Témoignage de Michel

 

J’habite la région de Tours (région centre pays de Loire).

 

Mes céphalées ont commencé, d’un seul coup, il y a plus de 10 ans, en 1999, suite à un stress quotidien, durable (sur le long terme), lié à des problèmes relationnels avec des copains.

Mais les céphalées ont mis du temps à venir et être insupportables.

J’ai maintenant 32 ans.

 

Il y a certainement eu des facteurs et éléments qui ont favorisé beaucoup plus tard la céphalée.

J’ai été abusé sexuellement, suite un guet-apens tendu par un voisin, vers l’âge de 10 ans. Il a présenté cela comme un jeu.

Je n’ai pas été assez méfiant. J’étais d’un naturel d’assez obéissant (qui ne me révoltait pas). J’obéissais toujours aux adultes.

Je n’ai pas su lui résister. Je n’ai pas eu la force de refuser, alors qu’un camarade lui a refusé. J’ai été faible et on en a profité.

A cause de cela, j’ai beaucoup culpabilisé et m’en suivi voulu.

J’en ai parlé par la suite à ma mère, mais elle a été déboussolée / démunie et n’a pas su réagir.

Je n’ai plus été ensuite autant respecté par mon camarade. Ce fait ou ma réaction a contribué à la séparation d’avec mon copain.

J’ai perdu la confiance en moi et dans mon corps.  J’ai connu une « anesthésie émotionnelle » au niveau de mon corps.

Je tournais trop dans le niveau cérébral (j’étais sans cesse dans l’introspection … Pourquoi ceci m’est arrivé etc.).

J’étais dans la crainte sociale par rapport aux autres _ que cela se sache … [que l’on sache que j’ai été couard ou souillé par ce voisin ?].

On devient paranoïaque.

Après cela j’ai eu tout le temps la peur que j’eusse attrapé le SIDA suite à cet abus. Mais je ne voulais pas, non plus, consulter (car j’avais peur du résultat). C’était dans les années 90.

Mon « bourreau » est mort de tuberculose. Le fait de le rencontrer régulièrement dans la rue, le voyant très malade, cracher du sang … m’a encore culpabilisé ( ?).

J’ai supposé qu’en fait sa tuberculose était liée à un SIDA.

J’ai fait finalement un test pour un éventuel SIDA, il y a 10 ans (dans les années 2000) et on a rien trouvé.

 

A cause de mes céphalées, j’ai eu un long parcourt médical. J’ai beaucoup « bourlingué » médicalement.

A cause de la douleur, je remets toujours tout au lendemain.

Je vis constamment dans l’obsession de tenter de contrer et diminuer la douleur (cela occupe tout mon esprit).

 

J’ai vécu longtemps dans un stress terrible, dans les doutes, la remise en question permanente.

 

A départ, j’ai eu une douleur gigantesque au niveau du front, comme une aiguille au niveau du crâne associé à une brûlure extrême.

Puis une plaie [psychosomatique] est apparue au niveau du front (au même endroit que la douleur) qui ne guérissait pas.

 

Je suis enseignant des écoles.

A cause de mes céphalées, j’étais totalement déconnecté face à mes élèves.

Finalement, je me suis arrêté de travailler, durant 6 mois d’affilé, pour éviter de « péter les plombs ».

Après j’ai repris mon travail à mi-temps.

Par contre, si j’ai de nouveau un travail soutenu (plutôt) à plein temps, mes céphalées reprennent.

 

Souvent durant les vacances _ or en tant qu’enseignant, je bénéficie de longues vacances l’été _, la céphalée ne se relâche pas.

La céphalée est comme une « chape de plomb ».

 

Mais j’ai commencé à trouver un équilibre, un mieux-être grâce à des thérapies.

 

J’ai eu un long parcourt médical.

 

J’ai commencé par la médecine classique, avec le Laroxyl, les antidépresseurs …

Ces médicaments me créaient de la somnolence et ne changeaient pas mon état de nervosité, de douleur et de mal-être.

[les traitements médicamenteux ont été un échec].

 

A la consultation antidouleur de l’hôpital de Clermont-Ferrand, la neurologue m’a déclaré « C’est cela [c’est à dire le Laroxyl, les antidépresseurs] ou rien d’autre ».

C’était très désespérant.

 

J’ai rencontré sans cesse [durant mon long parcours médical] que des médecins démunis face à la maladie ou des médecins qui ne vous prennent pas au sérieux et qui vous disent de « vous donner des coups de pieds au cul ».

 

La médecine classique ne me proposant rien, je me suis tourné ensuite vers les médecines alternatives.

 

Les médecins semblent avoir oublié la relation du corps et de l’esprit.

 

Ce que j’ai compris est que le stress, la colère rentrée, la peur affaiblissent le corps et créent des désordres physiologiques.

 

J’ai compris cela par l’analyse des « méridiens du corps » et de leurs actions sur le « corps énergétique ».

 

J’ai essayé beaucoup de thérapeutes (dont des psychothérapeutes).

 

Je suis tombé un très bon thérapeute [un psychanalyste ?].

 

Ce qui m’a fait du bien, ce sont les thérapies suivantes :

 

1)      La « Psycho-Bio-acupressure » ou PBA, qui a amélioré mon état (site : www.psycho-bio-acupressure.com ).

2)      La « thérapie quantique », pendant mon sommeil (site : www.therapiesquantiques.fr ).

3)      La technique de respiration, Éiriú Eolas, avec un CD de Laura Knight-Jadczyk (en Anglais) (site : http://fr.eiriu-eolas.org ).

4)      La thérapie 5-HTP [à base de 5-hydroxytryptophan, vitamines du groupe B, acide folique, massothérapie, yoga … destinée à lutter contre la dépression] (site : www.depression-guide.com/lang/fr/5htp.htm ).

 

Dans le cadre de la « thérapie quantique », j’utile un appareil, appelé le « Polar Cleaner » (distribué par VALEMIS et qui coûte 550 euros _ ma mère m’a avancé l’argent _), constitué d’un maillage de cuivre, qu’on place sous mon oreiller et qui agit durant mon sommeil (appareil qu’on branche et qui envoie des ondes cessé provoquer un « nettoyage organique profond ») (site : a) http://www.valemis.com/s-produit_unit-132-30-5.html?PHPSESSID=3801d420ea2c64665e99b22d818112f9 , b) http://www.valemis.com/polar-cleaner-s-concept-16-5.html?PHPSESSID=3801d420ea2c64665e99b22d818112f9 ).

 

En espérant que ma retranscription a été fidèle à vos propos.

 

Bonne soirée.

 

Michel.