Inné et acquis dans les Comportements Sexuels

légalité du sexe légal

 

Raisons, utilisations et diverses conceptions et "acceptations" de la différentiation sexuelle.

 

1.   Introduction........................................................................................................................ 1

2.   A quoi sert le sexe biologique............................................................................................... 3

2.1.   reproduction........................................................................................................ 3

3.   Différents types de reproduction.......................................................................................... 3

3.1 Reproductions asexuées :........................................................................................ 3

3.2 Reproductions sexuées :.......................................................................................... 3

3.3.   reproduction hermaphrodite.................................................................................. 4

3.4.   parthénogénèse, clonage...................................................................................... 4

4.   Inventions liées à la bisexualité et conséquences (comportements)......................................... 4

4.1.   Signes de reconnaissances et attirance de chaque sexe......................................... 5

5.   Comportements et rôles sexuels........................................................................................... 7

5.1.   fidélité du couple chez les être humains................................................................. 7

6.   Conséquence de l’invention de la différentiation sexuelle........................................................ 7

6.   A quoi sert le sexe légal (son rôle)........................................................................................ 7

7.   Conclusion......................................................................................................................... 8

 

 

Présentation du document :

Fichier: ROLESEXE.DOC, date de création: 9/4/96, Edité le: 18/10/04 03:10, Auteur: B.L., Nombre de page 1

 

1.      Introduction

 

          Le but de cet article est de voir, au delà des a priori ou idée reçues, la notion de sexe biologique et légal (ou sexe par rapport à l'état civil). Nous verons par cette réflexion si la dernière notion est toujours utile et légitime, si elle ne pénalise pas de faits certains minorités, même si elle ne concerne qu'une infime partie de la population, en particuliers les transsexuels.

          Sinon, nous aborderons le rôle du sexe biologique. Puis nous verrons si le but du sexe légal peut-il est justifié par l'existence du sexe biologique. Si le fait de figer tel ou tel rôle sexuel par rapport à tel ou tel sexe morphologique, ou phénotypique, ou caryotypique, ou sexe génital externe, est-il vraiment justifié, même pour l'immense majorité des personnes qui ne font pas partie de minorités intersexuelles et transsexuelles ? Et surtout si dans certains cas, on ne risque pas de commettre des injustices (?).

2.      A quoi sert le sexe biologique

 

          La vie dès son apparition sur Terre (et on peut le supposer aussi en d'autre endroits de l'univers), tend toujours à se conserver, et à se développer. Pour cela elle a du développer des moyens de défenses et des moyens de reproduction, pour compenser ses pertes. Le but principal de la sexualité est la reproduction.

          La reproduction, par duplication, est la fonction permettant aux êtres vivant de produire d’autres êtres vivants semblables à eux même ayant si possible le même bagage génétique, donc par un moyen de conserver leur identité et particularité.

 

3.      Différents types de reproduction

 

          La vie semble inventer sans limite. Et en général tout ce que fait la nature a toujours une utilité à l'entretien de la vie. Elle a créé en particulier de multiples moyens de reproduction, et durant l'évolution des espèces vivantes depuis l'origine de la Terre. Mais de tous ces essais de la nature, s'est détaché presque exclusivement la reproduction sexuée, qui a pris la primauté sur tous les autres.

 

3.1    Reproductions asexuées :

 

          Parmi celles-ci, il a :

 

a)       la bipartition

 

          C'est la division cellulaire ou bipartition (ou division binaire) des organisme unicellulaires (protozoaires).

          Une cellule (bactérie etc ...), à maturation, se divise en 2, formant 2 organismes identiques au précedent, au lieu d'un. Le patrimoine ou bagage génétique transmis aux cellules filles est en général celui de la cellule mère.

 

b)       la génération de spores

 

          Il a reproductions par génération de spores d'où sortira un animal, comme dans le cas des sporzoaires.

 

c)       le bourgeonnement / bouturage

 

          Chez certains animaux multicellulaires (ou mézoaires), il a reproduction par bourgeonnement, cas des éponges (gemmules...), coelentérés (méduses, hydres...), vers (tubellariés libres, annélides...), Tuniciers, polychètes, briozoaires et salpes. Une partie jeune du corps de l'animal, se sépare par étranglement (à noter, qu'il existent aussi parfois aussi division par étranglement des oosphères (oeufs), comme dans le cas du tatou, un phénomène aussez rare).

          Il y a le cas d'espèces se reproduisant par bouturage (végétaux), représentée que par un seul sexe : peupliers d'Italie, Elodea canadensis...

 

3.2    Reproductions sexuées :

 

          Sinon la vie pour mieux se perpétuer et se défendre face aux agression, doit se diversifier et se complexifier. Pour cela elle doit s'enrichir au niveau de la diversité de son patrimoine génétique. Or la reproduction unicellulaire a l'inconvénient de ne guère favoriser les combinaisons génétiques et ni de contribuer à la diversité du bagage génétique.

          Seul l'effet des mutations naturelles, alliées au nombre élevé des divisions cellulaires, permettent de contribuer à cette diversité.

 

          Un de ses plus grandes invention est la reproduction bisexuée. Celle-ci est réalisée par la fusion de 2 cellules ou gamètes l'une dite mâle l'autre dite femelle, apportant chacune la moitié du patrimoine génétique de l'organisme qui a généré chacun des gamètes (ces 2 moitiés ayant des bagages génétiques complémentaires). Si les 2 gamètes viennent de 2 organismes, dont les bagages génétiques sont en général différents, on accroît alors la diversité de combinaisons génétiques, au sein de la même espèce, et donc potentiellement des capacité plus grande à résister aux maladies etc...

          Si elle n'a pas inventé la reproduction “trisexuée” (comme celle imaginée par l'auteur de Science Fiction Arthur Clark dans son livre "Rendez-vous avec Rama”), ou “multisexuée”, c'est qu'elle n'était nécessaire et qu'elle posait peut-être plus de problèmes (techniques...) qu'elle n'en résolvait.

 

          Chez certains naimaux, il y a alternance de générations sexués et asexués , comme l'agent du paludisme, les coelentérés, les bryozoaires, les tuniciers.

          Il peut aussi, chez certaines espèces, y avoir alternance de génération bisexuées et pathénogénétiques (voir ci-après : pathénogénèses).

 

3.3.   reproduction hermaphrodite

 

          Certains animaux hermaphrodites possèdent en eux aussi bien des cellules germinales mâles et femelles. Dans certains elles fonctionnent simultanéement, comme certains vers (vers plats parasites _  Polystomes..._, lombric,...) et certains mollusques (escargots pulmonés...). Dans d'autres, l'une des gonades arrive à maturité avant l'autre, et l'animal est d'abord mâle, puis femelle ou réciproquement . Le mérou, poison des mers chaudes, lui est femelle jusqu'à 8 - 12 ans, puis mâle.

          L'hermaphrodisme est courant et naturel chez ces espèces, alors qu'il est accidentel et n'est pas la règle dans d'autres espèces animales comme l'homme...

 

3.4.   parthénogénèse, clonage

 

          C’est une reproduction à partir d’une ovule ou d’un oosphère ou oeuf non fécondés, sans gamète mâle. La parthénogénèse s’observe chez les vers suceurs (trématodes), chez les abeilles _ donnant des mâles ou faux bourdons _, chez les pucerons,  rotifères, cladocères et quelques végétaux ...... Elle peut être provoquée artificiellement (chez la plupart des animaux y compris les mammifères ou l'homme).

 

4.      Inventions liées à la bisexualité et conséquences (comportements)

 

          Pour rendre la reproduction bisexuée plus efficace la nature à créé un certains nombre de moyens singulier, étonnants, variés, comme des comportements sexuels destiner à faciliter la reproduction, et propres à tel ou tel stratégie de reproduction, dont les conséquences sont aussi nombreuses et importante dans la vie des êtres humains.

 

          Pour qu'un sexe puisse être attiré par l'autre, il faut un certain nombre de signe de reconnaissance sexuels. Ce sont les caractères sexuels secondaires.

 

Conséquences sur les performances et capacité liés au rôle sexuel à jouer

 

          Il a des caractères sexuels secondaires plus subtils psychiques eux.

Souvent de par leur nature profonde _ fait prouvée _ les femme sont plus portées sur la litérature, sont plus douées pour la verbalisation, les hommes plus portées sur les sciences et la capacité de reconnaissance spaciale.

 

4.1.   Signes de reconnaissances de chaque sexe

 

4.1.1.         signes de reconnaissance et différenciations morphologiques

 

          Pour chaque espèces animales, il a, _ et même on pourraît dire, il faut qu' il ait _ une mophologie spécialisée à chaque sexe, qui leur permettent de reconnaître le sexe de l'individu. C'est ce que l'on appele le dysmorphisme sexuel.

 

parures / attraits extérieurs

 

          Par exemple, chez les oiseaux mâles, le plumage sera en général plus chatoyant que chez la femelle. Au contraire, chez l'être humain, c'est chez la femme, que la préoccupation, les soins pour sa beauté et sa parures, sont les plus grands.

 

taille / poids / force

 

          Chez les grands primate, en général les mâles sont plus grands que les femelles et c'est le cas chez l'homme. Son poids sera en général plus élévé.

          La musculature et la stature, la largueur d'épaule de l'homme sera en moyenne plus évelé que chez la femme.

          Le bassin et le postérieur sera plus élargi chez la femme, elle aura des seins et ses pommettes seront plus saillantes, ses doigts seront plus fins. L'homme aura la poitrine plate et ses doigts seront plus larges.

 

pilosité, peau

 

          Souvent chez les mammifères, existent une pilosité ou crinère, donnant du volume, plus important chez les mâles que les femelles.

          Chez les humains, l'homme portera la barbe, aura une pilosité sur tout de corps, alors que la femme sera comparativement imberbe.

          La chevelure par contre sera en général plus abondante chez la femme (et l'homme aura plus tendance à la calvicie)

          La peau sera plus douce et satinée chez la femme.

 

Voix / chant

 

          Le chant du mâle s'il a lieu sera souvent plus fort voire élaboré que celui de la femelle. Cela est particulièrement vrai chez les oiseaux. En général les oiseaux mâles, possèdant un riche répertoire, sont en général les premier à trouver une femelle et ceux qui réussissent le mieux à défendre leur territoire par la dissuasion (on n'en connaît pas la raison, peut-être donne t'il la sensation que son territoire est occupé par plusieurs individus, ou bien la monotonie est source d'accoutumance et engendre la baisse de la force d'impact du message ?).

          En général, l'homme aura une voix plus grave et la femme une voix plus aiguë.

          Pour l'homme, il faudrait pas limiter tout discours d'un être humain, à un un rôle innée de défense du territoire ou de recherche du partenaire sexuel. Les comportement humains sont beaucoup plus complexes et ne peuvent être réduits à quelques comportements simples.

 

 

signes de reconnaissance olfactifs

 

          Chez les animaux et chez l'homme sont émis des odeurs spécifiques à chaque sexe, stéroïdes sexuelles et phénomérones, qui permettent de reconnaître chaque sexe et qui joue un rôle important dans l'attraction sexuelle.

          Ces odeurs permettent aussi de marquer le territoire chez certains animaux.

          La différentiation sexuelle de ces odeurs sont commandés par les hormones.

          Chez l'homme, les stéroïdes sexuelles sont dégagés plutôt dans la région des aiseilles (mais non perçues consciemment mais agissant sur l'attrait sexuel) et les phénomérones plutôt dans le creux des épaules (elles sont elles perçues consciemment).

 

 

4.1.2.         signes de reconnaissance psychiques

 

          Chez la femme,  il a un soucis inconscient d'attirer l'attention le regard de l'homme, de se rendre séduisante, attirante, pour l'homme. Il y a chez elle un goût plus prononcé pour la parure, les couleurs que chez l'homme. Il a souvent des attitudes et gestes machinaux, qui sont naturels chez la femme, tels que se recoiffer, caresser machinalement ses cheveux, voire se remaquiller, qui traduite un soucis inconscient de beauté. Il a souvent chez la femme, une attente et un désir naturel de vouloir se faire conquérir (l'attente du prince charmant qui l'enlèvera ou la conquièra). Alors que la "pulsion" ou l'inclinaison naturelle de l'homme serait plutôt de vouloir conquérir (pour caricaturer, il aurait un rôle de chasseur propre l'homme, et un rôle de proie propre à la femme, dans les relations amoureuses).

          Ces caractères sexuels secondaires est une constante de tout temps et de toutes civilisations (ce sont les "sentiments et comprtements éternels" des sexes).

 

          En raison de tous ces signes, on reconnaît et distingue presque naturellement, une femme d'un homme. Et on constate  que l'apparition de ce fait, se produit très tôt dans l'enfance (!).

 

 

4.1.3.         comportements sexuels propre à chaque espèce

 

          Les comportements sont souvent spécialisés et différentiés selon les sexes.

 

stratégie de séduction ou de parades amoureuses

 

          Selon les espèces, il existe ou non des jeux de séductions, de "galenterie" et de parades amoureuses _ en particulier chez les animaux supérieurs, mammifères, oiseaux. Certaines parades sont très complexes (comme celles du chevalier combattant) sans que l'on en sache la raison.

          Il y aura éventuellement offrandes d'objets, construction de nid nuptial.  Par exemple certaines espèces d'oiseaux-à-berceaux (bowerbird) _ Chlamydera nucalis _ de Nouvelle Guinée construisent des vastes charmilles, colorées de plumes, d'élytres de coléoptères et d'objets divers. Ce berceau est construit de telles manière que si le mâle venait à être tenté de s'approcher de la femelle sans qu'elle y consente, elle pourrait fuir immédiatement. Les oberservations ont d'ailleurs montré que les mâles qui se sont comportés impulsivement n'ont plus été visité par les femelles offensées. Les couples sont monogames et particulèrement stables.

          Alors que chez d'autres espèces, il pourra y avoir viol (comme chez certaines mouches ou oiseaux etc...), il peut y avoir relation sexuelle "dérobée" (comme chez la mante religieuse) ... Un espèce génétiquement très proche des oiseaux-à-berceaux _ Chlamydera macutala _ pratique des viols purs et simples; le mâle accule la femelle dans un coin et la force à s'accoupler.

 

stratégie de perpétuation du génome d'un individu

 

monogamie ou polygamie, parfois et très rarement polyandrie.

 

types de lien : fidèle, lache, inexistant

 

          Il existe des espèces aux couples fidèles (comme les grues japonnaises, les inséparables...) ou d'autre aux couples inexistants.

          Chez l'homme le type de lien est très variable de très fidèle à son contraire (il est difficile de savoir si l'on pourrait trouver une force biologique chez l'homme pour ces comportement).

 

comportements maternels

 

          Il a souvent chez les femelles d'animaux supérieurs (mammifères, oiseaux), voire même chez certains poisons et reptiles, un comportement maternel instinctif, de protection de l'enfant.

          Chez la femme ce sentiment majoritairement existe, même s'il existe des femmes qui n'ont pas la fibre maternelle, même si elles restent bien intentionnées. Ces différences de force de comportement maternel ont été observés aussi chez les singes supérieurs. On a aussi souvent obervé que la fille d'une femelle qui n'a pas la fibre maternelle, n'aura pas elle non plus de fibre maternelle.

          Chez des singes femelles pseudohermaphrodites (donc virilisée) subsiste le sentiment maternel, idem pour des mâles castrés très tôt (artificiellement).

 

4.2.   Mécanisme et description de l'attraction sexuelle des 2 sexes

 

instinct / pulsion sexuelle

 

          La pulsion sexuelle pour la reproduction, est une pulsion aussi fondamentale chez les animaux, que celle la recherche de la nourriture et la défense du territoire ou l'instinct de survie.

          Très tôt chez l'enfant, il a une découverte de son sexe, puis de sa sexualité, même si on ne lui a rien appris sur ce sujet.

          Le cas le plus probant, concerne Victor, l'enfant sauvage de l'Aveyron, qui vécu entre 5 et 12 loin de toute présence humaine, découvert en 1801, puis élevé, et étudié par le docteur Itard. Cet enfant est décrit par ce dernier dans des obervations célèbres (p.115, [1]).

          Ce docteur, observe que Victor, montre, à plusieurs, une forte précocité dans l'éveil de ses pulsions sexuelles, sans qu'on l'oriente consciemment ou que l'on accentue volontairement cet éveil (p. 146 [1] (¹)).

 

orientation spontané vers un objet sexuel

 

          Sinon, il constate qu'il sais distinger spontanéement les sexes et que ses pulsions sexuelles, quoique frustres, s'orientent spontanéement vers des objets sexuels de type féminin (p.166 [1] (²), p.241-242-244 (³)).

          On constate très tôt, sans que l'on le leur a appris, qu'il y a attirance "sexelle" souvent des petits enfants entre eux (et que ces comportement sont le plus souvent naturellement majoritairement hétérosexuel, même si l 'on oberve aussi des attirances bisexuels ou homosexuels, qui le plus souvent sont temporaires, momentanés et peuvent disparaître dans le temps ()).

          Il a donc souvent très tôt attirance spontané, chez l'enfant, pour un objet sexuel, homme/garçon ou femme/fille, sans que l'on le lui ai appris.

          Il a aussi quelque chose d'instinctif dans le rejet (ou la non attirance), pour un objet sexuel, qui n'est pas celui de prédilection (par exemple le rejet inconscient d'une relation homosexuel, pour une personne hétérosexuelle).

          Mais il y a aussi quelque chose d'appris dans ces attirances et les rôles adoptés chez l'homme et même chez les grands primates (gorilles et chimpanzés) [6].

 

Signes de reconnaissance sexuels par les caractères sexuels secondaires

 

          Souvent chez les animaux, ce qui attire un sexe vers l'autre, ce sont des caractères sexuels secondaires _ plumages , chants _ d'un certains types, qui sont aussi des signes de reconnaissances propres à l'espèce non reconnus souvent par des espèces souvent proches, et des odeurs liés à des molécules appelés phénomérones, dont la caractérisation sexuelle est liée aux hormones.

          Chez les singes lorsqu'il y a féminisation du mâle (par on l'a vue dans le cas d'un babouin chaima avec agénésie testiculaire), il est est vu comme une femelle.

          Ces phénomérones existent aussi chez les être humains. Les odeurs ont souvent aussi une certaine importance chez l'homme. Pour un  homme l'odeur féminine, sera considérée comme un doux et suave parfum, alors qu'elle ne déclenchera strictement aucune émotion chez l' homme homosexuel (par contre ce dernier souvent réagit à l'odeur mâle par exemple dans le vestaires d'un gymnase).

          Souvent très tôt ce qui attira, le petit garçon vers la petite fille, cela sera par exemple, la forme du visage de la petite fille attirante (qui l'attire), la douceur de sa peau, son odeur, son petit trou (le vagin) qu'il a envi d'explorer (cela dès 7 ans).

          La forme du visage à son importance. On le constate par exemple, dans l'observation, constaté par les éthogues, que la forme de la tête du nourrison est le déclencheur spontannéement du sentiment maternel, du désir de protection (le confiance), des femelles mammifères et aussi des femmes chez les être humains.

          On "fond" presque naturellement pour le bébé, pour son sourire (on est en extase devant le bébé, "qu'il est choux, qu'il est trognon, qu'il est mignon..."), sans que l'on se pose de question sur le côté naturel ou non de ce sentiment.

 

          On voit que l'on peut leurrer un homme, non prévenu, si l'on simule avec adresse certains caractères sexuels secondaires de la femme (comme dans le cas de travestis qui aiment à tromper leur victime masculine).

          Mais on voit aussi l'apparence morphologique, ne suffit pas. Une femme même canon de beauté, très belle, ne sera pas toujours être attirante pour un bon nombre d'homme, si elle n'a pas un comportement en rapport à son apparence sexuelle et le rôle qu'on attend d'être. Une femme à la mentalité ou au psychisme d'homme, qui aiment protèger, et détestent être sous la protection d'un homme, sera rejetté par certains hommes.

          Certaines femmes, plus psychologues et fines, l'ayant bien compris, parfois jour à apparaître plus "fragile", et vulnérable qu'elle ne sont réellement, pour attirer l'homme.

 

          En résumé, on s'oriente spontanéement vers un objet sexuel (vers un des sexes ou vers les deux). Et ce sont certains caractères sexuels secondaires qui déclenchent spontanéement certaines émotions, qui ne seront pas éventuellement ressentis par d'autres sensiblités sexuelles.

 

Ci-après, c'est l'auteur de cet article qui met en italique certains passages significatifs ou même très importants:

(¹) je fis joindre à l'administration des bains [à l'Enfant sauvage, par sa gouvernante] l'usage de frictions sèches le le long de l'épine vertébrale et même de chatouillement dans la région lombaire. Ce dernier moyen n'était pas un des moins excitants, je me vis même contraint de le proscrire, quand ses effets ne se bornèrent plus à reproduire des mouvements de joies, mais parurent sétendrent aux organes de la génération, et memacer d'une direction fâcheuse les premiers mouvements d'une puberté déjà trop précoce.

(²) attirance de Victor pour Julie jeune fille de 12 ans, qui passe les dimanches dans la maison de sa mère gouvernante de Victor

(³) j'ai vu arriver ou plutôt éclater cette puberté tant désirée, et notre jeune Sauvage se consumer de désirs d'une violence extrème... je n'ai vu en lui qu'une sorte d'instinct aveugle, et faiblement prononcé qui, à la vérité, lui rend la société des femmes préférable à celle des homme, mais sans que son coeur prenne part à cette distinction. C'est ainsi que, dans une réunion de femmes, je l'ai vu plusieurs fois, cherchant auprès d'une d'entre elle, lui pincer doucement la main, les bras, les genoux, et continuer jusqu'à ce que, sentant ses désir inquiets s'accroître, au lieu de se calmer, ... il changeait d'humeur, repoussait avec humeur celle qu'il avait recherché avec une sorte d'empresssement, et s'adressait de suite à une autre avec laquelle il se comportait de la même manière. ... Un jour il poussa ses entreprises un peu plus loin. Après avoir employé les mêmes caresses, il prit la dame par les deux mains et l'entraîna, sans y mettre pourtant de violence, dans le fond d'une alcôve. ...

 chez un être à qui l'éducation n'avait point à distinguer un homme d'avec une femme, et qui ne devait qu'aux seules inspirations de l'instinct d'entrevoir cette différence...

() "Un cas de paranoïa déclenchée par une excitation de la zone anale", Oeuvres complètes : psychanalyse I, 1991, p. 146-149, Sandor Ferenczi.

 

5.      Dimorphismes comportementaux et rôles sexuels

 

          Les comportement et rôles sexuels, liées à la bisexualité, sont très variables, dans la nature. Souvent il y a une spécialisation sexuelle des comportements et des rôles selon le sexe. Il y a une spécialisation des rôles sexuels dans la plupart des cosicétés humaines, mais qui tend à diminuer dans les sociétés évoluées.

          L'homme comme d'autres espèces est avant tout un être social. Son organisation au départ a été celle du clan, de la tribu. Il a par la suite créé une supertribu dans la notion de pays et de nation. Cette spécialisation est socialisée (intégrée dans une structure sociale). N'importe qui ne fait pas n'importe quoi.

 

 

Dimorphismes comportementaux

 

          De façon en partie innée, la psychologie de l'homme sera plus agressive, plus prédisposée au risque. Il aura "naturellement" une attitude de combat, si besoin est, pour obtenir sa compagne, s'il a d'autres hommes en concurence (il a besoin de reconnaissance de sa paternité). Un homme aura plus de chance de mourrir par accident. Selon une étude de Martin Daly et Margo Wilson, les hommes sont très majoritairement auteurs et victimes d'homicides dans de nombreux pays sur tous les continents.

          Par son soucis d'apporter le maximum de soin à son enfant et par son status et son désir de protection, selon le psychologue David Buss, lors d'une étude de 37 sociétés, la femme accorde une place beaucoup plus importane que les hommes à la richesse et au status social de leur conjoint.

          Les enfants femelles singes, comme les adolescentes, seront en général plus précoces que les garcons ou jeunes mâles.

          Il y aura en général plus de jeux chez les enfants mâles.

 

Rôle sexuel de l'homme

 

          Il a souvent dans les sociétés primitives, le rôle de chasseur, de cueilleur, celui qui ramène la nourriture, et aussi de guerrier, protègeant la tribu.

 

Rôle sexuel de la femme

 

          Dans les sociétés primitives, le rôle de la femme est en général de s'occuper des enfants, de préparer la nourriture, d'effectuer un certains nombre de tâches domestiques _ couture, entretien du feu etc...

          Selon l'ethnologue G.P. Murdock [7], qui a effectué une étude statistique sur 250 sociétés traditionnelles,

    le rôle de la femme est :

     - d'élever les enfants _ responsabilité des soins, protection, alimentation quotidienne.

     - nourrir toute la famille

     - faire la collecte (cueillette) et/ou la culture des aliments

    le rôle de l'homme est :

     - la chasse

     - le combat, la défense du territoire et de ses ressources

 

          Cette spécialisation des rôles sexuels de chaque sexe, est liée à la stratégie de reproduction propre à l'espèce humaine. Elle a conduit à orienter l'organisation sociale. Et de ce fait, il est très rare de trouver des sociétés matriarcales , où la transmissions des biens se font par les femmes (les ??? des îles Célèbes...) ou/et polyandriques, où la femme à plusieurs maris (tribues thibétaines _ Mustang..., Zanshar, , Todas du Sud-Ouest de l'Inde...).

          Ces stratégies sont elles innées _ provenant d'une force instinctive _ ou bien sont-elles liées aux circonstances ?

          En général, on observe peu de comportements innées chez l'homme. Le rôle de l'éducation reste essentiel voire primordial chez l'homme. Un enfant sauvage, reste extrèment démuni et même moins viable que d'autre formes animale.

           La polyandrie s'observe dans des pays extrèmement pauvres, où les hommes sont obligés d'allier leur force de travail, pour subvenir aux besoins d'une femme et de sa progéniture.

 

5.1.   fidélité du couple chez les être humains

 

 

5.2.   le mariage

 

          Dans pratiquement toutes les civilisation, exite l'institution du mariage. Son rôle visible est de renforcer la stabilité du couple, semble-t'il dans une logique de plus grande sécurité et la meilleure protection des enfants et de la femme. Cette stabilité contribue indirectement à perpetuer l'epèce et ou le groupe clanique (et culturel).

          Mais au cours de l'histoire, elle s'est orienté aussi dans le sens de renforcer des échanges et des aliances entre clans et familles, dans le but de renforcer ces derniers (l'union faisant la force, d'éviter la dispersion de richesses) et permettant d'éviter des conflits). La femmes, comme d'autres biens matériels devient une valeur d'échange.

          Cette institution universelle est en général tabou. Même si dans les peuplages primitives les relations sexuelles avant le mariages sont plus faciles. il n'existe pratiquement aucune civilisation ou culture admettant, sans problèmes, des relations de couple lâche ou infidèle, qui durerait une existance entière.

          Dans certaines peuplades, on admet ou on tolére le mariage par capture (ou rapt). Dans le Coran, on admet qu'un homme puisse épouser une femmes tombée entre ses mains en esclavage (suite à une razzia). Sinon, c'était le cas jusqu'au 19° siècle en Yougoslavie, les indiens de la plaine en Amérique du Nord, chez les Wisigoths jusqu'au 8°, 9° siècle, avant que l'église ne l'interdise.

          Il existe des restes de ces pratiques, dans des traditions de simulacres de capture, en Afrique, Mélanésie, Chine...

          Il existe la capture de jeunes hommes (en fait consentants), chez les kambots de Nouvels Guinés. Et dans tous les cas on apaise le courroux de la famille, par un banquet organisé pour conclure l'évènement et par des dons à cette famille.

          Dans certaines peuplades se pratiques l'héritage des épouses, transmises comme des biens aux descendants mâles (sauf au fils d'une des ces mères), comme chez les mongols au 14° siècle, les Araucans du Chili, les Palvic et Bura de la Nigérie du Nord.

          Chez les Kurnaïs du Sud Est de l'Australie, se pratique la fugue des amoureux ou prétendants (sans toujours l'accord des parents).

          On peut aussi institutionnaliser, des relations sexuelles avant le mariages, comme dans les maisons de rencontre des jeunes filles et jeunes hommes, chez les Murias de l'Inde.

          On peut pratiquer le mariage à l'essai, comme la pratique du "Servinaqué" des quetchas du Pérou (jusqu'à 8 ans ou plus, l'église fermant les yeux).

 

Le tabou de l'inceste

          Dans toutes les civilisations existent le tabou de l'inceste. On l'explique par le fait d'empêcher qu'une famille puisse se replier sur elle-même (et peut-être aussi pour éviter les mariages consanguins, bien que certaines civilisations les autorisent aussi comme les mayas, les égyptiens...).  Cet interdit permettrait de donner naissance à des groupes plus étendus, donc plus forts, qui sont amenés à coopérer.

 

6.      Conséquence de l’invention de la différentiation sexuelle

 

5.1.    Les rôles sexes (spécialisation comportementale)

5.2.    Le plaisir sexuel

5.3.    l’amour entre 2 êtres (l’attirance mutuelle platonique ou charnelle)

5.4.    Le plaisir de la conquête, l’attirance mutuelle

5.5.    Les signes de reconnaissance sexuelles (caractères sexuels secondaires)

5.6.    émotion,

5.7.    L’homosexualité

5.8.    la transsexualité

5.9.    La difficulté de comprendre les sexualité différentes (incommunicabilité)

 

6.      A quoi sert le sexe légal (son rôle)

 

Définit-il des attitudes légales ? (contre quels dangers ?)

calquer sur le sexe biologiques

celer dans le marbre les inégalités sexuelles et l’exploitation d’un sexe par l’autre

sacraliser des préjugés,

rassurer face à la peur provoquée par la différentiation sexuelle

peur de la diffusion/propagation de comportements déviants, de perversions

peur de diminuer la fécondité de la population

L’armée

la différentiation sexuelle du travail

raisons médicales

la grossesse

la médication

Légalité, valeur, validité, justification de cette différentiation et de cette notion

 

7.      Conclusion

 

          Dans le précédent chapitre sur la définition du sexe nous avons tenter de relativiser la notion de sexe. Nous avons vu que cette notion ne se limite pas à une seule question d'apparence ou d'organe sexuel, c'est à dire se limitant à l'aspect morphologique, phénotypique et aux organes génitaux internes ou externes, femme ou homme d'une personne.

          Il y a aussi un facteur important et un des caractères sexuels secondaires, est la différence de psychisme, entre homme et femme. Ce faitqui fait parti de notre quotidien semble tellement naturel qu'on ne le perçoit intellectuellement et on ne se pose même plus la question de savoir si ce fait est aussi évident et naturel que cela. De plus depuis peu, on a maintenant de fortes présomptions de l'existance une base biologique réelle justifiant cette différence psychique constatée, sans faire appel à des causes purement éducationnels.

          Et on peut bien sûr supposer théoriquement qu'il puisse exister des hommes au psychisme de femme ou féminin et des femmes au psychisme d'homme ou masculin. Mais on a du mal a passer à l'application pratique et réelle de cette réflexion. Car immédiatement, dès que l'on a affaire à de tels personnes dans le monde réel,  on ne peut s'empêcher de pense que l'on a de toute manière affaire à une personne perturbée, déviante ou mal dans sa peau. On confond cause et conséquence. Pourtant admettre que ces cas de figures existent conduirait nécessairement pourtant à admettre qu'il puisse exister aussi des cas extrêmes de ces configurations psychiques particulières.

          Ce blocage mental vient de votre conception rigide des sexes, liée soit à une conception sacrée des lois de la nature (principe divin qu'il faut en aucun cas transgresser sous peine d'encourir le courroux divin, de conduire à la perversion et à la décadence morale de la société, qu'on imagine semblable à celle de l'empire romain), soit à la peur d'une menace pour notre propre sexualité, si notre identité de genre est ou reste fragile, malgré nos efforts et alors que nous sommes dominés par les taboux éducationnels rigides de son propre surmoi.

          Par exemple, ce qui nous permet de reconnaître qu'une personne est une femme est ses caractères sexuels secondaire : caractères physiques, voix, psychisme...

          Du moment que tout cela est crédible, on pourrait s'en contenter pour définir cette personne comme une femme.

          On l'admet d'ailleurs dans le cas des femmes aux testicules féminisants et de certains hermaphrodites.

          On ne remet pas ici en cause, le fait qu'elles sont "naturellement" des femmes, à l'état civil, même si elles sont dans un état "d'être des femmes inachevées, imparfaites sur le plan de la physiologie". Mais ce que l'on permet pour les femmes aux testicules féminisants, on le refuse pour les transsexuelles à "vocation féminine", même si elles ont un un psychisme résolument féminin et une apparence de femme totalement crédible.

          Dans un cas, la transformation en femme s'est faire naturellement, alors que dans le second cas, elle s'est faite "artificiellement", selon la volonté de la personne,  dite "délibérée" par ceux qui s'oppose au changement ou "conversion" de sexe. Selon toutes les présomptions biologiques découvertes, qui peut dire si le désir de changement de sexe d'un personne n'est il pas finalement légitime ?

          En se basant sur l'affirmation que dans les cas d'interxualité, on observe que les enfants accepte toujours le sexe d'assignation, choisi par les parents, et se compte comme tel, même s'il y a erreur sur le sexe réel biologique, on affirme que toute opposition de l'enfant ou l'adulte à son sexe d'assignation est contre nature et pathologique.

          D'abord pour répondre à cet argument, affirmant qu'il n'y a pas de base biologique suffisante pour incliner le genre dans une direction conforme au sexe biologique, disons que :

    dans le cas d'interxualités, étant donné que la base biologique est floue, et que s''il existe un lien entre sexe biologique et genre, alors il est peut-être plus facile pour l'enfant, dans ce cas, de choisir un sexe ou un autre.

    dans le cas des transsexuels, leur témoignage convergent,en général,  dans ce sens, que pour la plupart au départ il ne se sont pas opposé à leurs parents, sur le sexe d'assignation, n'ayant souvent qu'une "inclinaison" vers l'autre sexe, vers 5 - 6 ans, avant qu'au cours du temps cette inclinaison se  transforme progressivement en résolution ferme de changer de sexe.

    en général, petit, un enfant, on ne s'oppose pas aux parents, et par ailleurs, il est très difficile, que cela soit aux parents ou aux pédopsychiatre, de faire avouer les secrets intimes d'un enfant. Donc que peut on vraiment savoir de la réelle ou non acceptation de l'enfant intersexuel pour son sexe d'assignation.

    il existe un bon nombre de cas d'intersexuels, qui a l'age adulte ont changé finalement de sexe d'assignation, sans que l'on puisse trouver chez eux de schéma stollériens clair [1], [2], [3] ...

          Nous nous sommes attaché à remettre en cause certaines certitudes qu'il nous est en général, vicéralement très difficile de remettre en cause, par notre culture et nos tabous inconscient.

          Nous avons vu avons vu aussi que la classification d'une personne dans un sexe ou un autre, est un exercice pas toujours aisé surtout dans le cas d'intersexualité. Qu'il peut y avoir des ambiguïtés, voir une continuum des variations entre les 2 sexes. Que la classification en 2 catégories sexuelles, règle générale s'applicant bien à presque la totalité de la population, ne s'applique pas à pas à une infime frange de la population. Et que cette classification ne permet pas l'expression de sexualités ambigües et rares tel que transsexuels, intersexuels . Au point qu'il nous vient jamais à l'idée de la remettre en cause.

          Au niveau de notre société, on voit qu'il y a deux acceptations actuelle des transsexuels, comme ceux à vocation féminine. On affirmera, selon les cas :

3) soit voici des hommes travestis, hormonés, mal dans leur peau, bête de foire, castré, déviant, ayant le goût de la transgression etc... Ou qu'ils sont devenu féminin que sous l'influence des hormones. Ce genre d'opinion avec un jugement sévère ou avec un dégoût instinctif, n'est émis que si l'on on ne connaît bien pas les transsexuels de prime abord, mais elle encore majoritaire dan notre société. On en sait pas alors que leur psychisme est profondément orienté dans un sens inverse à leur caryotype.

2) soit voici des personnes au psychisme féminin, ou totalement féminin, qui vivent dans un corps masculin (comme si la personne souffrait d'une insersexualité uniquement limitée au psychisme). Et affirmera plutôt cela, quand on les aura au moins connu au moins 1,5 à 2 ans et que l'on s'est aperçu que finalement tout cela paraît finalement naturellement, que leur psychisme, leurs affirmations, leur attitude est naturelle, crédible, non caricaturale (et surtout hors de toute influence d'un traitement hormonal préalable). Cet courant est pour l'instant l'opinion minoritaire.

 

          Quand on connaît bien les transsexuels,  on a souvent l'intuition, la présomption de la présence chez eux d'une intersexualité psychique, même si l'on a pourtant aucune preuve. On se rend compte, à la longue, en les connaissant bien, que s'il sont si crédible dans leur nouveau rôle, alors finalement tout cela devient admissible dans notre esprit.

 

          A la longue, on se convainc vraiment, que l'on a bien affaire à une femme dans le cas d'une personne à vocation féminine, même si l'on ne peut s'empêcher de garder toujours à l'esprit, que cette femme est de caryotype XY, et a été un homme, ce qui peut choquer de prime abord.Il a rien avoir avec le fait de rentrer dans le jeux d'une personne déséqulibrée ou psychotique. On s'aperçoit alors que cette personne est toujours naturelle, qu'elle ne joue pas un rôle et ne s'abuse pas (voir par exemple Coccinelle, star du Music Hall , Amada Lear, ou Maud Marin, qui passent souvent à la télévision et qui sont sans conteste fort crédibles). Mais pour s'en convaincre, il faut, bien sûr, que cette personne soit crédible dans sa nouvelle apparence et son nouveau rôle.

          Il faut en soit une véritable révolution copernicienne, pour admettre qu'on aura une relation hétérosexuelle avec elle et non homosexuelle, si on est un homme et que cette personne est une nouvelle femme.

 

          Nous espérons que cet article pourra faire évoluer nos mentalités, en nous faisant réfléchir à certaines idées reçues. Par cette réflexion théorique, nous nous apercevons que ce qui paraît le plus établi, préjugés,

Légitimité de l'emploi du  sexe légal

concordance systématique entre les 2.notions

abolition du sexe légal?

But article apporter plus de tolérence.

 

8  Bibliographie

 

[1] Vouloir être transsexuelle, femme et mère, Marie-Josée Enard et Catherine Rihoit, édition Persona, 1983

     Note : le titre est déroutant, car en fait, comme l'expertise judiciaire l'a monté ensuite, le cas de cette personne est en fait un cas d'intersexualité (celle-ci possèdant un vagin à l'état inachevé)

[2] La femme inachevée,Tavarès Claudia, éditions Régine Deforges

[3] maître vitrier

 

[4] Structuration du comportement en fonction du sexe chez les primates, Bertand L. Deputte, in "La Frontière des sexes", ouvrage collectif sous la direction d'Albert Ducros et Michel Panoff, Coll. Le sociologue, PUF, 1995.

[5] Ce que les enfants de sexe ambigüe ont apporté à la connaissance de l'identité sexuée, Léon Kreisler, Nervure, Tome III, n°9, D"cemblre 1990.

[6] examination of some basic sexual concepts, Bul. John Hopkins Hospital, 1955, 97, 301-319, Money J., Hampson J.G., Hampson J.L.

[7] Social Structure, G.P. Murdock, 1949.

[8] Threat reduction as a cause of differences in bowwer architecture, bower décoration and mlae display two closely related bowerbirds, Chlamydera Nucalis et C. Maculata EMU 95, 1-12 (relaté dans "L'évolutionniste. Eloge de la Galanterie", Antoine Danchin, La Recherche n°286, avr.96, page 97.

[9] Les premiers âges de l'homme", Ashley Montagu, 1957, Marabout Université.