Quelle aide
pour le Tibet ?
1. Situation actuelle au
Tibet......................................................................................................
2. Que faire ?...........................................................................................................................
2.1 Création d’un serveur internet...........................................................................................
2.2 Visite de soutient, publicité mondiale faites aux camps de
réfugiés tibétains.........................
2.3 Recherche sponsors et le soutien de sociétés et de gens
célèbres.....................................
2.4 Dénoncer la colonisation démographique du pays par les
chinois.........................................
2.5 Dénoncer la répression grâce au relevé précis des
exactions..............................................
2.6 témoigner, améliorer les moyens de témoignages..............................................................
2.7 Mettre en oeuvre des moyens facilitant l’expression de
l’opposition.....................................
2.8 Réaliser un énorme travail de sauvegarde du patrimoine
culturel tibétain..............................
2.9 Soutien au gouvernement en exil.......................................................................................
2.10 rétablir le débat démocratique par des discussions sur
l’avenir du Tibet.............................
2.11 actions juridiques internationales.....................................................................................
3. Bibliographie........................................................................................................................
Actuellement le Tibet est colonisé par la Chine. Le Tibet a été annexé à la Chine en 1948. Le prétexte : le Tibet a de tout temps fait parti du territoire de l’empire chinois (alors que le Tibet n’a été qu’un protectorat, entre le 17° et le 19°, tout comme le Vietnam). La Chine n’a jamais consulté les populations pour savoir si elles souhaitaient être rattachés à la Chine.
Avant 1948, le régime du Tibet était féodal, de type théocratique.
Le Tibet était dirigé par un grand chef religieux bouddhiste, le Dalaï-Lama, éduqué dès son plus jeune âge, par le milieu religieux dirigeant le pays. Ses ministres étaient tous des religieux.
La Chine a supprimé le pouvoir des religieux et à placé des hommes à elles, où éventuellement des hommes de pailles aux postes religieux importants.
Puis la liberté de culte a été fortement restreint, voire interdit pendant certaines périodes (révolutions culturelles ...). Tout enseignement religieux a été totalement transformé dans le sens d’une éducation communiste.
Aller contre le choix des dirigeants par Pékin, contre la politisation de l’enseignement religieux, peut faire courir de graves danger à celui qui s’oppose _ emprisonnement pour de lourdes peines, souvent supérieures à 5 ans, tortures, coups, conditions de détentions terribles (cellules de 1 m x 1 m, torture à l’électricité encore en 1999) etc ...
Toute manifestation indépendantiste est interdite et impitoyablement réprimée _ arrestations, coups de matraques, personnes battues à mort, gaz lacrymogènes, charges, lourdes condamnations ..
Tous les tibétains âgés, qu’on peut interviewer, disent que l’on était plus heureux dans l’ancien régime _ pourtant féodale _ que le régime actuel.
La répression a causé dans le passé la mort de 1,5 millions de morts soit 1/6 de la population tibétaine et l’internement de 20 % de la population dans de véritables camps de concentration, proches des camps d’extermination.
Un vrai génocide, un crime contre l’humanité.
Cette répression a conduit à ce bons nombres de tibétains s’exilent en Inde ou au Népal.
L’autorité actuelle reconnue par la majorité de la population du Tibet, le Dalaïa Lama, actuellement en exil depuis la répression de 1959, a bien tenté d’obtenir l’autonomie, au sein du Tibet en renonçant à l’indépendance, mais les autorités de Pékin ont toujours été sourds à ces propositions et aux aspirations de la population.
Bien au contraire, les chefs chinois ont tout fait pour faire disparaître la culture tibétaine, ou de la transformer en manifestations folkloriques vidées de leur profondeur, par une politique d’assimilation forcée des enfants _ scolarisation en chinois, interdiction de parler tibétain à l’école _, par une politique de colonisation forcée du pays, par importation d’une importante population chinois, surtout à Lhassa, la capitale. Cette dernière ville est devenue majoritairement chinoise. Tout cela pour faire basculer le rapport de force démographique en faveur des chinois, au Tibet, bref pour faire de ses propres habitants dans « indiens » dans leur propre pays.
Chaque jour, jusqu'à aujourd’hui, les droits de l’hommes sont sans cesse bafoués ouvertement.
En la seule année 1999, six cas de morts sous la torture et de nombreux mauvais traitements ont été recensés. Au total, les autorités ont chassé de leurs monastères et de leurs couvents 1 432 moines et nonnes qui avaient refusé de déclarer leur opposition à un Tibet libre ou de dénoncer la personne du Dalaï-Lama. On compte, au Tibet, 615 prisonniers politiques reconnus et recensés. Depuis 1996, 11 409 moines et nonnes ont été expulsés de leurs lieux de culte et d’étude. Plus de 6000 lieu de cultes ont été détruit, dont des chefs d’oeuvres patrimoine de l’humanité.
Le peuple ne voit plus d’espoir, se résigne petit à petit. Et seul le Dalaï-Lama et son gouvernement arrive à maintenir une petite flamme faible et vacillante.
La situation est dramatique, contribuant à augmenter les fuites des jeunes, souvent dans des conditions périlleuses vers l’étranger. On ne peut que s’insurger quand quelques personnes bien intentionnées minimisent le drame, comme Alexandre Adler.
Le fait le plus alarmant actuellement au Tibet est la marée de colons chinois qui continuent d’arriver pour profiter de l’ouverture du Tibet au capitalisme marchand. En corollaire, s'installent la prostitution, une maladie qui prend de plus en plus d’ampleur, le jeu et les bars à karaoké, indirectement encouragés par les autorités, ce qui sape dans leur fondement même les normes sociales et les valeurs morales traditionnelles du peuple tibétain. Plus efficace que l'emploi de la force brute, cette politique a réussi à faire que les populations tibétaines, en en réduisant le nombre, ne représentent plus qu'une simple minorité dans leur propre pays et qu'elles deviennent étrangères à leurs croyances et à leurs valeurs traditionnelles.
En plein an 2000, verra-t-on se produire de nouveau un véritable génocide culturel et se reproduire une destruction irrémédiable et définitive, comme celle des Cathares par les Catholiques, lors de la croisade des albigeois au 13° siècle ?
On ne voit pas d’avenir, pour la civilisation et la culture tibétaine, une des civilisation les plus originales et les plus pacifiques du monde, condamnée à plus ou moins longue échéance à mourir ou à être vidée de son contenue.
L’orgueil nationaliste, la position géostratégique, les richesses du sous-sol n’incitent pas les autorités chinois à changer de politique.
Les autorités vivent dans une totale impunité, sûre de leur force, sûre de leur force nucléaire, démographique et économique. D’autant que si le Tibet est géostratégiquement important pour la Chine, par exemple au niveau de ses missiles nucléaires, il ne l’est pas pour les autres nations démocratiques _ USA, nations européennes _, le Tibet étant un pays pauvre, désertique, enclavé, à la faible population clairsemée, sans accès sur la mer. Le Tibet est aussi potentiellement riche en ressources minières pour la Chine. Et notre bonne conscience de démocrates européens ou américains est vite étouffée par les promesses des affaires juteuses avec un marché chinois aux potentialités mirifiques.
On peut se poser des questions sur cette cruauté, cet acharnement des chinois, les moyens disproportionnés qu’ils emploient sans cesse jusqu'à maintenant, alors que la rébellion armée, en particulier de l’ethnie Kampa, a été écrasée depuis longtemps (depuis 1973), et depuis 30 ans, seuls les moyens pacifiques prévalent chez les opposants tibétains.
Le peuple tibétain est un des plus grands peuples martyrs du XX° siècle, martyrisé à un point inimaginable.
Il semble que la priorité essentielle, est de faire tout ce qui est possible, dans l’esprit des tibétains, pour rétablir la liberté, seule condition permettant aux tibétains de pourvoir enfin déterminer leur avenir et le choix de leur système politique.
Je ne fais ici que des propositions, même s’ils peuvent paraître naïfs.
Ce serveur informerait :
1) au jour le jour, sur la situation des violations des droits de l’homme au Tibet.
L’idée serait de faire financer d’abord ce site par des associations amis _ Amnesty, Survival, Ligue des Droits de l’Homme ou par des personnalités qui soutiennent les tibétains ...
Comment créer ce site ?
Ce site pourraient être installé au départ, sur un serveur existant.
L’idée seraient que plusieurs informaticiens bénévoles (dont je ferais parti) le réalise.
Ce serveur pourrait être commun à toutes les associations d’aide au tibétains et être bilingue _ anglais, français (voir trilingue si l’on peut trouver les polices informatiques des caractères sanscrits/tibétains et un rédacteur tibétain capable de retranscrire les textes en anglais en tibétain).
Trouver des bénévoles pour taper des textes pour votre associations sur tel ou tel sujet, selon vos désiratas et besoins, taper les manuscrits d’auteurs d’articles.
Suggestions de ce que l’on pourrait trouver sur ce serveur :
une présentation de la culture tibétaine (en plusieurs volets : fêtes, coutumes, philosophies, structure de la société avant l’invasion chinoise, les écrits littéraires et textes sacrés (livres des morts), la musique (avec des fichiers téléchargeables sons « .wav », photos « .gif »...) ...)
une présentation du bouddhisme (en particulier lamaïque (courants, histoires, schismes _ Gelumpa, Bonnets jaunes et rouges..._ etc...)
une présentation de la situation actuelle (par des témoignages et des statistiques, statistiques des implantations des chinois, des militaires, des tours hertziennes ..., des camps de réfugiés, sur les conditions sanitaires ...).
une présentation des conséquences de l’invasion (camps, génocides, statistiques aussi scientifiques que possible sur le génocide, témoignages sur les exactions, la dégradation de la nature _ extractions minières et forestières sans contrôle, pollutions des rivières, dépôt de déchets _, destruction de la culture, de chef d’oeuvres irremplaçables (liste de ces chef d’oeuvres), destruction de plus de 1000 monastères patrimoines de l’humanité, historiques des révoltes, des guerres ...)
biographies et histoire de certaines personnalités (Milarépa, Pachem Lama, Dalaï-Lama et sur les 13 précédents Dalaï-Lama ...)
histoire du Tibet et discussion des prétentions chinoises sur le Tibet (fait par un historien rigoureux).
bibliographies des ouvrages et revues sur le Tibet.
Présentations des associations tibétaines (en France et dans le monde ...) et des actions possibles (bulletins d’adhésions, adoptions ...).
bulletin de liaison et nouvelles au jour le jour de ce qui s’y passe.
liens avec d’autres sites aidant les tibétains.
adresses « e-mail », forum de discussion.
Faire visiter des camps de réfugiés aux personnalités,
Créer des associations pour apporter des objets _ des biens de première nécessité, outils scolaires ... _ ou médicaments dont les réfugiés pourraient avoir besoin ...
Les rechercher dans les milieux médiatiques _ celui du cinéma holywoodien etc.. comme Richard Geere, Martin Scosese, Jean-Jacques Anault ...
Contacter toutes les personnalités connus, pour leur faire connaître le drame tibétain et pour obtenir leur soutiens etc...
Pour cela, il faut faire un recensement, un dénombrage de tous les colons chinois et de toutes les colonies chinoises implantées au Tibet.
Il faut faire un recensement de tous les camps militaires, de tous leurs équipements _ en particulier tours herziennes ... Ce travail est très dangereux.
Faire une enquête sur les implantations nucléaires _ en particulier sur les stockages des déchets radioactifs ... _ et sur les pollutions du territoire, les destructions de forêts causées par une exploitation effrénée des chinois, au Tibet.
Faire un recensement des camps et des prisonnier tibétains au Tibet (travail dangereux).
faire des enquêtes précises sur tous les morts dues à la répression, ou morts suspectes d’opposants, de dirigeants religieux _ Pachen Lama etc... _, à partir de tous les témoignages retrouvés (travail dangereux).
Constituer un recueil des noms de toutes les personnes martyrisés depuis les années 60 jusqu’à maintenant. Faire un immense recueil de toutes les exactions connus (sorte de Mémorial dédié à ces victimes ?), à partir de tous les témoignages récoltés, surtout auprès des anciens. Un travail calqué sur le travail réalisé par l’association « Memorial » à Moscou, qui est la continuation du travail commencé par « l’ Archipel du Goulag »), ou sur le travail de recensement de toutes les victimes juives du nazisme, commencé par Serge Klarsfeld et continué par la Bibliothèque Juive Contemporaine.
Obtenir à bas prix d’un fabriquant, par exemple Sanyo, centaine de caméra de type Sanyo , très simple d’emploi (qui en France ne coûte que 2000 FF), disponible dans les principales capitales du Tibet, pour filmer les scènes de répression.
Créer des réseaux pour permettre de faire parvenir à l’extérieur ce genre de témoignage ou faire parvenir à l’intérieur des tracts.
Mettre en oeuvre un réseau herzien parallèle, à base de petites radios Kenwood (2000 F / pièces) établis tous les 100 km,
Trouver quelques téléphones satellites (à 10 000 F / pièces) pour permettre aux opposants de communiquer à l’extérieur.
Faire parvenir à l’intérieur de Lhassa des photocopieuses ou PC et imprimantes.
Créer une télévision satellite de culture tibétaine, arrosant le Tibet, sur le modèle de la télévision berbère, venant de se créer récemment BRTV, télé Berbère, 97 rue du Cherche-Midi, 75006 PARIS).
Constituer des réseaux structurés, non violent, dirigées de l’extérieur, avec cloisonnement maximum des cellules. Réseaux de renseignements précis quadrillant tout le Tibet.
Ces dernier réaliseront :
1) le repérage et le contact les chinois de l’intérieur du Tibet connus depuis longtemps comme justes et humains,
2) l’approche, dans un premier temps, de ces chinois, en diffusant des tracts et des livres à leur intentions,
3) contacter, par des antennes ou des représentations à l’étranger, des associations Ligue des Droits de l’Homme, MRAP, SOS racisme, Franc-Maçons ... et les institutions internationales (UNESCO, ONU ... Assemblée nationales ...) pour obtenir leur soutiens et pour obtenir une condamnation de l’occupation chinoise au Tibet. Il faut obtenir une condamnation, sur le modèle de la condamnation du génocide Arménien par les Turc en 1915, obtenue à l’assemblée nationale française en juin 98.
4) réaliser des réseaux de contre renseignement concernant les infiltrations des services secrets chinois dans les associations tibétaines.
5) faire des réseaux de veille avec radios, guetteurs, des filières des passages de frontière, avdc surveillances des vallées, par jumelles.
6) établir des structures de fuites et de passage d’objet par cette même frontière (elle aussi parfaitement cloisonnée).
7) mettre en place des structure de photocopies et de reprographies performantes (avec les associations d’aides dans les pays développés et à Darjeeling), pour réaliser les tracts, les documents, micro-livres, pour recopier toutes les archives tibétaines anciennes et les sauver.
8) Organiser des camps de jeunesses clandestins, pour reconstruire les monastères et bibliothèques disparus et détruits.
On pourrait éventuellement se faire conseiller par des associations qui ont lutté pour la démocratie dans des pays qui bafouent les droits de l’homme.
Faire la sauvegarde de les trésors philosophiques et littéraires du Tibet, hors du Tibet (fondations dans les pays développés), avant qu’il disparaisse.
Fonder un comités d’historien, pour infirmer les revendications et prétentions chinoises, par des faits historiques et culturels (en connaissant bien la mentalité chinoise,).
créer des classes d’enseignement (clandestin) pour les jeunes), pour enseigner le tibétain, pour entretenir et faire vivre la culture tibétaine, pour enseigner le bouddhisme tibétain. Les cours se dérouleront dans la nature (avec guetteurs, radios).
Créer aussi de telles écoles aussi hors du Tibet pour enseigner le bouddhisme aux occidentaux et entretenir la flamme de la culture tibétaine, chez eux.
Soutenir la langue tibétaine ne veut pas dire fanatiquement anti-chinois. On doit apprendre en même temps que la langue tibétaine apprendre le chinois (seconde langue ou bilingue), ne serait que pour comprendre son « ennemie » et pouvoir discuter (prudemment) avec les plus justes d’entre eux.
créer des prix littéraires, par exemple le « prix des justes », pour des ouvrages rédigés en Tibétains, ou pour soutenir la cause tibétaine, ou pour récompenser les personnalités soutenant le Tibet.
imprimer en occident, des milliers d’images, pour les personnes illettrées du Tibet (image du Dalaï-Lama, du bouddhisme, de prières bouddhiques ...), à transférer par la frontière, et à faire diffuser dans les villes et campagnes par les « associations tibétaines intérieures ».
Reproduire, en millier d’exemplaire, les drapeaux tibétains en occident, les transférer par la frontière, et les diffuser dans les villes et campagnes par les « associations tibétaines de l’intérieur ».
Maintenir la pression par des actions, lancées par la radio Tibet libre, de frappe de casseroles, de s lancés dans la nuit, par les femmes à Lhassa et dans les grandes ville, d’accrochage dans la nuit de banderoles, de drapeaux indépendantistes (même sur les édifices publics), de tags.
Convaincre le Daïla Lama de faire plusieurs voyages de pèlerinage dans les principaux monastères et universités tantriques/bouddhiques situées sur les marches du Tibet (pour entretenir la flamme, un peu comme les voyages du Pape).
Organiser à l’intérieur et à l’extérieur, des discussion sur le futur du Tibet, pour élaborer des scénario possibles pour son indépendance ou libération, pour son futur régime, pour définir quelle démocratie installer, la future place du Dalaï-Lama. Pourra t’il se présenter aux élections comme tout humble citoyen ?
Quels places des chinois et futurs liens avec la Chine ? Réflexion sur une armée ?
Quelle économie installer, quel développement économique (Proportions de l’économie de marché et dirigiste, entre le privé et le nationalisé) ? Développement du tourisme ? si oui, quel tourisme ? culturel ? spirituel ? Quel importance des monastères dans ce « tourisme » ? Quelle écologie (rapport entre écologie et traditions tibétaines et bouddhiques) ? Comment faire que ce tourisme ne gangrène pas les hommes (en augmentant la vénalité et les besoins ?) ? Comment conserver l’hospitalité tibétaine ? Quel tourisme intelligent ?
Quel politique de développement participative des habitants des vallées et des plaines, mettre en place, pour le éviter déboisement, pour la préservation de la faune et flore ?
Avec l’accord du faire une étude de la faisabilité/la recevabilité d'une action en justice à la cours internationale de la Haye, pour attaquer la Chine, afin d'obtenir une condamnation de principe :
a) pour occupation illégale du Tibet (pas de légitimité historique),
b) sur le génocide culturel (il faut qu’il existe une nouvelle jurisprudence qui admettent qu’on ne peur détruire une langue et une culture millénaires),
c) pour crime comme d’humanité, pour génocides, pour tous les meurtres commis, avec demande d’indemnité et de réparation, pour toutes les familles meurtries, ayant perdus des membres de leur famille.
d) Contacter aussi le tribunal Russel.
Ce ne sont que des propositions.
Benjamin LISAN
[1] Crier avant de mourir, Isabelle Van Geem, Robert Laffont, 1977
[2] Le moine rebelle, carnet de lutte et de ma vie au Tibet, Tenzin Kunchap et Patrick Amory, 1999, Plon.