Espoir(s)
Eléments d’espoirs
Lorsqu’on souffre
d’une tétanisation permanentes extrêmement douloureuse des muscles du crâne,
durant des heures, des jours, des mois, voire des années, il n’est pas toujours
facile de voir les choses en rose et d’être positif.
Pour rester
positif, notre esprit utilise certains arguments et se raccroche souvent à
certains éléments d’espoir, qui nous permettent de tenir.
Ici, nous allons
donc lister tous ce qui nous permet de tenir, voire d’attendre que la crise
passe.
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Eléments d’espoirs suggestifs
- Le fait qu’on a déjà connu dans le passé des
rémissions, et qu’on peut espérer prochainement, une nouvelle période de
rémission,
- Le fait qu’on arrivera à trouver, un jour, la
solution et la porte de sortie (une voie psychologique, si l’on admet que
les céphalées de tension ne sont uniquement que d’origine psychogène),
- Le fait qu’on est entouré et qu’on ne vous
laissera pas tombé,
- Le fait que la science arrivera bien, un jour, à
percer le mystère et à trouver un traitement efficace.
- L’espoir religieux (l’histoire de Job, la
providence, la prière …),
- L’exemple des « saints » ou de
personnes exemplaires, ayant eu à souffrir de terribles céphalées, toute
leur vie (voir « Saints »
dans le Lexique sur le site de l’association).
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Eléments incitatifs
- S’occuper de sa famille et d’être là pour ses
enfants,
- Certains projets importants, qu’on veut à tout
prix achever.
- Le fait qu’on sache qu’on a potentiellement une
certaine valeur humaine, qu’on peut réaliser certaines choses, que cette
capacité de réalisation pourrait s’épanouir, en l’absence du handicap
intellectuel (diminution des facultés intellectuelles, de mémorisation, de
concentration …) causé par les céphalées.
Certains éléments
incitatifs peuvent être liés à un sentiment du devoir à accomplir (être là
pour ses enfants et donc ne pas baisser les bras …).
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Trucs et astuces pour gérer la douleur et la gêne
intellectuelle
En l’absence de
la prise tous médicaments anti-douleurs.
3.1
Masquage et contournement de
la douleur
Par une
hyper-activité effrénée _ comme une musaraigne s’activant sans cesse _ comme le
faisant par exemple Sainte-Thérèse d’Avila (qui souffrait continuellement de
terribles céphalées), on peut arriver à oublier sa douleur.
Le revers de la
médaille est que, par cette technique, on peut peut-être contribuer à affaiblir
sa santé à la longue.
Le sport
d’endurance à un haut et dur niveau _ marathons, treks et longues courses dures
en montagne _, peut contribuer à
oublier sa douleur. D’autant qu’au bout d’une certains temps lors d’une
activité d’endurance très dure, se libère alors des endomorphine, atténuant
alors la douleur musculaire (liée à l’acide lactique produit par l’activité
sportive).
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Masquage du handicap intellectuel et de la gêne intellectuelle
Pour éviter
d’avoir à se faire renvoyer, de son entreprise, à cause de ses problèmes de
mémorisation (ou de cohérence intellectuelle), plusieurs astuces, pour masquer
auprès de ses collègues, son handicap intellectuel causé par les céphalées :
- Tout noter sans cesse sur un carnet (pour éviter
d’oublier les RdV, les noms de rue, les n° de téléphones, les demandes
d’un collègue, les nouvelles notions apprises, …),
- Dire, au collègue, qu’on répondra le lendemain à
une question, ce qui permettra, entre temps, de se ressouvenir, de se
remémorer du souvenir perdu, et se laisser le temps de bien potasser la
question le soir.