Tour de l’Islande en 3 semaines (17
jours)
Observations ornithologiques,
volcanologiques,
+
Trek dans le parc de Landmalaugar
De la 1ème à la 3ème semaine de
juillet.
Islande,
pays des arc-en-ciel, des nuages, en forme d’écharpes ou de fumées. Fumées pouvant
aussi provenir des nombreux sites géothermiques du pays. Pays vide, sauvage,
remplies de beautés naturelles. Ile aux oiseaux, le paradis des ornithologues.
Le geyser du Strokkur (à Geysir).
Notre
itinéraire en Islande.
L’Islande est le paradis de
la volcanologie et de l’ornithologie.
Votre itinéraire sera :
La
traversée du parc de Lanmalaugar, en 4 jours, est un trek facile. Pas de
difficultés particulière pour ce voyage (hormis de se couvrir contre le froid
et la pluie).
Nous utiliserons le plus souvent le bus (bus BSI). Nous logerons dans des auberges de jeunesse (avec la carte FUAJ), les « guesthouses », les hôtels Edda (situé dans les collèges) ou l'hébergement à la ferme _ meilleur moyen, de rencontrer les Islandais … .
Vous volerez, à l’aller comme au retour, avec un
charter « Iceland Air ».
Pour l’observation d’oiseaux, se muni de bonnes jumelles
(par exemple 10 x 50), de monoculaires avec trépieds, d’un bon appareil photo
avec un objectif de 300 mn.
Nous vous demandons de respecter particulièrement la nature, si fragile et si lente à se régénérer ici (voir la charte éthique du marcheur sur ce site). Ici, qui abîme la nature doit la réparer. Les juges condamnent les contrevenants en 4x4, sortant des pistes, à replanter la toundra, si rapidement détruite par les pneus (il lui faut 10 ans pour repousser).
Note : Peu de
routes goudronnées. Même la route n°1, entourant l'île, ne l'est, qu'au sud et
à l'ouest de l'île. Les routes sont étroites. Leur gravillonnage, pour les
refaire, une habitude. Aucune autoroute. Les ponts sont en général à une seule
voie.
Certaines routes importantes ne voient qu'une voiture, toutes les
heures.
Les
moutons en liberté traversant les routes (en raison de l'absence de clôtures
longeant les routes), constituent un réel danger. Mais nos chauffeurs ont
l’habitude.
Jour 1 :
Reykiavik :
Départ de Paris. Arrivée le
soir ou dans la nuit, après 3 h de vol.
Logement à l’hôtel Edda du
camping municipal de Reykiavik ou à l’auberge de jeunesse.
Jour 2 :
Reykiavik :
Vous
pouvez faire vos achats dans les free tax et acheter les fameux pulls en laine
islandais, très chaud. L’indication "ùtsala" apposée sur une vitrine
signifie « Soldes ».
Le matin, visite du
musée des arts et traditions populaires de Reykiavik. Des figurants en costumes
traditionnels jouent le rôles de personnages du passé, l'horloger dans son
échoppe, la fileuse filant la laine sur son rouet …
L’après-midi, visite de la ville aux maisons en
bois peint ou couvertes de tôles peintes et aux rues propres, tracées au
cordeau. Visite de la cathédrale protestante _ architecture futuriste en béton,
des années 30.
(le plus grand centre
commercial est
Kringland, situé en périphérie de la ville).
Dans
les jardins publics de Reykiavik, nous rencontrerons des oies cendrées, en
quantité, mais aussi des huitriers pie, et de nombreux autres oiseaux marins,
dont le fameux eider à duvet, au long bec.
Déjeuner au Kaffi Paris (en plein centre ville) et dîner au Solon, sur Bankastraeti.
Une chose à découvrir à Reykjavik, et pas la moindre dans la vie
Islandaise: les soirées du Vendredi/Samedi dans les bars, pubs (dans un
desquels nous irons le soir) et surtout rues de la ville.
Jour 3 :
Þingvellir :
Début
du tour de l’île.
Beaucoup
de prairies sur les côtes de l’Islande. Quelques fermes éparses. Certaines
possèdent plus de 1000 hectares de terre.
Partout
des moutons blancs, couverts d'une épaisse toison, et des petits chevaux, à la
longue crinière, semblables à des poneys, les fameux chevaux islandais. En Islande, patrie des chevaux, sport
national, presque tous les islandais, depuis la plus tendre enfance, ont un
cheval. Il n’est pas rare de rencontrer en longues files d'équidés, conduites
vers les corrals ou vers les pâtures.
Très
peu d'arbres. Tous les arbres présents, en général des sapins, sont replantés,
près des villages, selon un vaste plan de reforestation du pays. Un changement
radical de cap, après des siècles et des siècles de déforestation.
Partout,
la terre est noire, volcanique. Dans le paysage, de longues coulées de laves,
aux gros blocs erratiques, couverts de mousses. Paysages en noir, vert de gris
et vert tendre. Parfois, on trouve d'étranges sols, herbeux, constellé de
millions de monticules, la terre se déformant sous l'effet du gel et du dégel,
illustration du phénomène de la solifluxion.
L’étagement de la
végétation est très resserré, à cause de la haute latitude de l’Islande. Dès
600 mètres, les neiges éternelles.
En général, la végétation de type arctique est rase, composée de saxifrages, de thym arctiques, de silènes acaules, d’épilobes arctiques, des dryades à 8 pétales, semblables de loin aux renoncules des glaciers, de fragiles pavots arctiques, jaune souffre, de champs de linaigrettes (coton arctique) dans les zones humides …
Sans le courant du Gulf Stream, ce
pays serait devenu une étendue totalement glacée comme le Spitzberg.
L'intérieur est un désert de
pierre et de sable noir. Mecque du tous terrains et des espaces sauvages.
L'intérieur est parfois si désertique, si lunaire, que s'il n'y avait le froid,
on se croirait au Sahara. Pays presque vide, avec ses 240000 habitants pour
20000 km2, dont la moitié à Reykiavik.
Sur la route menant à Þingvellir et à la sortie de Reykiavik, un
long aqueduc, amenant de l'eau chaude thermale, pour le chauffage de la ville
(plus de 70 % de la ville est chauffé par la géothermie). Arrêt à la maison de l’écrivain, et prix Nobel Halldór Kiljan Laxness
(1902-1998), auteur du célèbre livre « La cloche d’Islande ».
Þingvellir est le lieu d’une assemblée de chef vikings
locaux, vers l’an 1000. Une sorte de brèche naturelle, dans les coulées de
basaltes, d’une centaine de mètres de larges et de plusieurs km de long,
coincée entre deux parois verticales de basalte, due à une faille ou rift, le
rift médio-atlantique, nord-sud, coupant l’île en deux.
La
zone centrale de l’Islande faillée est souvent soumise aux séismes.
A l'époque du
parlement viking, il y avait peu de condamnation à mort, mais on procédait au
bannissement des indésirables, dans le désert intérieur. On peut se demander,
dans de telles contrées désolées, pauvre en ressources et animaux, si cette
peine ne revenait pas, en fait, à une condamnation à mort déguisée.
Visite d’une très ancienne chapelle,
entourée d'un petit cimetière champêtre, aux tombes vénérables. Une rivière
coule, sur une courte distance, dans la faille de Þingvellir.
Vue sur l’immense lac de Þingvellavatn,
le plus grand d'Islande, entouré de prairies, de fermes (et de résidences
secondaires).
Nous pourrons observer des oies
cendrées, au bord de la rivière, peu farouches, des bécasseaux, des courlis
curlieux …
Thingvellir
Jour 4 : Gullfoss,
Geysir
Arrêt du bus, au "Kérid Crater",
né au XVII° siècle. Au fond de ce grand entonnoir couleur rouille, un petit lac
émeraude.
cratère du
Kerid
Au site de Gulfoss, une impressionnante
réplique du Niagara (une chute d’eau immense). Les flots tumultueux s'enfoncent
dans une gorge profonde. A l'extrémité d'un petit belvédère, nous pouvons
presque nous engager sous l'amorce de la chute.
Gulfoss
Toutes les rivières sont torrentueuses, souvent puissantes, source d'inépuisable d'énergie hydroélectrique. Le pays produit tellement d'électricité, que pour écouler son surplus, il a construit une des plus importante usine de transformation d'aluminium du monde, la bauxite venant par bateau de Jamaïque, d'Australie ou d'ailleurs, et l'aluminium, produit de la transformation, étant ensuite exporté vers les pays industrialisés comme les USA.
Le Strokkur
Le site suivant, "Geysir"
(en islandais
« geysir » signifie "le déclamateur"), ne couvre qu’un terrain d'une centaines de mètres
carré. Au milieu d’un terrain aride
parsemé de pièces d'eaux chaudes, le cratère du geyser nommé "le
Strokkur", constitué deux petits cratères d'une roche siliceuse appelée
geysérite, emboîtés l'un dans l'autre. Son jet pouvant atteindre 10 m de haut,
jaillit en moyenne toutes les 7 mn. Mais impossible de faire des prévisions sur
le moment exact de l’apparition du jet.
Observations ornithologiques,
puis camping dans les environs de Sellfoss.
Trajet de
la randonnée du parc de Landmannalaugar
Jour 5 : parc du
Landmannalaugar :
Nous traversons, en bus, une grande plaine désertique, caillouteuse et nombreux de gués.
A Landmannalaugar , une merveille naturelle : une rivière d'eau chaude.
La partie "baignable"
de la rivière fait d'une centaine de mètre de long et d'une soixantaine de m2.
Aux
alentours, impressionnant désert, de plusieurs km2, de pierres et d'obsidiennes
foncées, à perte de vue. Toutes ces coulées d'obsidienne proviennent d'un
unique dôme rond, au passé très explosif.
Camping à côté du second refuge du parc, que nous
atteignons après 300 mètres de montée.
Jour 6 : parc du
Landmannalaugar (suite) : Landmannalaugar - Alftavatn
Début de la randonnée de 50 km. Nous marchons sur les névés d'un glacier. Eventuellement traversée de pont de neige. Nous arrivons au point culminant du parc, 600 m.
Rencontre de rhyolites rouges, signe d’un autre volcanisme explosif.
Partout des fumerolles et de jolies couleurs, oranges, rouges, vertes, liées aux oxydations des minéraux présents, teintant la terre. Aucune de végétation. Quelques sources chaudes et geysers.
Jour 7 : parc du
Landmannalaugar (suite) : Alftavatn - Botnar
Maintenant, une plaine
caillouteuse continue, un désert de sable et de rocaille noires, le royaume du
vent, l'Emstrur. Près du lit d'une rivière, on peut découvrir des
champs d'épilobes arctiques, roses, en fleurs.
Vers
midi, arrêt à un refuge, où nous pouvons nous reposer et sécher nos affaires
dans le séchoir chauffé, avec l'accord de son gardien. Vue sur un très beau
lac, le lac d'Alftavatn.
L’après-midi,
les couches épaisses de cendre ou de basaltes sont percés par endroits de
profonds canyons. Beaucoup de montées et de descentes. Nous traversons une
rivière à gué, aux eaux grises furieuses.
Landmannalaugar
Jour 8 : fin du parc
du Landmannalaugar (Botnar – Þósmórk) & Jökullsárlón
La végétation revient. Dans les dunes de sables, poussent des élymes des sables aux tiges bleutées, plantes dunaires, fixant le sable, comme les oyas sur nos dunes françaises. Rencontre avec de nombreuses plantes, des silènes acaule, fleurs blanches à gros calice, des petites fleurs roses en touffes rases, des saxifrages, des plantes basses duveteuses, du trèfle blanc, des dryades blanches, des presles … Le chant mélodieux des bruants des neiges, annoncera peut-être le retour à la vie.
Encore un important gué, à franchir avec une corde. Mini-forêt (très rare en Islande) de bouleaux nains torturés.
Nous arrivons vers midi, au dernier refuge, une
grande bâtisse en bois peinte en blanc, du site de Þósmórk (Thorsmok), dominé
par un immense glacier, inlandsis _ un dôme immense de
glace de plus de 2 km d’épaisseur, comme on en trouve au Groenland – occupant
l’horizon. Fin du parc. Possibilité de prendre une douche.
L’après-midi, traversée d’une plaine alluviale totalement plate, caillouteuse, désertique. Un pont y été emporté, en raison du dernier lahar (coulée de boues dramatique, liée aux éruptions sous-glacières). Nous logeons le Vatnajökull immense glacier bas, le plus grand d’Europe, reste du dôme de glace, recouvrant toute l’île à la dernière glaciation. Une vue merveilleuse du cordon lagunaire, à perte de vue, en direction du Jökullsárlón.
Nous arrivons à Jökullsárlón, lagune dans laquelle une langue d'un glacier, le Vatnajökull, vêle des icebergs. Un chenal, traversé par un grand pont en bois, assure la communication du lac, avec l’océan.
Nous camperons à cet endroit et nous y observerons les eiders à duvet, les oiseaux marins, les phoques nageant calmement, les élégantes sternes blanches, les labbes marrons, voire les renards arctiques. Les sternes attaquent en piquée, pour protéger leur nid, jouant un remake des « oiseaux » d’Hitchcock. Leurs trilles provoquent un vacarme indescriptible.
sterne
Dans un local
touristique, des photos aériennes du glacier, prises successivement en 1945, 1982,
1991 et 1988, montrent son net recul, de plus d’un km, entre 45 et 98,
expliquant l’agrandissement du lac glacière.
Jökulsárlón
Jour 9 : journée
d’observation d’oiseaux sur la falaise de Vik
Matin : Sur les parois de la
falaise de Vik, 400 m de haut, nous pouvons y observer des puffins
(macareux moines), par centaine de milliers, des mouettes tridactyles …
Vik est une petite ville au bord de l'océan, à la pointe sud de
l'islande, à l'est de Dyrholaey, sur la route n°1 (Un magasin d’une usine de
laine vend, près de la station-service, des produits superbes, mais chers).
Falaises
de Vik au loin. Macareux
Après-midi : traversée d'immenses plaines alluviales parcourues par les eaux
de fonte du Myrdalsjokull et du Vatnajokull que l'on peut voir par beau temps.
Le bus nous dépose au camping, à l'entrée de la
réserve naturelle de Skaftafell, au pied d'une langue du Vatnajokull. De
nombreuses balades possibles dans la réserve.
Découverte sur le site de :
Maisons
traditionnelles de Skaftafell Chutes de Svartifoss dans le
parc de Skaftafell
Jour 10 : Journée
observation ornithologique - Höfn
Journée observation
ornithologique.
Dans les lagunes littorales,
de nombreuses oies cendrées et des troupes de cygnes siffleur au bec noir et
jaune (souvent une tache jaune devant les yeux), voire des cygnes trompette au
bec noir. Arrivé, le soir, au camping d’Höfn.
Cygne trompette (Cygnus
buccinator) : Longueur :
150 cm, Poids : 12 700 g
Cygne siffleur : Longueur (Cygnus
columbianus) : 132 cm, Poids : 7 260 g
Cygne
trompette
Jour
11 : Volcan Askja
Le système volcanique de l'Askja
est situé sur les Hautes Terres d'Islande.
Il est consistué d'une
grande caldera (environ 45 km<²) dans laquelle il y a deux lacs,
parmi eux Öskjuvatn, le lac le plus profond d'Islande. Il date
ainsi que le plus petit cratère Víti d'une éruption énorme de l'année 1875.
Un des lacs qui se situe
dans son cratère est encore assez chaud pour la baignade !
Pour accéder au volcan
Askja, il on quitte la route n°1 entre Egilsstadir et Myvatn au niveau de
Hrossaborg (à environ 40km de Myvatn), en prenant la piste F88 qui s'enfonce vers
l'intérieur. On passe à gauche de la montagne considérée comme la plus belle
d'Islande (Herdubreid, 1682m). Sur le chemin vers l'Askja, on passe par la
gorge Drekagil, la gorge des dragons.
Cette région est une des
plus désertique de l’île (elle a servi aux entraînements pour les spationautes
de la NASA).
Gorge de Drekagil Cratère du Viti – volcan d’Askja
Jour 12 : Lac Myvatn
Myvatn
signifie "lac des midges" : c'est à dire lac des moucherons.
Un fléau connu du bord du lac Mývatn est constitué par les millions de moucherons du lac, s’immisçant dans la bouche, le nez, la gorges, les yeux. Une moustiquaire faciale est fortement recommandée.
Le lac, d’origine volcanique et réserve naturelle d’oiseaux, a la particularité d’héberger une micro-faune planctonique à diatomées (organismes unicellulaires à exosquelette siliceux) et d’importantes dépôts de roches diatomiques.
2
nuits, au camping de Reykjahlið, proche de l'hôtel Reynhilið et du lac.
Celui-ci propose tous les matins des petits pains frais au petit déjeuner
accompagnés du beurre et de la marmelade d'orange (douches chaudes gratuites et
illimitées).
Un
supermarché se trouve non loin de l'hôtel.
Petit tour du lac, le soir
(son tour fait plus de 30 km). La région du lac est celle où il fait le plus
souvent beau, en Islande.
Observation le soir des
oiseaux aquatiques (importance d’avoir ses jumelles).
On aura aussi un autre plaisir, le soir, celui de plonger dans les eaux chaudes, délicieuses, d’un lagon artificiel, intensément bleu, remplies des eaux de rejet de l’usine d’extraction de diatomite, toute proche.
Lac Myvatn
Jour 13 : Lac Myvatn : Krafla - Namafjall
Il s'agit de deux zones d'activité volcanique au
nord-est de Myvatn. Balade d'une trentaine de kilomètres (sans les sacs,
laissés au camping). Pour ces balades, il existe un petit dépliant en français
au camping (100 ISK).
Dans
le champs de lave, on peut aussi bien trouver des laves de type AA (scoriacées)
ou de type panhoehoe,
rouge / noire et brillante, avec des sculptures naturelles torsadées, formées par un basalte très
fluide.
Une petite « montagne », un volcan plus ancien, le Leirhnúkur, est sillonné de pipelines, recueillant l’eau brûlante de forage géothermiques profonds, certains à plus de 1000 m de profondeur. Ces canalisations vont vers une usine de production d’électricité d’origine géothermique, toute proche. Tout autour du le Leirhnúkur, on ne trouve que fumerolles, lacs de boues brûlantes … Tout proche, se trouve un des plus joli lac de cratère du pays, d’un bel ovale presque parfait, d’un beau bleu-vert profond, le Helvíti.
Champ de lave du Krafla
Mare de boue de Namafjall
Usine géothermique du volcan
Namafjall Caldeira du Viti du Krafla.
Jour 14 : Lac Myvatn : Grjotagja - Hverfjall - Dimmuborgir
Randonnée d’une vingtaine de
kilomètres :
Ø
Grotte de
Grjotagja : il s'agit d'une source d'eau chaude souterraine à 50°C, qui
devient très jolie lorsqu'un rayon de soleil éclaire l'eau turquoise ;
Ø
Hverfjall (452
m) : cratère effondré sur lui-même il y a 2500 ans, dépourvu de toute
végétation et totalement noir. Son ascension permet d'avoir une vue sur les
pseudo-cratères du Myvatn ;
Ø
Traversée d’une
pseudo-forêt de bouleaux nains.
Vue sur le lac Myvatn
Exemple de failles dans la région.
Jour
15 : Ukareyri - Hvammstangi
Nous traversons les fjords du nord, dont les vallées sont basses et évasées.
La petite ville nordique d’Ukareyri comporte de très belles maisons de bois anciennes.
Nous traversons des montagnes enneigés, puis de
belles vallées glacières dont la « Hraundrangar valley – Óxnadalur »,
où coulent des rivières grises ou blanches, remplies de « blanda »,
mélange d’eau de glacier et de torrent d’eau claire.
Repos la nuit dans un hôtel de Hvammstangi.
Dans le fjord, on peut trouver des phoques communs et annelés.
Jour
16 : Hvammstangi – Olafsvik - Reykiavik
Olafsvik, ville de pêcheurs, se trouve sur la péninsule de Snaefell.
Visite de son église futuriste.
Visite du parc national Snaefellsjokull, couronné par son glacier et son
musée. Avec un peu de chance, on pourrait voir des baleines dans la baie.
Traversée du tunnel de la baie des baleines pour retourner à Reykiavik.
Nuit dans un hôtel ou l’auberge de jeunesse de Reykiavik.
Olafsvik Eglise d’ Olafsvik.
Jour
17 : Reykiavik – Retour sur Paris
Suivant le désir du groupe, suivant notre temps disponible, soit a)
baignade au « Blue Lagoon » (Route 41 vers keflavik), b) visite des galeries culturelles de
Reykiavik, c) mâtinée libre.
Départ
de Reykiavik , retour vers Paris.
Vues sur Reykiavik
Vue du le Blue Lagoon.
Bibliographie :
http://www.exploreiceland.is
http://www.nozav.org/voyages/islande/liens.php
http://fr.wikipedia.org/wiki/Les_volcans_d'Islande
[1] Fin
février, la couronne islandaise s'échangeait au taux fluctuant de 81 Kr pour 1
euro.
Se
renseigner à l'office de tourisme de Reykjavik sur les coupons de réductions
qu'on peut obtenir pour les boutiquex (10 %) que l'on peut cumuler ensuite avec
le TaxFree de 15% à l'aéroport. A la cafétéria de Geysir, on peut faire des
emplettes souvenirs à finalement 25% de moins que le prix affiché, d'où
l'intérêt de grouper ses achats pour parvenir à 4000Kr et obtenir le TaxFree à
l'aéroport.