Bruits modernes
«Tuh, Tuh, Tuh... » mon réveil
électronique rappelait son existence avec une instance irritante et stridente,
tout en me tirant des draperies de mes rêveries. L’écran à cristaux liquide
affichait 7 heures du matin, l’heure de mon retour quotidien à la réalité.
Le « buzzer » de ma
cafetière finissait de me réveiller, bien avant le café.
Je descendais les marches de mon
escalier dans les brumes des limbes. Puis j’en remontais d’autres appartenant à
butte de Montmartre. Pour redescendre de nouveau, cette fois ci dans les
entrailles de la terre, au métro Lamark-Colaincourt, dont la bouche avalait
goulûment son flot de parisiens matinaux.
La porte de l’ascenseur, accompagné d’un tintinnabulement prolongée,
lentement se refermait, sur les sardines humaines soigneusement serrés dans
leur boîte.
Le signal sourd et bref, de la
fermeture des porte de la rame pressaient les retardataires à choisir entre le
quai ou l’intérieur du wagon.
Ce matin, dans mon wagon de banlieue
j’entends une sonnerie. Plusieurs voyageurs se précipitent sur leur téléphone
portable. Un seul
Nitendo, faux
téléphone, ordinateur, alarme de voiture ...., téléphone,
A
COMPLETER ….