L’antisémitisme et l’antichristianisme sont-ils
consubstantiels à l’Islam ?
Par
Benjamin LISAN, le 5 février 2017
(Pour
voir le Sommaire : cliquez ici).
En 1973, alors que j’avais 18 ans,
je me suis converti au christianisme, à Taizé, une communauté religieuse
œcuménique en Bourgogne. Cette conversion était d’autant plus facile, qu’à
l’époque, j’allais très mal intérieurement, que j’avais été approché durant
plusieurs années, par les groupes chrétiens évangélistes, dans mon école
d’ingénieur, que l’atmosphère religieuse au centre chrétien de Taizé était
apaisante.
La religion était, pour moi, comme
un refuge, une bouée mentale, une béquille mentale, comme un baume mental
calmant (calmant mes douleurs morales), … un moyen d’éviter de couler ou mal
tourner (d’être en danger).
Le sentiment religieux ressenti vous
rend enthousiaste pour la religion, pour ses vérités simples, apaisantes …
Mais il y a une contrepartie, le
sentiment religieux vous aveugle. Vous pouvez faire du mal, agir
irrationnellement (même mettre sa vie en danger), sans même sans rendre compte,
en toute bonne foi et bonne conscience.
Plus l’on va mal, plus l’on manque
de confiance en soi, intérieurement, plus l’on se raccroche désespérément au
sentiment religieux, comme à un rocher dans un océan déchainé, au point d’en
devenir fanatique, aveugle, voire malhonnête intellectuellement. Le sentiment
religieux devient comme une addiction rassurante, pour éviter de voir la
réalité extérieure insoutenable (qu’on ne peut admettre). Ce fanatisme
inconscient pousse se mentir à soi-même, à se croire bon et bloque toute
autoanalyse et toute connaissance honnête de soi-même (au sens du
« connais-toi toi-même de Socrate). Notre capacité de doute et
d’interrogation est anesthésiée.
Le sentiment religieux est souvent
en relation avec un endoctrinement intérieur, liée à des « vérités »
simples qui rassurent et rendent plus heureux (même s’ils aveuglent).
Un écrivain, Kemal Taher, écrivait
« Pourquoi les endoctrinés ne savent
jamais qu’ils sont endoctrinés ? ».
Il écrivait aussi « Les musulmans
convaincus pensent qu’ils sont de bonnes personnes grâce à leur religion, qui justement leur enlève cette faculté de
discerner entre le bien et le mal ».
Quand l’on est endoctriné, l’on
ne se rend même pas compte qu’on l’est et l’on croit que nos croyances sont
naturelles, évidentes, incontestables et vont de soi. L’endoctriné, le
fanatique est toujours l’autre jamais soi-même.
Il faut souvent beaucoup de temps,
beaucoup d’épreuves (dont on n’est souvent responsable par son
« fanatisme »), pour ouvrir les yeux, pour comprendre qu’on est
endoctriné, conditionné, voire fanatique. Mais pour s’en rendre compte et se
remettre en cause, il faut beaucoup d’honnêteté intellectuelle (ou d’honnêteté
intérieure).
Souvent, les faits ne suffisent pas
à convaincre les gens « convaincu » qu’ils ont tort. L'écrivain Kemal Taher écrivait « Il est plus facile d’enfoncer les peuples
dans leurs croyances mensongères que de les convaincre qu’ils ont tort ».
Pour expliquer l'emprise de la
croyance sur la preuve les scientifiques avancent deux facteurs[1]
:
a)
La dissonance
cognitive.
b)
L'effet
rebond (backfire).
On pourrait aussi rajouter un autre
facteur, liée à la « théorie de l’engagement », l’enlisement dans
l’erreur.
Au lieu d'admettre leur erreur, les
"convaincus" font une série de tentatives désespérées pour effacer
cette dissonance entre leur croyance et la réalité. Au lieu de remettre en
cause leur croyance, ils rentrent dans un raisonnement circulaire, partant du
présupposé que leur croyance est vraie (axiome de base) et donc, ils cherchent
systématiquement tous les éléments de preuves et arguments pour justifier que
leur croyance est juste. Le raisonnement
religieux procède toujours ainsi[2].
Dans un ouvrage classique publié en
1956 intitulé Quand la prophétie échoue,
le psychologue Leon Festinger a qualifié cet état de dissonance cognitive, la
tension inconfortable qui survient lorsque l'on considère deux idées
contradictoires simultanément [que le « convaincu » tente à résoudre
afin de retrouver le bien-être intérieur procuré par la croyance et le
sentiment religieux associé à cette croyance].
Plus le croyant est enfermé dans un ego surdimensionné ou non maîtrisé,
plus il s’enfonce dans sa croyance, plus il lui est difficile de se remettre en
cause.
Dans leur livre Les
erreurs des autres. L'autojustification, ses ressorts et ses méfaits, publié en 2007, les deux psychologues sociaux Carol Tavris et Elliot
Aronson (un ancien étudiant de Festinger) documentent des milliers
d'expériences démontrant comment les gens déforment et sélectionnent les faits
pour les adapter à leurs croyances préexistantes et réduire leur dissonance cognitive
[bref, les croyants ont souvent tendance à éliminer les faits qui ne vont pas
dans le sens de leur croyances et ne garder que les faits qui confortent leurs
croyances).
Beaucoup de gens dans le monde procèdent
ainsi. Majoritairement, les êtres humains sont persuadés posséder la vérité
(être dans la vérité), même à un petit niveau. Ils ont tous des convictions ou des certitudes, y
compris sur eux-mêmes. Même les pires des dictateurs (Staline, Amine Dada …) ou
des grands paranoïaques sont persuadés que leurs actes sont légitimes. Ou même
ils se pensent « bons ».
Il est très rare de rencontrer des personnes demeurant dans le doute
systématique sur tout, y compris envers eux-mêmes et envers leurs propres
convictions.
Kemal Taher écrivait « Les
savants lisent tous les livres et pensent qu’ils ont beaucoup à apprendre… et
il n’y a que les imams musulmans qui ne lisent qu’un seul livre et pensent
qu’ils sont des savants ».
Dans une série d'expériences, Brendan Nyhan, de Dartmouth
College, et Jason Reifler, de l'Université d'Exeter, ont identifié un second
facteur, connexe, qu'ils ont nommé « effet
rebond » (en anglais, backfire) :
corriger les erreurs factuelles liées
aux croyances d’une personne n’est pas seulement inefficace, mais cela renforce
ses croyances erronées, car « cela
menace sa vision du monde ou l’idée qu’elle se fait d’elle-même ».
Les sujets d’une expérience recevaient par exemple des
articles de presse fictifs qui confirmaient des idées fausses répandues, comme
la présence d’armes de destruction massive en Irak. Puis on donnait aux
participants un article qui démontrait qu’aucune arme de destruction massive
n’avait été trouvée. Résultat : les sujets d’orientation libérale qui étaient
opposés à la guerre ont accepté le nouvel article et rejeté les anciens, alors
que les conservateurs qui soutenaient la guerre ont fait le contraire. Pire, ils ont déclaré être encore plus
convaincus de l’existence d’armes de destruction massive après avoir lu
l’article montrant qu’il n’y en avait pas, au motif que cela prouvait seulement
que Saddam Hussein les avait cachées ou détruites. En fait, Nyhan et
Reifler ont noté que chez de nombreux conservateurs, « la croyance que l'Irak possédait des armes de destruction massive juste
avant l'invasion par les États-Unis a persisté longtemps après que
l'administration Bush elle-même a fini par admettre que ce n’était pas le cas
».
L'engagement peut être considéré comme une forme radicale de dissonance cognitive.
Le processus d'engagement peut se poursuivre dans un engrenage (escalation
of commitment, « escalade d'engagement ») souvent mis en évidence
dans le cadre des recherches sur la prise de décision dans les organisations.
Dans tous les cas, c'est la situation qui détermine le
comportement et non pas les attitudes ou la personnalité des participants à l'expérience. Ces derniers peuvent cependant
rationaliser ou justifier ce comportement en l'attribuant à leurs opinions ou à
leur volonté. La notion d'engagement peut donc former une explication du
changement d'attitude qui prend le contrepied des approches de persuasion puisque les attitudes deviennent une conséquence du comportement
et non l'inverse.
Selon
cette théorie ? « Seuls les actes nous engagent. Nous ne sommes donc pas
engagés par nos idées, ou par nos sentiments, mais par nos conduites
effectives ».
« l’individu
rationalise ses comportements en adoptant après coup des idées susceptibles de
les justifier. Nous avons montré, par exemple, qu’une personne amenée par les
circonstances à tenir un discours en contradiction avec ses opinions modifiait
a posteriori celles-ci dans le sens d’un meilleur accord avec sa conduite (le
fait d’avoir tenu ce discours-là) », écrivent J.L. Beauvois et R.V. Joule, auteurs d’un remarquable
bouquin : "Petit traité de
manipulation à l’usage des honnêtes gens".
Même
si la personne est engagée dans une voie totalement stupide, absurde « les persévérations [l’enlisement dans
l’erreur], même les plus dysfonctionnelles, s’expliqueraient par le souci ou le
besoin qu’aurait l’individu d’affirmer le caractère rationnel de sa première
décision. Ainsi, continuer à investir sur une filiale qui s’avère être un
canard boîteux aurait pour fonction d’attester du bien-fondé de la première
décision financière. Tout se passe comme si le sujet préférait s’enfoncer
plutôt que de reconnaître une erreur initiale d’analyse, de jugement ou
d’appréciation. ».
Il
est souvent difficile pour une personne qui s’est engagée dans une voie (qui se
révèle à la longue erronée) qui lui a beaucoup coûté en temps, en effort et en
argent, de revenir en arrière dans son engagement et d’accepter la dure vérité
qu’elle a perdu beaucoup d’argent en pure perte, qu’elle a perdu les meilleures
années de sa vie ou de nombreuses années pour rien. Cela demande un énorme
effort de renoncement et d’humilité. Et alors l’on n’est pas à l’abris de
sombrer dans la dépression. C’est pourquoi pour éviter le risque d’une grave
dépression, pour faire taire son malaise intérieur croissant lié à la
dissonance cognitive le « convaincu » se radicalise de plus en plus.
Plus le gourou[3]
et la secte sont paranoïaques … plus ils ont tendance à diaboliser le monde
extérieur, les doctrines concurrentes et à se poser en victime, du monde extérieur,
quand ils sont critiqués par ce même monde extérieur.
Selon Carl Senouci : [l’Islam est] « Une religion qui hait le monde entier et se
place ensuite dans la position de victime et se plaint que tout le monde l’haïsse
[…] »[4].
Si une personne extérieure à la
secte critique les croyances de la secte, pour l’adepte de la secte cette
personne critique fait parti des « méchants », des ennemis de la
secte.
Par exemple, celui critiquera le
marxisme ou le communisme serait appelé « anticommuniste primaire »
par le communiste.
Celui qui critique l’islam ou la
personnalité de Mahomet sera traité d’islamophobe
ou de blasphémateur, par le musulman
convaincu.
Celui qui critique le judaïsme sera
éventuellement appelé antisémite.
Celui qui critique le christianisme
sera éventuellement appelé antichrétien.
Et ainsi de suite.
Ce genre de catégorisation permet de
clore tout débat (et ainsi de ne pas remettre en cause sa croyance).
J’ai souvent tenté de discuter avec
des personnes portées par une ferveur excessive pour leurs propres positions,
et même en étant diplomate … je ne suis fait opposé une fin de non-recevoir
(cela a été particulièrement le cas avec les frères musulmans, sur Facebook, et
récemment avec une certaine Sophie B, journaliste franco-israélienne, qui a
travaillé pour The Jerusalem Post, puis pour Le Huffington Post).
D’après ma propre expérience et celle des autres,
on peut adopter le comportement suivant, face aux « personnes
convaincues » :
Ces stratégies ne fonctionnent pas toujours pour
convaincre les gens de changer de point de vue, mais en ces temps où il est
devenu si courant de s’affranchir de la vérité dans le débat public, cela
pourrait au moins aider à réduire les dissensions inutiles[5].
Ce genre d’attitude respectueuse
permet d’éviter qu’on arrive, entre interlocuteurs, à l’invective, à la haine,
à se traiter de noms d’oiseaux, à arriver au « point Godwin »
(c'est-à-dire à ne plus écouter l’autre et à employer des arguments insultants,
définitifs ou malhonnêtes).
Notre but n’est pas d’accabler le
musulman pour ses croyances mais le pousser à adopter une démarche honnête
envers ces points concernant ses propres croyances.
Concernant ces points délicats_ qui
sont essentiellement des points éthiques _, je cite entre autres :
1)
La violence légitime et autorisée, par certains versets coraniques, contre les
juifs, chrétiens, les apostats, athées, polythéistes. Donc peut-on parler
honnêtement d’une religion de paix ? Cf. Versets violents du Coran (396
versets belliqueux, esclavagistes, anti-chrétiens, anti-juifs, appelant à tuer
les apostats et les infidèles, 129 versets qui prônent la guerre et le djihad
et 41 versets misogynes et associant la femme au mal et au diable etc.), http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/VersetsViolentsDuCoran.htm
2)
Le fait que
Mohammed a :
- épousé à une enfant de 6 ans (Aisha) (Sahih
Bukhari, Volume 7, Book 62, Hadith 88)
- couché avec cette enfant pré-pubère âgée de 9
ans,
- violé les captives (Sourate 4:24),
- possédé, vendu, acheté des esclaves noirs (Sahih
al-Bukhari, Book 91, Hadith 368)
- lapidé (à mort) un juif et sa femme (Sahih
Muslim, Book 17, Hadith 4216)
- coupé la main d’une femme (Sahih al-Bukhari,
Vol. 8, Book 81, Hadith 792)
- coupé les mains et pieds de personnes qui
avaient volé ses chameaux, et marqué leurs yeux avec des pièces de fer
chauffées (Sahih al-Bukhari, Vol. 7, Book 71, Hadith 590)
- assassiné un poète juif Ka’b ibn al-Achraf qui
s’était mis « à exhorter les gens contre Muhammad et à composer des poèmes
panégyriques pour se lamenter sur le sort des hommes jetés dans la fosse
commune à Badr » (Sira Ibn Hicham)
- égorgé entre six cents et neuf cents hommes du
clan juif des Banû Quraydha (Sira Ibn Hicham)
- ordonné de torturer Kinana l'époux de la juive
safiya afin de découvrir l’emplacement de son trésor (Sira Ibn Hicham),
- tué les associateurs (Sourate 9:5),
- combattu les juifs et chrétiens (Sourate 9:29),
- autorisé les violences conjugales (Sourate
4:34),
Mahomet s'est marié avec Aïcha
lorsqu'elle avait 6 ans (et lui 51) et il a "consommé leur mariage"
lorsqu'elle en avait 9 (Sahih Muslim 3309).
Or via le coran, Mahomet a permis à
tous les musulmans d'avoir des relations sexuelles avec des fillettes pré-pubères
(coran, 65:4).
Nous rappelons que la puberté
biologique est fixée normalement à l’âge de 12 ans.
Selon le Coran et les hadiths, la
sentence pour pratique homosexuelle est la peine de mort. La façon de donner la
mort (lapidation, jeter du haut d'une falaise, décapitation,...) varie d'une
source à l'autre.
"Si vous trouvez des personnes en train de pratiquer la pédérastie
tuez-les toutes les deux" (rapporté par Ahmad,2727 et vérifié par
al-Albani dans Sahih al-Djami’ as-saghir et son annexe sous le n° 6589)
Le ministère de l'éducation saoudien
écrit dans ses textbooks : "certains compagnons du prophète ont dit que
l'homosexuel doit être brûlé vif. Il a aussi été dit qu'il doit être lapidé ou
jeté depuis un endroit en hauteur".
Voir annexe sur l’homosexualité.
Mahomet a tué plusieurs poètes qui
se moquaient de lui ou s'opposaient à ses idées (par exemple: Asma' bint
Marwan, Abu 'Afak, Uqba bin Abu Muayt,...).
Sources : a) Liste des meurtres ordonnés ou soutenus par
Muhammad [Mahomet], http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/Liste_des_meurtres_ordonnes_ou_soutenus_par_Muhammad.htm
c) List of Killings Ordered or Supported by
Muhammad, https://wikiislam.net/wiki/List_of_Killings_Ordered_or_Supported_by_Muhammad
Selon le coran, les apostats (les
musulmans qui quittent l'islam) doivent être tués (4:89)
Beaucoup d'hadiths authentiques
racontent que Mahomet a exécuté des apostats.
D'après des hadiths authentiques,
Mahomet a rapporté à plusieurs reprises qu'il lui a été ordonné de combattre
les Hommes jusqu'à ce qu'ils admettent qu'il n'y a d'autre dieu qu'Allah et que
Mahomet est son messager (Muslim Book 001, Number 0033).
Mahomet a même explicitement ordonné
de "combattre dans le sentier d'Allah et de tuer les non-croyants"
(Ibn Ishaq: 992)
Le coran va dans ce sens lui aussi à
travers un grand nombre de versets.
D'après le coran, les musulmans
peuvent violer les femmes des villes conquises (coran 33:50)
Un hadith authentique raconte
comment Mahomet a "pris pour femme" la femme d'un rabbin qu'il a torturé
et tué dans le village de Khaibar (Sahih Bukhari 1:8:367).
D'après le coran, une femme
désobéissante doit être battue par son mari (coran 4:34)
Mahomet a d'ailleurs frappé sa femme
Aïcha (qui était une fillette) (Sahih Muslim (4:2127).
Peut-on maintenir au regard de ces
différents éléments importants que l'islam est une religion de paix et qu’il ne
faut pas généraliser ?
Pour moi, l’enfance dysfonctionnelle
de Mahomet (le fait qu’il a été abandonné à plusieurs reprises, en particulier
par sa mère biologique) a été à l’origine de graves troubles mentaux, associé à
un insatiable besoin de reconnaissance, chez Mahomet. Je sais que ce genre d’affirmation
un peu à l’emporte-pièce peut créer une dissonance cognitive insupportable chez
le croyant musulman convaincu.
Sources : La psychologie de Mahomet et des musulmans, Ali Sina, Ed.
Tatamis, 2015, pages 28 à 36.
Dans ce document nous employons le
terme « consubstantiel » dans le sens :
Entièrement dépendant ; directement
lié (intimement ou étroitement lié). Par exemple : « la violence
est-elle consubstantielle à l’islam et au Coran ? »
Les musulmans affirment que l’Islam
reconnait les religions du Livre (Judaïsme et christianisme).
Pourtant, certains versets du Coran,
hadiths et attitudes de Mahomet sont en contradictions avec cette attitude.
Voici ces versets ci-après :
Coran 5:13 (parlant des juifs)
"Mais à cause des ruptures faites à leur alliance, Nous les avons maudits, et nous avons durci leurs cœurs; ils
changent les mots de leur place correcte et oublient une bonne partie du
message qui leur a été envoyé, tu ne cesseras pas de les trouver - hormis quelques
uns - toujours inclinés à des tromperies (nouvelles):
mais pardonne les, et néglige : car Allah aime ceux qui font le bien." (je
cite "nous les avons maudit").
Coran 5:15 "O Peuple du Livre!
Voici venu vers vous votre Messager, vous révélant beaucoup de ce que vous cachiez dans le Livre, et délaissant
beaucoup (de ce qui n'est plus nécessaire): Voici venu vers vous d'Allah une
lumière(nouvelle) et un Livre évident," (sous entendu les juifs et
chrétiens cachaient dans la Bible / la Torah, les versets révélant la vérité).
Coran 2:96 (parlant des juifs)
"Vous les trouverez, de tous les peuples, les plus
avides de la vie, davantage même que les idolâtres: Chacun d'eux
souhaite vivre mille ans: mais une telle vie ne le
sauvera pas de la punition. Car Allah voit tout. "
Coran 5:82
"Les
plus fortement hostiles envers les croyants que vous trouverez parmi les hommes
sont les Juifs et les Païens; et vous trouverez les plus proches en
affection envers les croyants ceux qui disent "Nous sommes
chrétiens": car parmi eux sont des prêtres et des moines, et ils ne sont
pas arrogants."
« O croyants ! Ne prenez point pour amis les juifs et les chrétiens ; ils
sont amis les uns des autres. Celui qui les prendra pour amis finira par
leur ressembler, et Dieu ne sera point le guide des
pervers. » (Coran 5 :56)
« Les Juifs
disent : "Uzayr est fils d Allah" et les Chrétiens disent :
"Le Christ est fils d Allah". Telle est leur parole provenant de
leurs bouches. Ils imitent le dire des mécreants avant eux. » Qu'Allah les anéantisse ! (Coran 9:30)
5:60. Dis : “Puis-je vous informer
de ce qu'il y a de pire, en fait de rétribution auprès d'Allah ? Celui qu'Allah
a maudit, celui qui a encouru Sa colère, et ceux dont
Il a fait des singes, des porcs, et de même, celui qui a adoré le Tagut (autre
chose que allah), ceux là ont la pire des places et sont les plus égarés du
chemin droit” .
5:61. Lorsqu'ils viennent chez vous,
ils disent : “Nous croyons.” Alors qu'ils sont entrés avec la mécréance et
qu'ils sont sortis avec. Et Allah sait parfaitement ce qu'ils cachent.
5:62. Et tu
verras beaucoup d'entre eux se précipiter vers le péché et l'iniquité, et
manger des gains illicites. Comme est donc mauvais ce qu'ils œuvrent !
5:63. Pourquoi
les rabbins et les docteurs (de la Loi religieuse) ne les empêchent-ils pas de
tenir des propos mensongers et de manger des gains illicites ? Que leurs
actions sont donc mauvaises !
5:64. Et les
Juifs disent : “La main d'Allah est fermée ! ” Que leurs propres mains soient
fermées, et maudits soient-ils pour l'avoir dit. Au contraire, Ses deux
mains sont largement ouvertes : Il distribue Ses dons comme Il veut. Et certes,
ce qui a été descendu vers toi de la part de ton Seigneur va faire beaucoup
croître parmi eux la rébellion et la mécréance. Nous
avons jeté parmi eux (les juifs) l'inimité et la haine jusqu'au Jour de la
Résurrection. Toutes les fois qu'ils allument un feu pour la guerre,
Allah l'éteint. Et ils (les juifs) s'efforcent de semer
le désordre sur la terre, alors qu'Allah n'aime pas les semeurs de désordre
5:81. S'ils croyaient en Allah, au
Prophète et à ce qui lui a été descendu, ils (juifs) ne
prendraient pas ces mécréants pour alliés (chretiens). Mais beaucoup d'entre
eux sont pervers.
Autre traduction :
[5:58] Quand vous faites l'appel aux
Prières de Contact (Salat), ils se moquent et ridiculisent cela. C'est parce
que ce sont des gens qui ne comprennent pas.
[5:59] Dis : « Ô gens de l'Écriture,
ne nous haïssez-vous pas parce que nous croyons en DIEU, et en ce qui nous a
été révélé, et en ce qui a été révélé avant nous, et parce que la plupart
d'entre vous ne sont pas droits ? »
[5:60] Dis : « Laissez-moi vous dire
qui sont pires au regard de DIEU : ceux qui sont condamnés par DIEU après avoir
encouru Son courroux jusqu'à ce qu'Il les rende (aussi méprisables que) des
singes et des porcs, et les adorateurs d'idoles. Ceux-ci sont de loin pires et
plus éloignés du droit chemin. »
[5:61] Lorsque qu'ils viennent à
vous, ils disent : « Nous croyons », bien qu'ils étaient plein de mécréance
lorsqu'ils sont entrés et ils sont plein de mécréance lorsqu'ils s'en vont.
DIEU est pleinement conscient de tout ce qu'ils dissimulent.
[5:62] Tu vois beaucoup d'entre eux
commettre volontiers le mal et la transgression, et manger des gains illicites.
Misérable, vraiment, est ce qu'ils font.
[5:63] Si seulement les rabbins et
les prêtres leur interdisaient leurs paroles pécheresses et leurs gains
illicites ! Misérable, vraiment, est ce qu'ils commettent.
[5:64] Les Juifs ont même dit : « La
main de DIEU est attachée ! » Ce sont leurs mains qui sont attachées. Ils sont
condamnés pour avoir proféré un tel blasphème. Au contraire, Ses mains sont
grandes ouvertes, dépensant comme Il veut. C'est certain, les révélations de
ton Seigneur qui ont été descendues sur toi feront plonger beaucoup d'entre eux
plus profondément dans la transgression et la mécréance. Par conséquent, nous
les avons condamnés à l'animosité et à la haine entre eux jusqu'au Jour de la
Résurrection. Chaque fois qu'ils allument les flammes de la guerre, DIEU les
éteint. Ils parcourent la terre pernicieusement et DIEU n'aime pas les
malfaisants.
Source : http://vraislam.forumgratuit.org/t290-sourate-5-le-festin-al-ma-idah
Coran 62:5
"La
comparaison de ceux qui furent chargés de la Torah, mais qui échouèrent à
l'observer, est celle d'un âne qui transporte des livres. Malfaisant est le
peuple qui rejette les Signes d'Allah : et Allah ne guide pas un peuple
injuste."
Coran 62:6-8
"O vous qui persistez dans le Judaïsme ! Si vous pensez que vous êtes favoris d'Allah, à l'exclusion
des autres hommes, alors désirez la Mort, si vous êtes sincères !
Mais ils n'exprimeront pas leur
désir (pour la Mort), à cause de ce que leurs mains ont envoyé devant eux ! et Allah sait bien ceux qui font le mal !
Dis: « La
Mort que vous fuyez va en vérité vous rattraper : alors vous serez
renvoyés au Connaisseur du visible et de l'invisible: et Il vous dira vos
actions! » "
Coran 9:30
"Les
Juifs appellent Uzair [Esdras] un fils d'Allah, et les Chrétiens
appellent Christ le fils d'Allah. C'est ce qu'ils disent de leur bouche ; (en
cela) ils imitent ce que les infidèles disaient.
Qu'Allah les maudisse: comme ils sont loin de la Vérité
!"
Coran 9:34
"O vous qui croyez ! Nombreux sont parmi les rabbins et les moines, qui dans la
Fausseté dévorent la richesse des hommes et les détournent de la voie d'Allah.
Et ceux qui enterrent l'or et l'argent et ne le dépensent pas dans la voie
d'Allah : annonce leur une punition douloureuse."
Note : C'est un thème classique de l'antisémitisme: le
juif (le rabin) dévore l'or et l'argent du peuple.
Coran 4:51
"N'as-tu pas tourné Ton regard
vers ceux qui ont reçu une partie du Livre ? ils
croient à la sorcellerie et aux faux dieux, et disent aux idolâtres
qu'ils sont mieux guidés que les croyants!"
Livre El-Bokhari 56, Chap.94, tome
2, p. 322. « L’heure du jugement n’arrivera pas tant que vous n’aurez pas
combattu les Juifs et à tel point que la pierre, derrière laquelle s’abritera
un Juif, dira : Musulman ! voilà un Juif derrière moi,
tue-le ! »
Livre Muslim XVII-4216 : Récit de
Jabir Abdulhah : " l’apôtre d’Allah [Mahomet] a
lapidé à mort un juif et sa femme de la tribu des Banu Aslam"
Muslim, Livre 37, Numéro 6666 :
Récit d'Abu Burda : « Aucun musulman ne mourra sans
qu'Allah n'admette à sa place un juif ou un chrétien dans le feu de l'enfer.
»
Muslim, Livre 37, Numéro 6668 :
Récit d'Abu Burda : « Il viendra des gens parmi les musulmans le jour de la
résurrection avec des péchés aussi lourds qu'une montagne, Allah les pardonnera
et il mettra à leur place les juifs et les chrétiens. »
Bukhari 53:392
Abu Huraira a narré:
"Quand nous étions à la
Mosquée, le Prophète sortit et dit "Allons voir
les Juifs". Nous sortîmes jusqu'à atteindre Bait-ul-Midras. Il leur dit "Si
vous embrassez l'Islam, vous serez en sureté. Vous devriez savoir que la terre
appartient à Allah et à son Apôtre, et je veux vous
expulser de cette terre. Alors, si quelqu'un parmi vous possède quelque
propriété, il lui est permis de la vendre, sinon vous devriez savoir que la
Terre appartient à Allah et à son Prophète."
En 627, après la bataille de Médine
contre les meccans, Mahomet assiège les Banu Qurayza, et fait décapiter les huit cents adultes et adolescents mâles
faits prisonniers. Femmes et enfants sont réduits à l'esclavage.
Coran 33:26-27
"Et
ceux du Peuple du Livre qui les ont aidés -Allah les a jetés a bas de leurs
places fortes et a placé la terreur dans leur coeur. Tu as tué certains et tu
as fait prisonniers certains."
"Et Il
te fît l'héritier de leur terres, leurs maisons, et leurs biens, et
d'une terre que tu n'as pas encore fréquenté. Et Allah a pouvoir sur toutes choses."
On lit dans la Sira (au sujet de
la tribu juive des Banu Qurayza):
L'apôtre d'Allah
emprisonna les Qurayza à Médine pendant
que des tranchées étaient creusées place du marché. Ensuite il fit venir les hommes et les fit décapiter de telle sorte
qu'ils tombaient dans les tranchées. Ils furent amenés en groupes, et
parmi eux était Kab, le chef de la tribu. En nombre,
ils atteignaient six ou sept cents, bien que certains affirment qu'ils étaient
huit ou neuf cents. Tous furent exécutés.
Coran 9:29
"Combattez ceux qui rejettent
Allah et le jugement dernier et qui ne respectent pas Ses interdits ni ceux de
Son messager, et qui ne suivent pas la vraie Religion quand le Livre leur a été
apporté, (Combattez-les) jusqu'à ce qu'ils payent
tribut de leurs mains et se considèrent infériorisés."
Ce statut d'infériorité s'appelle
"dhimmi". Il est très bien décrit sur ce site (en anglais): http://dhimmitude.org/
Voir aussi :
Juifs et chrétiens sous
l'islam. Les dhimmis face au défi intégriste. Réédition revue et augmentée du précédent. Berg
international, collection « Pensée politique et sciences sociales », Paris, 1994. 420 p
La prière du Vendredi est toujours
accompagnée d’un prêche quasi classique dans toutes les mosquées. Les
prédicateurs y témoignent leur colère contre les juifs et les non-musulmans et
sollicitent l’aide d’Allah :
Les prédicateurs concluent son
prêche par la litanie suivante et la masse des fidèles répond après chaque
supplication par un « Amen » :
« O Allah ! Accorde-nous
la victoire sur les juifs, qui sont tes ennemis mais aussi les ennemis de notre
religion ! (Amen)
O Allah ! Fais
périr les mécréants, les polythéistes et les ennemis de l’islam ! (Amen)
O Allah ! Eparpille
leur nation ! (Amen)
O Allah ! Disperse
leurs troupes ! (Amen)
O Allah ! Détruis
leurs édifices ! (Amen)
O Allah ! Fais
périr leur récolte ! (Amen)
O Allah ! Rend
orphelins leurs enfants ! (Amen)
O Allah ! Rend
veuves leurs épouses ! (Amen)
O Allah ! Fais
tomber leurs biens et leurs fortunes comme butin entre les mains des musulmans !
(Amen) ! »
Je pense que les personnes
musulmanes ou non qui parlent, avec ferveur ou non, de l’islam et du Coran ou
des hadiths, n’ont jamais lu le Coran et les hadiths.
Or 'ai lu souvent de long en large
deux Corans, la version de l'Arabie saoudite et la version de Kasimirski.
Je vous incite donc à faire de même
et vous comprendrez alors que la haine des juifs et des chrétiens est vraiment
consubstantielle à l'Islam et au Coran (cet antisémitisme et cet
antichristianisme sont bien instillés le long des pages du Coran et des
hadiths) et que donc l’antisémitisme que j'ai observé dans les pays musulmans
n'est pas le fruit du hasard.
Selon Smaïn
Laacher[6] :
« Cet antisémitisme, il est déjà déposé dans
l’espace domestique. Il est dans l’espace domestique et il est quasi
naturellement déposé sur la langue, déposé dans la langue. Une des insultes des
parents à leurs enfants quand ils veulent les réprimander, il suffit de les traiter de Juif. Et ça toutes les
familles arabes le savent. C’est une hypocrisie monumentale que de
ne pas voir que cet antisémitisme, il est d’abord domestique et, bien évidemment, il est sans aucun doute renforcé, durci,
légitimé, quasi naturalisé au travers d’un certain nombre de distinctions à
l’extérieur. Il le trouvera chez lui, et puis il
n’y aura pas de discontinuité radicale entre chez lui et l’environnement
extérieur parce que l’environnement extérieur en réalité le plus souvent, dans
ce qu’on appelle les ghettos, il est là, il est dans l’air que l’on
respire. Il n’est pas du tout étranger et il est même difficile d’y échapper, en particulier quand on se retrouve
entre soi, ce sont les mêmes mots qui circulent. Ce sont souvent les mêmes
visions du monde qui circulent. Ce sont souvent les mêmes visions du
monde fondées sur les mêmes oppositions et en particulier cette première
opposition qui est l’opposition eux et nous. Puis après sur cette grande
opposition, sur cette grande bipolarité, eh bien, se construisent une
multiplicité d’oppositions entre les nationalités, entres les ethnies, etc. ».
« L’antisémitisme de ces jeunes issus de l’immigration maghrébine pour
qui le juif incarne négativement le complot permanent et le “deux poids, deux
mesures” va bien plus loin que le préjugé judéophobe de leurs parents. On ne
peut pas faire semblant de penser que la structure familiale est d’un effet nul
sur la construction des représentations subjectives. Ce serait absurde. Aussi, ce n’est pas à l’école qu’il faut
débusquer l’antisémitisme. Les modes de socialisation sont déterminants. C’est
précocement que la langue de la maison, de l’entre-soi, s’apprend sur le mode
du “cela va de soi”. Elle est enracinée bien
avant toute scolarisation. Elle est déjà là. Et sur cette langue de l’intérieur
et donc de l’intériorité sont déposés les mots qui désignent les gens
haïssables et les gens “bien” que l’on
donne en exemple, ceux que l’on doit fréquenter et ceux que l’on doit
impérativement éloigner de soi et des siens. »[7].
Dans cet article, Smaïn Laacher
tente cependant de distinguer un « “simple” préjugé judéophobe […] plus domestique que public, et
l'antisémitisme qui prévaut dans la société française, bien au-delà de la
communauté maghrébine. »
[1]
Pourquoi les faits ne suffisent pas à
convaincre les gens qu’ils ont tort, Michael Shermer, http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-pourquoi-les-faits-ne-suffisent-pas-a-convaincre-gens-qu-ils-ont-tort-38103.php
[2] La théorie de l’engagement, Pierre Lazuly, 31 mai 2000, http://menteur.com/La-theorie-de-l-engagement
[3] Les décisions absurdes : sociologie des erreurs radicales et
persistantes, Christian Morel, PUF, 2002.
[4] Bourreau-victime-persécuteur : quel jeu joue l'islam dans le triangle
dramatique ?, anonyme, 24 Janvier 2015,
[5] Les citations de Kemal Taher
sont extraites de sa page Facebook : https://www.facebook.com/kemal.taherecrivain.7?fref=ts
L'Islam autorise toute la
partie sensuelle de l'homosexualité (caresse, baiser, lécher, sucer), mais
seule la partie sodomie de l’homosexualité est réprimée. L'exemple des récits
où la pénétration (la Sodomie) est interdite :
- [Coran 7 :80-81] : « Souvenez-vous de Loth ! Il dit à son peuple : Vous
livrez-vous à cette abomination que nul, parmi les mondes, n’a commise avant
vous ? Vous vous approchez des hommes de préférences aux femmes pour assouvir
vous passions. Vous êtes un peuple pervers » ;
- [Coran 21 :74] : « Et Loth, nous lui donnâmes sagesse, jugement et savoir,
et nous le sauvâmes de la cité qui pratiquait le vice. C’étaient des gens de
mal et des dévergondés » ;
- [Coran 26 :165] : « Vous approchez-vous des mâles de l’univers et
délaisserez-vous vos épouses, créées pour vous par le Seigneur ? Vous êtes un
peuple transgresseur » ;
- « Ceux qui pratiquent le péché du peuple de Loth, lapidez
l’actif et le passif, lapidez-les tous les deux » ;
- « Dieu ne regarde pas
celui qui pénètre un homme ou une femme par derrière » ;
- « Si vous trouvez deux
hommes pratiquer le vice du peuple de Loth, maudissez les » ;
- Le Prophète d'Allah a
dit : « Est maudit quiconque sodomie sa femme
». Rapporté par Abu Dawud 1847 et par Ahmad 9356 ;
- Abou Houraira rapporte
que le Prophète d'Allah a dit : « Celui qui
commet l'acte avec une femme qui a ses menstrues, sodomise une femme, il a
mécru en ce qui a descendu sur Muhammad, prière et paix de Dieu sur lui
». Rapporté par Al-tarmidhi 125, Ibn Majah 631, Ahmad 9779 et Al-Darmi 1116 ;
- Le Messager d'Allah a
dit : « Certes Dieu n'a pas honte de la vérité,
ne sodomiser pas vos femmes » ;
- Selon Ibn Abbâs, le
Prophète a dit : « Dieu ne regarde pas l'homme
qui a des rapports avec sa femme dans son anus ». Sahih ibn Hibban,
numéro 4204 ;
Il s'agit bien de l'acte de sodomie envers les hommes et
les femmes qui est interdit et qui est codé dans le Coran comme le péché de
Loth.
- Rapporté par
Al-Tabarani et c'est l'authentification est entièrement validée par les savants
islamiques : « J'ai vu le Messager d'Allah sws
mettre les jambes de Hussein part et d'embrasser son (petit) pénis » ;
- « J'ai vu le Prophète (paix sur lui) sucer sur sa langue
et ses lèvres Al-Hassan le fils de Ali (paix et prières d'Allah
soient sur lui). Pour aucune langue et aucune
lèvre, que celles du prophète lui protège du feu de l'enfer »
[Nombre Hadith 16245, Volume Titre : « Les énonciations des Syriens », Titre du
chapitre : « Hadith de Mu'awiya Ibn Abi Sufyan »] ;
- Selon Anas bin Malik :
« Chaque fois que l'Apôtre d'Allah est allé à
répondre à l'appel de la nature, moi avec un autre garçon, avons l'habitude de
l'accompagner avec un verre plein d'eau. (Hisham a commenté : + Alors qu'il peut laver ses parties intimes avec elle
+ » [Sahih Al-Bukhari, Volume 1, Livre 4, Numéro 152, vous pouvez aussi
consulter les numéros 153-154] ;
- « Un jour, Mahomet a soulevé sa chemise pour un homme qui
s'est mis à embrasser son torse tout entier, + à partir de son nombril et jusqu'à ses aisselles
+ » [Sunan Abi Dawud # 5224] ;
- « Un homme du nom de Zahir qui avait l'habitude
de dire + le prophète m'aime +, a dit qu'un jour, Mahomet s'est glissé à son insu derrière
lui et l'entoura de ses bras. Zahir effrayé a hurlé + Lâche moi ! +. Après avoir
tourné la tête et découvert que c'était Mahomet, il cessa de se débattre et
s'est mis à + pousser son dos contre la
poitrine du prophète + » [Musnad Ahmad # 12669].
Table des matières
3 « L'effet rebond » (en anglais,
backfire)
5 La mentalité de la forteresse
assiégée
6 Quelle attitude adopter avec un
musulman convaincu
7 Les points délicats difficile de
discuter avec un musulman convaincu
7.1 Possibilité d’avoir des relations
sexuelles avec des enfants pré-pubères
7.2 Autorisation de tuer des homosexuels
7.3 Meurtres autorisés en réponse à des
insultes ou des critiques du Coran, de l’islam et de Mahomet
7.5 Guerre religieuse autorisées
7.6 Viols autorisés pour les combattants de
l’islam
7.8 Le problème de l’enfance
dysfonctionnelle de Mahomet
8 L’antichristianisme et
l’antisémitisme sont-ils consubstantiels à l’islam et le Coran ?
8.3 Attitudes de Mahomet envers les tribus
juives
8.4 La prière du Vendredi que l’imam récite à
la fin de son prêche
11 Annexe : sur
l’homosexualité dans l’Islam
11.1 Récits ou versets interdisant la sodomie
(ou (le péché de Loth)
11.2 Attitudes de Mahomet posant problèmes aux
non-musulmans
[1] Source : Pourquoi les faits ne
suffisent pas à convaincre les gens qu’ils ont tort, Michael Shermer, http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-pourquoi-les-faits-ne-suffisent-pas-a-convaincre-gens-qu-ils-ont-tort-38103.php
[2] Les religions appellent souvent à croire et à ne pas douter, alors que la
science appelle au contraire à douter des croyances et de soi.
[3] Le gourou paranoïaque se voit souvent comme un génie incompris du reste du
monde (voire en avance sur son temps), tel un nouveau Galilée, victime d’une
nouvelle inquisition.
[5] Source : http://www.pourlascience.fr/ewb_pages/a/actu-pourquoi-les-faits-ne-suffisent-pas-a-convaincre-gens-qu-ils-ont-tort-38103.php
[6] Entre le 56e et la 57e minute du film. Ce passage est précédé par
un commentaire d'une professeure de lycée qui déclare au sujet des propos
antisémites tenus par des élèves : « savoir
pourquoi, d'où ça leur vient. Pour beaucoup, quand ça m'est arrivé avec des
élèves d'en discuter, ça relève un peu d'un climat familial quand même, une
espèce de posture familiale ; c'est ce qu'on dit dans la famille. » Le passage vidéo peut être
intégralement consulté dans « Rencontre avec Georges Benayoun, réalisateur
de Profs en territoires perdus de la République ? », La Règle du jeu, Youtube, 25 octobre 2015, à 28 minutes 20 secondes [archive]. Les propos de Smaïn Laacher sont également
partiellement cités dans Le Monde du 22 octobre 2015 (Luc Cédelle,
« L'antisémitisme à l'école : en parler sans déraper »,
Supplément Télévision, p. 22), ainsi que par Jacques Tarnero, « État d'urgence intellectuelle :
territoires occupés de la pensée progressiste », Le Huffington Post, dimanche 15 novembre 2015, http://www.huffingtonpost.fr/jacques-tarnero/etat-durgence-intellectue_b_8567234.html
[7] Smaïn Laacher, « L’antisémitisme,
une histoire de famille ? », Le Monde, 21 janvier 2016,