Soucis financiers

 

Comme les céphalées de tension dont souffrent les malades souvent leur interdisent souvent  toute activité.  Comme les malades vivent sans cesse dans un état de fatigabilité et d’épuisement extrême, ils ne peuvent même plus s’occuper de leur finance.

Comme leur invalidité n’est pas toujours pas reconnue par le corps médical, et donc ces malades ne peuvent bénéficier d’une prise en charge sociale (par des allocations COTOREP,  un mi-temps thérapeutique), ils tombent alors souvent dans une cascade de soucis financiers sans fin et une précarisation extrême. D’autant que leurs céphalées invalidantes causent souvent leur licenciement des entreprises où ils travaillent, à court ou moyen terme, et régulièrement leur mise au chômage.

 

Très peu de malades souffrant de céphalées de tension chroniques et permanentes ont des revenus financiers très faibles, vivant dans la précarité sociale et financière constante et souvent à l’aide d’une succession d’alternance d’épisodes de chômage et d’emplois précaires (Intérim, CDD …), à court terme et sous qualifiés.

 

Il existe très peu de malades souffrant de céphalées de tension chroniques vivant financièrement à l’aise (sauf aides familiales).