Informations, URL et adresses intéressantes ou utiles non classées
Voici une compilation d’articles, d’informations, d’URL, d’adresses, intéressantes et utiles pour toutes personnes effectuant ou voulant entreprendre des recherches sur le sujet.
Note : « src » indique les initiales de la
personne qui a été source de l’information.
. Une étude de Ohio , au symposium de San Francisco 1998,
indiquant que 2 à 3 % des Américains en
souffriraient chroniquement (src : MP) :
http://www.docguide.com/dg.nsf/PrintPrint/35F38A15201A211385256632004AEBF0
. « Lifting the
burden » (campagne mobilisation autour des maux de têtes) (src : MP):
http://www.liftingtheburden.org/
. Sur la douleur et
la morphine (src : jcm) : http://www.psychiatriemed.com/fabrice_lorin_douleur_et_metamedecine.php
. « c'est
pour ton bien » est un argument convaincant qui finira par faire accepter à un
homme sa propre destruction. Janet
Frame
. Un livre en notre
faveur, un ouvrage qui vient certainement efficacement à notre secours...
(src : MP): http://www.springerlink.com/content/wg156001x1586435
. Sommeil et maladies (src : jcm) :
http://www.sommeil-mg.net/spip/Faux-Vrai-malade-malade-incompris
. Placebo (src : jcm) :
http://www.psychiatriemed.com/fabrice_lorin_placebo.php
. Alimentation et
céphalées (scr : cp) :
www.seignalet.com
(sur le gluten).
. CEPHALEES DE
TENSION EPISODIQUES TRAITEMENT MEDICAMENTEUX VS MANIPS (src : jcm) :
. EEG et signes de
souffrances cérébrales (src : jcm) :
http://eegtec.ifrance.com/bdd.htm
(src :
mp) :
http://en.wikipedia.org/wiki/Tension_headache
. (src : mp) :
"Winkelfehlsichtigkeit" : http://de.wikipedia.org/wiki/Winkelfehlsichtigkeit
. (src : jcm) :
http://www.migraine-cephalee.com/7_lettres(1).php
. Mme Malika
LARBI-DAOUADJI Psychologue, Hôpital St-Antoine, Centre douleur, 184 rue du Fbg
St-Antoine, 75012 Paris, Tel. Prof. : 01 49 28 23 06, Utilisation de l'hypnose
dans le traitement de la douleur, du stress et de divers troubles
psychosomatiques. Pratique de l'hypnose en psychothérapie. (src : jcm).
. Selon cet article,
scientifiquement rien en faveur du traitement bolulinique contre les cephales
de tension chroniques (scr : mp) :
http://www.blackwell-synergy.com/doi/abs/10.1111/j.1468-2982.2004.00738.x?journalCode=cha
. Le service hospitalo - universitaire (S. H. U.), 7 rue Cabanis - 75014 Paris
Accueil : 01 45 65 81 54, Fax : 01 45 65 81 60 / 01 45 65 83 92 (src : jcm)
Des consultations universitaires spécialisées sont proposées :
Adolescents et adultes jeunes à risque de pathologies comportementales et psychotique
(Pr Lôo, Pr Olié, Pr Krebs, Dr A. Gut, Dr F. Chauchot, V. Jost, et MO. Krebs).
Pathologies alcooliques (Dr G. Demigneux).
Gérontopsychiatrie (Dr T.Gallarda, Dr I. Fabre, Dr Azvadourian, Dr Neuman).
Troubles bipolaires (Pr Lôo, Pr Olié, Dr D. Gourion, Dr O. Sentissi et M. Kazes).
Chimiothérapies psychotropes (Pr H. Lôo, Pr J.P. Olié, Dr M.F. Poirier).
Troubles obsessionnels compulsifs (Dr N. Baup et M. Chayet).
Troubles de l’attention et troubles du comportement (Pr F. Baylé).
Psychothérapies :
Cognitivo-comportementales (Dr C. André, Dr P. Légeron, Dr Macqueron, N. Quintard, C.Damy, V. Siari, et C. Duret).
Psychanalytiques (Dr O. Bouvet, Dr P. Dunaigre, N. Debiesse et A. Jeanneau).
Familiales (Dr S. Mouchet-Mages)
Troubles de l’identité de genre (Dr Gallarda, S. Coussinoux)
Troubles de la veille et du sommeil (F. Marchand)
Consultation de psychiatrie générale (J. Amic, F. Dardashti, S. Etienne, A. Gérard, F. Guedj, P. Legris, C. Rondepierre et F. Ruyer).
. Stress post-traumatique + consultation de la douleur en NEUROCHIRURGIE (par des médecins réellement) (src : jcm) :
DEFINITION :
http://www.aphp.fr/site/offre_soins/psycho_maltraitance.htm
ADRESSES :
. La consultation de la douleur n'est pas en psychiatrie mais en neurochirurgie, et l'hôpital de St-Anne est à la pointe des neuro-sciences.
La consultation de la douleur : tu es reçu par 2 praticiens : le chef de service et un autre neurochirgien ! Pas des neurologues qui ne savent pas ce qu'est une palpation d'un muscle d'un cou ou du dos (vu qu'ils opèrent tout ça).
de plus aux USA, un certain nb de malades douloureux (lésions médullaires ?) se sont vus implanter des neuro-stimulateurs transcutannés pour bloquer le signal nociceptif. L'acteur Jerry Lewis qui avait souffert toute sa vie en avait bénéficié qq années avant sa mort.
http://www.ch-sainte-anne.fr/chsa/site/centrHosp/presentation.html
http://www.ch-sainte-anne.fr/chsa/site/soins/soinsNeuro/douleur/organigramme.html
http://www.ch-sainte-anne.fr/chsa/site/soins/soinsNeuro/douleur/unitesoins.html
. Céphalees et ministère de la santé. Voilà qui est peu
encourageant et convaincant de la part du ministère de la santé... Un regard
"très comptable" et peu humain... (src : mp) :
http://www.sante.gouv.fr/drees/etude-resultat/er542/er542.pdf
. Un site
riche : Je n'ai jamais rien trouvé d'aussi exhaustif et à peu près à jour
sur la question (sauf les infos de Benjamin peut être)... pour ceux qui lisent
en anglais... (src :
mp) :
http://adam.about.com/reports/Headaches-tension.htm
. Au sujet de cette personne insensible congénitale à la douleur... (src : mp) :
http://www.psychiatriemed.com/fabrice_lorin_composante_psychologique_de_la_douleur_chronique.php
"L’équipe de Francesco d’AMATO démontre dans la revue Science (2006) le rôle spécifique des opioïdes dans l’attachement à la mère: aveugle, sourd et affamé, un souriceau ne peut s'occuper de lui-même. Séparé de sa mère, il se met à l'appeler désespérément. Sauf s'il est dépourvu de récepteurs morphiniques : il semble alors indifférent à cette séparation. L'émotion douloureuse que provoque une séparation utilise les mêmes facteurs que la douleur physique. En l'occurrence, les souriceaux dépourvus de récepteurs μ n'appellent pas leur mère lorsqu'ils sont placés dans un environnement dépourvu de l'odeur de cette dernière. Ce travail confirme le rôle du réseau cérébral de la douleur dans le vécu subjectif de séparation et d'exclusion. Il rejoint également une observation récente : celle d'une céphalée de tension déclenchée par un deuil (séparation) chez une patiente insensible congénitale à la douleur.".
. Brevet et non commercialisation du dispositif (src : mp) : Tout indique que ce Mark H. Friedman a fait le choix d'exploiter ce brevet en ouvrant une clinique dédiée à son activité de "chill in the mouth", ainsi le "device" ne peut pas être acquis... Mais tous les decriptifs de l'invention sont cohérents et reprennent la même démo, certains avec des dessins... En effet c'est intéressant... En plus le traitement ne m'a pas paru extrêment cher (quelques centaines de dollars en 3 fois), un des dispositifs est reconnu (agréé) par les autorités des US... http://www.headachecontrol.com
. Un écrit de 2007
qui cite Friedman et le Cryotron... très détaillé... le reste vous
intéressera aussi... (src :
mp) : http://www.scientificphysicaltherapy.com/SPT_16_3_2007.pdf
. Egoïstes ? : Un court pdf de 2 pages "[1] Evans RW,
Lipton RB, Silberstein SD. The
prevalence of migraines (src : jcm) :
. « Pitoyable » (src : jcm) :
http://www.revmed.ch/article.php3?sid=20526
(avis de mp : une assez bonne synthèse accessible et trop courte de ce qu'on croit savoir aujourd'hui à part une "présentation" confuse et incompréhensible des notions de céphalées chroniques et céphalées de tension chroniques... Les références sur les expériences sur les inhibiteurs du NO ne sont pas sans intérêts).
. Multiples centres
compétents pour la douleur chronique y compris rebelle (src : mp) :
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/evenemen/bioethiq/douleur/telechargement/adresses.rtf
. Pages 82 à 84 du doc du ministère de la santé, auquel vous accédez par ce lien : vous comprenez le raisonnement de l'administration y compris vis à vis des céphalées de tension...
http://www.sante.gouv.fr/htm/pointsur/douleur/index.htm
(J'ai honte de travailler pour eux...) (src : mp).
(art.1) Cervical spine joint hypermobility
: a possible predisposing factor for new daily persistent headache (NDPH
2) (lien 1) http://www.blackwell-synergy.com/doi/abs/10.1111/j.1468-2982.2006.01187.x?cookieSet=1&journalCode=cha
. A lire , les résultats de cette petite étude sont édifiants ! Il y a de quoi se poser des questions. Quant on parle de causes pluri-factorielles d'un syndrôme...On est un peu éloigné de la neurologie et de la psychiatrie classiques...
. POUR CEUX QUI NE SAVENT PAS CE QUE VEUT DIRE NDPH; TAPEZ NDPH DANS GOOGLE OU NDPH ET IHS ...Voici un lien :
(lien 2)
http://jnnp.bmj.com/cgi/content/extract/72/suppl_2/ii6
Journal
of Neurology Neurosurgery and Psychiatry 2002;72:ii6-ii9
© 2002
Journal of Neurology Neurosurgery and Psychiatry
Article :
(art. 2) NEW DAILY PERSISTENT HEADACHE
Peter J
Goadsby, Christopher Boes,* Headache
Group, Institute of Neurology, The National Hospital for Neurology and
Neurosurgery, London, UK
Professor
Peter J Goadsby, Institute of Neurology, Queen Square, London WC1N 3BG, UK;
peterg@ion.ucl.ac.uk
Keywords:
new daily persistent headache; NDPH; primary NDPH; secondary NDPH [The first 150 words of
the full text of this article appear below.]
Chronic
daily headache, defined as headache on 15 days or more per month for more than
three months, is covered generally in another section of this supplement.
However, because the syndrome of "new daily persistent headache"
(NDPH) is so clinically distinct (table 1 ), and has an interesting range of
secondary possibilities that are curable, we have elected to highlight the
problem here. This is not to imply any linked pathophysiology but simply to
highlight what is a clinically useful concept. From a nosological point of view
most of what is covered here could be placed in the various parts of the
classification system of the International Headache Society.1 It serves both
patients and clinicians to highlight this syndrome because the implications of
missing the diagnosis can be so profound. NDPH can have both primary2 and
secondary forms (table 2 ). More general texts address the many surrounding
issues of . . . full text [Full text of this article]
. Reconnaissance de
la pénibilité (src : mp), trouvée sur le site de World Headache
Alliance :
“Headache among top ten disabling medical conditions”
:
“A most disquieting finding of the study is that 3% of
the world's adult population suffer from chronic daily headache – that is,
headache on more than every other day for at least several months. This
group of more than 100 million people worldwide probably carry the greatest
headache burden, and possibly also a stigma since their disorder is not
generally acknowledged as a proper disease.”, http://www.w-h-a.org/wha2/index.asp
.
1)A
burden is a heavy weight that is difficult to
carry. Metaphorically it refers to anything difficult or troubling. 2) Stigma :
In discrimination:
Social stigma , a severe
social disapproval of personal characteristics or beliefs that are against
cultural norms, including:
Weight stigma, negative
attitudes towards overweight/obese individuals
In sociology:
Stigma (Sociological Theory), the
phenomenon whereby an individual with an attribute, which is deeply discredited
by his/her society, is rejected as a result of the attribute
3) acknowledged adj. Commonly
accepted or recognized.
. Ouvrage : La thérapie contextuelle de
Boszormeyi-Nagy. Une nouvelle figure de l’enfant dans le champ de la thérapie
familiale, chez De Boeck, collection carrefour des psychothérapies. http://www.fractale-formation.fr/ (src : jcm).
Il est indiqué dans le texte à cette URL : Reconnaitre l'enfant capable de soutien envers ses proches dans les dispositifs de la veille éducative, Un texte de Pierre Michard (« Bientraitance » + reconnaître l'enfant capable de soutien envers ses proches).
. « Lifting the burden » (suite) : trouvé sur le site dédié à la campagne mondiale contre les maux de têtes (src : mp ) : http://www.l-t-b.org/index.cfm/spKey/introduction.html
D'autres documents y sont proposés dont l'esprit « coverge » à chaque fois...
Souffrance et incapacité mal ou non évaluée, coût économique considérable... etc...
. Un texte en français de l'OMS (scr : mp) :
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs277/fr/index.html
. Texte 2007 "comment gérer les maux de tête en première
approche" produit conjointement OMS et "Lifting the burden"
(Valade est de la partie pour la migraine), publié par Springer gratis, alors
ça c'est sympa... et fiable... (et un peu frustrant... ( ?)) :
http://www.springerlink.com/content/m26434272351752p/fulltext.pdf
. Les psychotropes visés (src : bl) :
http://www.france24.com/france24Public/fr/administration/article-afp.html?id=080117154519.461bfndo&cat=science
& : http://20minutes.s3.amazonaws.com/20080118_PAR.pdf
. "Neuro-psychiatrie : Gare à l'excès de psychotropes", (p. 47-50), in revue Prescrire, n°291, Janvier 2008.
. ( ?) Détentes verticales Kadour Ziani : plus
grandes détentes verticales (scr :
mp) :
http://vertcoach.com/content/view/33/47/
=> http://www.psychiatriemed.com/fabrice_lorin_psychotropes_en_algologie.php
(JC)
=> http://pain.health.ivillage.com/headachemigraine/tensionheadache.cfm
(en anglais).
Voilà ce qu’ajoute
M. concernant ce site américain, qu’il nous a communiqué : « Le
petit film est un peu frustrant, n'insistant pas sur les céphalées chroniques,
mais a le mérite d'exister.
Le texte sur les céphalées de tension est, je trouve, assez riche et
accessible. Enfin, très important, il confirme qu'il n'y a pas de vraie cure
connue pour les céphalées de tension et propose quelques solutions, souvent les
mêmes qu'on connaît déjà, pour nous soulager. Il n'insiste pas sur les causes
psycho-affectives possible même s'il les évoque, ce que je trouve moins
"enfermant", et il vous rejoint sur l'idée de pratiquer une activité
physique ou sportive. [ …] Je me dis en souriant qu'il faudrait passer chez
Delarue pour faire exister dans ce pays cette pathologie... Mais nous manquons
trop d'intelligence affective dans l'hexagone. Pour l'instant je parcours de
temps en temps des sites anglophones car il y a de la matière et l'expression
d'une reconnaissance de la maladie. ».
Note : ce qui est faux dans ce document est
qu’elle déclare que les céphalées de tension sont toujours
d’intensité modérée et qu’elles ne provoquent jamais de nausée. D’ailleurs
ce document reconnaît qu’aucune investigation expérimentale n’a été effectuée
sur les céphalées de tension.
b) sur le kératocône (dont souffre JC) :
http://www.agadira.com/media/video.htm diffusée dans Le Mag de la santé - 8 mars 2006 - France 5 et le bonus (+ long) : http://www.agadira.com/media2/video.htm
c) sur les critères de qualité pour une association médicale :
http://www.hon.ch/HONcode/French/ (JC).
d) sur les escrocs et charlatans de la médecine (BL) :
www.charlatans.info/ , www.pseudo-medecines.org/ et www.pseudo-sciences.org/
escrocs.et.doux.dingues@charlatans.net , médecins.fr@sectes.pseudo-médicales.org (JC).
e) Sur le manque de sommeil et la
douleur (JC) :
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=PHI20061011&articleId=3450
f) A propos du Dr Christophe
André, de Sainte-Anne, auteur du livre "Imparfaits,
libres et heureux" (JC) :
http://www.nouvellescles.com/article.php3?id_article=67
g) Thérapies
cognito-comportementales (TCC) (JC) :
http://www.afforthecc.org/index.php?id=277
h) sur les crampes
musculaires :
-
Bentley, S. Exercise-Induced Muscle Cramp. Proposed Mechanisms and
Management. Sports Med 1996 Jun;21(6):409-420.
-
International Journal of Clinical Practice, 53, 494-496. Bentley, S. (1996). Exercise
induced muscle cramp – Proposed mechanisms and management.
-
Schwellnus, MP, Derman EW; Noakes TD. Aetiology of Skeletal Muscle
"Cramps" During Exercise: A Novel Hypothesis. J Sports Sci 1997 Jun;15(3):277-85.
- Schwellnus, Martin P. Skeletal
Muscle Cramps During Exercise. Phys Sports Med 1999. (http://www.physsportsmed.com/issues/1999/11_99/schwellnus.htm
)
- http://www.ultracycling.com/training/cramping.html
Sur les causes des crampes
musculaires :
“Spasms of skeletal muscles occur in healthy individuals or in the course of functional disorders of the peripheral motor neuron or its axons. Like fasciculations, they are a motor manifestation, but a painful one. Cramps evoke the notion of ephapsis and of immature terminal axons. There are, however, also other responsible regulatory systems, mostly the sensible and spinal ones. Three personal observations are used to illustrate the various triggering mechanisms. A review of the literature on this subject is added. Symptomatic treatment has not changed over past decades: Quinidine remains the treatment of choice. Other stabilizers of cell membranes are actually available, whose usefulness varies as a function of the cause of cramps.”
Traduction française : “Les
spasmes des muscles squelettiques se produisent dans les individus en bonne
santé ou au cours des désordres fonctionnels du neurone périphérique de moteur
ou de ses axones. Comme des fasciculations, ils sont une manifestation de moteur,
mais douloureuse. Les crampes évoquent la notion de l'ephapsis et des axones
terminaux non mûrs. Il y a, cependant, aussi autre de normalisation responsable
systèmes, la plupart du temps sensible et spinal. Trois observations
personnelles sont employées pour illustrer les divers mécanismes de
déclenchement. Un examen de la littérature à ce sujet est ajouté. Le traitement
symptomatique n'a pas changé plus d'après des décennies : La quinidine reste le
traitement du choix. D'autres stabilisateurs des membranes de cellules sont
réellement disponibles, dont l'utilité change en fonction de la cause des
crampes. »
Source :
Muscle cramps:
mechanism , etiology and current treatment,
Dewarrat A, Küntzer T, Regli F. Service de neurologie, CHUV, Lausanne.
Schweiz Rundsch Med Prax. 1994 Apr 12;83(15):444-8.
(Revue de médecine praxis / pratique) PubMed
8184238).
http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8184238
i) World
Headache Alliance:
http://www.w-h-a.org/wha2/index.asp
j) Article ouvert :
http://www.postgradmed.com/issues/2002/04_02/mueller.htm
k) Outil de recherche en médecine :
http://doccismef.chu-rouen.fr/
l) une personne insensible pour des raisons congénitales à
la douleur n'a souffert qu'une fois dans sa vie: il semble que ce soit de
céphalées de tension à la suite de la perte de son petit frère...
http://www.sciencedirect.com/science?_ob=ArticleURL&_udi=B6T0K-4H2PJVJ-5&_user=10&_coverDate=10%2F31%2F2005&_rdoc=1&_fmt=&_orig=search&_sort=d&view=c&_acct=C000050221&_version=1&_urlVersion=0&_userid=10&md5=378f104b0314217ab960403ceb9d777b
Fragilité psychologique de l'enfant en devenir et période prénatale : Fragilités (Prenatal period and child's vulnerability), DOLLANDER Marianne (1) ; DE TYCHEY Claude (1) ;
(1) Groupe de recherche en Psychologie de la santé et du Laboratoire de psychologie (E.A.N°2337), Université Nancy 2, 23, boulevard Albert 1er, 54000 Nancy, FRANCE
Résumé : Les auteurs présentent une revue des facteurs de risque pouvant intervenir au cours de la période prénatale, et potentiellement à l'origine d'une fragilité psychologique future de l'enfant. Ils soulignent le poids des transmissions et mandats négatifs en analysant leurs répercussions sur les conditions de la procréation. Ils examinent ensuite les facteurs de risque de fragilisation de l'enfant dus à la non élaboration des sentiments d'angoisse, d'agressivité qu'il suscite chez la mère. Ils pointent également le poids très invalidant de la dépression maternelle et des conditions de naissance problématiques sur les interactions précoces mère-enfant. Ils proposent enfin des dispositifs de prévention pour faire face aux mandats négatifs potentiels, pour repérer le plus tôt possible et accompagner de manière plus adaptée la souffrance maternelle et parentale durant la grossesse et après la naissance de l'enfant. Au final, ils s'interrogent sur les liens entre prévention, psychologie clinique et action socio-politique. Ils suggèrent la nécessité d'entreprendre des recherches-actions sur le même modèle que celui développé outre Atlantique afin de démontrer la pertinence de la prévention primaire par rapport aux actions de remédiation propres à la prévention secondaire et convaincre le pouvoir politique.
Revue : Evolution psychiatrique (Evol. psychiatr., Dunod), 2002, vol. 67, no2, pp. 290-311 (47 ref.) : http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=13838523
Revue |
|
Éditeur |
Current
Medicine Group LLC |
ISSN |
1531-3433 (Print) 1534-3081 (Online) |
Numéro |
|
DOI |
10.1007/s11916-005-0025-4 |
Pages |
442-447 |
Subject
Collection |
|
SpringerLink
Date |
dimanche
3 juin 2007 |
(1) |
Department
of Neurology, Oklahoma University Health Sciences Center, 711 Stanton L.
Young Blvd., Suite 215, 73104 Oklahoma City, OK, USA |
Abstract Although tension-type headache
typically is not as disabling as migraine, its chronic form may significantly
impair patients’ functional ability. The pathogenesis of tension-type headache
remains largely unknown. Compared with migraine, tension-type headache is the
object of much less research. For a number of years, research on headache
therapy has vastly emphasized migraine. Even cluster headache, which is far
less frequent than tension-type headache, has been subject to more therapeutic
trials than tensiontype headache. Therefore, it is not surprising that since
the advent of studies (as early as 1964) on amitriptyline, which remains a
pivotal treatment choice, the number of emerging treatments for this condition
remains scarce, even in 2005. This emphasizes the need for renewed interest in
this field. However, alternate treatment approaches, such as botulinum toxin
injections, albeit controversial, have renewed hopes lately. In addition,
recent progress in the understanding of tension-type headache pathophysiology,
such as the role of peripheral and central sensitization, has revived interest
in the field. This is a review of available, proven, or suspected prophylactic
therapies for tensiontype headache.
|
Marc E. Lenaerts |
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Traduction française : Bien que les céphalées de tension ne mettent typiquement pas "hors de service" comme la migraine, sa forme chronique peut significativement détériorer la capacité fonctionnelle des patients.
La pathogenèse des céphalées de tension reste en grande partie inconnue. Comparé avec la migraine, les céphalées de tension ont fait l'objet de beaucoup moins de recherche.
Pendant quelques années, les recherches sur la thérapie des maux de tête se sont énormément focalisé sur la migraine (au détriment de la recherche sur les céphalées de tension chroniques et leurs causes).
Même les névralgies faciales, qui sont bien moins fréquentes que céphalées de tension, ont été soumises à bien plus d’essais thérapeutiques que les céphalées de tension.
Par conséquent, il n'est pas surprenant que, depuis l'avènement d'études (dès 1964) sur l'Amitriptyline, qui demeure un choix pivot pour son traitement (aux USA en tout cas), les nouveaux traitements pour cette maladie restent rares, même en 2005.
Cela souligne le besoin d’un intérêt renouvelé pour ce domaine. Cependant, les approches de traitement supplémentaires, comme des injections de toxine botulique, bien que controversé, ont renouvelé des espoirs récents.
De plus, le progrès récent dans la compréhension de la pathophysiologie des céphalées de tension, comme le rôle de sensibilisation périphérique et centrale, a ranimé l'intérêt pour ce domaine.
C'est un examen des disponibilités prouvées ou soupçonnées des thérapies prophylactiques pour les céphalées de tension.
http://www.springerlink.com/content/50n32221403011g4