Hypothèses sur les causes à l’origine des céphalées de tension

 

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1         Avertissement

 

Nous livrons ces informations pour aider les malades, non pour créer « de nouveaux malades imaginaires » (pour paraphraser Molière), non pour fournir des informations « destinées » renforcer une structure hypocondriaque (non à « aider » une personne à s’inventer sans cesse de nouveaux maux et de nouvelles maladies).

2         Introduction

 

Les céphalées de tension sont encore mal connues sur le plan épidémiologique et évolutif.

Leurs mécanismes d'apparition, liés au stress font l'objet de débats.

On pense que la céphalée est un signal d’alarme de l’organisme s’exprimant au niveau de terminaisons nerveuses péri crâniennes, précisant l’existence d’un problème quelque part.

 

Toute la question médicale reste de savoir quel problème signale cette douleur ( ?).

Certaines céphalées de tension chroniques sont la manifestation physique d’une situation personnelle, familiale ou sociale difficile à  vivre. Dans ces cas, on peut parler de manifestation psychosomatique, puisque "c’est le corps qui prend la place du langage pour exprimer" une difficulté ou une souffrance.

 

Certains pensent qu'elles se développent à travers la tension des muscles du haut du cou. D'autres pensent qu'elles relèvent d'une défaillance des mécanismes de contrôle de la douleur.

 

Il existe des dizaines d’autres explications avancées pour expliquer la persistance forte ou intense, dans le temps, de cette contracture douloureuse, des muscles péri-crâniens, sans causes objectives toujours apparentes, sans qu’aucune ne soit parfaitement satisfaisante et se détache du lot des explications avancées.

 

Il faut aussi de se garder d’avoir qu’une seule explication pour expliquer les céphalées de tension, la problématique pouvant être complexe [1] et plusieurs causes pouvant être à l’origine des ces céphalées particulières.

 

Sinon, il faut bien se garder de qualifier de psychosomatique toute céphalée dont on ne comprend pas les causes. C’est pourquoi, il est indispensable de pratiquer un examen médical approfondi  visant à écarter toutes les maladies dont l’un des symptômes serait les maux de tête.

 

S’agit-il de maux de tête consécutifs à  un accident, à un problème dentaire, à une opération chirurgicale, à un mauvais état gynécologique ? Dans ce cas le malade va être orienté vers un  dentiste expert ou vers le médecin de la spécialité concernée (médecin de rééducation fonctionnelle et kinésithérapeute pour les problèmes de posture ou de cervicales,  gynécologue ou endocrinologue pour les femmes qui voient leurs maux de tête s’accentuer  à un certain moment de leur vie etc.)

Dans ces cas là, le problème à régler peut être uniquement organique et le patient va s’arranger avec le médecin qui lui aura été indiqué ou qu’il aura lui-même choisi, ayant à présent compris quelle est la cause de son mal de tête. Le problème peut aussi s’être compliqué d’anxiété provoquée par la douleur et aussi par le fait de ne pas comprendre son origine. Quelques séances de psychothérapie sont alors nécessaires pour clarifier les choses et faire tomber l’anxiété qui est souvent la cause de l’accentuation des maux de tête [2].

 

Signalons enfin, que chez les neurologues, les malades souffrant de céphalées de tension n’ont pas bonne presse. Voilà ce qu’il est écrit sur eux :

 

« Céphalées de tension dites « psychogènes »

- absence de retentissement sur la vie quotidienne et sommeil normal, contrastant

avec une gêne décrite comme intense,

- aggravation en périodes de tension psychologique, et amélioration au contraire en

période de détente.

- des troubles psychologiques (anxiété chronique le plus souvent), plus rarement

trouble psychiatrique authentique (état dépressif, personnalité hypochondriaque)

sous-tendent en général ce type de céphalées. » [3].

 

Lorsque les céphalées de tension sont très fréquentes, elles peuvent révéler des troubles psychologiques ou peut-être provenir d’une cause physiologique (voir plus loin « Autres approches »).

 

3         Possibles causes physiologiques de la douleur

 

Les avis divergent sur l’explication de l’intensité douloureuses des contractions musculaires.

 

La douleur proviendrait :

 

1)     Soit de la tétanisation des muscles _ identique à celles des « crises de tétanie » ou des crampes musculaires _ provoquant, au-delà d’un certain seuil de contraction, le déclenchement du signal douloureux dans les terminaisons nerveuses de la douleur, situées dans les tendons et fuseaux musculaires.

2)      Soit de la contraction musculaire empêchant le flot sanguin d’irriguer normalement le cerveau, d’où une douleur dans certains cas irradiante.

 

Fig.2. Les muscles péri-crâniens impliqués dans les contractions des céphalées de tension.

 

4         approches psychologiques

 

Dans 80 à 90 % des cas (la majorité), les médecins ne doutent pas qu’ils y aient une composante psychologique derrière les céphalées de tension. C’est pourquoi d’ailleurs, on trouve, dans la littérature, l’appellation « céphalées psychogènes » pour les « céphalées de tension ».

 

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4.1      La thèse de « l’émotion repoussée »

 

Pour certains psychologues, il s’agirait d’une tension d’origine émotionnelle. Des émotions, des sentiments désagréables [4] peuvent survenir en situation de stress ou dans une situation désagréable. La personne aurait le réflexe repousser ou refouler soit cette émotion désagréable, voire douloureuse, soit une préoccupation ou une action, source d’anxiété _ en faisant, par exemple, le vide, ou bien en se lançant activité souvent débordante pour détourner son attention du problème à résoudre ou de son angoisse. Cette personne tente ainsi de s’empêcher de ressentir cette émotion, afin de ne pas la ressentir dans toute son intensité ou pour l’empêcher de s’exprimer. Mais cette émotion repoussée, refoulée s’exprimerait alors autrement, par un autre signal d’alarme, par exemple à travers des céphalées de tension, pour signaler que le problème, la cause de l’angoisse n’est toujours pas traitée [1].

 

La peur ou l’anxiété est une émotion, un signal d’alarme [5]. Il existe différentes formes de peurs, qu’on peut tenter de refouler : peur de l’engagement, peur de la souffrance, peur du rejet, pour de décevoir, peur de blesser, peur du jugement, peur du changement peur du chômage, du stress professionnel, peurs familiales (peur d’une personne) …

 

D'après la psychologue et auteur Michelle Larivey [6], l'anxiété est « un malaise qui résulte du fait qu'on repousse une expérience émotive, une préoccupation importante ou une action à poser pour se respecter. Elle devient presque un « mode d'être » chez certaines personnes, qui s'arrêtent peu à leur expérience du moment. [...] Être anxieux ou angoissé, c'est à la fois une peur de faire face et une impression de se mettre en danger en négligeant de s'occuper d'un aspect de sa vie ».

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4.2         se « contracter » instinctivement face au danger

 

C’est une sorte de contraction réflexe psychologique.

Quand un enfant (surtout dans sa prime enfance) n’a cessé de recevoir des coups, il peut sans le vouloir, anticiper les coups, en se contractant et en contractant les muscles de son coup. Par la suite, ce réflexion de survie est devenu excessif, se déclenchant à tout événement même anodin, que l’inconscient considère, souvent à tord, comme dangereux. 

En général, les parents aiment et protègent leurs enfant [7]. Mais dans des cas rares, certains parents peuvent haïr et être totalement hostiles à leurs enfants.

On pourra alors rechercher chez le patient d’existence d’épisodes, durant l’enfance, de fortes de carences affectives, voire de forts rejets parentaux, de maltraitance (physique ou psychiques, une politique parentale d’humiliation systématique de leur enfant …). ...

 

4.3      Une douleur « d’évitement » pour masquer une autre

 

Une autre explication connexe serait qu’en refoulant, repoussant l’objet de son angoisse et de son anxiété, la personne aurait tendance éventuellement à se contracter (inconsciemment), dans une sorte de parallélisme des deux effets.

La personne se contracterait inconsciemment aussi pour garder hors de la conscience immédiate certaines préoccupations ou certaines émotions (désagréables) qui s’imposeraient à elle autrement.

La contraction musculaire (douloureuses) qu’on « s’infligeraient » permettrait de détourner son attention d’une autre douleur (plus psychologique). Une douleur masquant, occultant l’autre. Cette hypothèse est plus contestée.

 

4.4      La thèse du « syndrome d’Atlas » ou « complexe d’Atlas »

 

Dans le passé, cette forme de maux de tête a été dénommée « syndrome d’Atlas ».

Pour certains médecins, le patient souffrirait du syndrome ou complexe d'Atlas [9].

La victime, dans certains cas, aurait l’impression (inconsciente ou non) de porter toute la misère ou le poids du monde sur ses épaules, d’où l’impression de poids ressenti dans son cou, au niveau de sa nuque et au niveau du « casque » (douloureux) pesant sur sa tête.

Par ce signal d’alarme, que sont ces céphalées, son « sur-moi » le freinerait dans ses efforts, pour « l’empêcher » de se surpasser, de dépasser ses limites, d’augmenter ses compétences ou/et affronter une situation qui pourrait se révéler dangereuse pour lui. Une force (inconsciente) qui le dépasse ne cesserait, par cet « harcèlement douloureux », de le freiner ou limiter dans ses ambitions et réalisations.

 

Ce qui ne veut pas dire que la personne souffrant de ce syndrome ne soit pas combattive. 

Plus elle se bat, et plus elle peut souffrir de ses céphalées.

 

Cette explication pourrait peut-être avoir un commencement de vérification dans le monde professionnel,  où il arrive souvent que personnes, ayant franchi un échelon supérieur professionnel, avec plus de responsabilité et plus de stress concomitant, subissent alors de fréquentes céphalées de tension. A discuter …

 

Selon une déclinaison de cette thèse, la personne manquant d’assurance et ne se sentant inconsciemment pas assez forte, installée dans un nouveau poste (dont la difficulté du poste dépasserait ses capacités), luttant alors contre l’anxiété (la peur) de ne pas être à la hauteur et de perdre son poste, cherche alors à contrôler tout ce qui nous entoure, s’attirant des inimitiés et pouvant se mettre en danger. Le mal de tête lui signalerait ce danger.

Selon cette thèse, il suffirait de lâcher prise, d’accepter ses limites, de renoncer à des ambitions trop élevées (voir à un salaire trop élévée), où au poste que l’on occupe (mais qui dépasse ses capacités et compétences) pour que les maux de tête disparaissent. Une hypothèse pas toujours certaine.

 

Selon une autre déclinaison de cette thèse, certaines personnes, aux tendances mégalomanes, pensent savoir ce qui est bien pour les autres, ou pire encore, désirent sincèrement « sauver » les autres ou le monde (complexe d’Atlas). Les maux de tête, pour elles, serait alors le signal que leur comportement est inadapté au monde qui les entoure et dangereux pour elles.

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4.5      La thèse de la somatisation de « troubles paniques ».

 

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L’attaque de panique ou crises aiguës d’angoisses survient le plus souvent sur un fond de dépression ou d’anxiété généralisée, caractérisée par un état de tension et d’inquiétude chronique.

Ceux qui sont atteints de « troubles paniques » (ou « attaques paniques ») subissent de véritables attaques (palpitations incontrôlables, comme s’ils allaient avoir une attaque cardiaque imminente …) au cours desquelles ils ont l'impression de vivre leur mort imminente

 

L'association des troubles, dépressif et panique, serait très fréquente, 21,9% des "paniqueurs" étant dépressifs et un dépressif sur deux signalant des épisodes de paniques.

 

Certains médecins pensent donc que face au « trouble panique », certaines personnes, pour ne pas se sentir vulnérable, se voulant forte, refoulerait fortement leur anxiété, d’où l’apparition de contractures péri-crâniennes localisées (signal d’alarme d’un problème anxieux (?)). Une autre façon de faire resurgir par un autre moyen le signal d’alarme que constitue l’anxiété.

 

Les troubles paniques sont souvent associés avec le « syndrome d’hyperventilation » voire avec la spasmophilie.

4.6      La thèse d’une tendance « masochiste »à l’auto-culpabilisation.

 

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Une autre thèse est actuellement à la mode.

Selon cette thèse, les céphalées seraient la « couronnes d’épine » que des personnes masochistes seraient mis sur la tête. Finalement, si l’on croit cette thèse, la « victime » aimerait souffrir ou rechercherait (inconsciemment ou non) à obtenir cette souffrance, pour tenter de se faire plaindre et de faire entourer (affectivement).

 

D’autres verraient dans ces maux de tête une forme de somatisation d’une auto-culpabilisation inconsciente.

 

Malgré ses dénégations, le patient aurait besoin de ses maux de tête et donc en fait, ne voudrait pas réellement guérir (d’où la persistance sur de longues années de ses maux).

Cette thèse est contestée.

 

5         Thèses entre le physiologique et le somatique

 

Ce sont des thèse à mi-chemin entre le physiologique et le somatique.

 

5.1      1pproche « physiothérapique »

 

Le Docteur Aude Hauser-Mottier, physiothérapeute [8] [9], explique les céphalées de tension par le fait que quelqu'un d’angoissé, stressé, a une musculature généralement un peu plus raide et plus dure. Suite à une fatigue, un stress, un état dépressif, à n'importe quel problème psychologique, la force musculaire aurait tendance à diminuer et la tige de notre colonne vertébrale aurait tendance alors à s'effondrer. Le cerveau enregistrerait le fait que la personne risque de tomber et déclencherait alors des mécanismes de compensation, extrêmement puissants, qui agissant sur les muscles péri-crâniens feraient se redresser la tête.  Elle préconise alors de la gymnastique posturale.

 

5.2      Réflexe instinctif de contraction musculaire face au danger

 

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6           Autres approches

 

Il faut bien se garder de qualifier de psychosomatique toute céphalée dont on ne comprend pas les causes. C’est pourquoi, il est indispensable de pratiquer un examen médical approfondi  visant à écarter toutes les maladies dont l’un des symptômes serait les maux de tête.

 

Par exemple, on a découvert, dans certains cas de céphalées de tensions, des causes très diverses [10]  :

 

 

7         Approches biologiques

 

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7.1      Pré-disposition aux céphalées de tension et à la spasmophilie

 

Une prédisposition (génétique ?) aux contractures musculaires anormales, comme dans le cas de la spasmophilie et des crises de tétanies, pourrait exister dans les cas de céphalées de tension chroniques invalidantes.

 

Certains médecins auraient observé que certaines personnes sujet à de fréquentes céphalées de tension, avaient subi déjà, aussi, des crises de tétanies ou de spasmophilie, par le passé.

 

Mais si pour les migraines, il existe une susceptibilité héréditaire et des facteurs déclenchants, on n’a pas prouvé l’existence d’une susceptibilité héréditaire dans le cas des céphalées de tension chroniques invalidantes.

Par ailleurs, ce qui semble contredire cette thèse est qu’il semble qu’on n’a pas observé,  chez le même patient, de crises de tétanie accompagnées, en même temps, de fortes céphalées de tension.

 

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7.2      Piste d’une cause purement biologique

 

Dans le cas de céphalées de tension chroniques fortes, tenaces, sans aucune cause objective claire et alors que tous les traitements connus ont échoués, on peut se demander s’il ne pourraient pas y avoir des causes biologiques. Certains avancent qu'elles pourraient relever une défaillance (ou d’un dérèglement) des mécanismes de contrôle de la douleur (ou du système d’alerte de la douleur)

Pour donner une image comparative, qui vaut ce qu’elle vaut, on sait que des vertiges à répétitions, de acouphènes puissants tenaces, peuvent se déclencher, suite à un trauma crânien, entraînant des lésions cérébrales ou suite à un choc violent ou à une accélération brutale qu’a subi la tête en certaines circonstances (chute d’objet lourd sur le crâne, accident automobile, aérien ou d’un sport extrême, un attentat …). Il arrive aussi que suite à un surmenage, que le mécanisme du sommeil soit déréglé de façon durablement (insomnies totales parfois accompagnées de maux de tête tenaces durant des mois après le surmenage) ou bien que la personne ressentent une fatigue physique anormale durant des mois _ que certains médecins mettent alors trop rapidement sur le compte d’une dépression _, jusqu’à que la personne, par des épisodes de repos prolongés et intenses (repos et sommeils de plus 24 h en plusieurs épisodes), au cours de plusieurs mois, puisse récupérer son sommeil et de sa fatigue physique anormale, sans avoir suivi aucune psychothérapie, ni que sa situation familiale et professionnelle ait changé, ni que cette personne n’ait été réellement déprimée (et qu’elle aurait récupérée d’une dépression).

 

Donc certains se posent la question, de savoir, si dans des cas rares de céphalées de tension chroniques tenaces, résistantes à tous les traitements, il ne pourraient pas y avoir activation anormale des mécanismes d’alertes, et de contrôle de la douleur, soit suite à une micro-lésion cérébrale cachée, soit suite à une dérèglement de ce mécanisme, qui n’est que partiellement connu.

 

Pour l’instant, il semble qu’aucune recherche et aucun laboratoire, dans le monde, n’aient exploré cette piste.

 

7.3      Les seules « certitudes » actuelles

 

D’une manière générale, on admet que derrière des épisodes fréquents de céphalées de tension, se cache un fond anxieux [ i.e. une fragilité psychologique], voire un manque d’assurance ou de confiance en soi etc … dissimulé dans le profil psychologique du patient, profil à traiter alors en priorité par une psychothérapie, en particulier une thérapie comportementale pour limiter l’angoisse, l’anxiété ou des comportements générateurs d’angoisse ou d’anxiété ou de problème.

 

Ces céphalées ne seraient qu’une manifestation possible parmi d’autres, des nombreux phénomènes de somatisations, agissant sur le corps et la santé, pouvant prendre des formes aussi variées que des eczémas, des attaques de psoriasis, des déclenchements d’asthmes, des colopathies fonctionnelles, des migraines [11].

 

Dans le cas de céphalées de tensions tenaces, d’une durée supérieure à 10 ans, et particulièrement tenaces, à tous les traitements, les médecins avouent leur ignorance sur les causes, et leur impuissance à les traiter, d’autant qu’aucune recherche n’ayant été entreprise à leur sujet.

 

Benjamin LISAN

 

8         Bibliographie

 

[1] Céphalée de tension, Une émotion repoussée  , par Michelle Larivey, psychologue, http://www.redpsy.com/guide/cephalee.html

[2] http://www.servicevie.com/02Sante/Cle_des_maux/M/maux71b.htm

[3] La spasmophilie : mythe ou réalité ?, Dr Chantal Guéniot http://www.doctissimo.fr/html/dossiers/spasmophilie/sa_5895_spasmophilie_mythe.htm

[4] Tétanie et Spasmophilie, des Dr Lyonel Rossant, Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso.

 http://www.doctissimo.fr/html/sante/encyclopedie/sa_840_spasmophilie.htm

[5] L'association dépression et attaques de panique est fréquente, Philippe Presles, 14/07/2000, PP Roy-Byrne et al. Br.J.Psychiatry 2000 ; 176 : 229-35.

http://www.e-sante.fr/magazine/article.asp?idArticle=484&idRubrique=4

[6] La migraine,  Dr Chantal Guéniot http://www.doctissimo.fr/html/sante/mag_2001/mag0629/sa_4039_cephalees.htm

[7] Céphalée de tension, GlaxoSmithKline Inc Canada, http://www.takingcontrol.ca/headaches/tch_tension-headaches_fr.html

[8] Céphalées de tension, Organisation Mondiale de la Santé (WMO), http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs277/fr/

[9] Gaston Bachelard, L'air et les songes. Essai sur l'imagination du mouvement. Librairie José Corti. Paris, 1943 : 232 ; , sur le complexe d'Atlas, 1948a : 388, 392

[10] Les douleurs projetées d’origine cervicale, Dr Jean-Yves MAIGNE, http://www.anmsr.asso.fr/anmsr00/54-rach-cerv/doul-projet.htm

[11] Céphalées, anxiétés et Kinésithérapie : Comment s’orienter ?, Corinne Goffaux-Dogniez, kinésithérapeute, Membre de la Société Belge de Sophrologie et de Relaxation, http://www.servimed.be/select/gp05104.htm

[12] Céphalées - Migraines - Maux de tête, 11e Congrès de l'International Headache Society, 13-16 septembre 2003 – Rome, QUOTIMED. Ce congrès fait la distinction entre: « les céphalées de tension épisodiques rares, celles épisodiques fréquentes, les céphalées de tension chroniques, et les céphalées de tension probables. Dans chaque catégorie, il existe des sous-types comme la céphalée de tension épisodique rare avec hyperesthésie du cuir chevelu ». http://www.esculape.com/neurologie/cephalees_classification.html

[13]  Les enfants aussi souffrent de migraines, Giuseppe Costa, Hôpital Universitaire de Genève. Selon cet article : « Les céphalées sont divisées en deux groupes: d'un côté les céphalées primaires, ou idiopathiques, qui ont leur existence propre, de l'autre les céphalées secondaires, ou symptomatiques, qui sont dues à une autre affection. Les migraines et les céphalées de tension font partie des céphalées primaires ».

http://www.hug-ge.ch/www/fr/webhug.nsf/html/frame2?OpenDocument&url=http://www.hug-ge.ch/www/fr/quoi.nsf/0/0F0DE374D69214AFC1256EAC00286F94?OpenDocument&style=TribuneDeGeneve

[14] Les questions couramment posées, La Ligue Belge Contre les Céphalées, http://www.cephalee.be/faq.htm

[15] Céphalées de tension : L'expérience d’une jeune kiné, Fabienne BORRE, kinésithérapeute à Bruxelles, La Ligue Belge Contre les Céphalées,

http://www.cephalee.be/Hiver2002/kine2002.htm

[16] Benzodiazépines : Le squelette dans le placard, Professeur C Heather Ashton, DM, FRCP, Conférence "Beat The Benzos", Avant Hôtel, Oldham, Royaume Uni, Le 23 avril 2004, University of Newcastle, School of Neurosciences, Division of Psychiatry, The Royal Victoria Infirmary, Queen Victoria Road, Newcastle upon Tyne NE1 4LP, http://www.benzo.org.uk/asholdmfr.htm

[17] Les Benzodiazépines: Comment agissent-elles et comment s'en sevrer ? Professeur C Heather Ashton DM, FRCP, 2002, University of Newcastle,

http://www.benzo.org.uk/freman/index.htm

[18] NEUWIRTH Lucien, Rapport sur la prise en charge de la douleur (n°138, 1994-1995),

http://www.senat.fr/rap/r98-207/r98-207_mono.html

[19] Trouver l'origine des maux céphaliques, Richard Belfer (journaliste), juin 2003,

http://www.medecines-douces.com/impatient/301juin03/origines.htm

[20] Céphalée de tension, Fondation Louis-Jeantet de Médecine,

 http://www.jeantet.ch/forums/mauxdetete/qr2_mauxdetete.html

[21]  Les céphalées par tension nerveuse, in L' enfants et les jeunes'  ,

http://www.migraene.ch/content/migraene/fr/en_savoir_plus/kinder_und_jugendliche_2/spannungskopfschmerz.html?SID=86ead27c0d7f27aaa5a572af7ac29baa

[22] Traitement des céphalées chroniques par les antidépresseurs : une méta-analyse [tête et cou] (Treatment of chronic headache with antidepressants : a meta-analysis, Tomkins GE, Jackson JL, O'Malley PG, Balden E, Santoro JE, Am J Med 2001 ; 111 : 54-63).

Notice d'origine, Christian GHASAROSSIAN - UFR Paris-Necker,

http://www.aventispharma.fr/content/1,,SFRAVPFRAFRASPF3111xxxxxxxxxx%C2%A78%7Cnolist%7C%7C1%7CAVP%7C%7C%7C%7C%7C%7C%7C14089%7CFRA%7C0%7C,00.html

[23] La France championne du monde  pour la consommation des drogues psychotropes, http://wassil.free.fr/france_championne.htm

[24] « Le Prix du bien-être. Psychotropes et société », par le Docteur Edouard Zarifian, Odile Jacob, 29O pages, 1996 (résumé d’un rapport commandité par le ministre de la santé). 

 



[1] Il existe par ailleurs des cas (rares) de migraines coexistant avec des céphalées de tension.

[2] Marie-Paule Lagrange, Maux de tête chroniques: Comment les soigner (migraine, céphalées de tension, céphalées chroniques par abus médicamenteux), témoignages, pathologie et techniques adaptées, Editions Ellébore.

[3] Référentiel National, Collège des Enseignants de Neurologie, Version du 30/08/02, Céphalées aiguës et chroniques (188)

http://www.univ-rouen.fr/servlet/com.univ.utils.LectureFichierJoint?CODE=127&LANGUE=0

[4] tels que l'anxiété, l'angoisse, la fébrilité, la gêne, le vide, les tensions musculaires, la surexcitation, la migraine, le noeud à l'estomac, le bégaiement, la boule dans la gorge, etc.

[5] La peur, une alliée possible !, Michel Boileau, Thérapeute en Relation d'Aide, Charlesbourg, Québec, Canada, Éditions du CRAM (Montréal).

[6] Ressources en développement (Ed). Le guide des émotions, L'anxiété : une émotion repoussée, Auto-développement : les psychologues humanistes branchés. 2003. www.redpsy.com/guide/anxiete.html

[7] Ils ont d’ailleurs, par la loi, devoir de protéger leurs enfants.

[8] Membre de la société vaudoise et romande de physiothérapie.

[9] Les Céphalées de tension, Forums Louis-Jeantet de la santé,

www.jeantet.ch/forums/mauxdetete/qr2_mauxdetete.html

[10] Céphalées de tensions: L'expérience d’une jeune kiné, Fabienne BORRE kinésithérapeute à Bruxelles, La ligue belge contre les céphalées, Journal Hiver 2002, http://www.cephalee.be/Hiver2002/kine2002.htm

[11] dans des cas plus rares, on pense que la « somatisation » de certains problèmes psychologiques peuvent être à l’origine de paralysies « hystériques » (plus rares à la fin qu’au début du 20° siècle), de certains déclenchements de maladies auto-immunes _ telles que le lupus, la sclérose en plaques etc. …,  voire de certains cancers …