Espoir(s)
Eléments d’espoirs
Lorsqu’on souffre
d’une tétanisation permanentes extrêmement douloureuse des muscles du crâne,
durant des heures, des jours, des mois, voire des années, il n’est pas toujours
facile de voir les choses en rose et d’être positif.
Pour rester
positif, notre esprit utilise certains arguments et se raccroche souvent à
certains éléments d’espoir, qui nous permettent de tenir.
Ici, nous allons
donc lister tous ce qui nous permet de tenir, voire d’attendre que la crise
passe.
Certains éléments
incitatifs peuvent être liés à un sentiment du devoir à accomplir (être là
pour ses enfants et donc ne pas baisser les bras …).
En l’absence de
la prise tous médicaments anti-douleurs.
Par une
hyper-activité effrénée _ comme une musaraigne s’activant sans cesse _ comme le
faisant par exemple Sainte-Thérèse d’Avila (qui souffrait continuellement de
terribles céphalées), on peut arriver à oublier sa douleur.
Le revers de la
médaille est que, par cette technique, on peut peut-être contribuer à affaiblir
sa santé à la longue.
Le sport
d’endurance à un haut et dur niveau _ marathons, treks et longues courses dures
en montagne _, peut contribuer à
oublier sa douleur. D’autant qu’au bout d’une certains temps lors d’une
activité d’endurance très dure, se libère alors des endomorphine, atténuant
alors la douleur musculaire (liée à l’acide lactique produit par l’activité
sportive).
Pour éviter
d’avoir à se faire renvoyer, de son entreprise, à cause de ses problèmes de
mémorisation (ou de cohérence intellectuelle), plusieurs astuces, pour masquer
auprès de ses collègues, son handicap intellectuel causé par les céphalées :