Pourquoi je n'aime pas la guerre ?

 

Par Benjamin LISAN,  le 02/08/2022

 

Certaines personnes pourraient afficher de beaux idéaux, mais se mentent envers eux-mêmes, sont hypocrites et aiment secrètement la guerre, comme le héros du film "le faussaire" de Volker Schlöndorff.

 

Personnellement, je déteste profondément la guerre.

 

C'est l'évènement où peuvent se déchaîner les pires instincts et désirs de vengeance ou de revanche, sans garde-fou ou limite, le festival des psychopathes, des frustrés, où les "ratés", les déclassés, peuvent se sentir tout-puissants. C'est le règne de la grande destruction.

Pour les dictateurs _ souvent de beaux cas psychiatriques _, comme Poutine, en lançant une guerre de terreur, c'est une façon, pour eux, de s'affirmer en terrorisant, d'humilier, de prendre leur revanche, eux qui souvent dans leur jeunesses, ils n'étaient rien, des "ratés", des "minables", humiliés par leur père, par leurs camarades ...

Ainsi ils prennent leur revanche et se font plaisir, d'une façon terrifiante.

 

Un moment où les "fous" peuvent piller, terroriser, détruire, mentir, manipuler ..., en toute impunité.

 

Le temps où toutes les valeurs morales élémentaires sont détruites (il n'y a plus de respect d'autrui, des ennemis, de toute chose _ des monuments historiques etc.).

 

Un moment où l’humanisme, le respect de la vie humaine n'ont plus d'importance.

 

Ce qui est terrible est que s'il est si difficile de construire (matériellement et humainement, en créant des liens, des ponts), autant il est si facile de détruire (par exemple, en 5 seconde, une « bombe atomique A » peut tuer 80.000 personnes).

 

La guerre est une façon de décharger tout sa haine, ses frustrations, ses ressentiments comme des boucs émissaires faciles, pour n'avoir pas à analyser le mal qui est en soi, à se remettre en cause (ce qui demande des efforts).

 

A contrario, j'aimerais tant que dans ce monde, que la majorités des êtres humains soient honnêtes, loyaux, corrects (mais je reconnais que mon rêve est très naïf, "bisounours"). Vœux pieux.

 

Les guerres entre les êtres humains commencent, bien avant les guerres réelles et déclarées, dès que l'on discrimine, stigmatise, dévalorise, "bouc-émissairise" un groupe humain qu'on désigne comme la cause de ses propres malheurs (à tort ou raison).

Un groupe qu'on diabolise, qu'on chosifie, afin de pouvoir ne pas le respecter, le maltraiter, de le réduire à néant, de légitimer toute maltraitance à leur égard.

 

Hier, j'écrivais cela :

 

"même si vous êtes correct (loyal dans vos échanges), vos adversaires ne se sentent pas toujours obligé d'être loyal avec vous, en retour (il y en a un "haineux" avec qui je discutais depuis deux ans, quand j'ai découvert que c'était lui qui m'avait signalé à la modération de Facebook.

Choqué par ce manque de loyauté voire par sa duplicité, je ne voulais plus échanger avec lui et j'ai été obligé de le bloquer.

 

Certains "haineux" (du fait de leur idéologie les incitant à la haine contre les « non-croyants ») sont tellement fanatiques et sectaires que l'on peut strictement faire aucune confiance en eux (à cause de la possibilité, pour eux, de mentir d'une façon jusqu'au-boutiste, d'être dans une certaines duplicité permanente _ l'expression d'un manque de respect à votre égard, parce que vous n'êtes de leur camps _, par exemple, duplicité que certaines renomme "taqiya" concernant les islamistes).

 

Toutes les idéologies qui incitent à "bouc-émissairiser", à ne pas respecter les "ennemis", tout ceux qui ne font pas parti de leur groupe _ de leur groupe de fidèles, de militants de leur "cause" … _, je les désigne, personnellement comme "fascistes" _ par exemple, pour moi, l’idéologie islamiste qui incite à détester la vie humaine, surtout celle de ses ennemis, est un « fascisme vert » _, pour les distinguer des idéologies humanistes _ comme celle des droits humains, valeurs morales qui guident l'UE, les démocraties libérales etc. que tentent de critiquer les « haineux » sceptiques qui les considèrent comme hypocrites (ce qu’elles ne sont pas).