Hypothèses sur le transsexualisme

 

plan

 

1.    Introduction

 

          Ce sujet est fort difficile. Il a été souvent sujet à polémique.

 

Nous allons tenter de clarifier le sujet en exposant les différentes conceptions scientifiques concernant le transsexualisme.

 

 

2.    Les hypothèses biologiques

 

          Elles s’appuie sur les résultats des recherches récentes sur la sexualisation du cerveau des hommes et des femmes.

          On a depuis peu la certitude scientifique que le cerveau est sexué, une hypothèse qui avait déjà été avancée dans les années 30.

          En 1991

 

3.    Les hypothèses psychologiques

 

          Les hypothèses psychologiques explorent les bizarreries et mystères des arcanes de l’esprit humain.

          Nous les livrons sans ordre précis, en fonction de la littérature.

 

3.1    automutilation par besoin d’attention - syndrome de Munschausen

 

Dans le syndrome de Munschausen,le patient se mutile volontairement, pour rentrer à l’hôpital, afin de récolter attentions et soins.

 

Certaines automutilations, rares heureusement, sont comme certaines tentatives de suicides, des sortes d’appel au secours, signalant une situation d’extrême détresse, de solitude ou de manque d’amour.

 

Par la suite, ces personnes ayant trouvé à l’hôpital, l’amour ou l’attention qu’ils recherchaient, peuvent alors récidiver pour retrouver cette attention.

 

 

3.2    désir infantile et  ancien de se faire protéger

 

          Le désir de devenir une femme, ne serait qu’une manifestation inconsciente d’un désir de se faire protéger et de se faire entourer.

          On a pu garde le souvenir attirant, tout petit, de petites filles entourées choyées, alors que l’on est de son côté traité à la dure.

          Quand on a une énorme carence affective, une grasse fragilité psychologique, on peut facilement imaginer, tout petit, que d’être une petite fille permettrait de se faire plus facilement protéger.

          Ensuite, le fantasme, peut être entretenue par continuation du manque de soutien des parents durant l’adolescence _ parent désirant un homme fort, et rejetant cet enfant ne répondant pas à leur attente _, puis à l’âge adulte suite à des échec amoureux, suiute à ce désir de protection, réveillant ou/et l’entretenant ce fantasme.

          Ce n’est pas le désir de mutilation qui est poursuivit mais le statu protégé, qui se  cache derrière le statu de femme.

 

3.3    automutilations masochistes

 

Des cas extrêmement rares d’automutilations masochistes apparaissent comme le reflet d’un intense désir de dévalorisation. Ce désir peut conduire une personne à choisir de faire parti du sexe dit « faible », même au prix d’une mutilation.

Un sentiment d’infériorisation, conditionnée par une certaine éducation, peut être accepté ( ?) et recherché avec plaisir.

 

3.4    Recherches d’expériences nouvelles

 

          Certains médecins conçoivent aussi que certaines personnes, sans repères moraux, rechercheraient des sensations fortes, des expériences extrêmes, dont le changement de sexe, ne serait qu’un des avatars. Une façon de cacher et se cacher une grande souffrance et misère morale.

 

3.5    Rêve d’une autre vie rêvée

 

Une personne peut se « pousser au crime », pour tenter de changer de vie et de sortir d’une situation insuffisamment analysée, semblant sans issue.

On peut quand on ne voit jamais d’issu à une situation, par exemple situation d’infériorisation, remontant loin dans l’enfance _ parent dévalorisant systématiquement son enfant, cruauté mentale  _, vouloir s’en sortir par tous les moyens, même les plus déraisonnables.

 

Un conditionnement à l’auto dévalorisation, même conscient, peut conduire à de multiples échecs amoureux et une totale perte de confiance en soi et supprimer ses « moyens » sexuels (impuissance conditionnée).

 

Le désespoir peut alors pousser à franchir les gardes fous et tabous sociaux.

Et tant pis, cela peut causer des dégâts et que l’on ne peut plus revenir en arrière.

 

3.6    Une façon de ne pas reconnaître ses failles et fragilités psychologiques

 

On peut, par une analyse erronée de son état, désirer changer de sexe. Ensuite, il est souvent difficile de revenir sur son erreur, par orgueil, du fait d’une blessure entretenue et non guérie.

On peut, suite à cette blessure ouverte, refuser la vérité insoutenable et vouloir au contraire imposer sa vérité au autres, par violence ou par séduction. On rejettera celui ou celle qui vous apporte un élément de réponse critique, qui n’aille pas le sens de la vérité imposée. On se posera en victime s’il le faut.

On s’enferme ensuite, de plus en plus, dans un système de pensée, dont il sera de plus en plus difficile de s’en sortir.

 

3.7    Certaines formes de schizophrénies paranoïdes

 

          De brillants schizophrènes, en période de délire, peuvent convaincre et imposer avec une passion et une sincérité déstabilisante, leur conviction délirante, conservant d’un grande lucidité dans tout autre domaine ne concernant pas leur problème d’identité.

          Des mythomanes, pour des raisons obscures et difficiles à découvrir, mentent avec aplomb, tout en se mentant, avec conviction, à soi-même.

          Toujours se cachent derrière ces comportements, une grande misère morale et psychologique, non reconnue et acceptée.

          Le désir de toute puissance.

          (la faille de la raison).

 

4.    Les hypothèses biologiques

 

4.1    considérations concernant l’homosexualité

 

L’homosexualité en a été retiré en 1973, et n’est plus considérée comme une maladie psychiatrique, le transsexualisme est encore présent dans le DSM3. La persistance du classement du transsexualisme dans le DSM3 renforce bon nombre de psychiatres dans leur conviction d’avoir affaire à une maladie psychiatrique//

Les psychiatres n’ont pas toujours non plus de questionnement concernant