Taqiya : dissimulations et tromperies pour la
« bonne » cause de l’islam
Par
Benjamin LISAN, le 30/03/2018
« Dieu se rit des hommes qui déplorent les
effets dont ils chérissent les causes », Bossuet.
"A une époque de supercherie universelle,
dire la vérité est un acte révolutionnaire", Eric Blair, dit George
Orwell.
"Mal nommer un objet, c'est ajouter au
malheur de ce monde", Albert Camus, essai de 1944, paru dans Poésie
44.
Collection études critiques et
scientifiques de l’islam et de Mahomet
Un musulman africain
m'écrivait : « pourquoi
détestez-vous les Musulmans ? ».
En fait, je ne déteste pas
les musulmans, mais au risque de paraître provocateur, je n’aime pas l'Islam et
j’ai de bonnes raisons pour cela que je vais exposer.
Déjà parce que certains
versets du Coran et hadiths incitent à la haine contre les juifs et chrétiens.
Voir cette liste de versets et de hadiths : http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/liste-des-versets-et-hadiths-antijuifs-et-antichretiens-dans-le-coran.htm
Je demande aux musulmans : qui vous dit
que l'Islam est la meilleure religion du monde (ou que les musulmans sont la
meilleure communauté au monde[1]).
S’ils me l’affirment, alors je leur
réponds qui vous dit que ce n'est pas le christianisme ou les chrétiens, la «
meilleure communauté du monde », par exemple ? Ou le judaïsme ? Car on n'a que
la parole de Mahomet, concernant cette affirmation ou cette question. Doit-on
alors le croire sur parole ?
En Islam, on a le droit de mentir sur sa
foi, pour sauver sa vie. C’est une position opposée à la parole de Jésus-Christ
dans l’Evangile : « Qui veut sauver sa
vie la perdra, mais qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Evangile la
sauvera » (Mc 8, 35).
Je ne connais pas le judaïsme, je ne
connais pas leur position à ce sujet. Je ne parlerais que de ce que je connais
le Christianisme.
L'amour est l'enseignement de base du
Christianisme. Or à mes yeux, du mois, rien n'est plus beau que l'Amour. Donc
en quoi les chrétiens seraient-ils les "égarés" (Coran 1 :6-7)[2],
si, du moins, l’on croit les affirmations de Mahomet à leur sujet ?
L'amour, la compassion sont le noyau
central du christianisme. Si j'étais vraiment chrétien, je ne devrais pas haïr
l'islam. Etre vraiment chrétien, c'est un idéal extrêmement élevé (qui doit
aller jusqu'à la plus haute non-violence). Mais c'est un idéal très dur à
atteindre, même s'il a un verset des Evangiles, affirmant que « un joug
facile à porter et un fardeau léger[3] »
(Mt 11 :30).
Au cours des siècles, dans leur majorité
(malheureusement), les musulmans n'ont pas arrêté de dénigrer le christianisme.
Or cette dernière religion comporte le volet d’une spiritualité très élevée,
tournée vers le don de soi (la générosité totale), jusqu'à aller donner sa vie
pour les autres. Voir l’exemple du père Maximilien Kolbe[4]
qui a donner sa vie pour sauver la vie d'un père de famille (ou bien celui d’Arnault
Beltrame[5]
qui a donné sa vie pour sauver la vie d'une mère). Un vrai chrétien respecte ce
commandement « Ne fais pas à autrui,
ce que tu n'aimerais pas ce que l'on fasse »[6],
donc normalement, il ne tue pas volontairement (sauf cas de légitime défense et
encore).
Actuellement, beaucoup de musulmans
continuent à dénigrer les cultures qui ne sont pas musulmanes, voire à effacer
le passée préislamique (y compris archéologique). Alors qu’au contraire, pour
moi, toutes les cultures (hopi, aborigènes d’Australie …) et leurs
connaissances sont utiles, sources de richesses et de diversité et à préserver
(si cela est possible).
Je suis franc avec les musulmans : tous
les dégâts qu'a causé l'Islam, dans l’histoire de l’humanité, depuis 14 siècles
(par le djihad, c’est à dire par la guerre sainte à cause d'Allah, mais
malheureusement guerre meurtrière sur 1/4 du globe), sont une des principales
raisons pour lesquelles je n'aime pas l'islam.
Car une bonne religion n'utilise pas la
guerre, l’intimidation (la peine de mort) et une taxe inégalitaire (jizya) imposée aux juifs et chrétiens, pour réaliser la Dawa ou prédication
islamique _ c'est-à-dire consistant à parler du bien d'ALLAH et à faire du bien
pour que ceci serve de leçon au non-musulman qui observe.
Mais quand l'islam mettra l'amour au centre ou au cœur de sa doctrine,
alors j'aimerais cette religion (Amour qu'on trouve justement dans le christianisme et le bouddhisme). Et
je rajoute que je demande aux musulmans qu’ils mettent aussi l’honnêteté
intellectuelle, au centre de leurs préoccupations (sinon, je n’aurais pas écrit
le document ci-après).
Et qu’il n’y aura plus d’atrocités, de
tueries commis contre les non-musulmans, par exemple, par Boko Haram, DAESH
(ISIS) … Et qu’on ne me dise pas, qu’on ne me fasse pas croire qu’ils n’ont
rien à voir avec l’Islam, même si peut-être (?) leur interprétation des versets
coraniques et des hadiths est peut-être perverse, dévoyée et déviante.
Vous n'avez pas besoin d'une religion
pour avoir une conscience morale. Si votre religion (l'islam ou autre ...) vous
commande de tuer, alors quittez-la. Si votre religion est bonne, alors elle ne
doit pas commander de tuer les athées, apostats, polythéistes. C’est à ses bons
fruits qu’on reconnait un bon arbre.
Je rajoute encore une chose. Tout comme
les nazis qui croyaient que le monde entier était contre deux, beaucoup trop de
musulmans sont malheureusement dans une vision paranoïaque du monde, un délire
de persécution, où ils se posent artificiellement et constamment en victime,
croyant subir des persécutions, en fait imaginaires, de la part de
non-musulmans (accusation de racisme d’état, d’islamophobie de la part des
non-musulmans …). Tous comme les paranoïaques, ils agressent, leur imposent
leur Vérité, avec un grand V, et donc obligatoirement obtiennent en retour des
attitudes agressives, de la part de ceux qu’ils ont agressés, dont ils se
plaignent ensuite … à tort (en les accusant alors d’islamophobie, de racisme
d’état etc.). Ce n’est pas une attitude saine et honnête.
Plutôt que passer leur temps dans les
prières (5 à 17 fois par jours) et les rituels, j’incite les musulmans à
beaucoup lire, à se cultiver sans cesse, et sans a priori, à être curieux de
tout, en particulier des sciences, et éventuellement à s’intéresser à la
méthode scientifique. En effet, cette dernière est athée dans sa démarche. Elle
n’a pas besoin de faire appel à Dieu pour réussir et être performante. Au
contraire, si dans un article scientifique, vous faites intervenir l’hypothèse
d’un miracle divin, alors vous serez discrédité par vos pairs et le comité de
lecture de la revue scientifique. Si vous voulez subordonner la science à la
religion, alors vous n’avez rien compris à la démarche scientifique ou bien
votre esprit est inaccessible à celle-ci. Car les deux démarches, la démarche
religieuse (non critique) et la démarche scientifique (critique) sont
strictement incompatibles.
J’ai constaté que certains musulmans
sont inaccessibles à démarche scientifique. Donc, au moins, qu’ils mettent
l’Amour au centre la doctrine islamique, cela sera déjà un progrès. Car si tout
le monde plaçait prioritairement l’amour dans leur quête philosophique et
éthique, alors bien des guerres et des malheurs seraient évités sur terre.
Je suis prêt à discuter avec tous les
musulmans sur tout ce que je viens d'écrire, si nécessaire, et cet ouvrage.
Le Coran est rempli de
versets qui semblent être incohérents ou se contredire. Mais ces incohérences
ne sont qu’apparentes. Elles correspondent à la coexistence d’anciens versets
caduques, abrogés (mais toujours présents dans le Coran) et de nouveaux versets
(ceux abrogeants) qui ont abrogés les précédents.
Certains versets, bien
qu’ils soient considérés comme divins, sont considérés avoir été valables dans
certaines circonstances (politiques …), qui ont disparues ensuite. Mais ces changements peuvent correspondre à
des stratégies et adaptations politiques, en fonction des rapports de force du
moment (rappelons que Mahomet étant un prophète guerrier et conquérant). Ces variations peuvent aussi correspondre à
des stratégies de manipulation, de tromperie, le but étant de gagner, la fin
pouvant alors justifiant les moyens (le but final restant la réussite de
l’islam, y compris par la guerre, pour faciliter la prédication).
Mahomet a, d’ailleurs,
souvent recouru à la guerre, aux expéditions militaires, aux razzias, où
souvent la ruse, le mensonge sont utilisés. Et donc, pour gagner, en
particulier les guerres, faire gagner le djihad, toutes une stratégie de
tromperie (taqiya, tawriya, kitman …) a été mise en place, que nous allons
décrire dans la suite ci-après.
Pour résumer, mentir, dans
l'Islam, est permis dans certaines circonstances, si cela peut aider au succès
de la religion islamique. Le recours à
la dissimilation et à la tromperie est surtout utilisé par les islamistes.
Mais il existe aussi des
théories du complot sur la taqiya, diffusée en général par l’extrême-droite. Et
nous devons alors faire preuve de discernement pour distinguer ce qui relève
seulement de la théorie du complot (sur les menaces islamistes réelles ou
supposées), de ce qui relève d’une réelle stratégie de taqiya (d’une réelle
volonté de tromper les non-musulmans, alors considérés comme ennemis de l’islam
ou des personnes dans l’erreur).
« L’islam interdit formellement aux musulmans
de renoncer à leur religion, sous peine de châtiments divins et de malédictions
éternelles (cf. Coran 2, 217 ; 3, 87 ; 4, 115 et 16, 106). Les musulmans ne
peuvent donc en principe dissimuler leur identité religieuse et travestir leurs
croyances. Cependant, le Coran et la Tradition prophétique (Sunna) ouvrent la
voie à des dérogations quant au caractère absolu de la croyance dans le Dieu de
l’islam et surtout quant à l’obligation de son attestation publique, ainsi qu’à
l’observance du culte ou de la loi islamique (charia). […].
Dans le Coran, Dieu recommande ici aux musulmans (eux
seuls sont qualifiés de "croyants") de ne pas entretenir de relations
d’amitié ou de sujétion avec les non-musulmans (cf. 3, 118 ; 5, 51 ; 9, 23 ;
60, 13), mais il autorise des dérogations au principe lorsque le fait de
s’opposer à ces derniers les met en danger. La sécurité ou le besoin de se
faire accepter priment alors sur l’affirmation de la religion »[7].
La taqiya (تقيّة) est la tromperie (tactique) ou doctrine
islamique de la tromperie, dans le but protéger l'islam ou le musulman et de
répandre l'islam. Son but, pour un musulman, est de dissimuler l'identité
musulmane du musulman ou de mentir sur elle, s’il se sent en danger.
« La Taqiya, au sens strict, est une forme de dissimulation de l’identité
du musulman ; une dissimilation au service d’une « autodéfense »; une forme de
mensonge afin de protéger soit l’islam, soit le musulman ».
Dans certaines branches de
l'Islam (chiites …), la taqiyya est une forme de dissimulation de la religion
ou une dispense légale par laquelle un croyant peut nier sa foi ou commettre
des actes illicites ou blasphématoires, par ailleurs, alors qu'il risque de
subir une persécution importante. Vous pouvez mentir pour protéger et
promouvoir l'islam ...
On peut mentir pour gagner
la confiance des non-croyants afin de tirer parti de leur vulnérabilité et pour
les vaincre.
Cette stratégie s’appuie
même sur deux versets du Coran (16-106 et 3-28), selon lesquels Dieu permet aux
croyants de faire semblant de "renier
sa Foi" ou de "s’allier à
des infidèles" pour mieux se protéger.
Une autre version,
théorisée au XIe siècle par Ibn Hazm, présente la 'Taqiya' comme un moyen de se
battre contre un pouvoir politique oppressant.
La tromperie musulmane
peut être considérée comme un moyen, qui manque, certes, de noblesse, au
service de la fin glorieuse [du glorieux objectif] que constitue l'hégémonie
islamique de la chariah, considérée comme favorable [bonne aussi bien pour les] aux musulmans et aux non-musulmans. En
ce sens, mentir au service de « l'altruisme » est autorisé.
Qualifié de "double
discours" par un critique et loué par les érudits chiites comme "le paradis des croyants", la pratique
de taqīya depuis l'époque de Mahomet a profondément marqué la politique,
la culture et la société islamiques.
Historiquement, les
premiers musulmans pratiquaient taqīya pour protéger leur nombre et leurs
intérêts, comme prétendre renoncer à leur
foi ou conclure rapidement des traités de paix avec leurs ennemis, jusqu'à ce
qu'ils aient assez de pouvoir pour les surmonter et recourir à leurs vraies
croyances et intentions.
C'est ce que vous voyez
les musulmans faire lors des conférences de presse, lors d'attaques
terroristes, quand ils prétendent dénoncer les assassins ou quand ils font ce
genre de déclaration, dans le but de tromper les mécréants :
"L'Islam signifie la paix !"
"Nous respectons les femmes."
"Le véritable Islam est tolérant."
"Nous sommes fiers d'être britanniques ...
américains ... australiens ...".
Les musulmans tenteront de
dissocier l'islam des actes terroristes afin de gagner la sympathie et
l'opinion publique, surtout dans les contrées où ils sont en infériorité
numérique par rapport aux non-musulmans. Ils disent qu'un tel acte ne
représente pas le « vrai Islam », alors qu'en réalité c'est le cas.
Les musulmans
d'aujourd'hui pourraient appliquer taqīya en se mariant un non-musulman
occidental juste pour acquérir la citoyenneté dans un pays occidental, afin
ensuite d'exploiter ses services et ses institutions.
« Chez les Chiites :
La taqiya a toujours existé dans l’Oumma
(la Communauté des musulmans), mais elle s’est d’abord surtout développée en
milieu chiite, ceci pour des raisons de nécessité, suite à la "Grande
discorde" (Fitna), qui a engendré au VIIè siècle le clivage avec l’islam
sunnite.
Depuis cette rupture, les sunnites ont
le plus souvent gouverné l’Oumma. Dans ces périodes, les chiites, minoritaires, ont recouru à la taqiya pour défendre leur
identité, souvent niée par l’autorité qui les assimilait au sunnisme, ou pour
échapper aux persécutions.
Les imams chiites ont justifié, et même
conceptualisé, cette pratique, qui a dès lors été comprise comme une obligation
de conscience, donc comme faisant partie de la religion. Tous les traités
chiites contiennent un chapitre spécial, intitulé "Livre de la
taqiya"[8].
Selon Sami Aldeeb Abou-Sahlieh,
professeur de droit islamique à l’Université de Lausanne, la tradition chiite
rapporte trois cents récits dans ce sens. En voici un aperçu :
"La dissimulation fait partie de ma
religion et de la religion de mes ancêtres" ;
"Si tu agis par dissimulation, ils ne pourront rien contre toi. La
dissimulation sera une forteresse pour toi et servira de digue entre toi et les
ennemis de Dieu qu’ils ne pourront jamais percer. Si tu dis que celui qui
abandonne la dissimulation est comme celui qui abandonne la prière, alors tu
dis la vérité" ;"La
dissimulation est le meilleur des actes du croyant parce qu’elle sert à le
sauvegarder et à sauvegarder ses frères des impies" (Cf. Le secret
entre droit et religion, 2004, diffusion Internet[9]).
Henri Lammens (1862-1937), jésuite
belge, orientaliste arabisant de renom établi au Liban, a écrit à ce sujet :
"Parmi les adversaires de ses
croyances, il [le chiite] peut parler et se conduire comme s’il était un des
leurs. En agissant de la sorte, en prêtant, s’il le faut, des faux témoignages
et des faux serments, quand l’intérêt de la communauté l’exige, ou simplement
un avantage personnel, il croit obéir à l’ordre de l’imam suprême.
Et de commenter :"Inutile de
relever les conséquences morales de cette théorie, de cette loi du secret,
laquelle entretient et légitime une perpétuelle équivoque et rend les chiites
impénétrables" (L’Islam, croyances et institutions, Imprimerie catholique,
Beyrouth, 1943, p. 190-191 ; livre réédité en France aux éditions du Trident).
Chez les Sunnites :
:"El-Chawkani dit que celui qui
devient mécréant sous la menace de mort ne commet point de péché si son cœur
est tranquille dans la foi" (S.-A. Abou-Sahlieh, op. cit.).
La taqiya a été observée légitimement
par les Morisques vivant sous un pouvoir chrétien en Andalousie. Ainsi, en
1504, le mufti Ahmed Ibn Jumaïra publia une fatoua (avis juridique) donnant des
consignes précises à ce sujet. Si les chrétiens obligeaient les musulmans à
injurier Mahomet, ils devaient le faire en pensant que cette parole était
prononcée par Satan. S’ils étaient obligés de boire du vin ou de manger du
porc, ils pouvaient le faire mais en sachant que c’était un acte impur et à condition
de le condamner mentalement ».
Source : La Taqiya ou le concept coranique qui permet aux musulmans
radicaux de dissimuler leurs véritables croyances, Annie Laurent, 19 Novembre
2015, http://www.atlantico.fr/decryptage/taqiya-ou-concept-coranique-qui-permet-aux-musulmans-radicaux-dissimuler-veritables-croyances-annie-laurent-2445946.html
J’ai interrogé différentes personnes, « amis » sur Facebook,
concernant leur avis sur la taqiya :
Sur le verset 3 :38, dont nous reparlerons plus loin, « Benjamin
Lisan tout d'abord le mot « alliés » est une mauvaise traduction il
s'agit plutôt de tuteurs. Le verset incite à ne pas abdiquer sa volonté. Pour
répondre à ta question la réponse n'est pas évidente. Faut-il jouer les héros
et mourir en martyr de sa foi ou mentir
non pas de bon cœur mais pour sauver une vie la sienne et probablement celle
d'autres personnes ? Je dirais qu'à chacun d'évaluer ce challenge suivant
les circonstances exceptionnelles auxquelles il ferait face et comme le dit le
verset Dieu vous met en garde envers Lui-même », selon Afif D.
« J'ai demandé une Sourate ou un Verset qui
dit de mentir pour sauver sa foi. […] Ceci
est la méthode des occidents pour créer des conflits un peu partout. Que
DIEU nous en préserve », Abdoul Karim.
« Ils [les musulmans] ont le droit
(et le devoir) de mentir sur beaucoup de choses, sur l'adultère, sur la haine
d'autrui ...
Ils ont le droit de refuser de discuter avec toi », Guy B., juif tunisien (parlant des
musulmans).
« Même si l'islam est la meilleure religion [au monde], à partir de moment que les musulmans l'imposent par la force, c'est
absurde de parler la religion de la paix ... », selon Baki,
répondant à ceux qui affirment que l’islam est une religion de paix.
« Très bien, mais les Frères
Musulmans vous diront qu'ils ne sont pas salafistes, alors qu'ils sont le
cheval de Troie déjà établi dans la sphère politique », de Noam M.
« Bonjour Benjamin, tous les
"non musulmans", ceux qui ne validaient pas notre doctrine étaient
des cibles "recevables". Quant à la taqiya, elle est une
nouveauté depuis les années 70 chez les sunnites. Et aucune école, des 4 écoles
du sunnisme ne la valide. Seuls les
chiites ont le droit "religieusement", dans leur dogme, de la
pratiquer, car elle leurs permettait d’échapper aux persécutions de sunnites à
leur encontre », de David V., ancien djihadiste.
« Dans le Coran, on trouve tout et son contraire, quand il traite de la
paix, de la vérité … », Hervé B. Par exemple :
« Les arabes sont les plus endurcis
des mécréants et dans leur hypocrisie, et les plus enclins à ne pas savoir les
préceptes qu’a fait descendre Allah sur son envoyé et Allah est savant sage » (Coran S9.V97).
Autre traduction : « Les
Bédouins sont plus endurcis dans leur impiété et dans leur hypocrisie, et les
plus enclins à méconnaître les préceptes qu’Allah a révélés à Son messager. Et Allah est Omniscient et Sage »
(Coran S9.V97).
Selon Afif D., « Il faut dire la vérité et ne pas la cacher.
Avec le verset, ci-après, il ne faut dire que la vérité :
« N'habillez pas la vérité avec de l'erreur. Ne cachez pas la vérité,
alors que vous savez » (Coran 2:42).
« O vous qui croyez ! Quand vous témoignez devant Dieu,
tenez-vous-en fermement à l'équité, même si le témoignage risque de se
retourner contre vous, ou contre vos pères et mères et contre vos proches ;
et peu importe que l'affaire concerne un riche ou un pauvre, car Dieu sera pour
l'un comme pour l'autre un meilleur protecteur. Ne vous laissez pas entraîner par la passion, au risque d'être
injustes ; mais si vous atermoyez, ou si vous vous abstenez de témoigner,
sachez que Dieu est bien informé de ce que vous faites » (Coran 4:135).
Ce verset vous oblige même à témoigner contre vous-mêmes, ce que le 5ème
amendement épargne aux américains ! ».
Note : dans cette phrase « Ne cachez pas la vérité », du verset
2 :42, il faut encore savoir ce que l’on entend par Vérité.
« Pour avoir vécu en milieu de tradition
catholique et aussi en milieu familial musulman, je trouve abusif d'établir un
parallèle entre catholicisme contemporain et islam contemporain. Le premier est
une religion qui certes s'empresserait de gagner en pouvoir si la Laïcité
venait à baisser la garde, le second est
une idéologie totalitaire qui apprend même à ses adeptes à faire croire aux
ennemis qu'ils sont leurs semblables ...Autant de signes de perversité
indiscernables pour l'observateur extérieur. Sachons que la ruse par phagocytage est une vertu dans ce programme-là.
Ce ne sont pas ses qualités spirituelles ou philosophiques qui confèrent à
cette religion une force quelconque, c'est sa capacité à tromper et à se
travestir comme un caméléon », Eve L.
« Quand tu interroges un musulman sur ce qu'il
pense de la taqya, le plus souvent, il élude, sans jamais vraiment te répondre.
Néanmoins il faut rester vigilant, afin
d'éviter de mettre, sur la taqya, des comportements pathologiques ou simplement
crapuleux », Patrick F.
« [avec]
La taqiya, est-ce qu’on n’est pas en
train de glisser sur un terrain où la
méfiance est de mise face à tout musulman et peu importe qu’il soit pratiquant,
athée, agnostique ou autre. J’ai peur ! », Abderrahim B.
« Il ne faut pas attendre de la loyauté et du respect de la parole donnée
de la part des islamistes », Bernard (un ami).
Selon un ami libertaire Jean-Jacques, qui gère un groupe libertaire
anarchiste : « certains ont pu découvrir l'existence d'une page/groupe intitulée "libertaires contre l'islamophobie"[10].
Ce groupe n'a évidemment rien de libertaire, se faisant le relais de la
propagande turque, soutenant la revendication du voile islamique et, désormais,
soutenant des réunions publiques ou interviennent des négationnistes du
génocide arménien. [Certains] avancent souvent masquées, quitte à reprendre nos
sigles ou dénominations ». Mais la
présentation mensongère de ce groupe peut-il être mis sur le compte de la Taqiya ?
Un ami pro-israélien, Vincent, prétend que le Hamas
est coutumier de la tromperie. Pour lui quand « les militants du Hamas affirment avoir organisé une « Marche du Retour
» pacifique, ils mentent, car ils ont aussi manifesté près de la barrière de
séparation Gaza-Israël, lancé des pierres et des bombes incendiaires, brûlé des
pneus et tenté de s'infiltrer en Israël afin d'assassiner des Juifs, en criant
"Tuez les juifs", "Assassinez les juifs",
"égorgez-les" et "Takbir" »[11].
Je lui laisse l’entière responsabilité de ses
propos. Nous avons peut-être affaire à des ruses de guerre.
On constate que sur la question de la
taqiya, l’on trouve énormément d’avis souvent contradictoires.
Pour les uns, en Islam, il faut toujours
dire, la vérité. Pour d’autre, la dissimulation et la tromperie sont autorisés
a) pour sauver sa vie, b) comme ruse de guerre, dans l’accomplissement du
djihad.
Certains Musulmans, au lieu de répondre
objectivement aux critiques que vous portez contre leur religion ou sur
l’attitude de certains musulmans, cherchent alors, en retour à vos critiques, à
vous aiguillez sur un autre sujet sensible, et à vous attaquer, le plus souvent
agressivement, sur ce nouveau sujet, qu’il alimentera par beaucoup
d’allégations difficiles à prouver, sujet qu’il suppose sensible pour vous, et
qui pourra vous mettre en difficulté (je dirais même que c’est assez fréquent).
Une façon d’éviter d’être lui-même en difficulté.
Cette technique est très efficace et
« piégeante », car elle vous conduit à discuter sur un sujet nouveau,
que votre contradicteur lui connaît bien, via une rhétorique bien rôdée,
surtout elle vous fait abandonner le sujet sensible de départ, sur lequel votre
contradicteur ne voulait pas discuter (car sentant qu’il n’aurait pas le
dessus).
Le but de cette tactique n’est pas
d’être nécessairement honnête … mais surtout d’avoir le dessus face à son
adversaire.
En voici quelques exemples :
Voici une réponse type, quand j’aborde
certains massacres liés à l’islam ou les peines de morts contre les athées et
apostats :
« On sait très bien que c'est à cause de L'islam que les civilisations
amérindiennes ont disparu ... que des millions d'indiens d'Amérique ont été
exterminés … que des millions d'africains ont été esclavagisé … que 90% du monde fut colonisé à l'aube du 20e
siècle ... qu'il ait eu 2 guerres mondiales … la guerre froide … la guerre
du Viet Nam ... l'invasion de l'Irak et sa destruction ... etc. etc. ... oui
oui l'islam a bon dos ...
Vous et vos semblables vous êtes un
cancer pour l'humanité[12] ».
Quand je parle de l’exode obligé des
Juifs, des pays musulmans, après 1948, et du droit à l’existence de l’état
d’Israël, voici le genre de réponse que j’obtiens (ils sont alors persuadés que
je suis juifs puisque je défends le droit à l’existence du pays haï par
eux) :
Amide : « Personne ne t'avait "chassé" de ton chez toi, ni entré
en guerre contre toi, sinon comment expliques-tu que des juifs algériens sont restés en Algérie et d'autres vont et
viennent, libres et s'enorgueillissent même d'être Algérien quand d'autres de
préfèrent afficher leur arrogance sioniste, pour mieux séparer les frères
algériens que sont les juifs et les musulmans ! Ceux et celles qui avaient fuient l'Algérie de
deux choses l'une : ou bien c'étaient
des agents sionistes qui ont participé au génocide algérien, aux côtés de
l'armée française, ou bien leurs amis (suivez mon regard) les avaient
convaincus et obligé de quitter l'Algérie de peur d'un "massacre" supposé ! Erreur fatale : on attend voir toujours ce
"massacre" comme une comédie ! ».
Mahi : « Je crois que vous oubliez ce que vous voulez oublier. En dépit des
dispositions du décret Crémieux, les
juifs d'Algérie ont été, pendant la deuxième guerre mondiale, persécutés par
les français d'Algérie qui étaient en grande majorité pétainistes. Et qui a
protégé les juifs algériens ? Albert Afflelou le boulanger de Mascara, aurait
pu avec beaucoup d'autres répondre à votre question. A cette époque le statut
réserve aux juifs était pire que celui réservé aux musulmans ... C'est dire ! Pour
ce qui est de l'exode des algériens de
confession juive, il a été la conséquence de la peur qui a été engendrée par
l'assassinat, dans des conditions atroces, sur la place d'armes, à Oran de
petits cireurs de chaussures, égorgés par des gens, qui allaient, après leur
forfait, se réfugier dans le marché des juifs tout proche. Cela s'est passé
immédiatement après la signature des accords d'Evian et jusqu'à fin juin, la politique de la terre brûlée vous en
avez entendu parler non ? La
collusion entre ces assassins sionistes et l'OAS a depuis été prouvée ».
Réponse d’un Algérien (qui me croit
juif) face à l’accusation que j’ai portée sur les liens entre islam et
terroristes islamistes :
Nadir : « Benjamin Lisan vous devriez vous renseignez sur la montée de l’antisémitisme
dans les pays arabes et le rôle qu’a joué Israël, pour que les juifs, des pays
musulmans, viennent coloniser la Palestine, car sans colons pas d’Israël. Par
exemple pour l’Algérie de nombreux juifs étaient pour l’Algérie françaises et n’appréciaient
pas les désirs d’indépendance de l’Algérie. Israël a favorisé cette séparation
entre juif et musulmans dans les pays musulmans vous devriez le savoir. N’oubliez pas que l’Algérie a rendu un
hommage national à Roger Hanin, un juif qui se sentait avant tout algérien
!!
Quant à vos allusions sur les massacres
attentats ou détournements, vous avez décidément la mémoire sélective, n'oubliez pas ce qu'ont fait les juifs pour
s'accaparer la Palestine : de nombreux massacres, attentats meurtres, l'Irgoun,
la Hagannah, le Mossad ont commis des massacres horribles sur les palestiniens,
les libanais, les anglais etc. ou donc votre propagande est vite
démontable. Ces massacres, la nakba,
les guerres contre Israël, ont favorisés cette séparation entre juif et
musulman. C'est certes dommage, mais comment voulez-vous être aimé, après ce
que vous avez fait et continuer à faire aux palestiniens ? N’oubliez pas que les juifs algériens
tunisiens marocains iraniens turcs etc. qui se sentent avant tout Algériens, Tunisiens,
Marocains etc. et qui ont combattu pour l’indépendance de leur pays respectifs
sont nos frères et sont considérés comme tels par la majorité des musulmans, Vous avez peut-être fait du mal aux
musulmans en Algérie, c’est sûrement pour cela que vous avez dû fuir !!!! ».
Nadir : « Et le rôle d’Israël dans tout cela ? Il fallait favoriser l’immigration
des juifs vers la Palestine, l’antisémitisme
est un outil formidable pour cela !!! Renseignez-vous donc sur les mauvaises
intentions de votre pseudo état !! ».
Assen : « Dénoncer ceux qui ont le plus protégé les juifs, au mieux, c’est de l’amnésie
et par conséquent ça se soigne, au pire, c’est de l’ingratitude, ce qui
signifie qu’il n’existe aucun remède aux choses. Réfléchis .... Pour l’Algérie, le décret Crémieux vous a
donné le choix, soit d’être algérien, soit français, vous avez choisi ...
sachant que ces mêmes français vous ont dénoncé. Vous avez été spolié et massacré uniquement par des pays occidentaux. Mais
vous préférez attaquer les musulmans, à défaut de vous en prendre aux
véritables coupables … C’est le calcul qui vous guide, mais certainement
pas les malheureuses victimes juives ... ».
Concernant l’exode obligatoire des juifs
algérien, avec l’abandon de tous leurs biens :
Ouafia : « Benjamin Lisan, les juifs n’ont été spolié de rien, puisqu’ils avaient spolié aux musulmans,
ce que les musulmans leur ont spoliés ensuite. Ce n’est que justice rendu !!! ».
Sans cesse, depuis des années, lorsque
je discute avec des musulmans, je suis sans cesse confronté à ces raisonnements
plein de sophismes et de biais cognitifs (que j’appelle pour résumer des
raisonnements à la « mords-moi-le ».
Chez la plupart d’entre eux, il y a un
total déni sur le sort et le statu de dhimmis qu’ont réservé les musulmans aux
juifs, en terre d’islam, au cours des siècles.
Raisonnements auxquels j’ai été obligé
d’apporter la réponse suivante :
« 1) Vous oubliez la politique de terreur "la valise et le
cercueil" appliquée, par le FLN (et l'ALN) à tous les juifs algériens (du
fait qu'ils étaient français, du fait du décret Crémieux, et donc considérés
traitres).
Le massacre d'Oran ou massacre du 5 juillet 1962, se déroule à Oran, en
Algérie, le 5 juillet 1962, trois mois et demi après le cessez-le-feu de la
guerre d'Algérie, deux jours après la reconnaissance officielle de
l’indépendance, quelques heures avant sa proclamation.
Il est le fait d’éléments armés algériens (ALN en violation des accords
d'Évian, ATO1 et civils) à l’encontre de civils pieds noirs juifs et chrétiens
français (700 morts et disparus) et de musulmans (bilan inconnu). 1 000 à 3 000
disparus.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Massacre_d'Oran
Cheikh Raymond, né Raymond Raoul Leyris, un chanteur et oudiste français
d'Algérie, est mort assassiné le 22 juin 1961 à Constantine. Sa mort est perçue
comme un avertissement pour la communauté juive constantinoise et marque le
début de son émigration. L'assassinat n'a jamais été revendiqué et aucun
témoignage direct ou indirect ne l'a expliqué. Selon Bertrand Dicale, biographe
de Cheikh Raymond, seule l'ouverture des archives du FLN pourrait l'élucider.
Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/Cheikh_Raymond
2) Vous niez l'antériorité de l'antisémitisme musulman, au conflit
israélo-palestinien, qui est très ancien (traiter un algérien de
"Yahoub" est pourtant une insulte très ancienne).
1935 : pogroms en Algérie
1934 : pogrom de Constantine (Algérie) ; pillage et 28 morts, sous
l’indifférence de la Police et l’Armée française.
1806 : les janissaires du Dey d’Alger massacrent et pillent dans le
quartier juif
1805 : pogrom contre les juifs d’Alger après une famine
1805 : exil des juifs d’Alger vers Tunis et Livourne
Sources : a) Une longue liste de pogroms anti-chrétiens ou anti-juifs en
terre d’islam…, 21 Mai 2015, http://www.europe-israel.org/2015/05/une-longue-liste-de-pogroms-anti-chretien-ou-anti-juif-en-terre-dislam/
b) La condition juive sous l’islam au Maghreb, 1148-1912, Michel Alba, https://blogs.mediapart.fr/michel-alba/blog/080311/la-condition-juive-sous-lislam-au-maghreb-1148-1912
c) Pogrom anti-chrétien ou anti-juif en terre d’Islam?, Gérard Darmon, 09
Sep 2011, http://www.europe-israel.org/2011/09/pogrom-anti-chretien-ou-anti-juif-en-terre-d%E2%80%99islam-par-gerard-darmon/
d) Chapitre "44.2 Exemples de Pogroms anti-chrétiens ou anti-juifs en
terre d’Islam, de 1992 à 624", L'antisémitisme musulmam, http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/antisemitisme-musulman.htm ».
Ou bien, ils utilisent des arguments
fallacieux, remplis de sophismes, comme dans les exemples ci-après :
Faïza : « Donc ce matin nous avons un ancien secrétaire d'Etat et ex-sénateur en
GAV, après avoir insulté des policiers et dit « nous ne sommes pas au Maghreb »
ou encore « je vais te renvoyer en Afrique », mais certains continuent de nier l'existence d'un racisme d'Etat. »
Ce à quoi Youkounkoun lui a fait cette
réponse : « Si Vincent P. me
traite de sale pédé, c'est une insulte homophobe, mais en rien de l'homophobie
d'état. Vous voyez, c'est pourtant simple. On va finir par croire que vous êtes
de mauvaise foi, et que vous n'existez que pour vous nourrir de rancœurs. Autres
exemples : Le racisme d'un boulanger n'accrédite pas la notion de racisme
boulanger. Pas plus que le racisme d'un agriculteur ne souligne le racisme
agricole. Je vous fais tous les métiers ou bien, à défaut d'avoir pigé, vous
avez fini par comprendre que vous êtes ridicule ? ».
Autre exemple :
Aglid : « Moi j'ai aucune haine du juif, pour la simple bonne raison, ils restent
entre eux, ils ne nous font pas chier
avec la mixité » [Le respect de la mixité, le refus du rejet de
l’autre, pour sa religion, sa culture, sa race, sa nationalité, est un principe
de base de la laïcité française. La lutte antiraciste, contre toute forme de
discrimination, est l’idéal des Droits de l’homme. Elle correspond aux idéaux
et à la lutte pour les droits civiques du Pasteur Martin Luther King].
Une proportion non négligeable de
personnes, vivants en terre d’islam, ont recours à la « rhétorique de la
propagande », qui fournit une vision fantasmée des faits historique, par
exemple dans le cadre du conflit israélo-palestinien, sans aucune préoccupation
pour la vérité historique et scientifique.
Le journaliste de l’AFP écrivait dans un
tweet : « Clément Weill-Raynal
@CWeillRaynal Un confrère chevronné de l'AFP m'a confié que le bureau de Gaza est considéré comme un
repère de militants par la direction de l'agence. Mais pour des raisons
politiques, on fait comme si de rien n'était, on diffuse les infos
frelatées du bureau de Gaza y compris les fakes[13] ».
(Fakes que les Israéliens surnomment
« Pallywood »).
Ces apologistes aiment les romans
nationaux historiques fantasmés. Par exemple, on entend régulièrement, que la
guerre d’Algérie aurait causé 1,5 à 2 millions de morts du côté Algériens
(musulmans), sans aucune préoccupation de la vérité historique alors que ce
nombre peut être estimé entre 350.000 et 500.000 morts algériens (ce qui est
énorme).
Voir mon document, qui en donne des exemples :
« Mensonge et propagande en Islam et terre d’islam », http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/mensonges-et-propagande.htm
Le problème est la difficulté de
l’autocritique de cette attitude et de ces romans nationaux fantasmés.
Nous retrouvons aussi le même problème
avec les allégations sur les « miracles scientifiques du Coran »,
qui utilisent des raisonnements remplis d’approximations, de sophismes, de
biais cognitifs, ne respectant pas du tout les règles de la démarche et de la
méthode scientifique. Déjà pour ces apologistes, l’oxymore « miracles
scientifiques du Coran » ne leur saute pas aux yeux (entre
« miracle » et « scientifique »).
Mahomet a commis beaucoup d’erreurs
scientifiques, comme dans ce verset « Le sperme apparaît entre la colonne
vertébrale et les côtes » (Coran, verset 86:7)[14].
Ce qui prouve que Mahomet pouvait se tromper, qu’il ne recevait donc pas la
parole divine (car celle-ci est supposée vraie en tout temps).
Or on y découvre une volonté apologique
de dissimuler ces erreurs, de gommer cette réalité ou de proposer une réalité
fantasmée …
Note : Voir la liste des erreurs
scientifiques dans le Coran et dans les allégations sur les « miracles
scientifiques du Coran », dans mon document : « Pseudosciences
islamiques : miracles scientifiques du Coran,
concordisme islamique, terre plate … », http://benjamin.lisan.free.fr/jardin.secret/EcritsPolitiquesetPhilosophiques/SurIslam/pseudosciences_islamiques.htm
Comment expliquer cette attitude
« fanatique » ?
Est-ce liée à une ignorance dramatique
de la connaissance et de la démarche scientifique moderne ? Ou à une vraie
volonté de dissimulation, pour sauver à tout prix l’image d’un prophète Mahomet
parfait (le meilleur des modèle) et donc sa religion ? Ou les deux ?
Cette volonté désespérée (folle) de
faire concorder les derniers résultats de la science moderne avec les textes
sacrés de l’islam (qui est une imposture scientifique), ce refus de la démarche
scientifique peuvent alors expliquer les raisons du retard scientifique et du
retard de la recherche scientifique en terre d’islam.
« Les superstitions et les méthodes d’apprentissage du Coran pèsent
lourdement sur le retard scientifique des sociétés musulmanes ».
Pervez Hoodbhoy, physicien pakistanais, « La
science refuse obstinément de prendre racine dans les pays musulmans. ».
« Pour 14 millions de personnes
dans le monde, 180 prix Nobel ont été attribués à des savants juifs. De l’autre
côté, le milliard et demi de musulmans n’a obtenu que trois prix Nobel, dont un
de la paix. Les deux autres, en
chimie et en physique, l’ont été par des scientifiques ayant étudié et exercé
exclusivement dans des pays anglo-saxons. « Le monde islamique n’a fourni
aucune invention depuis le 12ème siècle » ».
Source : Le retard de la science en pays d’islam
selon un physicien pakistanais, 14/08/2017, http://boulevarddelislamisme.blog.tdg.ch/archive/2017/08/14/un-physicien-pakistanais-analyse-le-retard-de-la-science-en-285652.html
David Duquesne écrivait le 7 avril 2017,
dans le figaro Vox : « Le plus
grand des services que rend cette intelligentsia au totalitarisme
[intellectuel] islamique est de maquiller le réel et de pratiquer le terrorisme
intellectuel vis à vis de ceux qui osent dénoncer les nouveaux collabos. […].
Pendant que certains tuent, d'autres bâillonnent tout en faisant la
promotion d'une territorialité islamique légitime sur notre sol en balayant
d'un revers de la main de touche pas à mon pote, les questions cruciales de
liberté de conscience, d'égalité hommes femmes et de rapport à l'altérité dans
l'islam ».
Source : De Touche pas à mon pote à Touche pas à mon poste: l'héritage de la
génération Mitterrand, David Duquesne, 11/11/2017, http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2017/11/09/31003-20171109ARTFIG00326-de-touche-pas-a-mon-pote-a-touche-pas-a-mon-poste-l-heritage-de-la-generation-mitterrand.php
Même si l’on est honnête et que l’on
pense dire la vérité, d’une façon utile et positive, il faut ne pas toujours
présenter crûment les faits, afin de pouvoir passer sous les radars des
censeurs islamistes sur les réseaux sociaux (Facebook …), pour ne pas vous
faire accuser d’essentialiser les musulmans.
Vous devez plutôt, par exemple,
écrire :
« Ce que je ne supporte pas est le mensonge et une partie (non négligeable) des musulmans ont souvent une très grande
facilité à recourir au mensonge pour soutenir leur cause, la fin justifiant les
moyens. Et cette dimension tromperie (Taqiya légitime pour des buts de
guerres) que les occidentaux ne perçoivent pas ».
Vous ne devez pas dire la
« majorité des musulmans » ou « les musulmans », pour
éviter, par exemple, ce genre de message désagréable de la part de Facebook,
éviter de vous faire déconnecter ou bloquer par Facebook :
« Il semblerait que du contenu que vous avez publié ne respecte pas nos
standards de la communauté. Nous supprimons les publications qui ciblent des
personnes à cause de leur groupe ethnique, origine nationale, affiliation
religieuse, orientation sexuelle, sexe ou infirmité.
Consultez les standards de la communauté
Nous comprenons que vous n'étiez peut-être pas au courant de l'existence de
nos standards. Aussi, nous vous invitons à découvrir la façon dont nous
réagissons à ces types d'attaques. Si vous voyez du contenu sur Facebook qui,
selon vous, est contraire à ce qui précède ou à l'un de nos autres standards,
vous pouvez nous le signaler.
Nous vous remercions pour votre compréhension et pour votre aide afin de
faire de Facebook un environnement sûr et accueillant.
Apprenez à supprimer un élément de votre journal. ».
« Il est
licite de rompre l’intention d’un serment dans la mesure que n’est pas rompue
la lettre du serment » (« La dépendance
du voyageur », Umdat al-Salik, sections o19.1 et o19.5)[15].
« Taqiyya
est d'une importance fondamentale dans l'Islam. Pratiquement chaque secte
islamique l'accepte et la pratique ... Nous pouvons aller jusqu'à dire que
la pratique de la taqiyya est courante dans l'islam, et que ces quelques sectes
qui ne la pratiquent pas s'écartent du courant dominant ... Taqiyya est très répandue
dans la politique islamique, surtout à l'époque moderne »[16].
On a le droit de mentir sur sa foi, pour sauver sa vie :
« La validité du recours à la taqiya a été confirmée et
précisée par les oulémas (docteurs de la Loi) dès les débuts de l’islam, notamment
par Tabarî (m. 923).
Il en résulte qu’un
musulman peut abjurer extérieurement ses
croyances, professer publiquement une autre religion, accepter d’être réputé
non-musulman ou renoncer aux exigences cultuelles et législatives conformes à
l’islam, tout cela s’il se trouve dans des conditions qu’il estime être de
contrainte justifiant une telle attitude. »[17].
A noter, que c’est
une position opposée à la parole de Jésus-Christ dans l’Evangile : "Qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui
perdra sa vie à cause de moi et de l’Evangile la sauvera" (Mc 8, 35).
Certains musulmans
affirment que le christianisme et l’islam sont très proches. Et que la notion
« d’amour » dans le christianisme se retrouve dans le terme
« miséricorde » dans l’islam. Or ce terme de miséricorde a une
signification différente de celle du christianisme. Elle doit être plutôt
perçue comme le résultat de la toute-puissance de Dieu (d’Allah).
Allah peut être
arbitraire : « Allah égare qui
il veut et guide qui il veut » (35 8). Il n’a rien à voir avec le Dieu
d’amour et de compassion des chrétiens. Vous ne trouvez dans le Coran, aucune
utilisation du mot amour ou compassion, telle qu’ils sont employés dans le
christianisme. Il y a 10 occurrences du mot amour, mais aucune avec la
signification du mot amour comme dans le christianisme[18], beaucoup moins que dans
le Nouveau testament (110 fois)[19]. Mahomet affirme juste (11:90)
que Allah est Miséricordieux et plein
d'amour, mais rien d’autre qui le confirme dans ses agissements concret.
Rien de vraiment compassionnel, qui normalement conduit à la non-violence et à
l’abnégation absolues. Quant au mot
« compassion », il est totalement inconnu du Coran.
"Et implorez le pardon de votre Seigneur et
repentez-vous à Lui. Mon Seigneur est vraiment Miséricordieux et plein d'amour”,
Sourate 11:90.
"A ceux qui croient et font de bonnes œuvres,
le Tout Miséricordieux accordera Son amour", Sourate 19:96.
Pourtant, la plupart
des Occidentaux, surtout ceux qui défendent le multiculturalisme et le respect
des coutumes et mœurs des musulmans, continuent de croire que les mœurs, les
lois et les contraintes éthiques musulmanes sont à peu près identiques à celles
de la tradition judéo-chrétienne. Or les enseignements propres à l'islam sont
en opposition totale avec les normes et valeurs occidentales (par exemple,
l’islam autorise la violence _ les meurtres, les punitions corporelles … _,
l’esclavage …).
Mahomet — qui constitue
[pour le musulman] l'exemple de l'être humain parfait, dont la conduite doit
être imitée dans les moindres détails — avait une conception pragmatique du
mensonge. Il est notamment bien connu qu'il permettait de mentir dans trois
situations : pour réconcilier entre deux parties, ou plus, qui sont en conflit,
pour calmer sa femme, et à la guerre[20]. Selon un manuel de droit
arabe consacré au djihad tel qu'il est défini par les quatre écoles du droit
islamique,
« Les ulémas [savants] considèrent que la tromperie en temps de guerre est légitime
(…) la tromperie est une forme de l'art
de la guerre »[21].
De plus, selon
Mukaram, cette tromperie est classée comme taqiyya :
« La
taqiyya servant à duper l'ennemi est permise »[22].
Plusieurs ulémas
estiment que la tromperie fait partie intégrante de l'art de la guerre. Ibn
al-'Arabi déclare, par exemple :
« Dans les hadiths [citations et actions de
Mahomet], le mensonge en temps de guerre
est bien attesté. En fait, le mensonge est davantage souligné que l'obligation
de courage ».
Ibn al-Munir (mort en
1333) écrit :
« La
guerre est tromperie, la guerre la plus parfaite qu'un saint
guerrier puisse faire est une guerre de tromperie et non de confrontation,
car la confrontation comporte des risques, tandis que l'on peut obtenir la victoire par traîtrise et sans risque pour soi ».
Quant à Ibn Hajar
(mort en 1448), il conseille aux musulmans d'adopter :
« Une attitude très prudente dans la guerre,
tout en se lamentant [publiquement] et en
portant le deuil de manière à tromper les infidèles »[23].
Cette conception
musulmane de la guerre comme tromperie renvoie à la bataille du Fossé (627),
qui opposa Mahomet et ses disciples à plusieurs tribus non musulmanes, connues
sous le nom de Al-Ahzab. Parmi ces derniers, Na'im ibn Mas'ud se rendit dans le
camp musulman et se convertit à l'islam. Quand Mahomet s'aperçut que les Ahzab
n'étaient pas au courant de la conversion de Mas'ud, il lui conseilla de
retourner auprès d'eux et de les décider à lever le siège. C'est à cette occasion
que Mahomet est censé avoir émis l'adage célèbre, « car la guerre est tromperie
». Mas'ud retourna auprès des Ahzab sans qu'ils sachent qu'il avait changé de
camp et, de son côté, il donna des informations fausses à ses
anciens amis et alliés. Il s'efforça également de générer des querelles
entre les différentes tribus jusqu'à ce que, pleines de méfiance les unes
envers les autres, elles finissent par se séparer et lever le siège, sauvant
ainsi les musulmans de la destruction dans cette période encore embryonnaire
[de l'islam][24].
Plus récemment, des
complices de l'attentat du 11-Septembre, tel Khalid Sheikh Muhammad, ont
invoqué, dans leur défense, comme raison de leur rôle dans la conspiration,
l'argument du prophète selon lequel « la
guerre est tromperie ».
On trouve une autre
expression encore plus puissante de la légitimité qu'il y a à tromper des
infidèles, dans l'anecdote suivante. Un poète, Ka'b ibn Ashraf, avait offensé
Mahomet, lequel s'était exclamé « Qui
tuera cet homme qui a blessé Allah et son prophète ? ». Un jeune musulman
nommé Muhammad ibn Maslama s'était porté volontaire, à condition que pour
s'approcher de Ka'b afin de l'assassiner, il ait la permission de lui mentir.
Mahomet lui donna son accord. Ibn Maslama alla voir Ka'b et commença à dire du
mal de l'islam et de Mahomet. Il continua ainsi jusqu'à ce que ses paroles
soient assez convaincantes pour que Ka'b se fie à lui. Ibn Maslama ne tarda pas
alors à se présenter avec un autre musulman et à tuer Ka'b qui ne se méfiait
plus[25].
Mahomet a pris
d'autres positions qui font de la tromperie une action positive, comme
lorsqu'il dit :
« Allah
m'a commandé de parler de façon équivoque parmi les peuples, au même titre qu'il m'a commandé d'édicter des
obligations [religieuses] » ;
Ou encore : « J'ai
été envoyé dans des conditions impénétrables »,
Et « celui
qui vit dans la dissimulation meurt en martyr »[26].
Bref, les premières
sources historiques de l'islam attestent clairement de l'importance suprême de
la taqiyya comme d'une forme islamique de guerre. De plus, les premiers
musulmans sont souvent décrits comme capables de se sortir de situations
difficiles grâce au mensonge, notamment en reniant ou en insultant l'islam et
Mahomet avec l'approbation de ce dernier - son seul critère étant que leurs
intentions (niya) soient pures[27]. Au cours des guerres
contre les chrétiens, à chaque fois que les chrétiens avaient le pouvoir, la
pratique de la taqiyya devint même plus totale. Ainsi que l'affirme Mukaram :
« La taqiyya était utilisée comme un moyen,
pour les musulmans, de repousser le danger, en particulier aux moments
critiques où leurs frontières étaient l'objet de guerre avec les Byzantins, et,
plus tard, l'objet des raids [croisades] des Francs et des autres »[28].
La tromperie est également permise dans la guerre, mais ce sont des choses qu'on étudie
habituellement seulement dans le Fiqh du
Jihad qui est un sujet entier en soi. L'Islam
permet la guerre et la tromperie est une partie essentielle de la guerre[29].
Les djihadistes ont un
discours de légitimation théologique qui justifie cette dissimulation.
Dans tous les cas, la
taqiya _ l'art de la dissimulation _ est prônée par l'Etat islamique.
Ils appliquent la
recommandation de Sun Tzu[30]
"Tout l'art de la guerre est basé
sur la duperie.".
La "taqiya", dans le langage de
certains spécialistes du terrorisme, désigne "l'art de dissimuler sa véritable pensée pour arriver à la victoire",
expliquait à TF1 François-Bernard Huyghe, chercheur à l'Institut des relations
internationales et stratégiques (Iris), au printemps 2015.
Selon Marc Trevidic, la
sphère djihadiste s’est formée à cet "art" dès les années 90,
lorsqu’Al-Qaida a commencé à initier ses troupes.
Ils pourraient ouvertement
professer le patriotisme dans leur pays d'adoption tout en encourageant
secrètement le djihadisme et en fournissant des ressources à des groupes
terroristes militants Al-Qaïda ou l'État islamique (DAESH).
« Sur Internet, l'organisation terroriste,
DAESH, a par exemple mis en ligne un fichier intitulé ‘Comment survivre en
Occident ?' destiné à ses sympathisants installés en Occident. Ce guide du
parfait petit djihadiste donne notamment à ces derniers des stratégies pour les aider à se dissimuler" »,
selon François-Bernard Huygh, chercheur à l’Iris.
"l'Egyptien Mohammed Atta", explique le Nouvel Obs. "Celui qui deviendra le coordinateur de
l'attentat contre les tours du World Trade Center se rase la barbe et proscrit
tous propos radicaux après avoir suivi sa formation dans les camps d'Oussama
Ben Laden fin 1999. Même repéré de longue date par la CIA, il parviendra à
tromper son monde jusqu'au 11 septembre 2001".
Le tueur de Nice, dont
personne n’avait vu la radicalisation, buvait de l’alcool, mangeait du porc,
avait une vie sexuelle débridée, prenait de la drogue…, alors même qu’il
préparait l’attentat depuis un an.
« Ce n'est pas l'argent le nerf de la guerre,
c'est la ruse ! », aurait
déclaré Mohamed Merah, le tueur de Toulouse et Montauban, le 22 mars 2012,
avant d’être abattu par le Raid qui donnait l’assaut de son appartement.
Le terroriste, trois ans
avant ses crimes, avait cessé de fréquenter la mosquée Bellefontaine du Mirail.
Il sortait en boite, commettait des petits délits. "C'est ce profil de jeune adulte déstructuré qui a induit en erreur la
Direction centrale du Renseignement intérieur (DCRI) et l'a incitée à lever la
surveillance", raconte le Nouvel Obs, dans une enquête de 2013.
A chaque attentat, c'est
toujours le même refrain « ce jeune
était gentil, serviable ou bien il fumait du shit, personne ne l'a jamais vus
faire une prière, il buvait de l'alcool, il était sapé pour draguer en boîte de
nuit ».
"Si on n'a pas ça en tête, on leur donnerait le bon Dieu sans confession",
alertait, jeudi sur Europe 1, Olivier Falorni, secrétaire de la Commission
d'enquête parlementaire sur les moyens mis en œuvre par l'État pour lutter
contre le terrorisme.
Selon le Figaro ce
mercredi soir, un rapport du député UMP Guillaume Larrivé intitulé : « Pour
un plan d’action anti-radicalisation islamiste en prison », pointe les
dangers de l’islamisme propagé dans les prisons aujourd’hui. Guillaume Larrivé
rappelle que, dans les prisons aujourd’hui, les « signes extérieurs de radicalisation ont presque totalement disparu,
laissant la place à une radicalisation et à un prosélytisme, beaucoup plus
discret, et, partant, plus difficiles à repérer. ». Il ajoute : « Cette stratégie de dissimulation ou de
camouflage est théorisée par certains radicaux sous le nom de Taqyia. ».
[…] « La Taqiya, la dissimulation
islamiste, fait des ravages dans les prisons françaises ».
Note : Mentir en général, ainsi que dans des
situations spécifiques telles que les transactions commerciales est condamné
dans divers hadiths. Cependant, il y a
quelques situations dans la littérature de hadith dans lesquelles Muhammad
approuve la tromperie, telle que tromper l'adversaire dans la guerre, pour
faciliter le meurtre d'un de ses ennemis, quand il est préférable de casser un
serment que de le garder, ou pour obtenir une réconciliation entre les parties.
Que l'islam légitime la
tromperie dans le cadre de la guerre n'a, bien sûr, rien d'étonnant. Après
tout, comme l'a formulé un auteur élizabéthain, John Lyly, « tout est bon, en amour comme à la guerre
»[31].
D'autres philosophes ou stratèges non musulmans, comme Sun Tzu, Machiavel et
Thomas Hobbes, ont justifié la tromperie dans la guerre. Tromper l'ennemi dans
le cadre de la guerre relève du bon sens. La différence cruciale avec l'islam,
c'est que la guerre contre l'infidèle est considérée comme permanente, et dure,
selon le Coran, jusqu'à ce que « cesse
tout chaos et que toutes les religions appartiennent à Allah » (Coran
8:39). Dans son article sur le djihad de l'Encyclopaedia of Islam, Emile Tyan
remarque :
« le devoir de jihad existe aussi longtemps que la domination universelle
de l'islam n'a pas été atteinte. La paix
avec les nations non musulmanes n'est donc que provisoire, et seul le
hasard des circonstances peut la justifier de manière provisoire »[32].
De plus, et pour en
revenir à la doctrine de l'abrogation, des érudits musulmans comme Ibn Salama
(mort en 1020) s'accordent pour dire que le verset 9:5 du Coran, connu sous le
nom de ayat as-sayf, ou verset du sabre, abroge environ 124 des versets
mecquois plus pacifistes, car cela inclut « tous
les versets coraniques qui prêchent autre chose qu'une offensive totale contre
les non-croyants »[33].
En fait, les quatre écoles de la jurisprudence sunnite sont d'accord pour dire
que :
« Le djihad consiste à faire la guerre aux infidèles qui, après qu'on
leur ait enjoint d'embrasser l'islam, ou au moins de payer une [jizya] et de
vivre soumis, ont refusé de le faire »[34].
Le caractère obligatoire
du djihad est clairement exprimé par la vision du monde dichotomique qui oppose
le « royaume de l'islam » au « royaume de la guerre ». Le premier
s'appelle, dar al-Islam, ou « règne de la soumission », et représente
le monde où domine la chariah. Le second, dar
al-Harb, ou règne de la guerre, représente le monde non-islamique. Le
combat se perpétue jusqu'à ce que le règne de l'islam engloutisse le monde
non-islamique. Cet état de fait est celui qui existe encore aujourd'hui. Le
très célèbre historien et philosophe musulman, Ibn Khaldun, (mort en 1406)
formule clairement cette opposition :
« Dans la communauté musulmane, le
djihad est un devoir religieux en raison de l'universalisme de la mission
musulmane et de l'obligation de convertir tout le monde à l'islam par la
persuasion ou par la force. Les
autres groupes religieux n'avaient pas une mission universelle et le djihad
n'était pas un devoir religieux pour eux, excepté pour des raisons défensives.
Mais l'islam est obligé de conquérir le pouvoir contre les autres nations »[35].
Enfin, indépendamment de
tous les faits avérés, il est bon de noter _ à moins qu'on puisse encore
trouver déraisonnable qu'une foi ayant un milliard d'adeptes oblige à
déclencher en son nom des guerres sans raison _ que l'expansionnisme djihadiste est considéré comme un acte altruiste,
un peu à la manière de l'idéologie du « fardeau
de l'homme blanc » au XIXe siècle. Selon cette logique, que le monde vive
en démocratie sous le socialisme, le communisme ou tout autre système de
gouvernance, il vit inévitablement enchaîné dans le péché, car le bien suprême
de l'humanité réside dans l'accord avec la loi d'Allah.
Cette conception n'a en
fait rien de neuf. Peu après la mort de Mahomet, en 634, avec la déferlante de
guerriers du djihad, venue de la péninsule arabique, un commandant perse, qui
ne devait pas tarder à succomber à l'invasion, demanda aux musulmans ce qu'ils
désiraient. La réponse _ mémorable _ fut la suivante :
« Allah nous a envoyés ici afin que nous puissions libérer ceux qui le
désirent de la servitude de leurs maîtres terrestres et en faire les serviteurs
d'Allah, afin de transformer leur misère en richesse et les libérer de la
tyrannie et du chaos des [fausses] religions et leur apporter la justice de
l'islam. Il nous a envoyés pour apporter sa religion à toutes ses créatures et
leur lancer un appel pour qu'ils rejoignent l'islam. Tous ceux qui accepteront
cet appel seront saufs et nous les laisserons en paix. Mais quiconque refuse cet appel sera combattu
jusqu'à ce que nous accomplissions la promesse d'Allah »[36].
Mille quatre-cent ans plus
tard, en mars 2009, le juriste saoudien, Basem Alem, se fit l'écho de cette
conception :
« En tant que membre de la
vraie religion, j'ai davantage de droit à envahir les autres afin d'imposer un
certain mode de vie [la chariah], dont l'histoire a démontré qu'il était le meilleur
et le plus juste parmi toutes les civilisations. Tel est le véritable sens du
djihad offensif. Quand nous nous engageons dans le djihad, ce n'est pas pour
convertir les gens à l'islam, mais pour les libérer du sombre esclavage dans
lequel ils vivent » (31).
Et il va sans dire que la
taqiyya au service d'un tel altruisme est permise. Par exemple, très récemment,
après avoir raconté une histoire où un musulman force un Juif à se convertir à
l'islam en lui disant que s'il renonçait à l'islam, les musulmans le tueraient
pour apostasie, l'imam Mahmoud al-Masri a parlé d'une « magnifique tromperie »
(32). Après tout, d'un point de vue islamique, c'est le Juif qui a été le
bénéficiaire de cette tromperie puisqu'elle l'a fait entrer dans l'islam.
La nature perpétuelle du
djihad est soulignée par le fait, soutenu par les juristes, que 10 ans est la
durée maximale de paix pour les musulmans avec les infidèles. Une fois que le
traité a expiré, la situation doit être réévaluée. Ils s'appuient sur le traité
de paix d'Hudaybiya[37],
ratifié en 628 par Mahomet et ses ennemis Quraysh à la Mecque. L'exemple de
Mahomet qui brisa ce traité au bout de deux ans (en prétextant une infraction
des Quraysh) montre que la seule fonction d'une trêve est de permettre aux
musulmans s'ils sont affaiblis de gagner du temps et de se regrouper avant une
nouvelle offensive (33) :
« Par leur nature même, les traités
doivent avoir une durée temporaire,
car, dans la théorie juridique musulmane, les relations normales entre territoires musulmans et non-musulmans ne sont
pas pacifiques mais guerrières »[38].
En se fondant sur ce
point,
« Les fuqaha [juristes] sont d'accord pour considérer une trève illimitée comme illégitime, si les musulmans sont
en position assez forte pour repartir en guerre contre les non-musulmans
»[39].
Bien que la charia demande
aux musulmans d'honorer les traités, il existe donc une sortie possible qui est
propice aux abus : si les musulmans
pensent, même sans preuves solides, que leurs ennemis vont rompre le traité,
ils peuvent le briser les premiers. De plus, certaines écoles de droit
islamique, comme celle des Hanafites, affirment que les responsables musulmans
peuvent abroger les traités tout simplement si cela semble être à l'avantage de
l'islam[40].
Cela n'est pas sans rappeler le hadith canonique suivant :
« Si tu fais serment de procéder à une action et que tu te rends compte, plus tard, qu'une autre action est meilleure,
alors tu devras renier ton serment et faire ce qui est mieux »[41].
Et qu'y a-t-il de mieux et
de plus altruiste que de rendre la parole d'Allah dominante en déclenchant à
nouveau le djihad dès que possible ? Traditionnellement, les dirigeants musulmans lançaient un djihad au moins une fois par an.
Ce rite est particulièrement remarquable chez les sultans ottomans, qui passaient la moitié de leur vie sur le champ de
bataille[42]. Le
devoir de djihad était tellement important, que les sultans n'avaient pas le
droit d'effectuer le pèlerinage à la Mecque _ qui est pourtant un devoir
individuel pour chaque musulman. C'est leur prise en main du djihad qui a
permis à ce rite collectif de perdurer, autrement, il serait tombé en désuétude[43].
Pour résumer, le prérequis
pour la paix ou la réconciliation est que les musulmans aient l'avantage. C'est
ce que démontre un texte sunnite qui fait autorité, Umdat as-Salik, écrit par
un érudit égyptien du XIVe siècle, Ahmad Ibn Naqib al-Misri :
« On doit trouver un bénéfice [maslaha] à la trêve, autre
que le seul statu quo, car [il est écrit] :
"Ne soyez pas pusillanimes en offrant la paix à
l'ennemi, quand vous êtes les plus forts !" [Coran, 47:35] »[44].
On rappellera un épisode
plus récent, et qui est d'une importance majeure pour les dirigeants
occidentaux qui recommandent la coopération avec les islamistes. Yasser Arafat
venait de négocier un traité de paix, qui avait été vivement critiqué comme
concédant trop de choses à Israël. Il s'adressa alors à une assemblée musulmane
dans une mosquée de Johannesburg, et se justifia en ces termes :
« Je considère cet accord au même titre que l'accord signé par notre
prophète Mahomet et les [Banei] Quraysh de la Mecque »[45].
En d'autres termes, comme Mahomet, Arafat n'avait donné sa parole, que pour la
renier une fois que la situation le permettrait, c'est-à-dire quand les
Palestiniens seraient à nouveau en position de passer à l'offensive et de
reprendre la route de Jérusalem. Dans d'autres contextes, Hudaybiya a fait
figure de mot-clé pour les islamistes radicaux. Le Moro Islamic Liberation Front avait trois camps d'entraînement au
sein du complexe d'Abu Bakar dans les Philippines et l'un d'eux s'appelait Camp
Hudaybiya[46].
Hudna est un terme arabe signifiant une "trêve" ou une
"armistice" temporaire, ainsi que "calme" ou
"tranquille", venant d'une racine verbale signifiant
"calme". Il est parfois mal traduit comme "cessez-le-feu". En d'autres mots, tant que l'islam est dans un
état constant de jihad, un cessez-le-feu
temporaire permet un repos, pour permettre plus de jihad ultérieurement, ou
c'est un mensonge, quand on n'a pas, en
fait, l'intention, actuellement, de maintenir le cessez-le-feu ...[47]
Yarden Mariuma, sociologue à l'université de Columbia, écrit : "Taqiyya est un terme juridique islamique
dont le sens changeant se rapporte à quand un musulman est autorisé, selon
la charia, à mentir. Un concept dont la signification a varié significativement
parmi les sectes islamiques, les savants, les pays, et les régimes politiques,
il est néanmoins l'un des termes clés utilisés par les récents polémistes
anti-musulmans."[48].
Les érudits islamiques déclarent que la taqiyya n'est permise
que sous la contrainte, et que l'utilisation inflationniste du terme est
qualifiée de "base de l'islamophobie
de droite en Amérique du Nord" (Mohammad Fadel 2013) [16] ou de "diffamation de taqiyya contre les musulmans"[49],
tandis que le journaliste Raymond
Ibrahim les accuse de pratiquer la "taqiyya à propos de la taqiyya"[50].
Pour certains critiques de l’islam, même les autorités religieuses ont
peut-être placé des limites l’utilisation de la taquiya, dans la réalité des
faits, le plus souvent, ces limites sont loin d’être respectées, quand il
s’agit pour les musulmans d’envahir, « pacifiquement » et/ou par la
conquête djihadiste, un pays kufr (peuplé majoritairement de
« mécréants »).
Sinon, on peut accuser certains musulmans, prônant « l’islam de paix,
d’amour et des lumières », de ne pas avoir lui le Coran et les Hadiths et
d’être les idiots utiles des islamistes.
Selon Raymond Ibrahim
"La doctrine islamique de la taqiyya
permet aux musulmans de tromper
activement les non-musulmans, au-delà du contexte de la « conservation de soi
(de sa vie) », comme on le croit généralement".
La
Taqiya ne signifie bien évidemment pas que « chaque musulman, qui s'est intégré, se cache et complote un attentat »
ou qu’il faut tomber dans ta théorie du complot antimusulman. Mais, au regard
de tout ce qui précède, cela peut donner une base logique au doute, face à tout
musulman, quel qu'il soit. Avec ce concept, que certains estiment être une
légitimation de la philosophie « de
la fin justifie les moyens », bien difficile ensuite de ne pas se
méfier de la parole et de la loyauté d’un musulman, envers leurs interlocuteurs
non-musulmans (juifs, chrétiens …), et de
ne pas supposer que certains musulmans dissimulent, consciemment ou
inconsciemment, leur haine profonde des juifs, sous couvert d’antisionisme, ceux-ci
percevant, le plus souvent, qu’ils peuvent braquer leurs interlocuteurs
non-musulmans, sinon.
C’est la dissimulation jouant sur le double discours et l'ambiguïté, la tromperie
par ambiguïté (double langage, refus de donner des réponses franches,
exploitation des conflits de définition [jouer sur ambiguïtés des mots], etc.).
C’est la création délibérée (intentionnelle) d’une fausse impression. C’est
l’art de sissimuler (occulter) avec adresse, en jouant sur les faux semblants.
La / le Tawriya signifie « dissimulation » et pourrait être défini comme
étant l’« inventivité dans l’art du
mensonge ».
Le Tawriya pourrait être appelé un « mensonge créatif » ...
Un musulman peut nier, par exemple, que la première sourate du coran
rabaisse les juifs et les chrétiens pour la raison que c’est une supplication
que les musulmans font 17 fois par jour afin de les garder à l’abri de la voie
des «
égarés qui encourent la colère d’Allah » …
Ce musulman pourrait répondre que la première sourate ne mentionne jamais,
explicitement, les juifs ou les chrétiens. Ce musulman pratique alors aussi la
tawriya, parce que bien que la première sourate du coran ne mentionne pas explicitement
les juifs et les chrétiens, ce musulman sait pertinemment que le terme « égaré
» dans cette sourate réfère à ceux-ci.
Tawriyya est généralement haram (péché, interdit), car cela équivaut à de
la tromperie et la tromperie est sans équivoque haram. Mais il y a quelques
exceptions où cela est permis, comme dans les exemples qui suivent[51]
:
1.
Si c'est fait en plaisantant et l'intention n'est pas de tromper mais
plutôt d'humour. Par exemple, une fois qu'une vieille femme est venue vers le
messager d'Allah (la paix soit sur lui) et a fait une demande, "O
'Messager d'Allah fait dua qu'Allah m'accorde l'entrée dans Jannah. Le messager
d'Allah a répondu, O 'Mère, une vieille femme ne peut pas entrer dans Jannah.
Cette femme a commencé à pleurer et a commencé à partir. Le messager d'Allah a
dit : Dis à la femme qu'on n'entrera pas dans un état de vieillesse, mais
qu'Allah rendra toutes les femmes de Jannah jeunes vierges "
2.
Si c'est fait en guerre ou par des
espions pour tromper l'ennemi.
3.
Si c'est fait par un homme à sa femme pour ne pas blesser ses sentiments et
ne pas avoir à mentir. Par exemple, si la femme de l'homme arrive à être grosse
et demande à son mari "est-ce que cette robe me fait paraître gros ? Dans
un tel cas, le mari peut recourir au tawriyya et peut même mentir pour protéger
ses sentiments.
4.
Si c’est pour causer la réconciliation entre deux parties pour éviter le
conflit ou l'effusion de sang possible.
Marwan
Muhammad[52], ancien directeur du CCIF
(Collectif Contre l’Islamophobie en France) a adressé une lettre ouverte au
Président de la République, Emmanuel Macron, le 13 mars 2018[53],
dans laquelle il se plaint dj système de laïcité à la française :
·
« Empêchez (Monsieur le Président) la laïcité d’attaquer fallacieusement la
religion musulmane et ainsi de menacer l’union nationale ».
·
« Le
bon sens républicain doit empêcher fermement toute ingérence laïciste avec la même énergie qu’elle emploie contre
le terrorisme, parce que ce sont les
deux faces d’une même pièce. ».
·
« La
jeunesse musulmane (…) voyant les promesses de liberté, d’égalité et de fraternité se réduire comme
peau de chagrin, menace de quitter la France (re-sic) (…). Cela coûtera (à
la France) 150 milliards d’euros ».
En un mot, la laïcité et le terrorisme seraient
donc les deux faces d’une même pièce, selon Monsieur Marwan Muhammad. N’appliquerait-il
pas, ici aussi, la Tawriyya au
Président Macron ?
Tromperie ou mensonge par
omission (retenir (ne pas dire) les informations clés). Quelqu'un qui ne dit
qu'une partie de la vérité. Un musulman exerce le kitman, kithman, ou ketman
(secret ou restriction mentale), quand il ne dit qu’une partie de la vérité, ce
qui a pour effet, très souvent, de déformer entièrement la vérité.
Exemple no 1 :
L’exemple le plus commun
consiste à ce qu’un musulman affirme que le terme djihad réfère principalement
ou uniquement à une lutte interne, à un combat spirituel contre le mal.
Or, le coran fait usage du terme djihad et de ses dérivés environ 59 fois.
Et sur ces 59 fois, 16 mentions pourraient possiblement faire référence à une
lutte interne alors que la majorité des
autres mentions font référence à une « guerre sainte », et ce, dans la
foulée de ce que le « prophète guerrier » (Mahomet) a exercé, selon les hadiths
et la sira.
Exemple no 2 :
Une forme commune de kitman est de citer uniquement les
passages pacifiques du coran de la période mecquoise pré-Hégire, sachant bien
que ces passages furent abrogés par des
versets belliqueux médinois post-hégire[54]
:
« Nulle contrainte en religion ! » (Sourate 2 :256) (sourate plus
ancienne)
fut abrogée par :
« Désirent-ils une autre religion que celle d’Allah, alors que se soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans
les cieux et sur terre, et que c’est vers Lui qu’ils seront ramenés ? »
(Sourate 3,83) (sourate plus récente).
« Autorisation est donnée à ceux qui sont attaqués (de se défendre) –
parce que vraiment ils sont lésés ; et Allah est certes Capable de les secourir
» (Sourate 22,39) (sourate plus ancienne)
fut abrogée par :
« Après que les mois sacrés expirent, tuez les associateurs où que vous les trouviez. Capturez-les,
assiégez-les et guettez-les dans toute embuscade. Si ensuite ils se repentent, accomplissent la Salat et acquittent la
Zakat, alors laissez-leur la voie libre, car Allah est Pardonneur et
Miséricordieux. » (Sourate
9,5) (sourate plus récente).
Exemple no 3 :
Citer sélectivement le Coran,
afin de dissimuler les versets violents contre les infidèles (qui leur veulent
du mal).
Les apologistes musulmans
ne citent aussi que des fragments d'un verset (5,32 par exemple) et négligent
de mentionner que le reste du verset suivant qui ordonne le meurtre des
incroyants :
« 32. C'est pourquoi Nous avons prescrit pour
les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une
corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et
quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous
les hommes. En effet Nos messagers sont venus à
eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux
se mettent à commettre des excès sur la terre.
33. La récompense de ceux qui font la guerre contre Allah et Son messager, et
qui s'efforcent de semer la corruption sur la terre, c'est qu'ils soient tués, ou
crucifiés, ou que soient coupées leur main et leur jambe opposées, ou qu'ils
soient expulsés du pays. Ce sera pour eux
l'ignominie ici-bas ; et dans l'au-delà, il y aura pour eux un énorme châtiment »,
Plus de 60% du Coran
contient des versets sur le meurtre des kouffar, ou les forçant à vivre sous la
servitude comme dhimmi et à payer une lourde taxe appelée Jizya. Le Dhimmi doit
s'en remettre, sans cesse, pour toute décision, aux musulmans, de toutes les
manières que ce soit. Mais les musulmans cachent le plus souvent cette réalité.
Dissimuler le fait que
Mahomet était propriétaire d'esclaves, qu’il a lancé des actions de pillage
(razzias), avec ses soldats et fidèles, qu’il se réservait un cinquième du
butin du pillage, qu’il a fait lapider des femmes, qu’il a fait décapiter des
prisonniers, fait assassiner des opposants qui le critiquaient, qu’il a eu une
relation sexuelle avec une enfant de 9 ans, Aïcha (qu’il avait épousé
auparavant, lorsqu’elle avait 6 ans)
Dans ce exemple récent, le
religieux musulman Mahmoud al-Masri a publiquement raconté l'histoire d'un
musulman qui avait menti [par omission] à un juif et l'avait poussé à se
convertir à l'islam, estimant qu'il s'agissait là d'un « joli tour ».
Dans cette vidéo, Mahmoud
Al-Masri indique qu'il faut faire croire aux Juifs, qu'ils peuvent facilement
quitter l'islam, après s’être convertis, s'ils n'en sont pas satisfaits. Mais,
ne leur révéler qu’après leur conversion, qu’ils
ne peuvent plus quitter l’islam, sous peine de mort.
Source : b) Egyptian cleric mahmoud
al-masri recommends tricking jews into becoming muslims [Le religieux égyptien
Mahmoud Al-Masri recommande de tromper les Juifs afin de les convertir à
l'islam], August 10, 2009, https://www.memri.org/tv/egyptian-cleric-mahmoud-al-masri-recommends-tricking-jews-becoming-muslims
b) Egyptian Cleric
Mahmoud Al-Masri Recommends Tricking Jews into Becoming Muslims, https://www.youtube.com/watch?v=oTXywWqXQd0
Les exemples, où le kitman est permis,
sont les suivants[55]
:
1.
Cacher les fautes d'une personne devant les autres, à moins les exposer,
est bénéfique ou nécessaire pour prévenir les dommages.
2.
Cacher des informations afin de provoquer une réconciliation entre deux
parties qui, si elles étaient révélées, pourraient causer des effusions de
sang.
3.
Cacher des informations en plaisantant, quand l'autre personne comprend que
c'est une blague.
4.
Dissimuler des informations concernant les secrets d'Etat, tous secrets.
5.
Dissimuler tout secret qui a été partagé avec vous en toute confidentialité
pour, par exemple, la confidentialité du patient-médecin, la confidentialité du
client-avocat. Cela inclut également les choses que les conjoints partagent entre
eux. En fait, autant que je sache, aucune loi dans le monde, y compris la loi
de la charia peut forcer un conjoint à témoigner contre son conjoint.
6.
Dissimuler des informations de l'ennemi
dans la guerre afin de le tromper. Cela inclut également l'espionnage.
7.
Dissimuler des informations qui ne sont ni utiles, pertinentes ou
nécessaires et les révéler, cela n'apporterait aucun bénéfice ou préjudice.
Dans un tel cas, il est permis à une personne de dissimuler des informations
(si elle le veut), parce que la dissimuler ne nuira ni ne profitera à personne
et ne le révélera pas non plus.
Il y en a peut-être d'autres.
Il existe des cas exceptionnels où une
certaine quantité de tromperie est permise, par exemple lorsque les policiers
interrogent des criminels. La raison en est que l'on suppose généralement que
les criminels mentiront et pourraient ne pas être coopératifs, par conséquent,
dans l'intérêt de la justice, les policiers sont autorisés à recourir au kithman, au tawriyya[56],
etc.
La 'flexibilité' pour se
fondre dans l'ennemi ou l'environnement ... La Muruna signifie « faire usage de
flexibilité » afin de se mêler à l’ennemi et à son entourage. C’est l’arme
suprême pour l’infiltration. Mettre de
côté les pratiques de l'Islam ou de la Sharia dans le but de "se
fondre" [dans la communauté infidèle ou chez les ennemis].
Se fondre [dans / chez les
ennemis], en mettant de côté [en gardant en réserve] les pratiques d'islam ou
de sharia dans le but de faire réussir l’islam [face aux ennemis].
Délaisser certains
commandements dans le but supérieur d'avancement de l'islam.
La suspension temporaire
de la charia, afin que les immigrants musulmans apparaissent « modérés ».
Ainsi, selon le principe de Hijra (immigration musulmane), les premiers
musulmans sont un « hareng rouge » ou un cheval de Troie. La communauté Kafir
ou Kuffar a l'impression fausse que les premiers immigrants ne sont pas une
menace, au moins jusqu'à ce que la communauté musulmane ait gagné en force.
La justification de ce
type de tromperie est la sourate 2,106 : « Si
Nous abrogeons un verset quelconque ou que Nous le fassions oublier, Nous en apportons un meilleur, ou un
semblable. Ne sais-tu pas qu’Allah est Omnipotent ? ».
Un musulman peut ainsi
passer outre certains commandements du coran dans la mesure où il se livre à la
poursuite d’un « meilleur commandement ». De fait, les musulmans qui
travaillent à l’avancement de l’islam peuvent ainsi s’écarter temporairement
des lois islamiques afin de ne pas effrayer le non-musulman, et ce, dans le but
de l’amadouer et de gagner sa sympathie en vue de sa conversion à l’islam ou
encore afin d’infiltrer diverses institutions où les non-musulmans sont
majoritaires.
« Auprès des libéraux (les idiots utiles), apprenez leur langage afin de pouvoir
obtenir ce que vous voulez, en leur
disant ce qu'ils veulent entendre ! ».
Voici quelques exemples de
la pratique de la muruna par un musulman afin de passer inaperçu, afin de se
mêler aux non-musulmans en vue de l’infiltration, du djihad et de l’avancement
de l’islam :
·
Se raser
·
Porter des vêtements à l’occidentale
·
Boire de l’alcool
·
…
Quelques exemples :
Les musulmans et pirates
de l’air de 9/11 visitaient des clubs de danseuses ainsi que des bars alors
qu’au même moment ils suivaient des cours de pilotage aux États-Unis pour
commettre des actes terroristes.
Se marier un non-musulman
ou se comporter comme un non-musulman, de manière à ce que son véritable agenda
passe inaperçu…
Plusieurs Américains
croient que Huma Abedin Mahmood, une assistante d’Hillary Clinton, a épousé
Anthony Weiner, un membre du congrès juif, afin d’obtenir une habilitation de sécurité
de haut niveau et ainsi infiltrer les plus hauts niveaux de l’administration
américaine. Mais ces allégations venant
du parti républicain n’ont pas été prouvées et qu’elles font plutôt partie
d’une théorie du complot (au sujet de la menace islamiste) venant de
l’extrême-droite américaine[57].
Tromperie par la facilitation (ne pas avoir
à observer tous les principes de la charia).
Tromperie par nécessité (se livrer à
quelque chose "Haram" ou interdit).
Liste
des versets et hadiths pouvant justifier la tromperie islamique :
Certaines traductions édulcorées, dans une langue étrangère à l’arabe,
dissimulent la force violente de certains versets et la vraie signification de
ce certains versets et hadiths.
Le mot arabe utilisé ici pour « ruse » ou « stratagème » est makara,
ce qui veut dire littéralement tromperie.
Coran 2:225 : « Dieu vous tiendra rigueur non pas d’un
serment que vous aurez prononcé à la légère, mais de celui que vous aurez proféré en toute conscience, car Dieu est
Clément et Plein de mansuétude. ».
Source : http://www.hisnulmuslim.com/coran/index.php?num_sourate=2
Autre traduction : « Ce n'est pas pour les expressions gratuites dans vos serments qu'Allah vous saisit : Il
vous saisit pour ce que vos coeurs ont acquis. Et Allah est Pardonneur et
Patient ».
Coran 3 :28 : « Que les croyants
ne prennent pas, pour alliés, des infidèles, au lieu de croyants. Quiconque le
fait contredit la religion d’Allah, à
moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux ».
Autre traduction : « Ne
laissez pas les croyants prendre pour des amis ou des aides non-croyants plutôt
que des croyants : si quelqu'un le fait, rien ne sera aidé par Allah, sauf par précaution, afin que vous
puissiez vous en prémunir. Mais Allah vous avertit (Se souvenir) de
Lui-même ; pour le but final est à Allah ».
Ce verset justifie la taqiya et demande aux musulmans de ne pas prendre les
mécréants comme alliés ou amis, à moins que cela ils n’y soient « contraints
par un péril à redouter ».
Muhammad ibn Jarir at-Tabari (mort en 923), auteur d'un commentaire du
Coran, qui fait autorité, explique ainsi le verset 3:28 :
« Si vous [les musulmans] êtes sous
l'autorité de non-musulmans et craignez pour vous-mêmes, conduisez-vous avec une apparence de loyauté envers eux, par la parole,
tout en conservant votre hostilité à leur égard par devers vous (…) [sachez
que] Allah a interdit aux croyants de se montrer amical ou intime avec les
infidèles, sauf si les infidèles les dominent. Dans ce cas précis, qu'ils se
comportent amicalement avec eux tout en préservant leur religion »[58].
Toujours à propos de ce verset du Coran, Ibn Kathir (mort en 1373), qui est
une autre grande autorité coranique, écrit :
« Quel que soit le lieu ou le moment,
quiconque craint des tourments
[venant de non-musulmans] peut se
protéger en donnant le change ».
Il en veut pour preuve une citation d'Abu Darda, proche compagnon de
Mahomet, enjoignant d' « arborer un large sourire face à certaines
personnes tandis que notre cœur les maudit ». Un autre compagnon, connu
sous le nom d'Al-Hasan, a dit que « la pratique de la taqiyya est acceptable
jusqu'au jour du jugement » (c'est-à-dire jusqu'à la fin des temps)[59].
D'autres savants importants, comme Abu 'Abdullah al-Qurtubi (1214-73) et
Muhyi 'd-Din ibn al-Arabi (1165-1240), ont étendu la taqiyya jusqu'à
l'appliquer à de nombreuses actions. En d'autres termes, les musulmans peuvent
se conduire comme des infidèles ou même pire, par exemple en se prosternant et
en adorant des idoles et des croix, en portant de faux témoignages, ou même en
montrant les faiblesses d'autres musulmans à l'ennemi infidèle — tout est
permis sauf tuer un autre musulman :
« la taqiyya, même si elle est pratiquée sans contrainte, ne mène pas à un statut d'infidèle, même si
elle peut mener à des péchés méritant le feu de l'enfer »[60].
Coran 3:54 : « Et ils (les
incroyants) ont planifié de tromper, et Allah
a planifié de tromper (les mécréants), et
Allah est le meilleur des séducteurs (trompeurs).
Autre traduction : Et ils [les autres]
se mirent à « stratégier ». Allah
aussi stratégie. Et Allah est le meilleur de stratèges !
Autre traduction : Et ils [les autres]
se mirent à comploter. Allah a fait échouer leur complot. Et c'est Allah qui
sait le mieux leur machination ! ».
Autre traduction : Ils
[les mécréants] ont usé de ruse [contre Jésus], et Dieu aussi a rusé ; Dieu est le meilleur des stratèges. »
Coran 7:99 : « Et ils sont alors à l'abri de la tromperie
d'Allah ? Personne ne se sent à l'abri de la tromperie d'Allah, sauf ceux qui
périront.
Autre traduction : Sont-ils à l’abri du stratagème d’Allah ? Seuls les gens
perdus se sentent à l’abri du stratagème
d’Allah.
Autre traduction : Se sentaient-ils à
l’abri des ripostes divines ? Or,
seuls les perdants croient échapper à la rigueur du Seigneur ».
Si Allah
use de ruse ou complote contre les mécréants, alors les musulmans sont
autorisés à faire de même.
Coran 8:30 : « Et
(souvenez-vous) quand les mécréants ont comploté contre vous (O Muhammad), pour
vous emprisonner, ou vous tuer, ou vous expulser. Ils ont comploté la
tromperie, mais Allah a également
tromper la tromperie ; et Allah est le meilleur des trompeurs.
Autre traduction : (Et rappelle-toi) le
moment où les mécréants complotaient contre toi pour t’emprisonner ou
t’assassiner ou te bannir. Ils complotèrent. Mais Allah complote, et Allah est le meilleur en stratagèmes.
Autre traduction : (Et rappelle-toi) le
moment où les mécréants complotaient contre toi pour t'emprisonner ou
t'assassiner ou te bannir. Ils complotèrent. Mais Allah a fait échouer leur
complot, et Allah est le meilleur en
stratagèmes ».
Coran 9:3 : « Et il sera proclamé, d'ordre de Dieu et de
Son Prophète, à l'adresse des hommes, le jour du grand pèlerinage, que Dieu et Son Messager sont déliés de tout
engagement vis-à-vis des polythéistes : «Si vous vous repentez, cela vaudra
mieux pour vous , mais si vous vous obstinez dans votre impiété, sachez que
vous ne saurez jamais réduire Dieu à l'impuissance !» Annonce donc un châtiment
douloureux aux incrédules, »
Source : https://www.yabiladi.com/coran/sourate/9/at-tauba.html
Autre traduction : « Et proclamation aux gens, de la part d’Allah et de Son messager, au
jour du Grand Pèlerinage, qu’Allah et
Son messager, désavouent les associateurs. Si vous vous repentez, ce sera
mieux pour vous. Mais si vous vous détournez, sachez que vous ne réduirez pas Allah
à l’impuissance. Et annonce un châtiment douloureux à ceux qui ne croient pas ».
Au sujet de la dissolution des
serments passés avec les païens qui restèrent à la Mecque après sa capture.
Ils n’avaient rien fait de mal, mais ils furent tout de même expulsés.
Coran 16:106 : « Quiconque a renié Allah après avoir cru... -
sauf celui qui y a été contraint
alors que son cœur demeure plein de la sérénité de la foi - mais ceux qui
ouvrent délibérément leur cœur à la mécréance, ceux-là ont sur eux une colère
d’Allah et ils ont un châtiment terrible ».
Autre traduction : « Quiconque,
après avoir accepté la foi en Allah, exprime l'Incrédulité, _ sauf sous la contrainte, son cœur reste
ferme dans la Foi _ mais comme ceux qui ouvrent leur poitrine à l'Incrédulité,
sur eux est la Colère d'Allah, et la leur sera une Pénalité épouvantable ».
Ce verset justifie la taqiya et
montre qu’il y a des circonstances qui peuvent « pousser » un musulman à
mentir.
Coran 40:28 : « Et un homme
croyant de la famille de Pharaon, qui dissimulait
sa foi dit : «Tuez-vous un homme parce qu’il dit : « Mon Seigneur est Allah
? » Alors qu’il est venu à vous avec les preuves évidentes de la part de votre
Seigneur. S’il est menteur, son mensonge
sera à son détriment ; tandis que s’il
est véridique, alors une partie de ce dont il vous menace tombera sur vous ».
Certes, Allah ne guide pas celui qui est outrancier et imposteur ! ».
Un homme est présenté comme un croyant mais qui devait « dissimuler sa foi » parmi ceux qui
n’étaient pas croyants.
Coran 66:2 : « Allah vous a prescrit certes, de vous
libérer de vos serments. Allah
est votre Maître ; et c’est Lui l’Omniscient, le Sage ».
« Dieu a pourtant institué pour vous
un moyen de vous délier de certains de vos serments. »
Source : http://www.hisnulmuslim.com/coran/index.php?num_sourate=66
Bukhari
(52:269) : « Le prophète dit : ‘La guerre est basée sur la tromperie’ »
Ce
hadith justifie le meurtre de Usayr ibn Zarim et de trente des ses hommes
désarmés par Mahomet après la promesse d’un sauf-conduit (voir Information
complémentaire plus bas).
Source :
https://muflihun.com/bukhari/52/269
Bukhari
(49:857) : « Celui qui fait la paix entre les gens en inventant et en disant de
fausses informations, celui-là n’est pas un menteur. »
Autre
traduction : Rapporté Um Kulthum bint Uqba : « Qu'elle a entendu
l'apôtre d'Allah dire : « Celui qui fait la paix entre les gens en inventant de bonnes informations ou en
disant de bonnes choses, n'est pas un menteur. » ». Sahih Bukhari 3:49:857
Autre
traduction : « Rapporté par Um Kulthum bint Uqba :
Qu'elle a entendu l'apôtre d'Allah dire : "Celui qui fait la paix entre les
gens en inventant de bonnes informations
ou en disant de bonnes choses, n'est pas un menteur." ».
Source :
https://muflihun.com/bukhari/49/857
Bukhari
(84:64) : « Rapporté par 'Ali:
Chaque fois que je vous dis un récit de l'apôtre
d'Allah, par Allah, je préférerais tomber du ciel que de lui donner une fausse
déclaration, mais si je vous dis quelque chose entre vous et moi (pas un
Hadith) alors c'était vraiment un tour
(ie, je peux dire des choses juste pour tromper mon ennemi). J'ai entendu
l'apôtre d'Allah dire : "Dans les derniers jours, il y aura des jeunes
gens insensés qui diront les meilleurs mots, mais leur foi n'ira pas au-delà de
leur gorge (ils n'auront aucune foi) et sortira de ) leur religion comme une
flèche sort du jeu. Alors, où que vous
les trouviez, tuez-les, car ceux qui les tuent auront une récompense au Jour de
la Résurrection. ».
Source :
https://muflihun.com/bukhari/84/64
Alors
qu’il était en position de force à la période de ce hadith, Ali confirme qu’il
est possible de mentir afin de tromper l'ennemi.
Rapporté
par Abdullah bin Umar : « Deux
hommes sont venus d'Orient et se sont adressés aux personnes qui ont été
étonnés par l’éloquence de leurs discours. Sur ce que l'apôtre d'Allah a dit « un discours éloquent est aussi efficace que
la magie » ». Sahih Bukhari 7:71:662
Rapporté
par Sahl bin Sad As-Sa'idi : « ... L'Apôtre d'Allah a dit : Un homme peut sembler au peuple comme s'il
pratiquait les actions du peuple du Paradis alors qu'en fait il vient des
« gens de l'Enfer ». Un autre
peut sembler au peuple comme s'il pratiquait les actes du peuple de l'enfer
(feu), alors, qu'en fait, il vient des « gens du Paradis » ».
Sahih Bukhari 4:52:147
Rapporté
Al-Bara : « Lorsque le prophète
avait l'intention d'accomplir la 'Umra, il envoya une personne au peuple de La
Mecque leur demandant la permission d'entrer à La Mecque. Ils ont stipulé qu'il
ne resterait pas plus de trois jours et n'y entrerait qu'avec des armes à gaine
et ne prêcherait (Islam) à aucun d'entre eux. Alors Ali bin Abi-Talib a
commencé à rédiger le traité entre eux. Il a écrit : "C'est ce que
Muhammad, apôtre d'Allah a accepté." Les Mecquois ont dit : "Si nous
savions que vous (Muhammad) êtes le Messager d'Allah, alors nous ne vous
aurions pas empêchés et vous aurions suivi, mais écrivez : " C'est ce que
Muhammad bin 'Abdullah a accepté. "Sur ce que l'apôtre d'Allah a
dit," par Allah, je suis Muhammad bin 'Abdullah, et, par Allah, je suis
apôtre d'Allah. " L'apôtre d'Allah a l'habitude de ne pas écrire ; alors
il a demandé à 'Ali d'effacer l'expression du Messager d'Allah. Sur ce 'Ali a
dit, "Par Allah je ne l'effacerai jamais." L'apôtre d'Allah a dit (à
'Ali), "Laissez-moi voir le papier." Quand 'Ali lui a montré le
papier, le Prophète a effacé
l'expression de sa propre main. Lorsque l'apôtre d'Allah était entré à la
Mecque et que trois jours s'étaient écoulés, les Mecquois vinrent à 'Ali et
dirent : "Laissez votre ami (c'est-à-dire le Prophète) quitter La
Mecque." Ali a informé l'apôtre d'Allah à ce sujet et l'apôtre d'Allah a
dit: "Oui", puis il est parti ». Sahih Bukhari 4:53:408
Dans Sahih Bukhari nous trouvons des récits nous disant que le Prophète
Muhammad avait dit s'il prêtait serment et trouvait plus tard quelque chose
d'autre, il ferait "ce qui est mieux" et expierait son serment.
« Rapporté Zahdam :
Nous étions en compagnie d'Abu Musa Al-Ash'ari et
il y avait des relations amicales entre nous et cette tribu de Jarm. Abu Musa a
été présenté avec un plat contenant du poulet. Parmi les gens, il y avait un
homme au visage rouge qui ne s'approchait pas de la nourriture. Abu Musa a dit
(à lui), "Venez (et mangez), car j'ai vu l'apôtre d'Allah en manger
(c'est-à-dire le poulet)." Il a dit : "Je l'ai vu manger quelque
chose (sale) et depuis je l'ai détesté, et j'ai juré que je ne le mangerai
pas" Abu Musa a dit : "Allez, je vais vous le dire (ou vous
raconter). Une fois je suis allé à l'apôtre d'Allah avec un groupe
d'Al-Ash'ariyin, et l'ai rencontré alors qu'il était en colère, distribuant des
chameaux de Rakat. Nous avons demandé des montures, mais il a juré qu'il ne
nous donnerait pas de montures et a ajouté : "Je n'ai rien pour vous, pour
monter dessus". Pendant ce temps, des chameaux de butin ont été apportés à
l'apôtre d'Allah et il a demandé deux fois : "Où sont les Al-Ash'ariyin ?"
Il nous a donc donné cinq chameaux blancs avec de grosses bosses, et puis j'ai
dit à mes compagnons, "l'apôtre d'Allah a oublié son serment. Par Allah,
si nous ne rappelons pas à l'Apôtre d'Allah son serment, nous ne réussirons
jamais. "Nous sommes donc retournés vers le Prophète et avons dit, « O
Apôtre d'Allah, nous vous avons demandé des montures, mais vous avez juré que
vous ne nous donneriez pas de montures, nous pensons que vous avez oublié votre
serment. Il a dit : « C'est Allah qui vous a donné des montures, par Allah, et si Allah le veut, si je prête serment et
que je trouve quelque chose d'autre, je ferai mieux et expierai mon serment. »
Sahih Bukhari 7: 67: 427[61].
« Rapporté 'Abdur-Rahman bin
Samura:
Le Prophète a dit: « O Abdur-Rahman, ne
cherchez pas à être un chef, car si vous avez reçu l'autorité à votre demande,
vous en serez tenu responsable, mais si vous le recevez sans demander (pour
cela), alors vous serez aidé (par Allah) en elle. Si jamais vous prêter serment de faire quelque chose et plus tard vous
trouvez que quelque chose d'autre est mieux, alors vous devriez expier votre
serment et faire ce qui est mieux » ».
Sahih Bukhari 9: 89: 260[62]
[63].
Puisque
déterminer ce qui est « meilleur » est une évaluation très subjective, on peut
rompre n'importe quel accord avec n'importe qui à n'importe quel moment, en se
basant simplement sur sa perception de ce qui est « meilleur ».
« Rapporté Abu Huraira : Le Prophète a dit,
"Khosrau sera ruiné, et il n'y aura pas de Khosrau après lui, et César
sera sûrement ruiné et il n'y aura pas de César après lui, et vous dépenserez
leurs trésors dans la cause d'Allah." Il a appelé, "La guerre est la tromperie" ».
Sahih
Bukhari 4: 52: 267[64]
« Rapporté Abu Huraira : L'apôtre
d'Allah a appelé, "la guerre est la
tromperie" ».
Sahih Bukhari 4: 52: 268[65]
« Rapporté par Jabir bin
'Abdullah : Le Prophète a dit : "La
guerre est une tromperie" ».
Sahih Bukhari 4: 52: 269[66]
Les musulmans prétendent souvent mentir dans l'Islam est limité à son
utilisation dans la guerre, mais dans les hadiths suivants, Muhammad permet à
un musulman de mentir afin de tuer Ka'b ibn al-Ashraf, un poète juif qui a
écrit un poème anti-musulman qui offensé lui.
« Raconté Jabir : Le Prophète a
dit, 'Qui est prêt à tuer Ka'b bin Ashraf (c'est-à-dire un Juif).' Muhammad bin
Maslama a répondu : «Est-ce que tu aimes que je le tue? Le Prophète a répondu
par l'affirmative Muhammad bin Maslama a dit : "Alors permettez-moi de
dire ce que j'aime". Le Prophète a répondu : "Je le fais
(c'est-à-dire je vous le permets)". ».
Sahih Bukhari 4: 52: 271[67]
« Rapporté par Jabir bin
'Abdullah : L'apôtre d'Allah a dit : "Qui est prêt à tuer Ka'b bin
Al-Ashraf qui a blessé Allah et Son Apôtre ?" Là-dessus Muhammad bin
Maslama se leva en disant : "O Apôtre d'Allah, voudrais-tu que je le tue ?".
Le Prophète a dit, "Oui," Muhammad
bin Maslama a dit, "Alors permettez-moi de dire une (fausse) chose
(c'est-à-dire de tromper Kab)." Le Prophète a dit, "Vous pouvez le
dire". Ka'b a dit : "Alors prêtez-moi vos fils." Ils ont dit
: « Comment pouvons-nous hypothéquer nos fils pour vous ? Plus tard, ils
seraient abusés par les gens disant qu'un tel a été hypothéqué pour une
cargaison de chameaux, ce qui nous causerait une grande disgrâce, mais nous
hypothéquerons notre bras à vous. " Muhammad bin Maslama et son compagnon
ont promis à Kab que Muhammad reviendrait à lui. Il est venu à Kab la nuit avec
le frère adoptif de Kab, Abu Na'ila. Kab les a invités à entrer dans son fort,
puis il est descendu vers eux. Sa femme lui a demandé : « Où vas-tu en ce
moment ? ». Kab répondit : "Aucun autre que Muhammad bin Maslama et
mon frère adoptif Abu Na'ila sont venus.". Sa femme a dit :
"J'entends une voix comme si le sang coulait de lui". Ka'b a dit :
" Ils ne sont que mon frère Muhammad bin Maslama et mon frère adoptif Abu
Naila. Un homme généreux devrait répondre à un appel la nuit même s'il est
invité à être tué ". Muhammad bin Maslama est allé avec deux hommes
(certains narrateurs mentionnent les hommes comme 'Abu bin Jabr, Al Harith bin
Aus et Abbad bin Bishr). Vin Maslama entra avec deux hommes et leur dit : « Quand Ka'b viendra, je toucherai ses
cheveux et je les sentirai, et quand tu verras que je lui ai pris la tête,
dépouille-le. Je vais vous laisser sentir sa tête. "Kab bin Al-Ashraf
est descendu à eux enveloppé dans ses vêtements, et diffusant le parfum.".
Muhammad bin Maslama a dit "n'a jamais senti un meilleur parfum que cela".
Ka'b a répondu "J'ai les meilleures femmes arabes qui savent comment utiliser
des parfums de grande qualité". Puis Muhammad bin Maslama a demandé de
nouveau à Ka'b : "Me laisseras-tu (sentir ta tête) ?". Ka'b a dit :
"Oui." Quand Muhammad l'a fort tenu, il a dit (à ses compagnons) : « Attrape-le ! Alors ils l'ont tué et sont
allés au Prophète et l'ont informé. (Abu Rafi) a été tué après Ka'b bin
Al-Ashraf ». ».
Sahih Bukhari 5: 59: 369[68].
Ceci est un cas clair de mensonge endossé par le prophète afin d'atteindre
les objectifs de l'Islam, donc suivre l’exemple de Mahomet autorise les
Musulmans à mentir (et à tuer) pour défendre Muhammad.
Ces récits disent qu'une personne peut sciemment faire mentir deux de ses
amis au sujet du consentement donné par une femme et le mariage sera confirmé.
Donc, si elle le refuse, tout ce qu'il a à faire est d'avoir deux amis qui
mentiront et elle sera légalement sa femme.
« Rapporté par Abu Haraira :
L'apôtre d'Allah a dit : "Une esclave ne devrait pas être donnée en
mariage avant d'être consultée, et une vierge ne devrait pas être donnée en
mariage avant que sa permission ne soit accordée.". Les gens ont dit :
"Comment va-t-elle exprimer sa
permission ?" Le Prophète a dit : "En gardant le silence
(lorsqu'on lui a demandé son consentement)." Certaines personnes ont dit :
« Si un homme, en jouant un tour, présente deux faux témoins devant le juge
pour témoigner qu'il a épousé une matrone avec son consentement et que le juge
confirme son mariage, et le mari est sûr qu’il ne l’a jamais épousé (avant),
alors un tel mariage sera considéré comme légal et il peut vivre avec elle
comme mari" ».
حَدَّثَنَا أَبُو نُعَيْمٍ، حَدَّثَنَا شَيْبَانُ، عَنْ يَحْيَى، عَنْ أَبِي سَلَمَةَ، عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ، قَالَ قَالَ رَسُولُ اللَّهِ صلى الله عليه وسلم " لاَ تُنْكَحُ الأَيِّمُ حَتَّى تُسْتَأْمَرَ، وَلاَ تُنْكَحُ الْبِكْرُ حَتَّى تُسْتَأْذَنَ ". قَالُوا كَيْفَ إِذْنُهَا قَالَ " أَنْ تَسْكُتَ ". وَقَالَ بَعْضُ النَّاسِ إِنِ احْتَالَ إِنْسَانٌ بِشَاهِدَىْ زُورٍ عَلَى تَزْوِيجِ امْرَأَةٍ ثَيِّبٍ بِأَمْرِهَا، فَأَثْبَتَ الْقَاضِي نِكَاحَهَا إِيَّاهُ، وَالزَّوْجُ يَعْلَمُ أَنَّهُ لَمْ يَتَزَوَّجْهَا قَطُّ، فَإِنَّهُ يَسَعُهُ هَذَا النِّكَاحُ، وَلاَ بَأْسَ بِالْمُقَامِ لَهُ مَعَهَا.
Sahih Bukhari 9: 86: 100[69].
« Rapporté par Abu Huraira : Le
Prophète a dit : « Une vierge ne devrait pas être mariée avant qu'on lui
demande son consentement, et la matrone ne devrait pas être mariée jusqu'à ce
qu'on lui demande si elle accepte de se marier ou non. Il a été demandé :
"O Apôtre d'Allah, comment va-t-elle (la vierge) exprimer son consentement
? " Il a dit : "En gardant le silence." Certaines personnes ont
dit : « Si une vierge n'est pas sollicitée et qu'elle n'est pas mariée, et
qu'un homme, en jouant un tour, présente deux faux témoins, il l'a épousée avec
son consentement et le juge confirme que son mariage est vrai, et le mari sait
que les témoins étaient de faux témoins, alors il n'y a pas de mal à ce qu'il
consomme son mariage avec elle et le mariage est considéré comme valide." ».
حَدَّثَنَا مُسْلِمُ
بْنُ إِبْرَاهِيمَ،
حَدَّثَنَا هِشَامٌ،
حَدَّثَنَا يَحْيَى
بْنُ أَبِي كَثِيرٍ،
عَنْ أَبِي سَلَمَةَ،
عَنْ أَبِي هُرَيْرَةَ،
عَنِ النَّبِيِّ
صلى الله عليه
وسلم قَالَ
" لاَ تُنْكَحُ
الْبِكْرُ حَتَّى
تُسْتَأْذَنَ،
وَلاَ الثَّيِّبُ
حَتَّى تُسْتَأْمَرَ
". فَقِيلَ
يَا رَسُولَ اللَّهِ
كَيْفَ إِذْنُهَا
قَالَ " إِذَا
سَكَتَتْ
". وَقَالَ
بَعْضُ النَّاسِ
إِنْ لَمْ تُسْتَأْذَنِ
الْبِكْرُ وَلَمْ
تَزَوَّجْ. فَاحْتَالَ
رَجُلٌ فَأَقَامَ
شَاهِدَىْ زُورٍ
أَنَّهُ تَزَوَّجَهَا
بِرِضَاهَا، فَأَثْبَتَ
الْقَاضِي نِكَاحَهَا،
وَالزَّوْجُ يَعْلَمُ
أَنَّ الشَّهَادَةَ
بَاطِلَةٌ، فَلاَ
بَأْسَ أَنْ يَطَأَهَا،
وَهْوَ تَزْوِيجٌ
صَحِيحٌ.
Sahih Bukhari 9:86:98[70]
"Abu Asem nous a dit d'Ibn Goreh, du fils d'Abi Molaika, de Zokwan,
d'Aisha (qu'Allah soit satisfait d'elle) que : L'apôtre d'Allah (PBUH) a dit
que le consentement d'une vierge était pris. J'ai dit: "Une vierge se sent
timide". Il a dit: "Son silence est son consentement." Et
certaines personnes ont dit que si un homme tombe amoureux d'une odalisque
orpheline ou d'une vierge et elle le refuse. Puis, il fait un tour en apportant
deux faux témoins qu'il a épousés et l'orphelin a réalisé (le tour) et a donné
son consentement et le juge a reconnu les faux témoins et le mari est conscient
de son mensonge, alors il est légitime pour lui de copuler avec elle. "[71].
.
حدثنا أبو عاصم
عن ابن جريج عن
ابن أبي مليكة
عن ذكوان عن عائشة
رضي الله عنها
قالت قال رسول
الله صلى الله
عليه وسلم البكر
تستأذن قلت إن
البكر تستحيي قال
إذنها صماتها وقال
بعض الناس إن هوي
رجل جارية يتيمة
أو بكرا فأبت فاحتال
فجاء بشاهدي زور
على أنه تزوجها
فأدركت فرضيت اليتيمة
فقبل القاضي شهادة
الزور والزوج يعلم
ببطلان ذلك حل
له الوطء
Sahih Bukhari 6570[72]
« Humaid b. Abd al-Rahman b.
'Auf a rapporté que sa mère Umm Kulthum fille de' Uqba b. Abu Mu'ait, et elle
était parmi les premiers émigrants qui ont prêté allégeance à l'apôtre d'Allah
(que la paix soit sur lui), disant qu'elle a entendu le Messager d'Allah (que
la paix soit sur lui) en disant : Un menteur n'est pas celui qui essaie
d'apporter la réconciliation entre les gens et parle bien (afin d'éviter la
dispute), ou il transmet le bien. Ibn Shihab a dit qu'il n'a pas entendu que
cette exemption était accordée dans tout ce que les gens disent comme mensonge
mais dans trois cas : au combat, pour amener la réconciliation entre les
personnes et la narration des paroles du mari à sa femme, et la narration du
mot d'une femme à son mari (sous une forme tordue afin d'apporter la
réconciliation entre eux) ».
حَدَّثَنِي حَرْمَلَةُ
بْنُ يَحْيَى،
أَخْبَرَنَا ابْنُ
وَهْبٍ، أَخْبَرَنِي
يُونُسُ، عَنِ
ابْنِ شِهَابٍ،
أَخْبَرَنِي حُمَيْدُ
بْنُ عَبْدِ الرَّحْمَنِ
بْنِ عَوْفٍ، أَنَّ
أُمَّهُ أُمَّ
كُلْثُومٍ بِنْتَ
عُقْبَةَ بْنِ
أَبِي مُعَيْطٍ،
وَكَانَتْ، مِنَ
الْمُهَاجِرَاتِ
الأُوَلِ اللاَّتِي
بَايَعْنَ النَّبِيَّ
صلى الله عليه
وسلم أَخْبَرَتْهُ
أَنَّهَا سَمِعَتْ
رَسُولَ اللَّهِ
صلى الله عليه
وسلم وَهُوَ يَقُولُ
" لَيْسَ الْكَذَّابُ
الَّذِي يُصْلِحُ
بَيْنَ النَّاسِ
وَيَقُولُ خَيْرًا
وَيَنْمِي خَيْرًا
"
. قَالَ ابْنُ
شِهَابٍ وَلَمْ
أَسْمَعْ يُرَخَّصُ
فِي شَىْءٍ مِمَّا
يَقُولُ النَّاسُ
كَذِبٌ إِلاَّ
فِي ثَلاَثٍ الْحَرْبُ
وَالإِصْلاَحُ
بَيْنَ النَّاسِ
وَحَدِيثُ الرَّجُلِ
امْرَأَتَهُ وَحَدِيثُ
الْمَرْأَةِ زَوْجَهَا
.
Sahih Muslim 32: 6303[73].
En plus de Sahih Bukhari, nous trouvons beaucoup plus de récits dans Sahih
Muslim concernant la rupture des serments. Cette fois, Muhammad encourage les
musulmans à faire de même et à choisir ce qui est « meilleur ».
« Abu Musa al-Ash'ari a rapporté : Je suis venu à l'apôtre d'Allah
(que la paix soit sur lui) avec un groupe d'Ash'arites demandant de nous donner
une montagne. Il (le Saint Prophète) a dit : Par Allah, je ne peux pas vous
fournir une montagne, et il n'y a rien avec moi que je devrais vous donner
comme un tour. Il (le narrateur) a dit : Nous sommes restés là aussi longtemps
qu'Allah l'a voulu. Alors on lui a apporté (au Saint Prophète) des chameaux. Il
(le Saint Prophète) a alors ordonné de nous donner trois chameaux à bosse
blanche. Nous avons commencé et avons dit (ou certains d'entre nous ont dit aux
autres): Allah ne nous bénira pas. Nous sommes venus au Messager d'Allah (que
la paix soit sur lui) le suppliant de nous fournir des chameaux. Il a juré
qu'il ne pouvait pas nous fournir une monture, mais plus tard il nous a fourni
cela. Ils (certains du ProphèteEn ce qui me concerne, par Allah, s'il le veut,
je ne jurerais pas, mais si, plus tard, je verrais mieux que cela, je (ferais
rompre le vœu) et l'expierais et ferais ce qui est mieux ».
Sahih Muslim 15: 4044
Abu Huraira a rapporté : Une personne s'est assise tard dans la nuit avec l'apôtre
d'Allah (que la paix soit sur lui), puis est venu à sa famille et a constaté
que ses enfants s'étaient endormis. Sa femme a apporté de la nourriture pour
lui. mais il a juré qu'il ne mangerait pas à cause de ses enfants (s'endormir
sans nourriture) Il a alors donné préséance (de rompre le vœu et ensuite
l'expier) et a mangé la nourriture Il est alors venu au Messager d'Allah (paix
Soit sur lui) et fait mention de cela à lui, après quoi le Messager d'Allah
(paix sur lui) a dit: Celui qui a prêté serment et (plus tard) trouvé quelque
chose de mieux que cela devrait faire cela, et expier pour vœu.
Sahih Muslim 15: 4052
Abu Huraira a rapporté que le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) a
dit: Celui qui a prêté serment et a ensuite trouvé une autre chose meilleure
que ceci devrait expier pour le serment (rompu) par lui et faire (la meilleure
chose).
Sahih Muslim 15: 4053
Abu Huraira a rapporté le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) comme
disant: Celui qui a prêté serment et (plus tard) a trouvé une autre chose
meilleure que cela, il devrait faire ce qui est mieux et expier pour le vœu .
Sahih Muslim 15: 4054
Ce hadith est rapporté sur l'autorité de Suhail avec la même chaîne
d'émetteurs (avec ces mots): "Il devrait expier pour (rompre) le vœu et
faire ce qui est mieux."
Sahih Muslim 15: 4055
'Adi a rapporté le Messager d'Allah (que la paix soit sur lui) comme
disant: Quand quelqu'un parmi vous prête un serment, mais il trouve (quelque
chose) mieux qu'il devrait expier (le non-respect du serment), et faire ce qui
est mieux.
Sahih Muslim 15: 4058
Abd al-Rahman b. Samura a rapporté que le Messager d'Allah (que la paix
soit sur lui) m'a dit: Abd al-Rahman b. Samura, ne demandez pas l'autorité car
si cela vous est accordé pour le demander, vous seriez mandaté pour cela (sans
avoir le soutien d'Allah), mais si vous le recevez sans que vous le demandiez.
Vous seriez aidé (par Allah) dans cela. Et quand tu prends un serment et que tu
trouves autre chose de mieux que cela, expie pour (rompre) ton serment, et fais
ce qui est mieux. Ce hadith a également été transmis sur l'autorité d'Ibn
Farrukh.
Sahih Muslim 15: 4062
En plus de Sahih Bukhari, nous trouvons une narration dans Sahih Muslim
concernant Muhammad permettant à un musulman
de mentir afin de tuer Ka'b ibn al-Ashraf, un poète juif qui a écrit un
poème antimusulman qui l'a offensé.
Il a été rapporté sur l'autorité de Jabir que le Messager d'Allah (que la
paix soit sur lui) a dit: Qui va tuer Ka'b b. Ashraf? Il a calomnié Allah,
l'Exalté et Son Messager. Muhammad b. Maslama a dit: Messager d'Allah,
voulez-vous que je devrais le tuer? Il a dit oui. Il a dit: Permettez-moi de
parler (à lui de la manière que je juge convenable). Il a dit: Parlez (comme
vous voulez). Donc, Muhammad b. Maslama vint à Ka'b et lui parla, se référa à
la vieille amitié entre eux et dit: Cet homme (c'est-à-dire le Saint Prophète)
a pris la décision de recueillir la charité (de nous) et cela nous a mis dans
une grande détresse . Quand on l'a entendu, Ka'b a dit: Par Dieu, vous aurez
plus de problèmes avec lui. Muhammad b. Maslama a dit: Sans doute, maintenant
nous sommes devenus ses disciples et nous n'aimons pas l'abandonner jusqu'à ce
que nous voyions ce que ses affaires prendront. Je veux que tu me donnes un
prêt. Il a dit: Qu'allez-vous hypothéquer? Il a dit: Que veux-tu? Il a dit:
Engagez-moi vos femmes. Il a dit: Vous êtes le plus beau des Arabes;
Devrions-nous engager nos femmes à vous? Il a dit: Promets-moi tes enfants. Il
a dit: Le fils de l'un d'entre nous peut abuser de nous en disant qu'il a été
promis pour deux wasqs de dates, mais nous pouvons vous engager (cur) des
armes. Il a dit: D'accord. Alors Muhammad b. Maslama a promis qu'il viendrait à
lui avec Harith, Abu 'Abs b. Jabr et Abbad b. Bishr. Alors ils sont venus et
l'ont appelé la nuit. Il est descendu à eux. Sufyan dit que tous les narrateurs
sauf 'Amr ont déclaré que sa femme a dit: J'entends une voix qui sonne comme la
voix du meurtre. Il a dit: Ce n'est que Muhammad b. Maslama et son frère
adoptif, Abu Na'ila. Quand un homme est appelé la nuit même pour être percé
d'une lance, il devrait répondre à l'appel. Muhammad a dit à ses compagnons:
Quand il descendra, j'étendrai mes mains vers sa tête et quand je le tiendrai
rapidement, vous devriez faire votre travail. Alors, quand il est descendu et
qu'il tenait son manteau sous le bras, ils lui ont dit: Alors ils sont venus et
l'ont appelé la nuit. Il est descendu à eux. Sufyan dit que tous les narrateurs
sauf 'Amr ont déclaré que sa femme a dit: J'entends une voix qui sonne comme la
voix du meurtre. Il a dit: Ce n'est que Muhammad b. Maslama et son frère
adoptif, Abu Na'ila. Quand un homme est appelé la nuit même pour être percé
d'une lance, il devrait répondre à l'appel. Muhammad a dit à ses compagnons:
Quand il descendra, j'étendrai mes mains vers sa tête et quand je le tiendrai
rapidement, vous devriez faire votre travail. Alors, quand il est descendu et
qu'il tenait son manteau sous le bras, ils lui ont dit: Alors ils sont venus et
l'ont appelé la nuit. Il est descendu à eux. Sufyan dit que tous les narrateurs
sauf 'Amr ont déclaré que sa femme a dit: J'entends une voix qui sonne comme la
voix du meurtre. Il a dit: Ce n'est que Muhammad b. Maslama et son frère
adoptif, Abu Na'ila. Quand un homme est appelé la nuit même pour être percé
d'une lance, il devrait répondre à l'appel. Muhammad a dit à ses compagnons:
Quand il descendra, j'étendrai mes mains vers sa tête et quand je le tiendrai
rapidement, vous devriez faire votre travail. Alors, quand il est descendu et
qu'il tenait son manteau sous le bras, ils lui ont dit: Maslama et son frère
adoptif, Abu Na'ila. Quand un homme est appelé la nuit même pour être percé
d'une lance, il devrait répondre à l'appel. Muhammad a dit à ses compagnons: Quand
il descendra, j'étendrai mes mains vers sa tête et quand je le tiendrai
rapidement, vous devriez faire votre travail. Alors, quand il est descendu et
qu'il tenait son manteau sous le bras, ils lui ont dit: Maslama et son frère
adoptif, Abu Na'ila. Quand un homme est appelé la nuit même pour être percé
d'une lance, il devrait répondre à l'appel. Muhammad a dit à ses compagnons:
Quand il descendra, j'étendrai mes mains vers sa tête et quand je le tiendrai
rapidement, vous devriez faire votre travail. Alors, quand il est descendu et
qu'il tenait son manteau sous le bras, ils lui ont dit:Nous sentons de vous une
très bonne odeur. Il a dit: Oui, j'ai avec moi une maîtresse qui est la plus
parfumée des femmes d'Arabie. Il a dit: Permettez-moi de sentir (l'odeur sur
votre tête). Il a dit: Oui, vous pouvez sentir. Alors il l'a attrapé et a
senti. Puis il a dit: Permettez-moi de le faire (encore une fois). Il a ensuite
tenu sa tête rapidement et a dit à ses compagnons: Faites votre travail. Et ils
l'ont tué .
Sahih Muslim 19: 4436
« Il a été rapporté d'Abu
Hurairah que le Messager d'Allah a dit : "Celui qui couvre (le péché de) un musulman, Allah le couvrira (son
péché) dans ce monde et dans l'au-delà." (Sahih) ».
Sunan Ibn Majah 3: 20: 2544
« Rapporté Ka'b ibn Malik : Quand le Prophète (paix soit sur lui) avait l'intention de faire une expédition
[guerrière], il prétendait toujours aller ailleurs, et il disait : La guerre
est une tromperie ».
Abu Dawud 14: 2631
Si le jihad est perpétuel, cela signifie (selon la théologie islamique) que
les musulmans sont toujours en état de guerre. Si les musulmans sont toujours
en état de guerre, cela signifie que la
tromperie est toujours permise, indépendamment de l'absence de toute guerre
visible contre les non-musulmans.
« Anas ibn Malik : Le Prophète
(Salla Allah'Alaihi Wa Sallam) a dit : Trois choses sont les racines de la foi :
s'abstenir de tuer quelqu'un qui dit : "Il n'y a pas d'autre dieu
qu'Allah" et ne pas le déclarer incroyant, quel que soit le péché il
s'engage, et ne pas l'excommunier de l'Islam pour son action ; et le jihad sera exécuté continuellement
depuis le jour où Allah m'a envoyé comme prophète jusqu'au jour où le dernier
membre de ma communauté se battra avec le Dajjal (Antéchrist) . La tyrannie
de n'importe quel tyran et la justice de n'importe quel (dirigeant) ne
l'invalidera pas. Il faut avoir foi dans le décret divin ».
Sunan Abu Dawud 14: 2526
Je suis le meilleur des comploteurs. Je les ai trompés avec ma ruse, de
sorte que je vous ai délivrés d'eux.
Ishaq: 323
Le corps de Ka'b a été laissé prostré [humilié dans la soumission]. Après
sa chute, tous les Juifs Nadir ont été amenés bas. L'épée à la main nous
l'avons coupé. Par ordre de Muhammad nous avons été envoyés secrètement par
nuit. Frère qui tue le frère. Nous l'avons attiré à sa mort avec ruse.
Voyageant de nuit, audacieux comme des lions, nous sommes allés chez lui. Nous
lui avons fait goûter la mort avec nos épées mortelles. Nous avons cherché la
victoire pour la religion du Prophète.
Ishaq: 368
L'un des pères des jeunes hommes a affronté Muhammad et a dit: « Vous avez
volé mon fils de sa vie par votre tromperie et m'a apporté un grand chagrin.
Ishaq: 383
Par l'ordre de Muhammad nous les avons séduits.
Ishaq: 442
«Par Allah tu mens», dit l'un à l'autre. ' Mentir toi-même !' «Vous êtes
une personne mécontente qui se dispute au nom des malades.
Ishaq: 496
Les Juifs de Qaynuqa ont répondu: 'Muhammad, pensez-vous que nous sommes
comme votre peuple? Ne sois pas trompé par le fait que tu as rencontré un
peuple sans connaissance et que tu as bien profité de ton opportunité .
Al-Tabari, Vol. 7, p. 85
Le Messager et ses Compagnons ont continué dans la crainte et la détresse
qu'Allah a décrites dans le Coran. Puis Nu'aym est venu au Prophète. « Je suis
devenu musulman, mais ma tribu ne connaît pas mon islam . commandez-moi donc ce
que vous voudrez. Muhammad a dit, 'Faites-les s'abandonner si vous le pouvez
afin qu'ils nous quittent; car la guerre est une tromperie.
Al-Tabari, Vol. 8, p. 23
'Prophète, ce groupe d'Ansar t'en veut de ce que tu as fait du butin et de
la façon dont tu l'as partagé entre tes propres gens.' «Ansar, quelle est cette
conversation que j'entends de vous? Quelle est la rancune que vous portez
contre moi? Pensez-vous mal de moi? Ne suis-je pas venu à vous quand vous étiez
dans l'indigence et dans l'indigence, et ensuite enrichi par Allah? 'Vous êtes
venus à nous discrédités, quand votre message a été rejeté par les Quraysh, et
nous vous avons cru. Vous avez été abandonné et abandonné et nous vous avons
aidé. Vous étiez un fugitif et nous vous avons accueilli, vous mettant à
l'abri. Vous étiez pauvre et dans le besoin, et nous vous avons réconfortés.
Al-Tabari, Vol. 9, p. 36
Toutes les citations sont tirées de sources sunnites (c.-à-d. Orthodoxes
islamiques) faisant autorité, aucune n'est tirée de sources chiites.
Imam Abu
Hammid Ghazali dit : « Parler est un
moyen d'atteindre les objectifs : si un but louable est réalisable à la fois en
disant la vérité et en mentant, il est illégal d'accomplir par le mensonge
parce que cela n'est pas nécessaire. Un tel but en mentant mais pas en disant
la vérité, il est permis de mentir si
atteindre le but est permis (Note : quand le but du mensonge est de
contourner quelqu'un qui empêche de faire quelque chose de permis), et obligatoire si le but est obligatoire ...
dans tous les cas, il est religieusement prudent d'employer des mots qui
donnent une impression trompeuse ... ».
La
dépendance du voyageur : un manuel classique de la loi sacrée islamique
Ahmad
ibn Naqib al-Misri, édité et traduit par Nuh Ha Mim Keller (page 745, r8.2).
« Il est admis de mentir si le but poursuivi est
admissible. Mentir est obligatoire si
l’objectif à atteindre est obligatoire » (Umdat al-Salik, « La dépendance du voyageur », Para r8.2).
« Il est permis de jurer à Rasulullah quand on
est sous la contrainte et de réciter le Kalima de Kufr dans la crainte de
perdre la propriété ou de se faire tuer à condition que le cœur soit à l'aise ».
Chapitre
"Al Dheema"
Nizam
al-Din al-Shashi, Usul al-Shashi (page 114)
Si vous [les musulmans] êtes sous leur autorité [des infidèles], craignez
pour vous-mêmes, faites preuve de loyauté envers eux, avec votre langue, tout
en nourrissant une animosité intérieure pour eux . ... Allah a interdit aux
croyants d'être amicaux ou en termes intimes avec les infidèles à la place des
croyants - sauf quand les infidèles sont au-dessus d'eux [en autorité]. Dans un
tel scénario, laissez-les agir amicalement envers eux.
Jami 'al-Bayan' et ta'wil ayi'l-Qur'an al-Ma'ruf: Tafsir à-Tabari
Abu Ja'far Muhammad à-Tabari, Beyrouth: Dar Ihya 'à-Turath al-'Arabi, 2001
(volume 3, page 267)
Que les croyants ne prennent pas les mécréants pour patrons, plutôt que
pour les croyants, car quiconque fait cela, c'est-à-dire, quiconque les prend
comme mécènes, n'appartient pas à la religion de Dieu de toute façon. - sauf si
vous vous protégez contre eux, comme une sauvegarde (tuqātan, 'comme une
sauvegarde', est le nom verbal du taqiyyatan), c'est-à-dire, [sauf] vous avez
peur de quelque chose, auquel cas vous pouvez leur montrer mots , mais pas dans
vos coeurs: c'était avant l'hégémonie de l'Islam et [la dispense] s'applique à
tout individu résidant dans une terre sans aucun droit de parole .
Sourate 3 Ayah 28
Tafsir al-Jalalayn, trad. Feras Hamza, 2012 Institut Royal Aal al-Bayt pour
la pensée islamique
(sauf si vous craignez vraiment un danger de leur part), à l'exception de
ceux qui dans certains domaines craignent pour leur sécurité des mécréants.
Dans ce cas, de tels croyants sont autorisés à montrer l'amitié aux mécréants
extérieurement, mais jamais intérieurement. Par exemple, Al-Bukhari a rapporté
qu'Abu Ad-Darda a dit: " Nous sourions à certaines personnes bien que nos
coeurs les maudissent ." Al-Bukhari a dit qu'Al-Hasan a dit: " La
Tuqyah est autorisée jusqu'au Jour de la Résurrection. .
Sans aucun doute, il n'y a aucun mal à pratiquer Taqiyyah si un croyant est
pris entre les non-croyants et que sa vie ou ses biens sont menacés par eux.
Dans de telles circonstances, il devrait leur cacher son inimitié. Enfait, il
devrait parler de telle manière que ses mots devraient montrer la passion. Son
oreille ne devrait pas confirmer ce qu'il dit. Taqiyyah n'a pas d'effet sur son
cœur; il a seulement un effet externe.
Sourate 3. Al-i'Imran, Ayah 28
Fakhr al-Din al-Razi, Tafser Kabeer, publié à Istanbul (volume 2, page 626)
Les non-croyants ont attrapé une fois Ammar bin Yasir et ils l'ont forcé à
dire qu'ils louaient leurs faux dieux et à condamner le prophète Mahomet. Ils
l'ont forcé dans une mesure que Ammar bin Yasir a donné dans un dépassement de
leurs demandes. Après cela, quand il est retourné au prophète Mahomet, Ammar
lui a raconté toute l'histoire. Le Prophète Muhammad lui a demandé comment tu
te sens dans ton cœur? A quoi Ammar a répondu, je suis pleinement satisfait de
la religion d'Allah dans mon cœur. A ce prophète Mohammed a dit, si les
non-croyants vous demandent de dire la même chose à nouveau, dites-le . A ce
moment, l'ayah suivant était descendu:
"Quiconque, après avoir accepté la foi en Allah, exprime l'incrédulité
(sauf par contrainte et même alors son coeur reste ferme dans la foi) est la
Colère d'Allah et la sienne sera une Pénalité terrible"
Sourate 16. An-Nahl, Ayah 106
Jalal al-Dîn al-Suyuti, Al-Durr Al-Manthur Fi Tafsir Bil-Ma'thir, édition
du Caire (tome 4, page 132)
Tous les érudits de la Oummah islamique s'accordent sur le fait que
parfois, quand on est forcé, on peut dénoncer l'Islam.
Tafsir Ma'alim à Tanzeel
Husain bin Masood al-Baghawi, publié à Bombay (vol.2, p.214)
Là encore, toutes les citations sont tirées de sources sunnites
(c'est-à-dire orthodoxes) faisant autorité, aucune n'est tirée de sources
chiites.
Question:
Au nom d'Allah le Tout Miséricordieux le Miséricordieux
La paix, les bénédictions et la miséricorde d'Allah soient sur vous.
Mon père a une relation illicite avec une femme autre que ma mère et il
refuse de l'épouser et il passe beaucoup de temps avec elle, et en même temps,
il se fâche sur sa maison. Ma mère savait ce qu'il dépensait, à son insu, en
lisant une liste qu'il tenait dans sa poche. Elle a utilisé des astuces pour
faire la sédition entre eux en prétendant que quelqu'un nous a appelés et a dit
qu'il avait dépensé cette somme et cette somme pour cette femme. Mon père a
demandé mon témoignage et j'ai soutenu la demande de ma mère. Est-ce que ma
mère et moi sommes pécheurs en mentant sur mon père, ou est-ce considéré comme
un mensonge «admissible»? Comment nous conseillez-vous de résoudre ce problème?
Jazakum Allahu Khairan.
Réponse :
Au nom d'Allah le Tout Miséricordieux le Miséricordieux
Louange à Allah, prière et paix soient sur Son messager, ses membres de
famille, compagnons et disciples.
Le mensonge est un péché grave et une mauvaise conduite qui ne devrait pas
être utilisée par quiconque croit en Allah et au Jour du Jugement, sauf sous
les coups de force impérieux , parce que, comme le prophète, les prières et la
paix d'Allah soient sur lui , dit: "Ce mensonge conduit à la dissolution,
et cette dissolution conduit à l'enfer, et une personne ment toujours et
cherche à mentir jusqu'à ce qu'il soit enregistré à Allah qu'il est un
menteur". Si quelqu'un est obligé de mentir, il peut dire indirectement
quelque chose que son auditeur peut comprendre d'autre chose. Cependant, votre
père devrait être contacté par un conseil sincère qu'il devrait craindre Allah
et que sa relation avec cette femme est contre sa réputation, sa vieillesse et
sa religion, qui l'exposerait à la colère et au mépris d'Allah. Je lui dirais
ce que le poète arabe a dit: "Il suffit que tu sois vieux et que l'Islam
te retienne".
Quant à votre mère, il vaudrait mieux pour elle qu'elle approche votre père
dans leur intimité et lui dit qu'elle sait ce qui se passe entre lui et cette femme,
et qu'elle est patiente sur cette situation en considération de la famille et
liens intimes entre eux et que sa patience a atteint une limite d'avertissement
sans plus s'il continue ainsi, et qu'elle lui rappelle Allah et l'effraie de Sa
colère et de son mépris, qu'il puisse revenir à ses sens et se repentir
sincèrement à Allah. Allah sait mieux.
Dr. Salah Al-Sawy, AMJA en ligne, ID de question : 937, 17 novembre 2005
Shaykh al-Shanqeeti (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde) a dit:
Dans ce verset [al-Maa'idah 5:51] Allah nous dit que quiconque prend les
Juifs et les Chrétiens comme amis est l'un d'eux parce qu'il les a pris comme
amis ... [Aal 'Imraan 3:28]
Ce verset explique tous les versets cités ci-dessus qui interdisent de
prendre les kaafirs comme amis en termes généraux. Ce à quoi cela se rapporte
est dans les cas où l'on a le choix, mais dans les cas de peur et de taqiyah,
il est permis de se faire des amis avec eux , autant qu'il est essentiel de se
protéger contre leur mal. Cela est soumis à la condition que notre foi ne soit
pas affectée par cette amitié et que celui qui se comporte de cette manière par
nécessité ne soit pas celui qui se comporte de cette manière par choix.
On peut comprendre à partir de la signification apparente de ces versets
que celui qui prend délibérément les kuffaar comme des amis par choix et parce
qu'il les aime, est l'un d'entre eux.
Adwa 'al-Bayaan, 2 / 98,99
. . .
Shaykh Muhammad al-Saalih al-'Uthaymeen (qu'Allah lui fasse miséricorde) a
été interrogé sur la décision de se mêler aux kuffaar et de les traiter avec
bonté en espérant qu'ils deviendront musulmans. Il a répondu:
Sans aucun doute le musulman est obligé de haïr les ennemis d'Allah et de
les désavouer , parce que c'est la voie des messagers et de leurs disciples.
[Citations al-Mumtahanah 60: 4 et al-Mujaadilah 58:22]
Sur cette base, il n'est pas permis à un musulman de ressentir de l'amour
dans son cœur envers les ennemis d'Allah, qui sont en fait ses ennemis.
[Citations al-Mumtahanah 60: 1]
Mais si un musulman les traite avec gentillesse et douceur dans l'espoir
qu'il deviendra musulman et qu'il y croira, il n'y a rien de mal à cela , parce
qu'il s'agit d'ouvrir son cœur à l'islam. Mais s'il désespère qu'ils deviennent
musulmans, alors il devrait les traiter en conséquence . C'est quelque chose
qui est discuté en détail par les savants, en particulier dans le livre Ahkaam
Ahl al-Dhimmah par Ibn al-Qayyim (Puisse Allah lui accorder Sa miséricorde).
Majmoo 'Fatawa al-Shaykh Ibn' Uthaymeen, 3, question no. 389.
"Qu'est-ce que l'on entend par prendre les kuffaar comme des
amis?" ( Article archivé )
Islam Q & A, Fatwa n ° 59879 .
Le mot arabe tawriyah [traduit ici par ambiguïté délibérée] signifie cacher
quelque chose.
Allah dit (interprétation de la signification): [Citations al-Ma'idah 5:31
et al-A'raaf 7:26]
En ce qui concerne la signification dans la terminologie sharee'ah
(religieuse), il se réfère à quelqu'un qui dit quelque chose qui peut sembler
avoir un sens à l'auditeur mais l'orateur veut quelque chose de différent qui
peut être compris à partir de ces mots. Par exemple, il dit: «Je n'ai pas de
dirham dans ma poche», et cela veut dire qu'il n'a pas d'argent du tout, alors
que ce qu'il veut dire c'est qu'il n'a pas de dirham mais il peut avoir un
dinar, par exemple. C'est ce qu'on appelle l'ambiguïté ou la dissimulation.
L'ambigüité délibérée est considérée comme une solution légitime pour
éviter les situations difficiles dans lesquelles une personne peut se trouver
lorsque quelqu'un lui demande quelque chose, et elle ne veut pas dire la vérité
d'une part, et ne veut pas mentir, d'autre part.
L'ambiguïté délibérée est permise si elle est nécessaire ou si elle sert un
intérêt shar'i (religieux) , mais il n'est pas approprié de le faire beaucoup
pour que cela devienne une habitude, ou de l'utiliser pour gagner quelque chose
de façon injustifiée ou pour priver quelqu'un de ses droits.
Al-Nawawi a déclaré :
Les savants ont dit : Si cela est nécessaire pour servir un intérêt
légitime shar'i qui l'emporte sur le souci de tromper la personne à qui vous
parlez, ou pour une raison qui ne peut être atteinte sans mentir, alors il n'y
a rien de mal à utiliser l'ambiguïté délibérée comme une alternative
acceptable. Mais s'il n'y a pas d'intérêt à servir et pas de besoin pressant,
alors c'est makrooh (détesté), mais ce n'est pas haram (inadmissible). Si c'est
un moyen de prendre injustement quelque chose ou de priver quelqu'un de ses
droits, alors c'est haram dans ce cas. C'est la ligne directrice dans cette
affaire. Al-Adhkaar.
Certains chercheurs étaient d'avis qu'il est haram de recourir à
l'ambiguïté délibérée s'il n'y a pas de raison ou de nécessité de le faire.
C'était la vue favorisée par Shaykh al-Islam Ibn Taymiyah (qu'Allah lui fasse
miséricorde). Voir al-Ikhtiyaaraat.
Il y a des situations dans lesquelles le Prophète (paix et bénédictions
d'Allah soient sur lui) a enseigné que nous pouvons utiliser l'ambiguïté délibérée, par exemple :
Si un homme perd son wudoo (ablution) en priant en congrégation, que
devrait-il faire dans cette situation embarrassante ?
La réponse est qu'il devrait placer sa main sur son nez et partir.
La preuve de cela est le rapport rapporté de 'Aïcha (qu'Allah soit
satisfait d'elle) qui a dit: Le Messager d'Allah (paix et bénédictions d'Allah
soient sur lui) a dit: "Si quelqu'un d'entre vous rompt son aïeul en
priant, laissez il se tient le nez et part. "Sunan Abi Dawood.
Al-Teebi a dit : L'ordre de tenir son nez est tel qu'il aura l'air d'avoir
un saignement de nez. Ce n'est pas un mensonge, c'est plutôt une sorte
d'ambiguïté. Cette concession est accordée pour que le Shaytan ne le force pas
à rester en place parce qu'il se sent embarrassé devant les gens.
Mirqaah al-Mafaateeh Sharh Mishkaat al-Masaabeeh.
C'est une sorte d'ambiguïté qui est permise, afin d'éviter toute gêne et
pour que celui qui le voit partir pense qu'il a un saignement de nez.
De même, si un musulman est confronté à une situation difficile où il a
besoin de dire ce qui est contre la vérité pour se protéger ou innocenter, ou
pour éviter de graves ennuis, est-il possible d'échapper à la situation sans
mentir ou tomber dans le péché ?
Oui, il y a une voie légale et une fuite autorisée que l'on peut utiliser
si nécessaire. C'est l'équivoque ou l'indirérité dans la parole. L'imam
al-Bukhaari (qu'Allah lui fasse miséricorde) a intitulé un chapitre de son
Sahih: "Le discours indirect est un moyen sûr d'éviter le mensonge".
(Sahih al-Bukhari, Kitaab al-Adab (Livre des mœurs)).
L'équivoque signifie dire quelque chose qui a une signification plus proche
que l'auditeur comprendra, mais il a aussi une signification éloignée de ce qui
est réellement signifié et linguistiquement correct. La condition pour cela est
que tout ce qui est dit ne doit pas présenter une vérité comme fausseté et vice
versa. Voici des exemples de telles déclarations utilisées par les salafs
(pieux prédécesseurs) et les premiers imams (chefs religieux), et recueillies
par l'imam Ibn al-Qayyim dans son livre Ighaathat al-Lahfaan :
Il a été rapporté à propos de Hammad (qu'Allah lui fasse miséricorde), si
quelqu'un venait avec qui il ne voulait pas s'asseoir, il dirait comme s'il
souffrait : "Ma dent, ma dent !" Alors la personne ennuyeuse qu'il
n'a pas comme le laisserait seul.
L'imam Sufyan Al-Thawri a été amené au khaleefah al-Mahdi, qui l'aimait,
mais quand il a voulu partir, le khaleefah lui a dit qu'il devait rester.
Al-Thawri jura qu'il reviendrait. Il est ensuite sorti, laissant ses chaussures
à la porte. Après un certain temps, il est revenu, a pris ses chaussures et est
parti. Le khaleefah a demandé à propos de lui, et a été dit qu'il avait juré de
revenir, alors il était revenu et a pris ses chaussures.
L'imam Ahmad était chez lui et certains de ses étudiants, y compris
al-Mirwadhi, étaient avec lui. Quelqu'un est venu, demandant Al-Mirwadhi de
l'extérieur de la maison, mais l'imam Ahmad ne voulait pas qu'il sorte, alors
il a dit: "Al-Mirwadhi n'est pas là, que ferait-il ici?" Tout en
mettant son doigt dans la paume de son autre main, et la personne extérieure ne
pouvait pas voir ce qu'il faisait.
D'autres exemples d'ambiguïté ou « d'indirectité » dans le
discours sont les suivants :
Si quelqu'un vous demande si vous avez vu telle ou telle personne, et si
vous lui dites que cela pourrait causer un préjudice, vous pouvez dire « ma ra
aytuhu », ce qui signifie que vous n'avez pas coupé son poumon, parce que c'est
une signification correcte en arabe ["ma ra aytuhu" signifie
habituellement "je ne l'ai pas vu", mais peut aussi signifier
"je n'ai pas coupé son poumon"]; ou vous pourriez nier l'avoir vu, se
référant dans votre cœur à un moment et à un endroit précis où vous ne l'avez
pas vu. Si quelqu'un vous demande de prêter serment que vous ne parlerez jamais
à tel ou tel, vous pouvez dire "Wallaahi lan ukallumahu", ce qui
signifie que vous ne le blesserez pas, car "kalam" peut aussi
signifier "blessure" en arabe [ainsi que "discours"]. De
même, si une personne est forcée de prononcer des mots de kufr (incrédulité) et
qu'on lui dit de nier Allah, il lui est permis de dire "Kafartu
bi'l-laahi",
(Ighaathat al-Lahfaan par Ibn al-Qayyim Voir aussi la section sur
l'équivoque (ma'aareed) dans Al-Adaab al-Shar'iyyah par Ibn Muflih).
Cependant, il convient de veiller à ce que l'utilisation de telles
déclarations ne soit limitée qu'aux situations de grande difficulté, sinon :
Une utilisation excessive peut conduire au mensonge.
On peut perdre de bons amis, parce qu'ils seraient toujours dans le doute
quant à ce que l'on veut dire.
Si la personne à qui une telle déclaration est faite en vient à savoir que
la réalité était différente de ce qu'on lui avait dit, et qu'il ne savait pas
que la personne se livrait à une ambiguïté délibérée ou à une équivoque, il la
considérerait comme un menteur. Cela va à l'encontre du principe de la
protection de l'honneur en ne donnant pas aux gens la possibilité de douter de
son intégrité.
La personne qui utilise une telle technique peut souvent devenir fière de
sa capacité à tirer profit des gens.
Fin de citation. De Madha taf'al fi'l-haalaat al-aatiyah (Que faire dans
les situations suivantes)?
"Permissibilité de l'ambiguïté et définition de la nécessité" (
archivé )
Q & A de l'Islam, Fatwa n ° 27261 .
Dire des demi-vérités est permis dans les conditions suivantes:
1 - il y a une raison légitime de le faire S'il n'y a pas de raison
légitime (selon la charia) , alors ce n'est pas permis. [Ibn Abidin, Radd
al-Muhtar 9/613.]
2 - le vrai sens 'caché' n'est pas trop tiré par les cheveux
3 - la déclaration ne conduit pas à quelqu'un d'autre souffre d'injustice
ou perd un de ses droits.
4 - on ne jure pas à la demi-vérité au nom d'Allah [Ibn Muflih, al-Adab
al-Shar`iyyah]
"Trompe mais ne ment pas aux parents" (archivé)
Sidi Suheil Laher, Chemin sunnite, Question ID: 6544 .
..le but est de rester à l'abri de tout
dommage possible à travers eux. Les mots ("sauf si vous avez peur
d'eux") apparaissant dans ce verset signifient que ... l'amitié avec les
mécréants n'est pas permise sauf quand vous êtes dans une situation où vous
voulez vous défendre contre eux.
Sourate Al-Imran 3: 28-30
Muhammad Shafi Usmani, Maarif ul Quran (page 57)
C'est-à-dire: Si les fidèles sont pris
au piège au milieu des infidèles et si, comme moyen de sauvegarde, ils les prennent
comme leurs amis pour l'apparence, alors il n'y a rien de mal à cela ; mais ici
souligné que nous devrions craindre Allah et ne pas se livrer à faire une chose
qui nuirait aux intérêts de la religion ...
Sourate 3 Ayah 28
Shams Pirzada, Dawat ul Quran, trad. Abdul Karim Shaikh
"(3:28) Les croyants ne peuvent pas
prendre les incroyants pour leurs alliés de préférence à ceux qui croient.Que
celui qui fait cela n'a rien à voir avec Allah à moins qu'il ne le fasse pour
se protéger de leurs fautes ..."
Cela signifie qu'il est légal pour un
croyant, impuissant face aux ennemis de l'Islam et en danger imminent de mal et
de persécution graves, de garder sa foi cachée et de se comporter de manière à
créer l'impression qu'il est sur du même côté que ses ennemis. Une personne
dont l'identité musulmane est découverte est autorisée à adopter une attitude
amicale envers les incroyants afin de lui sauver la vie. S'il se croit
incapable de supporter les excès auxquels il peut être soumis, il peut même
déclarer qu'il n'est pas croyant.
"... Allah vous avertit de se
méfier de Lui car c'est à Allah que vous reviendrez."
On ne devrait pas être submergé par la
peur des autres êtres humains au point de perdre la crainte de Dieu. Les êtres
humains peuvent nuire à un homme, mais le mieux qu'ils peuvent faire est de
ruiner sa vie terrestre transitoire. Dieu, d'un autre côté, peut le soumettre
au tourment éternel. Si l'on est contraint dans des circonstances
extraordinaires de recourir à une dissimulation prudente de la foi
(taqiyah)afin de sauver sa vie, cette dissimulation devrait rester dans des
limites raisonnables. Tout au plus est-il permis de protéger sa vie et ses
biens sans compromettre ni les intérêts de l'Islam ni ceux de la communauté
musulmane dans son ensemble, et sans causer de pertes de vie et de biens à
d'autres Musulmans. Il ne faut jamais permettre de sauver sa propre vie pour
conduire à la propagation de l'incrédulité au détriment de l'Islam et à la
domination des incroyants sur les musulmans. Ici, les croyants sont avertis
que, peu importe la gravité des circonstances, ils ne peuvent échapper au
reproche de Dieu s'ils apportent une aide substantielle à ceux qui se rebellent
contre Lui et causent des dommages à la religion de Dieu, à la communauté des
croyants ou à tout individu. croyant. Car, c'est à Dieu que l'on reviendra
finalement pour le compte.
Sourate 3 Ayah 28
Sayyid Aboul Ala Maududi, Tafhim al-Coran
Toutes les citations sont tirées de sources sunnites respectées (c.-à-d.
Orthodoxes islamiques), aucune n'est tirée de sources chiites.
Je dis que nos savants sont d'accord sur
le fait qu'en cas de besoin, dire un mensonge est permis, et c'est Taqiyyah.
Mais si nous nommons cette Taqiyyah, beaucoup d'érudits soulèvent une
objection, puisque les Shi'as utilisent ce terme. Donc, la différence entre
Shi'a et Sunni est seulement la différence de mots.
Muhammad bin Aqeel Shaafiyee, al-Nasa'ih al-Kaafiyah (page 109), édition de
Bombay
Tous les savants s'accordent sur le fait
que si un homme cruel vient tuer une personne qui se cache, ou vient prendre
injustement les biens de quelqu'un d'autre, et demande des informations à ce
sujet (possession), alors Wajib veut que tout le monde le cache et nier la
connaissance de ses allées et venues. Ce n'est pas seulement permis mais Wajib
parce que son but est de protéger un opprimé de la poigne d'un oppresseur
Al-Nawawi, Al Minhaj et Sharh Sahih Muslim (volume 2, pages 106-266),
publié dans Luknow
Il faut savoir que la Taqiyyah est permise, prouvée dans le Coran : «Que
les croyants ne prennent pas pour alliés des amis ou des mécréants plutôt que
des croyants: si cela est fait, rien ne sera aidé par Allah, sauf par
précaution, afin que vous vous gardiez d'eux, mais qu'Allah vous avertit (se
souvient) de Lui-même, car le but final est à Allah. "et l'autre
déclaration d'Allah [swt]:
"Celui qui ne croit pas en Allah
après avoir cru, pas celui qui est contraint alors que son coeur est en repos à
cause de la foi, mais celui qui ouvre la poitrine à la mécréance - sur ceux-ci
est la colère d'Allah, et ils avoir un châtiment douloureux. "
La définition de Taqiyyah est de
s'opposer à la vie, à la propriété ou à l'honneur de quelqu'un, et cela peut
être de deux types. Premièrement, l'hostilité peut être fondée sur la religion
de la croyance, comme un kaafir et un musulman. Deuxièmement, il peut être basé
sur les choses du monde, comme la propriété, le lieu, les femmes et d'autres
biens. Ainsi, Taqqiyah est aussi de deux sortes ...
Shah Abdul Aziz Dehlavi, Tauhfa Ithna Ashariyya, p. 337
Taqiyyah est autorisé à des moments de
peur, et Tabbara a dit que nos compagnons disent qu'en cas de besoin, Taqiyyah
est autorisé; plutôt, dans certains cas, pour créer un environnement d'unité,
il peut également être utilisé. Et toutes les narrations qui sont présentes en
parlent .
Ahmed Fehmi Mesri, Hashia al-Mihal wa An-Nahal (volume 1, page 195), publié
au Caire
De même, Kufr est le pire acte. Mais
quand on est obligé de le commettre par une menace de meurtre, alors il est
permis d'adopter Taqiyyah et de réciter le Kalima de kufr; et une telle
personne ne devrait pas être considérée comme un cafre. En
vérité, la Shari'a a jugé que c'était un acte favorable de réciter Kalima de
Kufr sous Taqqiyah
Abu Shakoor Saalmi, al-Tamheed et Bayan al-Tauwheed (chapitre 1, pp.
18-19), publié à Delhi.
En Français :
[1] A Primer on Islamic Deceit (Taqiyya,
Kitman, Tawriya, Muruna, etc. . .), https://saboteur365.wordpress.com/2015/07/17/a-primer-on-islamic-deceit-taqiyya-kitman-tawriya-muruna-etc/
[2] Taqiya, art de la duperie, https://pointsdereperes.com/taqiya-art-de-la-duperie/
[3] La dissimulation et le mensonge dans le Coran,
comme techniques d’expansion islamiste, Emilie Defresne, 20 janvier 2015, http://www.medias-presse.info/la-dissimulation-comme-technique-dexpansion-dans-le-coran/23594/
[3bis] Source : La dissimulation et le mensonge
dans le Coran, comme techniques d’expansion islamiste, http://www.forum-religion.org/islamo-chretien/taqiya-tawriya-kitman-muruna-t52983.html
[4] La "taqiya", ou l'art
de la dissimulation des djihadistes,
http://www.europe1.fr/societe/la-taqiya-ou-lart-de-la-dissimulation-des-djihadistes-2810476
[5] Taqiya : la dissimulation comme
nouvel art de la guerre, https://www.marianne.net/monde/taqiya-la-dissimulation-comme-nouvel-art-de-la-guerre
[6] Taqîya, https://fr.wikipedia.org/wiki/Taq%C3%AEya
[7] La Taqiya, dissimulation islamiste, fait des
ravages dans les prisons françaises, 22 oct. 2014, http://www.medias-presse.info/la-taqiya-dissimulation-islamiste-fait-des-ravages-dans-les-prisons-francaises/16912/
[8] La Taqiya ou le concept coranique qui permet
aux musulmans radicaux de dissimuler leurs véritables croyances, Annie Laurent,
19 Novembre 2015, http://www.atlantico.fr/decryptage/taqiya-ou-concept-coranique-qui-permet-aux-musulmans-radicaux-dissimuler-veritables-croyances-annie-laurent-2445946.html
[9] La Taqiyya et les règles de la
guerre islamique, Raymond Ibrahim, Middle East Forum, 2010, https://www.meforum.org/articles/2010/la-taqiyya-et-les-regles-de-la-guerre-islamique
[10] Comment contredire un
musulman ? Hervé Jaubert, CreateSpace Amazon, 2015.
[11] Le secret entre droit et
religion - Sami Aldeeb, 2004, http://sami-aldeeb.com/medias/2015/12/french-dissimulation-taqiyyah-chez-les-chiites-et-les-druzes-2004.doc
En Anglais :
[12] At-taqiyya
fi ' l-Islam (en arabe), Sami
Mukaram, Mu'assisat à-Turath ad Druzi,
Londres, 2004.
[13] Taqiya:
Deliberate Deception (Unveiling Islam Book 3), Mohamed El-Tayeb, Water Life
Publishing, 15 avril 2015
[14] Taqiya, Nethanel
Willy, Culp Press, 18 août 2011
[15] Taqiya &
Raj'at: Precautionary Dissimulation & The Return of the Dead back to the
World, Abdol-Karim Behbahani et Blake Archer Williams, CreateSpace Independent
Publishing Platform, 11 mars 2017.
[Dans le premier essai du présent
livre, la dissimulation de précaution (taqiya) dans la Loi Sacrée de l'Islam
est discutée à la fois par rapport aux perspectives chiites de Sonni et
Twelver. L'auteur fournit ensuite une typologie de la dissimulation préventive
sous les rubriques suivantes : dissimulation prudentielle des non-croyants ; la
dissimulation prudentielle des musulmans ; dissimulation prudentielle dans les
actes de dévotion; dissimulation prudentielle dans l'émission de fatwas;
dissimulation prudentielle en matière politique].
[16] Taqiyya, https://wikiislam.net/wiki/Taqiyya
[17] Qur'an, Hadith
and Scholars:Lying and Deception, https://wikiislam.net/wiki/Qur%27an,_Hadith_and_Scholars:Lying_and_Deception
[17bis] Qur'an, Hadith
and Scholars:Muhammad and Lying, https://wikiislam.net/wiki/Qur%27an,_Hadith_and_Scholars:Muhammad_and_Lying
[17ter] Qur'an, Hadith
and Scholars:Muhammad and Deception, https://wikiislam.net/wiki/Qur%27an,_Hadith_and_Scholars:Muhammad_and_Deception
[18] Taqiya, https://en.wikipedia.org/wiki/Taqiya
[19] Raymond Ibrahim,
"Taqiyya about Taqiyya", 12 April 2014, http://www.raymondibrahim.com/islam/taqiyya-about-taqiyya/
[20] What are Kitman,
Muruna, Taqiyya and Tawriya? How are they justified?, Agha Talal, B.S.Honors
Islamic Sharia Law & Political Science, International Islamic University,
Islamabad, Oct 16, 2017, https://www.quora.com/What-are-Kitman-Muruna-Taqiyya-and-Tawriya-How-are-they-justified
Table des matières
1.1 Taqiya / taqiyya
(chiite) ou muda'rat (sunnite).
3 Différents avis instantanés sur
la taqiya
3.1 En islam, il faut dire
la vérité
4 La taqiya selon les autorités
religieuses musulmanes (première partie)
5 Différence entre le christianisme
et l’islam
6 La
tromperie dans les exploits guerriers de Mahomet
7 La taqiya, la tromperie, comme
ruse de guerre
15 La taqiya selon les textes
sacrés et les autorités religieuses (seconde partie)
15.5.2 L'interdiction de
soutenir les mécréants
[1] « Vous êtes la meilleure communauté, qu'on ait
fait surgir pour les hommes. Vous
ordonnez le convenable, interdisez le blâmable et croyez à Allah.» (Sourate
3 Al-`Imrân verset 110).
[2] "6.
Guide-nous dans le droit chemin,
7. Le chemin de ceux que Tu as comblés de faveurs,
non pas de ceux qui ont encouru Ta
colère, ni des égarés",
sourate 1, Al-Fatiha (L'ouverture), versets 6-7.
[3] « Mon joug est facile à porter et mon fardeau
léger », Mt 11(30)-12(5)
[6] Cf. Ethique de réciprocité, https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89thique_de_r%C3%A9ciprocit%C3%A9
[7] Cf. La Taqiya ou le concept coranique qui permet aux musulmans radicaux de
dissimuler leurs véritables croyances, Annie Laurent, 19 Novembre 2015, http://www.atlantico.fr/decryptage/taqiya-ou-concept-coranique-qui-permet-aux-musulmans-radicaux-dissimuler-veritables-croyances-annie-laurent-2445946.html
[8] Cette affirmation est à vérifier.
[9] Le secret entre droit et religion - Sami Aldeeb, http://sami-aldeeb.com/medias/2015/12/french-dissimulation-taqiyyah-chez-les-chiites-et-les-druzes-2004.doc
[11] "Grande marche du retour" : 4 questions
sur les affrontements sanglants à Gaza, 31 mars 2018, https://www.nouvelobs.com/monde/20180331.OBS4471/grande-marche-du-retour-4-questions-sur-les-affrontements-sanglants-a-gaza.html
[12] Ce à quoi, je lui avais apporté la réponse
suivante : « Khalid Ce qui
m'embête est que vous détourner notre attention sur ce problème, en nous
lançant sur un autre problème. Je ne trouve pas le procédé honnête. Si
j'utilise ce procédé malhonnête, je vous lance alors sur la traite
arabo-musulmane et orientale. Et on n'en finit pas (avec les 500.000 morts en
Syrie et les morts au Yémen, l'attaque des Kurdes par Erdogan, sans que cela
émeut les musulmans) : a) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Traite_orientale,
b) https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Traite_arabe
».
[13] Fakes diffuses par les Palestiniens et leurs
soutiens que les israéliens appellent Pallywood : https://fr.wikipedia.org/wiki/Pallywood
[14] 5. Que l’homme considère donc de quoi il a été
créé.
6. Il a été créé
d’une giclée d’eau (خُلِقَ مِن مَّاءٍ دَافِقٍ)
7. sortie d’entre
les lombes et les côtes (يَخْرُجُ مِن بَيْنِ الصُّلْبِ وَالتَّرَائِبِ).
(commentaire : Il a été créé à partir d'une eau (le sperme)
qui jaillit de l'homme).
Sources : a) http://www.islam-fr.com/coran/francais/sourate-86-at-tariq-l-astre-nocturne.html
[15] Reliance of The Traveller, Umdat
al-Salik, https://abudaniyal.files.wordpress.com/2016/05/reliance2_complete.pdf
[16] Sami Mukaram, At-taqiyya fi
' l-Islam (Londres: Mu'assisat
à-Turath ad Druzi, 2004), p. 7.
[17] Annie Laurent, Ibid.
[18] Sourate 2:177, Sourate 2:165, Sourate 3:14,
Sourate 11:90, Sourate 12:30, Sourate 19:96, Sourate 21:90, Sourate 76:8,
Sourate 89:20, Sourate 100:8.
[19] Il y est 110 fois dans le Nouveau Testament.
Source : Le mot "amour" n'est pas écrit dans le Coran, il y est 110
fois dans le Nouveau Testament, n'est pas là une des principales divergences et
cela ne reflète t-il pas un esprit totalement différent entre les 2 religions
?, https://fr.answers.yahoo.com/question/index?qid=20090119081443AA8ZlS9
[20] Imam Muslim, "Kitab al-Birr wa's-Salat, Bab
Tahrim al-Kidhb wa Bayan al-Mubih Minhu," Sahih Muslim, rev. ed., Abdul
Hamid Siddiqi, trad. (New
Delhi: Kitab Bhavan, 2000).
[21] Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi'l
Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina (Cairo: Al-Azhar, 2003), p. 304.
[22] Mukaram, At-Taqiyya fi 'l-Islam, p.
32.
[23] The Al Qaeda Reader, Raymond
Ibrahim, Doubleday, New York, 2007, pp. 142-3.
[24] Mukaram, At-Taqiyya fi 'l-Islam,
pp. 32-3.
[25] Ibn Ishaq, The Life of Muhammad,
Oxford University Press, Karachi, 1997, pp. 367-8.
[26] Shihab ad-Din Muhammad al-Alusi al-Baghdadi, Ruh al-Ma'ani fi Tafsir al-Coran al-'Azim wa' l-Saba' al-Mithani (Beirut: Dar al-Kutub al-'Ilmiya, 2001), vol. 2, p. 118.
[27] Mukaram, At-Taqiyya fi 'l-Islam,
pp. 11-2.
[28] Ibid., pp. 41-2.
[30] Sun Tzu, général chinois du VIᵉ siècle av. J.-C.,
auteur de l'ouvrage de stratégie militaire le plus ancien connu « L'Art de
la guerre ».
[31] John Lyly, Euphues: The Anatomy of Wit (London, 1578), p. 236.
[32] Emile Tyan, The Encyclopedia of Islam (Leiden: Brill, 1960), vol.
2, s.v. "Djihad", pp. 538-40.
[33] David Bukay, "Peace or Jihad? Abrogation in Islam", Middle East Quarterly,
Fall 2007, pp. 3-11, f.n. 58; David S. Powers, "The Exegetical Genre nasikh
al-Coran wa-mansukhuhu", in Approaches to the History of the
Interpretation of the Coran, Andrew Rippin, ed. (Oxford: Clarendon Press,
1988), pp. 130-1.
[34] Jalil, At-Tarbiya al-Jihadiya fi Daw' al-Kitab wa ' s-Sunna, p. 7.
[35] Ibn Khaldun, The Muqadimmah. An Introduction to History, Franz
Rosenthal, trad. (New York: Pantheon, 1958), vol. 1, p. 473
[36] Hugh Kennedy, The Great Arab Conquests (Philadelphia: Da Capo,
2007), p. 112.
[38] Majid Khadduri, War and Peace in the Law of Islam (Baltimore: The
Johns Hopkins Press, 1955), p. 220.
[39] Ahmad Mahmud Karima, Al-Jihad fi'l Islam: Dirasa Fiqhiya Muqarina,
p. 461.
[40] Ibid., p. 469.
[41] Muhammad al-Bukhari,
"Judgements (Ahkaam)" Sahih al-Bukhari, book 89,
M. Muhsin Khan, trad., accès au site, le 22 juillet 2009.
[42] Michael Bonner, Jihad in Islamic History: Doctrines and Practice
(Princeton: Woodstock Publishers, 2006), p. 148.
[43] Ahmed Akgündüz, "Why Did the Ottoman Sultans Not Make Hajj (Pilgrimage)?" accès au site, le 9 nov. 2009.
[44] Daniel Pipes, "Lessons from the Prophet Muhammad's Diplomacy", Middle East Quarterly, Sept. 1999, pp. 65-72.
[45] Arabinda Acharya, "Training in Terror", IDSS Commentaries,
Institute of Defence and Strategic Studies, Nanyang Technological University,
Singapore, May 2, 2003.
[46] "Does hypocrite have a past tense?", for clip of
Osama bin Laden, accès au site, le 1er août, 2009.
[47] Denis MacEoin, "Tactical Hudna and Islamist Intolerance", Middle East Quarterly,
Summer 2008, pp. 39-48.
[48] Mariuma, Yarden. "Taqiyya as Polemic, Law and Knowledge:
Following an Islamic Legal Term through the Worlds of Islamic Scholars,
Ethnographers, Polemicists and Military Men." The Muslim World 104.1-2
(2014): 89-108.
[49] "The Taqiyya Libel Against
Muslims" [La diffamation de Taqiyya contre les musulmans], Sheila Musaji,
The American Muslim, 21 May 2012, http://www.theamericanmuslim.org/tam.php/features/articles/the_taqiyya_libel_against_muslims/0014285
[50] Raymond Ibrahim, "Taqiyya about Taqiyya", 12 April 2014, http://www.raymondibrahim.com/islam/taqiyya-about-taqiyya/
[52] Il a été le Directeur exécutif de l'association
Collectif contre l'islamophobie en France, de mars 2016 à octobre 2017. Source
: Marwan Muhammad, https://fr.wikipedia.org/wiki/Marwan_Muhammad
[54] Citer uniquement les passages pacifiques du coran, sachant bien que ces
passages furent abrogés par des versets belliqueux.
[58] Abu Ja'far Muhammad at-Tabari, Jami' al-Bayan 'an ta'wil
ayi'l-Coran al-Ma'ruf: Tafsir at-Tabari (Beirut: Dar Ihya' at-Turath al-'Arabi,
2001), vol. 3, p. 267.
[59] Imad ad-Din Isma'il Ibn Kathir, Tafsir al-Coran al-Karim (Beirut:
Dar al-Kutub al-'Ilmiya, 2001), vol. 1, p. 350.
[60] Mukaram, At-Taqiyya fi 'l-Islam, pp. 30-7.
[61] Sahih Bukhari Volume 7, Book 67, Hadith 427, http://quranx.com/Hadith/Bukhari/USC-MSA/Volume-7/Book-67/Hadith-427/
[62] Qur'an, Hadith and Scholars:Muhammad and Lying, https://wikiislam.net/wiki/Qur%27an,_Hadith_and_Scholars:Muhammad_and_Lying
[64] Sahih al-Bukhari Book Number 52 Hadith Number 267, https://muflihun.com/bukhari/52/267
[65] Sahih Bukhari Volume 004, Book 052, Hadith Number 268, http://www.hadithcollection.com/sahihbukhari/85/3499-sahih-bukhari-volume-004-book-052-hadith-number-268.html
[68] Sahih al-Bukhari Volume 5 Book 59 Hadith 369, https://muflihun.com/bukhari/59/369
[69] Sahih Bukhari / Volume-9 / Book-86 / Hadith-100, http://quranx.com/Hadith/Bukhari/USC-MSA/Volume-9/Book-86/Hadith-100/
[70] Sahih Bukhari / Volume-9 / Book-86 / Hadith-98, http://quranx.com/Hadith/Bukhari/USC-MSA/Volume-9/Book-86/Hadith-98/
[71] La
narration anglaise correspondante ( Sahih Bukhari 9: 86:
101 ) ajoute une clause
supplémentaire "et alors elle atteint l'âge de la puberté", que nous
pouvons voir et qui n'est pas présente dans la version arabe du hadith et était
donc probablement ajouté par le traducteur Muhsin Khan lui-même.
[72] الصفحة الرئيسية » الحديث » صحيح البخاري » كتاب الحيل » باب في النكاح, http://hadith.al-islam.com/Page.aspx?pageid=192&BookID=24&PID=6678
[73] Sahih Muslim / Book-32 / Hadith-6303, http://quranx.com/Hadith/Muslim/USC-MSA/Book-32/Hadith-6303/