La Déforestation de la Planète

 

Etat des lieux et perspectives

(Document réalisé à partir d’une compilation d’articles).

 

© Jérome Hutin

 

Document Inachevé 

 

Auteur : B. LISAN

Le 15 Octobre 2004

 

Plan :

 

1      Avant-propos. 4

2      Introduction. 5

2.1       L’évolution globale actuelle  des forêts dans le monde. 7

3      Les causes de déforestation. 9

3.1       Les feux de forêt (involontaire, volontaires _ cultures sur brûli) 11

3.2       l’exploitation du bois pour le feux, le chauffage et la cuisson, 11

3.3       la surexploitation forestière (de bois tropicaux …) dont les coupes claires de forêts primaires, 11

3.4       l’exploitation des bois industriel dont les plantations monocultures d'arbres pour l’industrie papetière, 12

3.5       l'agriculture et l'élevage dont la surpâturage, 12

3.6       les mauvaises techniques agricoles, 14

3.7       méconnaissances « du nouvel environnement hôte », par les « cultivateurs déplacés ». 14

3.8       l'urbanisation, l’industrialisation, « l’auréolisation » des villes sur la forêt, 14

3.9       la construction de route, 14

3.10     l'extraction minière, l’exploitation pétrolière, 14

3.11     la construction de pipelines pétroliers et des gazoducs, 14

3.12     l'agriculture de crevette (dans le cas de mangroves), 14

3.13     la construction d’ énormes barrages hydroélectriques, 14

3.14     Politique de propriété foncière et inégalités, dépossession de paysans et des indigènes, colonialisme foncier, 14

3.15     le tourisme. 14

4      Conséquences : sécheresses, famines, conflits, effet de serre. 32

4.1       Sécheresse. 33

4.2       Effet de serre, augmentation du taux de gaz carbonique. 33

5      L’état des lieux actuel, dans le monde. 33

5.1       Introduction sur le chapitre sur la déforestation. 33

5.2       Afrique. 33

5.2.1        Algérie. 34

5.2.2        Le Maroc. 35

5.2.3        La désertification sahélienne (Sénégal, Niger, Mali, Burkina Fasso …) 37

5.2.4        Le soudan et Ethiopie. 37

5.2.5        La côte d’Ivoire, Gabon … (Afrique de l’Ouest). 38

5.2.6        Le Togo. 38

5.2.7        Cameroun. 38

5.2.8        Madagascar 39

5.3       Asie. 40

5.3.1        Indonésie, Malaysie (Bornéo, Nouvelle Guinée …) 40

5.3.2        Birmanie. 41

5.3.3        Cambodge. 42

5.3.4        Philippine. 42

5.3.5        Chine  (Tibet  etc .... ) : 42

5.3.6        Inde. 43

5.4       Océanie. 44

5.4.1        Australie : 44

5.4.2        Samoa (Océan Pacifique) : 45

5.4.3        Nouvelle Calédonie. 45

5.5       Amériques. 46

5.5.1        USA : 46

5.5.2        Canada. 46

5.5.3        Costa-Rica  : 47

5.5.4        Honduras : 48

5.5.5        Brésil, Amazonie. 49

5.5.6        Bolivie. 52

5.5.7        Chili 53

5.6       Europe. 53

5.6.1        France. 54

5.6.2        Finlande. 55

6      Les catastrophes écologiques passées dans le monde. 55

7      Les moyens de luttes et la reforestation …... 55

7.1       Généralités. 56

7.2       Les projets de reforestations et de luttes actuels. 60

7.2.1        Introduction sur les moyens de lutte et la reforestation. 60

7.2.2        Brésil : 60

7.2.3        Chili 60

7.2.4        Madagascar 61

7.2.5        Ile de Pâques. 61

7.2.6        Algérie. 61

7.3       Reforestation du Sahel (Sénégal, Niger, Mali, Burkina Fasso …). 63

7.4       Afrique de l’Ouest (équatoriale, tropicale) : Gabon, côte d’Ivoire …... 68

7.5       La résilience des forêts. 68

8      L’augmentation de la démographie est-elle un danger ?. 69

9      Conclusion : entre pessimisme et l’espoir, l’avenir. 70

10        Annexe : Bibliographie et sources d’information. 71

10.1     Livres sur la déforestation dans le monde : 71

10.1.1      LIVRES, RAPPORTS EN ANGLAIS : 71

10.1.2      LIVRES, RAPPORTS EN FRANCAIS : 73

10.2     Livres sur la reforestation : 73

10.2.1      EN ANGLAIS : 73

10.2.2      EN FRANCAIS : 74

10.3     Livres divers. 74

11        Annexe : Sites sur la reforestation. 74

11.1     Annexe : ONG,  Associations luttant contre  la déforestation : 74

11.2     Annexe : Personnalités luttant contre la déforestation : 74

11.3     Autres sources d'informations (ONG, sites Internet ...) : 74

11.4     Sur l'effet de serre : 75

11.5     Annexe : Photos satellites sur la déforestation : 76

11.6     Annexe : Sommets sur la déforestation et la reforestation : 76

11.7     ONG sur l’environnement en Afrique. 76

12        Organismes internationaux concernés. 79

13        SITES SUR L’EXPLOITATION FORESTIERE. 79

14        Annexe : échanges de mails avec Spot Image. 80

 

 

1)      Introduction,

2)      L’état des lieux actuel, dans le monde

1)      Les catastrophes écologiques passées dans le monde,

3)      Les causes (les raisons) :

4)      Les conséquences :

1)      La non irréversibilité du processus (les cas passés de reforestation) :

1)      Les projets actuels.

1)      L’espoir et l’avenir.

2)      Conclusion.

 

Mots clés :

 

Réchauffement de la planète,

Déforestation,

Désertification, Sécheresse,

Reforestation,

feux de forêt,

puit de carbone,

famine, exode,

bois cuisson,

surpâturage, surexploitation,

 

1         Avant-propos

 

Le mail ci-dessous résume bien mon avant propos :

« Ce travail (un travail que j'ai à peine commencé)_ mais que j'ai quand même voulu mettre en ligne (malgré ses imperfections) _, à pour but de pour tenter de faire prendre conscience, aux gens, qu'il a un terrible problème de déforestation dans le monde (prise de conscience que j'ai progressivement eu, moi-même, après la visite de plus de 15 pays dans le monde en 25 ans).

 

J'essaye dans ce document :

1) d'y recenser toutes les déforestations dans le monde,

2) les moyens éventuels d'y remédier,

3) les associations et acteurs luttant contre celles-ci.

 

J'étais allé voir le projet du Grand Barrage Vert en Algérie, vers 1973 ou 1974, car je trouvais l'idée très intéressante. Mais j'ai été attristé de voir certains portions du barrage vert, dont les pins avaient été complètement brûlés (grillés) par les attaques de chenilles processionnaires.

 

J'ai compris qu'il ne suffit pas de décider, mais qu'il faut un savoir faire et une surveillance de chaque instant de ce genre de projet.

 

Personnellement, j'aime beaucoup les projets permettant d'impliquer les populations locales.

 

Par exemple, il y a un projet que j'aime beaucoup, situé dans le sud marocain. Là, dans les montagnes derrière Essaouira (?), la population coupait et sur-exploitait les arganiers (arbres séculaires à la pousse lente).

 

Jusqu'au jour, où des personnes (en relation avec le PNUD) ont montré, aux femmes, tout l'intérêt de l'huile d'argane (qui se vend plus 7,5 euros _ ou 50 FF _ le litre en France, pour ses vertus bénéfiques).

 

Depuis, la coopérative, créée dans le village, exploite l'huile, la vend en Europe et le niveau de vie du village à augmenté. Et les villageois maintenant protège leur L'arganeraie (voir ma note en PS1, ci-dessous).

 

Source : Site de l'arganier et des coopératives féminines du Sud Ouest marocain TARGANINE

http://www.targanine.com , GIE-AGADIR: Angle rue de Marrakech et rue du Dispensaire Immeuble Ouchen N° 12 , 1er étage Quartier Industriel 80 000 AGADIR MAROC

Tel :+212 (0)48 22 57 66 Fax :+212 (0)48 23 57 33, Contact commercial : Khadija ER RAIS

Email : targanine@menara.ma

Et l’Association Ibn Al Baytar, 37 Avenue Addolb, Hay Riad, Rabat, MAROC  

e-mail : zcharrouf@menara.ma , Tel: 212 37 71 16 92, Fax: 212 37 71 32 79, GSM: 212 61 37 21 42

Coopérative féminine d’argane Tafyoucht, Mesti, cercle d’Ifni (Tiznit), tél. :fax : (0)48 86 72 52.

Une quarantaine de coopérative de femmes ont vu le jour (Agadir Ida-Outanane, Inezgane Air Melloul, Chtouka Air Baha, Tiznit, Taroudant, Essaouira …). Source : www.ecotourisme-magazine.com

 

Je crois beaucoup à l'implication des populations locales dans la préservation de leurs forêts (et de la nature) ... mais il faut qu'elles y voient aussi leur intérêt, tels que :

a) savoir que la beauté des paysage de leur pays, avec leurs forêts, peut alors attirer les touristes,

b) lutte contre la sécheresse et la désertification ...).

 

Ce texte _ présenté aussi sur mon site web personnel _, n'est pour l'instant, qu'un texte préliminaire.

 

Mais si vous allez sur la page "Solidarité-humanitaire" de mon site personnel http://perso.wanadoo.fr/jardin.secret/ , vous trouverez un autre projet de reforestation d'une vallée dans le Haut-Atlas au Maroc (à Imlil, à 70 km de Marrakech). Ce projet est lui beaucoup plus achevé. (Voir le lien : Projet de reforestation d'une vallée du haut-Atlas marocain ).

 

En espérant que tous les acteurs, partie prenante, ensemble, pourront contribuer à sauver les forêts de part le monde, qui elles-même contribuent à :

a) lutter contre la désertification,

b) lutter contre l'effet de serre et le réchauffement du climat mondial (qu'on soupçonne d'être à l'origine de l'avancée du Sahara),

c) à la diversité biologique.

 

En espérant, que tous mes textes, sur la question de déforestation, vous auront intéressés.

 

Bien entendu, je suis très intéressé par toutes informations ce que tout lecteur de ce document, pourrez m'apporter, pour le compléter, sur les problèmes de déforestation, dans le monde, et leurs solutions. ».

 

2         Introduction

 

Le phénomène de déforestation touche toute notre planète et pas uniquement dans les pays pauvres (mais aussi dans des pays développés comme les USA, l’Australie _ et même la France … à une très petite échelle). 

 

Cela touche des pays et régions aussi divers que : le Mexique (Yucatan), la Chine (le Tibet, … et partout en Chine),  « Afrique Noire » (centrale, tropicale, des Grands Lacs) _ Malawi, Tanzanie, Ouganda, Congo, Madagascar, Ethiopie … _, « Afrique blanche » _ Soudan, Maroc, Algérie .. _, Asie : Indonésie, Philippines, Malaysie, Bornéo, Nouvelle-Guinée, Cambodge, Thaïlande, Océanie : Australie, …, Amériques : USA, Haïti, Hondura, Costa-Rica, Brésil (Amazone), Bolivie … etc …

 

Selon certains chercheurs ([x]), conjointement avec l’augmentation de la consommation des énergies fossiles et à la production croissante de gaz à effet de serre (dont le CO2), il pourrait avoir des conséquences notables sur l’avenir de l’humanité et de la planète :

 

·        en renforçant l’augmentation du taux de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, en raison de la disparition des puits de carbone que constituent les forêts dont les grands forêts tropicales,

·        en participant aux mécanismes de réchauffement de la planète,

·        en participant aux mécanismes de désertifications et de sécheresses planétaires.

 

1) Le point de vue optimiste « libéral » :

 

            Selon le point de vue optimiste, en particulier des tenants de l’économies libérales, dont les USA (une des raisons avancées par les USA pour ne pas ratifier le protocole de Kyoto), le dynamisme du capitalisme, allié au dynamisme de la science, ferait que, même si la société se mettait dans une mauvaise passe et provoquait une catastrophe  écologique, humanitaire … , celle-ci aurait toujours les capacités  de se remettre d’aplomb, grâce à son inventivité et ses motivations (dont le profit est une composante importante).

Dans ce sens, on donnera par exemple, le cas du déboisement forestier intensif des Rocheuses, aux USAs, dans les années 30, conduisant à de graves érosions des sols, à l’augmentation des crues. Jusqu’à ce que le gouvernement et les exploitant soient plus conscient d’avoir à renouveler la ressource, et donc d’être plus précautionneux et modérés, dans leurs prélèvements (avec une conséquence, une plus grande préoccupation pour la préservation de la nature) (1).

« Le libéral » pourra avancer l’exemple de la non vérification des prédictions pessimistes du Club de Rome («Les limites du développement» de Dennis Meadows du Club de Romme en 1972, http://www.clubofrome.org/) qui prédisait la fin du pétrole en 1990, alors que depuis on a trouvé de nouveaux gisement de pétrole. Et donc pas extrapolation, ils étendent leur scepticisme à tout les « prophètes écologistes » prédisant les malheurs écologiques à venir (http://www.gouroumarco.com/html/actuel24.Apocalypse%20To-Morrow.html ).

 

(1) Comment la recherche du profit améliore la qualité de l'environnement,
Pierre Desrochers, 2003, Les cahiers de l'Institut économique de Montréal, Collection Réglementation, 41p.

 

1) Le point de vue pessimiste écologique :

 

Les écologistes disent le contraire, qu’à force de trop vouloir croire la planète comme une source de richesses illimitées, on risque de l’épuiser, de la détruire. « On ne pourra pas toujours s’en sortir ». Les systèmes écologiques sont fragiles et il peuvent ne pas se rétablir.

 

« [Contrairement à ce qu’affirment les tenants des thèses libérales] l'épuisement des ressources et la pollution sont rentables pourvu que les coûts soient assumés par d'autres que celui qui tire les richesses. Les indicateurs partiels, tels que la consommation sectorielle, ne permettent pas d'évaluer l'évolution globale du monde.

Avec des indicateurs pertinents au point de vue écologique, qu'ils soient issus de la Banque Mondiale ou du PNUE, les affirmations [des tenants des thèses libérales] sont unanimement contredites. » Fabrice Flipo, Ingénieur & Philosophe (http://fabrice.flipo.free.fr ).

Source : http://www.vertigo.uqam.ca/vol4no1/j_ai_lu/j_ai_lu.html

 

Nous allons examiner l’état des lieux de la déforestation et voire qu’il a lieu de se rassurer ou de s’alarmer.

 

Il y a énormément de documentation alarmistes, dans le monde, sur la déforestation, et un peu moins pour la reforestation. Il faut savoir lire entre les lignes surtout si les documents sont des documents étatiques ventant leurs efforts en reforestation.

 

 

Source : http://www.greenpeace.fr/campagnes/forets/index.php3

 

 

2.1      L’évolution globale actuelle  des forêts dans le monde

 

Dans le monde entier :

 

« Le modèle de déboisement, le reboisement et la dégradation de zone d'agriculture entre 1980 et 2000 est montré dans la Figure 1.4. Les occasions de nouvelles expansions de cultures diminuent dans beaucoup de régions du monde, car la plupart de la terre convenant à l'agriculture intensive a été convertie à la culture (C26. ES). La productivité agricole accrue  diminue aussi le besoin de l'expansion agricole. » page 57 [100].

 

Figure 1.4. Emplacements Annoncés par des Études Diverses comme le Fait de subir des Hauts Taux de Changement de Couverture de Terre depuis quelques Décennies Passées. (C.SDM) Dans le cas de changement de couverture de forêt, les études se réfèrent à la période 1980-2000 et sont basées sur la statistique nationale, avec une analyse à distance et à un avis limité des experts. Dans le cas de changement de couverture de terre résultant de la dégradation dans des zones arides (désertification), la période est non spécifiée, mais déduite pour être dans le dernier demi-siècle et l'étude principale était entièrement basée sur l'avis expert, avec des certitudes basses. Les changements dans les secteurs cultivés ne sont pas indiqués ici. page 70 [100].

 

 

Figure 1.2. La Conversion de Biomes Terrestres [ ...]. Il n'est pas possible d'estimer exactement la mesure de biomes différents avant l'impact significatif humain, mais il est possible de déterminer le secteur "potentiel" de biomes basés sur le sol et des conditions climatiques. Cette figure montre combien ce secteur potentiel est évalué pour avoir été converti à 1950 (certitude moyenne), combien a été converti entre 1950 et 1990 (certitude moyenne) et combien seraient converti sous les quatre scénarios de MA (lcertitude basse) entre 1990 et 2050. Mangroves ne sont pas inclus ici parce que le secteur était trop petit pour être exactement évalué. La plupart de la conversion de ces biomes s'oriente vers les systèmes cultivés.

 

Dans les pays du Nord

 

« Dans des zones tempérées et boréales, la couverture de forêt s’est accrue d’approximativement 2.9 millions d'hectares par an, dans les années 1990, dont approximativement 40 % était des plantations de forêt. Dans quelques cas, le taux de conversion de ces écosystèmes a apparemment ralenti parce que la plupart de ces derniers écosystèmes ont été maintenant convertis, comme c’est le cas des larges forêts de feuillus tempérées et des forêts méditerranéennes » Page 57 [100].

 

Dans les pays du Sud :

 

La dégradation de zones arides renforce les problèmes associés aux tempêtes de poussière Page 49 [100].

 

3         Les causes de déforestation

 

« Déboisement

 

 Le déboisement est une autre cause de désertification qui arrive généralement. Les forces agissantes derrière le déboisement sont agrandies par la disponibilité locale et globale(mondiale) de ressources. Tous les aspects de déboisement sont dans la corrélation directe à la diminution des grandes étendues d'arbres.

 

 Le premier aspect est la réduction d'arbres pour le bois de chauffage dans aride aux climats semi-arides. Dans la plupart de ces climats les températures de nuit peuvent s'étendre près du point de congélation ainsi il y a un besoin constant du bois aux feux de carburant. Avec des populations en croissance il y a une demande augmentante du bois de chauffage, particulièrement dans des pays en voie de développement, donc la réduction claire de forêts a lieu. Cela laisse la terre sans défense contre l'érosion et cause que des nappes d'eau montent. Les nappes d'eau montent parce que les racines des arbres ont conservé de l'eau profondément dans la raison(terre) et avec d'eux l'eau rend compacte le sol et laisse seulement les niveaux plus hauts dans le sol susceptible à l'absorption de l'eau.

 L'autre aspect de déboisement diminue des forêts pour faire l'espace pour la récolte en croissance ou le levage de troupeaux. Cela mène au sur-culture et surpâturage qui a été discuté susdit. 

 Le déboisement laisse la terre dans la condition presque le même comme le sur-culture et le surpâturage. De plus, une fois que le déboisement est arrivé il est très difficile d'essayer de ré grandir(ré cultiver,ré devenir) des arbres parce que la terre est devenue habitable à la plupart d'espèce de plante. 

 

 

Pauvre gestion d'eau

 La pauvre gestion d'eau est une cause de désertification qui est principalement affectée par les actions des gens. C'est un problème de désertification plus commun dans des secteurs semi-arides plutôt que dans des secteurs arides parce qu'il y a plus d'eau naturellement trouvée dans des secteurs semi-arides. Les aspects de pauvre gestion d'eau sont associés à l'utilisation d'eau ou l'affecte d'eau dans le rapport(connexion) avec la désertification. 

 Un aspect de pauvre gestion d'eau est l'enregistrement(exploitation des bois) d'eau de terre. Cela signifie qu'il y a plus d'eau dans le sol que peut être employé par la végétation ou des animaux qui vivent dans un secteur. Cela permet à l'eau de laver des substances nutritives de sol et le sel du sol ou dans quelques secteurs qu'il cause au contenu de sel du sol pour augmenter aux niveaux qui interdit la croissance. 

 L'aspect suivant de pauvre gestion d'eau est le drainage incorrect ou des drains(écoulements) inexactement alignés. Cela cause la désertification parce qu'il peut mener à l'enregistrement(exploitation des bois) d'eau de la terre ou la perte de n'importe quelle humidité dans le sol. Dans le cas de drains(écoulements) inexactement alignés il peut y avoir le suintement de sel dans le sol ou d'autres minéraux qui mènent à un déséquilibre dans le sol. Tous les deux de ces événements causent que la terre devient inhabitables par la végétation et des animaux et le laisse soumis à l'érosion.

Dans le cas de nappes d'eau, le sol devient compact et perd sa capacité d'absorber de l'eau, être cela par la pluie ou l'irrigation. Cette condition, était le sol perd sa capacité de conservation d'eau, est l'appel le sol imperméable.

 La pauvre gestion d'eau laisse d'habitude la terre avec l'eau petite ou aucune et le sol avec le haut contenu de sel. Ces conditions sont très pauvres pour la croissance de végétation qui signifie à son tour que la terre est ouverte pour l'érosion et est à un risque élevé de désertification.

 

 Le dernier aspect de pauvre gestion d'eau est l'utilisation incorrecte de provisions naturelles d'eau dans des secteurs semi-arides. Les provisions d'eau peuvent être complètement épuisées si l'utilisation humaine d'entre eux est plus que la nature peut remplir à nouveau. Les nappes d'eau peuvent être séchées si les puits sont employés à l'extrême ou des lacs et les rivières peuvent se sécher s'ils sont habitués à une mesure implacable. Dans le cas de lacs et des rivières, la terre n'est laissée avec le haut contenu de sel et absolument aucune protection de l'érosion de vent. De l'article Changeant de Sables, Magazine Géographique, Vol. 72 Question(publication) 4, p24

 Dans le cas de nappes d'eau, le sol devient compact et perd sa capacité d'absorber de l'eau, être cela par la pluie ou l'irrigation. Cette condition, était le sol perd sa capacité de conservation d'eau, est l'appel le sol imperméable.

 La pauvre gestion d'eau laisse d'habitude la terre avec l'eau petite ou aucune et le sol avec le haut contenu de sel. Ces conditions sont très pauvres pour la croissance de végétation qui signifie à son tour que la terre est ouverte pour l'érosion et est à un risque élevé de désertification. » (traduit de l’anglais de )

 

3.1      Les feux de forêt (involontaire, volontaires _ cultures sur brûli)

 

Brûlage du sous-bois dans une forêt tropicale humide brésilienne.

 

Le déboisement par coupe et brûlis, utilisée  pour "purifier la terre" (des parasites), produit du bioxyde de carbone. Le résultat est une concentration plus grande de bioxyde carbonique dans l'atmosphère de la terre. Beaucoup de scientifiques croient qu'elle contribue au réchauffement mondial.

Source : http://au.encarta.msn.com/media_461536221_761567022_-1_1/Slash_and_Burn_Deforestation_in_Brazil.html

3.2      l’exploitation du bois pour le feux, le chauffage et la cuisson,

 

 

3.3      la surexploitation forestière (de bois tropicaux …) dont les coupes claires de forêts primaires,

 

Les coupes claires (ou coupe à blanc) contribuent à l’appauvrissement de la biodiversité.

C’est un traumatisme réel pour les forêt.

Elles peuvent contribuer à l’érosion, pratiquées sur des fortes pentes.

 

 

Exemples de coupes claires (ou coupes à blanc).

3.4      l’exploitation des bois industriel dont les plantations monocultures d'arbres pour l’industrie papetière,

3.5      l'agriculture et l'élevage dont la surpâturage,

 

« L'expansion de la production de bétail souvent conduit, dans le monde entier, au surpâturage, à la dégradation des zones arides, à la fragmentation de pâturage, la perte d'habitat pour la faune et la flore, la formation de poussière, le piétinement des buissons, le déboisement, la surcharge nutritive du sol par les engrais et les émissions de gaz de serre. » page 78 [100].

 

La Sur-culture (sur-exploitation agricole) :

 

La sur-culture est un problème qui devient plus fréquent avec l'influence des demandes placées sur des fermiers et des moissonneuses par des économies locales et étrangères. Le sur-culture a beaucoup d'aspects différents dont tous sont associés à la croissance de champs(domaines) ou la récolte.

 

 Le premier de ces aspects est la croissance de grande récolte non-natale destinée pour des marchés européens ou Nord-américains. La récolte, étant le non-indigène, a un haut échec / taux de mortalité de croissance parce qu'ils ne peuvent pas être convenus pour produire dans aride aux secteurs semi-arides et peuvent exiger que plus de substances nutritives que soient dans le sol. 

 Ensuite est la croissance de récolte de monoculture, ceux-ci sont la récolte qui consiste en un type en plante. Ce type de récolte met une tension sur l'environnement naturel parce que dans la nature il y a la diversité, un manque de diversité mène à l'abus de substances nutritives de sol spécifiques aussi bien que l'abus de provisions d'eau souterraine. Ce tout mène à la croissance réduite ou la mort des plantes.  

 

Du site Web : www.iaea.or.at/worldatom/Press/News/Desertification.shtml

 

 Un autre aspect de sur-culture est le manque de rotations des cultures. Dans beaucoup de fermes dans le monde entier la récolte est plantée dans le même champ, année après année. Cela mène aux problèmes presque la même chose comme ceux causés par les monocultures qui mènent à la mort des plantes. 

 Le sur-culture dans presque tous les cas mènent à la mort de la récolte qui laisse la terre stérile avec de la protection et dans un état qui est le plus défavorable pour la repousse.

 

Surpâturage

 Surpâturage est considéré la cause la plus directe de désertification. Il est devenu une si grande cause de désertification à cause de la disponibilité réduite de terre dans le monde apparemment contractant. Tous les aspects du surpâturage sont rapprochés de troupeaux qui alimentent dans aride aux secteurs semi-arides.

 L'aspect principal du surpâturage est que les animaux étant inclus dans un secteur clôturé se nourrissent des herbes et d'autre flore à un point était il n'y a pas assez de végétation pour grandir en arrière ou il y a le sol absolument rien que stérile laissé.

 

Du site Web : www.unep.org/aeo/195.htm

 

les troupeaux qui sont eus tendance à par des gens ont aussi le luxe d'aucun prédateur naturel signifiant le nombre d'animaux augmente loin au-delà de la population qui ou pourrait naturellement arriver. Ces populations mangent la végétation et rendent compactes le sol. L'ayant du sol a rendu compact des moyens que cela devient vulnérable à l'érosion ou perd la capacité de soutenir la flore, sans parler de la vie animale. 

 Surpâturage déshabille typiquement la terre de n'importe quelle protection naturelle et laisse le sol très susceptible à l'érosion »

Source (de l’anglais traduit en français) : http://www.sackville.ednet.ns.ca/features/change/mcwilliams/desertification/causes2.html

3.6      les mauvaises techniques agricoles,

3.7      méconnaissances « du nouvel environnement hôte », par les « cultivateurs déplacés »

3.8      l'urbanisation, l’industrialisation, « l’auréolisation » des villes sur la forêt,

3.9      la construction de route,

3.10l'extraction minière, l’exploitation pétrolière,

3.11la construction de pipelines pétroliers et des gazoducs,

3.12l'agriculture de crevette (dans le cas de mangroves),

3.13la construction d’ énormes barrages hydroélectriques,

3.14Politique de propriété foncière et inégalités, dépossession de paysans et des indigènes, colonialisme foncier,

3.15le tourisme

 

 

Les causes du déboisement et les responsables

 

Au cours des dix ans après le Sommet de La terre, les gouvernements ont été absorbés dans une série de processus internationaux avec l'objectif déclaré d'assurer la conservation de forêt. Cependant ils seront capables de montrer des résultats petits ou aucuns concrets à la Réunion de Sommet de Johannesburg, pour la raison simple que les forêts ont continué à disparaître.

 

Dans le meilleur cas, quelques gouvernements - particulièrement européens - peuvent soutenir que leurs pays ont réussi à changer complètement le processus et qu'ils ont plus "de forêts" qu'auparavant. Cependant cela cache deux faits fondamentalement importants. D'une part, que l'extension de leur "le secteur boisé" se réfère en fait aux plantations d'arbre de monoculture qui ont peu de commun avec leurs forêts originales. D'autre part, il cache un fait même plus important : cette conservation de ses forêts a été réalisée à la charge des forêts d'autres pays, en particulier ceux du Sud.

 

En addition et celle-ci et les autres pays du Nord sont directement responsables des processus de déboisement sérieux qui ont eu lieu et continuent à avoir lieu au Sud, par l'imposition d'un modèle de développement qui a produit la pauvreté et la dégradation environnementale dans le par euphémisme appelé "des pays en voie de développement."

 

Nous doutons s'il y a un gouvernement qui peut sérieusement oser déclarer à Johannesburg qu'il n'a pas seulement conservé ses propres forêts, mais n'a pas aussi contribué à la perte de forêt dans d'autres pays. Même les pays comme la Chine et la Thaïlande, qui a décrété une prohibition contre l'abattage leurs forêts, sont maintenant clairement responsables de processus de déboisement dans des pays de tiers.

 

Pour comprendre les susdites déclarations il est nécessaire de comprendre les causes différentes de déboisement et la dégradation de forêt, qui peut être groupée dans des causes directes et sous-jacent (ou indirect) des causes. Les causes directes sont plus faciles de voir et sont ceux que, dans la plupart des cas(affaires), sont attribuées la responsabilité du déboisement. Cependant, en fait c'est les autres causes - les causes prétendues "sous-jacentes" - qui décide que les causes directes ont lieu.

 

Comme un exemple, de plus en plus, un grand nombre de paysans nets ou forêts de feu pour employer le sol pour récolte agricole et d'élevage. C'est une cause directe de déboisement. Cependant, la raison de paysans émigrant à la forêt est parce qu'ils n'ont pas de terre en leur place d'origine qu'ils peuvent cultiver et cela résulte d'une politique(police) injuste quant à la distribution de terre. C'est une cause sous-jacente. En outre, si les paysans viennent aux forêts il est parce que le gouvernement ou l'enregistrement(exploitation des bois) ou des sociétés d'extraction ont ouvert des routes. Ce - l'ouverture de routes - est une autre cause sous-jacente. Dans des nombreux cas, le gouvernement promeut la migration, visant à l'expansion de la frontière agricole pour augmenter des exportations. Cela a implicitement des causes diverses sous-jacentes : entre autres, le besoin de payer dette étrangère, politique imposée par établissements internationaux financiers, l'existence de marchés de consommateur dans pays riches.

 

Le moteur derrière les causes directes

 

Les causes les plus importantes directes de déboisement incluent la conversion de pays de forêt pour l'agriculture et l'élevage, l'urbanisation, la construction de route, exploitation des bois industriel, l'extraction, l’exploitation pétrolière, la construction de pipelines pétroliers et des gazoducs, l'agriculture de crevette (dans le cas de mangroves), des feux et la construction de barrages énormes hydroélectriques. Des plantations d'arbre de monoculture à grande échelle pour assurer l'industrie globale(mondiale) de papier de la matière première bon marché, sont aussi une cause directe de déboisement comme dans des nombreux cas ils ont été précédés en renvoyant(tirant) ou les coupes claires de forêts primaires.

 

Cependant, le moteur réel derrière toutes ces activités étant effectuées d'une façon non durable et prédatrice, est le modèle "de développement" actuellement dans la force. Ce modèle implique l'exploitation sans restriction de la totalité des ressources de la planète, avec le but d'alimenter un marché de consommateur toujours croissant, en particulier dans les pays industrialisés du Nord. L'inégalité en termes d'échange entre le Nord et le Sud qui a produit une augmentation et la dette impayable étrangère, l'obligation de plus en plus des ressources à être exploité et extrait, juste régler son service, a augmenté la dévastation. Le Fonds monétaire international, la Banque mondiale, des banques régionales multilatérales et l'Organisation Commerciale du Monde a été fondamental dans ce processus, promouvant et soutenant des gouvernements pour concentrer leurs efforts à la production d'Orient vers des exportations, avec le but d'observer le service étranger de dettes. En outre, des programmes d'ajustement structurels imposés par ces organismes ont impliqué que les États ont "contracté", avec la conséquence qu'il y a un manque de ressources humaines et financières au niveau D'état pour adresser la protection de forêt et la gestion durable.

 

Dans la plupart des cas(affaires), les causes cachées de déboisement et la dégradation de forêts sont rapprochées de stratégies macro-économiques offrant des motivations(primes) fortes d'obtenir des profits à court terme, au lieu du caractère durable recherchant à long terme. Des structures Profondément enracinées sociales sont aussi importantes, causant la propriété foncière inégale et la discrimination de peuples indigènes, de fermiers de subsistance et des pauvres gens en général. Dans d'autres cas(affaires), des facteurs politiques sont en jeu(sous la menace), comme le manque de démocratie participatory, l'influence militaire et l'exploitation de zones rurales par des élites urbaines.

 

Les forces derrière agriculture non durable

 

Selon le FAO, 90 pour cent de déboisement sont causés par des pratiques non durables agricoles, en enregistrant et la sylviculture de plantation joue un rôle plus grand dans la dégradation de forêt. Cependant discutable ces chiffres(figures) peuvent être, l'agriculture non durable est sans aucun doute une des causes principales directes de déboisement et la dégradation de forêt dans beaucoup de pays du monde. Une approche simpliste au problème impliquerait l'accusation "de l'ignorance" des fermiers impliqués dans ce processus. Le processus est cependant plus complexe. Peu de personnes décident en réalité qu'ils veulent laisser leur pays natal, allez à la forêt, coupez-le et convertissez-le dans la terre agricole. On les conduit à telles actions par des forces nationales et internationales avec des intérêts différents au leur.

 

Dans quelques pays, forêts agissent comme des soupapes de sûreté pour éviter des soulèvements sociaux, de façon suivante. La concentration de pouvoir(puissance) et la terre dans peu de mains aboutit aux grands groupes des gens dépossédés, qui peuvent mener à la confrontation. Pour éviter le conflit, on offre certains de ces gens la terre libre(gratuite) dans les forêts. L'accès aux forêts est rendu possible par des projets promus de gouvernement de route, ou bien construit pour ouvrir et "développer" les forêts ou bien résultant des activités commerciales d'enregistrement(exploitation des bois), l'extraction et la génération d'énergie. Dans le susdit exemple, il est clair que le déboisement peut avoir lieu seulement parce que quelque politique du gouvernement - social et économique - le promeut indirectement . Pendant que le pauvre peut faire fonctionner les tronçonneuses ou incendier la forêt, c'est surtout des gouvernements et les sociétés qui sont derrière telles actions.

 

Les conséquences d'une grande portée de globalisation

 

Les forêts sont aussi ouvertes pour l'agriculture moderne à grande échelle ou l'élevage a visé au marché d'exportation. Par exemple, les forêts ont été converties pour le bétail en Amérique Centrale, pour la production de haricot de soja au Brésil et pour la pâte à bois en Indonésie. Dans le premier cas, le processus produit dans le développement explosif d'une restauration rapide - le hamburger - le marché aux EU qui a exigé les quantités(sommes) énormes de qualité bas la viande bon marché qui pourrait être produite dans les pays voisins tropicaux. Le résultat était le déboisement répandu en Amérique Centrale. La production de viande Subventionnée et fortement intensive en Europe exige une provision toujours croissante de grains pour alimenter le bétail. Le haricot de soja est une des entrées principales pour une telle production et les énormes pièces de forêt ont été ouvertes au Brésil - et à beaucoup d'autres pays du Sud - pour assurer le caractère durable économique de ce secteur par la provision de grain bon marché. Une situation semblable arrive avec le papier : La croissance continue de consommation de papier, en particulier dans les hauts pays de revenu, dépend de la disponibilité de bois bon marché ou la pulpe pour alimenter les usines de papeterie. Les forêts sont ainsi purifiées en Indonésie - et beaucoup d'autres parties du monde - pour céder aux plantations d'eucalyptus visées fournissant ce marché avec les quantités croissantes de matière première bon marché. Dans les susdits cas(affaires), il est clair que la production de hamburgers aux EU, de viande en Europe et de papier dans des pays à revenus élevés est une cause contribuante de déboisement en Amérique Centrale, le Brésil et l'Indonésie.

 

Politique de propriété foncière et inégalités

 

L'Equateur offre un exemple qui s'applique non seulement à la plupart des autres pays Amazonian, mais aussi à beaucoup d'autres pays du Sud dans d'autres régions. Depuis les années 1970 il y a eu un grand afflux de fermiers dans l'Amazone équatorienne, un des secteurs de forêt les plus précieux dans le monde. La plupart de ces fermiers sont venus des Andes et les régions côtières du pays, où on leur a fait face avec le fait d'être sans terre, le chômage et la dégradation de terre. La migration a été fortement encouragée par le Gouvernement équatorien, avec une disposition pour des titres de terre s'ils pourraient prouver qu'ils le tournaient à la terre "utile". Demostrating c'était simple : à clearcut au moins 80 % de la forêt dans le secteur assigné. Donc, la cause réelle de ce processus épouvantable de déboisement peut être trouvée dans une série de politique gouvernementale et pas dans "l'ignorance" ou "la pauvreté" des fermiers qui ont migré à l'Amazone.

 

Consommation et modèles de production

 

La consommation et des modèles de production jouent un rôle clef dans le déboisement, comme ils sont la réponse à la question pourquoi beaucoup de pays, si pas la majorité, changé pour exporter des produits orientés. C'est rarement la production d'alimentation pour le pauvre qui cause le déboisement. Au contraire, les plus grands secteurs de forêts converties à d'autres utilisations sont actuellement consacrés à la production de récolte liquide. Ces produits, qui varient du café et le boeuf à la coca et le haricot de soja, sont dans des nombreux cas presque exclusivement produits pour des marchés d'exportation. L'Exportation a orienté la production est stimulé comme une voie de réparer la balance commerciale et l'équilibre d'altérations de paiement. Sous le libre-échange actuel a orienté l'idéologie, la solution standard d'établissements comme le Fonds monétaire international pour ces problèmes augmente des exportations, au lieu de la diminution d'importations.

 

Un problème global(mondial) avec beaucoup d'acteurs

 

Le déboisement et la dégradation de forêt arrivent, et dans des pays du Nord et du Sud et leurs causes sous-jacentes proviennent(sont originaires) aussi dans toute les deux, bien qu'avec les degrés variants de responsabilité. Des pays industrialisés n'ont pas seulement diminué ou n'ont pas dégradé leurs propres forêts dans le passé; beaucoup font toujours si aujourd'hui. Cela arrive ou bien par à grande échelle clair-coupant - comme dans beaucoup de secteurs du Canada, des EU ou bien l'Australie - ou par la simplification - et donc la dégradation - de forêts les réduisant à quelques-uns l'espèce commercialement de valeur à la charge de la diversité biologique - comme en Suède, la France ou la Finlande. En même temps, les problèmes résultant de l'industrialisation ont un impact fort dans la dégradation de forêt. Au Sud, quelques forêts est été clair-abattu - surtout pour l'agriculture non durable à vocation exportatrice, l'arbre et des plantations de paume pétrolier et le bétail - ou est dégradé suite à l'enregistrement(exploitation des bois) sélectif de l'espèce plus commerciale - comme l'acajou.

 

Quelques causes sous-jacentes proviennent(sont originaires) dans le pays - ou bien du Nord ou bien du Sud - tandis que d'autres peuvent être trouvés des frontières extérieures nationales. Dans cette situation dernière, la responsabilité principale se trouve d'habitude au Nord. La politique macro-économique imposée au Sud par quelques mécanismes peut aussi contribuer au déboisement. Un des résultats plus évidents d'une telle politique a été l'incorporation augmentante d'exportations agricoles du Sud aux marchés dans des pays du Nord, d'habitude à la charge des forêts. La même politique macro-économique a abouti à la concentration de richesse au Nord que, s'est accrochée avec des motivations(primes) fortes à la défense du consommateur, a créé les modèles de consommation non durables qui ont un impact fort en particulier - quoique non exclusivement - sur des forêts du Sud.

 

Des gouvernements du sud et des élites tiennent aussi la responsabilité des causes quelque peu plus profondes de déboisement. La politique du gouvernement sur les droits des peuples indigènes - en particulier ceux affectant des droits territoriaux - ont été la cause de beaucoup de déboisement qui ne serait pas arrivé si ces droits avaient été reconnus. La politique sur des droits de propriété foncière a en général abouti à la concentration des meilleurs pays agricoles dans quelques mains et la migration conséquente de pauvres paysans dans les forêts, aboutissant à l'abattage à grande échelle d'arbres. Dans la plupart des cas(affaires) la politique cependant du gouvernement est liée avec des acteurs externes comme des établissements multilatéraux, des agences "de coopération" et les sociétés transnationales qui doivent partager le blâme. On sait que construisant des routes d'accès est une des causes principales sous-jacentes de déboisement. La route ouvre alors la forêt aux bûcherons, des paysans sans terre, extrayant des sociétés et beaucoup d'autres acteurs, aboutissant au déboisement généralisé. De route est une des activités promues et financées(consolidées) par des établissements multilatéraux comme la Banque mondiale et d'autres banques régionales multilatérales et il permet aux gouvernements d'observer la politique du Fonds monétaire international pour augmenter des exportations. De route est aussi lié avec les intérêts des sociétés transnationales, comme ils peuvent ainsi avoir accès aux ressources naturelles et les incorporer dans le marché global(mondial).

 

Regard vers l'avenir

 

Le susdit est un résumé bref de certaines des causes de déboisement et la dégradation de forêt, prouvant que leur conservation n'est pas une question(publication) simplement "technique" de gestion de forêt appropriée. Les forêts ne disparaissent pas parce que les gens et leurs gouvernements sont ignorants ou parce qu'il n'y a aucun plan de gestion approprié. Les forêts disparaissent parce qu'une série de politique connectée nationale et internationale prépare la voie pour cela pour arriver. Donc, c'est à ce niveau que les solutions doivent être trouvées.

 

Actuellement, le modèle prédominant économique renforce les causes même plus loin - et direct et sous-jacent - qui est à la racine du problème, tandis que les acteurs ont impliqué - les gouvernements, des sociétés et des organisations multilatérales - continuent à induire en erreur l'opinion publique, l'assurant que l'on aborde le problème.

 

La voie d'éviter cette tromperie est d'informer que l'opinion publique même des causes réelles - et ceux responsables d'eux - de la perte de forêts, comme une voie de produire la pression sociale qui obligera ces acteurs à adopter les mesures nécessaires et au niveau national et international, assurer la conservation de forêt.

 

La réunion de sommet présente à Johannesburg est une occasion excellente de placer la question(publication) à l'ordre du jour et démasquer le discours faux d'entre ceux qui s'habillent dans environnemental vert, tandis que leur intérêt unique est le billet de banque vert des Etats-Unis.

 

Source : le bulletin de WRM'S N º 61, août 2002

 

Causes Sous-jacentes

 

Plus que Juste Pauvreté et Surpeuplement :

 

On croit la pauvreté et le surpeuplement pour être les causes principales de perte de forêt, selon les agences internationales comme le FAO et des corps intergouvernementaux. Ils croient qu'ils peuvent résoudre le problème en encourageant le développement et essayant de réduire la croissance démographique. Cependant, le Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde et beaucoup d'autres organisations non gouvernementales tiennent le développement non restreint et les habitudes de consommation excessives de pays riches industrialisés directement responsables de la plupart de perte de forêt.

 

1 Développement et surconsommation : les Causes de Base

L'Appel de Cas d'urgence de Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde d'Exécuter pour les Forêts et Leurs Peuples affirme que "le déboisement est le résultat inévitable de la politique actuelle sociale et économique étant effectuée dans le développement de nom". C'est la poussée pour le développement qui provoque l'enregistrement(exploitation des bois) commercial, la récolte liquide, l'élevage de bétail, de grands barrages, des arrangements de colonisation, le dépossession de paysans et des indigènes et la promotion de tourisme.

Harrison Ngau, un membre d'une tribu indigène de Sarawak, la Malaisie et le gagnant de la Récompense(sentence) d'Environnement Goldman en 1990, a cela pour dire de pourquoi des forêts tropicales sont détruites :

Les racines du problème de déboisement et la perte de ressources sont placées dans les pays industrialisés, où la plupart de nos ressources, comme le bois de construction tropical se terminent. Les nations riches avec un quart de la population mondiale consomment quatre cinquième des ressources mondiales. C'est le jet loin la culture des pays industrialisés, maintenant faits de la publicité dans et obligatoire sur aux pays de Tiers-Monde qui mènent au jet du monde. Un progrès si prétendu mène à la destruction et le désespoir! [Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde]

 

2 Colonialisme :

 

Les forêts tropicales humides sont trouvées principalement dans les pays de Tiers-Monde, l'Australie et le Hawaii étant les seules exceptions. Tous ces pays ont les populations indigènes qui avaient leur propre système de gestion de terre et-ou la propriété en place pendant mille d'années avant l'intervention de colons de nations riches industrialisées. Les pouvoirs coloniaux (la Grande-Bretagne, la France, l'Espagne et le Portugal), pendant qu'exploitation des ressources de beaucoup de ces pays, essayés pour détruire les droits de peuples indigènes de rester sur leur terre. Le colonialisme tourné des économies précédemment autosuffisantes dans les zones d'agriculture exporte la production (Colchester et Lohmann). Ce processus continue aujourd'hui et la situation empire.

 

3 Exploitation par Pays Industrialisés :

 

Des pays riches ont été dévorants tant de leurs propres ressources qu'ils ne supportent plus leurs populations en croissance et de plus en plus, ils se tournent aux ressources des pays financièrement plus pauvres. "Vingt pour cent de la population mondiale emploient 80 % des ressources mondiales" (Orams et McQuire).

Actuellement, bien que beaucoup de gens indigènes revendiquent leur culture et droits, ils font face à l'opposition têtue, comme les gouvernements dans leurs propres pays ' adoptaient souvent le même syndrome de croissance que leurs voisins Occidentaux, avec l'accent en maximisation d'exportations, des revenus et l'exploitation de ressources pour le gain à court terme. La corruption dans le gouvernement, les pouvoirs militaires et économiques sont bien connus ' (Orams et McQuire).

Le problème est fait plus mauvais par le prix bas pour la plupart des exportations de Tiers-Monde sur le marché international. Les Etats-Unis ont été accusés de manipuler des prix pour des matières premières agricoles pour son propre avantage à la charge des pays tropicaux (WRR).

 

4 le Fardeau de Dettes :

 

Les gouvernements des pays financièrement plus pauvres estiment qu'ils doivent faire de l'argent pour récompenser leurs dettes énormes internationales. En les années 1970 et les années 80, ils ont emprunté les sommes énormes d'argent d'agences de développement dans des pays industrialisés pour améliorer leurs propres économies. Le plus luttent toujours pour faire des remboursements en raison des taux d'intérêt s'intensifiant (Orams et McQuire).

Depuis 1987, le flux de remboursements de dettes de pays de Tiers-Monde aux pays riches a excédé le flux d'argent d'aide allant aux pays de Tiers-Monde (RIC). Pauvre sens de pays contraint pour exploiter leurs ressources naturelles, incluant leurs forêts, en partie pour gagner change pour entretien de leurs dettes. Des organisations non gouvernementales dans des pays de Tiers-Monde ont pendant plusieurs d'années désigné qu'il n'y a aucune chance d'appauvrissement arrêtant et la destruction de nature sans une solution de la crise de dettes.

Par exemple, dans quelques pays dans le Sud-Est asiatique, la construction de routes pour l'enregistrement de(exploitation des bois) d'opérations a été financée(consolidée) par l'aide japonaise. Plus tard, les forêts ont été exploitées par des sociétés de bois de construction japonaises. Les sociétés de bois de construction ont fait les profits et les pays asiatiques "l'est de sud" ont été laissés l'argent du Japon dû pour la construction des routes (Orams et Maquire).

 

5 le Rôle de Pauvreté et Surpeuplement :

 

La pauvreté, tandis qu'indéniablement responsable de beaucoup des dégâts aux forêts tropicales humides, a en grande partie été provoquée par l'avidité des nations riches industrialisées et les élites de Tiers-Monde qui cherchent à les imiter. Le développement, que l'on voit souvent comme la solution de la pauvreté du monde, aide rarement ceux dont le besoin est le plus grand. C'est souvent la cause plutôt que le remède pour la pauvreté.

La revendication que le surpeuplement est la cause de déboisement est employée par beaucoup de gouvernements et des agences d'aide comme une excuse pour l'inaction. Dans des pays tropicaux, la pression du règlement humain arrive plus de la distribution de terre injuste cela de la pression de population. En général, la plupart de la terre appartient à une élite petite mais puissante qui déplace de pauvres fermiers dans des secteurs de forêt tropicale humide. Tant que ces élites maintiennent(entretiennent) leur poigne(prise) sur le pouvoir(puissance), la réforme agraire durable sera difficile de réaliser.

Le surpeuplement n'est pas un problème exclusif aux pays de Tiers-Monde. Un individu dans un pays industrialisé va probable consommer dans l'ordre de soixante fois autant des ressources mondiales qu'une personne dans un pauvre pays. Les populations en croissance dans des nations riches industrialisées sont donc responsables de beaucoup de l'exploitation de la terre et il y a une liaison claire entre l'overconsumption dans des pays riches et le déboisement dans les forêts tropicales.

Source : http://www.savetherainforest.org/savetherainforest_015.htm

 

 

1. Causes Immédiates

 

 

2. Causes Sous-jacentes

 

Développement et surconsommation : la Cause de Base

 

Colonialisme

 

Exploitation par Pays Industrialisés

 

Le Fardeau de Dettes

 

Le Rôle de Pauvreté et Surpeuplement

 

3. Information Complémentaire

 

Pour plus sur les causes de destruction de forêt tropicale humide, liez-vous avec le Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde

 

"Le Déboisement, autrement dit, est une expression d'injustice sociale"

-Marcus Colchester

 

Selon le Professeur le Normand Myers, une des autorités principales sur les taux de déboisement dans des forêts tropicales, "le taux de destruction annuel semble le mis pour accélérer encore plus loin et pourrait bien doubler autre décennie" (Myers 1992).

Comme Myers signale, "nous avons toujours la moitié de toutes les forêts tropicales qui ont jamais existé". La lutte pour sauver(économiser) les forêts tropicales humides mondiales continue et il y a une croissance dans le monde entier concernent de la question(publication). Pour sauver(économiser) des forêts tropicales humides, nous devons savoir pourquoi ils sont détruits.

 

Personne ne sait exactement combien des forêts tropicales humides mondiales ont déjà été détruit et continuent à être rasé chaque année. Les données sont souvent imprécises et soumises aux interprétations différantes. Cependant, il est évident que le secteur de forêt tropicale humide diminue et le taux de destruction de forêt tropicale humide s'intensifie dans le monde entier, malgré l'activisme accru environnemental et la conscience. Une étude 1992 par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a placé le taux global(mondial) de déboisement tropical à 17 millions ha. Par an. Une étude par l'Institut de Ressources du Monde (WRI) suggère que la figure(chiffre) puisse être aussi haute que 20.4 million ha. Par an.

 

1. Causes Immédiates

 

Les causes immédiates de destruction de forêt tropicale humide sont claires. Les causes principales de dégagement(autorisation) total sont l'agriculture et dans des secteurs de sécheuse, ramassage du bois de chauffage. La cause principale de dégradation de forêt enregistre. Extrayant, le développement industriel et de grands barrages a aussi un impact sérieux. Le tourisme devient une plus grande menace aux forêts.

 

1.1 Exploitation des bois

 

Des sociétés d'exploitation des bois commerciales diminuent les arbres mûrs qui ont été choisis pour leur bois de construction. Le commerce de bois de construction se défend en disant que cette méthode d'enregistrement(exploitation des bois) 'sélectif' assure que la forêt regrandit naturellement et à temps, est de nouveau prête pour leurs pratiques d'enregistrement(exploitation des bois) 'de coffre-fort' (WWF).

Dans la plupart des cas(affaires), c'est faux dû à la nature de forêts tropicales humides et d'enregistrer des pratiques.

 

Les grands secteurs de forêt tropicale humide sont détruits pour enlever seulement quelques rondins. La machinerie lourde a eu l'habitude de pénétrer dans les forêts et construire des routes cause des dégâts vastes. Les arbres sont abattus et le sol est rendu compact par la machinerie lourde, diminuant la chance de la forêt pour la régénération.

 

L'abattage d'un arbre 'choisi', démolissez avec cela des grimpeurs, des vignes, epiphytes et des lianes. Un grand trou est laissé dans l'auvent et la régénération complète prend des centaines d'années.

 

L'enlèvement d'un arbre abattu de la forêt cause la même nouvelle destruction, particulièrement quand il est effectué négligemment. On croit que dans beaucoup de pays Est asiatiques du Sud ' entre 45-74 % d'arbres restant après que l'enregistrement(exploitation des bois) a été considérablement endommagé ou détruit ' (WWF).

 

Les traces faites par la machinerie lourde et les dégagements(clearings) laissés derrière par des bûcherons sont les sites de perturbation de sol extrême qui commence à éroder dans la pluie lourde. Cela cause siltation des forêts, des rivières et des flots. Les vies et les systèmes d'appui de vie des gens indigènes sont perturbés comme est l'habitat de centaines d'oiseaux et des animaux.

 

Peu si n'importe quel enregistrement(exploitation des bois) industriel de forêts tropicales est durable. L'Organisation de Bois de construction Internationale Tropicale (ITTO), le corps établi pour régler le commerce international dans le bois de construction tropical, trouvé en 1988 que la quantité(somme) d'enregistrement(exploitation des bois) durable était "à une échelle du monde, négligeable".

 

"L'enregistrement de(exploitation des bois) de routes est employé par des fermiers sans terre pour gagner l'accès aux secteurs de forêt tropicale humide. Pour cette raison, l'enregistrement(exploitation des bois) commercial est considéré par beaucoup pour être l'agent simple le plus grand de déboisement tropical"

 

Sauf son impact direct, enregistrant des jeux(pièces) un rôle principal dans le déboisement par la construction(bâtiment) des routes qui sont par la suite employés par des fermiers sans terre pour gagner l'accès aux secteurs de forêt tropicale humide. Ces personnes déplacées purifient alors la forêt en tranchant(réduisant) et brûlant pour cultiver assez d'alimentation pour les tenir et leurs familles vivantes, une pratique qui est appelé l'agriculture de subsistance. Ce problème est si répandu que Robert Repetto de l'Institut de Ressources du Monde classe l'enregistrement(exploitation des bois) commercial comme l'agent le plus grand de déboisement tropical. Cette vue a été soutenue par le Dans le monde entier Fonds pour l'étude de 1996 de la Nature, la Mauvaise Moisson ?, qui a examiné la connection des forêts mondiales tropicales.

 

La plupart du bois de construction de forêt tropicale humide sur le marché international est exporté aux pays riches. Là, il est vendu pendant des centaines de temps le prix qui est payé aux gens indigènes dont les forêts ont été pillées. Le bois de construction est employé dans la construction de portes, des châssis de fenêtre, des caisses, des cercueils, des meubles, des feuilles(draps) de contre-plaqué, des baguettes à manger chinoises, des ustensiles du ménage et d'autres articles.

 

Solutions : Pour tous les buts pour lesquels le bois de construction tropical est employé, d'autres bois ou des matériels pourraient être substitués.

 

Nous pouvons arrêter d'employer le bois de construction tropical et recommander vivement à d'autres de faire le même. Tant qu'il y a un marché pour des bois de construction tropicaux, les arbres continueront à être diminués. Étiquetant des arrangements, visés les consommateurs d'aide à ont choisi des bois de construction environnementaux amicaux, sont actuellement discutés dans beaucoup de pays.

 

Notez : le Centre d'Information de Forêt tropicale humide fournit l'information aux consommateurs souhaitant pour éviter tropical et autre des bois de construction environnementalement destructeurs. Regardez le Bon Guide En bois sur notre site Web, http://rainforestinfo.org.au.

 

1.2 Agriculture - Cultivateurs déplacés

 

' Les cultivateurs Changés sont le terme employé pour les gens qui se sont déplacés dans des secteurs de forêt tropicale humide et ont établi des opérations d'agriculture à petite échelle. Ceux-ci sont les paysans sans terre qui ont suivi des routes dans des secteurs de forêt tropicale humide déjà endommagés. Les dégâts complémentaires qu'ils causent sont vastes. Les cultivateurs Changés sont actuellement blâmés de 60 % de perte de forêt tropicale (Colchester et Lohmann).

 

La raison ces gens sont mentionnés comme des cultivateurs 'changés' est que la plupart d'entre eux les gens ont été forcés de leur propre terre. Par exemple, au Guatémala, la terre de forêt tropicale humide a été purifiée pour le café et des cannaies. Les gens indigènes ont fait voler leur terre par le gouvernement et des sociétés. Ils sont devenus ' les cultivateurs changés, se déplaçant dans les secteurs de forêt tropicale humide ils n'avaient aucune connaissance précédente pour se supporter et leurs familles (Colchester et Lohmann).

 

L'agriculture à grande échelle, l'enregistrement(exploitation des bois), des barrages hydroélectriques, l'extraction et le développement industriel est tout responsable du dispossession de pauvres fermiers.

 

"Une des forces primaires poussant des migrants sans terre dans les forêts est la distribution injuste de terre agricole" (WRI 1992, Colchester et Lohmann). Au Brésil, approximativement 42 % de terre cultivée appartient à un simple 1 % de la population. Des paysans sans terre composent la moitié de la population du Brésil (WRM).

 

Une fois déplacé, le mouvement de ' les cultivateurs changés dans secteurs de forêt, souvent avec l'encouragement de leur gouvernement. Au Brésil, un slogan a été développé pour aider persuader les gens de se déplacer dans les forêts. Il a lu "la Terre sans hommes pour des hommes sans terre" (WRM).

 

Dans quelque temps, ces fermiers rencontrent les mêmes problèmes que les cultivateurs de récolte liquides. Le sol ne reste pas fertile pendant longtemps. Ils sont forcés de déplacer sur, en changer de nouveau, allant plus loin dans la forêt tropicale humide et détruisant de plus en plus.

 

Il est évident que les cultivateurs changés "sont devenus les agents pour la destruction, mais pas la cause" (Westoby 1987 : Colchester). Les cultivateurs Changés ne se déplacent pas dans les secteurs primitifs de forêts tropicales humides calmes. Ils suivent des routes faites principalement pour l'enregistrement de(exploitation des bois) d'opérations. "Les cultivateurs Changés sont souvent employés par l'industrie de bois de construction comme des boucs émissaires" (Orams et McQuire). Encore l'enregistrement de(exploitation des bois) de routes mène à un estimé 90 % de la destruction causée par les fermiers se tranchant se-et-brûlant(réduisant se-et-brûlant) (Martin 1991 : Colchester).

 

Solutions : la Réforme agraire est essentielle si ce problème doit être adressé. Cependant, selon Colchester et Lohmann, "un changement supportant de pouvoir(puissance) en faveur des paysans" est aussi nécessaire pour telles réformes pour supporter (Colchester &Lohmann).

 

1.3 Agriculture - Récolte pour l’alimentation et Élevage de Bétail

 

Des secteurs de forêt tropicale humide calmes et enregistrés sont totalement purifiés pour fournir la terre pour la récolte d'alimentation, des plantations d'arbre ou pour le frôlement de(pâturage) du bétail (Colchester et Lohmann). Beaucoup de ces produits alimentaires sont exportés aux pays riches industrialisés et dans des nombreux cas, la récolte est cultivée pour l'exportation tandis que le populace local va affamé.

 

En raison de la nature délicate de sol de forêt tropicale humide et la nature destructive de jour présent des pratiques agricoles, la productivité de récolte liquide cultivée sur des sols de forêt tropicale humide baissent rapidement après quelques années.

 

Des plantations de monoculture - ceux que les produits alimentaires seulement une espèce d'arbre ou un type d'alimentation - sur le sol de forêt tropicale humide sont les exemples d'agriculture non-durable.

 

Ils sont mentionnés comme la récolte liquide parce que la raison principale de leur plantation est de faire de l'argent rapidement, avec le petit souci(entreprise) des dégâts environnementaux qu'ils causent.

 

La machinerie moderne, fertilisers et des pesticides est employée pour maximiser des profits. La terre est cultivée intensivement. Dans des nombreux cas, le bétail endommage la terre à tel point que c'est inutile aux propriétaires d'un ranch de bétail désormais et ils déplacent sur, détruisant de plus en plus la forêt tropicale humide. Non seulement ont les forêts été détruit mais la terre est exploitée, déshabillée de substances nutritives et laissée(gauche) stérile, ne supportant personne.

 

Solutions : "la réduction de la demande de la récolte d'agrobusiness du Sud-produite et le soulagement de la pression de projets de développement extérieurement financés et l'aide est l'élément essentiel d'abord marchent" (Colchester et Lohmann).

 

1.4 Bois de chauffage

 

Les évaluations d'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture Unies Nationales que ' 1.5 milliard des 2 milliards de personnes dans le monde entier qui comptent sur fuelwood pour la cuisine et le chauffage sont les forêts overcutting. Ce problème est le plus mauvais dans les régions de sécheuse des tropiques. Les solutions impliqueront probablement un retour aux habitants du lieu ' le contrôle des forêts dont ils dépendent.

 

1.5 Grands Barrages

 

En Inde et l'Amérique du Sud, des centaines de milliers des hectares de forêts ont été détruites par la construction(bâtiment) de barrages hydro-électriques. C'était la vue dominante que de nouveaux barrages ont dû être construits ou autrement ces pays subiraient une crise de l'énergie. Cependant, une étude récente par la Banque mondiale au Brésil a montré que ' la capacité de production suffisante existe déjà pour satisfaire la hausse attendue de la demande du pouvoir(puissance) sur le terme moyen, à condition que l'énergie soit employée plus efficacement ' (WRM).

 

La construction de barrages non seulement détruit la forêt, mais déracine souvent des dizaines de milliers des gens, détruisant, et leur terre et leur culture. Les taux de maladies flottantes augmentent rapidement. Des écosystèmes aval sont endommagés par les barrages qui prennent au piège la vase, retenant des substances nutritives de valeur. La vase Réduite mène à l'érosion côtière. Le poids extra-fin d'eau dans des barrages a au Chili, le Zimbabwe et la Grèce a mené aux tremblements de terre. L'irrigation et des projets industriels actionnés par des barrages mènent aux nouveaux dégâts environnementaux. L'irrigation mène à salination de sols et l'industrie mène à la pollution.

 

Solutions : les organisations d'aide comme la Banque mondiale ont traditionnellement favorisé l'irrigation spectaculaire à grande échelle et des projets hydro-électriques. Dans tous les cas(affaires) quand on propose tels projets, il y a eu l'opposition massive d'habitants du lieu. La réforme de la Banque mondiale et d'autres telles organisations et l'appui pour des campagnes contre des barrages à grande échelle est nécessaire.

 

1.6 Extraction et Industrie

 

L'extraction et le développement industriel mène pour adresser(diriger) la perte de forêt en raison du dégagement(clearing) de terre pour établir des projets. Les gens indigènes sont déplacés. Les routes sont construites par précédemment la terre inaccessible, ouvrant la forêt tropicale humide. L'eau sévère, l'air et la pollution de terre arrivent d'extraire et l'industrie.

 

Solutions : des campagnes locales contre l'extraction et le développement industriel et les campagnes pour reformer les grandes agences d'aide que financent(consolident) tels arrangements, doivent être soutenues.

 

1.7 Arrangements de Colonisation

 

Les gouvernements et des agences d'aide internationales ont pour peu de temps cru qu'en encourageant la colonisation et des arrangements de transmigration dans des secteurs de forêt tropicale humide, ils pourraient soulager quelque chose de la pauvreté sentie par les gens des pays financièrement plus pauvres. Il est depuis devenu de plus en plus évident que tels arrangements ont échoué, endommageant les gens indigènes et l'environnement (Colchester et Lohmann).

 

Ces arrangements impliquent la relocalisation de millions des gens dans des secteurs à faible densité et boisés. En Indonésie, on croit le Programme Transmigrasi, commencé en 1974, être ' la cause la plus grande de perte de forêt en Indonésie ', causant directement une moyenne la perte annuelle de 200,000 hectares (Colchester et Lohmann).

 

Les gens déménagés ont subi les mêmes problèmes que ' les cultivateurs changés. Le sol n'est pas assez fertile pour être capable de les supporter pendant longtemps.

 

Même après que tels projets ont officiellement fini, le flux de ' les cultivateurs changés continue comme les restes de secteur ouverts. "Les évaluations de Banque mondiale que pour chaque colon aient déménagé sous le projet de transmigration officiel, deux ou plus officieusement mouvement dans la forêt en raison de l'effet de dessin du programme" (Colchester et Lohmann).

 

1.8 Tourisme

 

La création de parcs nationaux a sans aucun doute aidé à protéger des forêts tropicales humides. Encore, comme des parcs nationaux sont ouverts au public, le tourisme endommage certains de ces secteurs.

 

Souvent, des parcs nationaux sont faits de la publicité aux touristes avant que des plans de gestion adéquats n'aient été développés et mis en oeuvre. Le financement(consolidation) inadéquat est alloué(réparti) pour la conservation de forêts par des départements du gouvernement. Les gouvernements voient le tourisme comme une façon facile de faire de l'argent et donc le tourisme est encouragé pendant que l'on donne encore moins d'appui du gouvernement aux stratégies de gestion strictes.

 

Ecotourism, ou le tourisme respectueux de l'environnement, doit instruire les touristes être environnementalement conscient. Il doit aussi avoir d'impact bas à son environnement. Malheureusement, beaucoup de sociétés et recours(stations estivales) qui font de la publicité pour eux comme des établissements eco-des touristes exploitent en fait l'environnement pour le bénéfice.

 

Dans le Tourment de Cap, l'Australie, par exemple, le tourisme excessif menace la forêt tropicale humide. Le dégagement(clearing) pour des routes et la pollution de voies navigables est deux des problèmes principaux dans ce secteur. L'Autorité de Gestion de Tropiques Humide qui surveille le Secteur d'Héritage de Monde entourant promeut le tourisme au secteur avant que n'importe quels plans de gestion n'aient été formulés, avant que n'importe quelle stratégie de gestion efficace superflue n'ait été inventée et avant que n'importe quelles alternatives de pouvoir(puissance) ecofriendly aient été entièrement explorées.

 

Solutions : les droits d'habitants de forêt indigènes et d'autres qui dépendent de forêts intactes doivent être soutenus. Dans des cas où il y a des campagnes s'opposant aux événements spécifiques des touristes, ils doivent être soutenus. Ecotourism véritable doit être préféré à d'autres entreprises des touristes.

 

2. Causes Sous-jacentes

 

Plus que Juste Pauvreté et Surpeuplement

 

On croit la pauvreté et le surpeuplement pour être les causes principales de perte de forêt, selon les agences internationales comme le FAO et des corps intergouvernementaux. Ils croient qu'ils peuvent résoudre le problème en encourageant le développement et essayant de réduire la croissance démographique. Cependant, le Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde et beaucoup d'autres organisations non gouvernementales tiennent le développement non restreint et les habitudes de consommation excessives de pays riches industrialisés directement responsables de la plupart de perte de forêt.

 

2.1 Développement et surconsommation : les Causes de Base

 

L'Appel de Cas d'urgence de Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde d'Exécuter pour les Forêts et Leurs Peuples affirme que "le déboisement est le résultat inévitable de la politique actuelle sociale et économique étant effectuée dans le développement de nom". C'est la poussée pour le développement qui provoque l'enregistrement(exploitation des bois) commercial, la récolte liquide, l'élevage de bétail, de grands barrages, des arrangements de colonisation, le dispossession de paysans et les gens indigènes et la promotion de tourisme.

 

Harrison Ngau, un membre d'une tribu indigène de Sarawak, la Malaisie et le gagnant de la Récompense(sentence) d'Environnement Goldman en 1990, a cela pour dire de pourquoi des forêts tropicales sont détruites :

 

Les racines du problème de déboisement et la perte de ressources sont placées dans les pays industrialisés, où la plupart de nos ressources, comme le bois de construction tropical se terminent. Les nations riches avec un quart de la population mondiale consomment quatre cinquième des ressources mondiales. C'est le jet loin la culture des pays industrialisés, maintenant faits de la publicité dans et obligatoire sur aux pays de Tiers-Monde qui mènent au jet du monde. Un progrès si prétendu mène à la destruction et le désespoir! [Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde]

 

2.2 Colonialisme

 

Les forêts tropicales humides sont trouvées principalement dans les pays de Tiers-Monde, l'Australie et le Hawaii étant les seules exceptions. Tous ces pays ont les populations indigènes qui avaient leur propre système de gestion de terre et-ou la propriété en place pendant mille d'années avant l'intervention de colons de nations riches industrialisées. Les pouvoirs coloniaux (la Grande-Bretagne, la France, l'Espagne et le Portugal), pendant qu'exploitation des ressources de beaucoup de ces pays, essayés pour détruire les droits de peuples indigènes de rester sur leur terre. Le colonialisme tourné des économies précédemment autosuffisantes dans les zones d'agriculture exporte la production (Colchester et Lohmann). Ce processus continue aujourd'hui et la situation empire.

 

2.3 Exploitation par Pays Industrialisés

 

Des pays riches ont été dévorants tant de leurs propres ressources qu'ils ne supportent plus leurs populations en croissance et de plus en plus, ils se tournent aux ressources des pays financièrement plus pauvres. "Vingt pour cent de la population mondiale emploient 80 % des ressources mondiales" (Orams et McQuire).

 

Actuellement, bien que beaucoup de gens indigènes revendiquent leur culture et droits, ils font face à l'opposition têtue, comme les gouvernements dans leurs propres pays ' adoptaient souvent le même syndrome de croissance que leurs voisins Occidentaux, avec l'accent en maximisation d'exportations, des revenus et l'exploitation de ressources pour le gain à court terme. La corruption dans le gouvernement, les pouvoirs militaires et économiques sont bien connus ' (Orams et McQuire).

 

Le problème est fait plus mauvais par le prix bas pour la plupart des exportations de Tiers-Monde sur le marché international. Les Etats-Unis ont été accusés de manipuler des prix pour des matières premières agricoles pour son propre avantage à la charge des pays tropicaux (WRR).

 

2.4 Le Fardeau de Dettes

 

Les gouvernements des pays financièrement plus pauvres estiment qu'ils doivent faire de l'argent pour récompenser leurs dettes énormes internationales. En les années 1970 et les années 80, ils ont emprunté les sommes énormes d'argent d'agences de développement dans des pays industrialisés pour améliorer leurs propres économies. Le plus luttent toujours pour faire des remboursements en raison des taux d'intérêt s'intensifiant (Orams et McQuire).

 

Depuis 1987, le flux de remboursements de dettes de pays de Tiers-Monde aux pays riches a excédé le flux d'argent d'aide allant aux pays de Tiers-Monde (RIC). Pauvre sens de pays contraint pour exploiter leurs ressources naturelles, incluant leurs forêts, en partie pour gagner change pour entretien de leurs dettes. Des organisations non gouvernementales dans des pays de Tiers-Monde ont pendant plusieurs d'années désigné qu'il n'y a aucune chance d'appauvrissement arrêtant et la destruction de nature sans une solution de la crise de dettes.

 

Par exemple, dans quelques pays dans le Sud-Est asiatique, la construction de routes pour l'enregistrement de(exploitation des bois) d'opérations a été financée(consolidée) par l'aide japonaise. Plus tard, les forêts ont été exploitées par des sociétés de bois de construction japonaises. Les sociétés de bois de construction ont fait les profits et les pays asiatiques "l'est de sud" ont été laissés l'argent du Japon dû pour la construction des routes (Orams et Maquire).

 

2.5 Le Rôle de Pauvreté et Surpeuplement

 

La pauvreté, tandis qu'indéniablement responsable de beaucoup des dégâts aux forêts tropicales humides, a en grande partie été provoquée par l'avidité des nations riches industrialisées et les élites de Tiers-Monde qui cherchent à les imiter. Le développement, que l'on voit souvent comme la solution de la pauvreté du monde, aide rarement ceux dont le besoin est le plus grand. C'est souvent la cause plutôt que le remède pour la pauvreté.

 

La revendication que le surpeuplement est la cause de déboisement est employée par beaucoup de gouvernements et des agences d'aide comme une excuse pour l'inaction. Dans des pays tropicaux, la pression du règlement humain arrive plus de la distribution de terre injuste cela de la pression de population. En général, la plupart de la terre appartient à une élite petite mais puissante qui déplace de pauvres fermiers dans des secteurs de forêt tropicale humide. Tant que ces élites maintiennent(entretiennent) leur poigne(prise) sur le pouvoir(puissance), la réforme agraire durable sera difficile de réaliser.

 

Le surpeuplement n'est pas un problème exclusif aux pays de Tiers-Monde. Un individu dans un pays industrialisé va probable consommer dans l'ordre de soixante fois autant des ressources mondiales qu'une personne dans un pauvre pays. Les populations en croissance dans des nations riches industrialisées sont donc responsables de beaucoup de l'exploitation de la terre et il y a une liaison claire entre l'overconsumption dans des pays riches et le déboisement sous les tropiques.

 

http://www.rainforestinfo.org.au/background/causes.htm

 

Les Causes de Déboisement Tropical

John Revington

"Le Déboisement est le résultat inévitable de la politique actuelle sociale et économique étant effectuée au nom du développement." - d'un Appel de Secours d'Exécuter pour les Forêts et Leurs Peuples

 

En 1989, une pétition avec 3 millions de signatures a été présentée au Secrétaire général de Nations unies Perez de Cuellar, appelant à l'ONU à prendre des pas immédiats pour arrêter le déboisement. La campagne massive que mène à cet appel était basée sur une déclaration ayant droit à un Appel de Secours d'Exécuter pour les Forêts et Leurs Peuples. Cette déclaration a été faite par le Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde, une association de groupes de forêt tropicale humide internationaux. La déclaration inclut un résumé des causes de base de déboisement et cet article est basé sur ce résumé.

 

L'Appel de Secours d'Exécuter n'a pas été tenu compte et une Assemblée Générale n'a pas été tenue. Confronter les vraies causes de déboisement auraient exigé l'ONU et ses membres pour mettre en doute leurs très bases(fondations) et ils n'ont pas encore eu le courage. Au lieu de cela, les solutions supposées offertes ont été une expression du système de valeur qui a créé le problème en premier lieu.

 

Pression de Règlement Humain et Ses Causes

Beaucoup d'établissements de développement et politiciens considèrent la pression de population comme le facteur principal causant la destruction de forêt tropicale humide. Personne ne peut nier le problème sérieux global(mondial) de croissance démographique. Cependant, la croyance que c'est la cause principale de perte de forêt tropicale humide est employée par beaucoup de gouvernements et affaires pour impliquer qu'est là peu ou rien ils peuvent faire du problème de destruction de forêt tropicale humide.

 

Un examen de destruction de forêt sur une base régionale révèle que ce n'est pas ainsi. En fait c'est de grandes sociétés et les injustices de commerce international qui est les causes premières de destruction de forêt tropicale humide. Par exemple, des millions des hectares de forêts tropicales humides primaires sont détruits en Asie du Sud-Est en enregistrant et la force agissante dans cette industrie n'est pas la population locale, mais la demande internationale du bois de construction. Parce que les gens sans terre suivront des routes d'enregistrement(exploitation des bois) dans des secteurs de forêt tropicale humide primaires, c'est l'industrie d'enregistrement(exploitation des bois) qui est le facteur principal immédiat responsable de la colonisation de forêt tropicale humide.

 

En Amérique Centrale, 40 % de toutes les forêts tropicales humides a été purifié ou brûlé complètement en les 40 dernières années, surtout pour le pâturage de bétail pour alimenter le marché d'exportation (souvent pour des beefburgers AMÉRICAINS). Cette industrie particulièrement et la consolidation ininterrompue de propriété foncière en général, force le pauvre dans la forêt tropicale humide dans leur recherche de la terre. Des groupes d'environnement latins américains ont cité la distribution de terre biaisée comme le facteur le plus important irritant la conservation et l'utilisation durable de secteurs de forêt tropicale humide. Partout dans l'Asie du Sud-Est il y a les gens qui ont le même besoin désespéré de la terre. La réforme agraire ne prévoirait pas(pourvoirait) seulement les besoins des gens les plus pauvres dans ces pays, mais interromprait aussi la conversion des nouveaux secteurs de forêt tropicale humide primaire dans des pays non durables agricoles. Malgré cela, le problème de richesse et la distribution de ressource est toujours un sujet de tabou dans le contexte de discussions officielles sur la coopération de développement. Une étude critique des raisons pour le sur-exploitation d'écosystèmes tropicaux par des populations sans terre ou l'emploi révèle beaucoup de liaisons avec les intérêts économiques des pays industriels. L'exploitation économique de pays plus pauvres par les nations mondiales industrialisées souligne beaucoup du sur-exploitation d'écosystèmes tropicaux par des populations sans terre ou l'emploi. Cette compréhension(idée) doit devenir la base(fondation) pour la réforme de politique d'aide bilatérale et multilatérale et des pratiques appropriées commerciales du monde si les forêts tropicales humides doivent être sauvées(économisé). Cela signifiera parmi d'autres choses, traitant avec le problème de Dette de Tiers-Monde.

 

Le Fardeau de Dettes

Les nations du Tiers-Monde ont une dette collective plus de $US 1,300 milliard. En 1987, remboursements et charges d'intérêt atteintes $US 123.4 milliards. Cette année le Tiers-Monde a emprunté moins que cela récompensé, aboutissant à un flux net au Premier Monde de $US30 milliard. Le Tiers-Monde est été appauvri pour faire le riche plus riche. Dans beaucoup de pays un cercle vicieux a surgi : les prêts ont eu l'habitude de financer des projets environnementalement destructifs peut seulement être récompensé par la nouvelle exploitation de ressource destructive. Ainsi, la crise de dettes a renforcé la destruction environnementale dans le Tiers-Monde.

 

Les cinq pays avec les plus grands secteurs de forêt tropicale humide sont aussi parmi le mondial plus lourdement des pays endettés. De là ils sont maintenant sous la pression énorme pour couper et purifier des forêts tropicales humides pour financer des remboursements de dettes.

 

Des organisations nongouvernementales dans le Tiers-Monde désignaient à plusieurs reprises qu'il n'y a aucune chance pour arrêter cet appauvrissement et la destruction de nature sans une solution de la crise de dettes. Jusqu'ici, dans le monde entier les appels(attraits) d'organisations de conservation de nature, des groupes de droits de l'homme et des corps d'église pour une annulation massive de dettes ont échoué changer les attitudes de pays de créancier et des établissements.

 

Enregistrement(exploitation des bois) Commercial

L'enregistrement(exploitation des bois) commercial est la cause principale de destruction de forêt tropicale humide primaire en Asie du Sud-Est et l'Afrique. Dans le monde entier, c'est responsable de la destruction de 5 millions ha. Par an. L'enregistrement de(exploitation des bois) de routes permet aux gens sans terre d'entrer à la forêt. En Afrique, 75 % de terre étant purifiée par des fermiers de paysan est la terre qui a été précédemment enregistrée.

 

Le Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde signale que "pratiquement tous les pays de forêt tropicale humide sont gérés par et prévoient(pourvoient) des cultures locales" et que l'enregistrement(exploitation des bois) fait partie du paradigme de développement qui refuse de reconnaître cela. L'enregistrement(exploitation des bois) implique d'habitude le transfert de contrôle des forêts des habitants du lieu, qui ont un droit acquis dans leur conservation, à ceux qui sont intéressés seulement dans la destruction d'eux pour le bénéfice à court terme. Un tel disempowerment d'habitants du lieu est commun à beaucoup de destruction environnementale.

 

L'économie de récolte liquide est une partie intégrante de Tiers-Monde "le développement" et une cause principale de déboisement. La meilleure terre est prise pour gagner le revenu d'exportation, qui est tout trop souvent employé pour entretenir la dette étrangère. Les paysans sont forcés sur des pays marginaux, aboutissant au déboisement, la dégradation de terre et la pauvreté. Les secteurs vastes du Brésil et la Thaïlande en fournissent maintenant l'alimentation pour le bétail de l'Europe, beaucoup à la charge de la forêt tropicale humide. En Malaisie, plus de 3.5 millions ha. De forêt ont été purifié pour des plantations de paume en caoutchouc et pétrolières. Dans le monde entier, entre 1.2 et 5.5 millions ha. De forêt sont détruit annuellement pour cultiver et guérir du tabac.

 

Arrangements de Colonisation

En Indonésie, le programme transmigrasi purifie les secteurs énormes de forêt tropicale humide pour des plantations ou smallholdings. Les forêts tropicales humides sont invariablement non convenues à l'agriculture permanente et donc ceux-ci échouent souvent . Un tiers de la forêt de l'Indonésie est partie depuis 1950 et le taux de déboisement accélère. Beaucoup de groupes tribals ont perdu leur terre et ont í de force intégrés dans la culture dominante indonésienne. Au Brésil, la moitié de la population est composée de paysans sans terre et le Gouvernement a promu la colonisation de l'Amazone comme "une solution" désastreuse du problème. Comme l'ancien Ministre de l'Environnement Jose Lutzenberger du Brésil signale : " La politique pendant les 30 dernières années est délibérément partie contre les intérêts des paysans. Le gouvernement a promu seulement la monoculture de récolte liquide pour l'exportation. Dans des nombreux cas des états(propriétés) énormes ont accaparé le smallholdings et des énormes plantations de soja ont été fondées. Il n'y a aucun manque de terre au sud sauf les manques créés par la concentration de landholdings. "

 

Extrayant, le développement industriel et des arrangements hydroélectriques est aussi les causes significatives de déboisement et en termes de la terre qu'ils occupent et leur déplacement des gens de forêt. Les barrages ouvrent aussi la forêt précédemment inaccessible, étendent des maladies transportées par voie d'eau et endommagent des écosystèmes aval. Ils ont d'avantage principalement aux classes moyennes et l'industrie. Au Brésil, le Grand Projet de Carajas, un développement énorme de fraisage pour fournir des matières premières bon marché pour le marché mondial, occupera 900, () 00 km carré, un secteur la taille de la Grande-Bretagne et la France combinée. Il affecte 23 groupes tribals et cause le déboisement vaste, le ravinement, la pollution aérienne et d'eau.

 

Élevage de Bétail

L'élevage est une cause principale de déboisement, en particulier en Amérique centrale et Amérique du Sud. En Amérique Centrale, le deux-tiers de plaine des forêts tropicales ont été s'est métamorphosé en pâturage depuis 1950. La viande est trop chère pour beaucoup du pauvre en ces pays exportant boeuf, encore en quelque bétail de cas(affaires) ont évincé l'agriculture fortement productive traditionnelle. Au Brésil, l'élevage est employé pour revendiquer le titre pour atterrir, souvent pour le développement spéculatif minéral. Plus de la moitié des plus grands ranchs dans Amazonia n'a jamais envoyé de bétail au marché.

 

Notez : un article suivant examinera certaines des tentatives de traiter avec le problème de destruction de forêt tropicale humide.

 

Sources : le susdit article a été à l'origine imprimé en février, 1992 la question(publication) du Rapport de Forêt tropicale humide du Monde (la BP 638 Lismore 2480, NSW, l'Australie.

 

John Revington est le rédacteur du WRR et utilisé "la Destruction de Forêt tropicale humide : Causes, Effets et Solutions Fausses", Mouvement de Forêt tropicale humide du Monde, 1990 Penang et "le Mémorandum de Forêt tropicale humide australien" RIC, Boîte 638 Lismore 1991, comme matériel source pour l'article.

 

Cet article a été publié dans le Nouveau magazine de Renaissance Vol. 3, No 2

 

Source : http://www.ru.org/32defore.html

 

4         Conséquences : sécheresses, famines, conflits, effet de serre

 

Le déboisement survient quand les gens diminuent la quantité d'arbres et il y a moins d'arbres dans la forêt et personne ne se soucie des animaux et des plantes. Un grand nombre d'animaux s'éteignent du fait de cette pratique. Le déboisement affecte ou peut affecter la population mondiale parce grosso modo que quand les arbres sont coupés, le taux d'oxygène diminue sur la terre, tandis que le taux de gaz carbonique augment (en fait, au niveau des modèles climatiques, c'est un peu plus complexe, parce qu'il faut tenir compte du pourrissement du bois source de gaz carbonique, dans les grands forêts tropicales et équatoriales etc ...).

Selon certaines modèles prévisionnel la déforestation général de la planète, peut conduite à augmenter le niveau des températures sur terre, et à plus d’aridité (à vérifier, pour la source).

4.1      Sécheresse

 

Dans le rapport « Millennium », il est dit page 24, que : « Le déboisement mène généralement à la diminution des averses. Puisque l'existence de forêt dépend d'une façon cruciale de l'averse, le rapport entre la perte de forêt et la diminution de précipitation peut former une chaînes de conséquences, qui, dans de certaines conditions, peut mener à un changement non-linéaire de la couverture forestière » (Millennium Ecosystem Assessment Synthesis Report, March 23, 2005, UNESCO, page 24).

 

Ces nouvelles sécheresses peut conduire à la famine et à l’exode, de population, souvent responsable de la sur-exploitation de leur milieu naturel (car des Touaregs du Niger et Mali, qui suite à des fortes sécheresses au Sahel (peut-être en partie causée par le surpâturage de troupeaux au Sahel), sont venus se réfugier dans les pourtours de grandes villes comme Niamey etc ….

 

4.2      Effet de serre, augmentation du taux de gaz carbonique

 

« Récemment, la « séquestration carbonique » a été augmenté généralement, en partie grâce à la repousse de forêts dans des régions tempérées, alors que précédemment le déboisement avait été une source nette d'émissions carboniques. La moitié de l’approvisionnement en oxygène (6 de 11) et presque 70 % (9 de 13) de la régulation et des services des cultures sont dégradés ou insuffisamment protégés ». page 75 [100].

 

 

5         L’état des lieux actuel, dans le monde

 

5.1      Introduction sur le chapitre sur la déforestation

 

Culture sur brûlis et déforestation pour la culture, l'élevage ...

 

5.2      Afrique

 

La disparition des grandes forêts primaires, à cause de l'exploitation forestière abusive.
Disparition de bois précieux (acajou, ébène, bois de rose ...).
Citez le cas de quelques compagnies forestières françaises au Gabon, plus "éthiques" qui replantent et font se reposer la forêt de 10 à 20 ans.

Source : Gestion durable et certification des forêts, n°32, juillet 2002,

http://www.afocel.fr/Territoire/Reflexions/Info_Breves/Infobrev32.pdf

 

5.2.1      Algérie

Végétation

Les sols du nord de l’Algérie souffrent depuis plusieurs siècles des pratiques de cultures intensives, du déboisement et du surpâturage. La forêt reste encore vivace dans certaines parties du Tell et de l’Atlas saharien. Les principales essences y sont les pins, les cèdres de l’Atlas et plusieurs variétés de chênes, dont le chêne-liège. Les versants inférieurs sont dénudés ou recouverts de garrigue (genévriers et arbustes divers).

http://membres.lycos.fr/algerie1/relief.htm

La disparition d’une bonne partie de la couverture forestière a provoqué un effondrement du système de protection naturelle des sols et a engendré de graves phénomènes érosifs. Ces phénomènes sont exacerbés par la présence sur ces zones d’une forte densité de populations refoulées par la pression coloniale.
Pour survivre ces populations ont fait subir aux milieux naturels des dégradations multiples, incendies , défrichements , labours sur des écosystèmes fragiles, surpâturage . Une sécheresse cyclique prolongée a aggravé cette situation . […]

Les forêts sont marquées par des conditions naturelles difficiles et subissent un surpâturage lié au surnombre du troupeau de cheptel ovin et caprin . Elles présentent une proportion élevée de peuplement dégradés et ouverts dont le volume sur pied est généralement faible. Mais elles constituent néanmoins un capital qu’il convient de protéger en le préservant des dégradations naturelles , humaines et animales.

Ainsi la politique forestière menée vise la protection et la sauvegarde du patrimoine forestier par un encadrement juridique approprié notamment par la systématisation de l’inventaire et de l’aménagement forestiers en vue d’une meilleure valorisation de la sylviculture et de la restauration des sols à vocation forestière.

Source : http://www.oasisfle.com/culture_oasisfle/la_flore_et_la_faune_en_algerie.htm

 

Le barrage vert :

« Le barrage vert est cette ceinture d'arbres conçue par les décideurs de l'époque [en 70] comme barrière physique contre l'avancée du sable, d'est en ouest du pays.

Réalisée dans la précipitation, cette opération d'envergure a connu plusieurs déboires. D'abord l'ampleur du chantier. Si la plantation d'arbres est toujours souhaitable, encore faut-il se donner le temps et la réflexion nécessaires à sa réussite. Ensuite, le choix de l'essence forestière.

Le pin d'alep réputé pour sa plasticité écologique lui permettant de s'adapter à différents climats, a été utilisé à plus de 90 % dans le barrage vert. Pourtant, le danger de la monoculture est bien connu des agronomes. A la première maladie qui se déclare, c'est l'ensemble de la plantation qui en pâtit. Et manque de chance, le pin d'Alep est très sensible aux effets ravageurs de la chenille processionnaire de pin. Les résultats n'ont pas tardé à se manifester. Les aiguilles de l'arbre même adulte sont littéralement grillées. L'aspect du sujet atteint est celui d'un arbre brûlé. Autrement dit, irrécupérable.

Le choix des terrains de reboisement n'a pas été toujours judicieux. Dans certaines régions, steppiques notamment […], la végétation naturelle d'alfa, d'armoise et bien d'autres plantes adaptées aux rudes conditions constitue elle- même un obstacle au sable. L'arbre planté ne peut concurrencer ces plantes qui sont bien chez elles.

A cela s'ajoutent les ruses célèbres chez les djounoud. Comme par exemple planter le plant avec son sachet de plastique ou alors enterrer carrément l'ensemble des arbres dans un seul pontet pour se débarrasser de la corvée de plantation. Simplement. »

Source : « Le barrage vert » de Samir Benmalek  (1988) http://pourinfo.ouvaton.org/algerie/avant%2088/boumedienne/dossierboumedienematin.htm

 

Incendies de forêts en Algérie :  1984 – 1999.

 

Genévrier thurifère :

 

En Algérie, la répartition du genévrier thurifère se limite au massif des Aurès (Djbel Chélia, 2300 m.), entre 1650 et 1800 mètres d'altitude, sous forme de peuplements très ouverts et dégradés. Les arbres sont âgés et la régénération naturelle y est presque inexistante (Chirio & Blanc, 1997). Les arbres y sont souvent très imposants, en mélange avec les cèdres, et semblent n'être que les vestiges d’un peuplement autrefois plus étendu (Lapie & Maige, 1914; Gaussen & Vernet, 1958).

 

Projet de conservation du genévrier thurifère algérien :

Géré en Algérie par : ( A.N.N) Agence Nationale pour la Conservation de la Nature BP .

115 . Jardin Botanique du Hamma – El- Annasser16000 Alger - Algérie

Tel : 021 67 47 50021 67 40 69Fax : 67 52 18

Coordinateur national UICN : Mr Toufik MEFTAH / ANN Consultants : Mr Med BELKASSIR / UCD de BatnaMr O. TEMAGOULT / Université de Batna.

(en relation avec l’UICN International et La Direction du Développement et de la Coopération Suisse ( DDC ).

Source : http://www.iucn.org/places/medoffice/nabp/web/documents/etude%20genevrier%20thurifere.pdf

5.2.2      Le Maroc

 

Un grande déforestation est en cours, malgré des plantation de pins dans l’Atlas.

Les forêts les plus menacées sont celles de genévriers thurifère et d’arganiers.

 

a) sur les genévriers thurifère :

 

Cette espèce se rencontre essentiellement dans deux grands ensembles montagnards: le Haut Atlas et le Moyen Atlas (on trouve cependant quelques formations à Genévrier thurifère dans l'Anti Atlas). La superficie couverte par les thuriféraies marocaines est actuellement estimée à 20 000 ha (Barbero et al., 1990), répartis presque équitablement entre le Haut Atlas et le Moyen Atlas (Boudy, 1958). Cependant, cette estimation doit être avancée avec prudence, car jusqu'à ce jour, aucune cartographie précise de ces formations n'a été réalisée (Montès, 1999).

Cette espèce robuste est capable de supporter des conditions climatiques extrêmes: dans les hautes vallées de l'Atlas, les hivers sont froids et les étés très chauds et secs. Sa robustesse s'exprime aussi à travers sa résistance aux mutilations. Mais son exploitation intensive, dont dépend la survie des montagnards, met son avenir en grand danger ainsi que celui des villages auxquel il est intimement lié. Source : http://n.montes.free.fr/fpagegarde.html

 

La dégradation des milieux présente également de graves conséquences écologiques : érosion des sols, désertification, participation à l'ensablement du nord Sahara, baisse de la biodiversité et disparition d'un élément botanique remarquable (Benabid, 1987; Gauquelin, 1988; Fromard & Gauquelin, 1993). 

Au Maroc, le Thurifère est considéré comme l'espèce forestière ayant le plus régressé, avec un recul de 90% par rapport à son aire de répartition potentielle. Son exploitation intensive, dont dépend la survie des montagnards, met son avenir en grand danger ainsi que celui des villages auxquels il est intimement lié par l’apport de ressources ligneuses indispensables.

 

« Dans la portion orientale du Moyen-Atlas, les écosystèmes forestiers encore en bon état sont rares. Partout ailleurs la dégradation est bien avancée.

Les pires situations sont celles que connaissent les cédraies et les thuriféraires. Celles-ci ont péri sur de vastes étendues de leurs territoires. L'une des causes de cette mortalité et ce dépérissement ahurissants est à attribuer à l'application de traitements sylvicoles inappropriés qui perturbent très profondément les structures et architectures des écosystèmes dont l'équilibre est précaire dans ces zones. Ce sont les coupes rases des chênaies vertes développées sous les cédraies ou en mélange avec les thuriféraires qui constituent les facteurs majeurs de déclenchement des processus de désertification. La suppression du feuillu expose le sol au phénomène de l'érosion hydrique qui le dégarnit de tous ses éléments fins. Le sol devenu, ainsi, rocailleux, n'arrive plus à emmagasiner les eaux de pluies ou de neige, parce qu'il a perdu ses capacités de rétentions. La majeure partie des eaux ruisselle le long des pentes. Une faible partie de ces eaux s'infiltre en profondeur. Les rocailles n'en retiennent qu'une infime partie. Ainsi, se produit une désertification locale sans qu'il y ait diminution dans les volumes des précipitations annuelles. ». Source :

LE RIF ET LE MOYEN-ATLAS (MAROC): BIODIVERSITE, MENACES, PRESERVATION, Abdelmalek BENABID (+), AFRICAN MOUNTAINS HIGH SUMMIT CONFERENCE NAIROBI, KENYA 6-10 MAI 2002

(+) Ecole Nationale Forestière d'Ingénieurs BP 511, Tabriquet, 11 000 Salé, Maroc

Téléphone/Fax : 212 37 86 49 47 E-mail : abenabid@iam.net.ma

 

Bibliographie :

- site sur le les genévrier thurifère : http://n.montes.free.fr/  

- site sur un projet de reforestation d’une vallée au Maroc et sur la sauvegarde du genévrier thurifère : Projet de reforestation d'une vallée du haut-Atlas marocain

http://perso.wanadoo.fr/jardin.secret/ProjetsHumanDefenseLlibertes/ProjetsHumanitaires/ProjetReforestationHtAtlasMaroc.htm

- photos sur le genévrier thurifère : http://perso.wanadoo.fr/jardin.secret/images/indexImages2.htm

 

b) sur les arganiers :

 

l’arganier couvre 820 000 hectares, soit 70 % de la surface boisée du sud-ouest du Maroc.

Source : Eco-tourisme n°3, page 64.

 

Sources : 1) Site de l'arganier et des coopératives féminines du Sud Ouest marocain TARGANINE

http://www.targanine.com

Note : Une émission Des racines et des ailes’ en 2002, à la télévision sur France 3, a parlé de ce projet de sauvegarde de la forêt d'arganier, et de l'enrichissement de ce village.

 

2) "L'arganeraie marocaine se meurt : problématique et bio-indication" de Michel R. Tarrier (Université Mohamed V, Rabat, Maroc),  et de Mohamed Benzyane, Ministère chargé des Eaux et Forêts, Direction du développement des forêts

sources : http://www.secheresse.info/article.php3?id_article=228

 

5.2.3      La désertification sahélienne (Sénégal, Niger, Mali, Burkina Fasso …)

 

En 30 ans, le désert du Sahel a progressé vers le sud de l'Afrique de 150 à 200 km sur un front de 4 000 km, de Djibouti au Sénégal.

 

Zones sahéliennes.

 

  

Vues sur le Sahel.

5.2.4      Le soudan et Ethiopie

 

Politique de propriété foncière et inégalités, dépossession de paysans et des indigènes, politique colonialiste du gouvernement central de Khartoum (comme dans le Sud et l’ouest _ le Darfour …).

 

le gouvernement prend parti pour les nomades, qui a cause de la désertification, recherchent des terres plus au sud.

La guerre au Soudan est une guerre coloniale et d’exploitation économique menée par Khartoum. Le Sud est riche de pétrole et les richesses agricoles sont nombreuses dans le pays, longtemps considéré comme le grenier du monde arabe. Les grandes compagnies agro-industrielles du Golfe, saoudiennes, émiraties... pourraient être tentées d’investir dans ces terres, que l’on trouve également dans la province du Darfour

Des dizaines de milliers d’hectares peuvent ainsi être possédées d’un seul tenant. Le général Nemeiri a octroyé nombre de ces surfaces agricoles aux compagnies arabes du Golfe, dans les années 1960.

Des milices arabes janjawid  pro-gouvernementales sont levées par Khartoum.

Le gouvernement de Khartoum, depuis 1985, arme ces nomades pour s’en servir comme d’une force partisane.

Les Janjawid attaquent les tribus sédentarisées pour les faire fuir de leurs terres, afin que les barrons du régime ou les nomades, eux-mêmes, viennent y cultiver. Les Janjawid mettent souvent le feu aux champs et tuent le cheptel des sédentaires du Darfour.

Environ 30 000 personnes sont mortes à ce jour. Mais un million de personnes se retrouvent sans foyer.

 

Source : Marc Lavergne, spécialiste du Soudan au CNRS

 http://www.afrik.com/article7464.html

 

5.2.5      La côte d’Ivoire, Gabon … (Afrique de l’Ouest).

 

L’auteur, de cette étude, a pu constater de visu, dans les années 85, la terrible déforestation de la forêt primaire ivoirienne, par une exploitation de « type minière », les forestiers (forêt transformée en quasi-savanes constellées de fromagers) pour les monocultures à large échelle (cacao, café, hévéa, ananas …).

Des essences comme l’acajou, le bois de rose, l’ébène ont quasiment disparu.

Aucun programme n’a été relancé, par les forestier, pour leur replantation.

 

A ce rythme, s’il y n’y a replantation et gestion raisonnée de la forêt, il n’y aura plus de forêts primaires, dans la plupart des pays de l’Afrique de l’Ouest (Côte d’Ivoire, Ghana, Guinée, Gabon …) et la disparition d’essences comme le teck, le sipo , Okoumé, Obéché, Azobé, Moabi, Sapelli  etc …

Bois tropicaux Africains : Okoumé, Tola-Agba, Padouk d'Afrique, 

Kevazingo, Beli Awoura, Makoré (Douka), Sipo, Iroko ...

 

5.2.6      Le Togo

 

Reboisement et sensibilisation à l’environnement

L’association togolaise « Mission des Jeunes » organise régulièrement des chantiers d’écovolontariat. Au Togo, une vingtaine de volontaires se sont retrouvés en août dernier, pour planter des arbres.

Source : http://ecotourismemagazinen03.hautetfort.com/album/quelques_pages___/togo_ecole.3.html

 

5.2.7      Cameroun

 

Un outil cartographique pour lutter contre la déforestation illégale :

 

« Le partenariat noué en 2002 entre les pouvoirs publics camerounais et Global Forest Watch (GFW) du World Ressource Institute (*) vient d’aboutir à la publication de cartes forestières permettent désormais aux autorités de lutter contre le déboisement illégal sur tout le territoire national. Cet outil a té produit à partir d’images satellites et de données exactes sur les limites cadastrales forestières légales et les aires protégées. Ces cartes permettront d’identifier les zones problèmatiques et d’y envoyer des agent du ministère des forêts et de la faune (MdFF) pour vérification.

Sur les 7 millions d’hectares de forêts du Cameroun, quelque 76 % _ soit au total 22,8 millions d’hectares_ ont déjà été déboisés ou ont été alloués à des concessions d’exploitation forestière. Moins d’1/5e des forêts camerounaises non protégées, situées principalement au centre et à l’estdu pays, restent intactes. Seuls 6 % environs des 1,4 millions d’hectares de forêts du pays sont protégés à titre de réserves ou de parcs nationaux. Les forêts camerounaises sont parmi les plus diverses du point de vue biologique et les plus menacées d’Afrique.

Cartes et données accessibles sur www.globalforestwatch.org . Un atlas forestier interactif du Cameroun est également disponible. Contact : +(1-202) 729 7684

(*) Le World Ressource Institute est un organisme de recherche et de politique environnementale qui crée des solutions pour protéger la terre et améliorer l’existence des êtres humains ». Source : revue Eco-Tourisme n°3, page 6.

 

5.2.8      Madagascar



Vues de déforestation à Madagascar

 

Central Madagascar

Erosion

Erosion

Erosion

Source : http://travel.mongabay.com/madagascar/mad_deforestation.htm

http://www.american.edu/TED/MADAGAS.HTM

 

Source : (1) Jarosz, Lucy. "Defining and explaining tropical deforestation: shifting cultivation and population growth in colonial Madagascar." Economic Geography 64.9 (Oct 1993): 366-80.
(2) Matloff, Judith. "Poor Nations Confront Choice of Trees of Jobs." Christian Science Monitor 16 Aug. 1995: 1.
(3) Perlez, Jane. "Whose forest is it, the peasants or the lemurs?" New York Times 7 Sept. 1991: 2N.
(4) Shaw, Christopher. "New light and heat - on forests as energy reserves." Energy Policy 23.7 (July 1995): 607.

http://www.colby.edu/personal/t/thtieten/def-mad.html

http://www.haisoratra.org/article.php3?id_article=344

 

5.3      Asie

 

5.3.1      Indonésie, Malaysie (Bornéo, Nouvelle Guinée …)

 

En Indonésie, la déforestation tropicale est beaucoup plus rapide que partout ailleurs dans le monde. Plus de 2 millions d’hectares sont détruits chaque année. Des récentes études montrent que, la plupart de la forêt existant officiellement a déjà disparu, de même qu’un doute subsiste au sujet de la surface réelle restante. La destruction de la forêt indonésienne est à l’origine de nombreuses catastrophes naturelles telles que les glissements de terrains, les inondations ou la sécheresse, qui ont engendrés d’énormes frais.

L’Indonésie est le plus gros importateur mondial de bois tropical, mais plus de la moitié de la production forestière est illégale. De vastes régions de forêt tropicale naturelle ont été détruites et n’ont quasiment été remplacées que par des plantations productrices de fibre de bois utilisée pour la fabrication de papier ou d’huile de palmier. Dans certaines régions, l’exploitation minière représente également une sérieuse menace pour l’environnement et les populations autochtones.

 

Source : http://www.rainforestfoundationuk.org/fcpage.php?fcpage=Indonesia&language=FR

 

Des incendies énormes ont détruit de vastes zones de la forêt pluviale indonésienne en 1997

Source : http://www.atmosphere.mpg.de/enid/2hi.html

 

Feux en Indonésie en 1997.

 

Irian Jaya [partie indonésienne de la Nouvelle-Guinée] et dans l'est de Kalimantan [partie indonésienne de Bornéo], ...

 

Déforestation pour le bois (exploitations forestières avec coupes "minières").

Le combats des Dayaks (et d'un suisse) et d'ONG locales et Australiennes.

 

A cause de la déforestation en Indonésie, plus de 220 espèces animales sont menacées.

 

Source : http://bft.cirad.fr/pdf/res266.pdf

La déforestation récente à Java, Indonésie : bilan, facteurs et conséquences environnementales, Franck Lavigne, Université Paris 1 Panthéon – Sorbonne, source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_452.php

 

Sur la disparition de l’ethnologue suisse et militant écologiste Bruno Manser :

http://www.geocities.com/foretsprimaires/p9.html

 

Sur son association : Peuples des Forêts Primaires, à l'adresse suivante:
Sonia Fraquet, Leurvoyec, 29710 Gourlizon,
courriel: foretsprimaires@yahoo.ca

Site : http://geocities.com/foretsprimaires/

 

5.3.2      Birmanie

 

Voir déboisement à une petite échelle de Wason Dum à Ziya Dum Village (côté ouest de la Rivière Mounlar), en Birmanie :

http://www.hsdejong.nl/burma/putao/target_pages/deforestation.html

(à vérifier).

5.3.3      Cambodge

 

Une terrible déforestation au Cambodge (autour d’Angkor).

 

5.3.4      Philippine

 

Typhon aux Philippines : suspension de l'exploitation des forêts (4/12/04)

 

La présidente Gloria Arroyo a suspendu tout abattage d'arbres aux Philippines,

après les deux tempêtes (le typhon Nanmadol, la tempête tropicale Winnie) qui ont

fait cette semaine plus de 1100 morts et disparus.

Source : http://www.edicom.ch/news/international/041204100818.sa.shtml

 

Selon sa présidente Gloria Macapagal Arroyo, la déforestation illégale, serait la cause des nombreux morts récent_ 1100 morts _, dues aux nombreux glissement de terrains et torrents de boues, après le passage du Typhon et de la tempête tropicale ….

 

Source : Soil resources depreciation and deforestation: Philippine case study in resource accounting 1 , editions FAO : http://www.fao.org/documents/show_cdr.asp?url_file=/DOCREP/006/AB604E/AB604E00.HTM

http://www.american.edu/TED/PHILWOOD.HTM

http://www.fieldmuseum.org/vanishing_treasures/Origins_1.htm

5.3.5      Chine  (Tibet  etc .... ) :

 

Jamais on n'a pu tourner des images de cette déforestation (85 % de la forêt Tibétaines

existant dans les années 50 qui a disparu). On peut la voir sur les photos satellites SPOT

(J'avais demandé une étude au nom de mon ONG, à SPOT IMAGE, pour cette déforestation,

et le premiers prix avec une résolution moyennes des photos était de 10000 euros).

 

En 1949, les forêts tibétaines couvraient 222 000 km2, en 1985, il n’en restait que la moitié. 

 

Article : Forestry in Tibet: Problems and Solutions

http://www.tibet.com/Eco/eco1.html

 

 

 

Note :Pour la déforestation, il y a le document d'Eco-Tibet, et aussi l'article de  M. Jean-Paul Ribes "Le Tibet : un écosystème en danger", paru dans "Tibet l'envers du décor", en 1993.

 

Selon ce dernier article, les forêts du Tibet couvraient 221 800 Km2 en 1949, et 134 000 km2

(informations qu'il a tiré du rapport d'Eco-Tibet de 93, mais on ne sait pas d'où Eco-Tibet a tiré ses propres informations).

 

Moi-même, j'ai tenté d'étudier la déforestation avec les archives remontant à loin dans le temps, de la société SPOT Image à Toulouse, mais il me demandait 10 000 € minimum pour leur prestation, c'est pourquoi j'ai du renoncer à cette étude, pour des raisons financières (voir voir copie d'un échange de mails avec la société SPOT Image et sa traduction en anglais à la fin de ce document).

 

5.3.6      Inde

 

Déboisement, Pauvres Pratiques de Gestion de Terre et Surpâturage :

 

 Il est dur d'imaginer, regardant dehors sur cela le terrain lentement reprenant, que cette région a été une fois couverte de forêts riches vertes. Et malheureusement cette histoire n'est pas un phénomène isolé endémique à une tranche de Tamil Nadu. Cela devient rapidement la règle(autorité) plutôt que l'exception comme des déserts, comme des vautours, suivre dans les pas de l'ignorance d'homme et l'avidité. Ici on pourrait voir le processus d'une terre vivante mourant lentement dans une lune : les grandes marques de canyons arnaquant(arrachant) le plateau et la surface scintillante d'argile exposée rouge, comme un lit de la mer de Corail, changeant complètement le cycle évolutionnaire comme la vie tombent lentement en arrière à la question inerte. Il y avait une certaine beauté abstraite au paysage, une certaine magnificence dans les austérités froides du désert comme l'orbe rouge du soleil aplani de sur les pays de canyon. Mais ce n'était pas une beauté organique, c'était la beauté effrayante et stupéfiante de mort.

 

Cette plaine une fois-fertile avait succombé à l'appauvrissement de la conscience d'homme - une conscience qui n'avait pas encore vu son rapport inséparable avec la nature. Il est ironique que dans un pays que, pour la plupart, n'a jamais laissé le village - qui n'a pas été de ville, avait divorcé du sol - les instincts naturels ont atrophié et été réduit à un utilitarisme nu. Le bétail et des chèvres laissées pour frôler partout où ils feront(seront) - partout où ils peuvent - la dévastation de la campagne, l'arbre sont estimés pour son allumant et les fermiers simples, enchantés(enchantés) des modèles Occidentaux "de progrès", blanchir fièrement leurs champs(domaines) et eux-mêmes avec les doses massives de DDT.

 

Et ainsi dans moins d'un siècle l'homme pourrait défaire(détruire) ce qu'il a pris la nature des milliers d'années pour construire - tel étaient son efficacité.

 

Et dans ce petit coin de la terre il était le plus efficace : les forêts ont été abattues au hasard pour le bois de chauffage ou le bois de construction, la terre "purifiée" pour l'agriculture et la couverture de raison restante naturelle surpâturée; et méthodes d'agriculture "modernes" mises en oeuvre comme compensation(rémunération) pour exprimer la dernière once de fertilité de sol naturelle, de pompage la terre épuisée pleine d'engrais chimiques et pesticides pour artificiellement supporter un sol sans vie, le forçant pour produire plus.

 

Mais plus était moins. Car quand les arbres ont été partis, brûlé pour faire cuire les repas cela

A contracté chaque année parce que la terre a contracté chaque année parce que les arbres ont été coupés pour le bois de chauffage et quand la couverture de sol avait été mangée loin par les troupeaux de bétail décharné, alors la terre est couchée nu et non protégé. Et le soleil acide l'a cuit, l'a laissé stérile; et les eaux vivifiantes de la mousson pourraient seulement emporter ce que peu de vie est restée, se lavant à travers l'argile imperméable exposée qui est descendue en pente à la mer, pillant les dernières pièces de couche de terre arable et l'humus dans des inondations de feuille; et les vents, plus trempés par les modèles d'arbres, balayés dans tempêtes de sable par les saisons sèches. Chaque année il y avait un peu moins de Tamil Nadu, un peu moins d'Inde, un peu moins de Terre.

(Savitra, Auroville:Sun-Word Rising-A Trust for the Earth, Indian edition, 1980, pp 91-92).

http://www.aurovillelandfund.org/humanity/deforestation.htm

Déforestation du côté du Tamil Nadou (Inde).

 

5.4      Océanie

 

5.4.1      Australie :

 

25/04/2003 - L'enquête baptisée Australian Terrestrial Biodiversity Assessment, rendue publique le 23 avril dernier, mentionne qu'aucune partie de l'Australie n'est épargnée, pas même le nord qu'on a longtemps appelé «the last frontier» (la dernière frontière). La transformation de boisés en pâturages et l'utilisation commerciale du bois seraient les principaux responsables de la déforestation.

Le rapport mentionne que 22 espèces de mammifères (notamment des bandicoots et des wallabies) se sont éteintes depuis deux siècles, ce qui représente le tiers des mammifères disparus sur Terre pendant cette période.

 

Source : http://www.cybersciences.com/cyber/3.0/N3191.asp

et aussi http://laterredufutur.free.fr/australie.html

 

D’importants fonds spéciaux ont été consentis par le gouvernement pour faire face à la crise, et 400 000 bénévoles participent à plus de 12 000 projets : des centaines de milliers d’hectares de territoire dégradé ont ainsi été réhabilités au cours des dernières années. Mais l’Australian Conservation Foundation, le plus important groupe d’écologistes du pays, souligne que pour chaque arbre planté sous la supervision du gouvernement fédéral, 100 sont déracinés par un bulldozer.

 

http://www.rfi.fr/fichiers/MFI/ScienceTechnologie/911.asp  (30/05/2003).

 

420 scientifiques australiens viennent de cosigner une lettre ouverte au Premier Ministre fédéral, M. John Howard, et au premier Ministre du Queensland, M. Peter Beattie, pour les inciter à prendre enfin de mesures sérieuses contre la déforestation.

L’Australie se place désormais au cinquième rang des pays pour le taux de déboisement (plus de 500 000 hectares de forêt native par an), juste après des pays en voie de développement tels que le Brésil, l’Indonésie, le Congo et la Bolivie.

Les recherches plus récentes montrent que pour chaque 100 hectares de forêt native déboisée, 2000 oiseaux, 15 000 reptiles et 500 mammifères disparaissent. Seulement au Queensland, où 75% de la déforestation australienne a lieu, on estime les pertes d’animaux annuelles à 2,1 millions de mammifères, dont 20 000 koalas, 8,5 millions d’oiseaux et 89 millions de reptiles, ainsi que le bouleversement des écosystèmes, et notamment de la chimie des sols, de leur

capacité hydriques et de leur résistance aux pestes.

M. Beattie a promis de reconduire le moratoire sur la déforestation qu’il avait mis en place il y a six mois même en l’absence de compensations financières de la part du Gouvernement fédéral. 25 novembre 2003 – The Brigalow Declaration – 18/TERRE/IM

BestOz, Bulletin électronique d'information de l'Ambassade de France en Australie, n°22, janvier 2004. Source : http://www.ambafrance-au.org/bestoz/pub/Bestoz22.pdf

 

5.4.2      Samoa (Océan Pacifique) :

 

Quelques unes des causes impliquées qui ont été identifiées au cours de l'atelier sont: la pauvreté, un cadre législatif archaïque, un système de monitorage faible, la privatisation de la part du gouvernement de biens publics dont les forêts natives, les changements quant au paradigme des valeurs touchant aux modèles de consommation et de production non-durables qui donnent priorité à l'obtention rapide d'argent grâce à l'abattage des forêts par opposition à la valeur des ressources forestières à long terme.

 

Source : http://www.wrm.org.uy/bulletinfr/67/OC.html#Samoa

 

5.4.3      Nouvelle Calédonie

 

La Nouvelle-Calédonie brûle "dans l'indifférence générale"

06.12.2004

     
(AFP) La Nouvelle-Calédonie brûle "dans l'indifférence générale", ont dénoncé dix associations écologistes dans un communiqué commun appelant "toutes les autorités à agir" pour préserver l'avenir du territoire.

Plusieurs dizaines de milliers d'hectares sont partis en fumée depuis 2 mois. Il s'ensuit une destruction massive du patrimoine naturel calédonien, une diminution des gibiers endémiques (roussettes, notou), et un dérèglement des rivières et des sources.

 

 

Source : http://perso.wanadoo.fr/metasystems/Kiosque/Kiosque_Environnement.html

5.5      Amériques

 

5.5.1      USA :

 

Sur l'état de la déforestation aux USA :

http://www.envirolink.org/topics.html?topic=Deforestation&topicsku=2002119143553&topictype=subtopic

 

En décembre 97 à Kioto au Japon, les USA après avoir examiné l'impact des mesures à prendre sur leur économie les USA refusent de signer le protocole.

Bref le sommet se clôture pour une fin de non recevoir pour les pays qui sont les plus touchés --et forcément les plus pauvres-- par la déforestation, la montée des eaux, la désertification et le manque d'eau potable.

 

5.5.2      Canada

 

Beaucoup de coupes claires (ou coupe à blanc).

 

http://www.ec.gc.ca/toxics/wood-bois/pubs/assesmentsection4_f.html

 

Au Québec, le phénomène de l'exploitation forestière est très présent. Les entreprises forestières procèdent parfois par  la méthode de la coupe à blanc, ce qui nous mène à une surexploitation de la forêt. Les écologistes accusent le gouvernement  et les entreprises forestières d'exploiter les forêts québécoises sans considération. Ils comparent la forêt publique boréale à  une «coupe de cheveux de style mohawk». Il sont prêts
à tout pour sauvegarder le patrimoine forestier québécois et pour protéger l'environnement. Le gouvernement démontre sa  bonne foi en créant des lois. Les entreprises privées font des efforts pour satisfaire les demandes environnementales et  tentent de réduire leurs émissions polluantes et les effets de leurs coupes. Mais ces efforts sont-ils bien réels ou ne sont-ils qu'une illusion?

Source : http://encyclopetic.inst.st-joseph.qc.ca/publies/2001/6e.nsf/vueProjets/La_deforestation

5.5.3      Costa-Rica  :

 

À cause des lois au Costa Rica, on exige tous les projets de reboisement actuels de protéger les voies navigables avec une barrière de 15 mètres où les arbres ne seront jamais coupés. Vous penseriez que dans une forêt tropicale humide vous n'auriez pas des problèmes avec le manque d'eau, mais il y a une saison sèche et sans l'effet de buffering d'arbres et le détritus de feuille, les flots peuvent se dessécher pendant l'été. Cela a un effet dévastateur sur l'écologie. Aussi, comme vous pouvez voir de l'image, sans forêt tropicale humide, le sol part en courant dans la rivière Finca Leola.

 

Site de FINCA LEOLA : reforestation du Costa-Rica  : http://www.fincaleola.com/

 

Deforestation

Pendant les 40 ans passés, plus que le deux-tiers des forêts originales du Costa Rica ont été détruit, coupé, avec un taux d'entre 362 km carré (140 mi carré) et 765 km carré (295 mi carré) par an. Les forêts ont traditionnellement été considérées comme terre improductive et leur destruction était pendant une longue période de temps synonyme avec le développement. Pendant les années 1970 et les années 1980, la politique de développement internationale et intérieure a alimenté en combustible la destruction des grandes étendues de désert. Heureusement, des défenseurs de l'environnement Costa Rican sont devenus alarmés par ce déboisement et dans les années 1970 ils ont commencé à créer ce qui est depuis devenu le meilleur système de parcs national de la région.

Grâce aux efforts publics et privés et la limitation de lois du Costa Rica diminuant des arbres, le taux de destruction a baissé significativement. Cependant le braconnage et exploitation illégale des bois continue à être des problèmes sérieux que, si laissé non corrigé, cela contribuera à anéantir finalement beaucoup d'espèce importante et des secteurs sauvages. Le déboisement non seulement  provoque le désastre pour le jaguar et l'aigle, mais il peut aussi avoir des conséquences graves pour des gens.

Les forêts absorbent les pluies et sortent de l'eau lentement, jouant un rôle important dans le règlement du flux de rivières, qui sont pourquoi a sévèrement déboisé les régions subissent souvent des inondations pendant la saison pluvieuse et la sécheresse pendant les mois secs. La couverture d'arbre d'une forêt empêche aussi l'érosion de couche de terre arable, tenant ainsi la terre fertile et productive et dans beaucoup de parties du pays, l'érosion a laissé des terres cultivées une fois-productives presque sans valeur.

La perte de la forêt perturbe aussi le cycle carbonique. La vie d'arbres prend le bioxyde carbonique de l'atmosphère et avec d'autres processus créent les hydrates de carbone, des graisses et les protéines que nous devons vivre. Quand les arbres sont brûlés ou quand ils pourrissent, ils sortent le carbone comme CO2. Puisque tant d'arbres sont diminués, il y a beaucoup de carbone sorti dans l'air, qui cause une augmentation de la concentration atmosphérique CO2 et le réchauffement mondial.

Finalement, caché dans la flore du pays et la faune sont les substances innombrables non encore étudiées qui pourraient finalement être extraites pour guérir des maladies et servir l'humanité. La destruction des forêts du Costa Rica est une perte pour le monde entier. 

deforestacion

 

source : http://cloudbridge.org/deforestation.htm

 

5.5.4      Honduras :

 

Les résidants d'environ 15 communautés dans la province(domaine) orientale hondurienne d'Olancho se plaignent que malgré la grève de la faim ils aient commencé il y a 10 jours à exiger une interdiction de 10 ans de l'abattage d'arbre, le déboisement irrationnel continue.

Olancho est une province(domaine) avec des réserves de forêt principales comme le Biosphère Platano Fluvial, dont la valeur biologique a été internationalement reconnue et qui est mis en danger par la coupe non contrôlée par 44 scieries, les écologistes locaux se plaignent.

 

La participation à la grève de la faim est une façon de faire pression sur le Ricardo Maduro le gouvernement et des propriétaires de scierie pour mettre en application une interdiction pour permettre à la forêt de se remettre de la destruction massive causée par overcutting.

 

Une douzaine de prêtres Catholiques a joint(rejoint) les protestations, incluant Salvadorans Andres Tamayo et Osmin Flores, qui a reçu des menaces mortelles pendant les deux passés ans à cause de leur lutte.

 

Il y a quatre ans, l'activiste de protection de l'environnement et la minorité la Partie(parti) d'Unification Démocratique (UD) le Maire Carlos Luna a été assassinée dans Olancho.

 

Tamayo a dit à EFE à l'Union La, 126 kilomètres (78 milles) à l'est de Tegucigalpa, que depuis le commencement du rapides, environ 250 camions portant pinewood avaient laissé le secteur.

 

Dans une période de six heures mercredi, EFE a vu 17 camions chargés du bois partent pour Tegucigalpa, certains d'entre eux portant des troncs d'arbre (de 81 pied) de 25 mètres pour des poteaux(pôles) téléphoniques.

 

Les protestataires vite dans des changements de 48 heures, mangeant seulement le grain(maïs) tortillas et le sel pour montrer leur "la solidarité avec beaucoup de paysans qui vivent dans les montagnes et ne mange pas plus que cela à cause de leur pauvreté extrême," le Père Flores a dit EFE.

 

Autour de 100 personnes un jour participe à , et le rapide et les protestations, incluant des hommes, des femmes et des enfants appartenant aux groupes de protection de l'environnement locaux.

 

Ils exigent l'annulation immédiate des licences de scierie, un audit de forêt par des experts internationaux et l'approbation d'un décret de sylviculture de secours pour Olancho.

 

Les protestataires exigent aussi une investigation d'actes de titre de terre privés et publics et une campagne de conscience soulignant l'importance des forêts pour les gens d'Olancho.

 

Ils veulent aussi le personnel de la Société de Développement de Sylviculture hondurienne (COHDEFOR) pour être purgé, aussi bien que le meilleur contrôle et le contrôle des scieries.

 

Les propriétaires de scierie, pour leur partie, blâment la destruction de la forêt sur les paysans.

 

Les paysans admettent que le manque de cropland et de pauvres moissons en raison d'une sécheresse - qui devient de plus en plus plus mauvais avec le temps - les force dans les montagnes.

 

"Nous travaillons la terre avec des machettes, tandis que le pouvoir(puissance) d'utilisation de scieries voit pour couper les arbres, laissant la terre nue. Ainsi, qui est les destructeurs les plus mauvais des forêts ?," un leader de communauté Salama a demandé à EFE.

 

Les activistes prétendent que l'on peut voir la destruction de forêt dans les collines déboisées de la région, waterless des rivières et des printemps secs, aussi bien que dans beaucoup de feux de forêt, qui ravagent le pays entier.

 

"Plus tôt plutôt que plus tard, nous allons être laissés sans une forêt simple, sans récolte de grain ou le bétail, parce que la sécheresse élimine le bétail," a dit le Père Flores, qui est le prêtre de paroisse dans la petite communauté de Santo Tomas.

 

Par Allemand Reyes. Gr/dm/bp (agence de presse Efe Espagne).

 

5.5.5      Brésil, Amazonie

 

« Grignotée par la culture du soja et les élevages bovins, l'Amazonie brésilienne a perdu 16,3% de sa superficie forestière depuis les années 1970, soit 653.000 km2, correspondant à un territoire grand comme la France et le Portugal mis ensembles. »

source : http://terresacree.org/index.htm (à vérifier).

 

Article du Monde Diplomatique : Déforestation en Amazonie, nov 96.

http://www.monde-diplomatique.fr/cartes/amazoniedeforestation

 

Les feux de forêt en Amazonie 1999 à 2000 :

http://www.fs.fed.us/pnw/fera/brazil/bzfire99.html

et http://membres.lycos.fr/maintenantlalettre/bresilchamans.htm

 

Article : Données de déboisement pour l'Amazone brésilienne - Le Déboisement d'Amazonia

 

« Le 10 février 1999, l'Institut brésilien pour la Recherche Spatiale (INPE) a sorti ses données de déboisement d'Amazone basées sur des données satellites pendant l'année entre août 1996 et août 1997. Le déboisement total brut est 13,227 km2, voir la table ci-dessous pour la pause en bas par l'état. Les données de déboisement pour 1997-98 ont été estimées à 16,838 km2, une augmentation de 27 % comparé à 1996/97. Cela n'inclut pas 11,000 km2 perdu pour tirer dans l'état de Roraima (le site Web de CNN, voit la liaison ci-dessous). Il est aussi important de noter que des données satellites n'incluent pas de pièces de déboisement ci-dessous 6 ha. (Le déboisement sur cette balance(échelles) peut être causé par l'enregistrement(exploitation des bois) sélectif et des petits règlements de forêt; il est estimé que les colons de forêt purifient ~4 ha/year/family ).

Cette information a avec bonté été envoyée à EWGA par Roberto Smeraldi des Amis de la Terre International – Programme Amazonia.

 

Table : moyenne de la déforestation (km2/an) de 1978 à 1997

 

Amazon State

77/88*

88/89

89/90

90/91

91/92

92/94**

94/95

95/96

96/97

Acre

620

540

550

380

400

482

1208

433

358

Amapa

60

130

250

410

36

-

9

-

18

Amazonas

1510

1180

520

980

799

370

2114

1023

589

Maranhão

2450

1420

1100

670

1135

372

1745

1061

409

Mato Grosso

5140

5960

4020

2840

4674

6220

10391

6543

5271

Pará

6990

5750

4890

3780

3787

4284

7845

6135

4139

Rondônia

2340

1430

1670

1110

2265

2595

4730

2432

1986

Roraima

290

630

150

420

281

240

220

214

184

Tocantins

1650

730

580

440

409

333

797

320

273

Amazonia

21130

17860

13810

11130

13786

14896

29059

18161

13227

 

*Moyenne pendant décennie ** Moyenne pendant cette période   

Données d'AP et INPE (Instituto Nacional de Pesquisas Espaciais)

Table prise de site Web de CNN-11 février, 1999. Pour le récit détaillé dans le portugais voir Amenta o desmatamento da Amazônas (http://www.cnn.com/espanol/ ).

 

source : http://www.amazonia.net/Articles/198.htm

 

Article : Deforestation and Development in Amazonia

site : http://www.nasm.si.edu/ceps/research/AMAZON/amazon.html

 

Le dangers pour les amérindiens (le combats du grand chef Yanomami Rauni, de Kenny Good, de « Davi Yanomami » (http://www.survival-international.org/fr/)  et celui du syndicaliste disparu Chico Mendès _ www.chicomendes.com/ ).

 

(Voir : Amazon Journal: Dispatches from a Vanishing Frontier, by Geoffrey O'Connor, Edition: Hardcover ...).

AMAZONIE, LA RUÉE SAUVAGE

 

Amazonie, la ruée sauvagePoumon de la terre, Eldorado mythique et objet de toutes les convoitises, l'Amazonie souffre aujourd'hui de la mégalomanie des hommes. En remontant le fil d'un siècle d'histoire grâce à des archives inédites, témoins du passé et analystes d'aujourd'hui dressent le bilan consternant d'une exploitation sauvage et excessive menée au détriment de l'homme.

C'est l'histoire d'un gâchis. Economique, environnemental et surtout humain. En un siècle, la conquête de la plus grande forêt du monde a fait plus de dégâts que cinq siècles de colonisation latine. Vierge à 99 % à la fin du siècle précédent, l'Amazonie devient au XXe siècle l'enjeu d'intérêts politiques, économiques et privés, brésiliens et étrangers. Les batailles et les projets qu'elle génère sont à l'image de sa taille : démesurés.

L'ancien "gran Para" connaît son premier grand boom économique grâce au cycle du caoutchouc. L'"or blanc" donne du travail à 300 000 déshérités, assoit la prospérité de la ville de Manaus, mais déjà prépare le lit des catastrophes futures. Pour l'hévéa, on entreprend la construction de la ligne de télégraphe qui permettra de relier l'Amazone au Mato Grosso. Grâce à la philosophie positiviste de son promoteur, le major et métis Candido Rondon, la conquête des territoires indiens pour l'installation des stations de transmission s'accompagne d'une entreprise de pacification et de reconnaissance des différents peuples de la région.

Hélas, l'exemple de Rondon est rare. La construction à travers la jungle de la ligne de chemin de fer destinée à faciliter le transport des balles de caoutchouc durera quatre ans et entraînera la mort de milliers d'ouvriers victimes des conditions de travail et de la malaria. La concurrence anglaise en Asie met fin au rêve amazonien. L'industriel Ford tentera de le faire revivre pour fabriquer les pneumatiques destinés à ses automobiles et briser le monopole anglais. Aujourd'hui, Fordlandia, ville créée de toutes pièces et véritable camp de travail pour les ouvriers, n'est plus qu'un vaste bidonville. Un champignon dévastateur a eu raison des plantations de Ford.

L'ère du caoutchouc connaîtra un dernier sursaut avec la Seconde Guerre mondiale avant d'agoniser définitivement. Avec les dictatures militaires qui se succèdent à partir de 1964 commence la période la plus noire de l'Amazonie. La réalisation de la Transamazonienne est à l'image des chantiers titanesques, coûteux et inutiles entrepris à seules fins politiques, avec des conséquences dramatiques pour les populations locales. Cette saignée de 2 500 km au coeur de la forêt a non seulement entraîné le déplacement de milliers de familles de paysans, l'extinction de centaines de tribus indiennes (Waimiri-atroari, Yanomamis, Caiapos …), mais aussi une déforestation qui ne cesse de gangrener l'Amazonie, "une terre riche avec des hommes pauvres"...

Anne-Laure Fournier


 A consulter

- "Le rêve amazonien" : une série d'articles parus dans Le Monde à partir du 12/7/03, inspirés du documentaire.
"On estime la destruction de la floresta amazonica à 5,8 millions d'hectares par an. Un phénomène qui prend une dimension particulière au Brésil puisque le pays représentait 8 % des exportations mondiales de bois dur en 1995. Cette déforestation progresse d'année en année et les études scientifiques établissent que le cycle de vingt-cinq à trente ans nécessaire pour la régénération n'est désormais plus respecté." - Le Monde diplomatique, novembre 1996.

Source : http://www.france5.fr/articles/W00068/1179/

 

Le Brésil a mis en place satellite brésilien d'observation de la forêt amazonienne.

Le gouvernement brésilien a inauguré mardi un système d'observation par satellite pour contrôler les processus de déboisements, brûlis et incendies en Amazonie.

Un budget de six millions de reals (deux millions de dollars) sera consacré à surveiller les 5,2 millions de km2 de l'Amazonie brésilienne (dépêche du 13.04.2004).

Source : http://perso.wanadoo.fr/metasystems/Kiosque/Kiosque_Environnement.html

 

Malheureusement, ce satellite ne fait que surveiller. Aucune politique, accompagnée d’un budget conséquent, n’a été mis en place, permettant des contrôles au sols, fournissant des moyens humains, des policiers, gardes forestier, pour lutter contre les défrichages illégaux.

 

Ces défrichages illégaux sont eux-même souvent l’œuvre de paysans pauvres sans terre, souvent venant du Nord-Est (et expropriés ou rejetés par les riches propriétaires terriens …), de sans emplois et n’ayant aucune connaissance de la culture de terres amazoniennes (qui en fait sont pauvres en sels minéraux en raisons du lessivage permanent) et ne connaissent que la culture sur brûlis (personne ne connaît les techniques de culture et de production de « terra preta »).

 

 

Incendie de forêt et culture sur brûlis en Amazonie (Brésil)

 

Le gouvernement militaire brésilien n’a lui-même pas montré l’exemple, en offrant des parcelles à défricher le long de la route Trans-Amazonienne (qui traverse tout la forêt amazonienne), aux personnes sans emplois (surtout aux paysans sans terre …), dans les années 70. Contribuant à renforcer grandement le processus de déforestation de l’Amazonie.

 

Photos satellite de la déforestation en Amazonie SPOT Image

5.5.6      Bolivie

 

Déforestation en Bolivie.

5.5.7      Chili

 

Les communautés de Mapuche en conflit depuis l' territoire héréditaire de la nation de Mapuche par les républiques du Chili et de l'Argentine, en 1885, des gouvernements successifs ont légiféré pour "protéger" la possession de la terre des communautés indigènes.  Néanmoins, les propriétaires nationaux et étrangers de grand domaine, compagnies et les états nationaux ont illégalement saisi les terres des mapuches, en particulier pour l’exploitation du bois (Aurocarias etc …).

 

5.6      Europe

 

Sous l'oeil des satellites
La régression des espaces naturels européens se révèle inquiétante(17/11/2004).

 

Le quadrillage de l'espace de 31 Etats, du Portugal à la Roumanie en passant par Chypre ou l'Estonie, est assuré par les satellites de l'Agence européenne de l'environnement (AEE). Les conclusions du programme Corine Land Cover, concernant la période 1990-2000, seront présentées demain à Bruxelles. Selon Ronan Uhel, responsable du département analyse spatiale de l'AEE, la première grande tendance observée est l'étalement urbain.
"Dans la continuité des années 1970 et 1980, l'urbanisation s'est poursuivie à un rythme rapide dans les années 1990. Dans le Nord, elle est due à l'habitat alors que, dans le Sud, elle est liée à l'activité industrielle ou artisanale", explique le scientifique. Malgré les politiques environnementales, le grignotage des terres concerne également le pourtour méditerranéen et le littoral atlantique, où les arrière-pays ont été, à leur tour, touchés par l'urbanisation. Pour Ronan Uhel : "Cette évolution est liée au boom du tourisme et surtout à l'élévation du niveau de vie des personnes âgées qui achètent davantage de résidences secondaires. Ces deux phénomènes ont entraîné une hausse des infrastructures liées aux services."
Une bombe à retardement
A la suite de la réunification, l'espace allemand a aussi été profondément modifié. Selon Ronan Uhel, "pour combler le retard de l'Est, environ 120 hectares par jour ont été soumis à une artificialisation".
Entre les développements urbains et agricoles (dans le Nord et dans les nouveaux pays européens), 2% des terres - jusqu'à 10% pour certaines zones - ont vu la nature de leur sol modifiée en dix ans. Conséquence : le territoire apparaît de plus en plus fragmenté. Et le phénomène devrait prendre de l'ampleur. "Pour assurer une cohésion territoriale au sein de l'Union européenne, nous avons construit 15 000 kilomètres d'autoroutes. Pour intégrer les dix nouveaux Etats membres, 12 000 kilomètres supplémentaires vont être nécessaires", estime Ronan Uhel qui n'hésite pas à parler d'une "véritable bombe à retardement".
Cette consommation excessive de l'espace naturel menace la biodiversité. "Face à des espaces fragmentés, les échanges entre espèces sont de plus en plus difficiles, explique le scientifique, et certains corridors écologiques sont aujourd'hui en danger." La directive européenne Natura 2000 censée protéger les espaces naturels n'a pour l'instant rien changé et l'écologie ne fait toujours pas le poids face aux politiques d'aménagement du territoire qui restent du ressort des Etats. Judith Korber

 

Source : Journal « Métro Paris France » du mercredi 16 novembre 2004 http://www.metrofrance.com/site/home.php?sec=contenu&Idarbo=21&Idarbo1=7&content=1&id=43465&resec=liste_complete&vi=

5.6.1      France

 

Une des meilleures situations en Europe de l’Ouest (une des meilleurs couverture forestières de l’Europe l’ouest). Diminution des coupes claires (ou coupe à blanc) _ dans le massif des Vosges … _ et de la monoculture depuis les années 2000 (sous l’impulsion de l’ONF).

 

« Nouvelle circulaire sur les achats publics de bois

Le Premier ministre a approuvé le 5 avril 2005 une circulaire qui détermine les moyens à mettre en œuvre pour promouvoir la gestion durable de tous les types de forêts, qu’elles soient tropicales ou tempérées. Cette circulaire, conforme au plan d’action du Gouvernement en faveur des forêts tropicales adopté 7 avril 2004 , prévoit notamment que tous les achats publics de bois tropicaux proviendront d’ici 2010 de forêts gérées de façon durable.
Le texte a été publié au Journal officiel du 8 avril 2005.

Cette circulaire s’adresse aux services de l’Etat et aux établissements publics sous tutelle. Les collectivités territoriales peuvent utilement s’y référer.
Le plan d’action vise à accroître progressivement la part dans les achats publics de bois écocertifiés issus d’exploitations forestières engagées dans un processus de gestion durable : cette part devra être d’au moins 50% des achats de bois en 2007 et de 100% en 2010.
Afin d’accompagner les acheteurs publics, le groupe permanent d’étude des marchés " développement durable, environnement " a réalisé une notice contenant les informations pratiques nécessaires à la bonne mise en œuvre de ces dispositions (information sur les critères de gestion durable des forêts, les systèmes de certifications, les éco-labels…).
Ce document d’information est disponible sur le site du Ministère de l’Economie, des Finances et de l’Industrie
. » source : http://ecotourisme-magazine.hautetfort.com/actu/

 

5.6.2      Finlande

 

Beaucoup de coupes claires pratiquées par les forestiers.

Il y a combat des forestiers contre le passages des rennes des éleveurs de rennes lapons (sams), dans leur forêt, pour la raison que les rennes pour manger le lichen des arbres arracheraient les écorces des sapins et les abîmeraient. Les droits ancestraux oraux des éleveurs de rennes lapons sont battus en brèche au niveau des tribunaux par les forestier.

 

6         Les catastrophes écologiques passées dans le monde

 

1) l'île de Pâques :

Historique de l'île reconstituée, d'après les derniers travaux archéologiques et palynologiques.
Parler de l'arbre "SOPHORA TOROMIRO" qui couvrait l'île, de sa quasi-Disparition à cause de l'homme,
 
2) Madagascar (sa déforestation de la forêt primaire originelle du fait de la culture sur brûlis _ les tavys).

Les données de le paléontologie et de la palynologie. Historique.
Présentation des images actuelles de la culture sur brûlis.


3) Le désastre maya (vers l'an 800, due à une surpopulation locale et une grande sécheresse) :

(cette dernière question est à traiter avec prudence en fonction des données actuelles encore parcelaires).

 

 

7         Les moyens de luttes et la reforestation …

 

7.1      Généralités

 

L’ Arrêt de Déboisement Tropical

Par John Revington

 

"S'il doit être même une petite chance pour retransmettre les pressions sur le biote tropical, des changements fondamentaux du système Commercial du Monde et les rapports de base entre des nations riches et pauvres doivent avoir lieu." (Anne et Paul Ehrlich 1988) [1]

 

Comme décrit dans un article dans la dernière question(publication) (les Causes de Déboisement Tropical) la cause de base de la plupart de destruction de forêt tropicale humide est le développement circonvenu. N'importe quelles "solutions" du problème qui ne réussit pas à reconnaître la cause sous-jacente peuvent au mieux ont limiter le succès et dans des nombreux cas, ils font la situation plus mauvaise. Des solutions réalistes doivent être basées sur la réalisation que le déboisement tropical implique caractéristiquement le disempowerment de propriétaires terriens traditionnels et leurs droits doivent être respectés.

 

Solutions Fausses : 1. L'enregistrement(exploitation des bois) "Durable" Commercial Sur un niveau gouvernemental, des solutions essayées du déboisement causé par l'industrie de bois de construction a souligné la nécessité de soutenir l'extraction de bois de construction durable. Telles approches assument, sans soutenir la preuve(évidence), que les forêts tropicales humides peuvent être employées comme une base de ressource industrielle pour le bois de construction sur une base durable. Cela a abouti plus plutôt que moins de déboisement. L'Organisation de Bois de construction Internationale Tropicale (ITTO) a dû reconnaître que des tentatives sérieuses à la gestion durable de forêts tropicales humides pour la production de bois de construction sont à une échelle du monde, "négligeable".

 

Aussi bien que les obstacles techniques pour le caractère durable, l'industrie s'est montrée pour être incapable de fonctionner libre(gratuit) de la corruption. La seule tentative systématique de révéler une telle corruption a été en Nouvelle Guinée Papua, où un récent demandent conclu que "il ne peut y avoir aucun doute que l'industrie de bois de construction, par sa très nature, est contribuant aux actes d'une nature criminelle et agit contrairement à l'administration légale et appropriée du gouvernement. [3]

 

2. Le Plan d'Action de Sylviculture Tropical (TFAP), la première initiative principale internationale d'aborder le déboisement tropical, a été lancé en 1985 par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture de l'ONU (FAO), l'Institut de Ressources du Monde, la Banque mondiale et le Programme de Développement de Nations unies. Il a prétendu offrir un remède pour le déboisement tropical et ses causes supposées, mais ses défauts étaient apparents depuis le début. Il était basé en supposant que la pauvreté et le surpeuplement soient les causes principales sous-jacentes de déboisement tropical et aient échoué reconnaître le rôle des pays développés. Il a payé le service de lèvre au rôle de ' le fait d'être sans terre et le développement destructif, mais n'a fait aucune tentative réelle de traiter avec eux. Le TFAP a considéré le déboisement suite à trop peu de contrôle du gouvernement et a appelé à toutes les forêts tropicales humides à finalement venir sous la juridiction du gouvernement. Plutôt que l'appel aux réformes à la propriété foncière injuste, le TFAP exige souvent l'annexion de pays traditionnels pour des états(propriétés) de sylviculture du gouvernement. [4]

 

La question(publication) sur laquelle le TFAP a été plus critiqué est son encouragement d'enregistrement(exploitation des bois) accru. Le TFAP voit la destruction de forêt suite à la pauvreté et l'industrie de bois de construction est assumée pour soulager la pauvreté dans des secteurs ruraux. On voit donc l'enregistrement(exploitation des bois) comme la directement réduction de la cause principale sous-jacente de déboisement. Au FAO, le corps de direction pour TFAP, on peut voir la dégradation causée en enregistrant, comme un compromis tolérable.

 

Les pays de donateur(donneur) deviennent voulants pour financer(consolider) des projets de TFAP. Le Pérou, la Colombie, le Panama et l'Argentine a reçu moins de 10 % du financement(consolidation) exigé pour leurs projets de TFAP nationaux. Le sénat des EU refuse maintenant de financer(consolider) le TFAP du tout et la Grande-Bretagne a dit qu'il se retirera du Plan entièrement à moins que la coordination du TFAP ne soit déplacée du FAO.

 

3. Les Limites de Stratégies Remplaçantes

 

Une proportion significative de diversité biologique tropicale serait déjà perdue si les réserves naturelles, souvent amorcées(introduites) par des organisations de conservation privées, n'avaient pas été établies. Cependant, tous des peuples trop souvent indigènes, vivant harmonieusement avec leur environnement, ont été expulsés de secteurs protégés ou soumis aux commandes qui a mené à la désintégration de leurs cultures. [5] c'est une idée fausse pour croire que les réserves naturelles peuvent conserver la proportion plus grande de la diversité génétique de forêts tropicales humides, où le numéro(nombre) des individus de chaque espèce par le secteur d'unité a tendance à être bas, mais le numéro(nombre) total d'espèce peut être énorme. En moyenne, dix hectares de forêt tropicale humide de plaine en Asie du Sud-Est contiendront plus d'espèce d'arbre que tout le Amérique du Nord. [6] Il est donc inévitable que n'importe quels projets à grande échelle qui détruisent des forêts tropicales humides mènent à l'extinction de centaines d'espèce.

 

Seulement en fournissant la protection possible la plus large pour les forêts tropicales humides restantes primaires le feront(seront) être possible de sauver(économiser) la partie plus grande de la diversité biologique de la Terre de l'extinction. Les réserves naturelles Strictement protégées peuvent seulement être une mesure positive dans un programme complet pour la protection d'écosystèmes de forêt tropicale humide. La création de réserves naturelles ne doit pas être employée comme la justification pour l'exploitation destructive de secteurs de forêt tropicale humide non protégés. [7]

 

4. Le Programme de Diversité biologique International

 

La Banque mondiale poursuit le but d'un global(mondial) "le Programme d'Action de Diversité biologique". Comme le TFAP, ce plan ne réussit pas à confronter les causes sous-jacentes de perte de diversité biologique et est probable pour empirer le problème que l'on suppose que cela résout. La perte de diversité biologique dans des régions tropicales est due à la tendance vers le remplacement(remplaçant) d'agriculture traditionnelle riche en espèce et la sylviculture avec des monocultures. Encore sous le Programme de Diversité biologique, les monocultures seraient encouragées. Le Programme voit la mise de côté de réserves comme la solution du problème, mais la taille minima exigée pour les secteurs viables de forêt tropicale est inconnue. Plus mauvais, la mise de côté de réserves va probable être employée comme une excuse pour l'exploitation sans restriction de secteurs non protégés. Le Programme augmenterait aussi le contrôle de diversité biologique par le Nord à la charge du Sud.

 

VERS SOLUTIONS RÉALISTES :

 

Les alternatives à l'exploitation destructive de forêts tropicales doivent être trouvées dans des initiatives à petite échelle venant de la base dans des pays tropicaux, pas de projets de prestige mal conçus à grande échelle comme le TFAP

 

1. Reconnaissance des Droits de Propriétaires Traditionnels.

 

Le Mémorandum de Forêt tropicale humide australien, produit par le Centre d'Information de Forêt tropicale humide et approuvé par plus de 40 organisations non gouvernementales, affirme que : "le droit à la survie culturelle pour tous les peuples tribals est inviolable. Tous les efforts possibles doivent être faits pour soutenir et sauvegarder leurs droits et ceux d'autres habitants de forêt, en particulier le droit à la sécurité de propriété foncière." [9] Environ mille cultures de forêt tropicale humide existent toujours . Presque tous sont dans le conflit avec les stratégies de développement des classes dominantes sociales et les agences de développement internationales qui ont pris le contrôle de leurs pays et qui ignorent successivement leurs droits de base et souvent même leur très existence.

 

Il est significatif que les projets les plus couronnés de succès de sauver(économiser) des forêts tropicales humides sont ceux qui ont été effectués en coopération avec les propriétaires traditionnels des forêts. En Nouvelle Guinée Papua et l'Equateur, le Centre d'Information de Forêt tropicale humide et d'autres organisations a été impliqué dans les arrangements qui soutiennent les aspirations de développement légitimes de propriétaires terriens traditionnels avec des projets à petite échelle autonomes. En 1990, le Gouvernement colombien a rendu la moitié de son territoire Amazonian à ses propriétaires légitimes indiens, reconnaissant qu'ils étaient les meilleurs gardiens(tuteurs) de la forêt. En Malaisie, l'Indonésie et beaucoup d'autres pays où les droits de propriétaires traditionnels ont été ignorés, essayent de sauver(économiser) des forêts tropicales humides ont été uniformément échoué.

 

2. Valeurs de Non-bois de construction

 

La valeur économique de tenir des forêts tropicales humides intact est souvent laissée échapper. Les forêts tropicales humides fournissent les sources essentielles et renouvelables de fruits, des fibres, des amidons, des huiles(pétroles), des médicaments, le bois de chauffage, des produits animaux, construisant des matériels et d'autres projets quand l'extraction est bien gérée. Cependant, la valeur de marchandises de forêt tropicale humide et des services aux populations locales humaines est d'habitude ignorée dans les analyses économiques sur lesquelles les décisions de développement sont basées parce que ces sociétés fonctionnent souvent avec la petite participation(engagement) dans l'économie monétaire.

 

Dans beaucoup de pays tropicaux, les sections principales de la population dépendent directement de forêts tropicales humides intactes pour leurs besoins quotidiens. Les gens de la Nouvelle Guinée Papua, par exemple, obtiennent 60 % de leur protéine animale de secteurs de forêt tropicale humide. [10]

 

Dans les grandes régions de l'Afrique occidentale, les gens ont jusque récemment rencontré 70 % de leurs besoins de protéine animaux de forêts tropicales humides. Cette situation changée comme les forêts a été détruite par l'établissement de plantations d'exportation et l'industrie de bois de construction. [12]

 

Bien que la gestion prudente de produits de forêt de non-bois de construction ait considérable national et international; le potentiel, ces ressources sont perdues par la destruction des forêts tropicales. Dans l'Amazone, plus de deux millions de personnes dépendent du caoutchouc, des noix du Brésil et d'autres produits de forêt "mineurs("secondaires") sans endommager l'intégrité biologique de la forêt tropicale humide. Des études récentes ont montré que la valeur de produits de forêt de non-bois de construction souvent loin excède la valeur de bois de construction dans des forêts tropicales. Une étude dans les forêts tropicales humides du Pérou a montré que la valeur économique des produits de forêt mineurs(secondaires), incluant des fruits, des résines et les médicaments qui ont été en réalité commercialisés, a excédé la valeur d'employer la forêt pour le bois de construction par neuf à un. [13]

 

Cependant, l'évaluation du potentiel de projets de forêt de non-bois de construction de prévoir(pourvoir) le marché au-delà d'un niveau régional doit inclure l'audit prudent écologique. La connaissance disponible suggère que les caractéristiques spécifiques écologiques et le sol et les conditions de microclimat de forêts tropicales humides limitent les possibilités pour l'exploitation durable à un degré beaucoup plus grand que dans des écosystèmes tempérés.

 

Des forêts tropicales humides En fait primaires ont le potentiel considérable économique comme un entrepôt de drogues(médicaments) utiles dans la médecine moderne. [14] les bénéfices économiques de la forêt tropicale humide le matériel génétique a aussi été laissé des analyses de coût / avantage de développement projette l'affectation de secteurs de forêt tropicale humide, bien que l'extinction d'une espèce d'usine(plante) simple avec les gènes qui pourraient être employés dans une récolte agricole puisse bien représenter une perte de milliards de dollars. [15]

 

3. Le Fardeau de Dettes

 

Comme des organisations non gouvernementales du Tiers-Monde ont désigné à plusieurs reprises, il n'y aura aucune chance pour arrêter l'appauvrissement des gens et la destruction de nature dans la plupart des pays de Tiers-Monde sans une solution de la crise de dettes.

 

Les cinq pays avec les plus grands secteurs de forêt tropicale humide sont aussi parmi le mondial plus lourdement des pays endettés et la pression pour couper et purifier les forêts tropicales humides pour financer le remboursement de dettes se sont intensifiés. Les conditions imposées par le Fonds monétaire international forcent souvent des pays lourdement endettés de vendre leurs ressources naturelles loin plus de l'exploitation durable. [16]

 

4. Fin surconsommation et Exploitation Économique

 

Un nécessaire initial interviennent la destruction de forêt tropicale humide finissante est pour chacun du mondial sur des pays développés pour reconnaître les voies dans lesquelles il contribue au déboisement et les arrêter. C'est avec ce principe en mémoire que les Mémorandums de Forêt tropicale humide ont été ou sont produits en Allemagne, l'Autriche, l'Australie, la Belgique et les Etats-Unis. Le Fardeau de Dettes est un symptôme du système global(mondial) économique qui permet aux pays overdeveloped d'exploiter de pauvres pays et consommer les ressources mondiales à un taux non durable. N'importe quelle solution durable du problème de déboisement tropical exige une fin à overconsumption présent suicidaire et l'obsession avec la croissance économique à l'Ouest.

 

Source: http://www.ru.org/stopping-deforestation.htm

 

Amazonie, Brésil, déforestation - ©Nair Benedicto/F4

7.2      Les projets de reforestations et de luttes actuels

 

7.2.1      Introduction sur les moyens de lutte et la reforestation

 

Des solutions : le semis direct ...
Les ONG et organismes présents sur le terrains (voir dans le dossier "Reforestation à Madagascar" sur le site de mon association "La Transhimalayenne"). 

7.2.2      Brésil :

 

Espoir : Cultiver sur la « terra preta » (les recherches des universités brésiliennes, avec
l'Université allemande de Bayreuth).
Source : http://www.geo.uni-bayreuth.de/bodenkunde/terra_preta/

(« Terra preta » home site).

7.2.3      Chili

 

Sedes Instituto de Investigación Forestal de Chile

 

Oficina La Serena (Chile)
Colina San Joaquín s/n
La Serena
Fono: (56-51) 22 32 90
Fax: (56-51) 88 70 60

Sede Centro Norte (Chile)
Huérfanos 554
Casilla 3085
Santiago
Fono: (56-2) 693 07 00
Fax: (56-2) 638 12 86

Sede Bío Bío (Chile)
Camino a Coronel Km. 7,5
Casilla 109 C
Concepción
Fono/Fax: (56-41) 74 90 90

Sede Los Lagos (Chile)
Fundo Teja Norte
Casilla 385
Valdivia
Fono: (56-63) 21 14 76
Fax: (56-63) 21 89 68


Sede La Patagonia
(Chile)
Baquedano 645
Coyhaique
Fono: (56-67) 23 47 04
Fax: (56-67) 23 35 85

Sede Austral (Chile)
Quillota 869
Punta Arenas
Fono: (56-61) 22 63 39

 

7.2.4      Madagascar

 

 

7.2.5      Ile de Pâques

 

La redécouverte des graines de Séphora Toromiro et les tentatives actuelles de replantation de cet arbre.

7.2.6      Algérie

 

> Reboisements (réalisés de 1962 à 1998) par l'administration 536 000 ha

> Plantations réalisées dans le cadre du barrage vert : 86 909 ha

> par le volontariat estudiantin : 105 031 ha

> Total formations forestières replantées en 40 ans : 4 118 940 ha (~102973,5 ha/ an).

Source : www.fao.org/DOCREP/003/X6771F/X6771F08.htm

 

18/ KHOUS M.G., 2004. Les reboisements en pin d’Alep du barrage vert : enjeux et perspectives. “ La forêt algérienne ” (sous presse).

19/ KHOUS M.G., 2002. Stratégies mises en place pour la sauvegarde des peuplements forestiers en Algérie : cas du barrage vert. Conférence présentée à l’occasion de journées de l’environnement dans des lieux publics divers.

 

Monsieur Mohamed Ghazali KHOUS a travaillé plus de 15 années en qualité de chef de département de protection des forêts en Algérie, connaît bien les problèmes des forêts méditerranéennes. E-mail : mkhous@yahoo.fr

 

Vidéo, Le barrage vert de l'espoir, 1987, Durée 28 mn.Centre d'Information Inter-Peuple (CIIP) _Comment depuis 20 ans l'Algérie lutte contre la désertification et l'exode rural par le reboisement et l'installation de villages. Source : http://perso.wanadoo.fr/ciip/docum/outils/video/maghreb.htm

 

(http://ibelgique.ifrance.com/afrique-en-vert/green_algerie.html ne fonctionne plus).

 

Travaux de sensibilisation de la population à l’intérêt de préserver la nature :

ACHOUR Farid, Adresse perso.: Souk el tnine village lota, Bejaia 06000, Algérie.

Bureau : Direction des forêts, Parc national de Gouraya, Sidi touati, Bejaia 06000, Algérie

Tel/Fax bureau:            05 21 19 47 / 05 21 27 82

Source : http://www.dz.undp.org/ERED/ACHOUR%20Farid.html

LE PNUD en Algérie : http://www.dz.undp.org/ (donne une liste d’expert sur la faune et flore).

http://acybersahara.cybersahara.com/news.html

 

En Algérie la recherche forestière est du domaine de compétence de l’institut national de la recherche forestière (INRF) organisé en équipes de recherche dans des stations régionales de recherche réparties à travers les différentes zones écologiques du pays. Bien que les chercheurs de cet institut aient obtenu des résultats appréciables dans le domaine de la recherche – développement en matière de reboisement, de lutte contre l’érosion et la désertification, de lutte contre les maladies et parasites, de sylviculture et de conservation de la biodiversité, avec trop souvent des moyens dérisoires, ces résultats restent insuffisants et pas assez performants; or le développement de la foresterie et sa contribution efficace à l’économie et au bien-être national suppose entre autres l’existence d’institutions de recherche hautement performantes. Pour atteindre cette performance élevée les autorités s’attacheront à mettre en place un environnement de recherche adéquat, des capacités et des moyens suffisants; mais s’évertueront également à réunir des scientifiques bien formés et motivés.

La recherche forestière s’inscrit dans le cadre de la recherche scientifique nationale laquelle est dotée d’un programme national dont la mise en œuvre est confiée à des institutions spécialisés dépendant des différents secteurs ou du ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique. Ce programme est coordonné par un conseil supérieur composé de tous les secteurs concernés. Une loi programme a été adoptée , elle est destinée à financer le programme national réalisé par des institutions et des centres de recherche et confié à différentes équipes spécialisées et souvent pluridisciplinaires. Grâce à cela et à l’assouplissement des modalités de décaissement, les fonds destinés à la recherche ont sensiblement augmenté et sont mieux utilisés.

Source : http://www.fao.org/documents/show_cdr.asp?url_file=/DOCREP/003/X6771F/X6771F03.htm

 

Informations sur les moyens de lutte contre les chenilles processionnaires :

    

Le traitement préconisé est à base de Bacillus thuringiensis [kurstaki (Btk)] sérotype 3a3b ou équivalent, en pulvérisation sur l'ensemble du feuillage, vers la deuxième quinzaine du mois de septembre (stade larvaire non allergène). Ce produit possède une spécificité d'action sur les larves de Lépidoptères et une très faible toxicité sur les espèces non cibles. D'autres produits sont homologués et peuvent parfaitement être utilisés. Les traitements préventifs doivent impérativement être maintenus pendant plusieurs années pour prévenir efficacement l'apparition des cocons (la diapause au stade chrysalide peut durer jusqu'à quatre années).

Docteur Gilbert GAULT, Département d'Ecologie Urbaine (D.E.U.),

tel : 33 -4 72 83 14 00 ; fax : 33 -4 72 83 14 40 , e-mail : eco-urb@mairie-lyon.fr 

Source : http://intracom-cite.univ-aix.fr/Mpract/Ly-Chenille.htm

 

(2) Ces insecticides se présentent sous la forme d'une poudre qu'on dilue dans l'eau et pulvérise [souvent par hélicoptère ou avion] sur l'ensemble du feuillage. Le principe actif (BT) est bactériologique et non chimique : c'est un bacille provoquant une maladie mortelle des chenilles ; le bacille est ingéré par les chenilles lorsqu'elles mangent des aiguilles qui ont reçu le produit. source : http://www.infoventures.com/e-hlth/pestcide/bacillus.html

 

(3) Actuellement, seuls les trois premiers stades larvaires sont généralement visés par ce type de traitement, mais le Btk est aussi efficace contre les stades L4 et L5 (Démolin et Martin, 1992 ; Martin et Mazet, 2001).

source : http://www.avignon.inra.fr/internet/unites/rfm/%20unite_experimentale/pp-intro/pp-lutte

 

Note: Il n'existe pas que le Bacille thuringiensis [qui marchera jusqu'à ce que la chenille développe une résistance] comme moyens de lutte. Il semblerait qu'il existe aussi :

a) une sorte de guêpe (?), qui pond ses larves dans le corps des chenilles,

b) des fourmis (il me semble que la fourmie rousse pourrait jouer ce rôle dans les forêts de pins française ...

_ dernières  informations à vérifier. Mais peut-être, que, même si ces informations sont vraies, ces espèces ne sont pas adaptables au contexte écologique algérien (limite désert, steppe, climat méditerranéen aride etc ...).

 

Il y aussi les moyens les plus rudimentaires, mécanique : une surveillance régulière de la forêts (par les enfants des écoles, sous la supervision de leur instituteur etc ...). Et on coupe toute branche suspecte (dès qu'on y détecte un début d'infection) ... branche qu'on jette au feu.

 

7.3      Reforestation du Sahel (Sénégal, Niger, Mali, Burkina Fasso …).

 

Institut Forestier et Agricole du Sahel  : Organisme de formation Agricole du Sahel.

Cet institut de formation rurale est destiné à aider les populations environnantes à se doter des techniques et des outils pour effectuer la transition entre une agriculture vivrière de pénurie et une agriculture commerciale prospère. Cette transition sera amenée dans une perspective de développement intégré en apportant une attention particulière au milieu forestier, à la gestion des ressources aquifères et à l'éducation des femmes.

L'IFAS formera des cadres pour le projet agricole. Le projet agricole aidera à financer l'IFAS. Le reste du financement de l'IFAS se fera par les frais de scolarité et l'aide extérieure.

Il aide des projets de reforestation en Afrique par exemple au Sénégal le projet Beersheba (partie entreprise du projet de reforestation).

Au Sahel, le bois est majoritairement utilisé comme combustible et comme matériau de construction. La surpopulation rurale a rompu l'équilibre entre l'homme et la forêt. En zone rurale, le prélèvement quotidien pour les besoins domestiques a depuis longtemps atteint un seuil insupportable. En zone urbaine, les besoins croissants en bois et en charbon accentuent encore la pression sur l'environnement. On estime que la ville de Dakar a un impact dégradant sur la forêt se faisant sentir jusqu'à 800 km de distance ! Le recours de plus en plus fréquent des populations aux bonbonnes de gaz pour la cuisson des repas ne résulte pas d'une amélioration du niveau de vie mais bien au contraire d'une dégradation d'un environnement où le bois est de plus en plus absent.

Voir aussi le site http://www.beersheba.org                          

Logo de l’association Beersheba

 

Reforestation au Burkina Faso :

 

« Grâce aux clôtures qu’ils confectionnent eux-mêmes, ces paysans africains tiennent les chèvres boulimiques en respect, et autorisent ainsi la nature épuisée par la sécheresse à se rétablir. Il suffit de quelques années pour voir croître la végétation reconnaissante et généreuse en nourriture et en fourrage, offrant une  nouvelle perspective d’avenir.

 

L’association newTree-nouvelarbre finance les poteaux de fer et les paysans de Pobe, l’un des 14 villages burkinabés impliqués, prennent en charge le reste. Sous la houlette d’un technicien autochtone, ils cimentent les poteaux, les plantant profondément dans la terre ingrate, puis ils tissent entre eux une clôture en mailles de fer. A les voir encercler un hectare de vulgaire terrain vague, l’on serait tenté à première vue de juger l’entreprise insensée. 

Aujourd’hui, 14’000 arbres grandissent sur 16 hectares de terre clôturée au Burkina Faso, et ce sans reboisement ni arrosage. Après cinq ans de protection et de soins, la forêt suffisamment développée délivre aux villageois de l’herbe pour le fourrage , des fruits et des noix. Ils peuvent de plus vendre au marché ce qu’ils ne consomment pas.»

 

new Tree - nouvel arbre, Bollwerk 35, 3011 Bern, e-mail : info@newTree.ch

www.newTree.ch  

Contact pour infos suppl. : Dr. Felix Küchler, Pestalozzistr. 8, CH 3007 Bern

Tel/Fax 031  371 09 55 / Cellulaire   079  752 41 10

Courriel  felix.kuechler@newTree.ch

 

pose de la clôture

 

Reverdir le Sahel

Illustration : Reverdir le Sahel

Reforestation au Sahel, Irrigasc

     

En 30 ans, le désert du Sahel a progressé vers le sud de l'Afrique de 150 à 200 km sur un front de 4 000 km, de Djibouti au Sénégal. Une surface supérieure à la superficie de la France. Pourtant, à Fatick, au Sénégal, à 150 km au sud-est de Dakar, ce n'est pas le cas. Ici il y a des arbres, de fruits, de l'ombre... et le désert n'a plus sa place.


L'irrigation goutte à goutte


Au contraire des véritables déserts, comme le Sahara, les zones du Sahel devenues désertiques sont encore fertiles en profondeur. Toute la difficulté pour les cultures consiste à les atteindre. Les chaleurs du climat au Sénégal - il fait entre 45° et 55° au sol - ne favorisent pas un arrosage en surface. La consommation d'eau est trop importante, l'évaporation est quasi-immédiate et les plantes ne peuvent en bénéficier. Les racines végètent, tire-bouchonnent ou affleurent la surface. Dans ses conditions, l'enracinement et la croissance d'un arbre est impossible. Pour que les racines atteignent les zones humides du sous-sol, l'ingénieur agronome, Jacques Gasc, a imaginé un système d'irrigation raisonné et économique. A côté de chaque plant, à une largeur de main à peine, une sorte d'embout noir dépasse du sol. Cet entonnoir est la face visible de l'Irrigasc, une gaine de polypropylène biodégradable. Le litre d'eau versée dans la gaine trois fois par semaine s'écoule et se diffuse au travers des trous du tube. Qui agit sous terre comme un goutte-à-goutte. Imbibant le sol peu mais suffisament pour "attirer" les racines toutes proches vers le bas, plus en profondeur, vers la zone humide. Efficacité de ce tuteur quasi-naturel : 95 % de réussite, en dépensant 10 fois moins d'eau.


Un contrat sous conditions


L'innovation technique ne suffit pas. Un accompagnement local a lieu, sous la forme d'un contrat de culture signé avec chaque agriculteur. Objectif affiché : l'impliquer en le responsabilisant. Pour bénéficier des plants assistés par Irrigasc, l'agriculteur s'engage à nettoyer et clôturer son champ en y installant des rangées d'arbustes épineux, des euphorbes, pour éviter le passage d'animaux sauvages. Il doit également avoir creusé un puits en état de fonctionner, pour devenir autonome dans l'arrosage de ses cultures. Le contrat est alors rédigé, fixant le nombre d'arbres plantés et les sanctions prévues. Si un arbre meurt, une amende de 1 000 Francs CFA (environ 1,5 euros), à peu près la valeur de l'arbre planté, lui sera réclamée.

Un manguier adulte peut produire 400 kg de fruits par an. Une centaine d'arbres permettent de rendre une famille autosuffisante, en lui fournissant de quoi s'alimenter ou vendre sur les marchés. Les premières années, un rapide calcul montre un gain équivalent à cinq fois le revenu moyen annuel, estimé à moins de 200 euros. Sept ans après le début de la plantation, lorsque l'arbre entame sa maturité, le revenu de l'agriculteur grimpe jusqu'à 10 fois la moyenne, tandis que les racines des arbres s'enfoncent elles à 20 mètres sous terre.

Testé depuis 1996 à petite ou plus grande échelle, au Sénégal et dans d'autres pays africains, les résultats ont dépassé les espérances. Avec le retour de l'humidité, l'écosystème entier se trouve relancé. Même les pluies sont de retour. Aujourd'hui près de 150 000 arbres ont été plantés de cette façon, bien plus que les 20 000 initialement prévus. Le Président du Sénégal a accordé une bourse de 45 millions  d'euros à l'ingénieur français pour qu'il adapte son système à la culture du manioc. Le réseau du Rotary Club, sollicité par Jacques Gasc (dont il est membre), se mobilise et ambitionne d'avoir aidé à planter un million d'arbres en 2007.

 

Maxence Layet Mis en ligne le : 05/05/2004 source : http://www.novethic.fr/novethic/site/article/index.jsp?id=75409

 

GREEN BELT :

Une ceinture verte en savane africaine

 

Un produit acheté, un arbre planté. L’idée est la culture (avec implication des femmes) de pépinières puis de bocages de :

a) l’anacardier (pour la stabilisation des sols grâce à un système radiculaire pivotant et s’enfonçant profondément dans le sol),

b) du chanvre (de la fibre pour le textile et le papier et de la graine pour l’huile alimentaire),

c) du moringa (pour son huile et des tourteaux est très efficace pour le nettoyage biologique de toutes les eaux stagnantes)

 

Contact : CODINA - 24 rue Violet - 75015 PARIS - FRANCE

Tél : 01.45.78.88.88 - Fax : 01.45.78.88.80 - email : info@codina.net

http://www.codina.net/greenbelt.shtml

 

Pépinière de anacardier (photo Green Belt).

 

Le jujubier ou le « pommier du Sahel »

Pla faute de cette la population bukinabé, cette nature si généreuse se dégrade chaque jour faisant ainsi place au désert. Cependant, force est de reconnaître que dans ce contexte de dégradation, les arbres fruitiers sont épargnés. C'est le cas notamment du karité, du baobab, du néré et surtout du jujubier qui a fait l'objet d'un programme de domestication (dont la Burkina peut se vanter d'avoir épousé le schéma complexe) par le Centre international de recherche agroforestière (ICRAF). Ce programme s'intègre dans le souci de procurer aux populations de la zone sahélienne du SALWA (semi arid low lands of western africa) une alimentation équilibrée, c'est-à-dire riche en vitamines et en sels minéraux essentiels, d'améliorer le pouvoir d'achat de la ménagère, d'assurer une diversification des sources de revenus des plantations et surtout de préserver l'espèce.

De son nom scientifique, zizyphus mauritiana Lam., le jujubier est connu au Burkina Faso sous les appellations Mugunuga en Mooré, Tomono en Dioula, Njaabi en Fulfuldé. C'est un arbuste épineux et sarmenteux à usages multiples particulièrement apprécié pour son fruit, son fourrage et son bois.

Le fruit constitue l'intérêt principal du jujubier. Il est consommé frais ou séché. Sec, le fruit peut être transformé en farine pour diverses utilisations alimentaires : pâte, gâteau, boissons, bouillie.

Les feuilles sont utilisées pour l'alimentation humaine et animale.

Le bois, résistant aux termites, est utilisé pour la fabrication de manches d'outils, de jougs de bœufs. C'est aussi un bon bois de chauffe et du bon charbon de bois.

La racine, l'écorce et les feuilles sont utilisées dans diverses préparations médicinales : hémorroïde, diarrhée, vomissement, maux de ventre, plaie…

En plus des fruits, le jujubier fournit du fourrage de qualité et entre dans la mise en place de haies vices de protection des cultures, efficace et non compétitive. En effet, l'analyse bromatologique des feuilles de zizyphus mauritiana dans le nord du Burkina Faso, montre une valeur fourragère élevée, particulièrement intéressante en saison sèche.

Pendant la saison sèche, la commercialisation des fruits de zizyphus mauritiana mobilise les populations et particulièrement les femmes, aussi bien dans les zones rurales qu'urbaines.

Variétés améliorées

Le jujubier est une des espèces en régression dans notre pays à cause de son intérêt multiple. Dans un souci de renversement de cette tendance et de domestication de la plante, des variétés indiennes ont été introduites au Burkina Faso. Les chercheurs du Département Productions Forestières de l'INERA ont réalisé depuis 2001 des greffes sur la variété locale avec des cultivars indiens. Le résultat de ces travaux a donné d'autres espèces de jujubier aux fruits plus gros et à la pulpe plus charnue (l'épaisseur de la pulpe est 10 fois supérieure à celle du fruit local). Présentant des similitudes de goût et de forme avec la pomme (seulement 2 fois moins gros), la << pomme du sahel >> a une meilleure saveur que celle de la variété locale. Sa pulpe est riche en éléments minéraux, en vitamine A et particulièrement en vitamine C. La matière minérale comporte une teneur relativement élevée en fer et en calcium. De ce fait, elle constitue un élément non négligeable dans l'alimentation des populations dans les zones arides et semi-arides dont l'alimentation est essentiellement basée sur les céréales pauvres en vitamines et en sels minéraux.

Ces nouvelles variétés de jujubier (Gola, Umran et Seb) peuvent être plantées dans les concessions comme des plantes ornementales.

La variété Seb qui a le port le plus érigé peut atteindre 10 m de haut avec une forte production qui peut atteindre 35 kg à plus de 100 kg. Le poids d'un fruit peut atteindre 25 g. Ses fruits sont les plus sucrés.

La variété Umran donne les fruits les plus gros (33 à 50 g) avec un rendement de 190 kg.

La variété Gola a un port étalé, parfois rampant et son rendement peut atteindre 100 kg à l'état adulte. Cette variété commence à produire très tôt.

Selon le Dr Jean Sibiri Ouédraogo, chef de Département Productions Forestières de l'INERA, " ces variétés introduites présentent une grande capacité nutritive, écologique et monétaire. Du point de vue nutritif, ces variétés ont environ 17 fois la teneur en vitamine C de la pomme vendue sur la place du marché. Sur le plan monétaire, 1 kg de fruits selon les enquêtes menées au Mali coûterait 1 000 F CFA. Du point de vue écologique, il n'y a aucun inconvénient : comme elles sont supportées par la variété locale qui est le porte-greffe, il a toute l'adaptation, tous les avantages liés à l'enracinement, qui permettent de l'associer aux cultures et dans n'importe quel système de production ".

Ces trois espèces du jujubier amélioré pourrait être une aubaine pour nos maraîchers qui pourront sans difficultés s'investir dans la plantation de ces fruitiers, car, non seulement ils n'exigent pas un entretien contant (30 litres d'eau par semaine sont suffisants pour la croissance d'un pied), mais ils ont une production fruitière très précoce et importante. Selon des travaux effectués au Mali, au bout de deux ans, dix pieds de jujubier amélioré peuvent procurer près de 28 000 F CFA par an.

Ces caractéristiques les prédisposent bien à une arboriculture intensive surtout dans le périurbain où la disponibilité en eau est plus grande.

Source : http://www.abcburkina.net/cnrst/pom_sahel/pom_sahel_foto.htm

 

   

 

7.4      Afrique de l’Ouest (équatoriale, tropicale) : Gabon, côte d’Ivoire …

 

A vérifier :

L'Association Technique Internationale des Bois Tropicaux (ATIBT) est une ONG non politique qui joue un rôle leader pour la promotion de la gestion durable ...

L'ATIBT contribue aux travaux du CITES, de l'ISO du CEN, où elle a un statut d'Expert, de Conseiller ou d'Observateur permanent pour tout ce qui touche à la forêt tropicale et aux bois tropicaux et travaille aussi en coopération constructive avec beaucoup d'ONGs comme l'IUCN, le WWF, le WCS et bien d'autres ONGs internationales et nationales, engagées dans les mêmes problématiques de la forêt tropicale, du bien être de ses habitants, et de la protection de ses richesses.

6, Avenue Saint-Mandé 75012-PARIS FRANCE - Tel. : (33) 1 43 42 42 00 - Fax. : (33) 1 43 42 55 22 –e-mail : sec@atibt.com ; site :  www.atibt.com/

 

7.5      La résilience des forêts

 

La résilience d’une forêt est sa capacité à résister aux agressions, aux stress et traumatismes (maladies, parasites [1], tempêtes …). Sa résilience est renforcée par le choix d’espèces variées, par la présences d’arbres d’âges différents.

Comme certains animaux mangent les graines, comme les écureuils (et empêcheraient par là, les forêts de se reproduire), on laisse des arbres morts avec des trous pour les rapaces, afin que ces derniers luttent contre la prolifération des écureuils (et aussi pour les pic-verts qui luttent contre d’autres parasites). Donc, accroître la résilience est plus complexe qu’il n’y paraît.

Pendant longtemps, on a fait de la monoculture, par exemple de sapin bleu de Douglas, (Pseudotsuga menziesii glauca). La tempête du 25 décembre 99, en France, qui a provoqué, des pertes énormes dans ce type de forêt, a amené à revoir ce type de culture.

Souvent on parle de forêt résiliente, pour une forêt diversifiée.

 

Sapinière en mono-culture de sapin de Douglas.

 

« Une forêt résiliente avec des espèces très diversifiées peut se traduire directement en dollars grâce aux produits forestiers et en économies grâce à tous les services fournis par la forêt (p. ex. purification des eaux souterraines, stockage du carbone, purification de l’air, refroidissement et ombre, isolation des maisons et enseignement de l’écologie). Les forêts peuvent également offrir des possibilités pour le tourisme, les loisirs et la quête spirituelle. Selon Environnement Canada, elles soutiennent une industrie multimilliardaire des loisirs et du tourisme. ». Source : http://www.elements.nb.ca/theme/health/jennifer/scott_f.htm

 

Couper tous les arbres vous donne une vue claire de la dévastation causée

en abattant tous les arbres

 

8         L’augmentation de la démographie est-elle un danger ?

 

Gilles Pison   Le démographe explique les grands enjeux de la croissance de la population mondiale     

           

 « Huit à neuf milliards d’êtres humains en 2050 »

 

« La population augmente à raison de quatre naissances par seconde, contre deux décès. Gilles Pison, démographe à l’Institut national d’études démographiques (Ined), revient sur les conséquences d’une telle croissance démographique dans les années à venir, notamment en termes de ressources écologiques.  Les projections démographiques sont- elles fiables ?  C’est une science dont les prévisions sont relativement robustes à l’horizon d e vingt- cinq ou trente ans. Il y a cinquant e ans, nous étions moins de trois milliards d’hommes et les démographes en annonçaient six milliards. Et nous y sommes.

   En revanche, pour 2050, ils en prévoyaient 15 milliards, mais n’avaient pas projeté que la croissance démographique ralentirait aussi vite. Car ils ne voyaient pas, par exemple, les Asiatiques ou les Latino- Américains utiliser des moyens de contraception. Aujourd’hui, les Nations Unies annoncent huit à neuf milliards d’hommes en 2050. C’est assez solide. 

 

  Serons- nous trop nombreux ? 

La question se pose déjà aujourd’hui.

   Ne sommes- nous pas déjà trop ? Oui, si on estime que les 6,5 milliards d’individus ont tous vocation à vivre sur le même train de vie que les Européens ou les Américains. Dans ce cas, Cousteau avait  raison en disant que l’optimum sur Terre, c’était 600 millions d’habitants. « L’empreinte écologique » d’un Européen est de 5 hectares quand l’équilibre devrait être à 1,8 hectare. Il y a près d’un milliard d’individus, européens et américains, qui consomment la majorité de ce que consomme la population mondiale. 

 

   La croissance démographique est donc une menace ? 

Non, car ce n’est pas tant le nombre d’hommes que notre manière de vivre qui va déterminer notre avenir. Le grand défi va être d’arriver dans les prochaines années à réduire le prélèvement des  ressources des habitants des pays du Nord sans détériorer leurs conditions de vie, mais surtout d’améliorer les conditions des populations du Sud sans, là aussi, mettre en danger la planète. L’augmentation de la population n’est pas synonyme de régression : ainsi, alors que la population a été multipliée par plus de six en deux siècles, nous vivons bien mieux aujourd’hui ! L’humain moyen, il y a deux cents ans, vivait 25 ans et souffrait de famine ou de malnutrition.  La population va- t- elle indéfiniment augmenter ?  Tout dépendra de la fécondité qui est, au niveau mondial, de 2,6 enfants par femme en moyenne. Mais elle diminue d’année en année. La question est de savoir si toute l’humanité va rejoindre les bas niveaux de fécondité que connaissent les pays d’Europe, mais aussi de l’Asie de l’Est. Dans ce cas, à terme, la population mondiale diminuerait. ».

Source : http://193.192.240.14/ee/20minf/default.php?pSetup=20minf  

Copyright 20 Minutes France 09/05/2005

 

9         Conclusion : entre pessimisme et l’espoir, l’avenir.

 

Faut-il être totalement pessimiste devant ce constat actuellement alarmant ?

 

On prend petit conscience du problème. Des programmes a modestes échelles se mettent progressivement en place. Mais l’agence manque et les grands déforestations massives (Amazonie, Congo, Indonésie, Bornéo, Philippines …) continuent.

Il y encore un gros manque de moyen et d’efficacité au niveau ONU.

 

Ce qui commence à être fait .... au niveau de la planète (UINCN, PNUD ...) :
Les programmes de l'ONU ...

 

Examinons quelques pistes ou solutions s'offrirant à nous :


1.Comme une partie du bois, de toute façon fini en papier, nous pourrions implique ou utiliser plus de papiers recyclés dans les produits car aujourd'hui, les matières recyclées ne comptent  que pour un maigre 12% de la quantité nécessaire de bois qui entre dans la composition du papier.
2. Nous pourrions tenter de changer nos méthodes de coupes (abandonner les coupes claires etc …) et d'augmenter la vitesse de génération après les coupes (par une meilleure gestion forestière dont l’utilisation de la diversité)..

 

 

Centre de prévisions écologiques.

10   Annexe : Bibliographie et sources d’information

 

10.1Livres sur la déforestation dans le monde :

 

10.1.1 LIVRES, RAPPORTS EN ANGLAIS :

 

1) Integrated Land-Change Science and Tropical Deforestation in the Southern Yucatan: Final Frontiers (1 mars 2004) de B. L., II Turner, et al, Oxford Univ Pr (Txt)

2) The Forest for the Trees: How Humans Shaped the North Woods (juin 2004) de Jeff Forester, Minnesota Historical Society Press

3) The Retreat of the Elephants: An Environmental History of China (mars 2004) de Mark Elvin, Yale University Press

4) Vanishing Forests (mars 2004) de Cheng Puay Lim, Raintree

5) The Vanishing forest : the human consequences of deforestation : a report for the Independent Commission on International Humanitarian Issues, 1986, 89 p.

6) The Greening of the South: The Recovery of Land and Forest (février 2004) de Thomas Dionysius Clark, University Press of Kentucky

7) The Social Dynamics of Deforestation in the Philippines (1 janvier 2005) de Gerhard van den Top, NIAS P., 412 pages New Ed édition.

8) The Dynamics of Deforestation and Economic Growth in the Brazilian Amazon de Lykke E. Andersen, et al, Cambridge University Press (données sur la déforestation entre 1970 et 1996).

9) Deforesting Malaysia: The Political Economy and Social Ecology of Agricultural Expansion and Commercial Logging (mars 2004) de K. S. Jomo, et al, Zed Books

10) Illegal Logging In The Tropics: Strategies For Cutting Crime (janvier 2005) de Ramsay M. Ravenel, Food Products Pr.

11) Borneo in Transition: People, Forests, Conservation, and Development de Christine Padoch, et al

12) The Management of Tropical Moist Forest Lands: Ecological Guidelines de Duncan Poore, Jeffrey A. Sayer

13) Economics Of Deforestation In The Amazon: Dispelling The Myths (28 février 2005) de Joao S. Campari, Edward Elgar Pub.

Colchester and Lohmann (Ed), The struggle for Land and the Fate of the Forest, 1993, Zed Books, London.

14) World Rainforest Movement, Rainforest Destruction: Causes, Effects and False Solutions, 1990, World Rainforest Movement, Penang.

15) Myers, N., The Primary Source: Tropical Forests and Our Future (updated for the Nineties), 1992, Norton, New York.

16) Rainforest Information Centre, The Australian Rainforests of West Africa: Ecology, Threats, Conservation, 1991, Birkhauser, Basle.

17) Collins, Sayer & Whitmore (Ed), The Conversation Atlas of Tropical Forests: Asia, 1992, Macmillan, London.

18) "Rainforest Destruction: Causes, Effects and False Solutions", World Rainforest Movement, 1990 Penang

19) "The Australian Rainforest Memorandum" RIC - Rainforest Information Centre, Box 638 Lismore 1991, Autralie.

 

20) Ehrlich, A&P., The Rainforest Times, Vol.2,1987, FoE London.

21) Poore, D., No Timber Without Trees, 1989, Earthscan, London.

22) Barnett, T., Commission of Enquiry into Aspects of the Timber Industry, 1989, Papua New Guinea.

24) Lohmann, L., and Colchester, D., TFAP: What Progress?, World Rainforest Movement, Penang.

25) Survival International, Expulsion from Game Reserve, 1989, London.

26) Wilson, E.O., in Biodiversity, 1988, National Academy Press

27) Rainforest Destruction, World Rainforest Movement, 1990, Penang.

28) Colchester, M., in Global Development and Environment Crisis, 1988, World Rainforest Movement, Penang.

29) Caufield, In the Rainforest, 1984, Univ of Chicago.

 

30) Martin, C., Institut für Ökologie und angewandte Ethnologie, 1985, Mönchengladbach.

31) Peters et al, 1989, Valuation of a Tropical Rainforest in the Peruvian Amazon, Nature, no. 339.

32) Wilson, E.O., The Current State of Biodiversity, in Biodiversity, 1988, National Academy Press.

33) Myers, K, The Primary Source, 1985, WW Norton, New York.

34) George, S., A Fate Worse than Debt, Pelican, London.

 

[100] Millennium Ecosystem Assessment Synthesis Report, March 23, 2005, UNESCO.

 

10.1.2 LIVRES, RAPPORTS EN FRANCAIS :

 

1) La déforestation en Afrique : : Situation et perspectives (1 octobre 1991) de Jean-Roger Mercier, Edisud, Aix-en-Provence, 178 p.

2) La déforestation vue par les satellites. (Bilingue Anglais) (2000) de Imbernon, Schneider, CIRAD

3) Deforestation et systemes agraires a madagascar. les dynamiques des tavy sur la cote orientale (1 octobre 2003) de Collectif, Cirad, Collection Repères.

4) La deforestation / aspects humanitaires (10 mai 1986) de Collectif, rapport a la Commission independante sur les questions humanitaires internationales, Berger-Levrault Paris & Geneve, 1986, 102 p. 

 (ASIN : 2701306477).

5) La deforestation en afrique centrale (1 janvier 2003) de Gilarowski Jerzy, Dialog

6) La déforestation dans le monde tropical (6 novembre 1998) de S Pomel, Presses Universitaires de Bordeaux (PUB)

7) Déforestation et reboisement dans la région pyrénéenne. (1910) de Loze Axel, Recueil Sirey, (1910).

8) Problématique du bois de chauffe dans les pays saheliens, publication Sillery (Quebec) ; Paris, Date 1984-1985, Collation/Series 2 vol. : ill., cartes, tabl. ; 24cm. Thèmes abordés: énergie, bois, fours, Sahel, une seule terre, opération bois de chauffe au Sahel, Conseil International d’éducation mésologique, formation en aménagement pastoral au Sahel (F.A.P.I.S.).

 

10.2Livres sur la reforestation :

 

10.2.1 EN ANGLAIS :

 

1) Planning a Wilderness: Regenerating the Great Lakes Cutover Region  de James Kates, University of Minnesota Press, 207 p.

2) Proceedings of Market-Based Approaches to Mined Land Reclamation and Reforestation: A Technical Interactive Forum; de Kimery C. Vories, Dianne Throgmorton, Coal Research Center

3) Proceedings of the Enhancement of Reforestation at Surface Coal Mines: Technical Interactive Forum Held March 23-24, 1999 at the Drawbridge Inn and Convention Center in Fort Mitchell, Kentucky de Kimery C. Vories, Dianne Throgmorton, United States Office of Surface Mining Reclamation and Enforcement, Southern Illinois University at Carbondale Coal Extraction and Utiliza (éditeur : Southern Illinois Univ Coal).

 

10.2.2 EN FRANCAIS :

 

1) Vaincre la nature hostile : plan national de lutte contre la désertification, Ouagadougou,Bourkina Faso, 1986, 62 p.

 

10.3Livres divers

 

[1] "Les Arbres Vénérables", Jérôme Hutin, aux Editions JC.Lattès, au Printemps 2003.

 

11   Annexe : Sites sur la reforestation

 

1) terre des jeunes, Montréal, Canada : http://www.colba.net/~cyansiam/refnet/  (www.reforestation.net/ )

2) RTI : Reforestation Technologies International: société commerciale : http://www.reforest.com/

   Reforestation Technologies International, 1341 Dayton Street, Unit G Salinas, CA 93901

   Phone: 1-800-RTI-GROW (784-4769) (U.S. and Canada), 1-831-424-1494 (International)

   Fax: 1-831-424-1495, Email: rti@reforest.com

3) Treeline Inc : société pour la reforestation du Nord Ontario, Canada : http://www.treeline.on.ca/at.htm#

5) Pelton Reforestation Ltd., société spécialiste des pépinières à grande échelle : http://www.pelton.com/

11.1Annexe : ONG,  Associations luttant contre  la déforestation :

 

1) Canada :

 

a) Centre canadien d'étude et de coopération internationale (CECI), site: http://www.ceci.ca/

Siège social, 3185 rue Rachel Est, Montréal (Québec) H1W 1A3, Canada

Tél.: (514) 875-9911, Téléc.: (514) 875-6469, C. élec.: info@ceci.ca 

11.2Annexe : Personnalités luttant contre la déforestation :

 

1) Sadruddin Aga Khan, résidence du château de Bellerive, Genève.

   http://switzerland.isyours.com/f/celebrites/bios/176.html

2) Marc Lavergne, Géographe,CNRS/URBAMA, Université de Tours (+),

     http://www.univ-tours.fr/urbama/

(+) Déforestation au Soudan causée par prélèvement pour le bois de cuisson ou pour se construire des abris, surpâturage, surexploitation agricole...

3) Barry Brook, Northern Territory Charles Darwin University (Darwin, Australie), http://www.cdu.edu.au/

11.3Autres sources d'informations (ONG, sites Internet ...) :

 

1) Laboratoire Géotropique : Equipe d'Accueil de l'Université de Paris X-Nanterre (EA 375), site : http://www.geotropiques.net

2) CRED (Centre de Recherche sur l’Épidémiologie des désastres), site : http://www.md.ucl.ac.be/cred/

3) site aux USA publiant un baromètre des sécheresses en cours ou potentielles avec des mesures d’action à prendre : http://www.fews.org

4) site listant toutes les ONG du monde : http://www.reliefweb.int/

5) site de Johan Galtung, un des pères de la résolution de conflit : http://www.transcend.org/

6) site pour mieux comprendre les questions humanitaires : contacts, comment aider etc ... : http://membres.lycos.fr/dloquercio/know-how/

7) L'Association e-Développement (AEDEV) a pour objectif d'encourager l'usage des technologies de l'information et de la communication dans les pays du Sud et de les mettre au service du développement durable : http://www.aedev.org/

 

8) causes de la déforestation : http://www.cimage-ltd.com/deforesn.html

9) solution de Greenpeace sur la Déforestation (anglais) : http://www.greenpeaceusa.org/campaigns/intro?campaign_id=541614

10) site internet sur l'environnement : http://www.envirolink.org/

    sur la Déforestation : http://www.envirolink.org/newsearch.html?searchfor=Deforestation&x=20&y=11

11) ECO WORLD : pour l'harmonisation de la technologie et l'environnement : http://www.ecoworld.org/

    sur la déforestation : http://www.ecoworld.org/Trees/articles/Articles3.cfm

12) Liste mondiale d'adresses pour les Technologies Environnementales :

       http://www.eco-web.com/

13) World Rainforest Movement : http://www.wrm.org.uy/c

    World Rainforest Movement Maldonado 1858 - 11200 Montevideo, Uruguay tel: 598 2 413 2989 / fax: 598 2 418 0762 wrm@wrm.org.uy .

14) Sauver la forêt pluviale : http://www.savetherainforest.org/  , émail : info@savetherainforest.org

    http://www.savetherainforest.org/savetherainforest_015.htm ,

15) Portail d'information sur les forêts pluviales du monde : http://www.rainforestweb.org/

6) Rainforest information Center Australie : http://www.rainforestinfo.org.au/

   Box 368, Lismore, NSW 2480 Australia, Phone: 61 2 66 218505, 213294

15) Défense des communautés vivant de la forêt : http://www.forestsandcommunities.org/

16) Forestry Guide of Göttingen State University Librairy : http://www.forestryguide.de/

 

17) Consultant spécialiste de l'effet de serre : Jean-Marc Manicore : http://www.manicore.com/

 

18) ( http://www.metafro.be/cedaf/cedafdir6000/cedaf6187/view ne fonctionne plus)

18) Financial Information Engine on Land Degradation (FIELD) :

http://www.gm-unccd.org/FIELD/Bilaterals/Fra/FR_In.htm

19) Comité scientifique français de la déforestation (lié au ministère de la recherche français) : http://www.csf-desertification.org/desertification/

20) site de SOS Planète :  http://terresacree.org/deforestation.htm

11.4Sur l'effet de serre :

 

18) "L'Avenir Climatique" (quel temps ferons nous ?), Jean-Marc Janvovici, Seuil (collection Science ouverte) mars 2002, prix Roberval 2002.

19) "L'effet de serre. Allons-nous changer le climat ?", Treut, Jancovici, Champ libre, Flamarion.

 

11.5Annexe : Photos satellites sur la déforestation :

 

http://www.planetobserver.com/

http://www.planetobserver.com/planet_observer_fr/jsp_fr/fins_prof/Msat_pages_pro/site_francais/sous_rubriques/themes/themes.htm

site : http://www.nasm.si.edu/ceps/research/AMAZON/amazon.html

http://spaceboy.nasda.go.jp/lib/earth/earth/e/earth_01_e.html

http://www.atmosphere.mpg.de/enid/2hi.html (feux de forêt en Indonésie)

http://www.gsfc.nasa.gov/topstory/2004/0603amazondry.html

http://spaceboy.nasda.go.jp/lib/earth/earth/e/earth_02_e.html (Amazonie)

Site d’obervation de la terre : http://www.educnet.education.fr/obter/

cas de l’Amazonie : http://www.educnet.education.fr/obter/appliped/amazonie/theme/amaz4.htm

 

11.6Annexe : Sommets sur la déforestation et la reforestation :

 

1) "Sommet des forêts anciennes" La Haye mi-avril 2002, sous l'égide de l'ONU.

2) "Sommet des forêts anciennes" à Johannesbourg, septembre 2002, sous l'égide de l'ONU.

3) "sommet de Rio", 1992.

4) 4° conférence ministérielle pour la protection des forêts en Europe (CMPFE), Vienne 28 au 30 avril 2003.

5) Sommet Forêt vivante, Strasbours (1990), Helsinski(1993), Lisbonne (1998).

….

 

11.7ONG sur l’environnement en Afrique

 

Afrique-en-vert

 

Africa 2000 network  

Réseau afrique 2000, sous l'égide du PNUD, les programmes dans les pays africains : protéger l'environnement, promouvoir le développement et lutter contre la pauvreté

Zone géographique: Burkina Faso

http://www.africa2000network.bf/

 

Barh Koh Environnement et Développement Durable 

Barh Koh Environnement et Développement Durable est une organization internationale et non-gouvernementale à but non-lucratif foundée en Juin 2001

Zone géographique: Panafricain

http://www.barhkoh.org

 

Barlofco On-Line 

Informations technologiques dédiées aux professionnels de la recherche agricole, environnementale et de l'eau

Zone géographique: Afrique du Sud

http://www.barlofco.co.za/

 

Centre de suivi écologique 

Ministère de l'Environnement : la géomatique au service de l'environnement pour une gestion durable des ressources naturelles, veille environnementale

Zone géographique: Sénégal

http://www.cse.sn/

 

Citet  

Centre international des technologies de l'environnement de Tunis

Zone géographique: Tunisie

http://www.citet.nat.tn/

 

Cleiaa  

Agence panafricaine pour le renforcement des capacités d'évaluation de l'impact sur l'environnement du developpement en Afrique

Zone géographique: Ghana

http://www.cleiaa.org/

 

COMETE Engineering 

Bureau d'etudes pluridisciplinaire : conseil et ingenierie technique en economie, industrie, amenagement du territoire, environnement, infrastructures, batiment, hydraulique, agriculture

Zone géographique: Tunisie

http://www.comete.com.tn/

 

Les Amis du Pangolin 

Reseau de 20 pays d'Afrique francophone pour la promotion de l'education relative a l'environnement (ERE) au travers d'une tribune qui est le journal "Le Cri du Pangolin" et d'autres activites tournees vers les jeunes et les populations locales.

Zone géographique: Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Congo, Côte d'Ivoire, Gabon, Guinée Equatoriale, Mali, Niger, Sénégal, Tchad, Togo, Burundi, Comores, Mauritanie, Rwanda, Tunisie, R.D.C., Guinée

http://lesamisdupangolin.org

 

Minef  

Ministère de l'environnement et des forêts, présentation, transformation des produits forestiers, faunes et aires protégés

Zone géographique: Cameroun

http://www.minef.cm/

 

Ministère de l'environnement et du tourisme 

Organisation, départements, actualité, agenda des événements..

Zone géographique: Afrique du Sud

http://www.environment.gov.za/

 

Ministère des Eaux et Forêts, de la pêche, du reboisement, de l'environnement et de la protection de la nature 

Organigramme et missions du ministère, la forêt, politique et réglementation, ressources forestières, recherche et formation

Zone géographique: Gabon

http://www.gabon-forests.org/

 

Ministère des travaux publics de l'aménagement du territoire de l'environnement et de l'urbanisme ( 

Activités, organisation, réglementations..

Zone géographique: Algérie

http://63.70.212.91/

 

Ministère du Tourisme, de l'Environnement et de la protection de la Nature 

La cellule Biodiversité de la Direction Générale de l'Environnement

Zone géographique: Gabon

http://go.to/biogabon/

 

Nature Source de Vie - Ecologie 

Protection de l’environnement, en donnant aux charbonniers une activité de substitution. Récolte de graines , création de pépinières , et fabrication d'artisantat à base de graines pour financer ce projet

Zone géographique: Madagascar

http://www.3dmadagascar.com/association-nature

 

(Opération Loango   

Tourisme et environnement: ecotourisme à la Mission Saint Anne, Pointe Iguéla et Ivengué, Petit Loango et Monts Doudou, etudes et préservation des espèces: Gorille des Plaines, Éléphant, Baleine à Bosse et Tortue Luth

Zone géographique: Gabon

http://www.operation-loango.com/  )

 

PFIE Sénégal 

Programme de Formation - Information sur l'Environnement : CILSS, Comité Inter Etats de Lutte contre la Sécheresse au Sahel (9 états)

Zone géographique: Sénégal

http://ns.cse.sn/pfie/

 

Plan National d'Action pour l'Environnement 

PNAE, gestion et mise en valeur des ressources naturelles, la préservation et la conservation des milieux naturels et anthropiques

Zone géographique: Gabon

http://www.pnae-gabon.org/

 

Projet sénégalo-allemand de combustibles domestiques 

Le projet a pour objectif d'assurer un approvisionnement durable en combustibles domestiques, dans le respect de l'environnement et une utilisation rationnelle de l'énergie

Zone géographique: Sénégal

http://www.psacd.energie.gouv.sn/

 

Sénagrosol consult 

cabinet d'études dans les secteurs du développement rural, de la gestion des ressources naturelles et de l'environnement..

Zone géographique: Sénégal

http://www.tpsnet.org/senagrosol/default.htm

 

SIMES  

Système d'information multimédia pour l'environnement sub-saharien, SIMES

Zone géographique: Sénégal

http://www.simes.sn/

 

12   Organismes internationaux concernés

 

L’Union Internationale pour le Conservation de la NatureRue Mauverney 28 .CH.1196 Gland

- Suisse Tel : ++ 4122-999-00 01 Fax : ++ 4122-999 00 02 E. Mail : mail @ hq.iucn.

orgw..w.w : http:// i.u.c.n . org

 

Développement et de la Coopération Suisse ( DDC )

Freibargstrasse 130. CH.3003 Berne - Suisse

Tel : ++41 31 325 92 79Fax : ++ 41 31 325 93 62

 

* FAO Forestry (United Nations)

Forestry Department - FAO
Viale delle Terme di Caracalla
00100 Rome, Italy

http://www.fao.org/forestry/index.jsp

 

l’Organisation Internationale des Bois Tropicaux (OIBT ou ITTO _ International Tropical Timber Organization) : http://www.itto.or.jp/live/index.jsp

 

13   SITES SUR L’EXPLOITATION FORESTIERE

 

bullet * The Association of Professional Foresters

& * Timber Growers Association

Forestry and Timber association

5 Dublin Street Lane South, Edinburgh EH1 3PX
T 0131 538 7111    F 0131 538 7222
E info@forestryandtimber.org
www.forestryandtimber.org

http://www.forestryandtimber.org/

 

* Chile Forestal

http://www.corma.cl/chile_forestal/chile_forestal_4.html

CONAF (Corporación Nacional Forestal), Avda. Bulnes 285, Santiago CHILE , Fono: 3900125 , consulta@conaf.cl

Site: http://www.conaf.cl/

 

* FAO Forestry (United Nations)

Forestry Department - FAO
Viale delle Terme di Caracalla
00100 Rome, Italy

http://www.fao.org/forestry/index.jsp

 

* Forest Fairs (Global)  ???

 

* Forest Industry (US site)

The Forest Industry Online Inc. DBA Forest Industry Network
#3 - 2232 Wilgress Road, Nanaimo, BC, Canada, V9S 4N4
Tel: (250) 758-0665, Toll Free # 1-877-755-2762, Fax # 250-758-8665, Toll Free Fax #: 1-866-758-8665

http://www.forestindustry.com/

 

* Global Association of Foresters (GAOF)

Joseph Zorzin for a Forestry Consultants group based at Massachusetts

http://www.foresters.org/gaof/

 

* New Zealand Professional Forestry School

New Zealand Institute of Forestry

PO Box 19-840

Christchurch

NEW ZEALAND

Tel/fax 64 3 960-2432

 e-mail: nzif@paradise.net.nz

 

* The Forest Institute of Sweden

The Forestry Research Institute of Sweden, SkogForsk

Science Park

SE-75183 Uppsala Sweden

Phone +46 1818 8500 / Fax +46 1818 8600

E-mail skogforsk@skogforsk.se

http://www.skogforsk.se/

 

* Forestry Commission of UK

http://www.forestry.gov.uk/

 

* Inderfor Limited

INDERFOR in Finland

Tel/Fax: +358 (0) 9 873 4003

info@inderfor.com

 

INDERFOR in Argentina

Tel/Fax: +54 (0) 341 4860137

info@inderfor.com

http://www.inderfor.com/

 

* Les Arbres vénérables de la planète

http://perso.compaqnet.fr/mycena/Arbres%20Venerables/Index.htm

Voir aussi le livre "Les Arbres Vénérables", Jérôme Hutin, aux Editions JC.Lattès, au Printemps 2003.

 

14   Annexe : échanges de mails avec Spot Image

 

-----Message d'origine-----

De : Christophe, France-Tibet [mailto:christophe@tibet.fr]

Envoyé : jeudi 6 février 2003 15:26

À : benjamin.lisan@free.fr

Objet : RE: TR: Déforestation du Tibet

 

Les meilleures cartes sont publiees par l'Amnye Machen Institute

Tu peux les commander à http://www.amnyemachen.org

A+

 

At 15:09 06/02/03 +0100, you wrote:

> Christophe,

>

> Merci pour les infos.

> Le problème est pour moi de trouver des cartes aussi précises que possible

> du Tibet (peut-être, il y a-t-il des cartes d'OTAN du TIBET).

>

> Benjamin

>

>-----Message d'origine-----

>De : Christophe, France-Tibet [mailto:christophe@tibet.fr]

>Envoyé : jeudi 6 février 2003 12:32

>À : benjamin.lisan@free.fr

>Objet : Re: TR: Déforestation du Tibet

>

>Idee intéressante, nous verrons s'ils pourront te fournir de l'info sans un

>prix exhorbitant.

>

>Je te mets en PJ un texte sur le meme sujet, que nous avons écrit en 98. La

>source d'origine (indiquée à la fin) est le World Watch Institute.

>Voir aussi http://www.tibet.com/Eco , surtout le rapport Tibet 2000.

>Je ne sais pas si les 85 % concernent tout le Tibet ou juste la vallée aux

>bords du fleuve principal.

>

>A+

>Christophe

>

>PS : merci de ne pas nous téléphoner le matin en ce moment, on dort !

>

>At 11:39 06/02/03 +0100, you wrote:

> >Cher Christophe,

> >

> >Que penses-tu de l'idée ci-dessous ?

> >Amitiés

> >

> >Benjamin

> >

> >-----Message d'origine-----

> >De : Campenon, Audrey [mailto:Audrey.Campenon@spotimage.fr]

> >Envoyé : jeudi 6 février 2003 10:58

> >À : benjamin.lisan@free.fr

> >Objet : RE: Déforestation du Tibet

> >

> >monsieur,

> >

> >merci pour votre intérêt pour nos produits et le descriptif de vos

> >projet fort intéressants.

> >

> >J'ai demandé à des techniciens de SPOT IMAGE de m'aider à répondre

> >clairement à vos demandes car SPOT pourrait répondre entièrement ou en

> >partie à vos projets mais cela demande une analyse concrète de votre

> >besoin.

> >

> >En attendant ces commentaires, merci de nous définir clairement si

> >possible la zone d'intérêt des forêts tibétaines (zone globale en

> >coordonnées géographiques) afin que l'on puisse lancer une recherche

> >d'archive SPOT 86 et 2002 (pour 2003, une programmation de satellite

> >s'imposerait puisque l'année commence) et que l'on puisse évaluer le

> >nombre de scènes nécessaires pour couvrir la zone. Merci également de

 

> >nous donner le nom des lieux ou mieux les coordonnées des sites pour

> >lesquels vous souhaitez suivre la pollution des rivières au NW de la

> >Chine.

> >

> >merci pour vos commentaires et sachez que nous étudions vos questions

> >avec intérêt et vous répondrons dans les meilleurs délais.

> >

> >Cordialement

> >

> >Audrey Campenon

> >Service Clientèle Spot Image

> >Tel : 05 62 19 40 39

> >Fax : 05 62 19 40 51

> >

> >

> >-----Message d'origine-----

> >De : benjamin.lisan [mailto:benjamin.lisan@free.fr]

> >Envoyé : lundi 27 janvier 2003 00:01

> >À : Sales

> >Objet : Déforestation du Tibet

> >

> >

> >Cher Monsieur,

> >

> >je suis responsable d'une association pro-tibétaine.

> >Et je m'intéresse sur la déforestation du Tibet, depuis les années 50

> >jusqu'à maintenant (selon centaines sources, le Tibet aurait perdu

> >85 % de ses grandes forêts de sapin et de cèdres, depuis les

> >années 50. Source Eco-Tibet (+)).

> >

> >Selon-vous et selon vos données, ce chiffre de 85 % est-il vérifiable,

> >avec les données de l'époque en 1950 ?

> >

> >Entre le lancement de votre 1er satellite Spot, en février 1986, avec

> >capture de vos 1eres images, et maintenant, il y a-t-il un moyen,

> >par votre société, de mesurer le

> >recul de ces forêts, entre 86 et maintenant ?

 

> >Combien coûterait ce travail ?

 

> >Existe-t-il une photo globales des forêts tibétaines en 86, et une autre

> >de ces forêts en 2003 ?

> >

> >Concernant d'autres problèmes écologiques importants au Tibet,

> >aurait-il moyen de repérer plusieurs lieu de stockage de déchets

> >nucléaires et/ou chimiques, au Tibet,

> >et voir si ces sites sont proches d'une rivière et de voir si le

> >stockage des fûts de déchets est

> >à l'air libre, "pléthorique", sans aucun soin aucun ?

> >Autre questions : peut-on constater le résultat de la pollution

> >de derricks de pétroles et la présence de mares de pétroles proches de

> >ces derricks, sur des sites d'extraction, situés au nord-ouest de

> >la Chine ? Quel serait le prix de ce travail ?

> >

> >Il y a-t-il un moyen, par les photographies satellites, de mesurer la

> >pollution des rivières de ces régions,

> >par exemple à proximité de mines d'extraction de minerais ?

> >

> >En vous remerciant de ces renseignements,

> >veuillez agréer, Monsieur, l'expression de mes sentiments distingués.

> >

> >Benjamin LISAN

> >16 rue de la Fontaine du But

> >75018 PARIS, FRANCE

> >Tel. domicile : +33 1 42 62 49 65

> >Tel. GSM      : +33 6 16 55 09 84

> >email         : benjamin.lisan@free.fr

> >

> >(+) ECO-Tibet France

> >Les Aures, 26770 La Roche-Saint-Secret

> >email : ecotibet@wanadoo.fr

> >Association régie par la loi de 1901, elle se propose dans un but

> >culturel et humanitaire de rassembler des informations de toutes

> >sortes sur l'état de l'environnement au Tibet et de mettre en

> >oeuvre les moyens concourant à sa protection.

 

English Translation :

 

-----Message of origin-----

Of: Christophe, France - Tibet [ mailto:christophe@tibet.fr ]

Messenger: on Thursday , February 6, 2003 15:26

À: benjamin.lisan@free.fr

Object: RE: TR: Deforestation of the Tibet

 

The best cards on the Tibet, are publiees by Amnye Machen Institute

You can command them on web site :

http://www.amnyemachen.org 

 

+

 ------------------------------------

Of: Frederique DELRIEU [ frederiquedelrieu@wanadoo.fr ]

Messenger: on Thursday , February 6, 2003 16:49

À: benjamin.lisan@free.fr

Object: Re: Embellish with "SPOT IMAGE" for the study of Deforestation of the Tibet

 

Cuckoo Benjamin,

 

Very good initiative.

One voted for project film in meeting yesterday, but for the moment one prepare the Lhossar week, of 27/02 in 05/03, and there is a job.

+

Frédérique

 -----------------------------------

> Messsage of 06/02/2003 11:57

> Of: < benjamin.lisan@free.fr >

> In: Campenon, Audrey < Audrey. Campenon@spotimage.fr >

> Copy in: < ecotibet@wanadoo.fr >, Frédérique DELRIEU < frederiquedelrieu@wanadoo.fr >

> Object: Embellish with "SPOT IMAGES" for the study of Deforestation of the Tibet 

>

> To Madam Audrey Campenon,

> "SPOT IMAGE" Company

> TOULOUSE, FRANCE

>

> I thank you for having dedicated your attention to my mail.

>

> The subject of the deforestation of the Tibet and the mining pollution

> Of the rivers, are very interesting subjects.

>

> I am going to inquire to obtain the coordinates of sites and

> Geographic zones.

> But I think of being able to obtain that unrefined coordinates,

> In degree of longitude and latitude, for these geographic zones

> (I doubt to be able to obtain their coordinates GPS).

>

> For the question of forests,

> It is necessary to know that these forests in 1950 were gigantic

> (Maybe 500 000 km2 or more, in 1950).

>

> Everything will depend, then , on the price which you will propose to us, for

> Your performance of the "SPOT IMAGES" company.

>

> Thank you many of your answer.

>

> Benjamin LISAN

> 16 rue de la Fontaine du But

> 75018 PARIS, FRANCE

> Tel. place of residence: +33 1 42 62 49 65

> Tel. GSM: +33 6 16 55 09 84

>

>-----Message of origin-----

> Of: Campenon, Audrey [mailto:Audrey. Campenon@spotimage.fr]

> Messenger: on Thursday , February 6, 2003 10:58

> In: benjamin.lisan@free.fr

> Object: RE: deforestation of the Tibet

>

> Sir,

>

> Thank you for your interest for our products and the description of your

> Project very interesting.

>

> I asked engineers of "SPOT IMAGE" to use to answer

> Clearly in your demands because "SPOT IMAGE" could answer completely or there

> Left in your projects but it asks for a concrete analysis of your

> Need.

>

> By waiting for these comments, thank you to define us clearly yes

> Possible the zone of interest of forests tibétaines (global zone there

> Geographic coordinates) so that one can throw(launch) a search

> Of SPOT 86 AND 2002 archives (for 2003, a programming satellite

> Would bIMAGERY e necessary because the year begins) and because one can estimate

> Number of necessary scenes to cover the zone. Thank you also of

> To give us the name of places or better the coordinates of sites for

> Who(which) you wish to follow the pollution of rivers in the NW of her(it)

> China.

>

> Thank you for your comments and know that we study your questions

> With interest and shall answer you as soon as possible.

>

> Warmly

>

> Audrey Campenon

> "SPOT IMAGE" Customer service

> Such: 05 62 19 40 39

> Fax: 05 62 19 40 51

>

>

>-----Message of origin-----

> Of: benjamin.lisan [mailto:benjamin.lisan@free.fr]

> Messenger: on Monday , January 27, 2003 00:01

> In: Salt

> Object: Deforestation of the Tibet

>

>

> Dear Sir,

>

> I am responsible for an pro-tibetan association.

> And I am interested on the deforestation of the Tibet, since the 50s

> So far

> (According to hundreds sources, the Tibet would have lost 85 % of its big

> Forests

> Of spruce and cedars,

> Since the 50s. Source Eco-Tibet (+)).

>

> You according to and according to your data, this figure of 85 % is verifiable,

> With the data from time to 1950?

>

> Between the launch of your 1-st satellite "SpotImage", in February, 1986, with

> Arrest of your 1eres images,

> And now, there is a means, by your company, to measure

> Recession(drop)

> Of these forests, between 86 and now?

> How much would cost this work?

> There is a photo global forests tibétaines in 86, and the other one

> Of

> These forests in 2003?

>

> Concerning the other ecological problems important for the Tibet,

> It would have means to track down several stocking of goods of waste

> Nuclear and/or chemical, in the Tibet,

> And to see if these sites are close to a river and to see if

> Stocking tanks of waste is

> Outdoors, "plethoric", without any care anybody?

>

> Other questions: as we are could notice the result of the pollution

> Of derricks of petroleums and the presence of puddles of close petroleums of

> These

> Derricks,

> On sites of origin, situated in the northwest of China?

> Which would be the price for this work?

>

> There is a means, by satellites photos, to measure

> Pollution of the rivers of these regions,

> For example near appearances(mines) of origin of ores?

>

> Thank you of this information,

> Please approve, Sir, the expression of my distinguished feelings.

>

> Benjamin LISAN

> 16 rue de la Fontaine du But

> 75018 PARIS, FRANCE

> Tel. place of residence: +33 1 42 62 49 65

> Tel. GSM: +33 6 16 55 09 84

> Email: benjamin.lisan@free.fr

>

> (+) ECO-Tibet France

> Aures, 26770 Roche-Saint-Secret

> Email: ecotibet@wanadoo.fr 

> Association governed by the law of 1901, she proposes in a purpose

> Cultural And humanitarian to collect information variously on

> The state of Environment in the Tibet and to implement(operate) contributing(competing) means in the protection.

 

 



[1] Par exemple, attaque des sapins par les ???