|
Traitements
disponibles
Page en construction
Nous
livrons ces informations pour aider les malades, non pour créer « de
nouveaux malades imaginaires » (pour paraphraser Molière),
non pour fournir des informations « destinées » renforcer une
structure hypocondriaque (non à « aider » une personne à s’inventer
sans cesse de nouveaux maux et de nouvelles maladies).
Actuellement à la fin des
années 2006, le traitement de fond des céphalées de tension reste controversé.
Peu importe la ou les techniques utilisées pour
combattre les céphalées de tension, la première démarche est de consulter un
médecin qui, par son diagnostic, dirigera le patient vers le thérapeute
compétent dans un domaine ou un autre, afin de soigner cette pathologie
douloureuse.
Mais la solution miracle
n'existe pas.
Le traitement de fond d’une céphalée de tension
est un traitement médical qui peut durer plusieurs mois, voire plusieurs
années.
Selon les thèses auxquelles les médecins adhèrent, les traitements
des céphalées de tension, proposés par les médecins, ne seront pas les mêmes.
En général, la gamme des traitements va des traitements médicamenteux _ antidépresseurs (tricycliques,
sérotoninergiques …), anxiolytiques, tranquillisants, bêta-bloquants … _, aux
traitements psychologiques _ thérapies comportementales, cognitives,
relaxations …
Nous décrivons toutes ces techniques, non pour
que le patients choisisse parmi ces techniques, s’il n’a pas les compétences
médicales, mais juste pour information, afin qu’il puisse comprendre le rôle du
traitement qu’il est en train de suivre.
Le traitement de fond des céphalées de tension,
préconisée par la littérature, sont essentiellement les antidépresseurs, non
pour agir au niveau de la dépression mais parce qu'ils sont supposés modifier
ou ôter le niveau de la douleur [1].
Les antidépresseurs sont prescrits parce qu’ils modifient le niveau de la
douleur, en agissant sur les centre de la sérotonine du cerveau [20].
Les traitements majoritaires des céphalées de
tension, préconisés pendant plus de 20 ans en France, ont eu recours
essentiellement au Laroxyl. Certains médecins préconisent les antidépresseurs
tricycliques, de type Amitriptyline à des doses de 25 à 50 mg en une prise le
soir.
La
prise d’antidépresseurs tricycliques
s’est également montrée efficace dans certains cas.
Mais
l’association des antidépresseurs et des techniques de gestion du stress, ne
paraît pas agir sur la fréquence des céphalées [2].
Les
antidépresseurs ne sont pas dépourvus d’effets secondaires (somnolence,
sécheresse de la bouche, constipation...). Des risques d’accoutumance
existent.
Pour
information :
Les tranquillisants regroupent :
les
benzodiazépines,
très utilisées dans les crises d’angoisse, les états d’agitation anxieuse, les
crises « névropathiques », ainsi que dans certains états confusionnels comme le
delirium tremens. Les benzodiazépines peuvent avoir une action désinhibitrice
et s’avérer facilitatrices du passage à l’acte.
les
carbamates, essentiellement
représentés par le méprobamate, mais ses propriétés d’induction hépatique le
contre-indiquent dans l’insuffisance hépatique, et en particulier dans les
pathologies liées à l’alcool au profit des benzodiazépines ;
l’hydroxyzine,
un tranquillisant
non benzodiazépinique utilisé dans les formes mineures d’anxiété, par
voie
orale.
Les trois grands
analgésiques, l'acétaminophène (Tylenol, Panadol, Exdol, etc.), l'AAS (Aspirin,
Entrophen, Anacin, Novasen, etc.) et l'ibuprofène (Advil, Motrin IB, etc.) sont
disponibles sans ordonnance.
Les anti-douleurs sont le
plus souvent facile d’accès. Ils peuvent être efficace, mais il y a des
risques d’accoutumance. Ils sont tous aussi efficaces les uns que les
autres et assez bien tolérés, pourvu qu’ils ne sont pas pris pendant un
traitement à base d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS).
Des céphalées renforcées par abus médicamenteux
ont surtout été décrites
avec les dérivés codéïnés, mais aussi avec des antalgiques beaucoup
plus banals (paracétamol) [3].
Pour info : un médicament
très utilisé dans les pays anglo-saxon, “Excedrin® Tension Headache” est
supposé apporter un soulagement pour la tête, le cou et la douleur d'épaule
associée aux maux de tête de type céphalées de tension. Ce médicament contient de
l’acétaminophéne, un
analgésique, et de la caféine (caféine à haute dose) (src : www.excedrin.com & http://en.wikipedia.org/wiki/Excedrin ).
Des anxiolytiques comme le lorazepam sont généralement
prescrits pour les troubles paniques. Le simple fait que le patient ait cette
médication en sa possession peut s'avérer anxiolytique et ainsi prévenir le
développement d'une crise panique.
Certains « anxiolytiques » et « tranquillisants »
ont fait leur preuve dans les troubles panique. Et certains antidépresseurs
sont efficaces dans les deux troubles.
En cas de spasmophilie, on recommande la prise en
charge psychologique, voire les antidépresseurs ou les anxiolytiques.
Des antidépresseurs à faible dose permettraient
généralement de prévenir les récidives de troubles paniques.
Certains évoquent le rôle probablement calmant
sur l'anxiété des bêta-bloquants pour les justifier et les utiliser. Sinon, ils
peuvent limiter les palpitations cardiaques liées au stress (tels que dans les
attaques paniques).
Dans les traitements
proposés, ils sont souvent associés aux antidépresseurs [20].
Ils ont néanmoins, une contre-indications :
Ces
médicaments ralentissent la fréquence cardiaque et font chuter la tension
artérielle au départ. Mais ils ne sont pas toujours bien supportés.
Sous une forme de micro-injections ... technique non
pratiquée en France (pratiquée aux USA, au Québec [4],
et peut-être en Russie ? [5]).
Certains substances sont myorelaxantes (THIOCOLCHICOSIDE , DANTRIUM…), d’autres paralysantes des muscles (BOTOX
…). On donc a imaginé leur emploi, pour réduire l’aspect contractions ou
tétanies musculaires des céphalées.
En particulier, on pense à la toxine botulique
(ou botulinique) employée, par les dermatologues dans le cadre de traitements
esthétiques, pour effacer temporairement les rides de vieillesse, grâce à des
micro-injections sous-cutanées de la toxine au niveau du front (durée de
l’effet de l’injection, environ 6 mois).
Cette modalité thérapeutique a été utilisée pour
traiter les céphalées de tension et les migraines, particulièrement
tenaces et réfractaires aux traitements classiques.
Mais les travaux préliminaires, présentés à
certains congrès, doivent encore être confirmés [12].
Contre-indications :
Cette substance extrêmement toxique et
coûteuse doit alors être employée avec beaucoup de précaution.
Des médecins refusent l’idée même de son emploi,
pensant que des injections dans les muscles du cou ou des tempes causerait
alors, pour le patient, une paralysie handicapante pour bouger ou tourner la
tête.
Dans les cas de céphalées de tension, c’est la
psychothérapie qui est souvent recommandée dans le traitement, les médicaments
venant en appui pour calmer les douleurs.
Dans les techniques
psychothérapiques nous distinguerons :
Certaines crises de
paniques pourront trouver une solution définitive à la suite de prise en charge
psychiatrique de type "psycho-comportementale [dont la relaxation] et
cognitive".
Hypnose : L'hypnose est
le terme désignant à la fois un état de conscience (état léger (rêverie, transe hypnotique légère, hypnagogique ou hypnogogique), ou plus
profond (thérapie)), les techniques
permettant l'obtention de cet état de conscience et les techniques
thérapeutiques utilisées pendant cet état. Certains l'utilisent en psychothérapie
brèves pour accéder à l'inconscient.
L'hypnose comme la
sophrologie sont des techniques de relaxation. Elles peuvent se pratiquer en
coucher, assis, debout, seul, en groupe, avec l’aide de quelqu’un ou non.
L’usage de l’hypnose et de la
sophrologie est proche de celle des techniques de relaxation
Critiques : L'hypnose est sujet à controverses, principalement
du fait qu'elle ne semble pas être efficace sur tous les sujets. Il a
des sujets totalement réfractaires, à leur corps défendant, à l’hypnose.
Texte en
construction
Ces thérapies s'attaquent au(x) problème(s) du
patient par des exercices pratiques (au contraire de la psychanalyse
et des psychothérapie psychanalytique qui se centrent sur ce qui constitue la cause des troubles).
La thérapie comportementale agit au moyen de mises en situation
et d'expositions graduées aux situations provoquant une anxiété.
Une psychothérapie
comportementale peut aider à rectifier certains comportements sociaux
inadaptés, pouvant mettre en danger la vie et les relations sociales du malade
_ telle qu’une tendance à trop se reposer sur les autres, en évitant les
initiatives, à faire trop confiance, à trop s’ouvrir à tout le monde sans
prudence, à trop parler, à trop se confier sans prudence, à se culpabiliser en
permanence, à trop se justifier, à vivre dans la crainte ou à anticiper
constamment des coups du sorts, imaginaires ou réels, à une donner aucun signe
d’un manque de confiance en soi que peuvent détecter certains pervers
narcissiques (au sens de la terminologie de la doctoresse et psychothérapeute
Marie-France Hirigoyen) ou face à certains « prédateurs sociaux »
(escrocs …), à ne pas faire la politique de l’autruche (et mentir pour faire
reculer l’échéance), à ne pas s’énerver à tord, à ne pas lourdement insister
quand il ne le faut pas, ou au contraire insister quand il le faut etc … (voir
« Analyse psychologique » plus loin).
Critiques : Ces thérapies
sont souvent mises en causes du fait de l'absence de prise en compte de la
dimension humaine du patient. Ce qui est visé par ces traitements, ce sont
exclusivement les symptômes pris "au pied de la lettre" sans aucun
travail d'interprétation. L'unique vecteur du "comportement" humain
serait l'adaptation sociale.
Texte en
construction
L’analyse psychologique
n’ôte pas les maux de tête mais peut permettre d’en trouver (de remonter) les
causes. Par exemple, on pourrait s’attendre qu’un enfant soit protégé par ses
parents, mais il se peut que l’un des deux parents ou les deux soient hostiles
à leur enfant dès la naissance ou la prime enfance. L’enfant peut être victime
de maltraitance, de dévalorisation systématique, un des deux parents ne cessant
de le culpabiliser, de le dévaloriser, de lui faire sans cesse des reproche
(reproche d’exister, d’être un « raté », un « dégénéré »,
« quelqu’un qui ne vaut pas plus que du papier Q », un bon à rien, un
« looser », d’être une personne qui ne réussira jamais dans la vie,
être un instable …). Cette maltraitance psychologique étant souvent associée à
la maltraitance physique (les coups). Cette maltraitance peut être la cause de certains
comportements sociaux inadaptés, pouvant mettre en danger la vie et les
relations sociales du malade (voir « psychothérapie comportementale »
plus haut).
Il est important que le psychologue, s’il
intervient, contribue à « positiver» les compétences de la personne y
compris ses échecs. « L’échec est le fondement de la réussite »
disait Lao-Tseu. Il faut la booster, la grandir, contribuer à restaurer sa
confiance (en elle, dans l’avenir …), en lui fournissant des solutions et des
voies d’avenir réelles et pratiques (mais il faut éviter de lui faire de
fausses promesses, de lui fournir des tuyaux percés). Il faut « réussir
nos échecs ! » comme dirait un philosophe contemporain, en lui donnant
des exemples positifs (*). Il faut
l’aider à « creuser » un
sillon professionnel. Après un accident de vie ou une vie de chien, il faut
l’amener à une claire volonté de surmonter les difficultés rencontrées en
réalisant un projet de rebond de vie
(formation qualifiante, micro-activité …) pour lequel des aides seront
alors sollicitées avec elles. Il faut réellement l’accompagner et ne pas la
laisser au bord de la route. Il faut lui redonner le désir « d’en
vouloir » …
Il faut, par contre, éviter de dire qu’il n’a
qu’à ignorer ses céphalées ou de prendre de la distance par rapport à elles ou
encore que ce n’est pas grave, surtout si ces céphalées lui ont fait souvent
perdre son emploi (car vouloir les ignorer ne diminue nullement ces céphalées
et la gêne intellectuelle qu’elles causent).
Pour information, la psychanalyse
n'aurait aucun effet sur les symptômes des crises de panique [5].
(+) Par exemple, par la lecture de livres comme
« Rebondir » ou « Renaître » de Michel Giraud, Président de
la « Fondation de la 2ème chance », aux éditions
France-Empire.
Texte en
construction
Les kinésithérapeutes utilisent différentes
techniques : ultrason, radar, fango, glace, compex, tens … Travaillant par
chaleur / froid, électricité, électro-stimulation, leur but est antalgique et
circulatoire. Ces traitements peuvent être efficaces mais sont longs.
Ces derniers traitements sont plus destinés aux
céphalées par contraction musculaire [6],
dues à certaines positions et aux activités qui les provoque. Ces dernières
sont habituellement soulagées par un massage, par l'application de chaleur ou
par l'utilisation d'analgésiques.
Souvent à la fin du massage, le mal à la tête ne
disparaît pas, mais le patient se sent quand même mieux, grâce à l’effet
relaxant du massage.
© Michel Gil
©
Michel Gil, spécialiste du Reiki et du Shiatsu.
Des rotations sur les tempes dans le cou avec le
bout de ses doigts seraient bénéfique pour les maux de tête (voir ces deux
figures plus hauts).
Toutes ces techniques sont, en fait, d’une
efficacité toute relative sinon très faible, sur les céphalées de
tension.
Texte en
construction
Gymnastique
posturale : Réalisée sans
appareil, avec un minimum de matériel, en utilisant simplement le poids du
corps, la gym posturale est une synthèse de postures actives, de méthode
PILATES, de culture physique traditionnelle, de Stretching, de postures de
yoga, de techniques corporelles taoïstes, de méthode FELDENKRAIS® etc. ... Elle
s'appuie sur un travail de mouvement global et le renforcement des muscles
profonds.
Par exemple :
séances de gymnastique posturale, en piscine, dans le cadre d’une cure de
balnéothérapie.
Texte en
construction
C’est une thérapie utilisant des ondes électromagnétiques
courtes pulsées et continues (jusqu’à 400 Watts et d’une longueur d'onde
d’environ 11 m, 27 MHz). Un champ électrique est créé avec les circuplodes ou
les électrodes caoutchouc. Un champ magnétique est créé avec les Circuplodes ou
la Flexiplode.
Le résultats avec les ondes courtes en mode pulsé
est normalement le soulagement des douleurs.
Exemples d’appareils générateur
d’onde : Curapuls 419 ou 970
d’ENRAF-NONIUS (Hollande) (voir ci-après) :
Texte en
construction
L’électrothérapie est la
discipline médicale mettant en application pratique les résultats des études
des électrophysiologistes et des électrologistes à des fins de traitements.
Utilisation du courant électrique pour soigner certaines douleurs ou maladies.
Certains praticiens utilisent l'électrothérapie pour stimuler les point
d'acupuncture (voir « acupuncture » plus loin).
Texte en
construction
électro-stimulations et diffusion d’ions calcium/magnésium,
à travers tout le corps et la peau, à partir d’une solution liquide de
calcium/magnésium, contenus dans des éponges placées sur le corps.
Texte en
construction
Les ultrasons thérapeutiques de haute fréquence (1 et 3 MHz) ou thérapie ultrasonore sont utilisés pour leurs vertus antalgiques.
Texte en
construction
Il y a encore d’autres traitements : la
mésothérapie _ micro-injections dans les muscles du crâne, de produits
originellement destinés au migraine comme l’ergotamine [7]
… _, dont l’efficacité dans le traitement des céphalées de tension est loin
d’être prouvé, l’acupuncture, et différentes « médecines douces » proches des
pseudo-médecines (ostéopathie, chiropractie …) dont l’efficacité semble placebo
(effet « auto-suggestionnel »).
L’effet placebo : pour les personnes « s’écoutant
beaucoup », on pourrait imaginer que l’effet placebo pourrait apporter un
certain effet « positif », dans certains cas. En fait, l’acupuncture, «
l’imposition par les mains » etc. … ont des effets peu durables (du ¼ d’heure à
quelques jours par exemples) ou même n’ont aucun effet, même chez des personnes
qui y croient ou veulent y croire, ce qui semblerait indiquer que le mal
n'aurait pas nécessairement qu'une seule composante
"psychosomatique".
L’ostéopathie et la chiropraxie sont des méthodes
manuelles de diagnostic et de thérapeutique. Sur le plan diagnostique elles
permettraient d’identifier par une palpation attentive des « lésions » qui sont
à l’origine des maladies ou des malaises ressentis par le consultant. Ces
techniques sont contestées sur le plan scientifique, bien que des résultats
favorables ont été constatés de façon empirique sur certaines douleurs
rachidiennes par diverses techniques manuelles et en particulier par les
manipulations, mais par le fait que l'existence de ces « lésions » n'a pas été
prouvé scientifiquement.
L’ostéopathie permet, par
manipulations, de repositionner la colonne vertébrale fortement sollicitée à
notre époque. Elle doit être au minimum pratiquée par un kinésithérapeute.
Texte en
construction
En pratique chiropratique, le chiropraticien
utilise "l'ajustement chiropratique", un geste thérapeutique du
chiropraticien appliqué sur une seule vertèbre à la fois. Synonyme de
chiropraxie ou Chiropratique.
Texte en
construction
L'acupuncture est une
méthode de soins basée sur l'insertion d'aiguilles en des points spécifiques du
corps, en particulier pour soulager la douleur. L'efficacité de l'acupuncture
fait toujours débat dans la communauté scientifique. Durée du résultat courte,
en cas de forte céphalée de tension.
Texte en
construction
La cryothérapie est le traitement par le froid,
utilisée pour calmer les douleurs, le froid provoquant normalement la
vasoconstriction des vaisseaux sanguins. C’est la bonne vieille technique des
glaçons placés sur une zone douloureuse. On peut utiliser un bandeau
"cryogénique", mis d'abord au freezer ou congélateur, puis appliqué
sur la tête.
C’est la bonne vieille
technique des glaçons placés sur une zone douloureuse, le froid provoquant
normalement la vasoconstriction des vaisseaux sanguins.
Texte en
construction
Le biofeedback, ou rétroaction biologique, peut
être défini comme étant « un groupe de procédés thérapeutiques qui utilise une
instrumentation électronique ou électromécanique pour mesurer, traiter et
représenter, sous forme analogique ou numérique, une information aux propriétés
renforcées, sur l’activité neuromusculaire ou l’activité autonome (normale ou
anormale) des individus au moyen de signaux sonores ou optiques (A. & A.
Rémond).
Texte en
construction
Ces bandeaux en tissu élastique sont disposés
autour de la tête et du cou. Leur efficacité est discutée.
Texte en
construction
Le fango est une poudre qui mélangée à de l'eau
forme une boue appliquée sur le corps, dans certains traitement de douleurs
associé au massage (souvent pratiqué dans les établissements thermaux et de
balnéothérapie). Le fango peut être utilisé chaud ou froid. Les basses
températures auraient un effet anti-inflammatoire et décongestionnant. Les
hautes températures activeraient la circulation sanguine et sont antalgiques.
Le fango, par sa chaleur, procurerait une hypervascularisation, laissant la
circulation sanguine se rétablir à nouveau.
On peut utiliser des fangos à base d’argile, de
poudre de roches volcaniques etc. …
Texte en
construction
La Fibrolyse par Crochetage est une technique
de mobilisation du Tissu Conjonctif à
l’aide d’un instrument calibré : le Crochet.
La main peut beaucoup,
mais ne permet pas toujours d'atteindre des structures profondes, ni de
mobiliser de petites structures, telles des insertions ligamentaires sur une
surface périostée ou des adhérences cicatricielles génératrices d'inflammation.
La mobilisation focalisée de ces adhérences ou
corps fibreux (= fibrolyse) élimine la douleur en diminuant les signaux
nociceptifs dans le système nerveux, par assouplissement de la fibrose
concernée.
Dans certains cas extrêmes, la fibrose,
matérialisée par d’importantes adhérences, nécessite une intervention
chirurgicale pour libérer les structures fibrosées [8].
Texte en
construction
[1] Forum céphalée de
tension, Fondation Louis-Jeantet de Médecine, http://www.jeantet.ch/forums/mauxdetete/qr2_mauxdetete.html
[2] JAMA. 2001;285:2208-2215, Ohio university.
[3] Référentiel
National, Collège des Enseignants de Neurologie, Version du 30/08/02, Céphalées
aiguës et chroniques (188)
http://www.univ-rouen.fr/servlet/com.univ.utils.LectureFichierJoint?CODE=127&LANGUE=0
[4] Traitements des céphalées de tension par les injections de
Botox :
a) Botox Injections May Cut Headache Frequency in Half (16 Oct
2001) http://www.slu.edu/readstory/newslink/223
b) Using Botox for Migraine and Headache Treatment, Phase II Studies
(25 Jun 2005) http://www.medicalnewstoday.com/medicalnews.php?newsid=26607
c) Botox Proving Successful At Preventing Headaches (19 jun 2002)
http://www.sciencedaily.com/releases/2002/06/020619074340.htm
d) New Botox benefit? No wrinkles, no headaches (18 jun 2002) http://archives.cnn.com/2002/HEALTH/06/17/botox/
(Results from tracking 650 migraine and tension headache sufferers
suggests that Botox has off-label benefits).
e) Botulinum Toxin for Treatment of Primary Chronic Headache
Disorders (Dec 2004) http://www.bcbs.com/tec/vol19/19_10.html
f) Céphalées - Migraines -
Maux de tête, 11e Congrès de l'International Headache Society - QUOTIMED ??,
13-16 septembre 2003 – Rome, http://www.esculape.com/neurologie/cephalees_classification.html
(L'emploi de la toxine botulinique a également été abordé. Cette modalité thérapeutique a été utilisée en cas de céphalées de tension ou de migraine, mais les travaux présentés doivent, là encore, être confirmés).
[5] Méthodes
préconisée par des instituts russes (Exemple : www.botox.ru
).
[6] céphalées
par contraction musculaire : un type de céphalée proche par ses
manifestations, des céphalées de tension (touchant les deux côtés de la tête et
irradiant vers le cuir chevelu, les muscles du cou).
[7] L’ergotamine est sans effet sur les céphalées de tension.