Qualité et labels de qualité
3 Choisir
sa viande en toute connaissance
3.4 Label
AB Agriculture Biologique
La qualité de la matière première est très importante. Elle correspond aux nécessités de la "typicité" du produit et aux exigences sanitaires, en particulier pour les produits au lait cru. On doit être capable de répondre aux exigences sanitaires demandées par le consommateur moderne, par les autorités européennes (qui délivrent les A.O.C.), en particulier pour les produits au lait cru, qui constituent le cœur du patrimoine fromager français. Cela peut être résolu grâce à une exigence forte sur le plan de la qualité (des laits, de la viande …) à la production et une grande rigueur dans le processus de fabrication (source : Lacatalis).
Les éleveurs d’ovin améliorent sans cesse leur productivité au niveau de l'exploitation, et développent la qualité pour concurrencer les autres productions européennes.
·
U n Label Rouge, de nom administratif " Agneau Fermier … ", et
usuellement appelé le " Diamandin ".
Ce label est ciblé sur des agneaux de 16 à 20 kg.
· La dénomination le " Frisotin ", qui concerne des petits agneaux de 9 à 11 kg de carcasse, élevés uniquement à l'aliment d'allaitement.
· Les identifiants nationaux " Agneau des Bergers de France " et " Agneaux Français de Qualité Bouchère "
Source : http://www.vienne.chambagri.fr/Reperes/Filieres/ViandeOvine.htm
Toutes les viandes de boeuf, de veau, d'agneau et de porc sont soumises à la
même réglementation en matière de sécurité sanitaire. Néanmoins, pour aider le
consommateur à faire son choix dans une vaste gamme de produits, des signes
complémentaires qui attestent de qualités, de systèmes de production ou
d'origines spécifiques ont été mis en place.
Elles sont de deux sortes : les démarches officielles de
qualité, et les signatures interprofessionnelles. Parmi les démarches
officielles, on distingue les signes d'identification de la qualité et de
l'origine européens et français, les mentions valorisantes et la certification
des produits.
Les signatures collectives présentées dans cette rubrique
respectent des critères prescrits dans un cahier des charges propre à chacun
des signes.
Les professionnels adhérant à ces signes, dans le cadre d'une démarche
volontaire, acceptent d'être contrôlés par un organisme de contrôle
indépendant.
Cliquez sur le sigle de votre choix
Les démarches officielles |
Les signes européens |
Les signes français |
Les autres démarches officielles |
Des mentions valorisantes... |
|
... et de certification des produits |
Les démarches interprofessionnelles |
Les démarches collectives spécifiques |
Source : http://www.civ-viande.org/9-101-agneau-qualite.html
Pour
obtenir le label AB (Agriculture Biologique), l’exploitation ne doit pas
recourir aux produits chimiques tant pour la fertilisation que pour le
désherbage. Au moins 40% de l’alimentation du bétail doit être produite en bio
sur le sol même de l’exploitation.
Elle est
particulièrement adaptée sur les terres où se pratique plus qu’ailleurs
polyculture et élevage. Et l’alternance entre fourrage et céréales aboutit à un
meilleur équilibre des sols. Ce qui
permet de lutter contre les pratiques de désherbages. De fait le fumier produit
à partir des déjections des animaux fertilise les céréales, à condition d’être
bien réparti sur les surfaces. C’est tout le cercle vertueux du bio…
Assurée par bête et demi bête avec le nom de l’éleveur et le numéro d’élevage.
Identification du territoire de production (par exemple « Pays de l’Ours, terroir des Pyrénées Centrales » etc. …).
Emballage sous vide, étiqueté
Alimentation naturelle, non transformée et, dans la mesure du possible, produite sur l’exploitation.
Par exemple, le broutard est élevé au lait de sa mère au
moins 4 mois, à l’herbe dès 3 semaine. Il passe 3 mois minimum en estive. Au
retour d’estive : regain (herbe), puis, si nécessaire foin, luzerne et
céréales.
Sans farine animale, sans hormone, sans OGM, l’ensilage, l’enrubanné et le lait en poudre sont interdits.
Source : http://www.agneaubroutard.com/web/4-la-charte-qualite.php