Suicide
Quand des malades
en raison de la puissance de ses céphalées de tension, de la fatigabilité
extrême qu’elles causent, se voient interdire de toute activité, on peut se
demander comment ces malades ne tombent pas plus souvent dans la dépression, voire
dans des passages à l’acte plus graves tels que le suicide.
L’isolement du
malade, le manque d’écoute (de la souffrance de ce dernier …), le manque de
reconnaissance médicale de son mal, peuvent être des facteurs favorisant le
passage à l’acte.
Comme les
céphalées de tension ne sont pas dangereuses physiquement, on pensent qu’elles
ne sont pas dangereuses tout court.
Malheureusement,
il n’existe pour l’instant aucune statistique sur le nombre de suicides qui
seraient liées chez certains malades à leurs céphalées de tension permanentes.