Fantasmes transsexuels hard (suite)

 

(Fantasmes transsexuels, hards, extrêmes).

 

Domina Nath : « je suis une domina à la recherche d'un soumis pour le prendre en mains, si tu veux être fouiller par une femme voici mon adresse ».

Transstoy : « Chère Domina Nathalie, Si si vous voulez me prendre en main et vous aimer fouiller un homme, je suis intéressé. Comme je crois l’avoir mis dans une de mes annonces je cherche une femme qui aimerait (totalement) inverser ma sexualité (me rendre « vaginal » etc.). Bonne nuit ».

Domina Nath : « tu as frappé à la bonne porte pour ton dressage à mes pieds. Tu vas très vite progresser car j'ai beaucoup d'expérience dans la domination. Mes pratiques sont diverses et variées. Tu vis où : région / département / ville ???? quelles sont tes fantasmes et tes limites ?? tu as du matériel de soumission ? ».

Transstoy : « Chère Domina Nath, Je sais que quand j’expose des fantasmes aussi particuliers que les miens je peux vous choquer. Si je vous choque alors n’en parlons plus. Oublions-les. Mon but n’est pas de vous choquer. D’un autre côté, je me suis promis d’être toujours complètement et totalement transparent(e) (nu(e)) et honnête avec vous. Je ne vous cacherais jamais rien.  Ce fantasme particulier est très profond en moi, il fait partie de ma personnalité profonde. Difficile de l’ôter. Je sais que ce fantasme est dangereux pour moi (socialement), et pourtant je l’aime bien.

Même tous ces fantasmes ne sont pas totalement mes fantasmes, … malgré tout, une partie de ceux-ci sont exposées, dans ce diaporama que j’ai réalisé : fantasme-de-sissification_V3.ppt

Si je tombais, sur une dominante qui me dise « j’aimerais que tu ais deux orifices entre tes jambes, au lieu d’un » (vagin et anus), je serais super contente. Et qui aime me « défoncer », sans cesse, à chaque instant, devant et derrière, cela serait vraiment super (que je sois totalement esclave de ses désirs sexuels, qu’elle puisse se faire plaisir à fond, qu’elle ne laisse jamais tranquille mon vagin, qu’elle y enfonce, tantôt, des balles de golf, des boules métalliques musicales chinoises, un bouchon de pâte à modeler, des fraises à la crème Chantilly, un foulard en soie enroulé qu’elle ressort ensuite lentement délicatement etc.). Je sais que j’abandonnerais totalement à vos désirs, que je souhaiterais si puissants.  Que pourrais-je faire, pour vous égayer, vous rendre radieuse ? Je ne veux pas vous embêter avec mes fantasmes, qui certainement ne vous intéresseront pas. Bonne nuit, dormez bien ».

Transstoy : « Chère Domina Nath, J'espère que vous ne n'en voudrez pas de ma folie douce. J’ai une crainte que mon fantasme de vagin ne vous fasse peur (car ce fantasme n’est pas courant et donc vous pourriez douter de ma santé mentale). Mais je fais malgré tout je vais continuer à vous exposer la suite de mon fantasme, si vous ne m’en voulez pas.

Je rêve que vous me fouillez, me fister, me pénétrer, me « défoncer », d’abord derrière, puis quand j’aurais un vagin, devant. Et avec un vagin, il vous sera plus facile de me « défoncer », de me donner des coups de butoir, dans mon vagin. (et si vous aviez un god ceinture double, devant et derrière). Mon rêve est de me donner totalement corps et âme à votre emprise. J’aimerais être votre Shéhérazade sexuelle, que je puisse vous amuser sexuellement, tous les jours, vous faire rêver sexuellement, que vous ne lassiez jamais sexuellement. Que mon corps, mon vagin soient dévoués à votre plaisir sexuel, que je m’abonne totalement à votre emprise sexuelle, à vos mains expertes. Je ne sais pourquoi j’ai toujours pensé que si j’avais un vagin entre mes jambes, cela renforcerait totalement votre emprise sur moi. C’est pourquoi, j’ai l’impression que j’urgence serait ma vaginoplastie (en Thaïlande) au plus tôt (et vous m’y emmener). Vous êtes ma sculptrice, Pygmalion, et je suis votre Galatée, votre création. Que vous sculpter mon corps (que vous le féminisez) à votre goût (si vous voulez que j’ai des gros seins (provocants ?), j’aurais de gros seins, un vagin doux, totalement imberbe, j’aurais un vagin totalement imberbe, que les deux lèvres de mon vagin soient percés d’un percing, afin d’y passer un cadenas, un percing y sera percé … (voir un anneau, de percing posé, sur chacun de mes seins (?) …).

Votre jour de gloire, sera quand j’aurais un joli vagin, enfin fonctionnel, entièrement dévoué à votre plaisir. Pour tromper vos amis Dominante, vous enfoncer une prothèse pénienne particulière, l’un de se côte serait un gros god renflé, que vous enfoncez dans mon vagin, de l’autre une belle apparence d’un pénis normal, qui serait percé de part en part d’une sorte de canal de l’urètre, en tube plastique (°), qui se termine côté vagin, par un plug urétral percé, enfoncé dans mon nouveau canal de l’urètre. Et les dominas voient d’abord un être humain avec un pénis, qui peut pisser avec. Puis soudainement, roulement de tambour (tin !! tin !!!), coup de trompette chevaleresque, vous retirer délicatement la prothèse pénienne de mon vagin et les dominas ont la surprise de voir un vagin. Et vous leur montrez votre œuvre (le résultat de votre travail). Mon rêve, quand mon vagin serait enfin ferme et fonctionnel (environ 1 mois après l’opération), que vous me couchiez sur le dos, puis que vous me déflorer, me pénétrez, d’abord, avec beaucoup de douceur, avec votre god, puis que progressivement vous augmentez les amplitudes de vos va-et-vient, qui deviennent puissante (et que vous me témoignez de votre puissance). Un jour, vous me mettez un somnifère dans ma soupe. Je m’endors profondément. Vous me ligaturer et vous en profitez pour enfoncer dans mon anus, un plug énorme, et dans un vagin, un god énorme, afin de dilater mes deux orifices, entre mes jambes, au maximum. Puis pour empêcher, que le god et le plug ne ressorte, vous me poser une ceinture de chasteté (en métal et cuir). Puis vous ôter les ligatures. Je me réveille avec cette terrible sensation de dilatation interne (en même agréable, jouissive et douloureuse). Je vous supplie « pouce ! retirez-moi cela ». Mais vous êtes impitoyable. Pendant, que je suis votre serviteur à votre service, je dois garder tout cela entre mes jambes durant plusieurs heures. Mais au moment où vous me libérez, vous ne m’avez pas fini, vous m’enfoncer un god pour maintenir mon état d’excitation sexuelle maximum. Vous arrangez, à chaque fois, pour que je ne puisse jamais me sortir de mon état d’excitation sexuelle, afin que de renforcer totalement votre emprise sexuelle sur moi (que je devienne votre esclave sexuel(le)).  J’aimerais que vous soyez une photographe ou caméraman, que vous photographiez ou filmez les jeux que vous inventer avec mon corps, mon vagin, dans tous les positions, avec tous les déguisements possibles (de servante ou conteuse (votre Shéhérazade)  du harem, dans un costume d'écuyère etc.), ma transformation, vous les objets que vous m’enfoncer chaque jour (boule bleu, rouge, verte, métallisée, un canard sexuel, un bouquet de fleur, des plumes de music-hall chatoyantes (devant, derrière), mes lèvres vaginales couvertes de rouge à lèvre, divers gods, des fruits, de la crème, du sorbet (dont vous vous délectez) enfoncés dans mon vagin. Une autre fois, vous enfoncez une grosse boule musicale métallique chinoise, terminée par une longue chaîne métallique à anneau (brillant), dans mon vagin, que vous refermez avec le cadenas (cité plus haut). Plus vous aimez me promenez ainsi (en me tirant doucement par la chaîne, via mon vagin dilaté et emprisonné) … Et vous revendez les films de ma transformation sexuelle (vaginoplastie et toutes les phases qui l’entoure) et de ces jeux sexuels sur Internet, sous votre direction (VOD ou en DVD etc.) (vous êtes tout réalisatrice, scénariste, impresario, camerawoman).

Si l’on n’a pas tous les objets de jeux sexuels ou les vêtements, sous la main, pour de nouveaux scénarios, nous en commandons de nouveau sur Internet, sous votre direction (que j’achète) où nous allons dans les magasins (les y acheter). Quand vous m’emmenez au cinéma, vous aimez que j’ai une grosse boule enfoncée dans mon vagin (que vous m’y avez enfoncé), sous ma jupe. Et que vous êtes au cinéma, vous glissez doucement votre main sur ma jambe (ou mes bas), puis dans mon string, puis vous caressez doucement mon clitoris, puis soudainement, vous m’enfoncer une seconde boule encore plus grosse. Puis aimez me voir me promenez dans la rue, faire les boutiques, avec ces deux grosses boules enfoncées dans mon vagin. Après le petit déjeuné, vous me coincez dans l’encoignure d’une porte, et vous me soulevez de terre, par vos coups de butoir. Désolée pour mon imagination sexuelle qui n’a pas de fin.  (le seul soucis comment faire cette vaginoplastie au plus vite ?). Prenez tout ce que je vous écris comme mon désir de vous distraire. N’hésitez pas à me demander de vous écrire des contes et récits, mettant en scène tous les fantasmes que vous aimiez qu’ils se réalisent. Ou bien à m’inviter afin de que je puisse contribuer à réaliser les fantasmes dont vous rêver. Bonne journée et bon dimanche.

(°) Comme celui d’une sonde urinaire ».

Transstoy : « Chère Nath, Je vais vous faire encore plus peur. En effet, l’amour a été toujours été important à mes peux. J’ai toujours eu beaucoup de désirs sexuels (et vous n’arriverez jamais à les épuiser). J’aime bien mon désir sexuel, même si plus mon désir augmente, plus mon désir de vagin augmente. C’est comme cela (je ne contrôle pas ce désir de vagin). Le désir sexuel peut être très beau mais il est sublimé par l’amour. Beaucoup de jeux sexuels, quand on s’aime, c’est encore plus beau. J’aimerai aimer de tout mon cœur, de mon âme (peut-être vous). Et pour celle que j’aime, d’accomplirais tout … Rien ne me fera peur. La vaginoplastie pose un problème éthique (ce n’est pas une question simple). Mais par amour pour quelqu’un, alors aucun problème. Cela serait même le plus beau jour de ma vie, comme le fait qu’elle me pénètre enfin pour la première fois (dans mon vagin).  Aimer, c’est couvrir ses mains de baisers, c’est être totalement à son service.  Et ensemble, on s’amuserait follement. Je vous pardonnerais tout. Si j’ai un vagin, vous me commanderiez à ce que je mette du rouge à lèvre sur les lèvres de mon vagin, ou que je peigne une grande fleur (marguerite, rose …), à l’acrylique, autour de l’orifice de mon vagin.  Que vous y enfonciez une grosse courge, un concombre (voire si vous espiègle, que vous cassez le concombre, et que vous amusez à me voire faire des efforts pour le ressortir), une carotte, une grosse tomate encore verte et ferme, une balle en mousse (celle qui sert à serrer le poing lors du don du sang) … Ou que vous me donnez un gros god, et que vous aimez me voir me « branler », sans fin avec ce gros god, tout en me caressant les seins. Ou bien que je m’empale, sans fin, sur un god-ventouse, posé sur une grande table en verre, tout en me caressant. Et que vous adore le mouvement de pénétration de l’objet dans mon vagin. Et que vous insistez à que je continue sans fin. Ou que vous aimiez me voir courir nue, sur la plage (ou la falaise d’Etretat), un jour de grand vent, avec une un long ruban de soie, qui sort de mo vagin et qui flotte au vent. ».

Transstoy : « Chère Domina Nath, Je ne sais pas si je récit de mes fantasmes vous plaira. Mais je sais qu’en général, les Maîtresses aiment que leurs « ouailles », leurs « protégé(e)s », leurs « soumis(es) », leur relatent, dans de sorte de rapports mensuels, leurs fantasmes. Je vous avais relaté qu’un de mes fantasmes est que vous introduisiez des billes de roulement à billes (pas trop grosses, une vingtaine), dans mon canal de l’urètre, jusqu’à mon entre-deux-jambes. Puis que vous injectiez de l’eau coloré (grenadine, menthe), dans mon canal, avec une grosse poire à lavement, jusqu’à ma vessie. Et que vous aimeriez me voir, assise accroupie, pisser une à une chaque bille, rejetée par le flot du de l’eau coloré (que je pisse) (idem après que j’ai été opérée). Puis après, vous m’enfoncer une grande marguerite (ou un soucis) avec sa tige (entourée d’un préservatif) dans le canal de l’urètre. Ou encore que vous aimez que je sois toujours parfumée (avec des parfums féminins), et que mon anus soit toujours propre, parfumé. Pour cela, vous m’y injectez de l’eau, que j’expulse immédiatement dans les WE. Puis, idem avec de l’eau de rose, que j’expulse de nouveau dans les WE. A cet instant, mon anus est propre. Puis vous le lubrifiez avec de la vaseline ou un lubrifiant sexuel (idem pour mon vagin). Seulement, à ce moment-là, vous me pénétrez. Ou alors vous m’attachez à la croix de Saint-André de votre donjon, et une Maîtresse ou Domina (ou plusieurs) et vous me pénétrez, alternativement ou d’une façon synchronisée (et synchronisée avec différentes musiques de fond), mes deux orifices, devant, derrière, jusqu’à ce que j’ai plusieurs orgasmes, et que je n’en puisse plus (et que je chuchote « Noon ! Noon ! pouce ! Je n’en puis plus ! »). Ou encore que vous enfoncez, dans mon anus, une série de boules métalliques musicales chinois et que vous aimez me les voir pondre, une par une, alors que je suis accroupis au-dessus d’une bassine. J’aimerais que vous soyez voyeuse, que vous ayez un niveau d’excitation sexuelle équivalent au mien (mais cela sera dur) à me voir me branler, sans fin, avec un gros god, que je m’enfonce alternativement, entre mes jambes. Ou bien que vous aimez que je m’empale sans fin sur un god-ventouse (je ne possède malheureusement, ni god-ceinture, ni god-ventouse). Et même quand j’ai obtenu plusieurs orgasmes, vous m’exhortez encore « allez ! on continue ! on ne s’arrête pas ! »., jusqu’à ce que je sois épuisée (de fatigue et de désir). Après que j’ai été opérée, j’aimerais que vous m’entraînez à être pénétrée (par vous …), que vous me pénétrez souvent, afin que je m’habitue à mon vagin et aux plaisirs et orgasmes obtenus avec lui, afin que je ne puisse plus me passer de mon vagin (et que je l’aime d’une façon extraordinaire). Je voudrais que vous me mainteniez avec l’utilisation fréquente de mon vagin (par vous) dans un état d’excitation sexuelle permanente. Une des fantasmes fort est que vous me déposez dans mon vagin, soit une grosse boule métallique musicale chinoise (que je fais bouger, en bougeant très vite mon bassin), soit un œuf d’oie couvert de vaseline, et que vous aimez que je le porte, en moi, la journée et la nuit.

Si vous aimiez que je sois opérée, cela serait génial, géant ! (vous n’aurez pas à le regretter, alors). Mais je sais, j’ai conscience que l’opération est irréversible, que c’est une mutilation (et qu’elle changera ma vie à jamais …) [et que pendant la convalescence, l’on « déguste », que c’est hyper-douloureux, … mais pourtant, je la veux, peut-être par amour pour la domina qui me « prendra », « possédera »). Et je sais, par problème de conscience, pour « ne pas avoir assumer » etc. (en fait, je ne sais pas pour quelle raison (?)), les dominas se "débinent" (ont peur ?). Dans la vidéo, des musiciennes japonaises nues, j’aimerais être l’une d’entre elle. Comme Shéhérazade, avant la nuit, vous aimez que je vous raconte des contes (sexuels ou non …) ou que je vous joue de la flute (l’air de la vidéo), avec un bouquet de fleurs (des pâquerettes pompon ou des petits dahlias ...) dans mon vagin. Ou alors que je vienne, disant « guide ou scout sexuelle au rapport ! » et je fais mon rapport et alors vous m’enfoncer doucement une boule colorée (en plastique) dans mon vagin et me donnant une petite claque sur les fesses. Et je continue mon ménage ou vous servir une boisson (sur un plateau d’argent). Bonne journée, très agréable. ».

Transstoy : « Chère Domina Nath, Je crois avoir fait fausse route en vous envoyant ces mails « intimes » à votre attention.  Je vais faire en sorte de ne plus vous embêter (avec des mails, « révélations » qui peut-être ne vous intéressaient pas). Je vous souhaite tout le bonheur, la santé, la prospérité possibles et la réalisation de toutes vos aspirations ou rêves. ».

 

Le problème est que le désir rend aveugle. L’on se croit intelligent, en les présentant (surtout à une femme), et en fait, l’on est très stupide. Peut-être, cette domina a perçu ces longs mails à peu d’intervalle de temps, comme du harcèlement. Ce genre de mails exprime, en fait, une grande misère sexuelle. Car il est impossible de satisfaire ce genre de fantasme.

 

Voici ce qu’écrivait justement quelqu’un au sujet de ce fantasme : « bonjour, globalement je me demandais comment peut-on parler de son vagin ... pour dire ensuite que l'opération qui permet d'en avoir un est une mutilation que tu refuses ? Tu dois aimer ton pénis finalement. Et on ne subit jamais ce genre d'opération pour quelqu'un d'autre, mais pour soi. Aucun psychiatre spécialisé ne pourrait abonder dans une telle opération pour ce genre de raison. Pour le reste oui tu as reçu une éducation arriérée car être masculin ne consiste pas du tout à être un gros con homophobe et misogyne, et qui considère tous les autres comme de la merde. Maintenant bcp de gens ont eu ce genre d'éducation, et ce n'est pas ce qu'ils sont devenus non plus, et ils ne sont pas devenus soumis pour autant non plus. Enfin finalement, est ce que tu ne te conviens pas de cette manière avec des seins et ton pénis ? C'est sûrement la question essentielle ».

(Pour répondre à un argument du mail, tous les transsexuels savent aussi que l’opération ne créera pas un vrai vagin).