Citations
sur l’Islam
1 Table des matières
2 Contre -
Critiques négatives
- Omar Khayyam, écrivain et savant persan (~1048-1122) : "Referme ton Coran. Pense et regarde librement le ciel et la terre".
- Montaigne, philosophe et moraliste de la Renaissance (1533-1592) : “Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d'or et de pierreries, peuplé de garces d'excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, leur sens et entendement est entièrement étouffé en leur passion” (Essais).
- Blaise Pascal, scientifique et
philosophe français (1623-1662) " : “La religion Mahométane a pour fondement l’Alcoran et Mahomet. Mais ce
Prophète qui devait être la dernière attente du monde a-t-il été prédit ?
Et quelle marque a-t-il que n’ait aussi tout homme qui se voudra dire
Prophète ? Quels miracles dit-il lui-même avoir faits ? Quel mystère
a-t-il enseigné selon sa tradition même ? Quelle morale, et quelle
félicité ?” (Les Pensées).
- Bossuet, écrivain, précepteur de Louis XIV,
évêque de Meaux (1627-1704) : "L’islam !
Cette
religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion
sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font
trembler le monde et rétablissent par force l’empire de Satan dans tout
l’univers". (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque).
- Montesquieu, philosophe et écrivain français (~1689-1755)
: "C’est un malheur pour la nature
humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion
mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet
esprit destructeur qui l’a fondée." (De
l’Esprit des lois, livre XXIV, chapitre 4) "La religion des Guèbres (Zoroastriens) rendit autrefois le royaume de Perse
florissant ; elle corrigea les mauvais effets du despotisme : la religion
mahométane détruit aujourd’hui ce même empire."
- Condorcet, philosophe, économiste, mathématicien et
homme politique français (1743-1794) : "La religion de Mahomet, la plus
simple dans ses dogmes, […] condamne à un esclavage éternel et a une
incurable stupidité toute cette vaste Portion de la terre où elle a étendu son
empire" (Esquisse d'un tableau
historique des progrès de l'esprit humain).
- Claude Adrien Helvétius, philosophe,
franc-maçon et poète français (1715-1771) : "Mahomet, simple courtier d'Arabie, sans
lettres, sans éducation, et dupe lui-même en
partie du fanatisme qu'il inspirait, avait été forcé, pour composer le médiocre
et ridicule ouvrage nommé al-koran, d'avoir
recours à quelques moines grecs. Or, comment, dans
un tel homme, ne pas reconnaître l'ouvrage du hasard qui le place dans le temps
et les circonstances où devait s'opérer la révolution à laquelle cet homme
hardi ne fit guère que prêter son nom ?".
- Jean le Rond D’Alembert, mathématicien, philosophe et encyclopédiste
français (1717-1783) : "Les imams et
les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu'on ne croit pour s'entendre; leur but commun est
de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine." (à vérifier si la source est : l’Encyclopédie).
- Voltaire, écrivain et philosophe français (1694-1778)
: Le personnage de Mahomet a fortement intéressé Voltaire qui
lui a consacré une pièce de théâtre Le Fanatisme ou
Mahomet et suggéré de
nombreux commentaires. Voltaire considère Mahomet comme
un imposteur, un faux prophète, un fanatique et un hypocrite15 dans
son œuvre Le Fanatisme,
qui ne vise pas uniquement le fanatisme musulman mais aussi, indirectement, le
fanatisme chrétien de son époque. Il développa de féroces commentaires dans le Dictionnaire
philosophique (Dictionnaire philosophique, Cosse et Gaultier, 1838, « Alcoran », p. 40)
:
« C’était un sublime et hardi
charlatan que ce Mahomet, fils d’Abdalla. », Dictionnaire philosophique, Cosse et Gaultier,
1838, « Alcoran », p. 40.
"Les musulmans sont animés de la rage de la malfaisance. Rien n'est plus
terrible qu'un peuple qui n'ayant rien à perdre, combat à la fois par espoir de
rapine et de religion" (Questions
sur l'Encyclopédie).
"Mahomet
le fanatique, le cruel, le fourbe, et, à la honte des hommes, le grand,
qui de garçon marchand devient prophète, législateur et monarque".
"Il est à croire que Mahomet,
comme tous les enthousiastes, violemment frappé de ses idées, les débita
d'abord de bonne foi, les fortifia par des rêveries, se
trompa lui-même en trompant les autres, et appuya enfin, par des fourberies
nécessaires, une doctrine qu'il croyait bonne".
Dans son Essai sur les
Mœurs, il évoquera toutefois le grand
homme qui a changé la face d’une partie du
monde « J’ai dit qu’on reconnut
Mahomet pour un grand homme; rien n’est plus impie,
dites-vous. Je vous répondrai que ce n’est pas ma
faute si ce petit homme a changé la face d’une partie du monde, s’il a gagné
des batailles contre des armées dix fois plus nombreuses que les siennes, s’il
a fait trembler l’empire romain, s’il a donné les premiers coups à ce
colosse que ses successeurs ont écrasé, et s’il a été législateur de l’Asie, de
l’Afrique, et d’une partie de l’Europe » (Œuvres complètes de Voltaire,
t. 24, Moland, 1875, « Lettre civile et
honnête a l’auteur malhonnête de la Critique de l’histoire universelle de M. de
Voltaire (1760) », p. 64.)
- Chateaubriand, écrivain et homme
politique français (1768-1848) : "Je
dois remarquer que j’ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler
l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage
et la polygamie est un peuple qu’il
faut renvoyer aux steppes des Mongols." (Mémoires, XXIX, 12) "Tous les éléments de la morale et de la
société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la
destruction sociale sont dans la religion de Mahomet." (Mémoires
d’Outre-tombe, 1828).
- Alfred de Vigny, écrivain français (1797-1863) :
"Croyez en Dieu et en son prophète
qui ne sait ni lire ni écrire (dans le Coran)" (Journal d’un poète,
été-automne 1829). "Si l’on préfère la vie à la mort on doit préférer la
civilisation à la barbarie. L’islamisme est le culte le plus immobile et le
plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent
s’ils ne changent de culte". (Journal
d’un poète, année 1831).
- Georg Wilhelm Friedrich Hegel, philosophe allemand (1770-1831) : "Le
plus grand mérite pourtant [de l’Islam] est de mourir pour la foi, et celui qui
meurt pour elle en bataille, est sûr d'entrer au paradis." (retrouver
la référence de cette citation).
- Alexis de Tocqueville (1805-1859), philosophe politique, homme politique, historien, précurseur de la sociologie et écrivain français : "Mahomet a placé dans le Coran non seulement
des doctrines religieuses mais des maximes politiques et des lois
criminelles". "J'ai beaucoup étudié le Coran [...] Je vous avoue que je suis sorti de
cette étude avec la conviction qu'il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de
religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens,
la principale cause de la décadence aujourd'hui si visible du monde musulman
(.) je la regarde comme une décadence plutôt que comme un progrès". "L'islam, c'est la polygamie, la séquestration des femmes,
l'absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux qui
force de cacher sa vie et rejette toutes les affections du cœur du côté de
l'intérieur de la famille". (De la
démocratie en Amérique).
- Gustave Flaubert, écrivain français (1821-1880) :
"Sans doute par l’effet de mon vieux
sang normand, depuis la guerre d’Orient, je suis indigné contre l’Angleterre,
indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui
l’attaque ? Cette prétention de défendre l’Islamisme (qui est en soi une
monstruosité) m’exaspère. Je demande, au nom de l’humanité, à ce qu’on
broie la Pierre-Noire,
pour en jeter les cendres au vent, à ce qu’on détruise La Mecque, et que l’on
souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme." (Lettre àMme Roger des Genettes / 12 ou 19 janvier
1878).
- Monseigneur Louis Pavy, Évêque
d'Alger (1805-1866) : "Celui qui
prétend être le prophète d'Allah devrait avoir des lettres de créances,
c'est-à-dire la prophétie, les miracles et l'intégrité de l'ensemble de sa vie.
Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de
sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un
tiers du globe alors connu". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Ernest Renan écrivain,
philologue, philosophe et historien français (1823-1892) :
"L'islam est contraire à l'esprit scientifique, hostile au
progrès ; il a fait des pays qu'il a conquis un champ fermé à la culture
rationnelle de l'esprit."16 (Ernest
Renan / 1823-1892 / conférence à la Sorbonne, 1883).
"Le plus mauvais
état social, à ce point de vue, c'est l'état théocratique, comme l'islamisme et l'ancien
Etat pontifical, où le dogme règne directement d'une manière absolue".
"Ce fut par ces
traductions arabes des ouvrages de science et de philosophie grecque que l'Europe
reçut le ferment de tradition antique nécessaire à l'éclosion de son génie".
"L'islamisme ne
peut exister que comme religion officielle ; quand on le réduira à l'état de
religion libre et individuelle, il périra. L'islamisme n'est pas seulement une
religion d'État, (.) c'est la religion excluant l'État...".
"Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que
quand le dernier fils d'Ismaël sera mort de misère ou aura été relégué par la
terreur au fond du désert. L'Islam est la plus complète négation de l'Europe ;
l'Islam est le fanatisme".
"L'Islam est le dédain de la science, la suppression de la
société civile ; c'est l'épouvantable simplicité de l'esprit sémitique, rétrécissant le
cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute
recherche rationnelle, pour le mettre en face d'une éternelle tautologie : Dieu
est Dieu...". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Schopenhauer, philosophe allemand (1788-1860) :
"Le Coran, ce
méchant livre, a suffi pour fonder une grande
religion, satisfaire pendant 1200 ans le besoin métaphysique de plusieurs
millions d’hommes ; il a donné un fondement à leur morale, leur
a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d’affronter
des guerres sanglantes, et d’entreprendre les plus vastes
conquêtes. Or nous y trouvons la plus triste
et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens
nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je
n’ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde." (Le Monde comme Vouloir et
comme Représentation, 1844, Suppléments, XVII).
- Charles de Foucauld, officier de l'armée
française, devenu explorateur et géographe, puis religieux catholique, ermite et linguiste (1858-1916) : "Des musulmans
peuvent-ils être vraiment Français ? (.) d'une manière générale, non (.) Dans
cette foi le musulman regarde l'islam comme sa vraie patrie et les peuples
non-musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou
ses descendants ; s'il est soumis à une nation
non-musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira
et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la
sagesse l'engage à subir avec calme son épreuve". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Winston Churchill, homme d'État britannique,
écrivain (1874-1965) : « Que les horreurs laissées par le Mahométisme à ses
sectateurs sont effrayantes ! Après la frénésie fanatique, aussi dangereuse
chez un homme que la rage chez un chien, voici l'apathie fataliste, apeurée.
Les effets se voient dans beaucoup de pays. Des coutumes inconséquentes, une
agriculture négligée, un commerce léthargique, l'insécurité des biens, se
voient partout où les fidèles du Prophète dominent ou vivent... Un sensualisme
dégradé prive la vie de grâce et de raffinement. Le fait que sous la loi mahométane
toute femme doit dépendre d'un homme comme sa propriété absolue, que ce soit
comme enfant, épouse ou concubine, repousse la fin de l'esclavage jusqu'à ce
que la foi islamique aura cessé d'exercer un grand
pouvoir sur les hommes.
Des musulmans
individuels peuvent montrer de brillantes qualités... mais l'influence
de la religion paralyse le développement social de ceux qui la suivent. Aucune
autre force aussi rétrograde n'existe dans le monde. Loin d'être moribond, le
Mahométisme est une foi militante et prosélyte. Il a déjà investi l'Afrique
Centrale, suscitant des combattants sans peur à chaque étape. Si la Chrétienté
n'était pas repliée dans les bras de la science, cette science contre laquelle
elle a vainement lutté, la civilisation européenne pourrait s'écrouler comme
s'est écroulée celle de l'antique Rome ». Source : Winston Churchill, The River War: An Historical Account Of The Reconquest
Of The Soudan, éd. Longmans, Green & Co, 1899, première édition, p248-250, pas de traduction française
signalée.
- Mustapha Kémal, dit Atatürk, militaire, fondateur et premier président de la République de Turquie (1881-1938) :
« Depuis plus
de cinq cents ans, [...] les règles et
les théories d'un vieux cheikh arabe, et les
interprétations abusives de générations de prêtres
crasseux et ignares ont fixé, en Turquie,
tous les détails de la loi civile et criminelle. Elles ont réglé la forme de la Constitution, les moindres faits et gestes
de la vie de chaque citoyen, sa nourriture, ses heures de veille et de sommeil,
la coupe de ses vêtements, ce qu'il apprend à l'école, ses coutumes, ses
habitudes et jusqu'à ses pensées les plus intimes. L'Islam, cette théologie
absurde d'un Bédouin immoral, est un cadavre putréfié qui empoisonne nos vies ».
Mustapha Kémal ou la mort d'un empire, Jacques Benoist-Méchin, éd. Albin Michel,
1954, p. 323.
« Vous venez me parler des avantages
que nous a valu notre conversion à l'Islam, et moi je vous dis :
regardez ce qu'elle nous a couté ! ». Ibid, p. 326.
« N'est-ce pas pour le Calife, pour l'Islam, pour les prêtres
et pour toute cette vermine que le paysan turc a été condamné à saigner et à
mourir pendant des siècles sous toutes les
latitudes et sous tous les climats ? Il est temps que la Turquie songe à
elle-même, qu'elle ignore tous ces Hindous et Arabes qui l'ont menée à sa
perte. Il est grand temps, je le répète, qu'elle
secoue définitivement le joug de l'Islam ! Voilà des siècles que le califat se
gorge de notre sang ». Ibid, p. 332.
"Mais pourquoi nos femmes s'affublent-elles
encore d'un voile pour se masquer le visage, et se détournent-elles à la vue
d'un homme ? Cela est-il digne d'un peuple civilisé ? Camarades, nos femmes ne
sont-elles pas des êtres humains, doués de raison comme nous ? Qu'elles
montrent leur face sans crainte, et que leurs yeux n'aient pas peur de regarder
le monde ! Une nation avide de progrès ne saurait ignorer la moitié de
son peuple !"
Source : https://fr.wikiquote.org/wiki/Mustafa_Kemal_Atat%C3%BCrk
- Carl-Gustav Jung, médecin psychiatre suisse (1875-1961) : "La religion d'Hitler est la plus proche qui soit de l'islamisme, réaliste, terrestre, promettant le maximum de récompenses dans cette vie, mais avec ce Walhalla façon musulmane avec lequel les Allemands méritoires peuvent entrer et continuer à goûter le plaisir. Comme l'islamisme, elle prêche la vertu de l'épée". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Bertrand Russell, mathématicien, logicien, philosophe, épistémologue, homme politique et moraliste britannique (1872-1972) : "L'islam et le bolchevisme ont une finalité pratique, sociale, matérielle dont le but est d'étendre leur domination sur le monde". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Hermann von Keyserling, philosophe allemand (1880-1946) : "Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l'islam et cette impression n'a fait que se préciser et s'affermir depuis". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Claude Levi-Strauss,
anthropologue (1908-2009) : « Les brefs
contacts que j’ai eus avec le monde arabe m’ont inspiré une indéracinable
antipathie. Il m’a fallu rencontrer l’Islam pour mesurer le péril qui menace
aujourd’hui la pensée française. [On ne peut que] constater combien la France
est en train de devenir musulmane.
Déjà l’Islam
me déconcertait par une attitude envers l’histoire contradictoire à la nôtre,
et contradictoire en elle-même : son souci de
fonder une tradition s’accompagne d’un appétit destructeur de toutes les
traditions antérieures.
Dans la
civilisation musulmane, les raffinements les plus
rares – palais de pierres précieuses, fontaines d’eau de rose, mets recouverts
de feuilles d’or – servent de couverture à la rusticité des mœurs et à la
bigoterie qui imprègne la pensée morale et religieuse.
Sur le plan
moral, on se heurte à une tolérance affichée en dépit d’un prosélytisme dont le
caractère compulsif est évident. En fait, le
contact des non-musulmans les angoisse.
Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans
l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la
suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande)
simplicité. Vous inquiétez-vous de la vertu de vos épouses ou de vos
filles ? Rien de plus simple, voilez-les et cloîtrez-les. C’est ainsi qu’on en
arrive à la burka moderne, semblable à un appareil orthopédique.
Si un corps de garde pouvait être religieux, l’Islam
paraîtrait sa religion idéale : stricte observance du règlement, revues de
détail et soins de propreté, promiscuité masculine dans la vie spirituelle
comme dans l’accomplissement des fonctions religieuses ; et pas de femmes.
(…) Ils compensent l’infériorité qu’ils ressentent par des formes
traditionnelles de sublimations qu’on associe depuis toujours à l’âme arabe :
jalousie, fierté, héroïsme.
Cette
religion se fonde moins sur l’évidence d’une révélation que sur l’impuissance à
nouer des liens au-dehors. En face de la bienveillance universelle du
bouddhisme, du désir chrétien de dialogue, l’intolérance
musulmane adopte une forme inconsciente chez ceux qui s’en rendent
coupables. S’ils ne cherchent pas toujours, de façon brutale, à amener l’autre
à partager leur vérité, ils sont pourtant
incapables de supporter l’existence d’autrui comme autrui.
Le seul moyen pour eux de se mettre à l’abri du doute et de l’humiliation consiste dans une « néantisation » d’autrui » (Extraits choisis de Tristes tropiques, Presses Pocket, pp. 475-490).
- Charles de Gaulle, militaire, résistant, homme d'État et écrivain français (1890-1970) : « C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. Ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. Qu'on ne se raconte pas d'histoires ! Les musulmans, vous êtes allés les voir ? Vous les avez regardés avec leurs turbans et leurs djellabas ? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français ! Ceux qui prônent l'intégration ont une cervelle de colibri, même s'ils sont très savants. Essayez d'intégrer de l'huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d'un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisions l'intégration, si tous les Arabes et Berbères d'Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s'installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s'appellerait plus Colombey-les-Deux-Églises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées ! ».
Source : Conversation entre de Gaulle et Alain Peyrefitte, le 5 mars 1959, suite aux événements d'Algérie.
C’était de Gaulle, tome 1, Alain Peyrefitte, Editions de Fallois/Fayard, 1994 (ISBN 978‐2‐213‐02832‐3), p. 52
- Charles de Gaulle « Si une communauté n'est pas acceptée, c'est
parce qu'elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans
problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c'est parce qu'elle est
porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du
bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez
nous pour imposer ses mœurs » (Dans De Gaulle, mon père, par
Philippe De Gaulle, éd., Plon).
- André Malraux, écrivain, aventurier, homme politique et intellectuel français (1901-1976) :
« C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous-estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles ».
« Les formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe », « l'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce phénomène » et que « le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème » (1956).
"Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'islam, si elles avaient été appliquées à temps... Actuellement, il est trop tard ! [...] Le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'islam, tout ce que nous pouvons faire c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution". (Trouver la source et vérifier cette citation).
"Politiquement, l'unité de l'Europe est une utopie. Il faudrait un ennemi commun pour l'unité politique de l'Europe, et le seul ennemi commun qui existe est l'Islam" (campagne présidentielle de 1974).
- Ibn Warraq, pseudonyme d'un écrivain américain (1946-...) :
"Les
militants islamistes n'ignorent pas que l'islam est incompatible avec les
principes de la Déclaration universelle des droits de l'homme. Ils se sont
réunis à Paris en 1981 pour rédiger une Déclaration Islamique des Droits de
l'Homme qui occulte toutes les libertés qui contredisent la loi islamique. Plus
préoccupant encore est le fait que sous la pression des États musulmans,
l'article 18 de la Déclaration des Nations unies a été révisé en novembre 1981.
La liberté de religion et le droit de changer de
religion ont été supprimés et seul le droit d'avoir une religion fut
conservé".
"Alors
qu'on culpabilise tous les Européens avec le colonialisme et l'impérialisme
occidentaux [...], l'impérialisme arabe est au contraire présenté comme un
objet de fierté pour les musulmans. [...] Personne
ne s'avise de faire remarquer que l'islam a colonisé des territoires qui
appartenaient à des civilisations anciennes, et que ce
faisant, il a écrasé et réduit à néant de nombreuses cultures".
"N'y
a-t-il meilleur symbole de soumission à
l'impérialisme musulman que l'image du peuple algérien qui se prosterne cinq
fois par jour vers son conquérant situé en Arabie."
"L'islam en tant que tel n'est pas une religion modérée
: il suffit de lire le Coran, truffé de menaces et
d'imprécations en tout genre, pour s'en convaincre !"
"L'essor du fascisme et du racisme en Occident est la preuve que tout le monde n'est pas amoureux de la démocratie. Par conséquent, la bataille finale ne sera pas nécessairement entre l'islam et l'Occident mais entre ceux qui attachent du prix à la liberté et ceux qui n'en attachent aucun".
(Pourquoi je ne suis pas musulman, 1995).
- Ayaan Hirsi Ali, femme politique et écrivaine néerlando-somalienne (1969-...) :
"L'islam actuel n'est pas compatible avec les présupposés de l'Etat de droit occidental."
"En tant que croyance et doctrine, l'islam est politique, culturel, social et militaire. Tout cela est inclus dans le livre saint : le Coran, révélé par le prophète Mohamed dont la vie doit être un modèle pour tous les musulmans. En cela l'islam veut nier toute distinction entre les personnes et toute différence de comportement. Nier le concept d'individu."
"Comme les milliers de personnes qui ont manifesté contre les caricatures danoises, j'ai longtemps cru que Mahomet était parfait - qu'il était la seule source du bien, le seul critère permettant de distinguer entre le bien et le mal. En 1989, quand Khomeiny a lancé un appel à tuer Salman Rushdie pour avoir insulté Mahomet, je pensais qu'il avait raison. Je ne le pense plus [...]" (« Je suis une dissidente de l'islam », Le Monde, 16 février 2006).
(a) De zoontjesfabriek [« L'usine à gamins »], Uitgeverij Augustus, 2008, 94 p., b) Ma vie rebelle [« Infidel »], Paris, Nil Editions, 2006, 508 p., c) Insoumise (trad. Josie Mijlstra), Éditions Robert Laffont, 2005, 216 p., d) Nomade, De l'Islam à l'Occident un itinéraire personnel et politique [« Nomad »] (trad. Johan Frédérik Hel-Guedj), Éditions Robert Laffont, 2010, 400 p.).
- Amir Jahanchahi, Iranien, fondateur du mouvement d'opposition iranien la « Vague Verte » : "L'islamisme est une idéologie de destruction de masse. Elle propage le chaos [.] elle abolit ce qui différencie l'homme de l'animal : la liberté de pensée, d'expression, de vivre. [.]. Là où d'autres idéologies - le nazisme, le fascisme, le communisme - ont échoué, l'islamisme peut réussir".
- Maurice-Georges Dantec, écrivain français naturalisé canadien (1959-...) :
"L'islam est-il soluble dans la démocratie ? Pauvres dindons bien plumés ! Que vous faut-il encore pour comprendre que votre démocratie se dissout irrésistiblement dans l'Islam ?"
"Les musulmans, et pire encore les musulmanes, sont les premières victimes de l'Islam."
"Il n'y a pas d'Islam militant et d'Islam modéré. Il n'y a que des variations d'intensité. Les lois coraniques ne peuvent être adoucies que très provisoirement". (Trouver la source et vérifier ces citations).
- Michel Onfray, philosophe et essayiste français (1959-...) : "L'islam est structurellement archaïque : point par point, il contredit tout ce que la philosophie des Lumières a obtenu depuis le XVIIIe siècle en Europe et qui suppose la condamnation de la superstition, le refus de l'intolérance, l'abolition de la censure, le rejet de la tyrannie, l'opposition à l'absolutisme politique, la fin de toute religion d'Etat, la proscription de la pensée magique, l'élargissement de toute liberté de pensée et d'expression, la promulgation de l'égalité des droits, la considération que toute loi relève de l'immanence contractuelle, la volonté d'un bonheur social ici et maintenant, l'aspiration à l'universalité du règne de la raison. Autant de refus clairement signifiés à longueur de sourate..."
"Et pour un Averroès, ou un Avicenne - ces prétextes tellement utiles... - combien d'imams hyper mnésiques ?".
(Trouver la source et vérifier cette citation).
- Éric Werner, philosophe et essayiste suisse (1940-...) : "La maison de servitude, c'est l'islam lui-même. Beaucoup de gens, ne rêvent qu'à une chose, en revenir à la maison de servitude. Ils sont fatigués de la liberté, n'aspirent qu'à en être débarrassés. Qu'à cela ne tienne, l'islam les en débarrasse. Il leur offre tout ce qu'ils désirent, des lois strictes et des peines sévères à ceux qui les enfreignent. Les gouvernants eux aussi sont séduits. L'islam leur facilite la tâche, c'est une idéologie qui leur convient". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Robert Redeker, professeur agrégé de philosophie (1954-...) :
« L'islam essaie d'imposer à l'Europe ses
règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux
femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d'un traitement diététique particulier des enfants
musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l'école,
accusation d'islamophobie contre
les esprits libres. Comment expliquer l'interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? » ;
« Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est
éduqué, le Coran » ;
« Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable,
pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. ».
« […]
l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans
certains de ses rites banals, exalte violence et haine ».
(Source : « Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? » Le Figaro, 19 septembre 2006).
- Etienne Gilson, philosophe et historien français (1884, 1978) : "Une éducation exclusivement consacrée à inculquer aux enfants la foi coranique a produit des générations dont, jusqu'à la fin du XIXe siècle, l'esprit est resté imperméable à toute influence venue d'ailleurs. On ne connait pas d'exemple comparable d'une stérilisation intellectuelle de peuples entiers par la foi religieuse". (Trouver la source et vérifier cette citation).
- Albert Jacquard, chercheur et essayiste français (1925-2013) : "Le fait que Mahomet ait écrit le Coran sous la dictée de l'ange Gabriel est non seulement absurde, mais dangereux : du fait de leur caractère sacré, on ne peut plus rien changer à ces écrits, et l'islam risque de se retrouver de plus en plus décalé par rapport au monde contemporain."
"Si le foulard n'était qu'une façon de s'habiller, il ne poserait pas problème. Mais le - foulard islamique - est une façon d'affirmer qu'une jeune musulmane, pour être fidèle à sa religion, doit le porter. Il s'agit donc d'une pression sur celles qui jugent bon de n'en pas porter. A ce titre, il ne peut être toléré". (Trouver la source et vérifier ces citations).
- Henri Pena-Ruiz, philosophe et écrivain français (1947-...) : "Un problème social doit être traité par des mesures sociales, et ce n'est pas parce que quelqu'un souffre d'injustice sociale qu'il faut l'abandonner à la compensation illusoire de l'intégrisme, douteux supplément d'âme. Il est par ailleurs aberrant d'assimiler toute critique de l'Islam politique à un acte de racisme". (Trouver la source et vérifier cette citation).
Jack-Alain Léger, romancier et chanteur français (1947-2013) : "Ils en ont assez enduré pour savoir que l'écart entre islam et islamisme n'est pas si grand, que la différence entre les deux entités n'est pas question de nature mais d'intensité. L'islamisme est de l'islam à un autre degré, sa variante meurtrière. L'islamisme est la métastase de ce mal, l'islam".
(Trouver la source et vérifier cette citation).
Raoul Vaneigem, écrivain, philosophe situationiste belge (1934-...) : "Les femmes du monde arabe savent bien que leur combat pour l'émancipation implique à la fois la fin du pouvoir patriarcal, dont la plupart des hommes se font les complices, et l'éradication d'une religion qui en justifie la prépondérance". (Trouver la source et vérifier cette citation).
John O'Neill, historien : « Après les invasions germaniques et
asiatiques, les peuples d'Europe de l'ouest, nous dit-on, sont retournés à la
vie dans des huttes de torchis aux toits de chaume. Les villes étaient
détruites et abandonnées, l'art de l'écriture virtuellement perdu, et la masse
de la population laissée dans un état d'ignorance par une église obscurantiste
et fanatique, qui complétait efficacement le travail de destruction des
barbares. Dans cette époque d'obscurité, les Arabes
apportèrent aux septième et huitième siècles comme un
rayon de lumière. Tolérants et éduqués, ils ramenaient la connaissance des
sciences de l'antiquité en Europe et, sous leur influence, les Occidentaux
amorcèrent leur long retour à la civilisation... C'est une vision du passé
complètement et outrageusement fausse. En fait, il serait difficile de
concevoir un récit plus éloigné de ce qui s'est réellement passé. Et, si
choquant que ce puisse paraître, les historiens le savent depuis des
générations.
La vérité est
que quand les Arabes ont atteint le sud de l'Italie et de l'Espagne ils ont
trouvé non pas un ramassis de sauvages primitifs, mais une civilisation latine
hautement sophistiquée, riche en villes, agriculture, art et littérature, et
dirigée par des rois goths complètement romanisés. Comment le savons-nous ? Eh
bien, les Arabes eux-mêmes le disent ; et leur témoignage a été confirmé
formellement par des preuves documentaires et archéologiques.
Cela posé, il
est vrai qu'à partir de la fin du septième siècle, ou au tout début du
huitième, cette florissante civilisation classique
s'effondra, assez soudainement. Et le monde médiéval qui nous est
familier prit forme : les villes déclinèrent et furent parfois abandonnées, le
commerce diminua, la vie devint plus rurale, les arts déclinèrent,
l'illettrisme prévalut, et le système féodal, qui fragmentait les royaumes
d'Europe occidentale, prit forme. Dans les années qui suivirent, l'Eglise
devint la seule source d'éducation et d'administration, et une économie de troc
remplaça largement le système monétaire. Quand des monnaies étaient frappées,
c'était en argent plutôt qu'en or comme auparavant, jusque dans la première
partie du septième siècle. Le Moyen-âge commençait.
Qui ou quoi a produit cette situation ? Dès les années 1920, le médiévaliste belge Henri Pirenne découvrit le proverbial fusil fumant. Il n'était pas dans les mains des Goths ou des Vandales, ou de l'Eglise Chrétienne : c'étaient celles de ce peuple qu'il était déjà à la mode de créditer du sauvetage de la civilisation occidentale : les Arabes. Le commerce avec les grandes concentrations de population et de culture du Levant, un commerce qui avait été un élément essentiel de la prospérité à l'ouest de l'Europe, s'achevait. Le flot d'articles luxueux que Pirenne trouva dans les registres des Wisigoths d'Espagne ou des Mérovingiens de Gaule finit soudainement, parce que les Arabes écumaient les mers [mettant fin à l'ensemble des échanges entre l' Europe et les grands centres de la civilisation du Proche – Orient]. L'or cessa d'arriver, et les grandes cités d'Italie, de Gaule et d'Espagne, particulièrement les ports, qui devaient leur prospérité au commerce méditerranéen, devinrent des villes fantômes. Le pire de tout, peut-être, dans la perspective de la culture et de l'éducation, l'importation de papyrus d'Egypte cessa. Ce produit, qui avait été amené en grandes quantités par bateau en Europe de l'ouest depuis le temps de la République Romaine, était absolument essentiel pour d'innombrables usages dans une société mercantile et cultivée ; et la fin de cet apport eut un effet immédiat et catastrophique sur les niveaux d'utilisation de l'écrit. Il s'effondra jusqu'à des niveaux peut-être équivalents à ceux des temps préromains ».
« En tant que puissance dominante de l'époque, les idées provenant du monde islamique ont maintenant commencé à pénétrer en Europe. De leurs ennemis musulmans, les chrétiens européens ont commencé à penser en termes qui auraient été inimaginables un siècle plus tôt. L'idée de la guerre sainte est entrée dans l'esprit des chrétiens, et, sous l'influence de l'Islam, le rationalisme de la Grèce et de Rome ont commencé à être remplacée par une interprétation littérale et intolérante du Livre. La civilisation classique était morte. »
Source : Holy Warriors : Islam and the Demise of Classical Civilization [Guerres saintes : l'Islam et la disparition de la civilisation classique], John O'Neill, Ed. Felibri.com, 2009, page 1-2 (retranscrit et traduit dans « La psychologie de Mahomet et des musulmans », Ali Sina, ed. Tatamis, 2014, pages 4128-429).
Note : dans cet ouvrage, John O'Neill soutient la thèse que la destruction de la civilisation romaine est due aux invasions arabes et non à l'instauration du Christianisme ou aux invasions barbares, comme on le croit couramment. Pour lui, les Croisades, par exemple, n'étaient pas un acte d'agression contre un monde musulman calme et paisible, mais une mesure défensive contre un islam toujours agressif et en pleine expansion.
Sources : a) https://ojs.lib.byu.edu/spc/index.php/CCR/article/download/12941/12805
b) https://www.goodreads.com/book/show/6872641-holy-warriors, c) https://books.google.fr/books?id=j5rNDZSpD70C&printsec=frontcover&hl=fr&source=gbs_ge_summary_r&cad=0#v=onepage&q&f=false
Interview du roi du Maroc Hassan II par la journaliste Anne Sinclair le 16 mai 1993 :
- Anne
Sinclair : Souhaiteriez-vous qu'ils soient intégrés en France ? Le principe
même de l'intégration, est-ce que vous êtes pour, ou contre ?
- Hassan II :
Je n'aimerais pas du tout qu'ils soient l'objet d'une tentative d'intégration,
car ils ne seront jamais intégrés.
- AS : Vous croyez qu’eux ne le veulent pas, ou que
les Français les refusent ?
- Hassan II :
L'exprimeraient-ils, qu'ils ne le pourront pas. C'est
possible entre Européens, la trame est la même, les mouvements européens dans
l'histoire ont été est-ouest, mais là c'est entre continents, et vous n'en avez que faire, ce seront de mauvais Français.
- AS : Vous
nous découragez de chercher à intégrer ?
- Hassan II :
Je vous décourage en ce qui concerne les miens, les Marocains, d'essayer un
détournement de nationalité, car ils ne seront
jamais 100% français, ça je peux vous l'assurer.
Source : http://grincheux.typepad.com/weblog/2011/01/interview-du-roi-du-maroc-par-anne-sinclair.html
"L'islam n'est pas une race. L'islam est uniquement un ensemble de croyances ; et il n'y a rien d'islamophobe à affirmer que l'islam est incompatible avec la démocratie". Ayaan Hirsi Ali, députée néerlandaise d'origine somalienne.
« Dans
le monde musulman, l'homophobie est institutionnalisée. La loi islamique, telle qu'elle est tirée des Écritures et a évolué au
fil des siècles, ne se borne pas à condamner l'homosexualité, elle la punit par
des sanctions extrêmement cruelles. De nombreux pays à majorité
musulmane ont des lois qui criminalisent et sanctionnent l'homosexualité
conformément à la loi islamique. Il n'est donc pas étonnant que, dans ces pays,
les musulmans soient homophobes et que beaucoup le demeurent après avoir émigré
en occident ».
« L'universitaire
néerlandais Rudolph Peters note que la plupart des courants du droit islamique
proscrivent l'homosexualité, la seule différence entre eux étant le mode de
châtiment. Pour les malékites, et une partie des
chafiites et des hanbalites [différents courants de l'islam sunnite], comme
pour les chiites, le châtiment doit être la mort, soit par lapidation
(malékites) soit par décapitation (certains chafiites et hanbalites), soit selon
l'appréciation du tribunal — le coupable peut alors être décapité, lapidé, jeté
d'un toit ou brûlé vif — (chiites) ».
« Le coupable de la tuerie d'Orlando était né aux États-Unis. Le problème ne vient donc pas des armes ni de l'immigration. Il découle d'une idéologie extrêmement dangereuse qui est en train de gangrener la société américaine sous le couvert de la religion. L'homophobie se manifeste sous différentes formes, mais à notre époque, aucune n'est aussi dangereuse que la version islamique ».
Extraits du Wall Street Journal, daté du 13 juin 2016.
« Une homophobie qui vient de loin », Ayaan Hirsi Ali, Courrier international, nº hors-série, novembre-décembre 2016, p. 62. Source : https://fr.wikiquote.org/wiki/Ayaan_Hirsi_Ali
"Mon idée centrale ? c'est que l'islam opprime et interdit
le progrès social à ses fidèles, femmes et hommes. Il crée une culture
qui reste figée dans les mœurs d'un lointain passé. Il vaudrait mieux pour tout
le monde, et surtout pour les musulmans, que cela puisse changer.
[...] Les
Occidentaux ont appris à ne pas examiner la religion et la culture des
minorités de façon trop critique, de crainte d'être taxés de racisme. Cela les
fascine [alors] que, moi, j'ose le faire".
Si nous, qui
avons grandi dans l'Islam, nous trouvons le courage d'affronter la réalité des horreurs que justifie notre religion,
nous pouvons changer notre destin.
"Quand
j'ai demandé son aide à Theo pour réaliser "Submission",
j'avais trois messages à faire passer. Le premier, c'était que les fidèles
peuvent, comme les femmes du film, lever les yeux et parler à Allah, engager un
dialogue avec Lui, et remettre en question Sa parole. Le deuxième, c'était que l'interprétation rigide du Coran par certains
musulmans impose aux femmes des souffrances intolérables. Avec la
mondialisation, de plus en plus de ces hommes viennent s'installer en Europe
avec les femmes qui leur appartiennent et qu'ils brutalisent, et il n'est plus
possible pour les Occidentaux d'ignorer ces sévères violations des droits
humains. Elles se commettent à Bristol, Rotterdam, Hambourg, Lille. Le
troisième message est dans la phrase finale du film : "Je ne pourrai plus
me soumettre". On peut se libérer : adapter sa foi, l'examiner de manière
critique, et déterminer à quel point elle est elle-même à la base de notre
oppression.
On me dit que
"Submission" est un film trop agressif. Que
les musulmans souffrent de cette critique. Combien
plus grande est la souffrance de ces femmes, enfermées dans cette cage
?".
"Le message de cet ouvrage, s'il doit en avoir un, c'est que nous n'avons pas le droit de prolonger la souffrance causée par cette transition [passage d'un pays musulman à un pays occidental] en élevant des cultures bigotes et misogynes au rang de choix de vie tout à fait respectables".
Ma vie rebelle, Ayaan Hirsi Ali, Pocket, 2008. Source : https://www.babelio.com/auteur/Ayaan-Hirsi-Ali/118114
"Bien sûr
l'écrasante majorité des musulmans ne sont pas terroristes ou n'ont de
sympathie pour les terroristes. Assimiler tout les musulmans à des
terroristes est stupide et incorrect. Mais reconnaître qu'il y a un lien entre islam et terrorisme est approprié et nécessaire." Ayaan Hirsi Ali
"J'ai été
musulmane, souvenez-vous, et c'est quand
j'étais le plus dévote que j'étais le plus remplie de haine." Ayaan Hirsi Ali
"Je ne vois
aucune différence entre islam et islamisme. L'islam est défini comme
étant la soumission à la volonté d'Allah, telle qu'elle est décrite dans le
Coran. L'islamisme c'est juste l'islam dans sa forme la
plus pure." Ayaan Hirsi Ali
"Une femme
occidentale n'est pas la propriété de son père ou de son frère. Elle est
juste elle-même. Elle peut choisir son style de vie. Mais dans une famille musulmane, l'honneur d'un homme est entre les
jambes d'une femme." Ayaan Hirsi Ali
"Je ne
crois pas qu'il existe un islam "modéré". Je crois qu'il est préférable de parler de degré de croyance et de
pratique." Ayaan Hirsi Ali
"J'aimerais
que les musulmans voient leur religion comme un ensemble de croyances qu'ils peuvent évaluer de façon critique et dans lequel ils peuvent piocher et choisir." Ayaan
Hirsi Ali
"Islam était comme une cage mentale. Au début, quand vous ouvrez la
porte, l'oiseau en cage reste à l'intérieur : il est terrifié. Il a
intériorisé sa captivité. Il lui faut du temps pour s'échapper, même
après que quelqu'un ait ouvert la porte de sa cage". Ayaan
Irsi Ali.
L'islam, c'est l'islamisme au repos et
l'islamisme, c'est l'islam en mouvement.
C'est une seule et même affaire." Ferhat Mehnni
"Il est vrai que tous les musulmans
ne sont pas terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans. Le problème est dans l’islam, dans les fondements mêmes de l’islam. Le
problème est dans le contenu du Coran et c’est
absolument limpide. Celui qui soutient le contraire est aveugle." Waleed Al-Husseini
"Les sociétés sûres d'elles se reflètent dans une religion confiante, sereine, ouverte ; les sociétés mal assurées se reflètent dans une religion frileuse, bigote, sourcilleuse. Les sociétés dynamiques se reflètent en un islam dynamique, innovant, créatif ; les sociétés immobiles se reflètent en un islam immobile, rebelle au moindre changement." Amin Maalouf, Les identités meurtrières.
« L’épée de Mahomet et le Coran sont les ennemis les plus
obstinés de la Civilisation, de la Liberté et de la Vérité que le monde ait
jamais connu ». Sources : a) Ibn Khaldoun,
http://islamla.com/viewtopic.php?f=82&t=7081
b)
The life of Mahomet, Sir William Muir
ESQ, Smith, Elder and co., 65, Cornhill, London, 1861, http://islamicblessings.com/upload/Life%20of%20Mahomet%20BY%20Muir%20Will%201861Edi.pdf
- Lamartine, poète, écrivain, historien, et homme politique français (1790-1869) : « Si la grandeur de l’objectif, l’infime quantité de moyens, et des résultats extraordinaires sont les 3 critères qui définissent le talent humain, qui peut oser comparer n’importe quel grand homme de l’Histoire moderne avec Muhammad ? » (Histoire de la Turquie, 1854, Tome 1 et Livre 1, p. 280). Source : http://www.uoif-online.com/islam-et-spiritualite/lamartine-sur-le-prophete-psl/
- Johann Wolfgang Von Goethe, romancier, dramaturge, poète, théoricien de l'art et homme d'État allemand (1749-1832) : « Nous les européens avec tous nos concepts n’avons pas pu encore atteindre ce que Mohammed a atteint et nul ne pourra le dépasser. J’ai cherché dans l’histoire de l’humanité un homme qui en soit l’exemple idéal et je l’ai trouvé en la personne du Prophète Muhammad. Et ainsi doit se révéler et s’élever comme a réussi Muhammad à assujettir le monde entier par le monothéisme. ». « Ce n’était pas un poète, mais un Prophète, par conséquent son Coran doit être vu comme une loi divine et non un livre écrit pour l’éducation et pour le divertissement » (Impossible de retrouver la source de ces deux citations).
- Thomas Carlyle, historien et philosophe écossais (1795-1881) : "C’est une honte pour chacun d’écouter les accusations disant que l’Islam est un mensonge et que Mohammed est un imposteur et un falsificateur. On l’a distingué pendant toute sa vie avec des principes inébranlables, une sincère détermination, bienveillant, généreux, compatissant, pieux, vertueux, digne d’éloges, libre, humaniste, très sérieux, sincère. Et avec toutes ces qualités, il avait le plus doux caractère, le tempérament le plus aisé, de bonne humeur, de compagnie louable et agréable, mieux il était plaisant et spirituel. Il était juste, sincère, clairvoyant, magnanime, pur et présent d’esprit. Son visage était radieux comme s’il avait en son sein des lumières illuminant toute nuit obscure. Il était un grand homme par sa nature, il n’a pas été éduqué par une école ni par un instituteur et il n’avait point besoin de tout cela" (Heroes, Hero Worship, and the Heroic in History », p. 50-51).
- George Bernard Shaw, critique musical, dramaturge, essayiste, auteur de pièces de théâtre et scénariste irlandais, prix Nobel de littérature 1925 (1856-1950) : « Si quelqu’un comme Muhammad était amené à diriger le monde aujourd’hui, il réussirait à résoudre tous les problèmes et à amener la paix et le bonheur » (The genuine Islam, Vol I., No 8).
- Dr William Draper (1811-1882), historien et philosophe américain : Mohammed fut « l’homme qui parmi tous les hommes, allait exercer la plus grande influence sur la race humaine » (A History Of the Intellectual Development of Europe).
- Annie Besant, conférencière, féministe, libre-penseuse, socialiste et théosophe britannique, qui prit part à la lutte ouvrière avant de diriger la Société théosophique puis de lutter pour l'indépendance de l'Inde (1847-1933) : « il est impossible pour celui qui étudie la vie et le caractère du grand Prophète d’Arabie, pour celui qui sait comment il enseignait et de quelle façon il vivait, de ressentir d’autre sentiment que le respect pour ce prophète prodigieux, l’un des grands messagers de l’Être suprême. » (The Life And Teachings of Mohammad, p. 4).
- Will Durant, philosophe, historien et écrivain américain (1885-1981) : « Si on avait à noter le grandiose en fonction de son influence sur certaines personnes, on dirait que Muhammad est le plus grand des grandioses » (à vérifier si la source est : « Histoire de la civilisation médiévale de Constantin à Dante, de 325 à 1300, Tome 4 - L'âge de la Foi (4 vol.), I.10 L'Apogée de Byzance. La civilisation islamique. (?) »).
- Bosworth Smith, auteur anglais (1839-1908) : « S’il y avait un homme qui aurait le droit de dire qu’il règne par la volonté divine, ce serait Mohammed, puisqu’il a reçu tout le pouvoir sans avoir les instruments ni les supports » (Mohammad and Mohammadanism, 1874, p.92).
- Dr. Gustav Weil, orientaliste allemand (1808-1889) : « Mohammed était un exemple éclatant pour son peuple. Son caractère était pur ainsi que ses qualités. Sa maison, son habit, sa nourriture étaient caractérisés par une rare simplicité. Il était tellement modeste qu’il n’avait pas accepté que ses Compagnons l’appellent par un surnom qui soit une adulation. Comme il n’acceptait pas qu’un autre lui rende un quelconque service que lui-même peut accomplir. Il était accessible à tout le monde, à tout moment. Il visitait le malade et était plein de sympathie pour tous. Sa générosité et sa bienveillance étaient illimitées tout comme il était dévoué pour le bien-être de la communauté » (L’histoire des personnalités musulmanes).
- Mohandas Karamchand Gandhi, dirigeant politique, important guide spirituel de l'Inde et du mouvement pour l'indépendance de ce pays (1869-1948) : "Je suis devenu plus que convaincu que ce n’était pas grâce à l’épée que beaucoup de gens ont embrasé l’islam dans ces temps modernes, mais grâce à la simplicité du prophète, son attachement vers les autres, son regard attentif avec sa promesse, sa dévotion intense, son intrépidité et sa confiance absolue et foi envers Dieu et sa propre mission". « Ils voient du feu là où il y a de la lumière, de la laideur là où il y a de la beauté, ils dénaturent toute bonne qualité et la présentent comme un vice, ce qui ne fait que démontrer leur état corrompu et leur immoralité… Ils sont frappés de cécité, car ils ne voient pas que l’unique épée que Mohammed ait jamais dégainée est celle de la clémence, de la compassion et de l’amitié, celle qui, à la fois, vainc les ennemis et purifie leur cœur. Cette épée est infiniment plus puissante que celle qui est faite de métal » (Extrait du journal « Young India », cité dans « The light », Lahore, 16/09/1924).
- Napoléon :
« En Égypte, je me trouvais débarrassé du frein d'une civilisation gênante. Je rêvais toutes choses et je voyais les moyens d'exécuter tout ce que j'avais rêvé. Je créais une religion, je me voyais sur le chemin de l'Asie, parti sur un éléphant, le turban sur ma tête et dans ma main un nouvel Alcoran que j'aurais composé à mon gré. J'aurais réuni dans mes entreprises les expériences des deux mondes, fouillant à mon profit le domaine de toutes les histoires, attaquant la puissance anglaise dans les Indes, et renouant par cette conquête mes relations avec la vieille Europe. Ce temps que j'ai passé en Égypte a été le plus beau de ma vie, car il en a été le plus idéal. »
(Napoléon Bonaparte, 1804, cité dans dans Mémoires de Madame de Rémusat, 1802-1808)
« Et après tout [...] ce n'est pas qu'il eût été impossible que les circonstances m'eussent amené à embrasser l'islamisme ; et, comme disait cette bonne reine de France : « Vous m'en direz tant » ! Mais ce n'eût été qu'à bonne enseigne ; il m'eût fallu pour cela au moins jusqu'à l'Euphrate. Le changement de religion, inexcusable pour des intérêts privés, peut se comprendre peut-être par l'immensité de ses résultats politiques. Henri IV avait bien dit : « Paris vaut bien une messe ». Croit-on que l'empire d'Orient, et peut-être la sujétion de toute l'Asie, n'eussent pas valu un turban et des pantalons ; [...] Cependant voyez les conséquences ! Je prenais l'Europe à revers, la vieille civilisation européenne demeurait cernée, et qui eût songé alors à inquiéter le cours des destinées de notre France, ni celui de la régénération du siècle ! »
(Napoléon Bonaparte, 26 avril 1816 à Sainte-Hélène, Mémorial de Sainte-Hélène, Las Cases)
« Les cheiks me disaient toujours que si je voulais m'établir patriarche, il fallait que l'armée se fit musulmane et prit le turban. C'était bien mon intention, mais je ne voulais faire cette démarche, qu'étant sûr de réussir, sans quoi, je me serais, comme Menou, couvert de ridicule. [...] Les Arabes n'attendaient qu'un homme, ils me regardaient comme un être extraordinaire. » (Napoléon Bonaparte, 26 décembre 1816 à Sainte-Hélène, Journal de Sainte-Hélène 1815-1818, Flammarion, 1947, t.1, p.244-245, Général Gourgaud)
« Si j'étais resté en Orient, j'aurais probablement fondé un empire, comme Alexandre, en me rendant en pèlerinage à la Mecque, où j'aurais fait des prières et des génuflexions, mais je ne voulais le faire que si cela en eût valu la peine. »
(Napoléon Bonaparte, 7 janvier 1818 à Sainte-Hélène, Flammarion, 1947, t.2, p.331, Général Gourgaud).
Dans les Mémoires écrits à Sainte-Hélène du général Gourgaud, Napoléon dit : « Jésus-Christ, simple prédicateur, n’exerça aucun pouvoir sur la terre, mon règne n’est pas de ce monde disait-il. Il le prêchait dans le temple, il le prêchait en particulier à ses disciples. Il leur accorda le don de la parole, fit des miracles, ne se révolta pas contre la puissance établie et mourut sur une croix, entre deux larrons, en exécution du jugement d’un simple préteur idolâtre… À l’opposé de Jésus-Christ, Mahomet fut roi ! Il déclara que tout l’univers devait être soumis à son empire… ».
Plus loin, Napoléon poursuit : « Ce qui est supérieur en Mahomet, c’est qu’en dix ans il a conquis la moitié du globe, tandis qu’il a failli trois cents ans au christianisme pour s’établir ».
Dans sa Correspondance, au chapitre « Observations sur la tragédie de Mahomet », Napoléon écrit : « Il a détruit les faux dieux, renversé le temple des idoles dans la moitié du monde, propagé plus que qui que ce soit la connaissance d’un seul Dieu dans l’univers… Mahomet fut un grand homme, intrépide soldat…. Grand capitaine, éloquent, homme d’État, il régénéra sa patrie et créa au milieu des déserts de l’Arabie un nouveau peuple et une nouvelle puissance. ».
Le comte de Las Cases, dans le Mémorial de Sainte-Hélène, raconte une anecdote intéressante : « A dîner, l’Empereur dit des choses curieuses sur l’Égypte, touchant un des chapitres qu’il avait dictés sur la religion, les usages, etc. (…) Alors, analysant de la manière la plus ingénieuse les deux religions de l’Orient et de l’Occident, il disait que la nôtre était toute spirituelle, et celle de Mahomet toute sensuelle ; que les châtiments dominaient chez nous : c’était l’enfer et ses supplices éternels, tandis que ce n’était que récompenses chez les Musulmans : les houris aux yeux bleus, les bocages riants, les fleuves de lait ; et de là il concluait, en opposant les deux religions, que l’on pourrait dire que l’une était une menace, elle se présentait comme la religion de la crainte ; que l’autre, au contraire, était une promesse, et devenait la religion des attraits. »
- Adolf Hitler, fondateur du National-Socialisme,
chef d'état allemand (1889-1945) : "Que
le Christianisme est bien quelque chose de fade - Nous aurions bien mieux encore reçu le
Mahométisme, cette doctrine de la récompense de l'héroïsme : le combattant seul
a le septième ciel ! Les Germains
auraient avec cela conquis le monde, ce n'est que par le Christianisme
que nous en avons été tenus éloignés" (Trouver
la source et vérifier cette citation).
Sources : a) https://fr.wikiquote.org/wiki/Adolf_Hitler
b)
http://dicocitations.lemonde.fr/citations-auteur-adolf_hitler-0.php
- Adolf Hitler : « Les peuples régis par l’Islam seront toujours plus proches de nous [les nazis] que la France, par exemple, en dépit de la parenté du sang qui coule dans nos veines. Le malheur veut que la France ait dégénéré au cours des siècles et que ses élites aient été subverties par l’esprit juif. Cela a pris de telles proportions que cela est irréparable. La France est condamnée à faire une politique juive », Source : Testament politique d’Hitler, Adolf Hitler, notes de Martin Bormann, préface de Trevor-Roper, éd. Fayard, 1959, 2 avril 1945, p. 180
« Je conçois que l’on puisse s’enthousiasmer pour le paradis de Mahomet, mais [pas] le fade paradis des chrétiens ! », Source : Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1952, t. 1, 13 décembre 1941, p. 141
« Cette philosophie [japonaise], qui est une des raisons principales de leur succès, n’a pu se maintenir comme principe d’existence du peuple que parce que celui-ci est resté protégé contre le poison du christianisme. Comme dans l’Islam, la religion japonaise est dépourvue de tout terrorisme et contient seulement l’espoir de la félicité. Le terrorisme est seulement une idée juive répandue par le christianisme », Source : Hitler cet inconnu (Hitlers Tischgesprache im Führerhauptquartier) (1951), Adolf Hitler, notes de Henry Picker, éd. Presses de la cité, 1969, 4 avril 1942, p. 274
« Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, la face du monde eût changé. Puisque le monde était déjà voué à l’influence judaïque (et son produit, le christianisme, est une chose si fade !) il eût beaucoup mieux valu que le mahométisme triomphât. Cette religion récompense l’héroïsme, elle promet aux guerriers les joies du septième ciel… Animés par un tel esprit, les Germains eussent conquis le monde. C’est le christianisme qui les en a empêchés », Source : Libres propos sur la guerre et la paix recueillis sur l’ordre de Martin Bormann, Adolf Hitler, éd. Flammarion, 1954, t. 2, 28 août 1942, p. 297
« Nous avons la malchance de ne pas posséder la bonne religion. Pourquoi n’avons-nous pas la religion des Japonais, pour qui se sacrifier à sa patrie est le bien suprême ? La religion musulmane aussi serait bien plus appropriée que ce christianisme, avec sa tolérance amollissante », Source : Au cœur du troisième Reich, Albert Speer, propos d’Adolf Hitler, éd. Fayard, 1971, p. 138.
- Heinrich Himmler - Reichführer SS (1900-1945) : "Je n'ai rien contre l'Islam, parce que cette religion se charge elle-même d'instruire les hommes, en leur promettant le ciel s'ils combattent avec courage et se font tuer sur le champ de bataille : bref, c'est une religion très pratique et séduisante pour un soldat"
Sources : a) http://diberville.blogspot.fr/2010/01/2504-je-nai-rien-contre-lislam.html
b)
The service record of Heinrich Himmler in
SS: Roll of Infamy. Christopher Ailsby, Osceola,
WI: Motorbooks International, 1997, page 164.
c)
SS service record of Heinrich Himmler;
United States National Archives, College Park, Maryland.
- Gustave Le Bon, médecin, anthropologue, psychologue social, sociologue français (1841-1931) "Du fond de son tombeau, l'ombre du prophète règne en souveraine sur ces millions de croyants qui peuplent l'Afrique et l'Asie, du Maroc jusqu'à la Chine, de la Méditerranée à l'Equateur » Source : La civilisation des Arabes, Livre I & VI (1884) (Voir aussi l’article « La Civilisation des arabes et l’étude scientifique de l’histoire », Revue Scientifique, 1er décembre 1883).
- Gustave Le Bon : « S'il faut juger de la valeur des hommes par la grandeur des œuvres qu'ils ont fondées, nous pouvons dire que Mahomet fut un des plus grands hommes qu'ait connus l'histoire. Des préjugés religieux ont empêché bien des historiens de reconnaître l'importance de son œuvre ; mais les écrivains chrétiens eux-mêmes commencent aujourd'hui à lui rendre justice », Source : La Civilisation des Arabes (1884), Livre I, Gustave Le Bon, éd. La Fontaine au Roy, 1990, Livre deuxième, chapitre premier, Mahomet, p. 76.
- Michael Hart, astrophysicien et essayiste américain, représentant du nationalisme blanc américain (1932-…) : « Mohammed (‘aleyhi assalam) fut le seul homme dans l’histoire à avoir entièrement réussi tant sur le plan religieux que temporel » (The 100 : A Ranking of the Most Influential Persons in History [Les 100 personnages les plus influents dans l’histoire], p. 33).
- Hassan El-Banna (Grand-père de Tariq Ramadan) : « Il est dans la nature de l’islam de dominer et de ne pas être dominé, d’imposer sa loi à toutes les nations et d’étendre son pouvoir au monde entier ».
- Cheikh Youssef al-Qaradâwî : « Si on avait supprimé la peine de mort contre ceux qui quittent l’Islam, l’Islam n’existerait plus aujourd’hui. L’Islam aurait disparu dès la mort du Prophète, que la paix soit sur lui. Condamner l’apostasie, c’est ce qui a permis de garder l’Islam jusqu’à nos jours. », Cheikh Youssef al-Qaradâwî, théologien, prédicateur et universitaire qatari d'origine égyptienne, Président de l'Union Internationale des Savants Musulmans (oulémas), Membre de la confrérie des Frères musulmans, Membre du Conseil Européen pour la Recherche et la Fatwa, et Consultant religieux pour Al Jazeera, auteur du "Le licite et l'illicite en Islam" (à la télévision égyptienne, 5 févr. 2013). Sources : a) https://en.wikipedia.org/wiki/Yusuf_al-Qaradawi, b) https://www.youtube.com/watch?v=huMu8ihDlVA
Sources : a) https://fr.wikipedia.org/wiki/Critique_de_l%27islam,
b) http://www.stop-islam.org/philosophie/le-coran-vu-par-les-philosophes,
c) http://www.islamzoom.com/islam/la-verite-sur-l-islam.php,
d) Savez-vous ce qu'ils ont dit sur Lui ?, Site Officiel de l'Association des Musulmans d'Alsace (Mosquée Annour), http://www.amal-mulhouse.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=235:savez-vous-ce-qu-ils-ont-dit-sur-lui&catid=14&Itemid=187&lang=fr,
e) Le dernier des messagers, http://www.reponse-aux-islamologues.com/rep/ONFRAY/Entrees/2015/5/17_8._Le_Dernier_des_Messager.html
f) http://islamdanger.forumgratuit.org/t78-citations-a-propos-de-l-islam-et-encore
g) http://atheisme.free.fr/Contributions/Citations_islam.htm
h) https://la-voie-de-la-raison.blogspot.com/2016/06/citations-sur-lislam.html
i) Citations de personnes célèbre sur l'islam: De Voltaire à Nietzsche en passant par Victor hugo, http://seddouki.foued.over-blog.fr/article-citations-de-personnes-celebre-sur-l-islam-voltaire-bonaparte-victor-hugo-montesquieu-lamartine-goe-112051779.html