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Hypothèses sur les causes à l’origine des
céphalées de tension
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Nous
livrons ces informations pour aider les malades, non pour créer « de
nouveaux malades imaginaires » (pour paraphraser Molière),
non pour fournir des informations « destinées » renforcer une
structure hypocondriaque (non à « aider » une personne à s’inventer
sans cesse de nouveaux maux et de nouvelles maladies).
Les céphalées de
tension sont encore mal connues sur le plan épidémiologique et évolutif.
Leurs mécanismes d'apparition, liés au stress font l'objet de débats.
On pense que la céphalée est un signal d’alarme de l’organisme s’exprimant au niveau de terminaisons nerveuses péri crâniennes, précisant l’existence d’un problème quelque part.
Toute la question médicale reste de savoir quel problème signale cette douleur ( ?).
Certaines céphalées de tension chroniques sont la manifestation physique d’une situation personnelle, familiale ou sociale difficile à vivre. Dans ces cas, on peut parler de manifestation psychosomatique, puisque "c’est le corps qui prend la place du langage pour exprimer" une difficulté ou une souffrance.
Certains pensent qu'elles se développent à travers la tension des muscles du haut du cou. D'autres pensent qu'elles relèvent d'une défaillance des mécanismes de contrôle de la douleur.
Il existe des dizaines d’autres explications avancées pour expliquer la persistance forte ou intense, dans le temps, de cette contracture douloureuse, des muscles péri-crâniens, sans causes objectives toujours apparentes, sans qu’aucune ne soit parfaitement satisfaisante et se détache du lot des explications avancées.
Il faut aussi de se garder d’avoir qu’une seule explication pour expliquer les céphalées de tension, la problématique pouvant être complexe [1] et plusieurs causes pouvant être à l’origine des ces céphalées particulières.
Sinon, il faut bien se garder de qualifier de
psychosomatique toute céphalée dont on ne comprend pas les causes. C’est
pourquoi, il est indispensable de pratiquer un examen médical approfondi visant à écarter toutes les maladies dont
l’un des symptômes serait les maux de tête.
S’agit-il de maux de tête consécutifs à un accident, à un problème dentaire,
à une opération chirurgicale, à un mauvais état gynécologique ?
Dans ce cas le malade va être orienté vers un
dentiste expert ou vers le médecin de la spécialité concernée (médecin
de rééducation fonctionnelle et kinésithérapeute pour les problèmes
de posture ou de cervicales,
gynécologue ou endocrinologue pour les femmes qui voient
leurs maux de tête s’accentuer à un
certain moment de leur vie etc.)
Dans ces cas là, le problème à régler peut être uniquement organique et le patient va s’arranger avec le médecin qui lui aura été indiqué ou qu’il aura lui-même choisi, ayant à présent compris quelle est la cause de son mal de tête. Le problème peut aussi s’être compliqué d’anxiété provoquée par la douleur et aussi par le fait de ne pas comprendre son origine. Quelques séances de psychothérapie sont alors nécessaires pour clarifier les choses et faire tomber l’anxiété qui est souvent la cause de l’accentuation des maux de tête [2].
Signalons enfin, que chez les neurologues, les malades souffrant de céphalées de tension n’ont pas bonne presse. Voilà ce qu’il est écrit sur eux :
« Céphalées de tension dites «
psychogènes »
- absence de retentissement sur la vie
quotidienne et sommeil normal, contrastant
avec une gêne décrite comme intense,
- aggravation en périodes de tension
psychologique, et amélioration au contraire en
période de détente.
- des troubles psychologiques (anxiété
chronique le plus souvent), plus rarement
trouble psychiatrique authentique (état
dépressif, personnalité hypochondriaque)
sous-tendent en général ce type de céphalées. »
[3].
Lorsque
les céphalées de tension sont très fréquentes, elles peuvent révéler des
troubles psychologiques ou peut-être provenir d’une cause physiologique (voir
plus loin « Autres approches »).
Les avis divergent sur l’explication de
l’intensité douloureuses des contractions musculaires.
La douleur proviendrait :
1)
Soit de la tétanisation des muscles _ identique à
celles des « crises de tétanie » ou des crampes musculaires _
provoquant, au-delà d’un certain seuil de contraction, le déclenchement du
signal douloureux dans les terminaisons nerveuses de la douleur, situées dans
les tendons et fuseaux musculaires.
2) Soit
de la contraction musculaire empêchant le flot sanguin d’irriguer normalement
le cerveau, d’où une douleur dans certains cas irradiante.
Fig.2. Les muscles péri-crâniens impliqués dans les contractions des céphalées de tension.
Dans
80 à 90 % des cas (la majorité), les médecins ne doutent pas qu’ils y aient une
composante psychologique derrière les céphalées de tension. C’est pourquoi
d’ailleurs, on trouve, dans la littérature, l’appellation « céphalées
psychogènes » pour les « céphalées de tension ».
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Pour certains
psychologues, il s’agirait d’une tension d’origine émotionnelle. Des émotions,
des sentiments désagréables [4]
peuvent survenir en situation de stress ou dans une situation désagréable. La
personne aurait le réflexe repousser ou refouler soit cette émotion
désagréable, voire douloureuse, soit une préoccupation ou une action, source
d’anxiété _ en faisant, par exemple, le vide, ou bien en se lançant activité
souvent débordante pour détourner son attention du problème à résoudre ou de
son angoisse. Cette personne tente ainsi de s’empêcher de ressentir cette
émotion, afin de ne pas la ressentir dans toute son intensité ou pour
l’empêcher de s’exprimer. Mais cette émotion repoussée, refoulée s’exprimerait
alors autrement, par un autre signal d’alarme, par exemple à travers des
céphalées de tension, pour signaler que le problème, la cause de l’angoisse
n’est toujours pas traitée [1].
La peur ou
l’anxiété est une émotion, un signal d’alarme [5]. Il existe différentes formes de peurs,
qu’on peut tenter de refouler : peur de l’engagement, peur de la souffrance,
peur du rejet, pour de décevoir, peur de blesser, peur du jugement, peur du
changement peur du chômage, du stress professionnel, peurs familiales (peur
d’une personne) …
D'après la
psychologue et auteur Michelle Larivey [6],
l'anxiété est « un malaise qui résulte du fait qu'on repousse une expérience
émotive, une préoccupation importante ou une action à poser pour se respecter.
Elle devient presque un « mode d'être » chez certaines personnes, qui s'arrêtent
peu à leur expérience du moment. [...] Être anxieux ou angoissé, c'est à la
fois une peur de faire face et une impression de se mettre en danger en
négligeant de s'occuper d'un aspect de sa vie ».
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C’est une sorte de contraction réflexe
psychologique.
Quand un enfant (surtout dans sa prime enfance)
n’a cessé de recevoir des coups, il peut sans le vouloir, anticiper les coups,
en se contractant et en contractant les muscles de son coup. Par la suite, ce
réflexion de survie est devenu excessif, se déclenchant à tout événement même
anodin, que l’inconscient considère, souvent à tord, comme dangereux.
En général, les parents aiment et protègent leurs
enfant [7].
Mais dans des cas rares, certains parents peuvent haïr et être totalement
hostiles à leurs enfants.
On pourra alors rechercher chez le patient
d’existence d’épisodes, durant l’enfance, de fortes de carences affectives,
voire de forts rejets parentaux, de maltraitance (physique ou psychiques, une
politique parentale d’humiliation systématique de leur enfant …). ...
Une autre
explication connexe serait qu’en refoulant, repoussant l’objet de son angoisse
et de son anxiété, la personne aurait tendance éventuellement à se contracter
(inconsciemment), dans une sorte de parallélisme des deux effets.
La personne se
contracterait inconsciemment aussi pour garder hors de la conscience immédiate
certaines préoccupations ou certaines émotions (désagréables) qui
s’imposeraient à elle autrement.
La contraction
musculaire (douloureuses) qu’on « s’infligeraient » permettrait de
détourner son attention d’une autre douleur (plus psychologique). Une douleur
masquant, occultant l’autre. Cette hypothèse est plus contestée.
Dans le passé, cette forme de maux de tête a été
dénommée « syndrome d’Atlas ».
Pour certains médecins, le patient souffrirait du
syndrome ou complexe
d'Atlas [9].
La victime, dans certains cas, aurait
l’impression (inconsciente ou non) de porter toute la misère ou le poids du
monde sur ses épaules, d’où l’impression de poids ressenti dans son cou, au
niveau de sa nuque et au niveau du « casque » (douloureux) pesant sur
sa tête.
Par ce signal d’alarme, que sont ces céphalées, son « sur-moi » le freinerait dans ses efforts, pour « l’empêcher » de se surpasser, de dépasser ses limites, d’augmenter ses compétences ou/et affronter une situation qui pourrait se révéler dangereuse pour lui. Une force (inconsciente) qui le dépasse ne cesserait, par cet « harcèlement douloureux », de le freiner ou limiter dans ses ambitions et réalisations.
Ce qui ne veut pas dire que la personne souffrant
de ce syndrome ne soit pas combattive.
Plus elle se bat, et plus elle peut souffrir de
ses céphalées.
Cette explication pourrait peut-être avoir un
commencement de vérification dans le monde professionnel, où il arrive souvent que personnes, ayant
franchi un échelon supérieur professionnel, avec plus de responsabilité et plus
de stress concomitant, subissent alors de fréquentes céphalées de tension. A
discuter …
Selon une déclinaison de cette thèse, la personne
manquant d’assurance et ne se sentant inconsciemment pas assez forte, installée
dans un nouveau poste (dont la difficulté du poste dépasserait ses capacités),
luttant alors contre l’anxiété (la peur) de ne pas être à la hauteur et de
perdre son poste, cherche alors à contrôler tout ce qui nous entoure,
s’attirant des inimitiés et pouvant se mettre en danger. Le mal de tête lui
signalerait ce danger.
Selon cette thèse, il suffirait de lâcher prise,
d’accepter ses limites, de renoncer à des ambitions trop élevées (voir à un
salaire trop élévée), où au poste que l’on occupe (mais qui dépasse ses
capacités et compétences) pour que les maux de tête disparaissent. Une
hypothèse pas toujours certaine.
Selon une autre déclinaison de cette thèse,
certaines personnes, aux tendances mégalomanes, pensent savoir ce qui est bien
pour les autres, ou pire encore, désirent sincèrement « sauver » les autres ou
le monde (complexe d’Atlas). Les maux de tête, pour elles, serait alors le
signal que leur comportement est inadapté au monde qui les entoure et dangereux
pour elles.
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L’attaque de panique ou crises
aiguës d’angoisses survient le plus souvent sur un fond de
dépression ou d’anxiété généralisée, caractérisée par un état de
tension et d’inquiétude chronique.
Ceux qui sont atteints de « troubles
paniques » (ou « attaques paniques ») subissent de véritables
attaques (palpitations incontrôlables, comme s’ils allaient avoir une attaque
cardiaque imminente …) au cours desquelles ils ont l'impression de vivre leur
mort imminente
L'association des troubles, dépressif et panique,
serait très fréquente, 21,9% des "paniqueurs" étant dépressifs
et un dépressif sur deux signalant des épisodes de paniques.
Certains médecins pensent donc que face au « trouble panique », certaines personnes, pour ne pas se sentir vulnérable, se voulant forte, refoulerait fortement leur anxiété, d’où l’apparition de contractures péri-crâniennes localisées (signal d’alarme d’un problème anxieux (?)). Une autre façon de faire resurgir par un autre moyen le signal d’alarme que constitue l’anxiété.
Les troubles paniques sont souvent associés avec
le « syndrome d’hyperventilation » voire avec la spasmophilie.
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Une autre thèse est actuellement à la mode.
Selon cette thèse, les céphalées seraient la
« couronnes d’épine » que des personnes masochistes seraient mis sur
la tête. Finalement, si l’on croit cette thèse, la « victime »
aimerait souffrir ou rechercherait (inconsciemment ou non) à obtenir cette
souffrance, pour tenter de se faire plaindre et de faire entourer
(affectivement).
D’autres verraient dans ces maux de tête une
forme de somatisation d’une auto-culpabilisation inconsciente.
Malgré ses dénégations, le patient aurait besoin de ses maux de tête et donc en fait, ne voudrait pas réellement guérir (d’où la persistance sur de longues années de ses maux).
Cette thèse est contestée.
Ce sont des thèse à mi-chemin entre le
physiologique et le somatique.
Le Docteur Aude Hauser-Mottier, physiothérapeute
[8]
[9],
explique les céphalées de tension par le fait que quelqu'un d’angoissé,
stressé, a une musculature généralement un peu plus raide et plus dure. Suite à
une fatigue, un stress, un état dépressif, à n'importe quel problème
psychologique, la force musculaire aurait tendance à diminuer et la tige de
notre colonne vertébrale aurait tendance alors à s'effondrer. Le cerveau enregistrerait
le fait que la personne risque de tomber et déclencherait alors des mécanismes
de compensation, extrêmement puissants, qui agissant sur les muscles
péri-crâniens feraient se redresser la tête.
Elle préconise alors de la gymnastique posturale.
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Il faut bien se garder de qualifier de
psychosomatique toute céphalée dont on ne comprend pas les causes. C’est
pourquoi, il est indispensable de pratiquer un examen médical approfondi visant à écarter toutes les maladies dont
l’un des symptômes serait les maux de tête.
Par exemple, on a découvert, dans certains cas de
céphalées de tensions, des causes très diverses [10]
:
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Une prédisposition (génétique ?) aux contractures musculaires anormales, comme dans le cas de la spasmophilie et des crises de tétanies, pourrait exister dans les cas de céphalées de tension chroniques invalidantes.
Certains médecins auraient
observé que certaines personnes sujet à de fréquentes céphalées de tension,
avaient subi déjà, aussi, des crises de tétanies ou de spasmophilie, par le
passé.
Mais si pour les migraines, il existe une susceptibilité
héréditaire et des facteurs déclenchants, on n’a pas prouvé l’existence
d’une susceptibilité héréditaire dans le cas des céphalées de tension
chroniques invalidantes.
Par ailleurs, ce qui semble contredire cette
thèse est qu’il semble qu’on n’a pas observé,
chez le même patient, de crises de tétanie accompagnées, en même temps,
de fortes céphalées de tension.
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Dans le cas de céphalées de tension chroniques
fortes, tenaces, sans aucune cause objective claire et alors que tous les
traitements connus ont échoués, on peut se demander s’il ne pourraient pas y
avoir des causes biologiques. Certains avancent qu'elles pourraient relever
une défaillance (ou d’un dérèglement) des mécanismes de contrôle de la douleur
(ou du système d’alerte de la douleur).
Pour donner une image comparative, qui vaut ce
qu’elle vaut, on sait que des vertiges à répétitions, de acouphènes
puissants tenaces, peuvent se déclencher, suite à un trauma crânien, entraînant
des lésions cérébrales ou suite à un choc violent ou à une accélération brutale
qu’a subi la tête en certaines circonstances (chute d’objet lourd sur le crâne,
accident automobile, aérien ou d’un sport extrême, un attentat …). Il arrive
aussi que suite à un surmenage, que le mécanisme du sommeil soit déréglé de
façon durablement (insomnies totales parfois accompagnées de maux de tête
tenaces durant des mois après le surmenage) ou bien que la personne ressentent
une fatigue physique anormale durant des mois _ que certains médecins
mettent alors trop rapidement sur le compte d’une dépression _, jusqu’à que
la personne, par des épisodes de repos prolongés et intenses (repos et
sommeils de plus 24 h en plusieurs épisodes), au cours de plusieurs mois,
puisse récupérer son sommeil et de sa fatigue physique anormale, sans avoir
suivi aucune psychothérapie, ni que sa situation familiale et professionnelle
ait changé, ni que cette personne n’ait été réellement déprimée (et qu’elle
aurait récupérée d’une dépression).
Donc certains se posent la question, de savoir,
si dans des cas rares de céphalées de tension chroniques tenaces, résistantes à
tous les traitements, il ne pourraient pas y avoir activation anormale des
mécanismes d’alertes, et de contrôle de la douleur, soit suite à une
micro-lésion cérébrale cachée, soit suite à une dérèglement de ce mécanisme,
qui n’est que partiellement connu.
Pour l’instant, il semble qu’aucune recherche et
aucun laboratoire, dans le monde, n’aient exploré cette piste.
D’une
manière générale, on admet que derrière des épisodes fréquents de céphalées de
tension, se cache un fond anxieux [ i.e. une fragilité psychologique],
voire un manque d’assurance ou de confiance en soi etc … dissimulé dans le
profil psychologique du patient, profil à traiter alors en priorité par une
psychothérapie, en particulier une thérapie comportementale pour limiter
l’angoisse, l’anxiété ou des comportements générateurs d’angoisse ou d’anxiété
ou de problème.
Ces céphalées ne seraient qu’une manifestation possible parmi d’autres,
des nombreux phénomènes de somatisations, agissant sur le corps et la santé, pouvant prendre des formes
aussi variées que des eczémas, des attaques de psoriasis, des déclenchements
d’asthmes, des colopathies fonctionnelles, des migraines [11].
Dans
le cas de céphalées de tensions tenaces, d’une durée supérieure à 10 ans, et
particulièrement tenaces, à tous les traitements, les médecins avouent leur
ignorance sur les causes, et leur impuissance à les traiter, d’autant qu’aucune
recherche n’ayant été entreprise à leur sujet.
Benjamin
LISAN
[1] Céphalée de tension, Une émotion repoussée , par Michelle Larivey, psychologue, http://www.redpsy.com/guide/cephalee.html
[2] http://www.servicevie.com/02Sante/Cle_des_maux/M/maux71b.htm
[3] La spasmophilie : mythe ou réalité ?, Dr
Chantal Guéniot http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/spasmophilie/sa_5895_spasmophilie_mythe.htm
[4] Tétanie et Spasmophilie, des Dr Lyonel
Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso.
http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_840_spasmophilie.htm
[5] L'association dépression et attaques de panique est
fréquente, Philippe Presles, 14/07/2000, PP Roy-Byrne et al. Br.J.Psychiatry 2000 ; 176 : 229-35.
http://www.e-sante.fr/magazine/article.asp?idArticle=484&idRubrique=4
[6] La migraine, Dr Chantal
Guéniot http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag0629/sa_4039_cephalees.htm
[7] Céphalée de tension, GlaxoSmithKline Inc Canada, http://www.takingcontrol.ca/headaches/tch_tension-headaches_fr.html
[8] Céphalées de tension, Organisation Mondiale de la Santé
(WMO), http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs277/fr/
[9] Gaston Bachelard, L'air et les songes. Essai sur l'imagination du mouvement. Librairie José Corti. Paris, 1943 : 232 ; , sur le complexe d'Atlas, 1948a : 388, 392
[10] Les douleurs projetées d’origine cervicale, Dr
Jean-Yves MAIGNE, http://www.anmsr.asso.fr/anmsr00/54-rach-cerv/doul-projet.htm
[11] Céphalées, anxiétés et Kinésithérapie : Comment
s’orienter ?, Corinne Goffaux-Dogniez, kinésithérapeute, Membre de la Société
Belge de Sophrologie et de Relaxation, http://www.servimed.be/select/gp05104.htm
[12] Céphalées - Migraines - Maux de tête, 11e
Congrès de l'International Headache Society, 13-16 septembre 2003 – Rome,
QUOTIMED. Ce congrès fait la distinction entre: « les
céphalées de tension épisodiques rares, celles épisodiques fréquentes, les
céphalées de tension chroniques, et les céphalées de tension probables. Dans
chaque catégorie, il existe des sous-types comme la céphalée de tension
épisodique rare avec hyperesthésie du cuir chevelu ». http://www.esculape.com/neurologie/cephalees_classification.html
[13] Les enfants aussi souffrent de migraines,
Giuseppe Costa, Hôpital Universitaire de Genève. Selon cet article :
« Les céphalées sont divisées en deux groupes: d'un côté les céphalées
primaires, ou idiopathiques, qui ont leur existence propre, de l'autre les
céphalées secondaires, ou symptomatiques, qui sont dues à une autre affection.
Les migraines et les céphalées de tension font partie des céphalées
primaires ».
[14] Les questions couramment
posées, La Ligue Belge Contre les Céphalées, http://www.cephalee.be/faq.htm
[15] Céphalées de tension :
L'expérience d’une jeune kiné, Fabienne BORRE, kinésithérapeute à Bruxelles, La
Ligue Belge Contre les Céphalées,
http://www.cephalee.be/Hiver2002/kine2002.htm
[16] Benzodiazépines : Le
squelette dans le placard, Professeur C Heather Ashton, DM, FRCP, Conférence
"Beat The Benzos", Avant Hôtel, Oldham, Royaume Uni, Le 23 avril
2004, University of Newcastle, School of Neurosciences, Division of Psychiatry,
The Royal Victoria Infirmary, Queen Victoria Road, Newcastle upon Tyne NE1 4LP,
http://www.benzo.org.uk/asholdmfr.htm
[17] Les Benzodiazépines:
Comment agissent-elles et comment s'en sevrer ? Professeur C Heather Ashton DM, FRCP, 2002, University of Newcastle,
http://www.benzo.org.uk/freman/index.htm
[18] NEUWIRTH Lucien, Rapport
sur la prise en charge de la douleur (n°138, 1994-1995),
http://www.senat.fr/rap/r98-207/r98-207_mono.html
[19] Trouver l'origine des
maux céphaliques, Richard Belfer (journaliste), juin 2003,
http://www.medecines-douces.com/impatient/301juin03/origines.htm
[20] Céphalée de tension,
Fondation Louis-Jeantet de Médecine,
http://www.jeantet.ch/forums/mauxdetete/qr2_mauxdetete.html
[21] Les céphalées par tension nerveuse, in L'
enfants et les jeunes' ,
[22] Traitement des céphalées
chroniques par les antidépresseurs : une méta-analyse [tête et cou] (Treatment
of chronic headache with antidepressants : a meta-analysis, Tomkins GE, Jackson
JL, O'Malley PG, Balden E, Santoro JE, Am J Med 2001 ; 111 : 54-63).
Notice d'origine, Christian
GHASAROSSIAN - UFR Paris-Necker,
[23] La France
championne du monde pour la consommation des drogues psychotropes, http://wassil.free.fr/france_championne.htm
[24] « Le Prix du bien-être. Psychotropes et société », par
le Docteur Edouard Zarifian, Odile Jacob, 29O pages, 1996 (résumé d’un rapport
commandité par le ministre de la santé).
[1] Il existe par ailleurs des cas (rares) de migraines
coexistant avec des céphalées de tension.
[2] Marie-Paule Lagrange, Maux de tête chroniques: Comment
les soigner (migraine, céphalées de tension, céphalées chroniques par abus
médicamenteux), témoignages, pathologie et techniques adaptées, Editions
Ellébore.
[3] Référentiel
National, Collège des Enseignants de Neurologie, Version du 30/08/02, Céphalées
aiguës et chroniques (188)
http://www.univ-rouen.fr/servlet/com.univ.utils.LectureFichierJoint?CODE=127&LANGUE=0
[4] tels que l'anxiété, l'angoisse, la fébrilité, la gêne, le
vide, les tensions musculaires, la surexcitation, la migraine, le noeud à
l'estomac, le bégaiement, la boule dans la gorge, etc.
[5] La peur, une alliée possible !, Michel Boileau,
Thérapeute en Relation d'Aide, Charlesbourg, Québec, Canada, Éditions du CRAM
(Montréal).
[6] Ressources en développement (Ed). Le guide des émotions, L'anxiété : une émotion repoussée, Auto-développement : les psychologues humanistes branchés. 2003. www.redpsy.com/guide/anxiete.html
[7] Ils ont d’ailleurs, par la loi, devoir de protéger leurs
enfants.
[8] Membre de la société vaudoise et romande de physiothérapie.
[9] Les Céphalées de tension, Forums Louis-Jeantet de la
santé,
[10] Céphalées de tensions: L'expérience d’une jeune kiné,
Fabienne BORRE kinésithérapeute à Bruxelles, La ligue belge contre les
céphalées, Journal Hiver 2002, http://www.cephalee.be/Hiver2002/kine2002.htm
[11]
dans des cas plus rares, on pense que la « somatisation » de certains
problèmes psychologiques peuvent être à l’origine de paralysies
« hystériques » (plus rares à la fin qu’au début du 20° siècle),
de certains déclenchements de maladies auto-immunes _ telles que le lupus, la
sclérose en plaques etc. …, voire de
certains cancers …