ManifESTE Contre l’ISLAMISME

(Réaliser un front uni des démocrates contre l'islamisme).

 

 

          Tout homme de coeur, humain, ayant de la compassion pour autrui, ne peut que combattre l'ISLAM, religion, manquant d'humanité.

          Elle n'admet pas le droit à la différence. Elle combat toute opinion opposée à l'ISLAM. Elle n'admet pas l'égalité de droit entre l'homme et la femme. Ses lois sont cruelles : lapidations, amputations, condamnations à mort.

 

          Aux portes de l'Europe et de la France, à 2000 Km de la France, à 2 heures d'avion, une nouvelle barbarie est en germe. La menace de l'arrivée d'un nouveau régime totalitaire violent et criminel en Algérie est un risque à prendre en compte très sérieusement.

 

          L'élite intellectuelle est toujours la lumière de la pensée éclairant la vie intellectuelle d'un pays. On tue celle-ci, en raison d'une religion, admettant la guerre (la Djihad) pour s'imposer, sans aucune réflexion, sans aucun arguments sérieux, uniquement par conviction fanatique.

 

          On assassine ceux qui pourraient apporter la voix de la réflexion, de la sagesse, de la lucidité, de la raison, de l'humanité, dans les égarements et errements du peuple Algérien.

 

          Le peuple algérien pourrait faire l'économie salutaire de cette expérience malheureuse à venir et de la catastrophe finale qui s'en suivrait. Mais pourra-t'on lui en laisser le choix ?

          Le peuple algérien sera-t'il condamné à un grand malheur historique inéluctable, plus énorme que celui qu'il vit actuellement ?

           Est-il condamné, à répéter les erreurs de l'histoire (le nazisme), par manque d'élite intellectuelle pour la mettre en garde ?

 

            Cette élite pourrait justement lui faire prendre conscience du danger encouru.

Mais on la tue.

 

          Le peuple algérien se laissera-t'il finalement séduire et abuser par le chant des Sirènes islamique? Se laissera-t'il corrompre l'esprit par des gens à l'esprit assassin, totalement tordus et pervertis ?

 

          Ces personnes n'hésitent pas à tuer des gens intelligents, bons et honnêtes dont le seul tort était de s'opposer à la malhonnêteté et à l'irrationalité des gens du FIS.

          On se doit de se rappeler, ce médecin d'Alger égorgé, qui soignait gratuitement les pauvres, et bien d'autres martyrs, ces journalistes démocrates et indépendants assassinés, les femmes libérées cultivées condamnées à mort, ce directeurs d'association culturelle d'ORAN égorgé, ces écrivains condamnés et en exil ..., ce cardinal (Monseigneur DUVAL) tué à coup de couteau de boucher, ces deux religieux hospitaliers égorgés etc. ...

 

          Le peuple sera-t'il condamné à avoir le cerveau "lavé", pendant des années, par les gens du FIS, par manque d'accès à la culture, par impossibilité de comparaison des idées, par l'impossibilité d'avoir une pensée sereine et indépendante (qui soient préservée de la terreur du FIS et dans une moindre mesure de celle du FLN) ?

 

          Non, l'islamisme n'est pas une solution saine aux problèmes de l'Algérie.

Ce n'est certainement ni une bonne réponse à ses maux et ni une fatalité.

           Ne soyons jamais Munichois devant l'horreur. Ne baissons jamais les bras devant la violence, la barbarie la plus injustifiable et la montée de l'extrémisme.

 

          Aucune violence n'est justifiée, ni même justifiée par celle du régime en place, ni par le désespoir.

          Il y a bien d'autres solutions que la violence, à la misère d'abord matérielle, puis en second lieu, intellectuelle de ce peuple. Les idées existent pour l'éviter à tout prix.

 

          Tout homme algérien ou d'autre nationalité, de bonne volonté, qui possède des idées, peut aider à résoudre les problèmes de son peuple, sans faire appel au malheur, par :

 

1.  l'instauration d'une plus grande liberté et de la démocratie, grâce à :

 

    des débats publics démocratiques à tous les niveaux (style états généraux ou les débats (et les passions) sont canalisés si possible et maîtrisés au maximum par des responsables de réunions, connus pour leur honnêteté et leur ouverture).

    une éducation démocratique des gens à la télévision, dans les écoles, sur les lieux de travail, dans les journaux.

    en augmentant le nombre de débats contradictoires à la télévision etc. ...

    en luttant contre l'ignorance, en poussant les gens à se cultiver, à lire, à suivre, des cours (du soir), à proposer ces cours, à alphabétiser, bénévolement ou non, les gens, à faire des émissions éducatives à la télévision, à organiser des cours sous le couvert de fêtes (musulmanes, de quartier... )

    en subordonnant la police (et les services de renseignements) et l'armée, à l'état et au droit.

    en relançant le processus démocratique, mais où l'on on admet dans la course aux élections, que les partis qui se sont engagés, dans leurs statu ou constitution, de façon claire, à respecter la liberté d'expression et le multipartisme.

    en diffusant gratuitement la lecture, les livres simples à lire ...

 

2.  la recherche de solutions morales, en luttant fermement :

 

    contre la corruption du régime FLN en place (par une opération main propre menée par des juges investis de pouvoir accrus et indépendants),

    contre le culte de la haine irrationnel de l'occident.

     Il faut démonter les mensonges, entretenus dans la tête des gens, par le FLN et le FIS, concernant par exemple la guerre d'Algérie (utilisée comme bouc émissaire facile expliquer la faillite économique, et masquer ainsi l'incurie du FLN) et ceux concernant la vie en occident (la soi-disant décadence ).

     Il faut expliquer les avantages mais aussi les inconvénients de la démocratie (diversité dans le bon et mauvais sens), ses droits mais aussi ses devoirs ....

    pour l'obtention de la vérité au sujet de l'assassinat du président Boudiaf.

 

3.  la recherche de solutions économiques, en luttant pour :

 

    réduire la dette extérieure, par suspension d'une partie de la dette envers les pays créanciers, par rééchelonnement de la dette au maximum (et diminution des taux)

    supprimer la corruption en renforçant les lois anti-corruptions, en formant un corps important de magistrats, indépendant du pouvoir

    l'amélioration niveau de vie par la construction de logements préfabriqués à très faible coût, réalisés par des sociétés extérieures à l'Algérie avec l'aide de sociétés locales et grâce à des aides de la CEE ...

    le renforcement du secteur privé, source de prospérité, en libéralisant les lois sur le secteur privé, en accordant des dérogations de taxe sur les 2 premières années d'existence de toute nouvelles sociétés, en créant des zones franches protégées, en luttant contre les administrations (en effectuant de multiples audits par des sociétés extérieures, dont le suivi de leurs recommandations, conditionnent l'obtention de prêt de du FMI ..., privatiser les sociétés étatiques ...).

    le plannign familial pour lutter contre la surpopulation en Algérie.

 

          La culture démocratique doit être expliquée; celle-ci doit permettre de combattre la toute puissance et la lourdeur de l'administration pléthorique algérienne.

 

          Cette lutte doit permettre l'implantation d'un secteur privé plus prospère, seule solution envisageable pour relever le niveau de vie des gens. Ce genre de débat sur les solutions à apporter à l'Algérie, pourrait être aussi fait ici dans  toute l' Europe ...et pas seulement en Algérie (imaginer un véritable plan de Constantine ...ou un plan Marshall économique)

 

          Certains démocrates algériens, au non d'une conception mal comprise de la démocratie et devant les succès électoraux du FIS. Ils baissent les bras en acceptant la remise, de principe, du pouvoir au FIS, sans aucune garantie démocratique donnée par ce dernier.

 

          Personnellement, je pense que cette attitude est une aveugle démission lourde de conséquence. Ce n'est pas parce qu'une majorité de gens croient à un mensonge ou à un délire, qu'on doit "hurler avec les loups" et se rallier à l'opinion majoritaire. Je pense que l'on doit être ferme sur le principe de remettre le pouvoir que quand le FIS se sera engagé, totalement, fermement, ouvertement, officiellement, sur le principe du pluralisme et de la liberté d'opinion et de la renonciation totale à la violence.

 

          Tout homme de principe doit toujours lutter contre les mensonges, afin de rester sains d'esprit et libre. On se doit moralement de rester fort au niveau de son indépendance d'esprit. Sinon, il faut garder fortement le principe moral de lutter contre tout ce qui est nuisible à l'espérance de vie et au bonheur des gens.

 

          Par comparaison, ce n'est pas parce que le nazisme a gagné les élections en 1933, en Allemagne, qu'il ne fallait pas, à l'époque, le combattre, en permanence résolument, tout en étant cohérent dans ses idées, par un front uni de toutes les forces démocratiques, toujours avec une fermeté inégalée, mais sans fanatisme.

 

          Ce combat d'une très grande fermeté, doit être engagé avec des moyens strictement légaux.

          Par exemple, on peut dénoncer les dommages causés, les exactions ...du FIS fondées sur des preuves incontestables. On peut demander et faire participer le peuple dans cette lutte, par les médias, la télévision. Dans cette lutte on se doit de garantir et de respecter les opinions du FIS, à condition qu'elle respecte celles des autres partis.

          Le principe de non-violence de principe doit être appliqué, sauf en cas de légitime défense contre les exactions du FIS. On ne doit pas confondre ce principe avec un désarmement unilatéral. L'application du droit et de la justice envers tous les crimes du FIS, avec respect du droit de la défense, doit être très fermement maintenu.

 

           Et même, si cette lutte peut être dure, et que le danger de mort peut être constant, il est essentiel de ne jamais démissionner devant l'inacceptable (la barbarie, la cruauté, l'immoralité, le massacre des innocents, des jeunes filles innocentes qui ne portent pas le voile, des intellectuels, des étrangers etc. ...).

 

          On se doit de détromper les algériens sur la nature profondément néfaste du FIS pour eux. Ce n'est pas parce qu'un mouvement fait oeuvre sociale et charitable (comme au moment du tremblement de terre de Tipasa), qu'il est nécessairement bon. Le nazisme, par l'intermédiaire des SA, après 1934, faisait oeuvre sociale pour les pauvres, et pourtant ce régime était profondément trompeur et mensonger.

 

          Il faut montrer que dernière le FIS et ses dirigeants, se dissimule une volonté de puissance et de domination, cachée derrière de beaux discours, de prétextes "idéalistes et généreux". Il faut montrer que derrière le prétexte de favoriser l'ISLAM affiché par Assi Madhani et Ali BelAdj, il y a surtout la volonté de se mettre en avant et de diriger le mouvement. Il faut montrer que tous les moyens sont bons pour eux pour obtenir le pouvoir et ne plus le partager.

          Il est certain, étant donné la nature criminelle du FIS, est que, si ce dernier prenait le pouvoir, un règlement de compte sanglant surviendrait d'abord entre les dirigeants du FIS, après la prise de pouvoir, puis envers une partie du peuple qui ne pensent pas comme ce dernier courant politique.

 

          Le sang appelle le sang. Le meurtre appelle le meurtre. C'est un cercle vicieux connu sans fin, qui s'est toujours répété dans l'histoire.

          On n'a jamais fondé, un régime heureux et sain, sur la violence et le meurtre. La fin ne justifie jamais les moyens et les moyens violents corrompent toujours les buts idéaux poursuivis. Il n'y a jamais eu de lendemains qui chantent obtenus par la violence.

          Un mouvement, s'accroissant toujours dans le crime et dont l'idéologie est de plus obscure et arriérée, ne peut que mal finir.

          Ce mouvement vit dans une fuite perpétuelle des réalités. Par exemple, il appelle à un retour à un passé mythique, celui de l'age d'or du califat, qui a suivi la mort de Mahomet, et qui n'a malheureusement jamais n'a jamais existé.

          Il pousse à une soumission absolu à une certaine conception de Dieu interventionniste dans tous ses aspects sa vie (on pense que tout est dirigé par le destin et que l'on n'a pas réellement de libre arbitre et de capacité de diriger sa propre vie). On doit alors avoir, une totale confiance en cette conception. On va jusqu'à par exemple ne pas prendre une roue de secours dans une voiture, parce que cela serait manquer de confiance dans les choix et la bonté de Dieu !

 

          Un mouvement criminel expansionniste, niant les valeurs morales les plus élémentaires, s'achèvera très sûrement par une catastrophe finale cause de grandes tragédies ou génocides. Mais tout cela n'est jamais inéluctable. L'homme a toujours la possibilité de choix et peut toujours faire marche arrière...

 

          Parmi les conceptions irrationnelles des religions, c'est de penser que croire ou avoir la foi en Dieu, va automatiquement améliorer son sort, par rapport à celui des incroyants, athées (eux seront voués aux pires des sorts etc. ...) ... On sera alors protégé et sauvé. Rien ne pourra plus nous arriver (et de toute manière, quoiqu'il nous arrive, on ira au paradis).

          Beaucoup de gens honnêtes en reviennent, car poussée à l'extrème, cette conception conduite au délire.

          Sinon, la religion fait souvent croire à la bonté intrinsèque de l'homme, qui possède une "étincelle de Dieu". ce dernier se serait détourné de Dieu. s'il "revient" vers lui, il redeviendra sûrement bon.

          La religion n'a malheureusement pas empêchée l'exploitation de l'homme par l'homme, ou d'autres malheurs (en raison de ses défauts _ égoïsmes _, de son ignorance et de ses préjugés envers ceux qui sont lui différents etc. ...).

          Certaines autres croyances, font croire à l'existence d'un age d'or dans le passé, où l'homme était bon et heureux.

          Malheureusement, l'histoire de l'esclavage des vaincus, des races dites inférieures (noires ...), de l'infériorisation voulue de la femme par l'homme, pendant des millénaires, démontreraient amplement le contraire. De nombreuses études ethnologiques sinon n'ont guère aussi démontré l'existence du mythique "bon sauvage", chère à Jean Jacques Rousseau. A quelques exceptions près, comme les hommes-fleurs d'Indonésie, les papous des îles Trobians, les indiens de Guyane etc.

           La plupart des hommes ne sont bons, sauf êtres exceptionnels, que dégagé de tout problème.

          A notre connaissance, seule la démocratie permet actuellement d'instaurer des garde-fous contre les excès et délires humains, et non un régime théocratique totalitaire.

 

          On a mis des siècles, à élaborer la pensée rationnelle et scientifique. Elle a conduit à avoir enfin des doutes, pourtant si nécessaires, sur les vérités révélées ou religieuses, qui la plupart du temps, n'en sont pas : conception géocentrique de Ptolémé, ethnocentrisme, conception créationniste de l'univers, astrologie ...

          Et pendant longtemps la religion, s'est opposée à ce genre d'esprit critique.

 

          Par l'information _  par les journaux, les médias etc. .._, on est devenu moins enclin à se laisser abuser par les gens délirants, qui disent posséder la vérité, qui conduisent des communautés, à des comportements moutonniers, à des folies meurtrières ou à des soumissions fatalistes. On réussi à dégager progressivement des superstitions, ou des aspects les plus négatifs des religions,  qui faisaient vivre les gens dans la crainte, la culpabilisation sans objet, le malheur, la soumission à l'arbitraire et à l'oppression ...

 

          On ne peut pas retomber dans les préjugés alors qu'on a mis des centaines d'années à s'en dégager et cela pour notre bien.

          Par exemple, le port du voile, les interdits de relations entre jeunes, dont le but originel était certainement de lutter contre les désirs sexuels des hommes, a en fait renforcé les obsessions et frustrations sexuelles des musulmans, comme j'ai pu le constater en discutant ou observant des étudiants dans les pays musulmans.

Ce genre d'injonction montre un manque certain de réflexion approfondie et de finesse psychologique (les interdictions dogmatiques sont ceux que les hommes tentent d'enfreindre le plus, par attrait de l'interdit.).

          L'interdiction du porc avait certainement des raisons alimentaires valables à l'origine : problème de la trichinose dans les pays chauds. Mais cet interdit à été sacralisé et figé dans le marbre religieux. Maintenant, elle prive les pays musulmans pauvres d'une source de protéine indispensable, à défaut d'une autre solution immédiate de rechange.

 

          Ce n'est pas parce qu'un saint homme ou prophète est bon et vertueux, qu'il n'est pas capable d'erreurs. Un être hors du commun peut aussi parfois donner de mauvais conseils (tel qu'inciter a la mendicité, au jeûne pour rechercher la spiritualité comme l'a préconisé le Bouddha _) ou se conduire de façon déraisonnable (comme rechercher le martyr,comme Jésus au moment de sa "passion") ... Il faut se dégager de toute soumission naïve envers toute idéologie, religion. Il faut cultiver l'esprit critique positif, constructeur, même envers les prophètes, saints, marabouts etc. .. même envers toutes affirmations tenues comme sûres, scientifiques et avant tout envers ses propres certitudes.

 

          Pour pouvoir diriger bien des hommes avec leur accord, il faut beaucoup de qualité humaines variées : moralité (honnêteté, aide ..., effort pour les autres, instruction ...), mais pas cela ne suffit pas. Il faut aussi que ce dirigeant ait de la culture (pour éviter de recommencer les erreurs de l'histoire etc. ...), de l'expérience, une pensée analytique et rationnelle pour ne pas être guidé par des superstitions et pour agir avec sagesse etc...

 

          Pour toutes ces raisons, on ne peut suivre béatement sans esprit critique  Mahomet (même si ses qualités de chef politique et de guerre ont été exceptionnelles, surtout pour quelqu'un d'illettré).

           On ne peut suivre Mahomet, personne profondément illettrée et inculte et se reconnaissait comme tel  (lui confier sa vie et son devenir).

          On ne peut suivre raisonnablement un conseiller spirituel, tout rempli bon sens pratique qu'il peut être, s'il reste inculte sur des données philosophiques fondamentales ou spirituels qui lui permettrait de choisir une solution morale la plus adéquate à tout problème humain ou moral.

 

          Certaines solutions préconisées par Mahomet sont d'ailleurs fort contestables :

    recours à la violence, dans toutes ses entreprises (face aux juifs etc. ...)

    condamnations systématiques, intolérance envers ses opposants, envers les religions qui ne sont pas celle du Livre

    recommandations d'enfermer les femmes ("elles sont comme des parfums" ...), de les battre ("même si on ne sait pas pourquoi") etc.

 

          On ne peut suivre Mahomet quand il met à mort des poètes qui ont eu le malheur de le critiquer dans leurs poèmes. On ne peut le suivre non plus quand il recommande de condamner à mort ceux qui ne sont pas d'accord avec sa religion ou ceux qui apostasient (qui renoncent à l'ISLAM).

 

          On ne peut suivre Mahomet quand ce dernier pille les tributs qu'il a vaincus et qu'il prélève pour lui même à chaque fois une cinquième du butin du pillage, pour son compte, ou qu'il épouse les belles femmes des chefs vaincus (jusqu'à 40 femmes vers la fin de sa vie).

          Peut-on imaginer les millions morts, au lieu de milliers de morts, que Mahomet aurait pu causer s'il avait pu disposé de la technologie moderne de guerre ?

 

          On ne peut le suivre quand il ne respecte pas un accord passé 2 ans auparavant avec les dirigeants de la Mecque, alors que ces derniers eux l'ont respecté.

 

          Lorsqu'il préconise de couper la main au voleur, il fait prendre le risque d' handicaper à vie, et de condamner l'avenir d'un jeune, qui n'aura fait que de commettre une erreur de jeunesse.

          Lorsqu'il incite à lapider la femme adultère, il fait preuve d'insensibilité envers les faiblesses humaines (voir comparativement la position de Jésus à ce sujet de l'adultère).

(Sinon, il fait preuve d'imprévoyance concernant la facilité d'obtenir quatre faux témoins, pour tout mari ayant une position puissante et qui veut se débarrasser de sa femme).

          N'y a-t'il pas parfois, derrière les aspects anormaux ou "déséquilibrés" de Mahomet, une personnalité inhumaine qui transparaît par moments en lui (comme par exemple le simple fait de condamner souvent à mort quelqu'un...) ?

 

          On ne peut suivre Mahomet quand il affirme, que Dieu par décision souveraine peut arrêter la course de la Lune etc. ... alors que personne n'a jamais vu une orange se transformer en pomme, ou une planète sauter soudainement de son orbite, sans raison apparente et par l'opération du saint esprit".

          Ce qui prouve bien que Mahomet était profondément inculte sur les lois qui gouvernent l'univers. Ce fait qui devrait d'ailleurs inciter, tout homme rationnel, à douter de l'authenticité des messages divins reçus par Mahomet. Ce genre de conception ne peut conduire qu'au fatalisme et à la renonciation de toute curiosité sur les phénomènes de la nature, sur leur étude et sur celle de la science.

 

          Toute l'expérience scientifique des psychologues tend a démontrer qu'il n' y a jamais eu de preuve de l'existence de la connaissance infuse, révélée, "tombée du ciel", extra-cérébrale (même lors d'expériences mystiques des saints).

          Celles-ci proviennent toujours de l'expérience et des connaissances apprises au cours de la vie de toute personne. (Cette réflexion n'est pas incompatible avec le présupposé d'un hypothétique monde spirituel, mais elle incite à la prudence, sans preuves fiables envers toute affirmation religieuse).

          Les états de transes ou la "sainteté" ne sont pas, non plus, critère de fiabilité d'un témoignage de l'au-delà. Le cerveau peut pendant ces phases créer des images, des états de rêves forts réels, élaborées riches en idées, en impressions et en réponses aux questions et préoccupations des moments précédents. Ces images sont souvent liées aux croyances, de celui qui est "possédé" par les états mystiques ou de grâce.

          Seule une personne ayant des connaissances psychologiques sur ces états mentaux particuliers et qui vivra ces états, pourra les reconnaître et ne pas se laisser s'abuser _ en s'imaginant exemple soit être en communication directe avec Dieu, soit avec l'au-delà, soit se croire missionné par Dieu.

 

          On ne peut suivre Mahomet quand il prend beaucoup de liberté avec les textes sacrés du judaïsme, à partir du peu de connaissance qu'il acquis à leur sujet pendant sa jeunesse chez son oncle.

          On ne saura d'ailleurs jamais si cette déformation de ces textes, sans preuve de leur validité, est le fait d'une volonté de mystification mégalomaniaque. Ou bien s'il est le fait d'un déséquilibre, lié à ses convictions inébranlables sur sa mission de messager et d'un délire cognitif, visuel et auditif, lié aux états de transe avec convulsions (que certains ont dit épileptiques), dont il était l'objet.

 

          On ne pourra toujours trouver éternellement des circonstances atténuantes à Mahomet, comme le font les exégètes de l'Islam, depuis des siècles.

          C'est trop facile de dire que Mahomet avait de bons côtés. Parce qu' il incitait à la charité, il se préoccupait de conditions sociales, il légiférait pour résoudre des conflits au sein de sa communauté l'Umma, il recommandait d'être protecteur avec les femmes, les esclaves, parce qu'il était sincère ...

          Mahomet était sincère dans sa conviction de faire le bien et d'être l'envoyé de Dieu. Mais la sincérité n'est pas un passeport de moralité.

 

          Mahomet n'a jamais été révolutionnaire, dans ses décisions religieuses ou sociales. Il n'a jamais remis en cause l'esclavage (!), ni profondément le statu inférieur des femmes d'Arabie, de l'époque.

          A côté, le Christianisme avec son principe d'égalité entre tous les hommes devant Dieu est beaucoup plus révolutionnaire.

          La plupart de ses décisions ont été "entachée" d'opportunisme politique, de composition avec les conditions du moments. Il a tenu compte des sentiments partagés de sa communauté. Il a toujours eu en arrière plan le fait de se maintenir en place à la tête de sa communauté. Il a surtout été un fin stratège, avant d'être un grand religieux.

 

          L'amour et la non violence sont source de civilisation, de paix et de vrais progrès dans l'amélioration des relations humaines et du bonheur collectif et individuel. Ils sont pratiquement absents du Coran. De même pour le pardon, des fautes (si important dans le christianisme).

 

          Au regard de la dure lutte pour la vie, de la sélection naturelle et de mon expérience, ma conception de la vie pencherait plutôt vers l'inexistance d'une morale immanente divine inscrite dans les lois ou  arcanes de l'univers. Pour celle-ci, la morale est avant tout une logique sociale pour l'amélioration du bonheur collectif et individuel des hommes. Cette morale est ce qui permettrait de contribuer le plus grand bonheur collectif chez les êtres humains, par l'amélioration de leurs relations.

          Il est possible qu'il existe des lois cachées dans l'univers concourant à s'opposer à l'injustice, comme l'affirment les religions (Si mon souvenir est exact, la Bible dit que quand l'injustice est trop grande, même les pierres se mettent à crier.). Je voudrais vraiment y croire. Mais sans preuve certaine, je préfère la philosophie de compter sur ses propres forces et agir pour le bien, sans attendre la bonne providence de Dieu (sinon, mon opinion est que les grâces providentielles, du genre de celles qu'on connu de saintes personnes, comme Marthe Robin, ou d'autres religieux de l'histoire, doivent être étudiées avec beaucoup de soin).

 

          Personnellement, je préfère un athée moral, tolérant, qui fait du bien autour de lui qu'un croyant ou un bon musulman, vertueux, régulier dans la prière mais insensible à la détresse humaine.

 

          La soumission (?) à Dieu, s'il n'est pas accompagné d'amour pour autrui et d'un ferme sentiment de vouloir faire du bien autour de soi est stérile et même néfaste : elle n'apporte rien  à autrui et à soi en retour. Elle est plutôt une aliénation et une dépendance mentale, voire un asservissement, une démission de la raison, qui n'incite pas à l'initiative. Elle peut pousser l'asservissement envers toute personne se réclamant de Dieu.

 

          Certainement,  en raison de ce fait, en raison du fatalisme que nous avons évoqué et des préjugés et des conceptions arriérées dans lesquels est engoncé l'ISLAM. Les pays musulmans n'arrivent toujours pas à évoluer vers la modernité et restent bloqués sur des conceptions archaïques.

 

          Tout homme ne peut être totalement rationnel, exceptionnel et/ou fort en tout ou parfait.

          Ne serait pour éviter de succomber à l'orgueil, au déséquilibre d'une assurance excessive, l'homme a besoin de garde-fou, d'une certaine humilité (mais équilibrée) devant la nature, l'univers, et donc d'une certaine manière, d'une certaine forme d'esprit religieux (sans dogmatisme).

          On peut avoir une religion, mais sans s'y soumettre fanatiquement, sans esprit critique, surtout si celle-ci possède, dans son sein, des conceptions néfastes (tabous, interdits paralysants et non justifiés raisonnablement).

 

          On doit se forger sa propre philosophie ou religion, naturellement, sans soumission délirante à un maître à penser (religieux ou non), avec un sain esprit critique constructif. On prendre dans les religions, des aspects positifs (recommandations morales humaines pleines de compréhensions), sans rejeter "le bébé avec l'eau du bain".

          Le défi du XXI° siècle sera-t'il d'évoluer vers plus de civilisation et de tolérance  _ grâce à l'éducation et la culture pour tous _? 

          (Une civilisation est, pour moi, celle où l'on respectera les minorités _ dans la mesure où celles-ci n'agissent pas contre les intérêts de la majorité _, les autres cultures, les autres races, les personnes qu'on ne comprend pas, qui inspirent irrationnellement une répulsion instinctive primaire, bien que objectivement nous gênant pas, telles les minorités sexuelles etc. _ ).

          Sera-t'il d'aller vers plus de prospérité grâce à la technologie et la civilisation?

           Ou bien retournerons-nous inéluctablement vers la Barbarie par imprévoyance, irresponsabilité  (ou encore par non contrôle de le mise à disposition des technologies nucléaires entre des mains criminelles et irrationnelles) ?

 

          Il n'y a rien d'idéal dans ce monde. Beaucoup de choses reste à faire, pour améliorer la situation matérielle (misère ...) et humaine des hommes (pour la réduction de l'injustice ...). Et les associations (ONG ...) peuvent y avoir un grand rôle.

Rien ne se résout par les miracles, ou par des d'interventions de type "Deus ex Machina". Ce n'est que par un travail persévérant, long et patient, qu'on améliore progressivement toute chose. La richesse de l'occident et de pays extrême-orientaux (Japon ...) est avant tout due à la contribution patiente des travails individuels des hommes, durant de nombreuses décénies.

 

          Il y a encore beaucoup d'effort vers Dieu à faire, c'est à dire pour agir pour le Bien. Beaucoup d'effort de sensibilisation envers la situation des autres sont à faire, beaucoup de travail d'éducation restent à entreprendre pour rendre les personnes plus scrupuleuses, plus préoccupées plus des conséquences de leurs actes dans leur vie... Et l'éducation et l'amélioration des conditions de vie y sera pour beaucoup.

 

          C'est pourquoi pour ne pas retourner ne arrière, nous devons combattre dès maintenant, l'ISLAM, du moins dans ses aspects les plus rétrogrades et inhumains, comme d'ailleurs nous devons combattre d'autres religions, toutes aussi rétrogrades (dans leur manque d'humanité) et immobilistes (JUDAISME, le système des castes de l'HINDOUISME ...).

 

          Nous n'avons rien contre l'islamisme et le FIS, s'il renonce à la violence et qu'il respecte les droits de l'homme, les opinions des autres, la liberté et le pluralisme.

          Personnellement, la philosophie des droits de l'homme issue d'une longue réflexion philosophique sur le bonheur humain est une philosophie positive pour la contribution au bonheur humain. Tout ce qui contribue à l'amélioration du bonheur humain, à "prospérité" de l'homme et de la nature, se doit d'être diffusé.

 

          D'autres philosophies (ou religions ...), malgré leurs aspects irrationnels parfois dommageables (manque d'esprit critique, zones d'intolérances...), par la perfection de leurs conceptions et la "pureté" de leur morale, sont à favoriser. Elles incitent toutes clairement, sans ambiguïté, à faire le bien auprès des autres, à travailler pour le bien d'autrui, à faire des efforts personnels dans sa propre vie (effort contribuant indirectement à renforcer ses propres qualités, pour le bien des autres). Le Christianisme (celui des évangiles), le Bouddhisme, la Franc-maçonnerie ...en font partis.

 

          Défendons le droit à la différence et à l'originalité, celle qui enrichit en retour chaque humain.

 

          Sinon, on n'admettra jamais, que l'on intimide, par des menaces de morts, des journalistes pour qu'ils choisissent leurs camps entre le FIS ou le FLN. Le principe d'honnêteté et d'indépendance intellectuelles doivent être défendus avec fermeté.

Toute intimidation ou crime commis envers un journaliste, doivent être condamnés.

 

          On ne pourra jamais aussi admettre qu'on assassine des personnes venues vous aider, comme ces religieux hospitaliers, ces marins italiens venus apporter de la semoule pour les algériens. La logique de ces crimes est nihiliste, elle ne peut que couper l'Algérie de la communauté mondiale alors que ce pays a tellement besoin d'aide actuellement et ne peut s'en sortir sans l'aide ce cette communauté.

          Ces crimes doivent être poursuivis. Seulement, peut-être un jour, le pardon pourra survenir, envers ceux qui ont commis ces actes, si leur faute est expliquée, est enfin comprise par ces derniers et si cett compréhension provoque, chez eux, un sincère repentir.

          Ces derniers actes sont d'ailleurs stupides hors du le fait d'être criminels.

 

          Gardons nous de toute hystérie anti-islamique. Respectons l'ISLAM dans la mesure où cette religion fera preuve de tolérance et respectera les autres pensées.     Mais soyons ferme sans concession envers certains principes moraux _ égalité de droit entre les sexes (égalité au niveaux poids d'un témoignage dans un tribunal, au niveau des héritage, droit de divorce etc.), droit à la liberté de pensée (à l'apostasie...) etc. _.  et soyons ferme contre certains manques d'humanité relevés dans les lois de l'ISLAM, comme ceux contenus dans la Loi islamique de la Charria

_ mains coupées etc... _...