Hypothèses sur le transsexualisme
plan
Ce sujet est fort difficile. Il a été
souvent sujet à polémique.
Nous
allons tenter de clarifier le sujet en exposant les différentes conceptions
scientifiques concernant le transsexualisme.
Elles s’appuie sur les résultats des
recherches récentes sur la sexualisation du cerveau des hommes et des femmes.
On a depuis peu la certitude
scientifique que le cerveau est sexué, une hypothèse qui avait déjà été avancée
dans les années 30.
En 1991
Les hypothèses psychologiques
explorent les bizarreries et mystères des arcanes de l’esprit humain.
Nous les livrons sans ordre précis, en
fonction de la littérature.
Dans
le syndrome de Munschausen,le patient se mutile volontairement, pour rentrer à
l’hôpital, afin de récolter attentions et soins.
Certaines
automutilations, rares heureusement, sont comme certaines tentatives de
suicides, des sortes d’appel au secours, signalant une situation d’extrême
détresse, de solitude ou de manque d’amour.
Par
la suite, ces personnes ayant trouvé à l’hôpital, l’amour ou l’attention qu’ils
recherchaient, peuvent alors récidiver pour retrouver cette attention.
Le désir de devenir une femme, ne
serait qu’une manifestation inconsciente d’un désir de se faire protéger et de
se faire entourer.
On a pu garde le souvenir attirant,
tout petit, de petites filles entourées choyées, alors que l’on est de son côté
traité à la dure.
Quand on a une énorme carence
affective, une grasse fragilité psychologique, on peut facilement imaginer,
tout petit, que d’être une petite fille permettrait de se faire plus facilement
protéger.
Ensuite, le fantasme, peut être
entretenue par continuation du manque de soutien des parents durant
l’adolescence _ parent désirant un homme fort, et rejetant cet enfant ne
répondant pas à leur attente _, puis à l’âge adulte suite à des échec amoureux,
suiute à ce désir de protection, réveillant ou/et l’entretenant ce fantasme.
Ce n’est pas le désir de mutilation
qui est poursuivit mais le statu protégé, qui se cache derrière le statu de femme.
Des
cas extrêmement rares d’automutilations masochistes apparaissent comme le
reflet d’un intense désir de dévalorisation. Ce désir peut conduire une
personne à choisir de faire parti du sexe dit « faible », même au
prix d’une mutilation.
Un
sentiment d’infériorisation, conditionnée par une certaine éducation, peut être
accepté ( ?) et recherché avec plaisir.
Certains médecins conçoivent aussi que
certaines personnes, sans repères moraux, rechercheraient des sensations
fortes, des expériences extrêmes, dont le changement de sexe, ne serait qu’un
des avatars. Une façon de cacher et se cacher une grande souffrance et misère
morale.
Une
personne peut se « pousser au crime », pour tenter de changer de vie
et de sortir d’une situation insuffisamment analysée, semblant sans issue.
On
peut quand on ne voit jamais d’issu à une situation, par exemple situation
d’infériorisation, remontant loin dans l’enfance _ parent dévalorisant
systématiquement son enfant, cruauté mentale
_, vouloir s’en sortir par tous les moyens, même les plus
déraisonnables.
Un
conditionnement à l’auto dévalorisation, même conscient, peut conduire à de
multiples échecs amoureux et une totale perte de confiance en soi et supprimer
ses « moyens » sexuels (impuissance conditionnée).
Le
désespoir peut alors pousser à franchir les gardes fous et tabous sociaux.
Et
tant pis, cela peut causer des dégâts et que l’on ne peut plus revenir en
arrière.
On
peut, par une analyse erronée de son état, désirer changer de sexe. Ensuite, il
est souvent difficile de revenir sur son erreur, par orgueil, du fait d’une
blessure entretenue et non guérie.
On
peut, suite à cette blessure ouverte, refuser la vérité insoutenable et vouloir
au contraire imposer sa vérité au autres, par violence ou par séduction. On
rejettera celui ou celle qui vous apporte un élément de réponse critique, qui
n’aille pas le sens de la vérité imposée. On se posera en victime s’il le faut.
On
s’enferme ensuite, de plus en plus, dans un système de pensée, dont il sera de
plus en plus difficile de s’en sortir.
De brillants schizophrènes, en période
de délire, peuvent convaincre et imposer avec une passion et une sincérité
déstabilisante, leur conviction délirante, conservant d’un grande lucidité dans
tout autre domaine ne concernant pas leur problème d’identité.
Des mythomanes, pour des raisons
obscures et difficiles à découvrir, mentent avec aplomb, tout en se mentant,
avec conviction, à soi-même.
Toujours se cachent derrière ces
comportements, une grande misère morale et psychologique, non reconnue et
acceptée.
Le désir de toute puissance.
(la faille de la raison).
L’homosexualité
en a été retiré en 1973, et n’est plus considérée comme une maladie
psychiatrique, le transsexualisme est encore présent dans le DSM3. La
persistance du classement du transsexualisme dans le DSM3 renforce bon nombre
de psychiatres dans leur conviction d’avoir affaire à une maladie
psychiatrique//
Les psychiatres n’ont
pas toujours non plus de questionnement concernant