Chirurgie de greffe
sexuelle dans le futur
1. Introduction :..................................................................................................................................................... 1
1.1. Difficulté d'acceptation sociale :.................................................................................................. 1
1.2. Difficultés techniques :................................................................................................................. 3
2. Question éthique :............................................................................................................................................. 4
3. Plan de l'étude technique :............................................................................................................................... 5
4. Volet immunologique :.................................................................................................................................... 5
5. Volet chirurgical :............................................................................................................................................. 7
5.1. étude de la compatibilité spatiale des emplacements des organes de chaque sexe :............... 7
5.2. chirurgie ligamentaire.................................................................................................................... 7
5.3. microchirurgie des nerfs............................................................................................................... 8
5.4. chirurgie tissulaire, musculaire et veineuse................................................................................ 8
5.5. modalité, précautions opératoires, timing................................................................................... 9
6. Risques d'infectieux et opératoires :.............................................................................................................. 9
6.1. Risques opératoires anesthésiques :............................................................................................. 9
6.2. Risques infectieux :....................................................................................................................... 9
7. Redémarrage des fonctions procréatrices :................................................................................................... 10
7.1. Homme vers femme :.................................................................................................................... 10
7.2. Risque de grossesse :..................................................................................................................... 11
8. Bibliographie sommaire :................................................................................................................................ 12
Ce texte n'est qu'un exercice de
l'esprit, car dans les conditions actuelles, les greffes se heurtent à un
écueil de taille immense, que sont la difficulté actuelles des rejets et de
compatibilité entre corps receveur et organe greffés, rendant l'opération
dangereuses avec un risque inacceptable (très loin d'un risque tendant vers
zéro).
Ce travail n'est réalisé que dans une
optique strictement thérapeutique, et non pour satisfaire une lubie, un
fantasme ou une déviance quelconque.
Actuellement, par exemple il y a quasi
rejet automatique de tout organe d'un homme transplanté sur une femme.
Par ailleurs, même si la greffe prend
avec un médicament anti-rejet, cela oblige le receveur à prendre ce médicament
à vie, et ces derniers toxiques ne sont pas risques (affaiblissement des
défenses immunitaire).
Le problème de la transsexualité est
complexe. Beaucoup de choses dans le domaine sont loin d'être éclaircis ou
résolus. Une évidence est que beaucoup de transsexuels souffrent vraiment. Et
on se doit de les aider et de résoudre leur détresse immense.
Sinon même opéré(e) le transsexuel
n'est toujours pas considéré comme une personne entière dans son nouveau sexe,
car ne disposant pas d'un vrai sexe (seulement d'un sexe approximatif) et
restant stérile. Ce qui ne contribue pas à l'obtention de son respect et de
dignité ou/et son insertion sociale.
Nombreux sont les transsexuels
souffrant de ne pouvoir remplir pleinement leur nouveau rôle sexuel (combien de
transsexuel à vocation féminine ont rêvé d'être mère).
Sinon la chirurgie, des transsexuels à
vocation masculine souffre d'énormes difficultés de faisabilité.
Ici est donc présenté une des
multiples voies envisagées pour résoudre leur problème.
Un des voies seraient la chirurgie de
greffe sexuelle.
Beaucoup de difficultés pour celle-ci
sont à affronter.
D'abord, la chirurgie de greffe
sexuelle, peut être confronté à une très forte opposition sociale, morale
venant de toutes les couches de la société ... Et c'est pourquoi elle devra
être faite dans le plus grand secret (au moins au départ).
Si le transsexuel devient fertile, il
devra cacher ce fait et éventuellement se refaire une nouvelle vie, surtout
s'il désire aller jusqu'au bout de sa capacité de procréation dans son nouveau
sexe (pour éviter toute curiosité malsaine et publicité nuisible à les
possibilités d'aider d'autres transsexuels dans leur insertion psychologique et
sociale, par cette voie).
Sinon, cette voie très généreuse, pour
résoudre la vie de détresse du transsexuel, sera très difficile ou voire
immense techniquement. La chirurgie sera certainement lourde, longue, et non
exempte de risque ou de complication, surtout au niveau réaction immunitaire et
solidité mécanique, faisabilité spatiale de la nouvelle structure sexuelle implantée.
Jusqu'à maintenant, les rares greffes
d'organes pratiquées, les 2 de l'équipe du docteur Magnus Hirchfeld, pratiquées
dans les années vingt à Dresde [1][2] ou les 4 pratiquées en 92 à l'hôpital n°3
de Pékin [3], se contentait de remplacer une gonade par une autre (un testicule
par une ovaire et réciproquement, sans remplacer tout l'appareil sexuel dans
son ensemble) (le but étant probablement d'éviter une source externe d'hormones
sexuelles, non régulée ?, ou bien un but psychologique pour le patient ?).
Ici ce qui est proposé c'est de
constituer un immense réseau d'obtention des cartes d'histocompatibilité (sur
base(s) de données), dans le monde entier, liés aux "Gender Clinics
(*)", des transsexuels des deux
sens, intéressés par le projet.
Dès que l'on trouverait dans le monde
2 transsexuels l'un à vocation masculine et l'autre à vocation féminine,
compatibles, on procéderait alors, par chirurgie, dans l'une de ces
"Gender Clinics", au don mutuel d'organe, de l'un vers l'autre, et
réciproquement", ou plus simplement à un échange mutuel.
Pourquoi l'idée d'une recherche
mondiale des compatibilités ?
1. parce
que la transsexualité est rare.
2. parce
que devant la difficulté entrevue, il y aura peu de candidats (beaucoup aussi
se diront "wait and see", de voir si cela peut vraiment réussir avant
de se décider et beaucoup seront d'abord septiques).
3. parce
que beaucoup de transsexuels (pour différentes raisons : morales,
psychologiques ...), ne voudront pas
s'approprier un organe qui n'est pas à l'origine le leur.
4. pour
éviter d'utiliser à vie des médicament immunodépresseurs (cyclosporine), avec
les risques infectieux qu'il font courir au patient.
Ici nous étudions ce projet pour
l'instant seulement comme un exercice
intellectuel, l'éventualité, dans le futur, de réel changement de sexe, pour
mettre la personnalité en conformité avec le corps restant la voie la plus
satisfaisante pour l'esprit pour soulager et insérer dans la société, le
transsexuel.
Dans cette étude ne seront jamais
négligé les énormes risques _ risques de dégâts irréparables (risque de faire
déboucher le "chantier chirurgical" en cas de ratage sur une
"boucherie" non viable) etc. ..._ et les apport négatifs qui
pourraient se produire ou résulter d'une telle démarche et opération (pour
l'instant conçues intellectuellement) tels complications à long termes,
maladies, rejets ....
Dans les chapitres suivant nous
examinerons tous les risques et toutes les objections.
Le sujet éthique posé est "faut-il
mettre en conformité l'âme et le corps" d'une personne ?
La question éthique ici est très
importante.
1. on
ne peut jouer avec la vie du sujet, simplement pour réaliser une prouesse
technique.
2. on
ne doit pas négliger le fait que cela peut choquer certaines personnes et des
points de vues moraux et religieux (qui affirmeront que tout cela est contre
nature). (revient toujours l'éternel problème du rejet du transsexuel toujours
vu comme un malade mental ou un pervers).
3. on
ne peut négliger sinon, tous les sentiments de rejets "instinctifs",
"épidermiques", liés aux conditionnements et préjugés forts tenaces,
au niveau social (l'impression quelque soit le changement de sexe, on aura
toujours affaire à l'individu ayant le sexe d'assignation de départ).
4. Risque
de rejet des comités d'éthique médicale et social (risque d'être pris pour un
phénomène de foire et médiatique, pour un objet de fantasmes pervers, pour
esprits pervers attirés par cela etc. ..., s'il la confidentialité n'a pas
entouré le projet).
Solution :
1. Eviter
le rejet du corps médical (risque de dégoût instinctif, d'être pris pour un
pervers ou marginal). Rassurer. (Le problème est la façon de considérer le
greffon : est-il juste un objet, une pièce de puzzle ? ou bien un être vivant
pris sur un autre ?). (choix : soit voir famille donneuse et demander son
accord _ pas facile _ ou trouver un donneur sans famille).
2. Proposer
un service en retour, en échange de l'aide apportée par le corps médical, pour
atteindre cet objectif. Se proposer pour d'éventuelles études scientifiques
(endocrinologues, psychologiques etc.), en remerciement.
3. En
échange de l'aide, proposer de faire don de ses organes en cas de son décès (ou
don de son corps à la science).
3. La confidentialité autour du projet est
indispensable et doit être assurée (contrôle des risques de fuites). En
effet, des réactions de dégoûts et rejets violents, liés à l'idée de pousser au
crime et d'aller dans le sens de ne pas guérir d'un psychose ou une perversion,
peuvent survenir. Le bon sens courant de
tout un chacun, conduit instinctivement à être d'abord sceptique. Beaucoup
de personnes ne connaissant pas le problème, penseront à quelque chose non
naturel et contre nature.
On
entrevoit déjà l'intervention de plusieurs disciplines et donc plusieurs études
:
1. immunologie
clinique (étude des risques de rejet)
2. microchirurgie
3. chirurgie
des ligaments
4. chirurgie
générale : tissulaire, musculaire, veineuse ...
Rejet
du greffon
a. Cas mortels
b. Cas graves non mortel
Risque
de devenir castré.
Voir
solution de repli : le point h. ci-après.
On ne joue pas avec la vie du patient
et la greffe d'organe est un sujet grave. Il ne peut y avoir d'approximation
dans la prise de risque au sujet des risque rejets.
Il semble que les greffes d'organes
sexuels n'ont jamais été faite selon des conditions d'une grande rigueur
scientifique (sur le plan histocompatibilité). On sait que des organes se
greffes mieux que d'autres (bonne acceptation : foie, dents, acceptation
moyenne: coeur, pancréas, reins, cornée, peau, moins bonne acceptation : moelle
osseuse, poumon, thymus, trompe de Fallope, mauvaise acceptation : rate).
Mais on connaît encore peut de chose
sur l'acceptation d'un organe sexuel dans son ensemble. Tout au plus on sait
sans autre détail, que sur 4 greffes à l'hôpital n°3 de Pékin il y a eu 3
réussites et 1 rejet. Sans même que l'on sache, ce qu'il est advenue de la
personne qui a subit le rejet.
Sinon, il n'y a pas incompatibilité
entre sexe. En fait l'histocompatibilité dépasse la barrière des sexe. On peut
parfaitement greffer un coeur d'homme sur une femme aussi bien que le
contraire. Une soeur peut faire un don de moelle osseuse à son frère.
Un histocompatibilité forte arrive en
moyenne dans un cas sur 50 000. Il y aura alors peu de candidats satisfaits
dans leur désir d'avoir un vrai sexe conforme à leur désir.
Solution
:
a. Créer
un banque mondiale de don/échange d'organes entre transsexuels à vocations
féminine et masculine, auprès de laques s'inscrira les candidats. Cette banque doit au moins comporter plus de
4000 candidats pour assurer l'histocompatibilité maximum.
b. Le
candidat doit faire un don de moelle osseuse, à banque de moelle, pour obtenir
l'analyse de son histocompatibilité.
c. L'histocompatibilité
doit être enregistrée dans cette banque.
d. Si
une histocompatibilité très grandes est observées entre 2 candidats de sexe
différents, ou qu'il y aurait un organe sur personne décédée non réclamée, dont
la compatibilité est très grande, on décide très rapidement de l'intervention
pour ce/ces candidats, avec leur(s) accord(s), dans le pays et l'équipe
disposée à pratiquer l'intervention.
e. Note
: il vaut mieux attendre longtemps, voire 4 ou plus, pour avoir la meilleure
compatibilité et éviter l'usage de la cyclosporine.
f. Auparavant,
effectuer une bonne étude compatibilité HLA 1 et 2. Attendre pour le bon choix
(même, s'il le faut, plusieurs années pour trouver le greffon totalement
compatible, du bon âge compatible _ pas trop jeune ni trop vieux _, de taille
compatible et d'un donneur sans problèmes _ pas d'opposition de la famille, pas
de maladies chez le donneur avant _ virales, génétiques ... _ etc...).
g. Voir
s'il n' y a pas eu de transfusion avant, chez le receveur.
h. La
difficulté du volet immunologique est de trouver des cas compatibles. Pour ceux
non satisfaits, il restera la technique du professeur Schrang pour les
transsexuels à vocation féminine, avec possibilité d'adoption. Pour ceux à
vocation masculine c'est encore l'inconnu.
Dans
ce volet, il y a 3 sous volets :
3.1. étude
de la compatibilité spatiale.
3.2. chirurgie
ligamentaire
3.3. microchirurgie
des nerfs.
3.4. chirurgie
tissulaire, musculaire et veineuse
En général un basin de femme est plus large
que celui d'un homme.
Risque en cas de grossesse :
faut-il une césarienne ?).
Solution :
Etude
de toutes les conformation par image de synthèse.
Pratiquer
des incisions voie basse en forme d'une élipse,
Calcul
de l'élipse par ordinateur.
Risque de mauvais "points
d'encrage" de la greffe sur le support :
Comment souder au bassin les points
d'attaches des 3 ligaments tenant la partie sexuelle ?
Doit-on choisir de la colle ou / et
des trous dans l'os avec les ligaments calés dans ces trous avec des coins.
Si les fixations ne tiennent pas il y
a risque d'endomètre.
Risque de grossesse (voir paragraphe
"redémarrage des fonctions procréatrices)
Solutions :
On doit d'abord pratiquer une étude
rigoureuse théorique et pratique (faire des test ??), des points d'encrage du
greffon :
Il
y a beaucoup de choses à étudier:
a. Toutes
les connexions veineuses (étudier les types de greffes _ triangulation des
veines ... _ et les liens entre connexions).
(très important).
b. Toutes
les connexions nerveuses (étudier les types de greffes, les liens entre
connexions et les progrès de la microchirurgie, en particulier voir les
possibilités de repousses de nerfs, favorisées artificiellement, découvert par
une équipe suisse récemment).
(très important).
c. Les
choses à enlever (corps caverneux, prostate, etc. ...).
" " à rajouter
(ovaires, glandes de Bartholin etc. ...)
Ce
qu'il faut éviter d'enlever ou changer (circuit urinaire et vessie ...).
d. Etudier
tout, par image de synthèse, pour trouver des solutions spatiales pour le
"recablage" des connexions et trouver les meilleurs voies d'accès
dans la zone opérée (pour minimiser et optimiser l'intervention et les gestes
chirurgicaux).
f. faire
des calculs mathématiques (style RDM _ résistance des matériaux) des efforts et
tensions et points de ruptures.
Ratage
au niveau microchirurgie (pas de sensibilité sexuelle ou tactile de la
partie greffée).
risque
de rejet ou fragilité de la connexion :
Solution
: surveillance, lueur/orifice de regard voie haute). Nerfs honteux etc ...
Au minimum on entrevoit déjà une
chirurgie voie haute et voie basse.
La difficulté de séparer vessie
(surtout chez la femme) et organes génitaux (peut-on les séparer ? risque
adhérences ?).
Image de synthèse et calcul
mathématique pour connaître la forme des incisions et le lieu précis et optimal
des sections des artères et vaisseaux sanguins (par voie haute). Minimum
d'incision (et de connexions).
Eviter hémorragie (canaux de
dérivations temporaires pendant la "dépose de l'organe" ?) et éviter
hématomes. Eviter la transfusion. Utilisation de Fragmine, anticoagulant
postopératoire (si risque bouchage des micro-vaisseaux de la peau qui se
recoud).
Peut-on déplacer facilement la
prostate ? Peut on recréer le corps caverneux, pour les F>H ?
Le
chirurgien doit s'entraîner avant sur corps de dissection.
Le churgien doit être un maître de
l'art (style Schrang, Davério, Royle...).
check-list préparée et lu sur écran de
télévision (comme au "caraoké").
Etude de l'intervention :
a. Chronométrage
de l'intervention (taylorisation des gestes, tout doit être étudié : risques,
accidents possibles etc. ...). Eviter une intervention en plusieurs jours ou
fois _ plusieurs opérations décalées dans le temps.
b. Créer
éventuellement des "lueurs" d'observation postopératoire (pour
évaluer la repousse des nerfs et la bonne greffe des points d'encrage et pour
éviter risques divers).
c. Etudier
le déplacement de la position de l'organe (il y a un coude au niveau canal de
l'urètre pour l'homme ce qui n'est pas le cas pour la femme). Pratiquer une
excision ovale qui permet, à l'organe à greffer, d'occuper strictement la même
place que l'organe enlevé (les 2 excisions ovales doivent être strictement
identiques en taille, forme etc...). Faire en sorte qu'il n'y a pas déplacement
vers l'avant de l'organe greffé.
d. Greffer
l'organe enlevé sur le corps du donneur à l'emplacement de l'organe qu'on lui a
enlevé (pour permettre de prévoir sa réimplantation dans le corps de la
personne greffée en cas d'échec de l'opération ou de la greffe, pour toute
raison inconnue et imprévue).
e. S'entraîner,
à effectuer la série de gestes chirurgicaux à pratiquer séquentiellement lors
de l'opération, sur un corps (de dissection), auparavant.
Chaque
geste médical et chirugical devra être contrôlé et suivi par un coordinateur.
Normalement,
ils sont maîtrisables et connus, si l'étude et l'enquête sont bien faites.
Solution
:
chambre
stérile (désinfection permanente pour éviter les maladies commensales,
Bétadine).
visite
toutes les 2 heures du patient (surveillance de l'évolution des plaies et
cicatrices).
Immobilisation
à l'hôpital (pas de sortie hors milieu stérile).
couverture
antibiotique 3 semaines (Zeclar antibiotique urinaire etc ...).
- étude du taux de prolactine
-
étude des règles éventuelles (théoriques, redémarrage, condition de
démarrage)
-
être parturiente, grossesse ...
-
Faut-il dessouder le bassin pour permettre la grossesse ou une césarienne ?
-
Pas de solidité de l'utérus et des attaches ligamentaires, en cas de
fécondation imprévues puis de grossesse (endométriose) ?
est-ce
que cela pourra marcher un jour ?
1. Etudier
le fait de laisser active la fonction de fécondation (implication ?) (faut-il
faire une hystérectomie ou ligature ou bien peut-on l'éviter ?).
2. Etude
de résistance des tissus _ étude de l'élongation de la peau ... avec un
logiciel calcul de structure (pour éviter le risque d'endométriose).
3. Etudier
le fait de remettre en marche la fonction des règles menstruelles (comment ?)
4. Idem
pour les fonctions hormonales de procréations (folliculine, lactostérone,
progestérone ...) (comment ?)
5. Sinon
prévoir en cas de grossesse, une surveillance de grossesse rigoureuse (étudier
l'éventualité de l'avortement en cas de problèmes, implications ?)
6. Etudier,
la grossesse (doit-elle être provoquée et doit-on procéder à une péridurale
etc... ?)
7. Auparavant,
étudier toutes ces problèmes, aidé de l'imagerie de synthèse.
[1] "On
a réussi a changer le sexe d'une souris", Science et Vie, n°885, juin 91.
[2] "Transplantation
d'ovaires et de testicules entre les 2 sexes dans les SRS des
transsexuels", Drs Xia Zhaoji et Wang Chuanmin, Chemin de Trans, N°2,
Juillet/août 95.
[3] Man
into Woman, an anthentic record of a change of sex, Hoyer, N.,E.P. Dutton, New
York, 1933 (Histoire de Dane Einar Wegener, première personne à bénéficier
d'une chirurgie de conversion sexuelle, dans le monde).
à vérifier :
[3] Incompatibilité de greffes entre sexes , Science de vie Nov 95, page
10