
la construction.
O Francs pour les uns, tous pour l’un d’eux.
Qui peut s'installer à quel endroit ? Dans de nombreuses
villes, ils existent des quartiers réservés à certaines populations, se
regroupant et formant une communauté vivace. Volontaire ou non, cette
ségrégation a pour effet de développer la conscience de son identité et devient
souvent source de conflit.
On peut également trouver cette dissociation basée non plus
sur un système ethnique mais économique : nous avons nos quartiers à logements
sociaux, nos parcs résidentiels, nos cités ouvrières, qui cloisonnent tout
autant les populations.
La religion ou les croyances philosophiques peuvent se
traduire par une adaptation de l'habitat, dans l'orientation de pièces par
exemple, mais cette influence peut être beaucoup plus grande, la maison
devenant la représentation symbolique du système philosophique des habitants.
Eventuellement, dans les maison,
pourrait être prévu un emplacement (ou une niche), pour un culte religieux
domestique (« hôtel des Dieux » hindouiste, bouddhiste etc. …).
Des trous circulaires seront
pratiqués dans les plaques de béton, au quatre extrémité du toit, pour
permettre d’un planter de petits drapeaux (de prière etc. …).
Eventuellement, si cela ne coûte
pas trop cher, à moitié enterrer dans
le jardin, verticalement un petit tuyau en béton (L = 1 m, ø = 20-30 cm), dans
le quel serait planté un mât, pour un drapeau (national ou religieux etc. …).
À côté de tous ces facteurs dont l’influence peut être
mesurée de manière objective, il en est d’autres dont les conséquences
résultent plus d’une manière de penser et d’appréhender la construction que
d’une analyse objective de la situation.
Ces paramètres sont évidemment plus difficiles à discerner
mais jouent néanmoins un rôle important dans l’orientation des choix que seront
faits pour la construction. Il s’agit des modèles communément considérés
comme " la " référence en la matière, de l’image que l’on se fait de
la " réussite ", en somme de tous les a priori culturels ancrés
dans les mentalités.
Source : http://users.swing.be/geoffroy.magnan/mali/3Context.htm
b) Solutions :
Si elles
étaient construites en régions sismiques, ou de tsunamis, elles devraient être
en béton armé, renforcées tout autour, par des câbles en acier ou en
nylon glissées dans des tuyaux en PVC ou noyés dans le béton (ce type de
câblage existe dans certains maisons californiennes et japonaises), rendant la
maison monobloc et solidaire, résistante aux inondations, cyclones, tsunamis et
tremblements de terre.
Grâce
à tout le câblage, la maisons doit pouvoir tenir toute seule, sans se
casser. Elle doit pouvoir reposer sur 3 ou 4 points, 3 ou
4 rochers ou 3 ou 4 pare-peints solides, sans problèmes. Elle ne
doit pas pouvoir se briser même, si elle déplacée, par exemple, poussée par
la force de la vague d’un tsunami (force colossale, comme la crue furieuse
d’une rivière).
1)
Nous
avons déjà exposé l’idée d’un maillages de câbles, entourant totalement la
maison, tendus par des treuils à main (une sorte de
« pré-contrainte ») (PB ?). Une
autre idée étant celle du cerclage d’acier de la maison,
2)
Pour
la 1ère idée, nous imaginons la maison entourée de 8 câbles _ une
maison empaquetée / ficelée par ses câbles, comme un paquet cadeau (voir schéma
ci-dessous). Les câbles passent sous et sur la maison et sont tirés tout autour
de celle-ci, d’abord à la main, puis avec un treuil à main (voire, on pourrait
imaginer / inventer, un système à cliquer comme pour les sangles de voitures.
Le Ø du câble d’acier serait de 8 mm ( ?) (à calculer en fonction des
contraintes). S’il était en nylon, son Ø serait de 10 mm ( ?). (ou le
câble d’acier serait plus ou moins plat, comme une sangle de voiture).
3)
Le
câble glisserait le long d’un « rigole » (d’un creux rectiligne à
section en U) courant le long des façades et sur le toit. Le câble acier ou
nylon serait noyé dans du ciment ou du bitume, remplissant / comblant le creux
de la « rigole » des plaques, fermes ou éléments poutres.
4)
Lorsque
le câble est arrivé à la bonne tension (comment la déterminer), on coupe
l’excès de câble (on éviter d’en perdre trop), avec une pince coupante. L’épissure est ensuite noyée dans le ciment
ou le bitume. Cette phase de tension du câble étant dangereuse, elle se fera
très progressivement et tous les autres travailleurs seront éloignés à plus de
50 m de la maison (l’ouvrier devrait presque porter des vêtements de cuirs
épais comme le tablier d’un maréchal-ferrant et un casque de moto).
5)
La « rigole », courant sur les plaques (où se loge
le/les câble(s)), et sur l’angle extérieur des piliers porteurs au 4 angles de
la maison, s’obtient par rainurage des plaques de bois (ou composé bois), par
une fraise,
Cas des plaques en béton :
elle s’obtient, en posant en enfonçant dans le béton coulé dans les moules, un
tube de PCV, enduit d’huile de vidange (ou mieux de « l’huile de
coffrage » ou simplement une émulsion d’eau et d’huile végétale _ huile de
palme … _ voir http://www.fnr.de ) puis posé avec un certain
angle, par rapport l’axe du moule (cas du moule des plaques planes), sur le
béton frais, ou bien posé au fond du moule (cas du moules des piliers
d’angles). L’huile serait déposée sur
la face de l’élément, constituant le mur extérieur de la maison (elle peut
couvrir jusqu’à 100 m²/litre). L’huile serait
« nettoyée » avec du sable, sable récoltée et placé dans le sable du
puisard (voir plus loin). L’avantage d’utiliser une émulsion d’eau et d’huile
végétale est qu’elle est plus facile à éliminer par de l’eau.
L’application d’huile de coffrage, pour obtenir des surfaces
régulières et lisses, requiert des précautions particulières. On veillera à ce
qu’elle soit répartie partout de manière uniforme; il faut aussi l’appliquer le
plus tard possible, afin d’éviter qu’elle soit absorbée par les coffrages.
Enfin, une quantité excessive d’huile nuit à la qualité de la surface du béton
(Note : 1 L d’huile coûte en France de l’ordre de 2 € HT).
Les plaques de bétons posées sur le sol, seront séchées au soleil (voire sous une serre en film plastique de serre, en cas de pluie, mousson …).
L’angle de la « rainure », sera déterminé de la façon suivante : on fera un plan sur le sol (échelle 1, dessin avec un bâton sur le sable) de la disposition des plaques planes du toit et de celui des câbles courant sur le toit. Et l’angle du tube de PVC enfoncé dans le béton du moule, se déduira de lui-même.
Dans les pays du tiers monde, les plaques de bétons seraient
créées à la main, sur place, sur le chantier, à l’aide de moules de coffrage,
comme ci-après :
Moule de
coffrage pour les éléments préfabriqués en béton © B. LISAN
6)
La rainure sera suffisamment profonde, pour que le câble ne
dépasse pas et n’empêche pas l’écoulement de l’eau pluviale sur le toit, vers
la bonde de la citerne.
7)
pas de plafond en dur sans treillis métallique interne
(Armature, grillage): en cas de tremblement de terre la nuit, le plafond peut
alors tomber sur les occupants. Les Californiens emploient du placoplâtre ou du
bois pour les plafonds. L’idée de disposer des plaques de bois ou de bétons et
des poutres maîtresses pour le plafond est donc à étudier dans cette optique.
On évitera les murs intérieurs en Placoplâtres (peu utilisés là-bas et fragiles
face aux séismes). Le grillage a pour but d’éviter que de gros blocs de bétons
tombent sur les habitants, en cas de séismes, dans le cas où le béton serait de
mauvaise qualité (en général, un béton comportant trop de sable. Note :
bonnes proportions : 2 à 3 mesures de sable pour une mesure de ciment.
Pour faire du béton : sable blanc, gros sable, ciment. Le mélange ne doit
pas être trop fluide).
8)
Le ferraille du béton est important (et ce dernier
pourrait peut-être expliquer pourquoi certains bâtiments à Banda Aché
(Indonésie), dont la mosquée ont résisté à la puissance du tsunami).
©
B.Lisan.
Ces
câbles (qu’on pourrait préfabriqués en usine à la bonne dimension, muni d’un
système à cliquet d’un côté, et d’une épissure soudée, de l’autre) sont-ils
utiles.
Toutes
plaques de béton doivent être armées avec du ferraillage à béton et du
grillage.
Les maisons en bois,
anti-sismiques sont en général plus résistance aux séismes que les maisons en
structure en béton équivalentes. Elles sont, par contre, plus vulnérables au
feu (à étudier).
Il est important que tout soit
calculé par des architectes (ou ingénieur en génie civil), dont les effets des
vibrations, résonances ...
Tsunami : On pourrait prévoir une
forme profilée de la maison, en étrave de bateau et renforcer l’épaisseur du
mur, côté océan (voir dessin du plan de la maison). La face de la maison en
forme de V, côté océan, pourrait comporter 2 petites fenêtres fermées par des
volets (en fer ( ?)).
Tsunami,
glissements de terrains : D'une seule tenant, la maison doit pouvoir être remise en place
sur ses fondations (après la catastrophe), juste à l'aide de patins
placés sous la maison, tirée par une grue ou un bulldozer.
Des anneaux
pour tirer et soulever la maison doivent alors être prévus au 4 coins de la
maison (si elle est vendu achetée ou lorsqu’elle est achevée sur le terrain).
Plusieurs longueurs de tuyaux souple enroulés sur eux-même doivent être
prévu (stockés sous la maisons) pour les différentes canalisation, pour qu’en
cas de tsunami, la maison puisse se déplacer sans arracher les tuyaux et sans
être retenus par eux.
Ne pas oublier que les cyclones provoquent de fortes inondations.
Etudier, si l’on peut envisager,
une certaine flottabilité de la maison en cas de tsunami (par
« étanchéification » des issues), plus facile pour les maisons en
bois (et peut-être possible pour les maisons en bétons avec des murs creux,
structure alvéolaire « nid d’abeille » (mais attention à la solidité
aux cyclones). Ou par l’utilisation de flotteurs placés sous la maison
( ?).
b) Solutions :
Tous les boulons et vis sont recouverts d’un capuchon
hémisphérique en plastique, afin éviter que les enfants se cognent dessus et se
blessent.
Tous les éléments ayant angles tranchant et blessant seront
chanfreinés. Sinon, on casse les angles vifs, avec un marteau, ou une petite
masselotte (ou une bouchardes à 8 dents (talot) et à tête mobile, un outil
de tailleur de pierre), pour éviter que les enfants se blessent sur ces
angles.
Les enfants :
Toutes les trappes d’accès (au puit, à la fosse sceptique, à
la citerne) sont cadenassées (pour éviter que les enfants tombent dedans).
Les
adultes sont fermes avec les enfants (ils n’ont rien à faire sur le chantier,
ni à toucher les outils). (Une idée : un fil entoure le chantier à ne pas
franchir, par ex.).
La
loi indienne impose d’avoir une crèche, à côté du chantier, pour les ouvriers
itinérants (si ce cas arrive que faire ? )
b) Solutions :
Une personne sera responsable des outils sur le chantier et
de la façon de les attribuer à chaque travailleurs (voire une liste des prêts
sera tenu à jour). Les outils seront numérotés. Un appentis, fermant à clé,
sera construit pour stocker les outils la nuit (ou bien entreposé chez
quelqu’un, dont la maison ou le local est bien clos et fermant à clé). On y
stockera aussi les moules (Note : à réfléchir combien de moules par
maisons, à fournir à chaque village).
Il est
certains que envisager des WC écologiques (WC secs …) peut paraître pas très
réaliste ou sérieux. Une lubie d’écolo, attardé de 68.
On
pourrait les envisager pour les pays du tiers-monde.
Pour les WC
sec artisanal, il faut prévoir un sceau rempli de feuilles odoriférantes
(pétales de roses, feuilles d’eucalyptus …).
Exemple :
Eau,
osmoseur, WC sec |
SEPARETT TORRDASS 30 WC sec de jardin |
110.00 € |
|
le Separett le plus simple et le meilleur marché. Il se
compose La contrainte de ce système est l’obligation de vider le
seau (nous conseillons une capacité de 15 à 20 litres) sur le carré à compost
du jardin quand il est rempli. |
Site : http://www.maison-ecolo.com/boutic/bou_list.cgi?codefam=eau&codesfam=wcs&lang=
Bibliographie : Water sans eaux, Béatrice Trélaün, Ed.
Alternatives.
Autre solution : les toilettes sèches :
Sanisette à Lombric (« lombricompostage ») :
a) Les matières fécales et les
papiers sont transformés en terreau par des lombrics (vers de terre),
l’évacuation du terreau étant à réaliser tous les 5 à 10 ans. Des toilettes
publiques, assez fortement fréquentées, génèrent de l’ordre de 1,3 mètres de
matières fécales et papiers toilettes “foisonnés” par an, lesquels donnent
naissance après compostage à environ 100 litres de terreau “bien stabilisé”.
b) Epandage des urines : Tranchée 4
à 8 mètres linéaires suivant technique classique de l’assainissement non
collectif ou dans cuve étanche enterrée de 3000 litres, vidée une fois par an
si très forte fréquentation, et sinon tous les deux ou trois ans.
c) Entretien : Pour Sanisette à Lombricompostage,
retrait du terreau tous les 5 à 10 ans en fonction de la fréquentation. Le fond
de la sanisette doit être directement en contact avec le terreau de la terre.
d) Une suggestion : Un clapet actionnable par une
poignée, obturant le trou du WC (entouré par la lunette des Wc) _ évitant la
remontée des odeurs, est actionnée à la main, en fin de défection, pour vider
dans la fosse, l’urine et les crottes.
e) Dans les toilettes, 1) un sceau rempli d’eau, toujours à
proximité dans le local WC, permet de laver le WC, 2) un seau rempli d’herbes
odorantes, pour jeter dans le trou, après chaque défécation, 3) du papier
toilette (ou broc d’eau, fréquent chez les indiens et musulmans).
Source : http://www.saniverte.fr/fr/produits.php
Modèle |
Avantages |
Inconvénients |
Coût (en France) |
SEPARETT TORRDASS 30 WC |
le Separett le plus simple et le meilleur marché. Il se
compose |
La contrainte de ce système est l’obligation de vider le
seau (nous conseillons une capacité de 15 à 20 litres) sur le carré à compost
du jardin quand il est rempli. |
110 € |
Sanisette à Lombric (« lombricompostage ») |
Les matières fécales et les papiers sont
transformés en terreau par des lombrics (vers de terre). Produit du terreau
directement exploitable. |
l’évacuation du terreau étant à
réaliser tous les 5 à 10 ans, en fonction de la
fréquentation. Pour l’épandage des urines, il
faut creuser une tranchée 4 à 8 mètres linéaires. |
Coût inconnu pour l’instant
(certainement plus élevée que la solution précédente). |
Les latrines pourraient être aussi un puit de 4 mètres de
profondeur, puit constitué de 120 blocs
de bétons hémi-circulaire (source PNUD). Dans les latrines, une trappe
d’accès, au fond du compost (water sec), ou bien un système de couches de
sables.
La plaque de béton moulée (voir sa technique de fabrication
par moule, plus haut dans ce document), couvrant la fosse sceptique,
comporterait un trou, sur lequel serait posé la cuvette des WC (cuvettes en
béton, voir plus loin).
(Note : le trou dans la plaque de béton aura été créé
par le culot d’une bouteille enfoncée dans le béton, encore frais, de la plaque
sanitaire, au moment où elle est en train d’être moulée dans son moule en
acier).
… Ou bien constituée
d’une fosse sceptique préfabriquée, et avec l’abris de protection des latrines,
constituée d’une fosse sceptique inversées (disposant d’une porte).
Les WC, pour des questions d’hygiène et d’odeur, seront
situés à distance de la maison (tant pis si l’on doit s’y rendre sous la pluie
battante de la mousson).
Autres idées : Pour la fosse septique, il faudrait
qu'il y a déjà du compost et des feuilles au fond, pour diminuer les odeurs,
une trappe d'accès pour vider le compost formé à la longue. Compost qui
alimenterait le jardin.
Sur le trou
des WC, il faudrait un clapet pour éviter la remontée des odeurs, et
prévoir un écoulement d'eau limité provenant de la citerne, d'une 1/2
litre, pour vider les crottes vers le trou.
Pour le schéma de puit sanitaire, voir aussi ci-avant le
paragraphe « puits sanitaire ».
Puit
sanitaire © B. LISAN.
Commentaires sur le schéma ci-avant :
a)
la base du ½ bloc de la partie water, serait renforcée, à la
base, pour éviter les fissures.
b)
La trappe technique de la dalle sanitaire serait clos par un
cadenas, pour éviter que les enfants puissent tomber dans le puit sanitaire.
Les
parties et vides sanitaires doivent être parfaitement sellées pour éviter les
remontées d’humidité source de moisissures et de termites.
Selon le PNUD, 2 à 3 litres d’eau dans un broc, suffirait à nettoyer
la cuvette des WC (en l’absence de système de chasse d’eau). Les toilettes
suggérées par le PNUD seraient vidées de leurs matières fécales, une fois par
an (source : Apprendre à travailler le bois, constructions,
transformations des aliments, métaux etc. .., 7 cassettes vidéo, Ramigé Film
Produktion, UNESCO, 1997).
Surface :
40, 60 à 80 m2. Mais la maison standard serait de 60 M2 habitable au sol.
Le toit de
la maison est porté par 12 piliers porteurs, en béton ferraillé et par des
poutres maîtresses porteuses, ferraillées, sur tout le haut et pourtour des
murs de la maison. Il y a aussi une poutre maîtresse traversant le haut de la
pièce longitudinalement. Toutes ces poutres reposent de bout en bout sur les piliers
porteurs. Il y a :
On
prévoit soit :
Les murs
sont composés d’un sandwichs de plaques vérticales de bétons ferraillées,
collées entre elles, de façon décalée (collées par du béton ou du bitume), chaque plaque dépassant d’un côté de la plaque voisine de 10 cm.
Chaque plaque fait 2,5 m
de long, de 50 cm de large, et 10 cm d’épaisseur.
Chaque mur
est composé d’un sandwich de 5 plaques collées (ce qui fait une épaisseur des
murs de 50 cm ( !)). L’idée est de renforcer la solidité des murs par
feuilletages des murs (comme avec un pare-brise feuilleté).
Les piliers
porteurs verticaux, font 3 m de long, sur 20 - 30 cm x 20- 30 cm de côté. Ils
sont « cannelurés » avec des cannelures de 10 cm de côté et de
profondeurs, afin que puisse s’y emboîter facilement les grandes plaques.
Les poutres
porteuses horizontales, du plafond et du sol, devraient avoir les mêmes
dimension que les piliers porteurs verticaux (3m x 20 - 30 cm x 20- 30 cm).
Les
fenêtres, montants, pourtours des fenêtres seraient préfabriqués, déjà montés
et apportés aussi. Tout cela serait soulevé par une petite grue manuelle ou à
moteur diesel (Voir schéma du plan _ 1ère ébauche _ de la maison,
page suivante).
Sur le sol,
et le toit seraient disposé les même plaques allongées (2,5 x 50 cm de large x
10 cm), recouvertes d’une petite couche de ciment hydraulique pour le lessivage
et nettoyage (sur le toit, la couche aurait un plan incliné pour amener l’eau
de pluie vers une canalisation, l’amenant, à un filtre bactérien débouchant
dans le réservoir). La dalle de sol
devrait d’être un seul tenant (formant un bloc solidaire).
Autre plan possible de la maison (Solution Michel
Rosell©) :
On pourrait aussi s’inspirer des idées et concepts pour
l’aménagement intérieur de l’habitation, de celle des « unités
d’habitation » de l’architecte Le Corbusier, pour son projet de
« Cités Radieuses » de Briey-en-Forêt, de Marseille etc… (France) : largeur
366 cm, hauteur 226 cm etc. …).
Plan d’une « unité
d’habitation » de Le Corbusier, dans la Cité Radieuse.
Mais le plus important reste de
s’inspirer de ce que désirent réellement les gens sur place, sur l’aménagement
intérieur de la maison ( !).
Ces outils
seront amenés sur place, avec l’arrivée des éléments de la maison.
On veillera à ce qu’ils
ne soient pas volé (obligation d’une garde de nuits).
Ces outils
sont transportés d’un chantier à l’autre.
·
Clés, clés anglaises (+) (°) |
·
Sceaux
(pour eau, ciment …) (°°) |
·
treuil à
main (ou petite grue) (+) |
·
Truelle,
bac mélanger ciment (°°) |
·
échafaudage(s)
(+) (°) |
·
Pelles,
pioches … (°°) (+) |
·
échelle(s)
(+) |
·
bétonnière
manuelle (°°) (+) |
·
Niveaux à
bulle, fil à plomb (+) |
·
Un poste
à souder (pour le ferraillage …) (++) (+) |
·
Pinceaux
pour étaler des produits (huiles, lasures …) (*) |
·
Voire un
groupe électrogène … (pour le poste à
souder) (++) (+) |
·
Bâches
pour protéger éléments (+) |
·
Masses,
marteaux (++) (+) |
·
Une série
de tournevis (+) |
·
Burins
(++) (+) |
·
Ponceuses,
meuleuses (++) (+) |
·
Pinces
coupantes (++) (+) |
(+) a) La société qui commercialise les maison pourrait
prêter ou louer ces outils. b) ou bien, il y a un accord entre la société et
une maison de location d’outils (KILOUTOU), pour la location des outils.
(°) éventuellement outils, offert par la société avec le
kit.
(°°) outils éventuels pour la création de blocs de béton
(plots) de soutènement de la maison.
(++) outils si possibles à éviter.
L’idéal serait que l’on utilise que la liste des outils en
gras ci-dessus et éviter les outils en italiques.
Il faut éviter tout de qui serait ajustement, adaptation,
« retouche » du kit sur place _ c’est à dire, sciage, ponçage,
perçage, soudure, sur place qui pourraient provoquer des rayures, griffures,
piquage, accidents, sur les parties métalliques initiateur de la corrosion.
NB.
Pour les pays du tiers-monde, on pourrait envisager la construction et l’utilisation
de grues manuelles en bois, sur le modèle des grues médiévales sur pivot, comme
celles utilisées par les constructeurs de cathédrales (voir sites : www.chateau-de-mezerville.org et www.pbase.com ).
Grue médiévale
sur pivot. |
Palan sur
structure en bois. |
|
Pour information, nous citerons les solution de Monsieur Michel ROSELL, en raison des nombreuses
idées qu’elles contiennent et qui pourraient être récupérée pour le projet
« Une maison pour tous ».
Monsieur
Michel ROSELL, architecte et urbaniste (ancien professeur d’architecture)
propose le concept d’une maison para sismique, en matériaux de récupération à
faible coût (dont il déjà réalisé plusieurs prototypes et réalisations).
Concept
des maisons à bas coûts de M. Michel ROSELL :
1) murs
pas éloignés, de plus de 4 m, entre eux (pour des raisons parasismiques).
2) surface de 100 m2 au sol (11 m x 11 m).
3) une ossature bois, rempli de matériaux de
récupération (en bois de palettes, en déchets de parquets et de toutes sortes,
pour les murs, qu'on remplit ensuite de toutes sortes de déchets : déchets,fane
de tournesol, de maïs, bagasse de canne à sucre, papiers, cartons, paille
compressée, fougère, de chanvre, pierres …).
4) une salle à manger polyvalente (pouvant servir de salon,
salle de réunion ...), une cuisine, 4 chambres, un WC écologique, une salle de
bain reliés à un système de bacs de phyto-épuration par des plantes (situé à
l’extérieur de la maison), un patio central avec jardin intérieur, avec un
accès sur la terrasse (ou une toiture prairie) où se trouvent 4 "ogives de
survie" (voir au chapitre 12), des citernes de stockage d’eau (sous le
patio) avec un système de potabilisation (par un filtre de 1 m³ de sable, un
filtre de 1 m³ de charbon de bois et un filtre avec un lit d’argile).
5) Autour de cette maison, des petites serres obliques de
2x3m (sauf devant les portes et les fenêtres) dans lesquelles seront placés: le
jardin potager fleuri, une phyto-épuration pour le traitement de l’eau, une
culture de spiruline familiale de 5m², un séchoir et une cuisinière solaire.
6) dalle de la maison posée (éventuellement) sur 800 pneus
usagés (ou un lit de sable sec, mais pas des remblais, pour des raisons parasismiques) et
utilisation (éventuellement) de déchets ménagers triés de 10 maisons
pendant 1 an pour réaliser les fondations de la maison.
7) utilisation, pour monter les murs, de palettes placées
dos à dos que l’on remplit de bio matériaux que l’on pose verticalement et que
l’on enduit à la truelle, ou de chevrons de bois remplis de
"bio-matériaux" ou de torchis "coupe feu" (1 seau de chaux,
2 seaux de sable, 4 seaux de paille + 2 seaux d’eau). Le bois et les
bio-matériaux étant traités à la chaux grise, pour éviter les parasites.
8) La
toiture prairie est constituée de plusieurs couches. Plusieurs choix pour le
plafond: lattes de bois, canisses, plâtre ou soliveaux apparents, au dessus un plancher
constitué soit de bouscasses de Ø 5 soit de planche de coffrage etc. Au dessus
du bidim, des couvertures de laine de mouton, dessus une bâche épaisse (style
des camions) et dessus 5cm de terre et 5cm d’humus.
9)
Autour du patio une gouttière pour récupérer l’eau de pluie.
10) un
système de phyto-épuration composée de bacs de 20cm de gravier de 1m x 2m ici
21m², remplies de plantes locales _ jacinthe d’eau, papyrus etc … _, qui
épureront l’eau.
Les
questions cruciales à analyser restent la solidité face aux cyclones, vagues
des tsunamis, tremblement de terre et la durabilité des éco-matériaux (on sait
par exemple que les matériaux crus résistent très mal à l’eau et à
l’affouillement par les vagues. On sait que les maisons les plus solides face
aux cyclones restent, pour l’instant, les maisons en murs porteurs en bétons,
en briques ou en acier (style « Algéco »).
M.
Michel ROSELL estime le coût de cette maison en matériaux de récupération,
en France, à 12000 Euros.
Source : Michel Rosell, « Université
d'Ecologie Appliquée et Solidaire », Le Chabian 3O7OO AIGALIERS, , Université d'Ecologie Appliquée et
Solidaire, Le Chabian 3O7OO AIGALIERS.
http://ecosocial.free.fr/Maison1000Euros.htm
, http://ecosocial.free.fr/tsunami.htm
Sites
sur les maisons en bottes de paille : www.lamaisonenpaille.com
http://rmosaic.tripod.com/associationregardsmosaic
1) arasement (aplanissement) du terrain par un
bulldozer. Tests géologiques sur la résistance du sol. Pose
éventuelle d'une couche de matériaux ou de géotextile(s), pour renforcer
la résistance du sol (à la pression exercée par le poids de la maison sur le
sol etc. ...).
1bis) creusement, avec une petite tracto-pelle, d’une
tranchée technique, destinées à la poste des câbles technique (partant de la
borne technique située dans la rue, jusqu’au centre de la maison).
Note : dans les pays du tiers monde, dans certains
endroits isolés en France ou par choix volontaire de l’acheteur, il se peut que
la maisons soit en autonomie totale et donc que cette tranchée technique n’ait
pas de raison d’être.
2) a) Pose d’un train de gros tubes PVC très solides, qui
sera enfoui, pour y faire passer les câbles techniques. b)
"Etirement" / amenée, dans le conduit PCV, jusqu'au centre du
terrain, des câbles techniques souples (conduisant l'eau, l'électricité, le
téléphone, et éventuellement le gaz ...), amenés depuis une borne
technique (de distribution) située dans la rue (en laissant du mou et de la
marge, en fin de la pose, pour les câbles techniques devant être plus longs que
nécessaires). Tous ces câbles techniques sont constitués de plusieurs
tronçons se reliant entre eux par clips ou vissages entre eux. c)
enfouissement de la canalisation PCV.
3) pose d'un quadrillage de plots en béton (bornes ou blocs
en béton), sur le terrain (sur lesquels reposeront l’ensemble de la maison).
4) pose des poutres métalliques du plancher, (formant un
maillage), sur ces plots en béton (et plus ou moins fixés fermement à ces
plots, selon le pays, les conditions). Elles soutiendront le plancher et les
murs.
5) pose des blocs sanitaires, WC, salles de bain, cuisine,
cheminée, (citerne (?)) ... au centre de la maison, et connexion de
ces blocs aux câbles techniques.
6) Pose des escaliers éventuels.
7) montage du plancher, par pose (par
"clipsages") de dalles carrées sur le maillage de
poutres métalliques du plancher.
8) montage a) des poutres des murs extérieur, sur les
poutres du pourtour extérieur du plancher, fixation grâce aux platines
doubles pattes, b) montage des poutres porteuses à l'intérieur de la maison
(besoin à partir de ce moment d’un échafaudage mobile voire d’un treuil
manuel).
9) pose des dalles des murs (par "clipsages"
éventuels) et des dalles fenêtres et portes (et autres ouvertures : porte de
garage).
10) pose du maillage de poutres du plafond (sur les murs et
poteaux porteurs).
11) pose des dalles du plafond et du faux plafond (le
plafond pouvant servir de plancher à un nouvel étage ou au grenier).
12) pose des poutres faîtière du toit, et fixations aux murs
et entre elles, avec les rotules quadri-pattes.
13) pose des dalles du toit (voire en plus a) de panneaux
solaire, b) de couverture végétalisée).
14) pose des dalles de cloisons.
15) "clipsage" en bas des murs (ou au niveau du
plafond) des conduits et gaines électriques, informatiques, téléphoniques,
et des canalisation d'eau (et éventuellement de gaz).
(16)
livraison de la construction propre, clé en main, chantier débarrassé de ses
déchets et période de garantie décennale commençant dès la livraison clé en
main (avec remise papiers de la garantie).
Note :
le concept « Evolutive house » ne doit pas générer de déchet ou
d’ajustement, sur place).
1) Q. : Je me méfie des modèles industriels prêts à
l'emploi parachutés dans les pays pauvres. Des modèles du même types ont été
réalisés en particulier au USA. Ce sont des modèles sans caractères que l'on
retrouve partout.
R. : L’idée est de faire produire industriellement,
pour des effets d'échelle, à cause de l'URGENCE de la reconstruction => l'idée étant de reconstruire le plus
vite, tout en étant durable ...
On avait bien réalisé des maisons préfabriqués après la
guerre, par exemple pour les bases de l'OTAN en France, ou maisons Jean Prouvé,
qui existent et durent encore.
Sinon, l'aspect esthétique et la diversité des habitats est
pris en compte dans ce projet. Par ce concept, on peut produire de maisons
aussi esthétiques que les maisons Phénix,
plus belles que les maisons en préfabriqués après seconde guerre
mondiales _ maisons des camps de l'OTAN, par ex. ....
On a pensé à l’Inde ou tout autre pays du tiers-monde, pour
la fabrication industrielle, de ces maisons, pour être le plus proche des zones
sinistrés, pour fournir du travail en local et des raisons de coût.
On a accepté une approche capitaliste "production
industrielle de masse" pour des raisons de réalisme (l'intervention d’acteurs privés pourrait
peut-être dynamiser la reconstruction ( ?)).
Il est vrai qu’en utilisant la construction de masse, on ne
privilégie pas l’écologie (en utilisant de l’acier, gros consommateur
d’énergie, lors de sa production), mais plutôt l'urgence, à cause du
fait que des centaines de milliers de sinistrés sont encore sans maison, la
plupart sous tente et de la lenteur des reconstructions actuelles. Souvent, ces
dernières prennent plus de 10 ans, dans les zones sinistrées.
Sinon, pourquoi une maison en préfabriqué serait
nécessairement inesthétique et sans caractère ? Surtout, plus le concept
aura du succès dans le monde, plus on pourra diversifier les modèles, les
éléments décoratifs (décors et type des dalles, de blocs de vie internes etc.
…), étendre la gamme. Et surtout, il y a urgence, et l’urgence souvent conduit
à « l’architecture d’urgence » (voir ASF).
2) Q. : Dans les pays du tiers monde, les occidentaux
ont tendance à imposer leurs idées
et modèles au pays non occidentaux (sans tenir compte aussi
du poids des traditions, de la religions, des autorités, de l'administration du
pays). « L’impérialisme culturel occidental » est le reproche que le CCD
(comité catho pour le développement) et ASF (Architecte sans Frontières) ont
fait à ce projet.
R. : c'est une critique concernant le volet « pays
en voie de développement » de mon projet. Mais avant de battre notre
coulpe de nos erreurs passés (colonialisme etc. …), il vaut mieux enquêter sur
le terrain, pour voir si réellement les solutions à l’occidentale seraient
systématiquement et a priori rejetées. Tout dépend de la façon dont nous
présentons les choses (avec arrogance ou non). De plus dans certains pays
émergeants _ Inde, Afrique du sud … _, beaucoup de personnes souhaitent avoir
leur maison individuelle, sur des critères justement occidentaux (avoir le
confort, l’eau chaude, l’électricité …). On peut déjà faire des propositions
sur place et les modifier en fonctions des desiderata des habitants. Ce que les
gens m’aiment pas (partout dans le monde), c’est l’ethnocentrisme et qu’on leur
disent ce qu’ils doivent faire, reproche qu’on avait fait aux ONG dans le
passé.
3) Q : Pourquoi avoir recours à des multinationales tel
que Bouygues, IKEA … qui n'ont pas vraiment de sensibilité solidaire ou
écolo ?
R. : certaines sociétés n’ont pas une image
d’entreprise humaine. Mais l’idée, ici, proposée par l’auteur de ce document,
est de concilier le désir d’amélioration de leur image, de certaines sociétés,
avec la réalisation d’actions humanitaires utiles et importantes (de grande
ampleur) par elles. J’ai, moi-même, de fortes critiques à faire au modèle
capitaliste (égoïste, anti-écologique …) mais c’est le modèle actuellement
dominant ayant gagné pour longtemps. On n’est pas prêt d’en changer. On est
obligé de faire avec et d’être réaliste. Par ailleurs, je crois qu’on peut
utiliser ce système (tout égoïste soit-il) pour réaliser une « bonne
action ». « qu’importe que le chat soit noir ou blanc, s’il peut
attraper la souris » dit-on. Sinon, l’auteur a constaté que le secteur
privé est souvent plus dynamique que le secteur étatique ou associatif,
observation tirée de son expérience, même s’il y a des exceptions bien sûr. Comme
il y a urgence pour les victimes du tsunami 2 ans après, il faut donc être
plutôt réaliste. Et je dirais même de plus que je ne vois rien d’immoral à
gagner de l’argent tout en rendant heureux les gens.
4) Q : Pourquoi construire ou il y a des risques de tsunamis et
d'inondations ? Il ne faut pas répéter les erreurs du passé.
R. : En Asie du Sud, une majorité des sinistrés veulent reconstruire le long de la côte (beaucoup de sinistrés sont d’ailleurs pêcheurs). Il n'y a que le Sri Lanka qui a imposé l'interdiction de reconstruire le long de la côte (mais il y a des corruptions, des passe-droits, et des hôteliers ou chaînes hôtelières voulant s'approprier les terrains devenus pourtant « non constructibles », par décision de l’état Sri Lankais). Mais si on peut dissuader de reconstruire à moins de 15 mètres d’altitude, cela serait mieux.
4) Q. : Votre document balaye trop large.
R. : Il vaut mieux au départ envisager toutes les
solutions afin de les éliminer progressivement, selon les résultats de
l’expérience, on éliminera petits à petits les différents choix, afin d’arriver
à une solution simple et fiable. Comme disait Albert Einstein "In theory, there is no difference
between theory and practice. In practice there is"
(« En théorie, il n’y a pas de différence entre la théorie et la pratique.
En pratique, il y en a »). Il faut rester aussi souple pour envisager tous
les problèmes et solutions.
5) Q. : Le projet d'architecture n'existe pas encore
dans ce document (ce n’est qu’un pré-projet).
R. / J'en ai conscience. Je recherche un société du bâtiment
(BTM) ou un cabinet d’architecte au sein de laquelle je puisse dessiner les
plans, tout en me faisant conseiller par les architectes et les ingénieurs.
6) Q. : Le coût des matériaux : si on veut de la
bonne qualité il faut mettre le prix (c'est le pb et la quadrature du cercle).
Or qualité implique durabilité et fiabilité.
Sinon, le bois devient cher _ à cause de la demande
croissante en bois dans le monde, et peut-être un jour la ressource bois
diminuera elle aussi _, le prix de l'acier (ou de l’alu) flambe à cause de l’
augmentation de la demande asiatique (Chine, Inde …). Par ailleurs, l'acier
comme le béton sont très énergétivores.
R. : a) On pourrait envisager des qualités de
remplissage différentes selon les moyens financiers et les attentes de chacun.
b) Il faut chercher partout dans le monde, les matériaux les moins chers. Par
exemple, il y a une énorme ressource bois en Sibérie qui est mal exploitée ou
totalement inexploitée [29]. Elles doivent exister, si l’on met en
concurrence les différentes source d’approvisionnement dans le cadre de la
mondialisation.
7) Q. : Les maisons sont de plus en plus chères et de
moins en moins abordables, pour tout
un chacun, surtout pour les faibles revenus (et les aides,
les prêts à taux zéros diminuent aussi).
R. : L'auto construction individuelle peut être une
piste (les français sont très bricoleurs).
La standardisation des éléments et leur fabrication à grande
échelle et leur commercialisation dans le cadre de la mondialisation
(économique) pourraient en être une autre.
8) Q : Puisqu'il s’agit d'auto construction, pourquoi
ne pas utiliser des matériaux locaux comme le bois ou la fibre végétal (voir le
site www.lamaisonenpaille.com ,
ou http://compaillons.naturalforum.net/
) plutôt que des matériaux importés comme l'acier ou le béton préfabriqué qui
demande beaucoup d'énergie à leur fabrication et sont beaucoup plus lourds à
manier.
Une petite maison en bottes de paille est montée en quelques
jours. Résiste au vent et au séisme et étanche si elle est bien montée et
recouverte d'enduit.
R. : Dans l'annexe "Annexe : maisons en matériaux
de récupération", ce document présente d’ailleurs les projets de maisons
de l'architecte Michel Rossel et les maisons en botte de paille.
Notre doute sur les maisons en botte de paille concerne la
nécessité d’un entretien régulier de ces maisons (de son enduit extérieur, en
particulier), leur fragilité face à l'humidité, aux intempéries, au feu
etc. ... (dans les pays du tiers-monde les maisons en boue séchée et en
paille mélangées, en pisé, nécessitent une entretien constant et astreignant).
Nous craignons aussi que la paille à la longue moisisse ou
pourrisse et que ces maisons n'ont pas une durée de vie de plus de 20 ans (sans
entretien).
Nous ne sommes pas certain aussi que les permis de
construire, pour un projet de maisons en bottes de pailles, soient
facile à obtenir, en France.
Nous avons aussi pensé à une ossature en bois. Mais celle-ci
est plus fragile que l’ossature métallique et la plupart du temps, elle ne
résiste pas aux cyclones et tornades, comme nous le voyons aux USA. (Nous avons
aussi envisagée une ossature en poutre de béton, peu écologique et fort lourde,
que cela soit à soulever avec un palan et une manuels manipulés par 2
hommes ou pour son transport).
Enfin ajoutons que tout problème de reconstruction reste
complexe. Quelque soit la solution envisagée, nous savons qu’il n'y aura jamais
de solution totalement idéale.
Contenu d’une lettre à un Directeur d’une pôle Technologie d’un Groupe du BTP (du
bâtiment) :
« Je voudrais ajouter à mon mail que je vous ais
envoyé hier, que la raison principale qui m'a motivé dans ce projet est le fait
que j'ai voyagé dans plus de 20 pays dans le monde et que j'ai vu qu'un
nombre considérable de personnes vivent dans des conditions indécentes
pour un être humain, soit n'ayant aucun toit, soit vivant dans
des bidonvilles, de véritables cloaques sordides (aux conditions
d'hygiènes inexistantes), que cela soit dans les grandes villes africaines
_ Douala, Lagos, ..._, dans les grandes villes en Inde (certains vivent sous des camps
immenses de bâches plastiques, sous des températures de 40°C).
Ma motivation était très puissante, bien avant d'avoir vu
les victimes des tsunamis, des derniers tremblements de terre et la
lenteur des reconstructions, ces derniers renforçant encore plus ma
motivation ...
[ Mais j’ai encore vu aujourd’hui, le 19 septembre 2006, une
manifestation, en Indonésie, de sans-abris victimes du Tsunami du 26 décembre
2004, en Asie du Sud, demandant qu’on
s’occupe enfin d’eux. ].
Il est difficilement possible pour moi de vivre
dans une belle maison, dans un pays riche, quand à des milliers
de kms de là, des personnes vivent sous des bâches plastiques, sans eau,
sans électricité, les ordures à proximité souillant l'eau servant à laver
ou à boire. Il y a vraiment une urgence (mondiale).
Pour une cause comme celle-là, je suis prêt à me battre
jusqu'au bout, à oeuvrer sans cesse, pendant plus de vingt de vingt ans et ne
jamais prendre ma retraite, si besoin est (dans des cas comme cela, prendre sa
retraite ne m'intéresse pas !).
Je pense qu'un bon nombre de problèmes serait résolu par la
construction à grande échelle (industrielle) de maisons à bas coût,
réalisée par "l'entreprise privée" (celle qui me semble être la plus
dynamique pour cette reconstruction, plus dynamique que les ONG ou l’état, du
moins, à mes yeux). ».
Certification
NF (du 02/06) pour maisons HQE (maisons à haute qualité environnementale :
http://www.ademe.fr/entreprises/hqe/ ). Coût d’une maison HQE
plus élevé de ~ 15 % que celui d’une construction classique, mais crédit
d’impôts & aides (ADEME) accordés par le gouvernement, pour tout achat ou
installation d'un équipement réduisant émissions de gaz à effet de serre.
Label
Flamme
Verte pour
chauffage au bois.
Des friches le nord
et l’est de Paris, devraient être prochainement aménagées HQE, sur le modèle
des constructions dites de BedZED
(Londres) et du quartier
de Vauban (Fribourg. All.) (à vérifier).
[1] La documentation complète sur ce (pré-) projet de
« maison pour tous », se trouve sur le site :
[2] Collaboration Etat-ONG à la gestion des ressources rurales: programme indien de fourneaux de cuisine améliorés
http://www.fao.org/documents/show_cdr.asp?url_file=/docrep/u7760f/u7760f05.htm
[3]
« Guide de l'architecture bioclimatique. Tome 3 : construire en climats
chauds », A. Liébard, A. De Herde, K. de Myttenaere, C. Kanene,.
Commission européenne - DG XVII - programme Altener. 2001 - 128 pages.
[4] « 25 Maisons écologiques », Dominique
Gauzin-Müller by Dominique Gauzin-Müller, Editions du Moniteur (Nov 2005).
[5] Cabanon à vivre, christian Lagrange, éditions Terre
vivante (plans et des techniques de construction sur les cabanes).
[6] Source du ministère canadien sur la construction de
puisard : : http://www.gov.on.ca/OMAFRA/french/engineer/facts/90-097.htm
[7] Chez l’éditeur « HM diffusion », BP 157,
38081 L'ISLE D'ABEAU CEDEX, tél.:04.74.28.66.64.,fax: 04.74.28.66.64 :
[8]
L'isolation écologique, J. Oliva, P. Rondin, Terre vivante, Eyrolles.
Source / Bibliographie sur l’architecte disparu, de maisons
modulaires, Jean Prouvé :
(un
des premiers ayant imaginé des maisons modulaires préfabriqués, économiques)
> Association des amis de Jean Prouvé, 105, rue Leblanc
75015 Paris
> Les Amis de Jean Prouvé, Mme Coley, 29 rue du
Haut-Bourgeois 54000 Nancy, tél.: 03 83 37 14 67
> http://www.jean-prouve.net/ (pour l’instant ce site ne fonctionne plus).
> http://claude.fourcaulx.free.fr/mon_hist/Jean%20PROUVE/Jean%20PROUVE.htm
> sur
les panneaux « Multiplis » : Source : http://www.crit.archi.fr/~bois/Bois/4.Usages/Page8.html
> Film : Maison des jours meilleurs (La).
(architecture & design). 1956,5', noir et blanc, documentaire Réalisation :
Michel Zemer. Production : films du Rond Point
> "Architectures sur Arte". La Maison de
Jean Prouvé [à Nancy], documentaire de la série
http://www.arte-tv.com/fr/connaissance-decouverte/architectures-nancy/Jean_20Prouv_C3_A9/779342.html
En France :
1) Vernis
marins :
Il y
énormément des produits et de sites sur les vernis marins (voir site
ci-après) :
www.peintures-julien.info/vernis/vernis-marin.html
http://www.barpimo.es/frances/dbpmade.htm
http://www.blanchon.com/blanchon/mcpa/prodmcpa/vermarin.htm
http://www.diamantine.fr/diam_vernis_marin.htm etc.
...
2) Exemple maison Meccano : Gérard François,
aeeb ensad, La Borie 07150 BESSAS, tél/fax 04 75 38 62 46, Mobile 06 83 51 79
26, http://perso.orange.fr/gerardfrancois/osi.html
, Gerard.FRANCOIS.archi@wanadoo.fr
3) Poutres et maisons « Profils du futur » :
Profils du futur , Philippe VOLK, Délégué Régional, 8 rue de
Fortschwih,F-68180 Horbourg Wihr, Tél. : +33 (0)3 89 20 77 00 / Fax : +33 (0)3
89 20 77 01 / Mobile : +33 (0)6 71 27 49 89,
E-mail : p.volk@profildufutur.com
http://www.profildufutur.com/fr/industriel/panne-lisse-solive/pannes/multibeam/index.html
http://www.profildufutur.com/fr/documentations/manuels-techniques/manuel-technique/page-10.html
4) Panneaux isolants Arthapan, feuilles bitumées
auto-protégées, bandes bitumées :
http://www.texsa.com/ &
http://www.texsa.com/desc/Arthapan%20Fr.pdf
5) Faux-plafonds « Troudet » :
http://www.troudet.com/produits/default.asp
6)
Béton préfabriqué bilame « Battaïa » (fabrique des poutres,
poteaux, pré-dalles, panneaux, en béton armé) : BATTAÏA - ZI Nord -
Impasse Fourneyron - Ch. des Ramonets - 82000 MONTAUBAN
Tél : 05 63 92 61 61 - Fax : 05 63 03 21 11 - E-mail : battaia.prefa@wanadoo.fr
http://www.battaia-beton-prefa-bilame.com/pages/chantier-battaia-beton-prefa-bilame.php
7) Pompes manuelles « Approtec » : http://www.approtec.org/
8) Ardoises Eternit (fibro-ciment /
artificielle) : http://www.eternit.fr/html/home.htm
9) Système SUPERDECK modulaire pour coffrage de dalle
et étaiement de pré-dalles :
http://www.sgbfrance.fr/systeme_superdeck.asp
10) ALUVAN, fabricant de fourgons préfabriqués pour
camions : http://www.aluvan.be/
11)
Myotte-Duquet, constructeur d’ossature bois (à Fournets Luisans dans le
Doubs) :
http://www.myotteduquet-ossature-bois.com/contenu.php?id=11
12) GEOLITHE (test terrain), 181 rue des Bécasses,
Cidex 112F, 38 920 CROLLES
Tél. : 04 76 92 22 22 / Fax : 04 76 92 22 23, Courriel : geolithe@geolithe.com
13) Les entreprises impliquées dans les recherches sur
l'ignifugation sont : QUIMUNSA,
MAGMA INTERNATIONAL, SPW et PREVENTOR, dont la production est orientée vers
des matériaux résistants au feu : TUKOEX , INGARP, SKUTSKÄRS TRÄ et
IMPREGNUM, qui se consacrent au traitement du bois par autoclave
(voir : http://www.netbois.com/info/info.php?artc=2196
).
Produit intumescents : www.bicsi.org/Content/Files/PDF/CF-3IM05.pdf
Il existe de nombreuses solutions proposées par des ONG, de foyers pour pays du tiers monde (y compris les cuiseurs solaires _ attention, ces derniers ne sont pas toujours opérationnels tout le temps), évitant le gaspillage du bois du feux (par contre, il y a une étude à faire au sujet de la résistance normale des mentalités face aux innovations) :
a) DIA'SSO (www.diasso.org )
b) BOLIVIA INTI (http://boliviainti.free.fr/ ou
http://www.boliviainti.org/) (+)
c) GERES
-
Groupe Énergies Renouvelables, Environnement et Solidarité, 2 cours
Foch, 13400 Aubagne France, Tel: 33/0 4 42 18 55 88,
Fax: 33/0 4 42 03 01 56, e-mail : geres@free.fr , site : http://geres.free.fr/ .
Le GERES s'occupe d'énergie solaire dans les pays en voie de
développement.
d) Un certain nombre de ces foyers améliorés sont présentés
sur le site de WeNet Cambodge : http://www.wenetcam.net/french/improvedcookstoves.php
14) EDIF -
Énergies Durables en Île-de-France, Espace Info Énergie 10ème
/18ème /19ème
arrondissement de Paris, 17 rue curial 75019 Paris, tél..: 01 42 09 66
75, www.edif.asso.fr ).
16) Des
tests anti-feux de vos matériaux, idées, solutions peuvent être réalisés
par des sociétés comme : CREPIM
(http://www.crepim.fr/ ).
17) Michel Rosell, architecte, « Université d'Ecologie Appliquée et Solidaire », Le Chabian 3O7OO AIGALIERS. Son site: http://ecosocial.free.fr . Auteur d'un livre "Un autre monde est possible".
18) Philippe Starck Network (architecte et designer),
18/20, rue du Faubourg du Temple 75011 Paris France, phone: + 33 (0) 1 48 07 54
54 / fax: + 33 (0) 1 48 07 54 64, info@starcknetwork.com
, http://www.philippe-starck.com/
Maison Stark (ressemble un
peu aux pavillons Baltard).
19) Serge Dassault a annoncé, en octobre 2004, développer avec ALGECO
un concept de maisons modulaires, pour logements sociaux, hôtellerie ,
habitation individuelle, équipements collectifs … Le principe étant de
construire en usine des modules composés d’une ossature métallique et de
panneaux de bois. Ces modules sont ensuite
préparés (passage des gaines électriques et conduites d’eau) et décorés à façon
(peinture, carrelage…). Ensuite, ils sont transportés pour être posés et
assemblés en quelques heures.
20) ALGECO, Préfabriqués acier galvanisé, panneaux, béton (utile pour l’urgence,
mais peu esthétique), 16,
avenue de l'Opéra, PARIS, Tél. 01 42 86 23 00, Fax. 01 47 03 47 96, http://www.algeco.fr , info.groupe@algeco.com
ALGECO a déjà réalisé une base de vie mobile (hôtel 3
étages)
Note : La
maison DOMOTIV n’a rien à voir avec une maison ALGECO (hormis le fait que ce
sont des maisons construites en partie en usine), la maison ALGECO étant
livrées totalement montée, clé en main (et les éléments panneaux composant un
ALGECO étant de tailles variables et ce panneaux n’étant pas facile à
transporter par 2 personnes).
21) GITOTEL : Chalets / bungalows, en bois, http://www.gitotel.com/ , ZA le Pontet, 69380
CIVRIEUX D'AZERGUES Tél. : 33
4/ 78 43 12 46, 33 4/ 78 43 69 47 émail : giproduction@giproduction.fr
Commercial Philippe Pouget :
04.78.43.12.46.
Exemple de modèle de bungalow / chalet (en bois) : Le CLASS
RESIDENCE, 8 m x 6 m (46 m2), 6 pers., 2 ch, tout équipé (avec kitchenette,
four, WC, frigo, hotte aspirante, rideau …) Posé, 16900 €. (monté en 2 jours
avec 4 ou 6 techniciens, sur long green. Déjà envoyé à la Guinée, à la Réunion
(Contact : à La Réunion: Jean-Pierre Beuf, Tél. 06 92 21 10 57,
E-Mail mobicase@wanadoo.fr. …).
Ce chalet ne serait pas prévu pour résister aux cyclones (par contre, il
résistera bien aux tremblement de terre). De toute façon, à un lieu
géographique donné sur ce pourtour de l’océan indien, les tsunamis, voire les
cyclones ne sont pas si fréquents que cela.
L’idée serait que le mur de la maison face à l’océan soit renforcé (a)
poutres du mur plus épaisses, double épaisseur, voire mur aveugle, voire rajout
d’une « excroissance » en V
dont la pointe est dirigée vers la mer, et dont la base est un triangle
équilatéral, en étrave de bateau, remplaçant le mur aveugle, b)
croisillons de fermes et câbles métalliques entourant renforçant chaque face de
la maison _ mur, toit, plancher ( ?)).
Mais, on peut malgré
tout envisager la solution GITOTEL, parce que a) il est livré en kit, b) qu’on
leur l’obtenir livré ( c)y compris en conteneur dans le monde entier), c) sans
tout l’équipement (confort « spartiate » indien). Donc, avec l’effet
d’échelle, son prix serait compétitif. Peut-être nous pourrions nous rapprocher
du coût idéal des 10000 € souhaités.
22) Maisons mobiles TERABOIS,
adr.: Domaine du lac 64520 Sames, Tél.
: 33 (0)5 59 56 46 43, site : http://www.terabois.com/ (Sur le même concept que les chalets
GITOTEL).
23) Bungalows O’HARA (groupe Bénéteau), O’Hara S.A, Parc
d’Activité du Soleil Levant, BP 656, 85806 Givrand / St Gilles Croix de Vie
Cedex, Tél : 02 51 26 20 28, Fax : 02 51 26 20 27, e-mail : information@ohara.fr , site : http://www.ohara.fr
24) H2O Bois, maisons, piscines & terrasses à ossature bois,
La Roubinarié Caucalière 81200 AIGUEFONDE, Tel.:05.63.61.11.72, fax:
05.63.61.11.73, info@h2obois.com , http://www.h2obois.com
25) profils ALTITECH en acier : http://bib.altitech.free.fr/aide_altitech/profiles/prof0.htm
26) profils KP1 en béton :
http://www.kp1.fr/index.htm?pages/pages_pro/maison/produits.htm~frame_contenu
27) Lapeyre, aménagement de maison, cuisine, salle de bains,
menuiserie, carrelage, chambres, bureau, salon, bibliothèque : www.lapeyre.fr
28) Fenêtre PVC Janneau : www.janneau.fr , http://dominique.chiaretto.free.fr/pvc.htm …
29) Sodem System : conception, réalisation stand modulaire,
fourniture matériel d'exposition, Tél.: +(33) 2 37 64 01 00, Fax: +(33) 2 37 64
01 07, info@sodemsystem.com , www.sodemsystem.com
30) Coffrage flexible Syflex ® : http://www.btponet.com.tn/html/nouveautes/btinnovation/syflex.html
http://www.bt-innovation.de/cms/bt/4side39.html
Syflex montage
d'angle |
Syflex jonction de
coffrage |
31) Haironville-PAB (Groupe Arcelor), fabriquant de profil acier
et d'enveloppes, de bâtiments, de construction métalliques, de bardages, de
couvertures, de planchers, isolation thermique & acoustique, Antenne
Commerciale Régionale de Onnaing, 1 rue Roger Salengro - 59264 ONNAING, Tél :
03 27 23 90 00, Tél : 03 27 23 90 59, Responsable de région : Brigitte Hilbert
Prescription Nationale, Tél : 01 43 58 09 26, Fax : 01 43 58 09 26,
Email : prescription@haironville-pab.com, site : http://www.haironville-pab.com
32) Maisons Phénix, maisons préfabriquées, marque du Groupe Geoxia
Maisons Individuelles SAS, 55-57 avenue de Colmar, 92846 Rueil Malmaison cedex,
PDG : Roland GERMAIN. Fax : 01.47.16.74.10, email : geoxia@geoxia.fr , site : http://www.maisonphenix.com/
33) ADEME, Agence de l'Environnement et de la
Maîtrise de l'Energie, (diffuse un guide "Aides financières habitat" et une rubrique "Crédit
d'impôt", en cas d’utilisation de nouvelles énergies), 27 rue Louis
Vicat 75015 PARIS, Tél.: 01 47 65 20 00, fax : 01 46 45 52 36 et 01 46 38 31
41, n° vert : 0 810 060 050, Direction scientifique fax : 01 40 95 74 53,
action internationale : fax : 01 47 65 22 29, action régionale : fax : 01 46 42
05 58 et fax : 01 47 36 48 83, www.ademe.fr/
34) A.N.V.A.R (Agence Nationale de Valorisation de la
Recherche), Direction Générale, OSEO bdpme, OSEO anvar, OSEO sofaris et OSEO
services, 27/31 Avenue du général leclerc 94710 Maisons-Alfort Cedex, www.anvar.fr/ . Délégation Ile de France, 15
cité Malesherbes 75009 PARIS, tél.: 01 44 53 76 00, fax : 01 45 26 09 68. Email
: paris.oseoanvar@oseo.fr Correspondant : Annie Geay, Directrice
régionale OSEO anvar Ile-de-France Est, Nathalie Carmona, Directrice régionale
adjointe OSEO anvar Ile-de-France Est
OSEO anvar - Nanterre, 10-12, rue des Trois Fontanot, 92022
NANTERRE CEDEX, Tel : 01 41 45 09 00, mail : iledfo@oseo.fr
, Correspondant : Peng-Huot Ly, Directeur régional OSEO anvar Ile-de-France
Ouest, Autre correspondant : Véronique Amoyal, Directrice régionale adjointe
OSEO anvar Ile-de-France Ouest (Hauts-de-Seine, Val-d'Oise, Yvelines).
Note : Le groupe OSEO est né, en janvier 2005, du
rapprochement de l'ANVAR, de la BDPME et de sa filiale Sofaris et du GIE Agence
des PME.
35) Joint industriel Majicap, Caoutchouc et joints
industriels, Portes souples PVC et Slide-Lag, www.majicap.com
36) Créations PACIFIC : Maison en rondin (Modèle « Le
François »), C/O Alain SCHWARTZ, 29 rue des Vinaigriers, 75010. Paris.
France, tél.: 00.33(0)1.42.05.64.01 fax. : 00.33.(0)1.42.05.66.02
http://www.pacific-maisonsbois.com mail : pacific@pacific-maisonsbois.com
37) Nature Aqua Sud, 32 vieux chemin de gairaut
"Le chenier" - 06100 NICE - FRANCE
Tél: +33 (0)4.93.52.22.15 - Fax: +33 (0)4.92.09.23.11, contact@buildingbois.com
38) Architecteurs, groupes d'architectes spécialistes
de la construction et de la rénovation de l'habitat, des locaux professionnels,
42 avenue de la Grande Armée, 75017 PARIS, E-mail : info@architecteurs.fr , Tél.: 33 (0)1
55 37 17 00, Fax : 33 (0)1 55 37 17 07, www.architecteurs.fr/
Caves enterrées :
Caves entourées
d’une poche plastique permettant de l’enterrer même dans un terrain gorgé
d’eau.
39) Monvoisin-Hélicave,
Caves à vin enterrées, aménagement, ou rangement de votre cave à vin.
MONVOISIN S.A, Centre
d'Affaires BERCY-EXPO, 26 avenue des Terroirs de France, 75012 PARIS
Tél : 01.43.41.19.19,
Fax : 01.43.41.52.53, E-mail : monv@club-internet.fr
, www.cave-vin.com
40) Blocs Cellier,
IDEES-DESIGN, Bâtiment Onyxia, rue Marcel Quercia, 35600 Redon - FRANCE
Tel : ( 33) 02 99 72
35 34, Fax : (33) 02 99 72 12 61, E-mail : contact@bloc-cellier.com , http://www.bloc-cellier.com, Manuella
Lequitte, Tel : 02 99 72 35 34, Fax : 02 99 72 12 61
40) Les gazonnières Saint-Sauveur, Gazon en plaque, Mas
Saint-Sauveur, Route des Saintes Maries, 30220 St-Laurent d'Aigouze, Tél. : 04
66 73 50 13, Fax : 04 66 73 51 02, gazonstsauveur@aol.com , http://www.gazon-en-plaque.com/
Toit en chaume
ou « de paille » :
42) toit de
chaume : Manas Melliwa "Paloume" 33110 MONTBRUN-BOCAGE,
Tél. 06 89 35 93 62 - www.toitenchaume.com
& http://www.zomes-concept.com/Jdossierchaume.htm
43) toit de paille :
En Pommel 03 : Toit - Isolation en bottes de paille
http://bee.ouvaton.org/article.php3?id_article=120
Dispositif d'arrêt de la neige sur toiture, garde neige ou
pare neige :
Les garde neige, ou pare neige, sont un des moyens qui permettent
d'empêcher la neige de tomber des toits. Normalement, on les installe au niveau
ou près de l'avant toit, mais si le versant est long, il en faut peut être plus
d'un rang. Un espace d'au moins 3 cm doit être prévu sous les garde neige pour
permettre l'écoulement de la neige fondue et de la pluie sans que la glace
puisse s'extruder. Les pare neige, de par leur conception, doivent pouvoir
résister aux poussées de glissement (forces de cisaillement), que l'on calcule
généralement en prenant pour hypothèse un frottement nul entre la neige et la
surface du toit, surtout s'il s'agit de toits très glissants.
44) AMACO S.A.R.L, dispositif d'arrêt de la neige sur toiture
STOP-NEIGE®, 9 rue de Mulhouse, BP21, 68701 CERNAY Cedex, Tél. 03 89 75 54
49, Fax 03 89 75 68 60, majicap@wanadoo.fr, http://www.amaco.fr/
44bis) Snow stopper ….
45) Lafarge couverture, par exemple, Crochet d’arrêt de la neige
en triangle, www.lafarge-couverture.fr/ & http://www.creargos.com/cgi-bin/imfra/link.jsp?categoryOID=-536880121&contentOID=536882847&rubrique=creargos_prod_detail
Bouchons, capsules, embouts, protecteurs :
45) Plastem, fourniture de protecteurs plastiques et conception
de pièce plastique : capuchon, bouchon, caps plastique, passe fil, cache
plastique, ... 38, rue Michelet-- 59139 Wattignies (Lille), Tél.: 00 33
3.20.97.31.07, Fax: 00 33 3.20.95.29.45, Email : info@plastem.com , www.plastem.com
46) DBI Plastics S.A.R.L. (France, Belgique, Italie), chapeaux et
bouchons avec ou sans filetage, bouchons filetés avec ou sans rondelle
d’étanchéité ..., Za du Pré de la Dame
Jeanne, F-60128 Plailly, Tél.: +33 (0) 3 44 54 58 00, Fax: +33 (0) 3 44 54 58
01, E-mail: info@dbiplastics.fr, http://www.dbiplastics.fr
47) Flumroc SA, panneaux isolants, laine de roche …., CH-8890
Flums, Tél. 081 734 11 11, Fax 081 734 12 13, e-mail: info@flumroc.ch , Internet: www.flumroc.ch
48) FRENEHARD & MICHAUX, fabricant d'accessoires de toiture,
La Mousse, B.P. 171, 61305 L'AIGLE Cedex, Tél. 02 33 84 21 21, Fax : 02 33 24
45 12, f.m@frenehard-michaux.com , http://www.frenehard-michaux.fr/
49) Faynot, Fabricant de fixations (équerres …) pour couvertures,
bardages et surtoitures, 33 rue Eva Thomé, BP 13, 08800 Thilay, Monsieur
Jean-Edouard Gissinger (Responsable marketing), Tél : 03.24.33.70.70, Fax :
03.24.32.84.93, http://www.faynot.com
50) Dentineige, ???
51) ARC INTERNATIONAL (anc. verreries Durand),
verreries, Dir. Phlippe DURAND (Communication institutionnelle Sophie Moisnard
: infoscomcorporate@arc-intl.com
),
site : http://www.arc-international.com
52) DALCA FRANCE, Carreaux en céramique (terre cuite,
grès) non émaillés, 4, rue Ernest Sarron, 77410 CLAYE SOUILLY, T. 01 60 27 66
05, F. 01 60 27 66 10, distributeur des produits de FLOOR GRES (Italie).
Fournit carreau biseauté type métro, brillant ou satiné.
Note :
dans le Kompass, on peut retrouver toutes les sociétés mondiales de
maisons préfabriqués et en kit (http://www4.kompass.com ).
b) A l’étranger :
1) Constructeurs de citerne en plastique (en PVC) :
Frontier Polymers Pvt.
Ltd. (Inde) (réservoirs d'eau, y
compris couleur blanche, réservoirs chimiques, supports des conteneurs,
puisards industriels, filtres …),4th Floor, 5 Community Centre, East of
Kailash, New Delhi, New Delhi INDIA 110065,
Téléphone: +91 11 51622733 / FAX: +91 11 51622734, Site: http://www.frontierpolymers.com
2) bloc béton Delta Bloc Europa GmbH http://www.intertraffic.com
3) blocs de béton Octa-Bloc™ de Rempel Bros : http://www.rempelbros.com/Products/OctaBloc.htm
4) Prefi Prefabrik Yapi Ltd
Sti.,
Préfabriqués, type “Algeco” acier galvanisé ou panneaux de fibre de béton
(utile pour l’urgence, tremblements de terre), adr.: Güzelyalı Mahallesi
Egemen Sokak E-5 Karayolu Üzeri No:6, Pendik, İSTANBUL, tel : (0216) 392
12 89 , fax : (0216) 392 12 81 (référence Mali, Sierra Leone, Afghanistan …) , http://www.prefabrikyapi.com/
Paysa Prefabrik Insaat Turizm End. Ltd.Sti. 06791 Ankara [Turquie]
Gerpa Elektrik Tekstil San. ve Tic. A.S. 34852
Istanbul [Turquie].
5) DAWOO (Corée), Maisons préfabriqués type Conteneur en métal, style Algeco
(peu esthétique), http://www.dawooworld.com/prefabspec_e.html
6) Litoral
Exports (Blockhaus), jolies maisons en bois, modèle Daniela, pour 48 m2, R$ 42750 ~ 12157 Euros, 280 Antonio Agnelo Santana St., Brazil
(Brésil), Phone: 55-47-99871193 http://www.blockhaus.com.br
7) Maison Domobile ©, maisons démontables, en armature Dural,
Concepteur : François Iselin, architecte, Epalinges, Suisse, e-mail : francois.iselin@epfl.ch , Site : http://www.domobile.ch/
8) Metal Pressworks, estampillage et emboutissage en métal de
boucles, attaches, câbles, clips, agrafes en métal. Pressage de précision
d’éléments de liaisons et de composants fabriqués en Angleterre, pour
l'exportation dans le monde entier. 43 Great Lister Street,
Heartlands, Birmingham, West Midlands, England, UK United Kingdom & Great
Britain, Tel: +44 (0) 121 359 4890, Fax: +44 (0) 121 359 6951, E-mail: info@saren.co.uk http://www.buckle-clips.co.uk/
9) Simpson Strong-Tie France, Fabricant pièces
métalliques pour assemblage Bois-Charpente-Meubles... Quincaillerie de
bâtiment. Les Quatres Chemins 85400 Sainte Gemme la Plaine, tél: 02 51 28 44
00, fax: 02 51 28 44 01 (Laurent Versluysen : 05 16 62 02 20), http://www.strongtie.com/
10) Midland Lead Manufacturers Limited, fabricants de
fils, feuilles, clips métalliques, produits auxiliaires, Kiln Way, Woodville,
SWADLINCOTE, Derbyshire DE11 8ED, U.K., Tel : +44 [0] 1283 224 555, Fax : +44
[0] 1283 550 284, http://www.midlandlead.co.uk/
11) Precision Fasteners & Components L.L.C.,
emboutissage et estampillage de précision d'agrafes de toit et d'accessoires de
toiture en métal, 4371 112th Terrace North, Clearwater, FL 33762, USA, Toll
Free: 800-985-2880, Fax: 727-576-2871, http://www.metalroofclips.com/
12) Groupe HONKA, Maisons et chalets en bois, PL31,
04401 JARVENPAA, FINLANDE
(Boutique Showroom, 160 rue de la Pompe 75016 PARIS), http://www.honka.fr/default.htm
13) ENSILLRESTUGAN (Constructeurs suédois de maisons
en bois en kit), Ensillre 2503, 841 92 ÅNGE, Suède, Tél/Fax: +46 690 120 20,
GSM: +46 70 625 22 74 (et son représentant français TIRO e.u.r.l, Le Motté,
61210 Neuvy au Holme, France, Tél: 02 33 39 05 22, GSM: 06 08 02 53 03, Fax: 02
33 39 04 93, site: http://www.ensillrestugan.com/ Prévoir actuellement, 120 Euro HT/ M2, mini.
14) Système de coffrage Syflex,
http://www.bt-baubedarf.de/french/syflex.html
Source : http://www.btponet.com.tn/html/nouveautes/btinnovation/syflex.html
(dont, on pourrait s’inspirer pour une boîte à rangement de
déchets de chantier).
Note : Syflex est un
coffrage flexible, en polyéthylène (très
léger), permettant de réaliser simplement des rectilignes, des arcs ou des
angles directement sur le chantier, particulièrement performant pour le
coffrage de chapes, de bordures de terrassement et de marches, se présentant
sous la forme de profils de hauteurs 10, 15, 20, 25 et 30
cm qui sont livrés en par longueurs de 5m, avec des joints finaux
permettant la connexion des profils et l’extension infinie du coffrage.
Fabricants indiens de charbon actif :
Sinon, possibilité de réaliser du charbon actif avec de la
noix de coco, imprégnée d’iodure d’argent.
Informations sur les bétons et colles industrielles :
1) France béton, Adjuvant béton etc ... : www.francebeton.com
2) Europe béton, industriel
européen des produits pour les bétons cirés, colorés etc. : www.europebeton.com
2) Tout pour le béton, fabricant de produits pour
béton ciré imprimé marqué coloré indus :
3) Unibéton, divers bétons pour diverses utilisations
: www.unibeton.fr
4) Ambiance béton, béton ciré, imprimé, matricé, sols
stabilisés, pigments : www.ambiancebeton.com
5) Vicat, producteur de béton prêt à l’emploi, béton
auto-plaçant, auto-nivelant, fibré, bétons normalisés pour la construction et
la rénovation, www.betons-vicat.fr
6) ciment au laitier - béton autoplaçant : Caractéristiques
et applications des produits ciments et bétons, www.infociments.fr
7) BSI® /Céracem (EIFFAGE TP), Fabricant de béton
fibré à Ultra-hautes performances.
M. René Gérard SALE Directeur Commercial, 01 49 44 90 31 /
06 16 37 00 37, www.bsieiffage.com
8) Ciments Calcia, www.ciments-calcia.fr
9) Colles & Résines industrielle : Colles UV, Cyano,
Epoxy, Résines : www.colle-industrielle.com
Définitions :
Le béton de résine est constitué d'un liant
de polymère, parfois thermoplastique mais généralement thermodurcissable,
et d'une charge minérale comme le gravier ou la pierre concassée.
Comparativement au béton de ciment Portland, le béton de résine possède une plus
grande résistance mécanique, résiste mieux aux produits chimiques et aux agents
corrosifs, absorbe moins l'eau et présente une plus grande stabilité aux cycles
gel-dégel (inventé au Canada).
Les bétons auto-nivelant (BAN) désignent des bétons
très fluides, homogènes et stables, mis
en œuvre sans vibration. Les BAN correspondent aux
applications horizontales.
Les bétons auto-plaçant (BAP) désignent des bétons
très fluides, homogènes et stables, mis
en œuvre sans vibration (la compaction des BAP s’effectuant
par le seul effet gravitaire).
Les BAP correspondent aux applications verticales. Ces
bétons peuvent être utilisés en
génie civil comme en bâtiment.
Exemple, le Béton Agilia, béton autoplaçant
et autonivelant de Lafarge.
Documentations sur le béton de résine :
1) A. Blaga et J.J. Beaudoin. «Le béton modifié aux
résines», Division des recherches en bâtiment, Conseil national de recherches
Canada, Digest de la construction au Canada 241F. Ottawa, 1986.
2) Ciment Portland HRC - béton de résine : Caractéristiques
et applications des produits ciments et bétons : www.infociments.fr/ciment-beton/ciment-Portland-HRC-beton-de-resine-index.html
3) CBD-242-F. Le béton de résine - IRC-CNRC, http://irc.nrc-cnrc.gc.ca/pubs/cbd/cbd242_f.html
Exemples de vernis d'ignifugation :
Ø Pyroplast HW présenté par RUSTIFRANCE
Ø Vernis PU
Rustiflam présenté par RUSTIFRANCE
Ø MONOFLAM
91709 présenté par MONOPOL
Ø Texguard
présenté par GUARD
INDUSTRIE
Ø Pyroplast
Steel D présenté par RUSTIFRANCE
Produits
de protection incendie, ignifugation (s) :
Ø Medium ignifuge présenté par ISOROY panneau de fibres de moyenne densité
protection incendie, ignifugation plaque, panneau de fibre de bois, fribagglo
Ø Cloison
coupe feu présenté par SOCAB
cloison et séparatif, protection incendie, ignifugation
plaque, panneau de particules traitées contre le feu
Ø Bentley
Harris présenté par FEDERAL
MOGUL , protection électrique, protection
incendie, ignifugation
Ø DOW
CORNING FRANCE présenté par DOW
CORNING FRANCE , Etanchéité
- toiture, façade, locaux humides, Protection, sécurité incendie - alarme,
verrou, contrôle d'accès, Matériau de base - sable, adjuvant, tôle, tube,
brique, parpaing, ciment, plâtre, béton
Ø Ruban
coupe-feu adhésif présenté par PROSYTEC
TREMCO , protection incendie, ignifugation
géosynthétique, produit semi-tissé, non-tissé, bande, fond de joint, calicot
pour revêtement mural
Ø AISM
présenté par AFIMES
, protection
incendie, ignifugation
Ø Pyroplast
HW présenté par RUSTIFRANCE
, peinture
ou vernis d'ignifugation, protection incendie, ignifugation
Ø Impralit
F3/66 présenté par RUSTIFRANCE
, protection incendie, ignifugation
Ø Alumawood présenté
par EURAMAX
INDUSTRIE , panneau
isolant en composite à parements bois
volet battant, volet aluminium, protection incendie, ignifugation
Ø Isol
Ouate Xylobell présenté par LABO
XYLOBELL , procédé d' isolation thermique,
procédé d' isolation acoustique, protection incendie, ignifugation
Ø AIP
présenté par AFIMES
, protection
incendie, ignifugation
Ø Vernis PU
Rustiflam présenté par RUSTIFRANCE
, peinture
ou vernis d'ignifugation
protection du bois, protection incendie, ignifugation
Ø EUROTEXTIL
Sécurit (Procès verbal) présenté par ALFA
FLOR , protection
incendie, ignifugation
Ø EUROFLOR
Sécurit (Procès verbal) présenté par ALFA
FLOR , protection
incendie, ignifugation
Ø Incendie
présenté par MONOPOL
, protection
incendie, protection incendie, ignifugation
Ø Pyroplast
Steel D présenté par RUSTIFRANCE
, peinture
ou vernis d'ignifugation
protection incendie, ignifugation
Ø Securité
physique HAFFNER présenté par RITZENTHALER
, porte
anti-effraction, blindée
coffre-fort, chambre forte, protection incendie, ignifugation
Ø
Firemaster
présenté par PROSYTEC
TREMCO , protection incendie, ignifugation
géosynthétique, produit semi-tissé, non-tissé
Ø EUROSAPIN
Sécurit (Procès verbal) présenté par ALFA
FLOR , protection
incendie, ignifugation
Sources
sur les produits et entreprises d'ignifugation :
1) http://www.produits.batiweb.com/search/liste_marque_rub.asp?niv=1726&nb=21
2) http://www.sageret.fr/html/liste_articles.php?listeSF=1
Ciment : La Thaïlande
exporte du ciment aux USA à 12-15 $ US
/ la tonne (avec coût de transport élevé, vers les USA, de 30 $ US la tonne).
Le prix moyen du ciment indien (en Inde) est quand à
lui : Rs 500-1,200 la tonne soit ~
8 – 21 € la tonne (taux 1 € = 57.4800798 Rs). Avec le coût du
transport, on pourrait rajouter 50 % à ce coût.
Pour une maison avec 20 tonnes de ciment, le coût de cette
dernière serait de : ~ 630 €.
(Par comparaison, le prix moyen du ciment turc est de
30 dollars la tonne).
Aluminium : 2000 $ US / la tonne (INDAL INC. India _ firme connue sous
le nom de HINDALCO)
(92,95 Rs / kg).
Acier : ~ 300 $ US / la tonne de ferraille en Inde
(actuellement flambée des prix à cause de la Chine).
(source : http://steel.nic.in/
, producteurs : Tata Steel, Essar, Ispat Industries and Jindal
Vijaynagar).
(Prix de la ferraille
broyée en Europe
~240 € / la tonne, fin 2004. Prix semblable en Inde).
Salaire minimum et coût de la main d’œuvre en Asie :
(salaire minimum le plus souvent non respecté dans ces pays)
:
Bangladesh : TK (ou BTD ?) 930 par
heure (0.1096 € ???)
Chine : RMB (ou CNY ?) 2.63 par heure (0.24 €/h) (le
plus souvent RMB 1,5 par heure)
Pakistan: : 35 USD = 2050 Rs / mois (26 € / mois) en 2004
(permet à peine de vivre)
Inde : idem (permet à peine de vivre. Il leur
faudrait 7000 Roupies /
mois, soit ~ 122 € / mois, pour vivre décemment dans une grande ville).
Les cantonniers le long des routes indiennes _ souvent des indiens du Bihar,
une des région les plus pauvres de l’Inde _ pour ce travail saisonnier (on
pourrait dire ce travail de forçat sous le cagnard), gagnent en moyenne 100 à
150 /- par jour (~ 2,6 € / jour, soit 57 € / mois, en 2002).
Prix du
transport d’un conteneur 40 pieds de Paris jusqu’au port de Colombo (Sri Lanka) :
1400 €
(source vén. Chandaratana voir plus loin).
Attention,
ce prix ne prend pas en compte les frais de dédouanement sur place.
Note : Prix du
bois en termes constants (en 1994) en dollars américains par
mètre cube ~ 250 $
Source : http://r0.unctad.org/infocomm/francais/boistemp/prix.htm
• Classes CL06; CL19; CL36; CL37; CL42 (classe de marques,
classification INPI).
• Protection pour les produits et services Matériaux de
construction métalliques ; constructions transportables métalliques ; huis
séries métalliques ; charpentes métalliques ; couverture de toits métalliques ;
escaliers métalliques ; panneaux métalliques pour la construction ; plafonds
métalliques ; planchers métalliques ;
revêtements métalliques (construction) ; tuyauteries métalliques ; conduits
métalliques d'installations de ventilation et de climatisation. Matériaux de
construction non métalliques ; constructions transportables non métalliques ;
huisseries non métalliques ; charpentes non métalliques ; couvertures de toits
non métalliques ; escaliers non métalliques ; panneaux non métalliques pour la
construction ; plafonds non métalliques planchers non métalliques ; revêtements
non métalliques (construction); tuyaux rigides non métalliques ; construction
conduits non métalliques d'installations de ventilation et de climatisation.
Affaires immobilières ; courtage de biens immobiliers ; évaluation (estimation)
de biens immobiliers ; crédit immobilier ; assurance de travaux de construction
assurance de biens immobiliers ; services de financement de constructions ;
location d'appartements ; location de bureaux (immobilier) ; investissements de
capitaux dans le domaine de la location d'habitations ou de bureaux.
Constructions d'habitations construction de bâtiments et d'édifices information
en matière de construction supervision (direction) de travaux de construction ;
démolition de construction ; installation et réparation d'appareils pour le
conditionnement de l'air ; installation et réparation d'ascenseurs ; destruction
des animaux nuisibles autres que dans l'agriculture ; nettoyage de bâtiments
(ménage) ; installation et réparation de chauffage ; location de machines de
chantiers ; ramonage de cheminées ; installation et réparation d'appareils pour
le conditionnement de l'air équipement de cuisines ; travaux d'ébénisterie
(réparation) ; nettoyage d'édifices ;(surface extérieure) services d'étanchéité
(construction); installation et réparation de dispositifs signalant l'incendie
; information en matière de construction maçonnerie ; pose de papiers peints ;
travaux de peinture travaux de plâtrerie ; travaux de plomberie forage de puits
; travaux de tapissiers ; travaux de couverture de toits ; installation et
réparation de dispositifs d'alarme en cas de vol. Conseils en construction
architecture; arpentage ; contrôle de qualité des constructions ; décoration
intérieure ; étude de projets techniques dans le domaine de la construction ;
levés de terrain ; planification en matière d’urbanisme [ ;
architecture d’intérieur ; construction de ponts légers ] .
1 Les raisons et buts de ce projet
3 Principes de base de la maison
4 Description de chaque éléments
4.1 Plaques
/ dalles isolantes (panneaux)
4.1.1 Modules
dalles / panneaux murs et murs
4.1.2 Modules
dalles plafonds :
4.1.3 Modules
dalles plancher :
4.1.5 Modules
/ plaques de toit
4.2 Modules
fenêtres et volets
4.3 Poutrelles
verticales en métal (ou en bois ?)
4.4 Poutrelles
horizontales en métal ou en bois
4.5 Eléments
de liaison : entretoises, cornières …
4.6 Blocs
supportant la maison sur le sol, chemin d’accès
4.7 Joints
et bouchons d’étanchéité, cales
4.9 Des
boulons et vis (et voire des clips et câbles en acier)
4.10 Bloc
sanitaire : toilette et WC
4.11 Citernes
domestique & de récolte d’eau de pluie, bassin
4.15.3 mur
bibliothèque et mur à vin dans la cave.
4.15.4 escalier
et placard-escalier
4.15.5 Pompes
manuelles (ou solaire) pour la citerne.
4.15.6 Le
puit de captation d’eau pour l’alimentation humaine
4.15.8 Modules
dalles de toit / toiture
5.1 Toiture
complète et montée
6 Modèles de maisons terminées
8.1 Réalisation
de maquettes et dossier sponsor
8.2 Réalisation
de la/des maison(s) prototype(s)
11 Recherche et diffusion du projet auprès des soutiens
13 Stratégie commerciales et publicitaire
13.2 Cas
des reconstructions dans les pays du tiers-monde
13.3 Dernières
nouvelles, urgences, défis immédiats
15 Transport / livraison du kit sur le chantier / Montage
17 Etudes des contraintes & problèmes et leurs solutions
17.3 Chaleur,
froids (protection contre)
17.5 Contraintes
structurelles, tensions, poids, facteurs de charges
17.6 Parasites,
xylophages, champignons, moisissures
17.7 Problème
de la salinité du lieu et de corrosion.
17.8 Résistance
au feux, ignifugation
17.9 Protection
contre la foudre
17.10 Protections
contre le soleil
17.11 Relief,
surélévation de la maison
17.13 Environnement
et écologie (énergie, chaleur, fraicheur)
17.14 Nature
du sol et utilisation
17.15.2 Disponibilité
des matériaux
17.15.3 Niveau
de développement technique et technologique
17.15.4 Développement
économique
17.15.5 Disponibilité
de la technique
17.15.6 Autres
raisons pratiques
17.16 La
culture et la société
17.16.2 Propriété
et régime juridique
17.16.3 Religion,
philosophie …
17.16.4 Autres
influences (a priori culturelles …)
17.17 Protections
et normes anti-sismiques
17.18 Tsunamis,
Inondations, raz de marée, glissement de terrain
17.19 Précautions
concernant les accidents, sur le chantier etc. …
17.20 Précautions
concernant les vols, sur le chantier
18 Annexe : WC écologiques (solution tiers monde)
19 Annexe : Puit sanitaire (pays du tiers monde)
20 Annexe : Plans des modèles de maisons
21 Annexe : Outils nécessaires pour le montage
22 Annexe : maisons en matériaux de récupération (infos)
23 Annexe : étapes du montage de la maison (pB)
25 Annexe : Lettre de l’auteur sur ses propre motivations
26 Annexe : informations sur les maisons écologiques
28 Documentations de référence pour ce projet
29 Annexe : prix indicatifs dans les pays du tiers monde
30 classes de dépôt de la marque « Evolutive Houses »
[1] Tout dépend :
a) du facteur d’échelle _ si l’on peut construire à la chaîne, avec une production de masse, en profitant des besoins énormes en reconstruction de masse après les dernières catastrophes (Tsunamis _ au Sud-Est …_, guerres _ au Liban …_, cyclones _ Katrina aux Usa … _, tremblements de terre _ Cachemire …),
b) des possibilités de fabrication à moindre coût (main d’œuvre du tiers-monde …). Notre estimation du possible prix d’une maison dans le tiers monde se base sur la maison en bois, modèle Daniela de la société brésilienne Litoral Express, de 48 m2, pour R$ 42750 ~ 12157 Euros. Ce qui ferait 20000 € pour 80 m2, s’il y avait proportionnalité entre surface au sol et prix (voir Annexe).
[2] L’idéal serait qu’elles soient beaucoup rapides à construire que les maisons Phénix, afin de réduire les coûts de main d’œuvre … bien que les maisons Phénix soient déjà rapides à construire.
[3] Tout en étant respectueux de l’environnement, de règles éthiques (droit du travail …).
[4] On pourrait utiliser du matériau bois ou un sandwich de bois, m’avantage est qu’il est plus léger et plus facile à transporter, en particulier par camion (que le béton).
[5] On pourrait imaginer une solution robotisée projetant l’enduit selon une pression fonction des résultats données par un système de télémesure laser, de mesure de distance et d’angle du jet, par rapport au mur cible (pB).
[6] « La pompe à chaleur solaire pour le chauffage des habitations » :
[7] Dans un bon nombre d’endroit du tiers-monde, les habitants n’ont pas la connaissance technique suffisante pour entretenir tout dispositif technique. C’est pourquoi, il leur faut des maisons et des dispositifs simples comme par exemple les panneaux solaires photovoltaïques actuels (comme ceux de la marque Tata® etc …).
[8] CBD-37-F. Charges de neige sur les toitures : http://irc.nrc-cnrc.gc.ca/pubs/cbd/cbd037_f.html
& CBD-193-F. Évaluation des surcharges de neige sur les toits : http://irc.nrc-cnrc.gc.ca/pubs/cbd/cbd193_f.html
[9]
voir par exemple : Clauses contractuelles des marchés publics
luxembourgeois : travaux de couverture et d’étanchéité de toitures : http://www.marches.public.lu/clausescontractuelles/ctg020.pdf
[10] Sources :
7 Vidéos sur les techniques économiques de constructions de maisons du PNUD
Education, « Ramigé Films produktions » (1997) : 1) Apprendre à
travailler le bois, 2) Constructions, 3) Transformations des aliments, 4)
Transformation des métaux etc. …
UNESCO - Division of Policies
and Strategies of Education, Support to Countries in Crisis and Reconstruction,
7, Place de Fontenoy - 75352 Paris 07 SP (France), Tel.: (33)1 45 68 10 34 •
Fax: (33)1 45 68 56 45, mail: k.bensalah@unesco.org site: http://www.unesco.org/education/emergency/
[11] La mairie de Nonville, dans les Vosges, proposait, en sept 2006, des terrains constructibles à 50c d’€ le m2, à qui veut s’installer dans le village (Mairie, 2 rue Eglise, 88260 NONVILLE (Vosges), tél-fax : 03 29 09 34 75).
[12] Pour éviter la déformation des poutres, sous l’effet de l’incendie, la chaleur, comme au World Trade Center.
[13] Ou bien du « béton de résine », un ciment mélangé à de la résine thermodurcissable, à prise rapide (voir doc. Sur ce béton en Annexe). L’étape 7 du trempage dans un plan de plastique liquide pourrait être alors évité.
[14] Il y a eu un précédent, celui des plans d'une maison, la maison "Stark house", créée par le célèbre Designer Philippe Stark et vendus par correspondance, par les "Trois Suisses" en 1994. La vente de cette maison a été un échec _ 100 plan vendus (~ 5000 FF), seulement 4 maisons construites _, à cause des refus, par la plupart des autorités, des demandes de permis de construire, déposés par les acheteurs de ces plans, du fait que la maison était légère, sans cloison et que le plan de la maison n’était pas toujours adaptée au terrain (pourtant la dizaines de maisons Stark construites le monde n’ont pas souffert de défauts de fabrication et sont toujours là. Les maisons EVOLUTIVE HOUSES seront solides, durables, avec des facteurs de charges énormes et adaptables au terrain _ relief, taille … _, à l’environnement paysagé, aux contraintes locales _ classements historiques …).
[15] Hormis un ouverture d’aération située au dessus des vitres des fenêtres ou éventuellement des portes.
[16] Cela pourrait être une « société » qui serait créée au sein d’un groupe BTP existant (comme les marques "Maison Phenix", "Maison Familiale", "Maison Clairlande", "Maison Castor" ... pour le groupe GEOXIA).
[17] Qui appartiendrait alors à une société/marque existante.
[18] Idem. Même remarque que quelques lignes auparavant.
[19] Source : base « espacenet » de l’INPI : http://v3.espacenet.com/results?DB=EPODOC&sf=a&PA=MAISONS+PHENIX&CY=ep&PGS=10&ST=advanced&LG=fr
[20] Par exemple, dans le village
de Sarayaku, Equateur, Parole de Nature a offert un panneau solaire au chef du
village. Depuis ce panneau suscitant jalousie est devenu une clôture (source : http://www.parolesdenature.org).
[21] Jean-Louis Borloo,
Ministre de l’emploi, de la cohésion sociale et du logement, Ministère de
l'Emploi, de la Cohésion Sociale et du Logement, 127 rue de Grenelle 75007
Paris, Tél.: 01 44 38 38 38, Secrétariat d'état au logement – cabinet, 10 place
Cinq Martyrs Lycée Buffon, 75015 PARIS, tél.: 01 40 56 60 00, http://www.cohesionsociale.gouv.fr
[22] Jean-Louis Borloo, en signant en déc. 2005, la charte "maison à 100.000 euros" avec les communes soutenant ce projet, lance le plan des maisons prête à vivre à 100.000 euros. En 15 ans, pour l'équivalent d'un loyer HLM, on devient propriétaire de sa maison avec le garage-atelier et un petit jardin. Selon Yves Jégo, député de la troisième circonscription de Seine et Marne & Maire de Montereau-Fault-Yonne, créateur de l'Association française pour l'accession à la propriété (AFAP), "on peut arriver à construire entre 7 et 10.000 maisons à 100.000 euros par an, prix clés en main".
Voir
a) liste des communes membres fondatrices de l'Association support des maisons
à 100 000 Euros, les proposant ou déclarées intéressés par ce dispositif, et
Cahier des charges « MAISON AUJOURD'HUI », sur les sites : http://yvesjego.typepad.com/blog/2005/10/maisons_a_100_0.html
http://yvesjego.typepad.com/blog/propritaire_pour_100_000_euros/index.html
b)
guide de montage d’une opération de maison à 100000 Euros : http://www.cohesionsociale.gouv.fr/IMG/pdf/Guide_AFAP-2.pdf
,
c) Association française pour l’accession populaire à la propriété
(AFAP), GIP Montereau, cœur de quartier - Maison des Services Publics, 3, rue
André Thomas 77130 Montereau-fault-Yonne, Tél. 01 60 57 21 08, Fax 01 60 57 21
30, E-mail : maisona100000.afap@hotmail.fr
, www.maisona100000euros.fr
[23] Plan de reconstruction Sri Lankais pour les victimes du tsunami (janvier 2005), source AFP : http://www.undp.org/bcpr/disred/documents/tsunami/press/afp_180105c.pdf (l’UNDP est en fait le PNUD, « Programme des Nations Unis pour le Développement », « United Nations Development Program »).
[24] par exemple, la maison AUM du « Auroville Earth Institute », à la surface au sol faible : 23 m2, pèse déjà 22.5 tonnes. Contact : Mr. Satprem Maïni, A.E.I. Director, Auroshilpam, Auroville 605 101 - T.N. India, Tel.: +91 (0) 413 - 262 3064 / 262 3330 Fax: +91 (0) 413 - 262 2886, earth-institute@auroville.org.in , site : http://www.earth-auroville.com/index.php?nav=menu&pg=disaster&id1=5&txt=text
[25] D’après
l’expérience de l’auteur de ce projet, le meilleur logiciel d’optimisation de
trajet de camions, le plus puissant, est le logiciel OPTRAK (http://www.optrak.co.uk/, Optrak
Distribution Software, Princess Mary House, 4 Bluecoats Avenue, HERTFORD,
Hertfordshire, SG14 1PB , United Kingdom, Phone: 01992 411000, Fax: 01992
411001, email vrs-sales@optrak.co.uk
. En 95, ce logiciel à sa création, coûtait ~ 150 000 €. Mais dans le cadre de
cette opération humanitaire, avec une version réduite (light, sans toutes les
options non nécessaires dans ces pays), on pourrait négocier un prix bien moins
élevé (si possible).
[26] Règlement sur les normes d’arrimage (Ministère canadien des transports) : http://www.mtq.gouv.qc.ca/fr/publications/camionnage/charges/arrimage.pdf#search=%22transport%20blocs%20pierre%20pneu%22
[27] Un lecteur du document a écrit à l’auteur : « nous sommes dans un monde ultra libéral où toutes les idées intéressantes ne seront jamais prises en considération. Aucune chance pour celui qui pas d'appui dans le monde de la construction où il n' y a pas de place pour les petits en dehors de Bouygues, Berlusconi et consorts ».
[28] Projet film technique transparent pour les fenêtres de maisons de villages himalayens :
http://perso.orange.fr/jardin.secret/ProjetsHumanDefenseLlibertes/ProjetsHumanitaires/ProjetFilmTechniqueFenetresZanskar.htm (mais attention, les habitudes on la vie dure et les gens préfère le verre à vitre même cassant à ces solutions qui leur font penser à du vulgaire plastique, pourtant très transparent comme du cristal). Ce sont ce genre de réactions imprévues qu’il faut tenter d’anticiper dans tout programme humanitaire (le CCD de Lyon et Lilles _ Comité Catholique pour le Développement _, BIOFORCE à Vénissieux donne des cours sur ce sujet).
[29] La forêt boréale sibérienne est plus vaste que celles du Canada, Finlande, Suède. Mais peut-on améliorer les choses ? Le problème de la non exploitation du bois de Sibérie, tient à :
a) manque d’infrastructure routière et d’infrastructure de qualité en Sibérie (pouvant relier les forêts sibériennes : 1) au Transsibérien, 2) aux grandes voies navigables _ grands fleuves Ob, Ienisseï, Lena (il existe pourtant du flottage de bois et des barges sur ces fleuves) _ conduisant vers l’Océan Glacial Arctique, l’Océan Pacifique, la Baltique ….).
Il faudrait que de nouvelles routes soient construites (avec techniques moderne, couche de géotextile étanche, protégeant contre le permafrost, recouvert d’un épaisse couche de macadam, puis entretien constant comme dans les pays scandinaves Norvège, Suède et comme en Finlande).
b) la mauvaise qualité du Transsibérien (temps d’attente en cas de rupture de charge, manque de professionnalisme).
c) la mauvaise qualité de infrastructures portuaires des ports de Murmansk, Arhangel’sk (Sibérie ouest, Océan glacial Arctique), de Saint-Pétersbourg (Baltique), de Vladivostok (Océan Pacifique, Sibérie est), Oust Port (sur l’Ienisseï, Arctique), Salekhard (sur l’Ob, Arctique), Bouloun (sur la Lena, Arctique). Toutes leurs infrastructures vieillissantes et mal entretenus devraient être revues. Gros investissements qui devrait venir de l’état russe, qui semble ne pas en avoir les moyens.
d) Pour la solution du transit du bois par l’Océan glacial Arctique, la voie du Nord-Ouest est longue, risquée et ouverte que seulement 4 mois de l’année en été (mais elle est possible).
g) la corruption : dès qu’un domaine peut rapporter de l’argent, les personnes proches des instances dirigeantes veulent avoir des parts dans les nouveaux secteurs économiques, voire avoir un rôle dans la société (voir le cas de Gazprom et Yukos ou des pression gazière de la Russie sur l’Europe afin d’avoir une plus grande participation dans EADS). On pourrait bien sûr ( ?) solutionner le problème par des « cadeaux amicaux » (« voyages d’études » …), dans le cadres « d’amitiés ». Mais il existe aussi des lois contre la corruption en Russie (qui sont soudainement « réactivées » quand un secteur du pouvoir politique veut mettre main basse sur un secteur qui semble bien marcher). La solution, à mon avis, serait de mettre tout carte sur table (argument de ne pas tuer la poule aux œufs d’or). Le deal étant qu’on implante l’usine et on crée des emplois, on paye des taxes professionnelles pour la ville et la région, que s’il n’y a pas de corruption (signature de contrat qui précise bien ce point, avec juristes russes).
h) les vols : pour éviter de se faire voler un chargement, il faut arroser les policiers, douaniers. C’est ce que l’on doit éviter. (Pour cela, fait que les salaires soient plus élevés).
On aurait pu implanter une importante usine de construction de maisons « Evolutive houses » à Novosibirsk, où passe le transsibérien et se trouve de gros complexes métallurgiques (aciéries, fabrication de machines). En améliorant les routes, on aurait fait venir le bois sibérien jusqu’à l’usine. Les maisons produites seraient transportés en kit en en conteneurs, par le transsibérien ou par de grosses barges sur l’Ob, puis de gros portes-conteneurs à partir du port réaménagé de Salekhard (sur l’Ob, Arctique), qui soit un vrai port de porte-conteneurs (avec grues spéciales) et dont les chenaux de navigation dans le delta de l’Ob soient régulièrement désensablés.
Donc, problème très complexe, mais question ouverte (éventuellement, par une approche du ministère de l’industrie et des chambres de commerces locales).